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Franzi

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Tout ce qui a été posté par Franzi

  1. en faite c est avec beaucoup de recup il y a un systeme de vidange du gros bac de cascade et un susteme de remplissage puis un systeme d arrosage dans le terreau pour les plantes! et bientot un systeme de pulverisation pour les oiseaux et plantes !!
  2. voila je suis en train de construire une petite voliere !! voici quelques photos avant qu elle soit completement terminée :
  3. oui c est vrai bonne idée moi qui suis nul en bricolage si tu as des conseils a donner mets les ici
  4. Franzi

    Fish only!!

    mais pour ma pârt je trouve ca moins beau et je mettrais quand meme un ecumeur mais je ne suis pas un pro !!
  5. moi ce que j ai compris et que les juments de bons coursiers on leur prend leur petits qu on met a des juments qui on eu aussi des petits pour leur lait et que leur propres petits sont tués !! mais on ne peut pas juger cette asso sur le seul fait d incrimination faite par une seule personne !! c est quand meme une accusation tres grave !! je pense qu il faut enqueter et apporter des preuves tangibles et ensuite faire une action judicieuse contre eux si cela s avere veridique !
  6. sur le site rien ne fais presager d une telle horreur comment faire une action contre eux sans preuves tangibles !! seulement sur les dires de quelqu un !!
  7. triton a ventre de feu super cool http://www.reptilarium.ca/tritonfeu.html
  8. franchement bravo !! bravo d aimer ta bete aussi fort !! si seulement tous les proprietaires d animaux etaient comme toi je te tire mon chapeau et fais une belle caresse a nounouche
  9. comme tous les animaux il y a des inconvenient on doit en etre conscient et faire avec et non les degriffé !! il faut se renseigner avant !! ( je deplace dans debat !! plus approprié je pense )
  10. Ode au chien Le chien me demande mais je ne réponds pas. Il saute, court dans le champ et me pose mille questions sans parler ses yeux sont deux questions humides deux flammes liquides qui interrogent mais je ne réponds pas parce que je ne sais pas Homme et chien parcourant la campagne Les feuilles brillent comme si quelqu’un les avait embrassées une par une les oranges jaillissent du sol pour faire des petites planètes dans les arbres rondes comme la nuit, et vertes chien et homme nous allons par les parfums du monde foulant le trèfle la campagne du Chili dans les doigts clairs de septembre. Le chien s’arrête, poursuit les abeilles saute un ruisseau turbulent écoute des lointains aboiements pisse sur une pierre et vient me porter le bout de son museau à moi, comme un cadeau. Dans sa douce fraîcheur en me communiquant sa tendresse il me demande des yeux pourquoi le jour, pourquoi la nuit pourquoi le printemps ne porte rien dans son panier pour les chiens errants sinon des fleurs inutiles des fleurs, des fleurs, toujours des fleurs. Voila ce que me demande le chien voilà ce que je ne réponds pas. Nous allons, homme et chien dans cet immense matin vert réunis par le vide exaltant de la solitude où seuls nous existons l’unité parfaite, chien rosée et poète car il n’y a pas d’oiseau caché sans trille ni de fleur secrète sans arôme pour deux compagnons nous dans ce monde humidifié par la nuit distillation verte prairie balayée par des rafales d’air orangé le chuchotement des racines la vie en cheminant, en respirant, et l’amitié ancestrale la chance d’être chien, d’être homme converti en un seul animal à six pattes la queue couverte de rosée
  11. Ode au chat Au commencement les animaux furent imparfaits longs de queue, et tristes de tête. Peu à peu ils évoluèrent se firent paysage s’attribuèrent mille choses, grains de beauté, grâce, vol... Le chat seul le chat quand il apparut était complet, orgueilleux. parfaitement fini dès la naissance marchant seul et sachant ce qu’il voulait. L’homme se rêve poisson ou oiseau le serpent voudrait avoir des ailes le chien est un lion sans orientation l’ingénieur désire être poète la mouche étudie pour devenir hirondelle le poète médite comment imiter la mouche mais le chat lui ne veut qu’être chat tout chat est chat de la moustache à la queue du frémissement à la souris vivante du fond de la nuit à ses yeux d’or. Il n’y a pas d’unité comme lui ni lune ni fleur dans sa texture: il est une chose en soi comme le soleil ou la topaze et la ligne élastique de son contour ferme et subtil est comme la ligne de proue d’un navire. Ses yeux jaunes laissent une fente où jeter la monnaie de la nuit. Ô petit empereur sans univers conquistador sans patrie minuscule tigre de salon, nuptial sultan du ciel des tuiles érotiques tu réclames le vent de l’amour dans l’intempérie quand tu passes tu poses quatre pieds délicats sur le sol reniflant te méfiant de tout ce qui est terrestre car tout est immonde pour le pied immaculé du chat. Oh fauve altier de la maison, arrogant vestige de la nuit paresseux, gymnaste, étranger chat profondissime chat police secrète de la maison insigne d’un velours disparu évidemment il n’y a aucune énigme en toi: peut-être que tu n’es pas mystérieux du tout qu’on te connaît bien et que tu appartiens à la caste la moins mystérieuse peut-être qu’on se croit maîtres, propriétaires, oncles de chats, compagnons, collègues disciples ou ami de son chat. Moi non. Je ne souscris pas. Je ne connais pas le chat. J’ai sais tout de la vie et de son archipel la mer et la ville incalculable la botanique la luxure des gynécées le plus et le moins des mathématiques le monde englouti des volcans l’écorce irréelle du crocodile la bonté ignorée du pompier l’atavisme bleu du sacerdoce mais je ne peux déchiffrer un chat. Ma raison glisse sur son indifférence ses yeux sont en chiffres d’or.
  12. LES CHATS - Charles Baudelaire, Les fleurs du Mal "Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires. Amis de la science et de la volupté, Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres; L'Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin; Leurs reins féconds sont pleins d'étincelles magiques, Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin, Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques."
  13. non c est a mloi !! na !! mais bien sur grand fou va !!
  14. Franzi

    Comment t'as pu?

    Un message de l’auteur: Si ''Comment t'as pu?'' vous a rendu les larmes en lisant ce poème, tel qu'il m'est arrivé, c'est car c'est une histoire de millions d'animaux autrefois adoptés qui meurent chaque année dans les refuges américains et canadiens. Vous êtes bienvenue à distribuer cette histoire pour but non commercial, d'autant plus qu'il est bien indiqué les droits d'auteur. Vous pouvez vous en servir pour éduquer sur les sites Internets, dans les bulletins, les refuges d'animaux ou les tableaux d'affiche chez votre vétérinaire. Mentionnez aux gens que votre décision d'ajouter un animal à votre famille est important dans votre vie, que les animaux ont droit à notre amour et des soins adéquats, que trouver un bon foyer approprié pour votre animal est votre responsabilité et que toute société humaine de votre localité ou ligue de bien-être animal peut vous fournir de bons conseils et que toute vie est précieuse. S.v.p. faites votre part pour arrêter la tuerie et encouragez la stérilisation d'animaux afin de prévenir la naissance de tout animal non voulu.
  15. Quand j'étais un petit chiot je t'amusais avec mes gambades et je te faisais rire. Tu m'appelais ton enfant, et ceci malgré plusieurs chaussures grignotées, sans oublier quelques coussins déchiquetés. Je suis vite devenue ta meilleure amie. Chaque fois que je faisais une bêtise, tu agitais ton doigt en me demandant 'Comment t'as pu'? - mais tu me pardonnais vite et tu me faisais de gros câlins. J'ai mis un peu plus de temps que prévu avant de devenir propre parce que tu étais très occupé, mais nous y sommes arrivés à la fin. Je me souviens de ces nuits tout près de toi, dans ton lit où j'écoutais tes confidences et tes rêves les plus secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être meilleure. Nous avons fait de longues balades et des jeux dans le bois, des balades en voiture, des pauses pour manger une glace (je n'avais droit qu'au biscuit parce que la glace est mauvaise pour les chiens - ce que tu disais) et je faisais de longs sommes au soleil en attendant que tu rentres le soir. Peu à peu tu as commencé à passer plus de temps au bureau, et plus de temps à chercher une compagne. J'étais patiente, je t'attendais sagement à la maison, je t'ai réconforté après les déceptions, quand tu avais le coeur brisé, je ne t'ai jamais grondé quand tu prenais la mauvaise décision, et je te faisais une de ces fêtes quand tu rentrais! Et aussi quand tu es tombé amoureux. Elle, maintenant, ta femme, n'aime pas les chiens - malgré ça je l'ai accueillie dans notre maison, j'ai essayé d'être gentille avec elle et de lui obéir. J'étais heureuse parce que tu étais heureux. Et puis les bébés sont arrivés et j'ai partagé ta joie. Ils me fascinaient - tout roses, avec leur odeur particulière, et je voulais aussi être leur maman. Seulement, elle et toi aviez peur que je leur fasse du mal, et la plupart du temps, j'étais punie et renvoyée dans une autre pièce, ou dans ma niche. Ah! Comme j'aurais voulu les aimer, mais je suis devenue une prisonnière de l'amour. Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenue leur amie. Ils s'accrochaient à ma fourrure et se servaient de moi pour se mettre debout sur leurs petites jambes instables, ils mettaient leurs doigts dans mes yeux, ils faisaient des recherches approfondies dans mes oreilles, et m'embrassaient sur le museau. J'adorais tout d'eux, quand ils me touchaient - parce qu'à ce moment là, c'etait rare que toi tu me touches - et je les aurais défendus avec ma vie en cas de nécessité. Je rentrais en cachette dans leur lit et je partageais leurs soucis et leurs rêves secrets; ensemble nous attendions l'arrivée de ta voiture. Autrefois, quand les gens te demandaient si tu avais un chien, tu sortais de ton portefeuille une photo de moi et tu racontais mes exploits. Ces dernières années tu répondais seulement 'oui' et tu détournais la conversation. Je n'étais plus ton chien, j'étais devenu 'un' chien, et tu commençais à regretter l'argent dépensé pour mon compte. Maintenant, tu as l'occasion de faire avancer ta carrière dans une autre ville, et toi et eux vous allez habiter un appartement où les chiens ne sont pas admis. Tu as pris la bonne décision pour ta famille, mais il y avait une époque où c'était moi ta seule famille. J'étais heureuse quand tu m'as mise dans la voiture, jusqu'au moment où nous sommes arrivés au refuge. Ça sentait les chiens et les chats, la peur et le désespoir. Tu as rempli les papiers et tu as dit que tu étais sûr qu'ils allaient me trouver une bonne maison. Elles ont haussé les épaules et t'ont regardé tristement. Eux, elles connaissent la triste vérité: les difficultés de placer un chien qui n'est plus tout jeune, même un chien avec des papiers en règle. Tu as été obligé d'arracher les doigts de ton fils qui restaient accrochés à mon collier, pendant qu'il hurlait 'Non, papa, s'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien'! Et je me suis inquiété pour lui, de la leçon que tu venais de lui donner sur l'amitié et la loyauté, l'amour et les responsabilités, le respect de la vie, de toutes les vies. Tu m'as tapoté gentiment la tête, en guise d'adieu, en évitant bien de me regarder dans les yeux et tu as refusé de prendre mon collier et ma laisse. Tu étais en retard - un rendez-vous - maintenant, moi aussi j'en ai un. Quand tu es parti, deux gentilles dames ont dit que tu savais sûrement, il y a quelques mois déjà, que tu allais déménager, mais que tu n'as pas cherché à me trouver une autre famille. Elles ont secoué la tête et se sont demandé 'Comment t'as pu?' Elles nous traitent aussi bien que possible, ici au refuge, compte tenu de tout le travail qu'elles ont. Elles nous nourrissent, bien sûr, mais depuis quelques jours, je n'ai plus faim. Au début, dès que quelqu'un passait devant ma cage je levais la tête, dans l'espoir de te voir - pensant que tu aurais changé d'avis - que c'était un mauvais rêve - ou j'espérais que ce serait quelqu'un qui m'aimerait, qui prendrait soin de moi, me sauverait. Quand j'ai réalisé que je ne pouvais pas rivaliser avec ces jeunes chiens tout heureux, qui s'en foutaient de leur destin, je me suis retiré au fond de ma cage et j'ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle est venue me chercher à la fin de la journée, et je l'ai suivie docilement dans une autre pièce. Une pièce tranquille, silencieuse. Elle m'a mise sur la table et elle m'a frotté les oreilles, elle m'a rassuré, elle m'a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait à tout va en pensant à ce qui allait venir, mais j'avais aussi un sentiment de soulagement. La prisonnière de l'amour n'avait plus de jours devant elle. Telle est ma nature, je me faisais plus de soucis pour cette femme. La charge qui pèse sur elle est lourde, ça je le sais, comme je devinais autrefois chacune de tes humeurs. Doucement, elle a mis le tourniquet autour de ma patte, une larme coulait sur sa joue. J'ai léché sa main, tout comme je te réconfortais, il y a tant d'années de ça. Elle a mis l'aiguille dans ma veine, en professionnelle. Quand j'ai ressenti la piqûre et le liquide froid qui gagnait mon corps, je me suis allongée, je lui ai regardée dans les yeux, si gentils, et j'ai chuchoté 'Comment t'as pu?' Peut être parce qu'elle comprenait le langage des chiens, elle m'a dit: 'je suis vraiment désolée'. Elle m'a câliné et elle m'a vite expliqué que c'était son devoir de s'assurer que j'allais dans un endroit meilleur, où je ne serais ni ignorée, ni abusée, ni abandonnée, où je devrais me défendre toute seule - un endroit où il y a de la lumière, de l'amour, tout à fait différent de notre terre. Dans mon dernier souffle j'ai essayé, en remuant ma queue, de lui faire comprendre ceci: je ne voulais pas lui dire à elle 'Comment t'as pu?' C'est à toi, mon Maître adoré, que je pensais. Je penserai à toi et je t'attendrai toujours. Que tout le monde dans ton entourage continue à t'être fidèle.
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