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noelle08

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Tout ce qui a été posté par noelle08

  1. je suppose que tu peux mettre une annonce sur le forum actions tortues?
  2. C'est fantastique, je me réjouis de suivre l'évolution
  3. Je pense qu'elle ou il le fait exprès de les éjecter. J'ai ôté le filet car pas assez tendu et peur qu'une aile ou une patte se coince. donc j'ai vérifié le soir, la femelle est bien sur le nid. J'ai prévu un système pour demain car je crains que les éjections continuent. J'ai tendu le filet sur un modèle de nid, avec une élastique. Comme il est bien tendu et les mailles ouvertes au maximum, les petits auront plus facile de glisser leur tête afin d'être nourri..
  4. en tout j'en ai déjà rammasser 4 fois aujourd'hui, 2 fois hier ...malgré le sparadrap sur la bague
  5. j'espère qu'ils ne vont pas s'étrangler j'ai peu de solutions devant moi
  6. volontairement, 4 fois déjà aujourd'hui (sûrement à cause de la bague, mais je n'ai pas le choix. Sur un autre forum on m'a conseillé l'installation d'un filet, ce que j'ai fait, nous verrons le résultats. En principe les parents peuvent continuer à nourri et n'arrivent plus à les éjecter j'ai pris un filet que l'on met pour protéger les arbustes contre les oiseaux. Est-ce que cela ira?
  7. C'est la 5ème fois que j'en ramasse un et que je le remets au nid. A première vue ils n'ont pas l'air en mauvaise santé. le mâle se montre fort présent et aide la femelle: Pourquoi? Un rejet des bagues ? Rejet du plus jeune?
  8. oui il est assez affaiblit les 3 autres çà va.
  9. Lors du baguage des oisillons, la femelle n'a apparemment pas accepté le baguage et àa éjecté 2 jeunes hors du nid? Je les ai remis, je verrai bien la suite
  10. Interdiction du purin d'ortie: ce n'est pas une blague? Sources: http://www.ecolopop.info/2006/09/interdiction-du-purin-dortie-ce-nest-pas-une-blague/625 On croit rêver. Nous apprenons ce matin qu’un décret a été publié le 1er juillet 2006. Son objectif : bannir le purin d’ortie, ni plus ni moins. Apparament, ce n’est pas une blague. L’affaire traine depuis 2002 : une action du directeur départemental de la répression des fraudes du Maine-et-Loire entrainait la mise hors la loi de la vente de purin d’orties ! Depuis juillet 2006, un décret a corsé l’affaire : il est maintenant interdit de communiquer sa recette ! Ce décrêt permet en effet de punir de 75000 euros d’amende » la divulgation » des recettes de produits naturels non-homologués. Objectif : obliger le consommateur à acheter de bons et légaux produits phytosanitaires. A quand l’interdiction du compost ? On pourrait en rire, si le sujet n’était pas réellement pris au sérieux par les services de l’Inspection Nationale des Enquêtes de Concurrence, de Consommation et de Répression des Fraudes et le Service Régional de la Protection des Végétaux de l’Ain. Ces deux services très amicaux se sont rendus chez un promoteur de techniques agricoles alternatives. L’association les Amis de l’Ortie a réagi, sous la plume de Bernard Bertrand, son porte parole. Nous publions ici sa lettre. Un chroniqueur horticole courageux s’insurgeait, sur France Inter, de la parution imminente d'un décret (prenant effet en date du 01 juillet 2006), qui l’empêcherait dorénavant de donner à ses auditeurs des recettes leur permettant de traiter naturellement leurs jardins et balcons. Interdit de dire que l’eau chaude est un bon désherbant pour les allées. Interdit de dire que de simples feuilles de fougère éloignent les chenilles des choux. Interdit de donner la recette séculaire d’un extrait d’ortie, appelé purin ! L’information paraissait si énorme que personne n’y a cru ! L’interdiction de fournir, par quelque moyen que ce soit, les recettes pour confectionner des produits naturels non-homologués, le simple fait d’en parler, avait beau être assortie d’une peine 2 ans de prison et 75000 euros d’amende, elle faisait sourire ! Et pourtant l’action menée vendredi dernier conjointement par les services de l’Inspection Nationale des Enquêtes de Concurrence, de Consommation et de Répression des Fraudes et le Service Régional de la Protection des Végétaux de l’Ain chez un promoteur de techniques agricoles alternatives marque un tournant nouveau dans ce que l’on appelle désormais la guerre de l’ortie ! L’intervention des services de l’état s’est conclue par la saisie de cours théoriques (quid de la liberté d’expression et d’enseignement ?), la profération de menaces non dissimulées et l’interdictions de pratiques aussi diverses et incongrues que celles d’aller récolter avec les stagiaires des plantes sauvages dans la nature ! Qu’on se le dise, il est donc bien désormais interdit de faire référence et de transmettre des savoirs et traditions populaires séculaires qui sont pourtant un inaliénable bien commun ! Voilà pourquoi l’Association des Amis de l’ortie souhaite interpeller les pouvoirs publics et sollicite pour cela le soutien des médias concerné par une telle confiscation de nos libertés fondamentales. Comment un décret pourrait-il amputer les citoyens d’un pays de leur mémoire collective ? En vertu de quel principe un décret prive-t-il le citoyen de ses droits démocratiques les plus élémentaires, à savoir celui d’expression, gravement menacé ici, mais aussi celui du choix de cultiver son jardin comme il l’entend ? C’est Voltaire qui doit se retourner dans sa tombe ? Qui a pu initier une telle ineptie législative qui prétend confisquer le savoir des anciens et prône l’inquisition contre les techniques alternatives et naturelles de production, qui jusqu’à preuve du contraire ne sont que bénéfique pour la santé publique ? Voilà quelques-unes des interrogations soulevées par l’intervention des pouvoirs publics jeudi dernier, qui a n’en pas douter sera la première d’une longue série, si une mobilisation rapide ne vient pas mettre un frein à cette nouvelle vague répressive. Bernard Bertrand, porte parole de l’association des Amis de l’ortie. Contact : bernard@terran.fr ou 06 33 11 02 08 Dominique Jeannot, président de l’association des Amis de l’Ortie Lien : éditions Terran (Fondée par Bernard Bertrand) Extrait de l’article de la loi d’application du décret : loi n° 2006-11 du 5 janvier 2006 d’orientation agricole. « Art. L. 253-1. – I. – Sont interdites la mise sur le marché, l’utilisation et la détention par l’utilisateur final des produits phytopharmaceutiques s’ils ne bénéficient pas d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation de distribution pour expérimentation délivrée dans les conditions prévues au présent chapitre. « L’utilisation des produits mentionnés au premier alinéa dans des conditions autres que celles prévues dans la décision d’autorisation est interdite. « II. – Au sens du présent chapitre, on entend par : « 1° Produits phytopharmaceutiques : les préparations contenant une ou plusieurs substances actives et les produits composés en tout ou partie d’organismes génétiquement modifiés présentés sous la forme dans laquelle ils sont livrés à l’utilisateur final, destinés à : « a) Protéger les végétaux ou produits végétaux contre tous les organismes nuisibles ou à prévenir leur action ; « b) Exercer une action sur les processus vitaux des végétaux, dans la mesure où il ne s’agit pas de substances nutritives ; « c) Assurer la conservation des produits végétaux, à l’exception des substances et produits faisant l’objet d’une réglementation communautaire particulière relative aux agents conservateurs ; « d) Détruire les végétaux indésirables ; « e) Détruire des parties de végétaux, freiner ou prévenir une croissance indésirable des végétaux ; « 2° Mise sur le marché : toute remise à titre onéreux ou gratuit autre qu’une remise pour stockage et expédition consécutive en dehors du territoire de la Communauté européenne. L’importation d’un produit phytopharmaceutique constitue une mise sur le marché. _________________
  11. Pourquoi un article aussi rébarbatif ? Parce que le mandarin est porteur d'espoir... c'est un des rares oiseaux à pouvoir apporter des réponses dans des maladies aussi dramatique que le PKS, autisme, etc...
  12. Je pense qu'il y en a 4 dans la mêlée, pas évident à voir, j'ai pas voulu trop déranger, mais demain il faudra commencer à compte, car il faudra impérativement baguer
  13. c'est un élevage délicat comme tous les indigènes, rien n'est acquis
  14. indélogeable ? Oui Allez pousse de là, que je voie.... :graff: . . . . . . . .. .. . . .. . . . . . .. . . . . . . .. . ... . YES YES YES
  15. et tu l'as bagué c'est génial, bonne continuation Valentin.
  16. Le séquençage du génome du mandarin. D’abord qu’est-ce qu’un génome ? Le génome est l'ensemble du matériel génétique d'un individu ou d'une espèce codé dans son ADN. Il contient en particulier toutes les séquences codantes (transcrites en ARN messagers, et traduites en protéines) et non-codantes (non transcrites, ou transcrites en ARN, mais non traduites). Le génome est souvent comparé à une encyclopédie dont les différents volumes seraient les chromosomes. Les gènes seraient les phrases contenues dans ces volumes et ces phrases seraient écrites dans un langage génétique Le séquençage de l'ADN, consiste à déterminer l'ordre d'enchaînement des nucléotides d’un fragment d’ADN donné La séquence d’ADN contient l’information nécessaire aux êtres vivants pour survivre et se reproduire. Déterminer cette séquence permet en médecine d’identifier, diagnostiquer et potentiellement trouver des traitements à des maladies génétiques. L’étude du séquençage du génome du mandarin pourrait permettre des avancées dans l’étude de l’apprentissage du langage de l’homme. Le diamant mandarin, est le deuxième « oiseau » qui livre son patrimoine, après le coq, mais le premier doté d’une « réelle » capacité de chant. C’est l’un des rares animaux qui vocalisent à apprendre de ses ainés (comme l’être humain). Le séquençage du génome du mandarin est une étude plus approfondie du génome impliqué dans l’apprentissage vocal, c’est-à-dire les voies par lesquelles ils sont régulés, étude réalisée par Richard Wilson. Lorsque le jeune mandarin, entend chanter son père pour la première fois, ces mélodies activent les réseaux dans le cerveau. 800 gènes sont mobilisés pour le chant. Le chant de l’oiseau déclenche le processus génétique. Le chant active les gènes qui vont produire de l’ARN « non codant » (acide ribonucléique). L’ARN « non codant » sont des molécules régulatrices importantes. L’ARN serait un élément moteur de l’apprentissage vocal. Lorsque le mandarin entend un air, il y a un gène correspondant dans le cerveau. Des études se poursuivent pour identifier des séquences génétiques dans le cerveau du diamant mandarin, pour détecter si certaines séquences sont interrompues : cela permettrait de grandes avancées scientifiques chez les personnes souffrant de troubles du langage (bégaiement, parkinson, autisme…). Sources : Wikipédia http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20100416.FAP8844/le-genome-du-diamant-mandarin-revele-certains-secrets-de-l-apprentissage-du-langage.html image: http://membres.multimania.fr/renejacquemet/actualites/geniegenetique.htm
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