Je m'excuse de m'être trompé sur votre compte, je pensais tomber sur des naturalistes en herbe qui ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez.
Merci à Michel, de reprendre des vieux bouts de textes, je ne me souvenais plus avoir écrit cela.
Le métier de berger est difficile, comme ils y a des bons et des mauvais chasseurs (bien que les chasseurs ne tiennent pas une place très importante dans mon cœur), il y a des bons et des mauvais bergers...
Je vous remercie d'en faire la distinction...Car il faut bien séparer le bon grain de l'ivraie.
J'ai senti du mépris par certain, je ne me suis pas senti visé personnellement, mais je trouve injuste de ne pas avoir des avis de bergers qui ont le droit eux aussi de donner leur point de vue.
Je ne suis que novice dans ce métier et mène de la cabraille dans les collines de l'Aveyron, sur les gras de l'Ardèche ou dans les truffières de la Drôme. En essayant au maximum d'avoir l'oeil sur les troupeaux dont on me confie la garde, sur la conservation des lignieux et de certaines espèces, de ne pas surpaturer, de reconstruire les mûrets détruits et celà pendant de longues journées...
Non ce n'est pas une promenade de santé et je défis les incrédules de vivre nos journées d'hiver, pas seulement quelques heures.
J'ai aussi beaucoup parlé avec de vieux ou jeunes bergers sur l'ours, les loups, tous ont des témoignages ou des expériences.
Pour la plupart, la réintroduction (plutôt l'introduction) de l'ours des pyrénées (houps de slovénie) est uniquement une tactique commerciale!
Certains sont devenu anti ours par la suite, la réintroduction ne leur posait pas de problème jusqu'au larguage d'ours par hélicos...
Le loup aussi pose de gros problème;
Pour ma part, je ne suis pas compte la réintroduction de ses espèces, mais fréquemment nos têtes pensantes agissent puis réfléchissent (nucléaire, Ogm, ect...).
Je continurai plus tard je dois m'en aller
Ce