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draggonnia1

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  1. Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Classe Aves Ordre Psittaciformes Famille Psittacidae Sous-famille Psittacinae Genre Poicephalus Le Perroquet youyou (Poicephalus senegalus) est une petite espèce de perroquet (20 à 26 cm) africain appartenant au genre Poicephalus, plus communément appelé Youyou du Sénégal, arborant un plumage coloré. La tête est grise (les joues souvent argentées), le corps est vert, les ailes et la queue plus ternes et le ventre jaune, orange ou rouge, selon les trois sous-espèces différentes : Poicephalus s. senegalus à ventre jaune, le plus répandu ; Poicephalus s. mesotypus à ventre orange ; Poicephalus s. versteri à ventre rouge. Les hybrides entre les sous-espèces sont aussi assez fréquents. Bien que seul le test d'ADN soit fiable à 100 %, on peut parfois différencier le mâle de la femelle en regardant bien la couleur du dessous de la queue : entièrement jaune : un mâle, entièrement vert, vert et jaune : une femelle. Bien qu'originaire du centre-ouest de l'Afrique dans la bande sub-saharienne s'étendant du Sénégal au Tchad, le Youyou du Sénégal donne lieu à des observations de plus en plus fréquentes à Bruxelles (Belgique) où il n'est pas impossible que l'espèce finisse par s'implanter en tant que nicheuse[2]. Le climat urbain de Barcelone en Espagne a également permis la prolifération de cette espèce qui niche dans l'ensemble des nombreux palmiers datiers de l'agglomération suscitant d'ailleurs des nuisances sonores importantes. Les nombreux parcs de la ville permettent en outre d'observer facilement des groupes de plusieurs dizaines de youyou trouvant dans l'environnement de quoi se nourrir. D'autres observations ont également eu lieu dans les différentes villes du littoral espagnol sans pour autant égaler la forte population de Barcelone. HabitatLe Perroquet du Sénégal peuple les savanes arborées et arides ainsi que les forêts ouvertes et riches en baobabs (Adansonia digitata). ComportementLe Perroquet youyou vit en couples ou en petites bandes de 10 à 20 individus. Elles effectuent parfois de petites migrations locales orientées nord-sud pendant les saisons sèches. AlimentationCet oiseau se nourrit de graines,de légumes de fruits, de pousses et de bourgeons. ReproductionLa période de reproduction du Youyou du Sénégal coïncide avec la fin de la grande saison des pluies et s'étend de septembre à novembre. Cet oiseau construit généralement son nid dans la cavité d'un baobab. La femelle pond 2 ou 3 oeufs qu'elle couve pendant 28 jours. Les jeunes quittent le nid entre 9 et 10 semaines[3]. Captivité En captivité, ce sont des petits perroquets drôles, affectueux et attachants s'ils ont été élevés à la main et bien sociabilisés. Très sélectifs, ils ont tendance à choisir un seul compagnon dans la famille et devenir agressifs envers les autres membres. La reproduction est assez facile mais peu pratiquée en raison de la présence trop fréquente d'oiseaux solitaires ou d'origine sauvage sources wikipedia
  2. draggonnia1

    Ara de spix

    Règne Animalia Embranchement Chordata Sous-embr. Vertebrata Classe Aves Ordre Psittaciformes Famille Psittacidae Sous-famille Psittacinae L’Ara de Spix (Cyanopsitta spixii) est un psittacidé de taille moyenne, entièrement bleu, légèrement verdâtre sur la poitrine et le ventre. La tête est gris clair teinté de bleu et le bec noirâtre. Bien que totalement protégé par la législation brésilienne depuis 1967, l’Ara de Spix n’a été redécouvert dans la nature qu’en 1985, quand 5 oiseaux (dont 2 couples) furent localisés dans le Nord de l’État de Bahia. Des piégeurs avaient été actifs dans la région pendant une quinzaine d’années, capturant au minimum 23 oiseaux, voire 40, et il semble qu’en 1988 les 5 derniers avaient été braconnés. Cependant, un dernier survivant sauvage fut localisé en 1990. On se rendit compte alors que, si le piégeage était responsable de la raréfaction récente de l’espèce, sa cause essentielle était la destruction des forêts constituant son habitat de nidification, dont il ne subsisterait plus que 30 km². En 1990, les autorités brésiliennes de conservation de la nature ont créé un Comité permanent pour la restauration de l’Ara de Spix, qui rassemble diverses parties intéressées, dont la plupart des détenteurs d’oiseaux captifs, ainsi que des représentants d’organismes internationaux de conservation de la nature. Des essais ont été tentés afin d’améliorer les résultats de la reproduction en captivité, ce qui a porté à plus de 30 individus le nombre d’aras captifs ; mais la plupart de ceux-ci sont très apparentés, ce qui pourrait entraîner des problèmes de consanguinité. En outre, se pose la question de savoir si des oiseaux nés en captivité ont la capacité de servir réellement les intérêts de l’espèce. En effet, chez les aras, les relations avec leur milieu sont basées sur l’apprentissage et la transmission des traditions. Il leur faut des années pour découvrir les secrets de leur environnement, et il semble peu probable que des oiseaux nés en captivité et appartenant à une espèce éteinte à l’état sauvage seraient aptes, en partant de zéro, à retrouver les informations dont ils ont besoin. En 1995, après analyse des plumes de l’Ara de Spix encore en liberté, réalisée dans le but d’en confirmer le sexe (mâle), une femelle captive mais d’origine sauvage fut relâchée pour qu’elle le rejoigne. Cependant, le mâle sauvage s’était apparié avec un Ara d'Illiger solitaire, et bien que la femelle relâchée ait rencontré le mâle, ils ne formèrent pas de couple, peut-être à cause de l’Ara d’Illiger, et par conséquent la femelle disparut. Quant au mâle, il n’a plus été revu depuis l'an 2000 et il est probablement mort ; selon l'UICN, l’espèce est donc désormais probablement éteinte dans la nature, et ne subsiste plus qu’en captivité. L’Ara de Spix figure à l’annexe I de la CITES depuis sa création (cette annexe I regroupe les espèces dont le statut est si défavorable qu’aucune forme de commerce n’est acceptable) ; la possession privée de cet ara a même été prohibée par la loi brésilienne depuis les années 1960, ce qui n’a pas empêché les derniers spécimens d’aboutir entre les mains des plus riches collectionneurs du monde. Aucune législation n’a pu par elle-même aider une espèce aussi convoitée. Les quelques dizaines d'individus vivant en captivité sont désormais présents au Qatar, aux îles Canaries (Espagne), en Allemagne et au Brésil même. Une coordination est actuellement mise en place pour reconstituer une population plus importante par échange des individus. source : Wikipedia voici un reportage qui parle du ara de spix
  3. draggonnia1

    mes cacatos albas

    ils sont magnifiques j adore :flower:
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