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Baudouin de Menten

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Tout ce qui a été posté par Baudouin de Menten

  1. On marche sur la tête avec des ministres écolos dans ce gouvernement ! http://www.buvettedesalpages.be/2013/10/philippe-martin-s-engage-a-effaroucher-et-deplacer-des-ours.html
  2. Les ours béarnais Cannellito et Néré ont besoin d'une femelle. Sans lâcher, les gènes des ours pyrénéens vont s'éteindre. Aidez-les : signez; partagez, transmettez aux amis, recopiez le lien dans vos forums favoris svp. Héhéhé ! http://www.cyberaction.paysdelours.fr/ http://www.facebook.com/event.php?eid=106091209481498#wall_posts
  3. Je la publierais bien à la Buvette en faisant un faux article anti loups sur le danger de pique-niquer.... ;-)
  4. Louis Dollo tombe avec "l'Etude sur la nature des mouvements écologistes et leurs véritables objectifs." Louis Dollo est tombé. Rien n'est éternel, surtout le secret. Les associations qui défendent le plantigrade dans les Pyrénées pensaient que jamais personne ne devinerait leur stratégie. Grave erreur. Ce matin, un membre attentif de la liste de discussion natur-naute a dévoilé le pot au rose.
  5. Le chasseur a commis une faute en lachant une balle sans avoir identifié sur quoi il tirait. Blesser un animal protégé est sans doute répréhensible aussi, mais celà devient plus délicat ; je ne suis pas juriste. Mais si ce n'était pas ce chasseur là, cce serait un autre ou un autre jour. La question est n'est pas de savoir s'il va y avoir un nouvel ours de tiré, mais quand celà arrivera ? Ce qui est dangereux, c'est la réaction de l'homme armé confronté à l'ours ET la chasse en battue. Imaginons qu'on remplace la chasse en battue par une chasse à l'affut, les hommes dans des miradors : * Ils ne se sentiraient plus en danger, pas besoin de tirer si l'ours vient se frotter sur les montants. * Les ours ne seraient pas dérangés par l'approche silencieuse du chasseur * les sangliers pourraient toujours être tirés Il faudra quand même faire des réserves sur les zones vitales à sa survie. Elle sont a peu près connues (tannières etc...) et des oursoducs pour éviter "l'impact de l'ours sur la circulation". Un ours en captivité, même de courte durée aura tendance à faire le lien entre l'homme et l'alimentation qu'il reçoit. Relâchés, il pourrait changer de comportement. Même très jeune : le petit ours capturé près de Somiedo, on ne connait pas encore son avenir. Pourra t-il être relaché?
  6. Lire http://www.buvettedesalpages.be/2008/09/d-delpiroux.html Balou est dans sa planque, située pas loin d'une falaise. Il faut plusieurs minutes pour qu'une anesthésie fasse son effet. Or un tir le fera se lever et bouger à coup sur. D'où des risques de chute ou de charge (le tireur ne doit pas être loin) Ensuite, il faudra soit le soigner sur place, soit le transférer dans un centre. Que deviendrait alors cet ours après quelques semaines de captivité ? Il ne pourrait plus être relâché. Ils préfèrent donc lui laisser une chance de se remettre tout seul... D'un côté de la balance : la liberté, la vie avec une infirmité (légère ou grande) ou la mort De l'autre : la prison à vie avec une infirmité (légère ou grande) Je préfère le savoir mort et remplacé qu'en cage pendant 15 ans. Vous pas?
  7. L'OURS A BESOIN DE VOUS TOUS ! Vous aussi vous êtes certains que l'ours peut être sauvé dans les Pyrénées et vous en avez marre de constater que des minorités ou que l'inaction de l'Etat rendent cela impossible ? Arrêtez de vous lamenter et AGISSEZ ! Papours propose de créer une liste de diffusion sur l'ours afin que toute personne qui souhaite agir puisse le faire, soit au nom de cette liste, soit avec les associations concernées par telle ou telle action (légale bien entendu). Pour rejoindre cette liste, envoyez un message dès ce soir à actionours@yahoo.fr Lorsque nous serons au moins 100, une pemière action commune sera proposée. Nous ne sommes pas assez à travailler pour l'ours, L'OURS A BESOIN DE VOUS TOUS ! Diffusez cette info autour de vous SVP.
  8. Voici ce que Jean Lauzet, naturaliste, très bon connaisseur de l'ours des Pyrénées, et représentant de la SEPANSO-Béarn, écrivait après une réunion à la sous-préfecture d'Oloron concernant la prise en compte de l'ours lors de la saison de chasse, 2006-2007, dans les Pyrénées-Atlantiques : «Depuis l'an passé, en effet, le préfet a tenté de mettre en place des mesures pour éviter de nouveaux "accidents". En cours de saison de chasse 2005-2006 (en novembre) il avait ainsi été décidé que les chasseurs téléphonent à l'ONCFS 72 heures avant la tenue d'une battue dans certaines zones. La SEPANSO-Béarn avait estimé à l'époque que cela était complètement insuffisant puisque rien n'interdisait les chasseurs de chasser même si un ours était repéré dans les zones en question, que la superficie concernée était ridicule et que de véritables mesures cynégétiques auraient été de supprimer la chasse en battue au profit de la chasse à l'affût. Nous avions donc dénoncé au TA l'arrêté préfectoral. Ce printemps, un bilan a été tiré de l'expérience et l'on s'est aperçu que les chasseurs avaient fait en réalité ce qu'ils avaient voulu. Trois réunions ont eu lieu ensuite pour adapter les mesures à la nouvelle saison de chasse 2006-2007. Il a seulement été décidé d'appliquer ce dispositif à partir du 1er septembre. C'est à dire que certains secteurs sont concernés du 1er sept au 30 octobre, d'autre du 1er octobre au 1er novembre....pour coller au plus prêt (belle foutaise!!) à l'activité (supposée!!!) de l'ours. Hé bien, hier soir, les représentants des chasseurs sont venus expliquer que les valléens refusaient de voir ainsi évoluer la "règlementation" (je rappelle qu'il n'y a rien de contraignant) !! Je pourrais parler des heures de tout ce qui s'est dit d'ubuesque et d'écoeurant lors de cette réunion. (…) Ou dois-je me réjouir que plus de 70% des Pyrénéens sont favorables à l'ours en attendant le prochain tir malencontreux ? » Stéphan Carbonnaux : Le "Plan de restauration et de conservation de l’ours brun dans les Pyrénées françaises 2006-2009", ou "Plan Ours", qui s’appuie sur la "Charte massif" est lui bien décevant. L’Etat rappelle en effet son engagement à «ne pas imposer de mesures réglementaires concernant la chasse en présence d’ours dans le massif des Pyrénées. (…) La mise en place de mesures réglementaires n’est pas exclue, si elle fait l’objet d’un consensus.» En conséquence, pour les Pyrénées occidentales, la déréglementation a été avalisée sans lâcher d’ours en 2006 : c’est un «champ de ruines» que nous décrivent presque tous les connaisseurs et défenseurs de l’ours rencontrés, qu’ils fassent partie de l’Administration ou des associations. Source : http://www.buvettedesalpages.be/2008/09/ours-chasse.html (9 pages visionnaires sur cette actualité!)
  9. Un ours a été tiré ce matin en Ariège lors d'une battue au sangliers. Selon une info journalistique non encore confirmée, ce serait l'ours mâle Balou et il serait mort Voir à la buvette www.loup-ours-berger.org/
  10. Baudouin de Menten

    "Ca" recommence...

    En effet, Stéphane Carbonnaux a fait un gros et excellent travail. Le Rapport historique et prospectif sur la protection de l'ours dans les Pyrénées n'a pas encore été retranscrit intégralement à la buvette, mais la partie sur le pastoralisme et la biodiversité est à lire en entier. Il démonte l'argumentation des associations où tout les éleveurs y sont beaux et gentils. Vu l'actualité, je vais le compléter par les articles sur la chasse (ca va commencer) et l'espace vital de l'ours dans les Pyrénées (puisqu'on va en parler rapidement avec le Groupe National Ours. La version gouvernementale du rapport sur ce sujet s'appelle Ours des Pyrénées : Territoires de présence et gestion des populations est lui complet. Dans le sien, Stephan Carbonnaux explique les erreurs du rapport gouvernemantal, nottament sur le pastoralisme qui entretient les paysages.
  11. Les cigales de l'ASPAP ayant chanté tout l'été, se trouvent bien dépourvu quand la fièvre catarrhale fut venue... On arrète de rire dans les Pyrénées. Je vous invite à lire : Les cigales de l'ASPAP (la crise se met en place...) puis Panique dans les estives (... puis elle débute) La fièvre catarrhale bovine a tué en France (mi aout) 30000 brebis : 77 x plus que tous les ours en un an. Elle n'avait pas touché les Pyrénées jusque là. Mais maintenant, une souche touche les Pyrénées, mais pas celle avec laquelle ils avaient vaccinés leurs troupeaux. Il faut tout recommencer, dans l'urgence.
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