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CKC1

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Tout ce qui a été posté par CKC1

  1. Même si ses origines font référence à ses qualités dans l'art de la chasse, le Cavalier King Charles se plaît aujourd'hui bien plus dans la peau de compagnon que dans celle de chasseur. Il est devenu l'archétype du chien de compagnie : à la fois calme, dévoué et attaché à ses maîtres. Il ne leur demande qu'une chose : passer du temps avec eux. Il préférera une place sur le canapé à son panier et on pourra lui faire confiance pour choisir le coin le plus confortable. Compagnon de toute la famille, il s'adapte à toutes les situations et se plaît aussi bien en appartement qu'à la campagne pourvu qu'on lui procure sa dose d'activité quotidienne. En effet, il reste un épagneul et doit pouvoir se dépenser. Ainsi, l'agility est un sport qui lui convient. Toujours de bonne humeur, il se montre particulièrement sociable. Pas très exubérant (cela dépend des personnalités des chiens comme de celles des maîtres), il est calme et doux. Il est très intelligent et attentif, il comprend pourquoi on le réprimande et exécute avec beaucoup d'attention les tours qu'on lui apprend. Il a cependant une tendance à accueillir les nouveaux venus par de joyeux aboiements (qui ne font peur à personne) mais qui sont destinés a un bon accueil.
  2. Désolé de cette confusion. Ca m'apprendra à faire plusieurs choses en même temps.
  3. Une fois de plus ça ne marche pas. Il faut donc utiliser l'autre hébergeur d'images que j'ai indiqué.
  4. Toujours cette histoire de câble USB manquant, non ?
  5. Tu sais tu as des gens qui te guident dans les clubs. Tu n'es pas livrée à toi même dans ce genre d'activité. Tu es aidé par un éducateur canin.
  6. Maître exceptionnel, je vais forcément répondre oui. Après, il faudrait demander confirmation à des gens.
  7. Je dois avouer que tu me poses une colle vabouba car je n'ai pas réfléchi à la question.
  8. C'est tout à fait possible vabouba, il suffit de bien préciser à la toiletteuse ce que tu veux qu'elle fasse comme coupe.
  9. La photo prise sur l'herbe est top. Tina prend vraiment la pose.
  10. Merci à vous, j'essaie de faire en sorte que ce forum soit un peu une bible sur le ckc.
  11. Ok on attend avec impatience de voir la photo après toilettage. Comme ça, je pourrais faire un comparaison avec Viennois car je le fais toiletter également.
  12. A parents exceptionnels, chien exceptionnel !!!!
  13. Jess, je pense que même à deux ans, il n'est pas trop tard pour Bianca pour faire de l'agility.
  14. La coprophagie Au sens étymologique du terme, la coprogphagie se définit comme l’ingestion (-phagie) d’excréments (copro-). Hormis le léchage normal des selles des jeunes chiots par leur mère qui permet un toilettage et une stimulation périnéale du réflexe de défécation, la coprophagie régulière est considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez les carnivores domestiques. Ce vice admet souvent des causes favorisantes qu’il convient d’explorer avant toute tentative de traitement diététique, médical ou comportemental. FACTEURS FAVORISANT LA COPROPHAGIE: En règle générale, un excrément dans lequel persistent des nutriments peu ou pas digérés (matières grasses, fibres musculaires, amidon) reste « appétissant » aussi bien pour l’excréteur que pour ses congénères. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas toujours rechercher la cause d’une coprophagie chez le mangeur mais parfois chez son colocataire… La persistance d’éléments non digérés dans les selles peut être liée aux origines suivantes : Parasitoses digestives: De nombreux parasites digestifs du chien (helminthes ou protozoaires) peuvent être à l’origine d’un phénomène de malabsorption-maldigestion chez le chien en perturbant l’assimilation glucidique, protéique ou lipidique de la ration : ascarides, ankylostomes, trichures et Giardia sont les principaux parasites digestifs fréquemment retrouvés lors de coproscopies parasitaires collectives effectuées dans les chenils confrontés à la coprophagie. La coproscopie parasitaire est donc l’examen à effectuer en priorité lors de coprophagie. Le mélange d’échantillons de selles provenant de plusieurs chiens permet d’augmenter les « chances » d’identifier le ou les parasites en cause. Notre bilan effectué sur l’année 1999 montre que 90 % des chenils confrontés à de la coprophagie ont présenté une coproscopie parasitaire collective positive à au moins un parasite digestif. Signalons également que ce trouble du comportement alimentaire participe à l’accomplissement des cycles parasitaires en chenil et donc à la contagion et à l’auto-entretien du cercle vicieux « maldigestion – coprophagie ». Troubles du comportement Compétition alimentaire Le fait de nourrir plusieurs chiens en même temps (chiens de meute par exemple) provoque une « concurrence alimentaire » (peur de manquer) qui peut entraîner non seulement une accélération de la vitesse d’ingestion des repas mais également une surconsommation. Cette dernière peut être seule à l’origine d’une accélération du transit digestif conduisant à une mauvaise assimilation des nutriments. Par voie de conséquence, certains éléments non digérés peuvent se retrouver intacts dans les selles qui présentent alors une appétibilité résiduelle. Ennui, claustration, stress Certains chiens particulièrement anxieux ou insuffisamment stimulés par leur environnement peuvent présenter, par exemple au cours d’un séjour en pension, un épisode transitoire de coprophagie. Le stress, qu’il soit lié aux conditions d’élevage ou à un événement extérieur (orage, circulation nocturne de renards errants etc.) peut également initier ce trouble de comportement qui, par imitation, se propage rapidement à tous les pensionnaires. Troubles hiérarchiques Les chiens dominés sont enclins à se rouler dans les excréments de chiens dominant à l’occasion, par exemple, d’une promenade en forêt, ceci afin de s’imprégner des messages chimiques (« phéromones ») qu’ils véhiculent. Ces mêmes individus sont également prédisposés à la coprophagie. Enfin, les réprimandes infligées par un propriétaire ou un éleveur à un chien à la suite d’un épisode de malpropreté, risquent d’inciter l’animal à faire disparaître ses méfaits par un comportement coprophage. Atavisme Certaines races rustiques comme les Beaucerons, les chiens de chasse ou les chiens Nordiques sont plus fréquemment atteints de déficits en amylases (enzymes digérant l’amidon) et donc plus volontiers coprophages que d’autres. Le chiens de ces races, lorsque toutes les autres causes de coprophagie auront été exclues, pourront bénéficier d’une ration restreinte en amidon ou ayant subi des traitements thermiques (cuisson) et/ou mécaniques (écrasement) améliorant sa digestibilité. Si les chiens de grandes races semblent prédisposés aux troubles de la digestion ou de l’assimilation (la longueur de leur tube digestif étant proportionnellement plus réduite que chez les chiens de petit format), les petites races de type Shih-Tzu, Lhassa-Apso, Cavalier King Charles, Pékinois, Caniche, Cocker présentent paradoxalement plus souvent de la coprophagie en collectivité. Déficits enzymatiques De nombreux déficits enzymatiques, qu’ils soient d’origine pancréatique, hépatique, biliaire ou encore intestinale, favorisent l’excrétion d’éléments non digérés dans les selles, les fermentations et putréfactions au niveau du côlon (à l’origine de borborygmes et de flatulences) et les proliférations bactériennes. Parmi ces déficits, l’insuffisance pancréatique exocrine congénitale (fréquente chez certains chiens de grandes races prédisposées comme les Bergers Allemands) ou acquise (à la suite d’une pancréatite aiguë par exemple) est certainement l’affection la plus répandue dans l’espèce canine. L’insuffisance pancréatique exocrine se traduit au plan clinique par une polyphagie (augmentation de l’appétit), un amaigrissement et l’émission fréquente de selles bouseuses, d’aspect gras, mastic et décoloré. Ces symptômes s’observent également lors d’infestation du duodénum par des parasites unicellulaires nommés Giardia qui perturbent l’activité des enzymes pancréatiques qui se déversent dans le duodénum. Mauvaise digestibilité de l’aliment Bien que rare dans nos régions, l’ingestion d’aliments peu digestibles de piètre qualité (affection appelée « generic dog food disease » par les anglo-saxons) conduit soit à un déséquilibre de la flore bactérienne du colon d’origine glucidique (céréales, fibres végétales) responsable de la production d’acides gras volatils par fermentation dans les matières fécales, soit à la production de déchets putrides par mauvaise digestion protéique (cas des aliments contenant du collagène mal cuit des tendons ou de la kératine de poils, de cuir, de cornes ou de plumes) (5). Bien que répugnantes pour l’homme, ces matières fécales altérées peuvent présenter une appétibilité résiduelle pour les chiens et donc inciter à la coprophagie. Carences vitaminiques Expérimentalement, la carence en vitamine B1 (Thiamine) commence par provoquer chez le jeune chien Beagle une baisse d’appétence, puis des retards de croissance. Dans une seconde phase, la carence plus prolongée se traduit par un amaigrissement et de la coprophagie. Enfin, le dernier stade de carence laisse apparaître des troubles nerveux et se termine par une mort subite (9). Notons que, dans ce cas, la coprophagie n’est pas, loin s’en faut, le premier symptôme à apparaître et que la carence en thiamine est exceptionnelle de nos jours compte tenu de son omniprésence à concentration variable dans les tissus animaux et végétaux. L’adjonction systématique de vitamines B aux rations alimentaires de chiens coprophages ne se justifie donc pas si ces derniers sont par ailleurs en bon état général, même si cet apport supplémentaire ne présente généralement aucun risque de toxicité et semble jouer un certain rôle répulsif en modifiant l’odeur des selles. Excrément d’animaux d’espèces différentes Une étude récente datant de 1998 (1) estime à 45 % la proportion de chiens sains qui consommeraient volontiers, s’ils en avaient l’occasion, des selles de … chats ! La consommation occasionnelle de selles de chats ne doit donc pas être considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez le chien. De même, l’ingestion de bouses de vaches ou de crottin de cheval par des chiens de ferme s’apparenterait plus à un comportement de pica qu’à une coprophagie vraie. RISQUES LIES AU COMPORTEMENT DE COPROPHAGIE La coprophagie présente peu de risques sanitaires chez le chien qui bénéficie d’une acidité gastrique capable de neutraliser la majorité des bactéries potentiellement pathogènes. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les toxi-infections alimentaires collectives sont exceptionnelles en chenil, contrairement aux risques rencontrés dans l’espèce humaine en restauration collective. Le risque majeur à prendre en compte lors de coprophagie en chenil reste celui de la transmission des parasites. En effet, la coprophagie, qu’elle soit involontaire (souillure des gamelles par des contaminations fécales) ou spontanée, facilite notamment la transmission féco-orale de kystes de Giardia ou de formes de résistance rapidement infestantes (ookystes de coccidies ou cryptosporidies). TRAITEMENT DE LA COPROPHAGIE Le choix du traitement dépend naturellement de la cause primaire lorsque celle-ci a pu être identifiée. En effet, avant de choisir un traitement, il faut tenir compte non seulement des conditions d’élevage (mode de distribution des repas, composition de la ration, comportement alimentaire des chiens, nature de l’environnement) mais aussi des résultats d’une véritable « enquête » visant à identifier l’individu qui a le premier présenté ce trouble du comportement qui, par la suite, s’est étendu à l’ensemble de l’élevage. Il devient ainsi possible, par exemple, de faire la différence entre une enzootie de giardiose (extension progressive des troubles), une insuffisance pancréatique isolée (tous les chiens consomment les selles provenant du même individu) ou une diarrhée de surconsommation (accélération du transit digestif liée à une concurrence alimentaire ou à un stress collectif). Toutefois, quelle que soit l’origine des troubles, certaines mesures peuvent être systématiquement mises en œuvre en cas de coprophagie en chenil : Traitement du parasitisme digestif: Si la coproscopie parasitaire collective fournit des résultats positifs, quels que soient les parasites digestifs identifiés, il importe de considérer l’ensemble de l’élevage comme potentiellement infesté et de traiter simultanément tout l’effectif (parfois pendant 5 jours consécutifs en cas de trichurose) sans négliger l’assainissement de l’environnement et les possibilités de portage d’éléments infestant par le pelage des animaux (cas de la giardiose notamment). Le choix des produits dépend du cycle de développement du parasite en cause et de son mode d’action. Une vermifugation « en aveugle » (sans coproscopie parasitaire préalable) est, pour cette raison, fortement déconseillée en cas de coprophagie en élevage non pas à cause d’une éventuelle toxicité mais surtout à cause des risques d’inefficacité. Lors de coproscopie parasitaire positive, le seul traitement antiparasitaire suffit parfois à atténuer la coprophagie en moins d’une semaine. Toutefois, il importe de poursuivre le traitement médical par une thérapie comportementale pour "déshabituer" progressivement les animaux qui auraient pris goût à ce vice. Traitement des excréments : Le retrait rapide des excréments dès leur émission réclame beaucoup de temps et de disponibilité de la part de l’éleveur au cours de la thérapie de déconditionnement. Il est également possible de provoquer une aversion chez les chiens vicieux afin qu’ils associent l’ingestion d’excréments à une sensation désagréable immédiate (collier actionnable à distance, pistolet à eau, etc.). A cet effet, l’éleveur pourra recourir à divers stratagèmes tels que le saupoudrage des excréments à l’aide de poivre ou de répulsifs (moutarde, piment, quinine, For-Bid ) pour dissuader les chiens de recommencer. Par ailleurs, l’adjonction de levure de bière à la ration alimentaire pourrait, dans certains cas, atténuer les phénomènes de coprophagie, sans doute par modification de l’odeur des selles. Modalités d’alimentation L’analyse micrographique des excréments qui présentent une appétibilité résiduelle pour les congénères est un examen qui apporte de nombreux renseignements sur l’origine de cette appétence (12). En effet, si cette analyse met en évidence dans les selles convoitées une maldigestion protéique (persistance de fibre musculaires non hydrolysées dans les selles par exemple), une malassimilation lipidique (persistance de globules gras) ou encore une maldigestion amylasique (persistance de grains d’amidon), un traitement diététique de l’animal concerné visera à adapter les apports alimentaires à ses capacités digestives et permettra, par voie de conséquence, de tarir la source primaire de la coprophagie. Si cette analyse révèle des troubles de l’assimilation sur l’ensemble des chiens en l’absence de parasitose concomitante, il est alors conseillé d’opter pour un aliment plus digestible, généralement restreint en matières grasses et en fibres (10). Chez certains chiens Nordiques (Alaskan, Huskies notamment) dont l’équipement amylasique est souvent limité, il semblerait que la réduction de l’apport glucidique (ENA pour Extractif Non Azoté) permette une rapide résolution des symptômes de coprogphagie (10). Toutefois, certains auteurs ( ont pu autrefois recommander une alimentation riche en fibres insolubles (celluloses) lors de coprophagie mais ceci ne nous semble pas indiqué à moins que la coprophagie ne soit accompagnée de pica (« chiens brouteurs d’herbe »). Quoi qu’il en soit, l’éleveur peut vérifier par lui-même la digestibilité de l’aliment en pesant les entrées (matière sèche ingérée) et les sorties (quantité de selles obtenues). Un aliment « haut de gamme » entraîne en moyenne chez un chien sain 40 à 50 grammes de résidus fécaux pour 100 grammes de matière sèche ingérée (sachant qu’un aliment sec ne contient généralement pas plus de 10 % d’humidité). Par ailleurs, il est recommandé de limiter la vitesse d’ingestion des repas afin que le chien en tire le meilleur parti. Pour ce faire, l’éleveur pourra dans la mesure du possible distribuer l’aliment à volonté (11) pour limiter la concurrence alimentaire ou fractionner les repas. Il pourra également séparer les chiens au moment des repas, placer un gros galet au milieu des gamelles pour obliger les chiens à saisir chaque croquette du bout de la langue ou encore éparpiller les croquettes dans de grands plats à paella pour les inciter à « picorer » plutôt qu’à « engloutir » leurs repas. Traitement des insuffisants pancréatiques Lors d’insuffisance pancréatique confirmée par dosage enzymatique, le traitement des chiens atteints à l’aide d’aliments diététiques adaptés et, le cas échéant, d’enzymes pancréatiques exogènes suffit généralement pour améliorer rapidement l’état général des malades (reprise de poids, baisse du volume des selles et de la fréquence des défécations, réduction des flatulences et des borborygmes) mais, curieusement, ne semble pas influer sur leur comportement alimentaire (polyphagie, coprophagie, soif), ni même sur la couleur et la consistance des selles (7). Modification des conditions environnementales Lorsque toutes les autres causes de coprophagie ont été exclues, l’hypothèse de coprophagie d’origine psychogène peut être retenue. Dans ce cas, il est conseillé de passer en revue toutes les conditions environnementales susceptibles d’induire stress, ennui ou anxiété chez les pensionnaires. Il sera alors utile de favoriser les distractions (détente, jouets, Agility…), d’éviter les punitions inadéquates, de nettoyer les boxes et les courettes en l’absence des animaux en faisant mine d’ignorer ce comportement indésirable, voire, dans les cas extrêmes, de recourir aux anxiolytiques en tant que traitement auxiliaire de la thérapie de déconditionnement
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  16. Pour le chien, la caresse est un véritable langage. Toute caresse a donc une signification qu’il faut connaître avant de lui prodiguer. Sur la tête En caressant le sommet de la tête de son chien, on imite le congénère qui lui passe la patte sur la tête. C’est un signal de domination. Vous lui signifiez : « Je suis le chef », et cela lui fait très plaisir, tout particulièrement s’il a besoin d’être rassuré. C’est un peu comme l’instituteur qui dit : c’est bien mon petit. Sur le dos En lui caressant le dos, on imite deux chiens qui chahutent et se posent à tour de rôle les pattes sur le dos. C’est une caresse dominante, mais moins autoritaire. C’est donc faire preuve d’une autorité souriante exprimant au chien qu’on est un chef d’excellente humeur et disposé à partager un moment agréable en sa compagnie. Dans cette attente, content, il remue généralement la queue. S’il se gratte sous la caresse c’est qu’il a un début de maladie de peau. Sur le flanc C’est la caresse qui lui rappelle la prise de contact, sans agressivité, quand il rencontre un de ses congénères. C’est un acte de reconnaissance qu’il interprète comme une preuve d’affection de la part de son maître, comme s’il se disait : « J’ai bien de la chance de l’avoir comme maître, parce que c’est aussi un excellent copain. » En règle générale, retenez que toutes les caresses pratiquées sur la partie supérieure du corps du chien ont une signification d’autorité souriante. Sous la tête et à l’attache du cou Ce sont des caresses essentiellement affectueuses qui rappellent le comportement de la chienne à l’égard de ses chiots et les jeux entre chiots. Elles entrainent une grande jubilation chez le chien qui semble alors boire du petit lait. C’est du moins ce que l’on peut raisonnablement penser en le voyant tendre le cou et jeter des regards langoureux tel un enfant caressé par sa mère. Bas de la poitrine C’est une caresse que l’on retrouve chez les chiens à l’occasion des saillies, moment généralement considéré comme agréable, même si l’on sait que le chien en retire moins de plaisir que certaines autres espèces. Elle provoque donc des sensations si plaisantes qu’il cligne des yeux et s’immobilise pour qu’on ne s’arrête pas. Attention : ces caresses peuvent déclencher une excitation sexuelle auquel cas, étant à l’origine de ce comportement, vous ne devrez pas le gronder. Sous le ventre et zones inférieures Soyez perspicace : ce sont des caresses à prodiguer uniquement sur des chiens tendres ou soumis qui n’ont pas besoin de témoignages d’autorité parce qu’ils acceptent spontanément leur condition. Vous devez uniquement les prodiguer quand vous pensez que le chien a besoin d’être récompensé ou assuré de votre amour. Elles sont également très appréciées par les sujets au tempérament indépendant. Mais vous ne devez pas en abuser au risque de provoquer un trouble, le maître ne se posant plus alors en chef. Ventre en l’air Quand le chien se couche sur le flanc ou sur le dos avec une ou plusieurs pattes en l’air, attendant ainsi qu’on lui gratte le ventre, vous devez prendre sa demande très au sérieux. En adoptant cette position, il se soumet et réclame que l’on comprenne et accepte cette soumission. C’est très exactement la position dans laquelle se met un dominé face à un dominant quand le premier sait qu’il n’aura pas le dessus. Il dit « Pouce », attendant impatiemment la réponse. Pour la lui donner, il faut la grattouiller. Conseil : Retenez que vous ne devez jamais caresser un chien en le regardant fixement, ce que font souvent les enfants par ignorance. Pour le chien, le regard fixe constitue toujours une menace Source : http://www.waliboo.com/chiens/dossiers-chiens/educationcomportement/quelle-est-la-signification-des-caresses/4457/
  17. Je vous conseille d'aller visiter ce site où vous pourrez apprendre des choses sur l'éducation canine et bien d'autres encore. Vous y trouverez aussi la liste des clubs dans vos régions afin de pouvoir inscrire votre ckc à des cours d'Agility ou d'Obéissance. Le mieux c'est d'aller faire un tour de ce côté-ci : http://www.france-agility.com/
  18. Tout à fait, deux précautions valent mieux qu'une.
  19. Ca y est, cela marche à nouveau, on peut voir les photos.
  20. Je vais essayer de trouver une autre site d'herbergement d'images qui fonctionne correctement
  21. Désolé pour le dérangement c'est l'hebergeur d'images qui a un soucis.
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