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sylvain951

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Tout ce qui a été posté par sylvain951

  1. il faut utiliser de la peinture epoxi alimentaire c sans danger par contre je c pas si c facile a trouver
  2. non elle n'ai jamais rentrée d'elle meme dans sa cage par contre pas de soucie pour la prendre elle la deposser dedant. sa cage fait a l'interieur donc hors tout 70cm de rayon par 104cm de haut. le pbm si tu les met ensemble c le risque de retrouver un oiseau blaisé voir mort en rentrant chez toi, maintenan..t si sa se trouve ca ne se produira pas mais je serait toi je ne tenteré pas le diable. perso ont a mis les 2 cage l'une a coter de l'autre donc ils peuvent se voir sans pbm la journée
  3. oui elle sort tout les jours au moins 5 heures, elle a une cage d'angle et les omnicolores une petite voliere ferplast oui ont ravail la journée mais lydie bosse le week end donc a c jour de repos en semaine donc sushi et toute seul maxi 8 heures par jours et mini 5 heures 3 fois dans la semaine.
  4. bonsoir, pour notre cas ont a 2 omnicolores certain me disant que la coabitation serait impossible. l'eleveur de sushi nous a dit pas de soucie du coup quand ont est rentrée avec sushi a la maison ( il y a 1 mois ) ont a de suite laisser les 3 oiseaux en liberter dans la maison. la 1er heure les omnicolores etait en panique, mais depuis plus de pbm sushi les regarde de loins et ne les approche pas elle les laisse manger, boire et jouer avec c affaire. cela ne veut pas dire que chez toi sa sera pareil chaque oiseaux a sont caractere
  5. un perroquet peut il vivre dans la meme volière que mes deux autres oiseaux et est elle assez grande? ton perroquet a besoins d'avoir sa propre cage pour sont bien etre et pour la securité de t autre oiseau et la sienne lequel des 3 est le plus "calme" (qui ne crie pas intempestivemment) et le meilleur "parleur" ? je dirait : 1er gris du gabon 2eme aras 3eme cacatoes le cacatoes a un crie stident il peut etre entendu a 30 km dans la nature . pour le aras je ne peut pas te renseigner mais certaine personne en ont sur le forum est ce un problème qu'il reste "seul" (avec les autres oiseaux) durant la journée? c mon cas certain jours . a mon avis cela ne pose pas de pbm si ils sont proche ils se tienne compagnie. comment transportez mon perroquet sans trop le stresser? prend un caisse pour chat en plastique et fixe en travers un morceaux de bois pour faire un perchoire cherche sur le forum il y a des exemples en photo il me semble Pourquoi choisir une femelle plutot qu'un male ou le contraire? apparament il n'y a pas vraiment de differance bonne soirée
  6. bonsoir, regarde j'ai cree un sujet sur l'anatomie des perroquet il y a une ilustration des ailes avec la coupe des plumes d'indiqué tu peut comparer a la limite pour te donner une idée
  7. merci mais je suis un peut degoutter j'ai pas trouver les organes interne , si quelqu'un a je suis preneur pour ajouter
  8. voici l'anatomie de nos boulles de plumes Squelette Les oiseaux ont un squelette léger. La plupart des os d'oiseaux volants sont minces et creux; certains ont des supports internes ou des botte (des murs mutuels) qui les rendent très forts. (Quelques coureurs, comme des pingouins, ont des os solides.) Le sternum en forme de quille est l'endroit où les muscles de vol puissants s'attachent au corps. Les oiseaux ont un nombre total d'os inférieur aux mammifères et aux reptiles. C'est parce que beaucoup de leurs os se sont fusionnés ensemble (comme le milieu pour baisser des vertèbres), faisant le squelette plus rigide. Les oiseaux ont aussi plus de vertèbres cervicales (ces vertèbres constituent le cou) que beaucoup d'autres animaux; cela leur permet par exemple d'entretenir toutes leurs plumes. Les oiseaux sont les seuls animaux vertébrés a avoir une clavicule fondue (équivalent à "clavicule fusionnée") le furcula (ou wishbone) et un sternum. Profil de l'oiseau •Abdomen - le ventre •Plumes de l’oreille - les plumes qui couvrent l'ouverture d'oreille de l'oiseau (placé derrière les yeux) •Poitrine - le secteur sur le ventre et sous la gorge •Cire - les bosses "cireuses" sur le bec supérieur de quelques oiseaux (incluant les perroquets, pigeons et quelques faucons) •Griffes - serres dures à la fin de chaque orteil •Couronne - le sommet de la tête de l'oiseau •Front - le secteur directement au-dessus des yeux •Primaire – plumes de vol principales (elles sont placées sur la partie la plus basse [extérieure] des ailes) •Scapulaires – plumes de l’épaule. •Secondaires - les plus petites plumes de vol - elles sont situées sur la partie supérieure des ailes (au-dessus des primaires). •Lores – la région de chaque côté du visage d'un oiseau, entre les yeux et le bec supérieur •Mandibule inférieure - la partie inférieure du bec •Mandibule supérieure - la partie supérieure du bec •Nuque - le dos du cou •Plumes de queue – plumes de vol situées à l’extrémité de l'oiseau (utilisées pour diriger) •Orteils - les doigts de pied •Gorge - le secteur sous tête et au-dessus de la poitrine •Manteau - les petites plumes qui couvrent la base de plus grandes plumes d'aile (placé au sommet des ailes sous les scapulaires) Anatomie interne d'un oiseau interne d'un oiseau: animal vertébré à sang chaud pourvu de deux ailes, de deux pattes, d'un bec corné et dont le corps est recouvert de plumes. Moelle épinière: partie du système nerveux située dans la colonne vertébrale. Poumon: organe respiratoire en forme de sac. Rein: organe de purification sanguine. Uretère: canal conduisant l'urine du rein à l'extérieur du corps de l'oiseau. Caecum: cul-de-sac de l'intestin. Rectum: dernière partie de l'intestin. Intestin: dernière partie du tube digestif. Gésier: dernière poche de l'estomac de l'oiseau. Foie: glande digestive fabriquant la bile. Coeur: organe de pompage sanguin. Jabot: poche formée par le renflement de l'oesophage. Oesophage: première partie du tube digestif. Trachée: première partie du système respiratoire. Cavité buccale: fosse relative à la bouche. Le système circulatoire sanguin des oiseaux. Le coeur des Oiseaux est à quatre cavités comme celui des Mammifères : la circulation est double et complète, et nulle part il n'y a mélange du sang artériel et du sang veineux. Les ventricules surtout sont très musculeux. C'est l'arc artérieldroit qui devient la crosse de l'aorte (et non le gauche, comme chez les Mammifères), mais il n'y a qu'une seule crosse aortique dont les subdivisions envoient le sang artériel à tout le corps. Il existe dans la peau de la région ventrale un plexus incubateur correspondant extérieurement à des régions privées de plume et que l'Oiseau élargit encore en s'arrachant le duvet (Eider) à l'époque de l'incubation. Ordinairement ce plexus est surtout développé chez les femelles, mais chez les Phalaropes et les Rhynchées, où les mâles se chargent presque exclusivement de l'incubation, on le trouve très développé chez ceux-ci. On sait que la température du milieu intérieur atteint, chez les Oiseaux, 40° à 42° (tandis que chez les Mammifères cette température est de 27° à 37°); cette élévation est en rapport avec l'activité plus grande des fonctions respiratoires et circulatoires. Le système musculaire des oiseaux. De tous les muscles, ce sont ceux qui meuvent l'aile, les pectoraux, par conséquent, qui sont le plus développés. Ils acquièrent un volume que l'on n'observe chez aucun autre vertébré. Les muscles du dos, par contre, sont faibles. Au membre postérieur, la cuisse et la jambe seules sont généralement musculeuses, et ce n'est que chez les oiseaux dont les plumes descendent jusqu'aux doigts, que l'on trouve encore des muscles le long des tarses; chez tous les autres, il n'y a plus que des tendons dans cette région. Les muscles peauciers ont un assez grand développement; ceux de la face sont rudimentaires. Le système nerveux des oiseaux. Le système nerveux des Oiseaux présente la même disposition que chez les Mammifères. Le cerveau des Oiseaux est plus volumineux et moins allongé que celui des Reptiles, mais la surface est dépourvue de circonvolutions. Les diverses parties de l'encéphale ont déjà cette tendance à se recouvrir qui s'accentue chez les Mammifères. Le cerveau postérieur reste seul à découvert. L'encéphale l'emporte encore en volume sur la moelle épinière; mais sa structure est plus simple. On y distingue deux hémisphères cérébraux; il n' y a pas de cervelet. La moelle allongé est très forte, la moelle épinière est arrondie. D'une épaisseur égale à la région cervicale, elle est plus large, plus épaisse à la région dorsale, plus mince à la région sacrée. Les nerfs ont la même distribution générale que chez les Mammifères. Les nerfs optiques sont très développés, tandis que les lobes olfactifs le sont très peu. Les organes des sens. Les organes des sens présentent des particularités remarquables. L'odorat est peu développé. ll n'existe qu'un seul cornet vrai dans la cavité olfactive, les autres saillies (une dans la cavité nasale, l'autre dans le vestibule) sont de faux cornets comme ceux des Reptiles. Le cornet vrai, cartilagineux, est droit ou enroulé en spirale : au-dessus et en avant débouche le canal naso-lacrymal. La glande nasale externe est située dans le frontal et le nasal. Le vestibule, profondément situé, est tapissé d'un épithélium pavimenteux. L'oeil est très développé est allongé, surtout chez les Rapaces nocturnes et divisé en portion antérieure plus grande, portion postérieure petite. La cornée, fortement bombée, recouvre la chambre antérieure et le muscle ciliaire (ou de Crampton), strié et compliqué. Dans la chambre postérieure, il existe un peigne très développé, entre le nerf optique et la capsule du cristallin, mais atteignant rarement celle-ci. Cet organe est bien l'homologue du ligament falciforme des Poissons, mais, chez les Oiseaux, il n'a plus d'utilité pour l'accommodation. C'est un repli de la choroïde, plissé et formé d'anses capillaires enchevêtrées, servant probablement à la nutrition du noyau de l'oeil et de la rétine (privée de vaisseaux). La sclérotique présente un cercle de lamelles osseuses, comme chez les Reptiles, et ces lamelles osseuses se retrouvent quelquefois, formant un cercle ou un fer à cheval, autour du nerf optique. Outre les paupières, qui ont des mouvements très limités, il existe chez les Oiseaux une membrane nictitante, située dans l'angle interne de l'oeil, sous les paupières proprement dites, et pouvant recouvrir toute la face antérieure de l'oeil (troisième paupière); cette membrane est mue par des muscles spéciaux (carré et pyramidal). La glande lacrymale est située derrière la paupière inférieure, et les points lacrymaux ont la forme d'une fente. L'oreille interne présente un limaçon bien développé. Les canaux demi-circulaires ont une courbure excessivement prononcée; l'antérieur et le postérieur viennent déboucher, en sens inverse, dans le sinus supérieur de l'utricule (ou renflement central). Ces particularités sont en rapport avec le développement de l'organe vocal et du sens de la direction qui paraît avoir son siège dans les canaux demi-circulaires. Le goût est, semble-t-il, peu développé, car la langue n'est qu'un instrument de préhension et de tact présentant les formes les plus variées, souvent entièrement sèche, et les Oiseaux avalent, presque toujours, sans goûter et sans mâcher. Il en est de même du tact, bien que certains Oiseaux (Échassiers, Palmipèdes) aient l'extrémité du bec et la plante du pied garnis de papilles tactiles qui leur servent dans la recherche des vers et autres animaux dont ils se nourrissent. Les organes respiratoires des oiseaux. Chez les Oiseaux, il existe un larynx supérieur et un larynx inférieur : le premier est l'homologue de celui des Mammifères, mais il est rudimentaire et incapable de produire des sons. Le larynx inférieur (ou syrinx), au contraire, est l'organe de la voix chez tous les Oiseaux; il est situé au point de jonction de la trachée avec les bronches. L'extrémité inférieure de la trachée est quelquefois dilatée, en forme de bulle osseuse (tambour) constituant un appareil résonateur (Canard mâle). La longueur de la trachée elle-même est très variable; chez le Cygne et la Grue, elle forme une anse contournée derrière le bréchet, allant se loger jusque dans la crête du sternum; chez le Phonygama Keraudrenii (un passeriforme) la trachée forme plusieurs anses spirales logées entre la peau et les muscles thoraciques. Chez les Oiseaux à cri rauque et métallique, les anneaux de la trachée sont ossifiés et soudés entre eux; chez les Oiseaux chanteurs, ils restent minces et flexibles. L'organe du chant. Le syrinx ou larynx inférieur est essentiellement formé par une membrane tendue à la partie inférieure de la trachée et formant au niveau de la bifurcation des bronches une valvule circulaire faisant saillie dans l'intérieur de la trachée. Cette membrane, tympaniforme, unique ou double (suivant qu'elle est au-dessus ou au-dessous de la bifurcation), est l'organe vibratoire qui produit les sons, sous l'influence de la colonne d'air chassée par le jeu des poumons et de la tension produite par de petits muscles, en nombre très variable suivant les espèces et très compliqués chez les Oiseaux chanteurs (Rossignol), qui ont jusqu'à cinq paires de ces muscles, Les Perroquets n'en ont que trois et les Rapaces une seule paire. Les tambours, quand ils existent, et la trachée plus ou moins longue, plus ou moins flexible, contribuent aussi à varier le son de la voix ou à lui donner une plus grande portée. On sait d'ailleurs que l'éducation fait beaucoup sous ce rapport, puisque l'on peut apprendre à chanter à des Oiseaux dont la voix ordinaire est peu harmonieuse, et qui ont, par conséquent, un syrinx moins parfait que les autres. Même à l'état sauvage, certains Oiseaux imitent le chant des autres Oiseaux (Moqueur). Poumons et sacs aériens. La bronche principale de chaque poumon s'étend jusqu'à l'extrémité postérieure de l'organe qui n'a qu'un seul lobe; dès son origine, elle donne une bronche latérale et, un peu plus loin, six autres bronches divergentes, puis un grand nombre de bronches collatérales qui se subdivisent et s'anastomosent entre elles (parabronches d'Huxley), puis, par un système de canaux réticulés, sont en contact direct avec le parenchyme du poumon. Les capillaires sanguins y sont presque à nu et baignés de tout côté par l'air, de telle sorte que la masse du poumon est peu considérable relativement à l'étendue de la surface respiratoire. Les poumons sont fixés à la partie supérieure ou postérieure du thorax, mais par leur face inférieure ou antérieure, qui est concave, et libre, ils sont en rapport avec les sacs aériens qui communiquent avec eux par de nombreuses ouvertures qui en font de véritables diverticulums du poumon. Ces sacs, qui tapissent les parois et toutes les cavités du tronc, enveloppent tous les viscères d'une couche d'air, de telle sorte que E. A. Carus a pu dire que toutes les parties internes du corps de l'oiseau sont contenues dans les poumons et les sacs qui en dépendent. Les ouvertures des sacs dans le poumon sont à la face interne et inférieure de cet organe, au nombre de 3 à 9, de chaque côté, les sacs étant disposés symétriquement par paires (sauf pour le supra-coracoïdien ou interclavicutaire, qui est impair); les sacs cervicaux, diaphragmatiques antérieur et postérieur, abdominaux, etc., sont pairs. Ils s'étendent non seulement dans le tronc et le cou, mais aussi entre les muscles, dans les os creux, sous la peau et jusqu'à l'ombilic inférieur des grosses plumes de l'aile sur les os, les orifices aériens sont toujours situés à leur face concave; un système particulier de cavités aériennes s'étend de la cavité naso-pharyngienne ou de la caisse du tympan dans les os du crâne. Toutes ces cavités (sauf celles de la tête) communiquent entre elles et avec le poumon, de telle sorte que, si on lie la trachée et que l'on pousse de l'air par un trou pratiqué artificiellement au fémur ou à l'humérus, on peut insuffler le corps tout entier, tandis que la piqûre accidentelle d'un des sacs amène le dégonflement rapide de tout l'appareil; sur l'Oiseau vivant, cet accident, qui permet à l'air chaud de s'échapper, suffit pour ôter à l'Oiseau la faculté de voler. Les sacs aériens servent surtout à assurer, par la variation de leur volume, la ventilation des bronches, sans que le parenchyme même du poumon subisse des déplacements étendus qui nuiraient à l'hématose. En outre, par la pénétration de l'air dans les os et les muscles de l'aile; il y a diminution du poids propre de ce membre; bien que la pneumaticité des os ne soit pas du tout indispensable au vol, comme le montrent les Chauves-Souris et certains Oiseaux bons voiliers dont les os contiennent cependant peu d'air (Mouettes). Enfin, la vaste surface interne de ces sacs sert aussi à la transpiration, suppléant ainsi la peau qui, chez les Oiseaux couverts d'un épais plumage, reste toujours sèche. Il est intéressant de noter que les Ratites (Autruches), incapables de voler, ont conservé des os très pneumatiques; par contre, les Dinornis avaient des os beaucoup plus compacts, et ceux de l'Archaeoptéryx secondaire ne renfermaient pas d'air. Les organes digestifs des oiseaux. Par suite de l'absence de dents, le canal digestif est plus compliqué que chez les Reptiles. A là suite de l'oesophage, dilaté en forme de jabot pour emmagasiner les aliments, et qui, dans certains cas, exerce déjà sur eux une action chimique (jabot vrai), on trouve l'estomac divisé en deux parties : l'antérieure (ventricule succenturié ou estomac glandulaire), très riche en glandes digestives, et la postérieure (gésier ou estomac musculeux), tapissée d'une couche cornée sécrétée par les glandes de sa paroi, munie de muscles épais et de deux disques tendineux propres à broyer les aliments; ces deux derniers organes sont moins développés chez les Rapaces et les Insectivores que chez les Granivores. L'intestin grêle ou moyen, qui fait suite au gésier, est un conduit, cylindrique d'une longueur variable, suivant le régime. Vers le milieu de sa longueur, on remarque un petit cul-de-sac, reste de l'organe embryonnaire appelé conduit vitello-intestinal. Le gros intestin présente en général deux caecums, très allongés chez les Lamellirostres, les Gallinacés et les Ratites, très variables dans les autres groupes, mais jouant un rôle important dans la digestion. Chez l'Autruche, un repli spiral augmente encore la surface de l'organe. Dans toute sa longueur, l'intestin est richement pourvu de glandes. Il débouche enfin dans le cloaque, cavité terminale qui lui est commune avec les conduits génito-urinaires chez tous les Oiseaux, Les glandes annexes du tube digestif (foie, pancréas) ne présentent rien de remarquable. Les organes génitaux et urinaires des oiseaux. Les reins, situés dans la région pelvienne, sont volumineux, moulés, en quelque sorte, dans la cavité du bassin, dont leur face dorsale présente en creux le relief; la face ventrale aplatie est lobée, parcourue par des veines superficielles, et leur extrémité postérieure se fusionne souvent sur la ligne médiane. Les uretères sont plus ou moins allongés, et comme il n'y a pas de vessie, ils débouchent directement dans le cloaque, d'où l'urine est expulsée mêlée aux matières fécales. Les testicules sont situés sous les reins et le canal déférent s'accole à l'uretère pour déboucher dans le cloaque par un orifice distinct. Le testicule gauche est souvent plus développé que le droit. L'organe d'accouplement n'est bien développé que chez les Ratites et les grands palmipèdes; il est formé d'un tube reployé ordinairement sur le côté gauche du cloaque et qui peut se développer au dehors, soutenu par deux corps fibreux; il est ramené dans le cloaque par un ligament élastique. Chez la plupart des Oiseaux, le rapprochement sexuel ne dure que quelques instants. L'ovaire est asymétrique, le gauche fonctionnant seul, ce qui lui permet de produire un très gros oeuf, pendant que le droit s'atrophie. L'oviducte a des parois musculeuses et qui renferment des glandes destinées à sécréter l'albumine et la coque de l'oeuf; il décrit, à l'époque de la reproduction, de nombreuses circonvolutions avant d'aboutir au cloaque. Les téguments des oiseaux. La peau des Oiseaux est essentiellement formée des mêmes éléments que celle des Mammifères. On y distingue trois couches l'épiderme, le réseau muqueux, et le derme. L'épiderme est mince, très plissé : il s'épaissit sur les tarses et les doigts pour y former des écailles cornées; sur le bec, il prend aussi la consistance de la corne. Le derme est variable; très mince chez quelques oiseaux, il est épais et résistant chez d'autres. Il est toujours très riche en nerfs et en vaisseaux, et sa face interne couvre souvent une couche graisseuse très épaisse. La plume caractérise l'Oiseau comme le poil, le Mammifère. Cette plume est insérée dans une décrue très mince, pauvre en vaisseaux, mais riche en organes sensoriels. Dans les couches profondes de la peau, un réseau de fibres musculaires lisses, pourvues de petits tendons aboutissant aux follicules des plumes, permet à l'Oiseau de secouer et hérisser son plumage. Il n'y a pas d'autres glandes cutanées que celle du croupion (glande uropygienne). LES AILES Source : passionperroquets.centerblog.net sur centerblog. LES PLUMES La plume se développe à partir d'une papille formée par une saillie du derme : on voit d'abord un long cône à sommet libre (germe de la plume) qui s'enfonce par sa base dans le derme, y creusant une poche qui est le follicule plumeux. Le germe s'allonge et, en même temps, une partie de la pulpe qui en remplit l'intérieur (couche de Malpighi) se développe, formant des replis, puis des rayons cornés qui constituent les barbes primitives de la plume : à cet état, c'est la plumule ou duvet embryonnaire, tel qu'on l'observe chez les poussins nouveau-nés. Les Pingouins conservent cette forme jusqu'à l'âge adulte. La plume définitive se forme d'abord de la même manière, mais au moyen d'un second follicule qui se développe au fond du follicule de la plumule et repousse au dehors le tuyau de celle-ci qui tombe. La nouvelle plume est d'abord semblable à la plumule, mais bientôt un des rayons s'épaissit pour former la hampe ou axe de la plume, les autres constituant les barbes. Le tuyau s'allonge plus tardivement. Tuyau et tige sont d'abord recouverts d'une gaine, prolongement de l'épiderme, et qui croît avec la plume; mais comme cette gaine est mince et se dessèche à l'air, l'oiseau la déchire et la fait tomber en se grattant, de sorte qu'on n'en voit jamais que la base, adhérente au tuyau. La tige semble ainsi sortir du tuyau comme d'un fourreau; d'ailleurs le tuyau est d'abord largement ouvert à sa jonction avec la tige, c.-à-d, au point où s'insèrent les barbes; mais sur la plume complètement développée il ne reste plus trace de cette ouverture qu'à l'origine du sillon inférieure ou raphé de la tige, où se voit l'ombilic supérieur. C'est un canal oblique, plus ou moins capillaire et qui s'oblitère souvent, mais qui permet toujours assez facilement l'introduction d'une aiguille fine ou d'un fil rigide. D'après Sappey, ce canal reste toujours perméable à l'air. L'ombilic inférieur est situé à la partie opposée du tuyau insérée dans le derme : c'est par là que pénètre la papille avec les vaisseaux sanguins nourriciers qui sont très développés pendant que la plume pousse : mais dès que son accroissement est terminé, ces vaisseaux s'oblitèrent; la papille se rétracte peu à peu en laissant de distance en distance les membranes sécrétées à sa surface et qui se sont desséchées (âme de la plume); l'ombilic inférieur se resserre et s'oblitère complètement. Un seul tuyau porte quelquefois deux tiges (Casoar, Faisan). Les barbes de la tige et les barbotes qui s'y insèrent latéralement, examinées à la loupe, se montrent munies, sur leurs faces en contact, de fins crochets cornés qui s'entrelacent et donnent ainsi aux pennes de l'aile le rigidité nécessaire au vol. Le duvet et les plumes décomposées manquent de ces crochets. Il existe des plumes dépourvues de barbes et semblables à des piquants et d'autres, plus fines, identiques à des soies ou à des poils; d'autres sont cornées ou écailleuses, etc. Les plumes d'ornement ont une variété de formes très grande. - Développement des plumes. - I et II, les deux premières phases. - III, un duvet. - IV, plume véritable. Les plumes ne sont pas insérées également sur toutes les parties du corps. Elles sont disposées à intervalles réguliers, suivant des lignes longitudinales, parallèles à la colonne vertébrale comme des arbres le long d'une allée, et c'est en s'imbriquant de haut en bas et d'avant en arrière qu'elles arrivent à recouvrir le corps tout entier. Le milieu du ventre est toujours dépourvu de plumes ce sont les plumes latérales qui le recouvrent. Cette disposition en lignes longitudinales est facile à étudier sur un oiseau plumé, les follicules restant béants après l'arrachement des plumes. On connaît l'extrême variété de couleurs que présente le plumage des Oiseaux, au moins chez les Passereaux, les Grimpeurs (Pics, Perroquets, etc.) et les Pigeons et dans les régions intertropicales. Sous ce rapport, la plume est supérieure au poil des Mammifères. Les couleurs vives et tranchées, le rouge pur, le jaune, le bleu, le vert, le violet et toutes les nuances intermédiaires, se rencontrent chez les Oiseaux; les Insectes et peut-être les Poissons sont les deux seules classes qui puissent leur être comparées pour la variété des teintes. En général, ce sont surtout les mâles qui présentent ces couleurs vives : les femelles sont moins parées, aussi bien sous le rapport des couleurs que par le développement des plumes d'ornement (Paon, Faisan, Paradisiers); celles-ci caractérisent exclusivement le sexe mâle. Les Rapaces, les Echassiers, les Gallinacés ont d'ordinaire des couleurs plus atténuées et qui rappellent celles des Mammifères. D'une façon générale, on peut dire que les Oiseaux qui vivent à terre ont des couleurs ternes; ceux qui vivent sur les arbres ont des couleurs vives et tranchées. Les plumes à reflets métalliques sont aussi très répandues chez les Oiseaux, mais presque exclusivement chez les mâles. On a longtemps discuté sur la nature de ces couleurs changeantes qui donnent tant d'éclat aux Oiseaux-Mouches (Colibris) et aux Paradisiers. On sait aujourd'hui que cet effet est dû à un phénomène d'irisation ou d'interférences, c.-à-d., suivant la définition des physiciens, à un effet d'optique produit par les inégalités de réflexion d'un corps à surface striée. Examinées au microscope, les plumes à éclat métallique se montrent uniformément noires : mais Heusinger a remarqué le premier que leurs barbes présentent de petites dépressions régulières dont le fond est poli et qui agissent comme autant de miroirs pour refléter la lumière; l'effet est donc analogue à celui qui se produit dans l'arc-en-ciel et dans les lames de mica suivant leur épaisseur et l'incidence des rayons lumineux. (A.E. Brehm). Oeuf •Chambre à air - un espace vide placé à la grande fin de l'oeuf; il est entre les membranes de coquille intérieures et extérieures •Chalaze - une reliure en spirale, semblable à la corde qui ancre le jaune dans le blanc d'oeuf épais. Il y a deux chalazes mettant à l'ancre chaque jaune; un sur le sommet et un sur le fond (bas) •Germe - une petite tache, circulaire, blanche (2-3 millimètres à travers) sur la surface du jaune; il correspond à l'endroit où le sperme entre dans l'oeuf. Le noyau de l'oeuf est dans le blastodisc •Membrane intérieure - la membrane mince placée entre la membrane de coquille extérieure et l'albumine •Membrane extérieure - la membrane mince placée juste à l'intérieur de la coquille •Coquille - la couche dure, protectrice de l'oeuf. C'est semi-perméable; il laisse l'échange du gaz arriver, mais empêche d'autres substances d'entrer à l'oeuf. La coquille est faite de carbonate de calcium •Albumine dense - la partie filandreuse du blanc d'oeuf (l'albumine) placée le plus proche le jaune •Albumine externe - la partie aqueuse du blanc d'oeuf (albumine) placée le plus loin du jaune •La membrane vitelline - la membrane qui entoure le jaune •Jaune - la partie jaune, intérieure de l'oeuf où l'embryon se formera. Le jaune contient l'alimentation qui nourrira l'embryon comme il grandit •*ALBUMEN - substance organique protéique, visqueuse à l’état pur, soluble dans l’eau, coagulable par la chaleur contenue dans le blanc de l’œuf Embryon & oeuf •Chambre à air - un espace dans le coin de l'oeuf, entre les membranes de coquille intérieures et extérieures. •Albumine - le blanc d'oeuf. Il fournit la protéine et l'eau pour l'embryon et le protège de micro organismes. •Allantoide - un sac qui tient un peu de perte (déchets) de l'embryon. Il est attaché à l'embryon près des pieds. •Amnion - une membrane qui entoure l'embryon, le protégeant de la déshydratation (perte d'eau) et le choc. •Coquille d'oeuf - la couche dure, protectrice de l'oeuf. C'est semi-perméable; il laisse l'échange du gaz arriver, mais empêche d'autres substances d'entrer à l'oeuf. Il est fait de carbonate de calcium. •Embryon - le poussin se développant à l'intérieur de l'oeuf. •Oeil - grand et en vue sur la tête. •Membrane intérieure - la membrane mince placée entre la membrane de coquille extérieure et l'albumine. •Pied - un des membres inférieurs du poussin. •Membrane extérieure - la membrane mince placée juste à l'intérieur de la coquille. •Queue - placée à la fin lointaine de l'embryon. •Aile - un des membres supérieurs du poussin. •Jaune - la partie jaune de l'oeuf; il contient la nourriture (l'alimentation) pour l'embryon. •*ALBUMEN : Tissu riche en réserves nutritives. •*AMNIOS : Annexe embryonnaire à rôle protecteur. •*ALLANTOIDE : Annexe embryonnaire à rôle nourricier. EMBRYON SEUL •Allantoide - un grand sac qui tient un peu de perte (déchêts) de l'embryon. Il est placé près de la fin lointaine de l'embryon, près des embryons de jambe. •Cerveau - le développement du cerveau à ce moment prend presque toute la surface disponible dans la tête. •Oeil - à ce point dans le développement, l'oeil consiste en une lentille et est placée près du cerveau. •Coeur - le développement du coeur est au dessus des embryons d'aile et au-dessous la tête. •Embryon de jambe - le début du développement des pieds est les petites bosses de tissu placées juste au-dessus l'embryon de queue. •Moelle épinière - la moelle épinière se développant passe dans la longueur de l'embryon, du cerveau à la queue. •Embryon de queue - le début du développement de la queue est placé à la fin lointaine de l'embryon. •Embryon d'aile - le début du développement des ailes est les petites bosses de tissu placé au milieu de la section de l'embryon liens http://www.pluri-ailes.com/test/page.php?url=pg_anatomie_oiseau http://www.cosmovisions.com/oiseauxAnatomie.htm info glané ici et la sur le net
  9. il y a une photo dans la stars c lui, apparament c une taille tres legere
  10. voici la liste des plantes fruit arbre non toxique ( a completer ) liste faite d'apres des recherche sur differant forum et site sur les perroquets ARBRES : Les épiceas Les pins Le charme Sapin Albizzia Aralia Bouleau Gommier Hêtre Caoutchouc Frêne Mélèze Magnolia Pommier (fruits) Faux Hêtre Sapin Peuplier Saule Arbre ombrelle Orme ARBUSTES : Rosier Genêt Magnolia Abélia Ananas commun Aralia Arbousier Nolina Bougainvillié Bégonia Epine-vinette Bougainvillié Camélia Carissa Croton panaché Cornouiller Dahlia Olivier de Bohême Gardenia Photinia arbustifolia Ketmie rose Impatiente ou balsamine Nandina Andromède Buisson ardent Rhaphiolepsis Rosier Sureau Lilas commun PLANTES VIVACES: Papillaire (fougère) Aneth odorant Fougère Aphèlandre Aralia Grappe d'ours Arctotis Asperge Aspidistra Fougère Calament Souci des jardins Centaurée bleuet ou barbe bleue Céraiste Camomille romaine Chlorophytum Chicorée sauvage ou endive Cirsium Coleus Echevéria Eugénia Fittonia Gypsophile brouillard Hémérocalle Irésine Lysimaque Maranta Mélique Menthe Menthe Fougère Fougère Pépéromia Pétunia Plante alluminium Fougère Plectrante Raphiolépsis Ruellia Violette africaine Orpin Joubarbe Séneçon Sinningia Mourron des oiseaux Consoude officinalis Roses et oeillet d'inde Pissenlit Tradescantia Grande capucine Pensées et voilettes PLANTES GRIMPANTES: Vigne Vigne Gynura Hoya Kalanchoe Chèvrefeuille Passiflore bleue Trachelospermum BULBES: Ail Lis PALMIERS: Aloés Nolina Eventail Cordyline Dragonnier Palmier dattier Yucca CACTEES: Cactus Cactus crabe BAIES COMESTIBLES le pyracantha (pyracantha) => baies, feuillage, bois non toxiques le cotonéaster (cotoneaster) =>baies, feuillage, bois non toxiques l'argousier (hippophae rhamnoides) => baies, feuillage, bois non toxiques l'églantier (rosa canina) => baies, feuillage, bois non toxiques l'éléanus (eleagnus ebbingei) => baies, feuillage, bois non toxiques le sureau (sambucus) => baies, feuillage, bois non toxiques (baies mûres uniquement) le mahonia (mahonia aquifolium) => baies, feuillage, bois non toxiques le sorbier des oiseleurs (sorbus aucuparia) =>baies, feuillage, bois non toxiques l'aronia (aronia melanocarpa, a. prunifolia, a. arbutifolia) => baies, feuillage, bois non toxiques le rosier rugueux (rosa rugosa) => baies, feuillage, bois non toxiques pommiers nains (malus pumila) => baies, feuillage, bois non toxiques les groseilliers (ribes sativum) => baies, feuillage, bois non toxiques les néfliers (mespilus germanica, eriobotrya japonica) => baies, feuillage, bois non toxiques (fruits blet seulement [mûre après un coup de gel !!]) les ronces (rubus fructicosus) =>baies, feuillage, bois non toxiques le buddleia (buddleja) => baies, feuillage, bois non toxiques (appelé arbre a papillons) l'aubépine (crataegus oxyacantha) =>baies, feuillage, bois non toxiques l'amélanchier du canada (amelanchier canadensis) => baies comestibles, feuillage et bois toxiques les viornes (viburnum opulus, v. trilobum, v. edule) => baies, feuillage, bois non toxiques => feuilles et fruits purgatifs et vomitifs) FRUITS ET LEGUMES: noix de coco acerola grenade Pissenlit Epinard Persil ( certain dise comestible d'autre toxique donc a vous de voir) Carotte Mâche Oseille Bette Potiron Cerfeuil Endive Abricot Cresson Fenouil Scarole Poivron Brocoli Estragon Céleri Melon Tomate Asperge Chicorée Frisée Pêche concombre Piment vert Piment rouge Jalapeno Courges Navet Brocolis Patate douce Ananas Banane Mangue Orange Papaye Cantaloup Pomme la pastèque Kiwi Fraise Citrouille le brocoli la laitue romaine les pois verts les asperges les choux de Bruxelles bio ou du jardin c beaucoup mieux Cereales : les pâtes ,le riz,le blé elbly, le boulghour ,le quinoa ,la semoule de blé divers : canne a sucre oeufs avec coquille vers de farine de temp en temp viande bien cuite non grasse de temp en temp poisson de temp en temp os ( pour le calcium remplace l'os de seche ou le bloc minerale) os de seche colorant alimentaire fromage au lait cuit de temp en temp et en petite dose ( c marque sur les boites) jabon ou tranche de blanc de poulet croquette pour chien / chat 1 fois par semaine en cas de mue, de croissance, apres maladie ca leur apporte des proteine en masse le tout sans sel sans sucre sans sauces bien sur
  11. j'ai mon gris depuis seulement 1 mois donc je peut pas te repondre j'ai aussi 2 grande perruche et elles c 2 fois dans l'année
  12. bonjour, tu ne va pas avoir 36 solutions il n'y en a qu'une attendre que sa repouse et bien faire attention quand elle est en liberté qu'elle ne se blaise pas . tu a differante taille d'aile -la plus barbare consiste a tailler tellement les ailes que l'oiseau ne peut plus du tout voler - tu a celle qui consiste a ne tailler qu'une aile c'elle la est terrible l'oiseau ne peut presque pas voler et en plus il est desequilibré et c le crash assurer en generale il ne peut pas aller tout droit donc mefiance. - apres tu a la taille des 2 ailes mais legere c a dire que ton oiseau vole et va ou il veut mais il doit faire de super efforts pour aller tres haut etvoler longtemp il se fatiguera plus vite ( pour moi si ont veut absolument tailler les ailes c la meilleur des solution car ton oiseau peut s'enfuire face au danger et se deplacer par contre en cas d'evasion tu a plus de chance de pouvoir le recuperer si tu le quitte pas des yeux car il va vite etre fatigué). mais que se sois une ou l'autre tu n'a pas le choix faut attendre la repouse et faire attention a lui quand il sort de sa cage.
  13. pour l'abricotier c l' ecorce apparament tout les pepins contiene du cyanure mais en tres faible dose rien a craindre pour toi ou ta boulle de plume il faudrait que tu en mange des kg d'un coup pour que ca face effet idem pour ton perrok sauf que lui il lui en faudrait beaucoup moins en quantité mais assez quand meme pour le rendre malade avant d'indigestion lol. a eviter quand meme, disont que si tu les retires c mieux que de les laisser mais si il en mange c pas grave non plus
  14. le grillage me parait un peut faible pour un perroquet en plus je connait bien l'inox je travail avec, a 155 euro a mon avis tu n'a que le cadre en inox le grillage doit etre en fer banal. pour moi c pas un bon plant
  15. Voici une liste de plantes toxiques pour toutes nos amies les perroquets en particuliers Nom commun : abrus à chapelet aconit napel agripaume cardiaque ail ail du Cauada alkékenge aloès alpiste roseau amarante à racine rouge amarante fausse-blite amarante hybride amaryllis amaryllis belladone amélanchier à feuilles d'aulne Amsinckia Anthurium apocyn à feuilles d'androsème apocyn chanvrin arbre ombrelle arum vénéneux asaret du Canada asc1épiade de Syrie asc1épiade verticillée asiminier trilobé astragale du Canada astragale astragale fondu astragale prostré Astragalus ( adsurgens Astragalus (. lentiginosus) auriole avocatier avoine azalée blanche baptisie leucanthe Nom scientif: Abrus precatorius Aconitum napel/us Leonurus cardiaca Allium sativum Allium canadense Physalis alkekengi Aloe barbadensis Phalaris arundinacea Amaranthus retroflexus Amaranthus blitoides Amaranthus hybridus Amaryllis vittata Amaryllis bel/adonna Amelanchier alnifolia Amsinckia intermedia Anthurium andraeanum Apocynum androsaemifolium Apocynum cannabinum Brassaia actinophyl/a DiefJenbachia amoena Asarum canadense Asimina syriaca Asclepias vertillata Asimina trilopa Astragalus canadensis Astragalus bisulcatus Astragalus miser Astragalus adeugens Astragalus lentiginosus Daphne laureola Persea americana A vena sativa Rhododendron albiflorum Baptisia leucantha barbarée vulgaire bassia à feuilles d'hysope belle asclépiade berce du Caucase bigelovie puante bois d'arc cactus candélabre cagarrmo caladium calla des marais cardinale bleue carotte à Moreau centaurée de Russie centaurée du solstice Ceratocephalus cerisier d'amour cerisier de Pennsylvanie cerisier de Virginie cerisier tardif çhanvre chénopode blanc chêne blanc chêne noir chêne rouge chèvrefeuille à mouches chèvrefeuille de tartarie chicot du Canada chou puant chou sauvage chrysanthème ciboulette cicutaire du nord cicutaire pourpre cigüe maculée clajeux clivies colchigue d'automne consoude âpre consoude officinale coqueretet corne de cerf couronne d'épines croton ou codier cyclamen de Perse Barbarea vulgaris Bassia hyssopifolia Asclepias speciosa Heracleum mantegazzianum Chrysothamnus nauseosus Maclura pomifera Euphorbia lactea Euphorbia lathyris Caladium bicolor Calla palustris Lobelia siphilitica Cicuta maculata Centaurea repens Centaurea solstitialis Ceratocephalus testiculatus Solanum pseudocapsicum Prunus pensylvanica Prunus virginiana Prunus serotina Cannabis sativa Chenopodium album Quercus alba Quercus velutina Quercus rubra Lonicera xylosteum Lonicera tatarica Gymnocladus dioicus Symplocarpus foetidus Brassica oleracea Chrysanthemum indicum Allium schoenoprasum Cicuta virosa Cicuta douglasii Conium maculatum Iris versicolor coloquintes Clivia miniata Colchicum autumnale Symphytum asperum Symphytum officinale Physalis peruviana Aloe arborescens Euphorbia milii Codiaeum variegatum Cyclamen persicum cynoglosse officinal~ cypripède acaule cypripède royal çypripède soulier cytise dame d'onze heures daphné ~amélée daphné jolibois Delphinium menziesii Delphinium dicentre à capuchon dicentre du Canada dictame Dieffenbachia dieffenbachia dieffenbachia tachetée dielytra à belles fleurs digitale p-ourpre dirca des marais érable rou~ eupatoire rugueuse euphorbe cyprès euphorbe des iardins euhorbe ésule euphorbe effilée euphorbe réveille-matin fausse herbe à poux fougère d'aigle frêne puant fusain fusain d'Europe ginkgo glorieuse du Malabar glycérie géante glycine du Japon graines à chapelet grande chélidoine grande oseille gui de chêne gutierrezie faux-sarothra hélénie automnale hélénie nudiflore hélianthe annuel héliotrope obové de Curaçao herbe à la puce Cynoglossum officinale Cypripedium acaule Cypripedium reginae Cypripedium calceolus Laburnum anagyroides Ornithogalum umbellatum Daphne cneorum Daphne mezereum Delphinium menziesii Dicentra cucullaria Dicentra canadensis Dictamnus albus Dieffenbachia seguine Dieffènbachia bausei Dieffènbachia maculata Dicentra formosa Digitalis purpurea Dirca palustris Acer rubrum Eupatorium rugosum Euphorbia cyparissias Euphorbia peplus Euphorbia esula Euphorbia tirucalli Euphorbia helioscopia Iva xanthifolia Pteridium aquilinum Ailanthus altissima Euonymus atropurpureus Euonymus europaeus Ginkgo biloba Gloriosa superba Glyceria grandis Wisteria floribunda Caulophyllum thalictroides Chelidonium majus Rumex acetosa Phoradendron flavescens Gutierrezia sarothrae Helenium autumnale Helenium flexuosum Helianthus annuus Heliotropium curassavicum Rhus radicans hortensia houblon houx commun houx d'Amérique hyménoxys de Richardson if de l'Angleterre if du Canada if du Japon indigo sauvage iris de marais jacinthe des bois jonquille jusquiame noire Kalanchoe kalmia à feuilles d'andromède kalmia à feuilles étroites kochia à balais laitue scariole lampourde glouteron Lantana laportéa du Canada laurier rose lentil d'Espagne lierre commun lierre terrestre linaire vulgaire lis des Incas liseron lobé lie du cardinal lobé lie gonflée lupin argenté lupin de Burke lupin de polyphylle lupin soyeux Lupinus luzerne manguier marronnier marronnier à fleurs rouges mélilot blanc mélilot jaune menisperme du canada menziézie ferrugineuse mille-nertuis perforé Hydrangea macrophylla Humulus lupulus flex aquifolium llex opaca Hymenoxys richardsonii Taxus baccata Taxus canadensis Taxus cuspidata Baptisia tinctoria Iris pseudacorus Hyacinthoides nonscripta Narcissus pseudonarcissus Hyoscyamus niger Kalanchoe daigremontiana Kalmia polifolia Kalmia angustifolia Kochia scoparia Lactuca scariola Xanthium strumarium Lantana camara Laportea canadensis Nerium oleander Lathyrus sativus Hedera helix Glechoma hederacea Linaria vulgaris Alstroemeria ligtu Ipomoea tricolor Lobelia cardinalis Lobelia inflata Lupinus argenteus Lupinus burkei Lupinus polyphyllus Lupinus sericeus Lupinus pusil/us Medicago sativa Mangifera indica Aesculus hippocastanum Aesculus glabra Meli/otus alba Meli/otus officinalis Menispermum canadense Menziesia ferruginea Hypericum perforatum radis sauvage raifort renoncule bulbeuse renoncule scélérate rhododendron de Californie rhubarbe ricin robinier faux -acacia rudbeckie hérissée rudbeckie laciniée rumex veiné sarcobatus venniculé sarrasim commun seille de Sibérie séneçon iacobée séneçon vulgaire Senecio sorgho sorgho d'Alep sorgho du Soudan stramoine commune stramoine parfumée Suckleya sumac yernis sumac de l'Ouest sureau blanc sureau noir symphorine à grappes tabac tabouret des champs tanaisie vulgaire Thennopsis trèfle alsike trèfle blanc trèfJe rouge troène commun trompette dorée troscart des marais troscart maritime tulipe varaire vert velar fause giroflée verge d'or velouté~ vesce cyltivée Raphanus raphanistrum Armoracia rustieana Ranuneulus bulbosus Ranuneulus seeleratus Rhododendron maerophyllum Rheum rhapontieum Ricinus eommunis Robinia pseudoaeacia Rudbeekia serotina Rudbeekia laciniata Rumex venosus Sareobatus vermieulatus Fagopyrum eseulentum Seilla siberiea Senecio jaeobaea Senecio vulgaris Senecio integerrimus Sorghum bieolor Sorghum halepense Sorghum sudanense Datura stramonium Datura innoxia Suekleyasuekleyana Rhus vernix Rhus diversi/oba Sambueus eanadensis Sambueus nigra Symphoriearpos albus Nieotiana tabaeum Thlaspi arvense Tanaeetum vulgare Thermopsis rhombifolia Trifolium hybridum Trifolium repens Trifolium pratense Ligustrum vulgare Allamanda eathartiea Trigloehin palustre Trigloehin maritima Tulipa gesneriana Veratrum viride Erysimum eheiranthoides Solidago mollis Vicia sativa morelle douce-amère morelle noire mouron rouge moutarde de l'Inde moutarde des champs moutarde des oiseaux moutarde tanaisie verte muguet narcisse navette nerprun bourdaine nerprun commun nielle noyer noir obier oIgnon onoclée sensible ortie dioïque oxytrope de Lambert Oxytrois panais sauvage pavot coquelicot pavot d'Islande pavot d'Orient pavot somnifère perce-neIge petite oseille petit-prêcheur phacélia de Californie Philodendron cordatum philodendron monstéra Philodendron (scandens) phytolaque d'Amérique pied d'alouette bicolore pied d'alouette glauque pin ponderosa podophylle p-elté 129insettia pois de senteur pomme de terre prêle des cham~ prêle des marais primula radis Solanum dulcamara Solanum nigrum Anagallis arvensis Brassica juncea Sinapis arvensis Brassica campestris Descurainia pinnata Convallaria majalis Narcissus poeticus Brassica napus Rhamnus frangula Rhamnus cathartica Agrostemma githago Juglans nigra Viburnum opulus Allium cepa Onoc/ea sensibilis Urtica dioica aOxytropis lambertii Oxytropis sericea Pastinaca sativa Papaver rhoeas Papaver nudicaule Papaver orientale Papaver somniferum Galanthus nivalis Rumex acetosella Arisaema triphyllum Phacelia campanularia Philodendron cordatum Monstera deliciosa Philodendron scandens Phytolacca americana Delphinium bicolor Delphinium glaucum Pinus ponderosa Podophyllum peltatum Euphorbia pulcherrima Lathyrus odoratus Solanum tuberosum Equisetum arvense Equisetum palustre Primula obconica Raphanus sativu vesce fève vesce velue vigne vierge vipérine zigadène élégant zigadène vénéneux Vicia faba Vicia vil/osa P arthenocissus quinquefolia Echium vulgare Zigadenus elegans Zigadenus venenosus plante d'interieure: ( a completer) spatiphilium Voici donc la fin de cette liste qui vous sera utile Aliments interdits pour votre perroquets ]Pour la bonne santé de nos peroquets, certains aliments ne sont pas recommandés , parfois mêmes interdits. En voici une petite liste: les interdits:* le chocolat cars très toxique et peut faire mourir votre perroquet même en petite quantité l'Avocat: il est lui aussi très toxique et mortel pour votre oiseau. Les noyaux et pépins: a évité car les noyaux de cerises, d'abricots et les pépins de pomme sont toxiques et peuvent dans certains cars entrainer la mort de votre perroquet ( présence de cyanure en petite quantités) Le lait: car la lactose n'est pas digéré par votre perroquet ( qui n'a pas de vésiculbiliaire ) il peut attraper de violentes diarrées et provoquer la mort. (( le sable ou grit : pour certain interdit pour d'autre non car le perroquet décortique les graines et le sable ou grit pourrait bloquer le système digestif ) le persil: qui est un poison mortel pour nos amis les perroquets la rubarbe: qui aussi est un poison mortel pour le perroquet. ATTENTION: certains arbres fruitiers sont toxiques. il y à : l'abricotier, le brugonier, le cerisier , le prunier et le pêcher. ATTENTION aux plantes d'appartements très toxiques pour vos oiseaux. (*) j' ai établis une liste de plantes sans risque pour vos oiseaux ( intérieure et extérieure ) dans deux autres pages en complément, Ceux à éviter : Le sucre car il n'a aucune necessité a votre perroquet a par un excès de calories la Laitue: car elle risque de provoquer des diarrhées Le sel car il n'est pas toléré par votre perroquet l'eau impropre il est indispensable de fournir chaque jour de l'eau de bonne qualité a votre perroquet ( sans nitrate., clore.....) ( je donne de l'eau de source en bouteille ) Danger - Poison : Plantes toxiques : ( trouvées fréquements dans les jardins ou balcons ) = Bobinier ( acacia ) , le lierre , l'if , le genêt , la cytise , les colchiques , la jacinthe , le thoène, les narcisses , le laurier rose , le fusain , le rhododendron , les perces neige, le bois gentil ( daphné ) , le belladone , le chevrefeuille , les solanacées . liens : http://amazonneamazonica.skyrock.com/1510794864-LES-ALIMENTS-PLANTES-FRUITS-ETC-TOXIQUES-POUR-PERROQUETS.html
  16. apres recherceh c un poison pour nos boulles de plumes
  17. dit moi nos grisous peuvent ils manger ca, j'ai oublier le nom
  18. oui il la chante trop bien. sushi est resté scotché devant la video du cacatoes elle ma fait trop rire
  19. c marrant elle ne baragouine que lorsqu'elle est sur la porte de la cuisine, ailleur pas un bruit
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