Chichaî
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Chichaî a commencé à suivre Nature et biodiversité
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Etait-ce judicieux ou pas de tirer tout ça ? Je suis incapable de trancher, mais il est vrai qu'ici ces grands oiseaux pullulent. Les bébés écureils et tous les petits oeufs d'oiseaux de bonheur disparaissent au printemps. Mémoires d'un chasseur. Oh ! les belles omelettes d'autrefois, dans la saison des nids ! Je voyais sortir du grenier toutes les vieilles douilles ramassées au cours des chasses de l'année, car pour le gibier que nous allions tirer, c'était bien suffisant. Je passais des soirées, sous l'oeil de mon grand-père et d'un de mes oncles, à les recharger, en poudre noire et avec du plomb n° 2, assez gros pour pénétrer à travers les branches mortes des nids de pie et de corbeau. Et, un dimanche, à la suite du garde et du brigadier de gendarmerie, tout le pays se mettait en marche. C'était une véritable croisade, une mobilisation générale, une occasion de faire parler la poudre en période de fermeture que personne n'aurait voulu manquer. Arrivés au pied des grands peupliers, les tireurs lâchaient sur les nids de véritables salves, qui en faisaient voler la poussière. Parfois la couveuse s'envolait, saluée par une autre bordée. La plupart du temps, elle était tuée sur place, car c'était une demi-livre de plomb au bas mot qui partait du pied de l'arbre. Les œufs cassés coulaient en longues traînées le long des branches, et chacun se félicitait en pensant aux pouillards et aux levrauts sauvés par ce massacre. Toute la journée, l'armée continuait ses évolutions, avec des haltes dans chaque ferme pour comparer les crus et boire un bol de café. Au soir, le tir devenait quelque peu hésitant, et les pies qui s'envolaient avaient de grandes chances de se sortir indemnes de la fusillade. C'est alors, à la nuit tombante, que tous allaient s'embusquer en bordure du seul bois épargné par les chasseurs, qui avaient une idée de derrière la tête. Là, comme dans une oasis miraculeusement protégée, les corneilles, choucas, craves, freux et autres oiseaux noirs s'étaient tous groupés, criant comme des sourds, se racontant sans doute les malheurs survenus ce jour-là à leur famille. Ils arrivaient, noirs sur le ciel, se posaient sur les dernières branches, et il y en avait des grappes, croassant à qui mieux mieux quand retentissait le coup de sifflet du signal. C'était alors le bouquet de ce feu d'artifice, et les morts tombaient en tournoyant, dru comme grêle. Le lendemain, on allait les pendre à quelque gaule au milieu des champs, « pour servir d'exemple aux autres ». Nos amis Anglais nous accusent de nous nourrir de grenouilles, mais nous n'en sommas pas encore à entretenir, comme eux, des corbeautières dans toutes les propriétés, pour nous régaler de pâtés de corneilles ! En rentrant, nous faisions le compte des coups tirés : une quarantaine par chasseur, cinq ou six cents en tout. Le plomb ne coûtait presque rien, et la poudre pas grand'chose. C'était l'époque où l'on allait froidement tirer les alouettes au miroir, avec trois où quatre kilos de cartouches dans un vaste sac ! Depuis ... Mais, depuis, les nuisibles pullulent, et si j'ai toujours le même plaisir à regarder un busard tourner ses grandes orbes, il me déplaît, sitôt entré au bois, d'être salué par les criailleries des geais et des pies, qui rigolent de me voir chercher en vain tout le gibier qu'ils ont démoli en herbe. Seulement, à moins d'être un Rothschild, il faut se contenter de les engueuler. Ce qui manque totalement d'efficacité. Dommage que les chasseurs ne voient que du gibier dans toute la grande et petite faune, peut-être que si ce n'était pas le cas des petits paradis pourraient se recreer dans les forêts.
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Bon, moi je peux vous cuisiner un faisan mâle à la sauce piquante . Il est tapis dans des épineux et nous l'avons repéré alors qu'un chasseur charentais et son chien le cherchaient. A 2 mètres de lui il y a sa femelle discrète ... Nous avons littéralement "campé" avec notre chien devant les 2 oiseaux pour less soustraire à l'attention du paysan-chasseur local dont les terres deviennent aussi monotones et déplumées que celles des grands céréaliers de la Beauce. Lui aussi est fin prêt à planter ce que l'Etat lui demandera, et à se planter avec tous les autres... Mais bon ...Que font ces faisans ensemble en ce moment, vivent-ils en couple toute l'année?
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Allez, un petit coup d'oeil sur les loups en Italie, ça baigne pour eux.... Heureux comme un loup des Abruzzes Au moment où la France relance l’abattage partiel jusqu’en 2008, gros plan sur le modus vivendi adopté par nos voisins italiens Dans le Parc national des Abruzzes 43900 hectares, trente patelins de 300 à 800 habitants , il y a des siècles que l’on a appris à vivre avec les loups. Sans problèmes. Sans gros incidents. Sans panique surtout. De cinquante à soixante-dix spécimens de Canis lupus italicus, 70 centimètres au garrot, peuplent aujour-d’hui ces montagnes qui s’étendent entre Rome et la mer Adriatique. Et les seules campagnes de presse sur ce sujet concernent la protection des loups, une espèce qualifiée depuis 1992 de «patrimoine de l’Etat». Le 2 novembre dernier, le quotidien «la Repubblica» pleurait ainsi une «famille de loups écrasée par un train», narrant par le détail le triste sort de ce «papa-loup» et de cette «maman-loup», fauchés alors qu’ils portaient leur rejeton à la «découverte de son territoire». Quel est le secret de cette convivenza, cette vie en commun, entre l’homme et le loup? Dans les zones montagneuses des Abruzzes, où domine la vieille culture pastorale fondée sur la transhumance des brebis, il y a belle lurette que l’on sait deux ou trois choses essentielles sur le célèbre prédateur. Un: le loup n’attaque jamais l’homme; cela ne s’est pas produit, en tout cas, depuis plus de cent ans. Deux: les chiens sont les principaux alliés des bergers, pourvu qu’ils soient de grande taille, pas peureux et capables de rester immobiles près du troupeau même en cas de danger. Trois: les brebis doivent être regroupées, la nuit, à l’abri de clôtures de 2mètres de haut. «Les techniques n’ont pas varié depuis des décennies: on ne pratique pas ici l’élevage "sauvage", et les brebis sont toujours accompagnées de chiens», confirme Duccio Centili, du WWF-Italie. Bien sûr, tout cela implique des primes à l’amélioration de la protection des troupeaux et des compensations économiques en cas d’incident, prises en charge par le gouvernement et l’Union européenne. Mais le modus vivendi italien se base aussi sur d’autres ingrédients. Les médias répercutent depuis longtemps les campagnes de préservation des espèces animales en danger, comme l’«opération Saint-François», dans les années 1970, qui suscita un véritable mouvement d’opinion en faveur de la protection de la nature et déboucha sur des lois adéquates. Aujourd’hui, des sites internet comme Lupi, apprennent à «parler avec les loups» pour éviter des «dommages réciproques» entre l’homme et le grand prédateur. Les bénévoles du Gruppo Lupo Italia gardent un contact permanent avec les habitants des Abruzzes en leur expliquant que les loups sont «de pauvres bêtes inquiètes, des espèces de sans-logis» qui s’en prennent aux brebis surtout au printemps «après un long hiver où ils ont littéralement crevé de faim» Et que si les loups se jettent sur les troupeaux, c’est faute de cerfs ou de chamois à se mettre sous la dent, d’où la nécessité d’une multiplication de ces espèces. Le célèbre prédateur est devenu une véritable mascotte. Des agences spécialisées dans le trekking proposent de passer un «Noël 2004 avec les loups». Des pubs essaient d’attirer les touristes au célèbre camping Lupi en bordure du Parc national. «Le secret du compromis historique italien avec les loups? C’est tout bonnement que les populations méridionales sont traditionnellement plus tolérantes», soutient Luigi Boitani, professeur à l’université de Rome. Et de citer le seul cas d’ostracisme patent des Italiens envers les loups. C’était en 1939, sous Mussolini, lorsqu’une loi avait qualifié le prédateur «d’animal nocif à éliminer par tous les moyens». Le loup fut alors, lui aussi, une victime du fascisme Marcelle Padovani Le Nouvel Observateur
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Mais ce n'est pas hors sujet, puisque la question que je me pose est : pourquoi boycotter la Chine alors qu'ailleurs on n'est à peine meilleurs ? Et n'oublies pas non plus que si la Chine pille tout, achète tout, ce tout est destiné aux pays riches, préparé, sculpté, travaillé, relooké, cousu et décoré par les chinois avant d'être revendu parfois à prix d'or (ex: ivoire). La demande, c'est nous ! Sauf la bile d'ours et autres barbaries de ce style, je te l'accorde.
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Tu ne te souviens pas plus que ça Ugatza de "la fête du cochon " ? Ces cochons qui ne sortaient jamais de leur minuscule porcherie bétonnée où ils étaient chaque jour bousculés à coups de fourche quand ils se mettaient en travers des bottes du paysan… Le jour de sa fête le voisinage au complet se pressait dans la cour de la ferme, papotait, rigolait, le bourreau attitré tranchait dans le vif le pauvre animal pas même assommé mais solidement ligoté, immobilisé, qui hurlait tout ce qu’il savait…c'est-à-dire rien d’autre que l’indifférence et la barbarie des hommes.. Et petit à petit le hurlement puissant et lancinant s’affaiblissait jusqu’à ne plus devenir qu’un écho lointain puis plus rien. Alors on l’ébouillantait sans perdre de temps pour ramollir sa peau et la rendre rose et propre comme au jour de sa naissance, 1 ans auparavant…. Etait-il mort vraiment à ce moment ? Je ne sais Et est-ce que ça se passe encore comme ça au fond de nos campagne Françaises ? En ce qui concerne les abattoirs professionnels et la vie des cochons en batterie ça donne à peu près ceci, que ce soit au Canada, ici, ou ailleurs, à part peut-être la taille des dents à la cisaille, et encore.... Voir sur "pitié pour les cochons". http://protectionanimale.com/
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Bon, je vais répondre rapidemnt à U sur les sentiments des enfants qui assistent à des violences ou tortures sur animaux . Moi la "bourgeoise" comme tu dis j'ai assisté depuis toute petite durant mes vacances à la campagne à des saignements de cochons, égorgements de poules et autres, à des "achèvements" de brebis blessées, à des dépècements de lapins et anguilles assommés qui se tortillaient encore quand on les pelait, à des corridas (une bonne dizaine...). Ce qu'on ressent sur le moment quand on est enfant au milieu d'adultes sereins sinon joyeux et excités, dans une ambiance en général festive ? .RIEN ! On est naîf, on ne pense pas que les animaux peuvent souffrir atrocement, sinon évidemment lles gens auxquels on fait confiance n'agiraient pas ainsi,, c'est tellement évident ! Donc pas de traumatisme spécial . Et en Chine ça doit être pareil, les enfants entendent rire les adultes, ils voient davantage le jeu et ceux qui attendent leur repas en bas que les malheureuses victimes . La conscience vient plus tard, quand on a forgé sa propre personnalité, sa propre sensibilité. Moi c'est à l'adolescence que j'ai pris conscience de toute cette misère animale. Peut-être même inconsciemment avant, vers 10 ans, quand je libérais tous les animaux prisonniers, que ça tournait à la manie, à l'obsession.... La bourgeoise.
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Ouai, beaucoup d'animaux sont sensibles aux caractères juvéniles qui caractérisent les bébés d'autres espèces que la leur (grosse tête, petit corps, grands yeux...) au point parfois d'aller jusqu'à les adopter dans les cas de pseudo-gestation des femelles. Pour les humains c'est une autre histoire : ou bien ils craquent sur tout ce qui est petit, ou mignon, ou réduit artificiellement, ou bien ils restent hermétiques à ce genre de sensibilité (sensiblerie! ) et n'ont aucun état d'âme à éliminer des millions de mignons poussins, d'attendrissants bébés phoques, de petits oiseaux grassouillés.... Comment tout à l'heure les 40 chasseurs pourront-ils tirer sur tous ces petits chevreuils et sangliers qui galoperont de toutes leurs forces derrière leur mère affolée ? Pourtant ils vont le faire, et sans aucun état d'âme, je vous le garantis. Qu'il est mignon ce petit mouflon, et confiant, donc probablement intelligent comme le sont tous ces ongulés qui devinent très bien à qui ils ont affaire, vers qui ils peuvent se réfugier en cas de danger.... Allez, c'est parti, nous allons mettre un peu de pagaille dans la battue, ce petit mouflon me redonne un peu du courage et d'espoir qui commencent à me manquer sérieusement parfois. :sorc:
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La pétition de BB date de plusieurs mois, quand le sujet a été mis sur le tapis, et je répondais à U parce que son commentaire m'interpelait quelque part... Une lettre à Sarko, moi ? :nonsourire: Je n'ai pas envie de perdre mon temps, il vaut mieux passer par les intermédiaires médiatiques qu'il apprécie, l'union fait la force . :biv1:
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Comme quoi les belges seront à l'origine de l'espèce domestiquée de l'ortolan ! C'est fou tout ce que les paysans trouvent comme astuces pour arrondir grassement ( ) leurs fins de mois.... Il faudrait que je retrouve un petit coin perdu de Charentes où une grande volière faite de minces filets sous des ombrages m'avait intriguée : qu'est-ce que c'était...???? (maintenant je crois savoir! Dans le terrain à côté un âne veillait et prevenait les proprios de la présence d'intrus dans le secteur. La France profonde est semée de trésors et surprises à découvrir !
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J'avais signé une pétition à ce sujet lancée par la fondation Brigitte Bardot, qui semble susciter la sympathie de Sarkosy dans ses inlassables combats pour la cause animale. Je pense que c'est par elle qu'il faudrait passer pour avoir le plus d'impact en Chine lors des jeux olympiques. Mais tout de même, U, je tiens à te rappeller que tous les petits enfants français assistaient il n'y a pas si longtemps encore à l'agonie interminable du cochon familial lors de sa "fête" annuelle, aux saignées des poulets, aux gavages des oies et canards, aux coups des lapins, aux ébouillantages des homards vivants, aux éventrations de poissons encore frétillants.... Et je ne parle pas des plaisirs morbides de la chasse. Pour certains enfants français tout ceci est encore d'actualité. Ont-ils été traumatisés au point de ne pas vouloir MANGER ces animaux souvent familiers et malgré tout torturés ? Je ne pense pas non....
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Ca vient ! C'est l'intéressé qui cause à prtir de maintenant, , évidemment : Obtention du permis de détention d'espèces "protégées" Voici une lettre qui pourrait servir d'exemple pour d'autres éleveurs qui serait désireux de commencer l'élevage d'oiseaux repris en annexe 2 ou 3 des "oiseaux demandant des autorisations aux services des eaux et forêts. "L'année dernière j'ai demandé l'autorisation pour un couple de bruants jaunes et depuis peu je viens de recevoir les certificats de détention du couple d'oiseaux. J'ai eu la visite d'un agent des eaux et forêts et je crois que l'on se fait beaucoup d'idées préconçues de ces personnes. L'agent qui est venu me rendre visite est une personne qui sait faire la part des choses et il a assez d'expérience pour voir s'il pénètre dans les locaux d'un éleveur ou d'un "tendeur"... Monsieur, Par la présente et me référant aux articles 21 et 25 de la directive concernant la détention et l’élevage d’oiseaux non communément élevés en région Wallonne, je voudrais vous faire connaître mon intention d’acquérir, après accord préalable de vos services des oiseaux en vue de leur élevage. Dans un premier temps, j’aimerais acheter un couple de bruant jaune (Emberiza citrinella), oiseau repris dans l’annexe 3 et si de ce couple j’obtenais des résultats, j’aimerais dans le futur me consacrer à l’élevage du bruant ortolan (Emberiza hortoluna) oiseau non repris dans les annexes 2 et 3. Un de vos collaborateurs m’a néanmoins conseillé de faire les deux demandes simultanées, pour ne pas devoir recourir à une demande ultérieure pour la deuxième espèce. Je pense que l’élevage des 2 espèces doit être fort semblable mais le prix demandé en Flandre pour l’ortolan me pousse à faire mes armes sur l’espèce moins prisée et plus commune en élevage. Je crois sincèrement disposer des installations adéquates car j’élève sans trop de difficultés, depuis plus de quinze ans maintenant, des pinsons des arbres et depuis quatre ans des chardonnerets majors. Je fais partie de différents clubs ornithologiques tournés vers l’élevage d’oiseaux indigènes, et correspond régulièrement sur des forums consacrés à l’élevage d’indigènes. J’espère que ma demande recevra bonne lecture de votre part et que vous-même ou un de vos collaborateurs me contactera rapidement pour visiter mes installations. D’avance merci. Hé bien ce monsieur belge a obtenu l'autorisation d'élever du bruant ortolan, il suffit de demander poliment !
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En ce qui concerne les ortolans ils sont toujours dégustés avec autant d'assiduité par les gauchers ou les droitiers (!). Il n'y a rien à faire pour arrêter les braconniers, même A. B.Dubourg y a laissé des plumes quand il a essayé. Je n'arrête pas de vous répéter que les chasseurs ou les braconniers sont des brutes épaisses et insatiables toujours persuadés de leur bon droit et qu'il faut toujours s'en méfier. Bien qu’illégale, cette chasse fait l’objet d’une tolérance de la part des pouvoirs publics. Une de plus ! Et bien que les bénévoles de la LPO aient localisé plus de 300 de ces tenderies, ni la garderie de l’ONCFS, ni la gendarmerie n’ont daigné se déplacer pour dresser des procès- verbaux, ce qui aurait pourtant été la moindre des choses. Alors qu’Allain Bougrain -Dubourg, le président de la LPO, appelait le préfet des Landes, ce dernier lui a déclaré qu’à son arrivée, il avait trouvé une tolérance qui durait depuis quelques années et qu’il n’entendait pas revenir dessus ! État de droit ?… U, si tu vas au coeur du Béarn profond tu en verras comme moi de ces filets, pas même cachés, qui trônent au milieu des innombrables palombières . Je suis d'ailleurs étonnées qu'il n'existe pas encore d'élevages d'ortolans, ça casserait peut-être le marché juteux de ces oiseaux sauvages....
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Oui, en béarnais c'est une "borde", en basque un "cayolar"... Sans avoir natura 2000 en travers il y a des propriétaires de bordes qui se retrouvent dans l'incapacité d'y accéder, à cause de la mauvaise volonté du proprio local de la borde située plus bas sur le même et unique accès commun, qui fait barrage par tous les moyens parce qu'il veut emm...der son voisin de village qui a vendu la sienne à des parisiens écolos... Ah, la fameuse guerre des bordes ! Elles passent ainsi d'un proprio naîf à l'autre au fil des années, et le problème de l'accès n'est jamais réglé... Natura finira par les avoir à l'usure, ces bordes inaccessibles.... Fin du HS.