nini26

Le Canari. :idea: Les canaris (serin cini) sont de charmants petits oiseaux domestiques, dont l’ancêtre est originaire des îles Canaries. Ce sont des animaux plutôt solitaires et craintifs, et le contact avec l’humain peut parfois les effrayer. Très célèbres pour leur chant puissant, ils font traditionnellement partie des N.A.C. (Nouveaux animaux de compagnie). :idea: 1. L’habitat. Les canaris pourront supportent très bien de vivre seuls. Cependant, il conviendra de leur fournir des divertissements visuels et sonores. Ils peuvent être hébergés en volière, de façon à ce qu’ils puissent se dégourdir les ailes à leur guise. Cependant, une cage le plus vaste possible pourra convenir, dans la mesure où ils ont la possibilité de sortir au moins une fois par jour. Il est préférable d’éviter les petites cages type cloche. Les vastes cages carrées ou rectangulaires avec dessus grillagé et plat sont plus adaptées. Les perchoirs devront être de diamètres différents, afin d’éviter les problèmes d’arthrose et d’irritation du fait de la pression systématique des pattes qui s’effectue toujours au même endroit et avec le même écartement. Le mieux est de mettre à disposition des branches fraîches et tendres pour que vos oiseaux puissent s’en servir de perchoirs variés et de jeux. Néanmoins, si les griffes ne s’usent pas d’elles-mêmes, il faudra penser à les couper régulièrement. Le sol sera simplement tapissé d’un papier absorbant ou de sable pour en faciliter l’entretien. Le principe d’un sol équipé d’un tiroir amovible pour le nettoyage permettra de ne perturber que modérément votre compagnon lors des nettoyages réguliers. Un bac à eau fera sera utilisé en guise d’abreuvoir et de baignoire. Il faudra veiller à ce que l’eau y soit toujours propre et claire. Les mangeoires qui se remplissent de l'extérieur sont idéales pour limiter le stress. La cage et tous ses accessoires (jouets, mangeoires) seront nettoyés tous les jours. La cage sera lavée à grande eau une fois par semaine. Placez la cage à hauteur d’homme afin d’éviter tout stress: le sol est un endroit où l’oiseau se sent vulnérable, et plus il sera haut perché, plus il se sentira en sécurité. Un emplacement devant une fenêtre fermée et pas trop exposée, tout en ménageant un coin d’ombre, sera idéal. Evitez de placer la cage en plein soleil ou dans les courants d’air, ainsi que la cuisine et son atmosphère souvent enfumée. :idea: 2. L’alimentation L’eau fraîche sera tenue en permanence à disposition. Les canaris sont granivores : vous pouvez facilement et simplement utiliser des mélanges de graines adaptés du commerce comme alimentation de base. Ces mélanges se composent en général d'alpiste, d'avoine, de niger, de graines de salade, de pavot, de mil, de lin, de millet et de blé. En guise de friandise, vous pourrez proposer des légumes bien lavés, comme des concombres, des carottes, de la salade, du rais, des courgettes, coupés en petits morceaux. Les fruits sont également appréciés : pomme, poire, mûres, cerises, melon, kiwi, raisin… Le tout avec modération. A proscrire car toxiques : le pamplemousse, le citron, la prune (ou pruneau), l’avocat, la rhubarbe. Vous pouvez également donner de temps en temps (surtout en période de mue) un morceau d’œuf dur (apports en vitamines et protéines) ainsi qu’un os de sèche (apports en minéraux et entretien du bec). Les herbes sauvages sont particulièrement appréciées : Les canaris raffolent de pissenlit, de pas-d'âne, de pâturin des près, de laiteron, de renouée, de mouron blanc, de bourse-à-pasteur ainsi que de différentes sortes de plantain. Vous trouverez ces plantes dans la nature. En période de mue, vous pouvez également distribuer quelques graines germées, très riches en vitamines. On en trouve facilement dans les commerces spécialisés, mais vous pouvez également les préparer vous-mêmes. :idea: 3. La biologie La saison de reproduction débute au printemps et s’étend jusqu’en août. C’est pendant cette période que le mâle nous gratifie de son célèbre chant. L’incubation des œufs est de 13 à 17 jours, pour une moyenne de 5 œufs par couvée. Les jeunes sont nus jusqu’au 6ème jour, puis les plumes commencent à pousser et les yeux s’ouvrent. Ils quittent le nid vers le 17ème jour, mais dépendent de leurs parents pour la nourriture jusque l’âge de 1 mois. Les canaris sont des oiseaux agréables et de bonne compagnie. Ils s’apprivoisent néanmoins difficilement car très craintifs. On peut néanmoins parfois les habituer à manger dans la main. Ils supportent très bien de vivre seuls comme en groupe, et dès l’instant où leur tranquillité est préservée, ils feront la joie des grands comme des petits.

Calculer l'âge de votre chien :idea: Bon à savoir : :idea: Un chien ne veillit pas comme un être humain. Une méthode très répandue mais fausse consiste à multiplier par 7 l’âge de son chien ou de son chat pour connaître l’équivalent en "années humaines". L'âge ainsi calculé est donc complètement erroné. En réalité, le rapport n'est pas proportionnel et varie selon les périodes : la jeunesse canine est très courte, en comparaison avec sa maturité et sa vieillesse. La 1ère année, un chien "grandit" 15 fois plus vite qu'un homme ! Merci a lilo575 pour son tableaux

Les vices rédhibitoires du chat :idea: Lorsqu'un chaton présente les signes d'une maladie qualifiée de vice rédhibitoire, l'acheteur peut demander à l'éleveur son remboursement intégral. Cette demande doit être faite dans un délai légal de 30 jours... Késako ? Les vices rédhibitoires du chat sont définis par la loi du 22 juin 1989. Au nombre de 4, il s'agit de maladies graves, contagieuses et souvent mortelles : La leucopénie féline (ou typhus ou panleucopénie). La péritonite infectieuse féline (PIF). L'infection par le virus leucémogène félin (FeLV). L'infestation par le virus de l'immuno-dépression féline (FIV). Le vendeur est tenu par la loi de vendre des chatons indemnes de ces maladies. Ainsi, lorsqu'un chaton présente des signes de l'une d'elles dans les délais légaux spécifiques à chaque maladie, l'acheteur peut demander à l'éleveur le remboursement intégral du chaton contre sa restitution (sauf si une convention contraire est signée entre le vendeur et l'acheteur). Cela peut se faire à l'amiable ou devant les tribunaux... Si action en justice il y a, elle devra se faire le plus rapidement possible auprès du tribunal d'instance du lieu de résidence de l'animal. :idea: A savoir La vaccination des jeunes animaux ne dispense en aucun cas le vendeur de la garantie et de la responsabilité. :idea: La procédure L'action en justice doit être intentée devant le tribunal d'instance du lieu de résidence de l'animal ou du propriétaire. Un expert, nommé par le juge, réexaminera le dossier et dressera un procès verbal. L'affaire sera ensuite jugée si aucun accord amiable n'est possible. En cas de décès de l'animal, le vendeur n'est tenu de rembourser l'acheteur que si ce dernier a porté plainte dans les délais légaux. Il devra alors prouver que la mort du chaton est bien due à l'une des maladies concernées par la loi. :idea: A savoir Pour les 4 maladies citées ci-dessus, l'action en rédhibition n'est possible que si un certificat de suspicion a été émis par un vétérinaire dans les délais définis pour chaque maladie et si elle est menée dans les 30 jours qui suivent la réception du chaton. Aucun recours ne sera possible si ces deux conditions ne sont pas respectées. Mieux vaut donc emmener votre chaton chez le vétérinaire dès son acquisition. :idea: Les maladies La leucopénie féline (typhus) Le délai d'action en rédhibition est de trente jours si un certificat de suspicion est émis par un vétérinaire dans les 5 jours qui suivent la réception du chaton. Aussi appelée typhus, cette maladie devient rare grâce à la vaccination systématique. Elle existe cependant encore chez des chatons d'élevage non ou mal vaccinés. Le chaton malade est souvent prostré, anorexique, souffre de gastro-entérite et de déshydratation. La péritonite infectieuse féline (PIF) Le délai d'action en rédhibition est de trente jours si un certificat de suspicion est émis par un vétérinaire dans les 21 jours qui suivent la réception du chaton. C'est une maladie virale, contagieuse et mortelle souvent rencontrée en élevage chez les jeunes chats. L'infection par le virus leucémogène félin (FeLV) Le délai d'action en rédhibition est de trente jours si un certificat de suspicion est émis par un vétérinaire dans les 15 jours qui suivent la réception du chaton. Cette maladie se traduit par une immuno-dépression qui rend l'animal sensible aux infections. Elle peut être dépistée par un test sérologique disponible chez les vétérinaires. L'infection par le virus de l'immuno-dépression féline (FIV) Le délai d'action en rédhibition est de trente jours après réception du chaton. Si un certificat de suspicion émis par un vétérinaire est obligatoire, aucun délai de suspicion n'a été défini pour cette maladie. Aussi appelé "SIDA du chat", cette maladie entraîne une baisse des défenses de l'organisme qui devient alors sensible à toutes les infections. Elle se traduit par des infections à répétition, notamment au niveau de la bouche. Le virus du chat (FIV) n'est absolument pas transmissible à l'homme et aux autres animaux de compagnie.

Merci pour c'est belle photos ta minine et super mimi

L'OBÉSITÉ: :idea: De plus en plus de chats deviennent obèses et des études montrent que 30 à 50 % de la population féline est en surpoids. L'obésité peut être aussi importante pour les chats que pour les humains. La prévention constitue donc le meilleur remède. Le poids des chats varie selon les races, de 2,7 kg à 8 kg. Il est assez facile de déterminer si votre chat a du poids en excès en palpant ses côtes: si vous ne parvenez pas à les sentir, votre chat a besoin d'un bon régime.Commancez par supprimer les gâteries, repas aux mauvaises heures... Respectez les proportions. Essayez de faire sortir pour qu'il se dépense et perde des calories en trop. Mais mettre son chat au régime ,n'est pas chose facile. Il faut les peser régulièrement car comme les humains, ils prennent leurs kilos au fil des mois Le poids des chats varie énormément, du singapour qui pèse moins de 2.7 kg, à l'énorme Maine coon, le plus lourd des chats de race, qui peut atteindre 8kg. Quel que soit son poids normal, un chat perd ou prend un peu de poids au fil des mois. Il n'y a pas lieu de s'en inquièter. Mais si votre chat commence à prendre régulièrement du poids, vous devez agir. Il est assez facile de déterminer si votre chat a du poids en excès en palpant ses côtes : si vous ne parvenez pas à les sentir, votre chat a besoin d'un bon régime. SOYEZ STRICT Commencez par supprimer toutes les gâteries. Lisez attentivement les indications sur l'emballage des aliments que vous donnez à votre chat et respectez les proportions, qui sont en général assez généreuses. L'un des désavantages des aliments secs qu'on laisse dans une écuelle est que les chats peuvent grapiller toute la journée. En outre, quand un chat reste enfermé longtemps dans un environnement chaud, il consomme peu d'énergie : rien d'étonnant, donc, à ce qu'il prenne du poids. DE LA FERMETE Mettre son chat au régime n'est pas chose facile. Un chat privé de sa ration normale peut aller quémander sa pitance auprès d'un voisin compréhensif. Vous pouvez enfermer votre animal pendant la durée du régime ou bien le mettre dans une pension où son alimentation sera contrôlée. Comme la plupart des chats ne mangent pas tout de suite en arrivant dans un nouvel environnement, une pension est un endroit idéal pour entamer un régime sérieux. :idea: Le saviez-vous ? :idea: ? : Il est déconseillé de donner des restes aux chats car leur régime alimentaire devient alors déséquilibré du point de vue nutritionnel. Achetez plutôt des aliments chez votre vétérinaire. ? : Il est facile de peser votre chat en l'incitant à s'asseoir sur un pèse-personne. S'il refuse, prenez-le dans vos bras et pesez-vous, puis soustrayer votre propre poids. ? : Pour contrôler le régime de votre chat de façon fiable, notez son poids.

Voila ton cas ma beaucoup touché par la maladie de ton chat j'ai donc fait quelques recherches je vous invite sur le lien suivant /viewtopic.forum?p=16231#16231 j'esper que cela pourra t'aidé courage

Le coryza du chat est une maladie complexe, car elle n’est pas dûe à un seul microbe, mais à l’association de plusieurs virus et de bactéries. :idea: Trois virus sont impliqués dans le coryza et provoquent chacun des symptômes différents : Un virus de la famille des "Herpes virus" provoquant une infection du nez et des voies respiratoires. Les symptômes sont : toux, éternuements, importants écoulements au niveau des yeux et du nez, conjonctivite et faiblesse de l’état général (perte d’appétit et fièvre).C’est le virus le plus dangereux. Il peut être mortel chez des animaux affaiblis si l’on ne met pas en place un traitement rapide. Un Calicivirus provoquant lui aussi de la fièvre et de l’abattement, des écoulements oculo-nasaux et surtout des ulcères dans la bouche (plaques rouges très nettes sur la langue ou les gencives). Ces plaies dans la bouche sont douloureuses et provoquent salivation importante et perte d’appétit. Un Réovirus bénin qui provoque quelques larmoiements. A ces atteintes virales il faut ajouter les bactéries qui très souvent se surajoutent et provoquent des complications chez les chats déjà affaiblis : pus dans les yeux et le nez. Les principaux symptômes Cette maladie touche en priorité les animaux vivant en communauté (chatterie, refuge, « famille nombreuse », chats semi-sauvages), les chatons et les adultes non vaccinés. Après une incubation courte (2 à 5 jours), les signes respiratoires (toux, éternuements), les écoulements des yeux et du nez, la perte d’appétit et parfois les tâches rouges dans la bouche apparaissent, de manière plus ou moins importante selon les animaux. Si plusieurs chats présentent les mêmes symptômes au même moment, il est fort probable qu’il s’agit du Coryza qui est une maladie très contagieuse. La contagion s’effectue, (comme pour la grippe chez l’homme), sans contact direct, par les éternuements ou quand les chats se soufflent dessus. La maladie non traitée peut évoluer vers une guérison naturelle chez certains animaux résistants. Mais attention elle peut quelquefois se compliquer d’une nécrose des os du nez, avec infection généralisée, et finir par la mort de l’animal si celui-ci est déjà affaibli et refuse de s’alimenter. Un chat guéri du Coryza peut rester porteur de longues années, et être à nouveau contagieux à la suite d’évènements tels qu’un stress, une mise-bas ou une autre maladie. Le traitement et la prévention Le traitement du Coryza se fait à base d’antibiotiques (en comprimés, en gouttes ou en injections si nécessaire). Une aérosolothérapie peut également donner de bons résultats... si le chat se montre coopératif, car il s’agit de lui faire des sortes d’inhalations plusieurs fois par jour pendant 15 minutes ! Pour les cas graves, une hospitalisation est parfois indispensable, afin de réhydrater le chat et de lui administrer une alimentation liquide par sonde. La meilleure manière de combattre le coryza félin est la vaccination : Le vaccin contre le coryza est actif à la fois contre les Calicivirus, et contre la rhinotrachéite, et l’on y associe de plus en plus souvent un vaccin contre les Chlamydias, bactéries à l’origine de complications. La vaccination se fait en deux injections à un mois d’intervalle, avec un rappel tous les ans.

Les affections renales du chien Voici une présentation des principales affections rénales du chiens ainsi que les bases diagnostiques et bases du traitement mises en place par votre vétérinaire. INSUFFISANCE RENALE Définition Il s'agit d'une défaillance du fonctionnement des reins. Cette défaillance peut être d'apparition brutale, on parle dans ce cas d'insuffisance rénale aiguë. Si elle est progressive, on la dénomme alors insuffisance rénale chronique. Cette défaillance entraîne un certain nombre de troubles graves pouvant conduire à la mort de l'animal si aucun traitement n'est mis en place. Insuffisance rénale Aiguë Quand y penser ? Les signes les plus visibles sont des modifications de la miction. Le chien se met à uriner très peu ou à ne plus uriner d'appétit et des vomissements. Il y a par ailleurs une dégradation de l'état général de l'animal avec une baisse de forme Diagnostic L'insuffisance rénale aiguë peut avoir trois origines : un trouble au niveau des reins, un trouble en amont du rein, ou un trouble en aval du rein. Le vétérinaire par son examen clinique et le recueil de l'historique de la maladie cherche d'abord les causes autres que rénales pouvant entraîner la maladie. Un examen sanguin est nécessaire pour établir le diagnostic d'insuffisance rénale. Traitement spécifique Le traitement varie en fonction du type d'insuffisance rénale diagnostiqué. Les animaux sont fréquemment en état de choc et nécessitent le plus souvent des soins intensifs avec mise sous perfusion afin de stabiliser leur état général. Insuffisance rénale Chronique Quand y penser ? Ce genre d'affection touche généralement les vieux chiens. Dans la majorité des cas il y a d'abord une baisse de l'état général, généralement mis à tort sur le compte de l'age, puis le chien perd l'appétit ou même ne se nourrit plus du tout, vomit fréquemment, se met à boire beaucoup plus et à uriner davantage. Diagnostic Le diagnostic passe par un examen clinique attentif, l'historique de la maladie et une analyse de sang. Traitement spécifique Il n'existe pas de traitement curatif de l'insuffisance rénale chronique. Une fois la maladie déclarée, le chien reste insuffisant rénal. La seule action thérapeutique consiste en un traitement médical associé à des mesures d'hygiène et des mesures diététiques strictes afin de ménager au maximum le travail des reins malades. Il n'est pas rare que l'animal soit hospitalisé dans un premier temps afin de stabiliser son état général. PYELONEPHRITE Définition Cette affection se traduit par la destruction progressive du rein due à une infection rénale bactérienne, ce qui entraîne une insuffisance rénale. Quand y penser ? Le chien va montrer les signes d'une insuffisance rénale avec un abattement profond, et de la fièvre. On a généralement des signes urinaires associés, avec notamment des urines troubles. Diagnostic Le diagnostic de l'insuffisance rénale passe par une analyse sanguine, l'identification précise de la cause, à savoir la pyélonéphrite, implique généralement une écographie. Traitement Il faut tout d'abord chercher à traiter l'origine de la pyélonéphrite. En parallèle il est indispensable de traiter l'insuffisance rénale et l'infection à l'aide d'antibiotiques. Ce traitement dépasse souvent un mois. Si un seul rein est touché, il n'est pas rare de devoir intervenir chirurgicalement afin de le retirer. GLOMERULOPATHIE Définition Un des éléments constitutif du rein est une petite structure appelé glomérule qu'on retrouve par millier dans chaque rein. Le terme glomérulopathie est un terme général pour désigner toute maladie du rein atteignant les glomérules. Chez le chien les lésions proviennent soit d'une dégénérescence ou soit d'un phénomène inflammatoire. La souffrance rénale entraîne, là encore, des symptômes d'insuffisance rénale. Quand y penser ? Le chien présente l'ensemble des symptômes d'insuffisance rénale avec l'apparition d'oedèmes marqués. Diagnostic Le vétérinaire pratique un examen d'urine, une prise de sang. Cependant, l'identification précise du type de glomérulopathie, afin d'adapter au mieux le traitrement, passe par une biopsie rénale et une analyse dans un laboratoire spécialisé. Traitement Un traitement symptomatique est mis en place, avec traitement de l'insuffisance rénale, mise en place d'un régime diététique spécifique hypo-protéique, et enfin traitement des oedèmes. Afin d'obtenir la meilleure rémission possible il faut attendre les résultats du laboratoire d'analyse. SYNDROME NEPHROTIQUE Définition Il s'agit d'un syndrome caractérisé par un oedème généralisé, avec des modifications du métabolisme. Il s'agit d'un syndrome associé à des lésions rénales de type glomérulopathie. Quand y penser ? Le signe d'appel de ce type d'affection est la présence d'oedème généralisé. Diagnostic Le diagnostic de cette affection passe par une prise de sang et une analyse d'urine. Traitement Il est nécessaire de traiter les oedèmes apparus, et d'instaurer un régime diététique spécifique sans sel et hypo-protéique si l'animal présente une insuffisance rénale.

A faire et à ne pas faire : "Mon chien s’est coupé" :idea: En marchant votre chien laisse des traces de sang... il s’est certainement coupé les coussinets ou peut-être une griffe s'est-elle arrachée… Que faut-il faire ? Ce qu’il faut faire : Comprimer la blessure afin de stopper l’hémorragie. Nettoyer la plaie à l’eau oxygénée. Faire un pansement à l’aide de compresses et de gaze après avoir rasé les poils autour de la plaie. Ce qu’il ne faut pas faire : Faire un garrot. Consultation vétérinaire ?Pas nécessaire si la coupure est petite (moins d’un centimètre), sinon le vétérinaire devra poser des points de suture.

A faire et à ne pas faire : "Mon chien est paralysé" :idea: Votre chien refuse de bouger, il est incapable de marcher ! Attention, il est des choses à faire et à ne pas faire. Voici lesquelles... Ce qu’il faut faire :Regarder s’il remue la queue, s’il bouge les pattes, si ses extrémités sont sensibles. S’il est complètement paralysé, le mettre dans son panier enroulé dans une couverture et faire venir le vétérinaire. Ce qu’il ne faut pas faire :Manipuler le chien ou tenter de le faire marcher. Consultation vétérinaire ?Impérative pour diagnostic et traitement.

A faire et à ne pas faire : "Mon chien a la patte cassée" :idea: Votre chien boite une patte en l'air, il semble qu'il ne puisse plus poser la patte à terre. Peut-être est-elle cassée ? Aniwa vous indique ce qu'il faut faire. Ce qu’il faut faire :L’emmener chez le vétérinaire d’urgence et sans mouvement brusque. Ce qu’il ne faut pas faire : Trop le manipuler et tenter de faire soi-même une attelle. Consultation vétérinaire ?Impérative en urgence dans tous les cas.

A faire et à ne pas faire : « Mon chien se gratte » :idea: En balade, votre chien s’arrête pour se gratter frénétiquement. Il fait de même à la maison. A force de se gratter, des plaies apparaissent. Que lui arrive-t-il ? Ce qu’il faut faire :Chercher si le chien a des parasites externes ou des puces, encore que celles-ci ne soient pas en permanence sur le chien. Chercher des plaies. S’il s’agit de puces, il convient de traiter le chien et son environnement. Les plaies de grattage sont souvent récidivantes. Ce qu’il ne faut pas faire :Utiliser des médicaments présentés comme étant « contre l’eczéma ». Laver le chien, car certaines maladies localisées pourraient alors s’étendre. Consultation vétérinaire ?En cas d’infection parasitaire, le traitement peut suffire. Mais certaines démangeaisons ayant une autre origine, une consultation est toujours utile.

Comment peser son animal ? Peser régulièrement votre compagnon fait partie de sa surveillance. En France, environ un chien sur 3 et un chat sur 4 est concerné par un surpoids. Certaines races sont plus touchées que d'autres : c'est le cas des Labradors, des Cockers, Teckels, Westies, Colley, Beagle, Bassets Hound, Cavaliers King Charles, etc. Pensez à bien noter le résultat sur son carnet de santé pour suivre l'évolution de sa courbe de poids. Comparez les résultats obtenus avec les standards pour sa race : on parle d'obésité si le poids de votre ami dépasse de 20 % son poids idéal. Cela peut aller très vite : 1 seul kilo en trop suffit pour un chien qui devrait faire 5 kilos ! Or, un animal en surpoids ou obèse a plus de risque qu'un animal de poids normal, de faire un diabète, de l'arthrose ou une maladie cardiovasculaire. Il est aussi plus fragile face aux infections. Conséquence : son espérance de vie est diminuée. Chaton ou chiot : le pèse aliment suffit Très précise, la balance de cuisine est idéale pour peser un chaton, un chiot de petite race ou encore, un lapin, un cochon d'inde, etc. Si vous mettez un torchon pour protéger le plateau, pensez à déduire son poids du résultat final (surtout si vous pesez un NAC de petit gabarit comme le hamster !). Vous pouvez aussi utiliser un pèse-bébé, tout aussi pratique. Attention, ne laissez jamais votre ami seul sur une balance placée en hauteur : s'il s'agit d'un chiot, il pourrait chuter et se blesser … Moins de 20 kilos : dans les bras ! Lorsque votre ami est trop gros pour la balance de cuisine, utilisez un pèse-personne traditionnel. Pour cela, commencez par vous peser seul. Puis, pesez-vous avec votre ami dans les bras et faites la différence entre les deux pour obtenir son poids. Attention, le calcul peut être erronné si vous possédez une balance à impédancemètre : ce type de balance détermine la composition corporelle par l'émission d'un courant de faible intensité, émanant d'électrodes plantaires. La mesure se fait à partir de la résistance que rencontre ce courant en passant à travers les tissus du corps et en fonction de paramètres comme votre âge, votre sexe et votre taille. C'est donc idéal pour calculer votre propre masse grasse corporelle, mais certainement pas pour calculer le poids de votre chien ! Recherchez l’existence de bourrelets Recherchez enfin l’existence de bourrelets de graisse au niveau des hanches, de la base de la queue, de l’aine et même au niveau du ventre pour les chats. Palpez les côtes Palpez ses côtes en plaçant vos doigts de part et d’autre de sa cage thoracique, derrière ses coudes. Si vous n’arrivez pas à sentir les os, sans doute existe-t-il un dépôt anormal de graisse entre la peau et ses côtes. Direction le vétérinaire ! Beaucoup de cliniques vétérinaires possèdent une balance spéciale susceptible d'accueillir un chien de gros gabarit. Elle est volontiers disposée en salle d'attente. Il vous suffit de faire monter votre ami sur ce type de balance en le plaçant bien au milieu pour connaître son poids. Faites-le au moins une fois par an, par exemple à l'occasion de son rappel de vaccin ou tous les mois si votre compagnon est au régime. Pratique : sur la table de consultation ! Certaines tables de consultation donnent en plus le poids du chien. C'est très pratique pour peser un chat ou un chien quel que soit sa taille. Trois signaux qui donnent l'alerte - Faites le test de la silhouette : si, lorsque vous regardez votre chien à la verticale, vous ne voyez plus de “creux” au niveau de sa taille, voilà qui laisse craindre un surpoids. - Palpez ses côtes en plaçant vos doigts de part et d'autre de sa cage thoracique, derrière ses coudes. Si vous n'arrivez pas à sentir les os, sans doute existe-t-il un dépôt anormal de graisse entre la peau et ses côtes. - Recherchez enfin l'existence de bourrelets de graisse au niveau des hanches, de la base de la queue, dans l'aine et même au niveau du ventre pour les chats.

Trop mimi j'adore

Merci encore je vais regardé sa de tres pres

EUROPEEN Autres noms : Européen à poils courts European Shorthair Pays d'origine : Europe continentale :idea: L'Européen à poils courts est, en Europe continentale, l'homologue du British Shorthair en Grande-Bretagne et de l'American Shorthair aux Etats-Unis. Cette race est dérivée du chat domestique commun (chat de maison ou de gouttière) par une sélection basée sur des critères esthétiques. C'est en 1925 que les chats dits " Européens " obtinrent un premier standard. Cette race, auparavant classée avec les British Shorthair, a été homologuée par la F.I.Fe en 1982. Elle n'est pas reconnue par le G.C.C.F. de Grande-Bretagne. Tête : Assez large, aux contours arrondis mais un peu plus longue que large. Crâne et front légèrement arrondis. Joues bien développées, surtout chez le mâle. Nez droit, de longueur moyenne, sans stop, dont la base est nettement définie. Menton arrondi et ferme. Oreilles : De taille moyenne, légèrement arrondies aux extrémités qui peuvent avoir des plumets. Elles sont écartées et bien dressées. Yeux : Grands, ronds, très espacés, placés légèrement en oblique. Couleur qui doit être nette, pure et en harmonie avec la robe. Cou : De longueur moyenne et musclé. Corps : Assez allongé, non ramassé. Robuste, fort, bien musclé. Poitrail large, bien développé. Pattes : De longueur moyenne, fortes, solides, s'amincissent régulièrement jusqu'aux pieds qui sont ronds et fermes. Queue : De longueur moyenne, assez forte à la base, s'effilant graduellement jusqu'à une extrémité arrondie. Robe : Fourrure courte, dense, couchée, lustrée, sans sous-poil. Toutes les couleurs sauf chocolat, lilas et colourpoint. Défaut : Corps trop grand, trop ramassé. Grande ressemblance avec le British Shorthair et l'American Shorthair. Bajoues pendantes. Stop net. Fourrure longue, laineuse. Caractère : Chat rustique, actif, dynamique, joueur. D'un caractère plus facile que le chat de gouttière, il est plus calme et plus doux. Affectueux, agréable à vivre, il est doté d'une grande faculté d'adaptation. Bon chasseur, il apprécie la vie en plein air. Son entretien est facile. Sauf pendant la mue, un brossage hebdomadaire est largement suffisant. Remarque : Mariages autorisés avec d'autres races : aucuns.

Le Chat Siamois :idea: Le Chat Siamois Ce superbe félin est un des plus connus parmi les chats de race. Le siamois, par son originalité, est le chat des paradoxes. Il possède une véritable personnalité et sait l’exprimer. Les nombreux passionnés du Siamois soulignent son élégance, sa curieuse manière de marcher sur la pointe des pieds et son miaulement rauque. On adore ou on déteste ce drôle d’animal. Une chose est sure, personne ne peut le contraindre à faire ce qu’il ne veut pas. :idea: L’histoire du Siamois Ce chat vivait au Siam, l’actuelle Thaïlande, d’où son nom. Il y fut découvert en 1884 par Owen Gould, consul général de Grande-Bretagne. Alors en mission, il découvrit la chatterie royale du roi Pradjadipok. Peu avant son départ, il soudoya un serviteur et ramena deux chatons dans son pays. Il en fit cadeau à la Reine Victoria. L’année suivante, le président de la République Française, Jules Grévy, se vit offrir par le consul de France en poste à Bangkok, deux étranges chats que l’on surnomma « princes des chats ». Leur miaulement rauque ressemblait assez au cri humain. On les installa au Jardin des Plantes, où on les étudia, attendant en vain qu’ils se reproduisent. Mais, les chats dépérirent. On pensa que la race était trop fragile. En Grande-Bretagne, le couple de Siamois, nommé Pho et Mia, fut le clou des premières expositions de chats au Crystal Palace. Les Siamois de Londres devinrent la souche de la race siamoise diffusée en Europe. Le Chat Siamois Ce superbe félin est un des plus connus parmi les chats de race. Le siamois, par son originalité, est le chat des paradoxes. Il possède une véritable personnalité et sait l’exprimer. Les nombreux passionnés du Siamois soulignent son élégance, sa curieuse manière de marcher sur la pointe des pieds et son miaulement rauque. On adore ou on déteste ce drôle d’animal. Une chose est sure, personne ne peut le contraindre à faire ce qu’il ne veut pas. :idea: L’histoire du Siamois Ce chat vivait au Siam, l’actuelle Thaïlande, d’où son nom. Il y fut découvert en 1884 par Owen Gould, consul général de Grande-Bretagne. Alors en mission, il découvrit la chatterie royale du roi Pradjadipok. Peu avant son départ, il soudoya un serviteur et ramena deux chatons dans son pays. Il en fit cadeau à la Reine Victoria. L’année suivante, le président de la République Française, Jules Grévy, se vit offrir par le consul de France en poste à Bangkok, deux étranges chats que l’on surnomma « princes des chats ». Leur miaulement rauque ressemblait assez au cri humain. On les installa au Jardin des Plantes, où on les étudia, attendant en vain qu’ils se reproduisent. Mais, les chats dépérirent. On pensa que la race était trop fragile. En Grande-Bretagne, le couple de Siamois, nommé Pho et Mia, fut le clou des premières expositions de chats au Crystal Palace. Les Siamois de Londres devinrent la souche de la race siamoise diffusée en Europe. On ne retrouva jamais la trace des chats originaires de Thaïlande. Vers 1920, des éleveurs reprirent la sélection, en utilisant une nourriture plus variée, à base de poissons. Le Siamois connut un tel engouement qu’il faillit à nouveau disparaître, victime de son succès. En effet, pour répondre à la demande, les éleveurs multiplièrent les accouplements sans tenir compte de la consanguinité. I ls obtinrent des chats faibles, laids et porteurs de nombreuses tares. En 1932, les éleveurs prirent enfin des mesures sévères. Un standard précis fut défini. C’est ainsi que le Siamois, en bonne santé, prospéra. La légende du Siamois Le Siamois était déjà présent dans les temples et palais d’Asie au XIVe siècle. D’après la légende, il doit son léger strabisme au fait que, chargé de surveiller les vases sacrés, il les fixait avec une telle attention, qu’il en louchait. Les chats Siamois qui se multiplièrent en Europe avaient tous la particularité d’avoir la queue cassée, l’ossature présentant un nœud ou une courbure. Cette courbure de la queue serait due à la coutume qui voulait que les Siamois servent de porte-bagues aux filles du roi de Siam. Au moment de la baignade, les princesses enfilaient leurs bagues sur l’appendice du chat. Ce dernier repliait sa queue et la nouait pour que les anneaux ne tombent pas. Variétés de Siamois :idea: On distingue quatre variétés : Le Seal Point : robe crème soutenu, marques brun foncé Le Blue Point : robe blanc bleuté, marques bleu ardoise Le Chocolate Point : robe ivoire, marques cocolat au lait Le Lilac Point : robe magnolia, marques gris rosé Le chaton naît tout blanc. Vers l’âge de deux mois ½, son nez commence à se colorer, et peu à peu, ses teintes se précisent. S’il est parfait, il n’aura pas de tache sur le ventre. Les professionnels ne se sont pas arrêtés aux quatre couleurs traditionnelles. Le produit de Siamois et d’Européens a donné naissance à de nouvelles races regroupées sous l’appellation de Siamois colourpoint shorthair. Les premières couleurs ont été le Red Point et le Tortie Point. Depuis peu, on trouve également le Siamois Pastel Point. Vis-à-vis du standard, les oreilles, les jambes, les pieds et la queue doivent contraster avec le reste du corps, de teinte unie. Ces zones, appelées « points » en anglais doivent toujours présenter une couleur foncée. Le caractère du Siamois Ce chat possède un caractère très particulier. Nerveux et agile, il voue une fidélité sans borne à son maître. Jaloux, démonstratif, turbulent, il manifeste un caractère excessif. Il est souvent réputé agressif. En fait, il a surtout une forte personnalité et des idées bien arrêtées. Sous ses airs hautains, il s’attache tellement à son maître qu’il est capable de se laisser mourir de faim en cas de séparation. Même son miaulement est spécifique. Ce cri rauque tient d’avantage du râle que du miaulement. C’est néanmoins un compagnon affectueux, regorgeant d’amour et de tendresse tout en sachant conserver sa personnalité. Ce chat est très intelligent et anime un foyer aussi bien qu’un être humain. Si vous n’êtes pas du genre « bonnet de nuit » et appréciez qu’un animal ait son caractère, le Siamois répondra à vos attentes. Les femelles sont d’excellentes reproductrices. Si les portées sont en moyenne de 5 à 6 chatons, elles peuvent aller jusqu’à 12.

La Perruche Callopsitte ( Nymphicus Hollandicus) Description : Le dos, le dessus des ailes et la queue sont gris souris. Le dessous des ailes est blanc. La crête et la tête sont jaunes avec une tâche orange sur les joues. La femelle a un plumage plus terne que le mâle.Mais il existe d'autres mutation , albinos,opaline,lutino............... Origine : La perruche calopsitte est originaire d'Australie centrale, oš elle vit dans des régions de savane, de paturage et aux abords des villes. Elle a été domestiqué il y a près de 2 siècles et n'a cessé de conquérir de nouveaux propriétaires. Besoin : Habituellement, la perruche calopsitte vit en groupe. Il est donc souhaitable d'en acquérir au moins deux. La cage doit donc être suffisamment grande pour accueillir deux oiseaux et leur permettre de voler. L'équipement de la cage est classique : perchoirs, mangeoires, pipettes à eau, nids et baignoire. Le régime alimentaire est composé de mélange de graines " spécial perruche ", de fruits et de légumes frais, de branches de millet, d'os de seiche et de coquilles d'huîtres préparées. De temps en temps, vous pouvez compléter le menu avec des cacahuètes, des graines de tournesol, des vitamines ou des pigments naturels en période de reproduction et de mue. Caractère : La perruche calopsitte est un oiseau très attachant, affectueux, et curieux. Bien qu'elle n'ait pas de dons particuliers pour parler et faire des tours, les mâles parfois apprennent façilement des mélodies ,c'est un oiseau social très agréable. Elle cohabite facilement dans la même cage avec d'autres espèces, à l'exception des grands perroquets qui pourraient lui infliger de graves blessures. d'autres mutations: une lutino une albinos

Merci ma winzee d'avoir repondu si vite Déja j'ai le harnée sa fait 2 ans qu'il et dans un placard et apres pour les enfants je vais les preparé en leur parlant avant que maman et papa von prendre un furet et tous se qui suis...

Dimorphisme sexuel Il existe plusieurs critères d'identification du sexe des tortues mais la difficulté est qu'ils sont souvent comparatifs et certains apparaissent très tard. Les différences observées entre deux adultes de sexe différent seront les suivantes : * la femelle est nettement plus grande * le mâle a parfois le plastron concave, ce qui facilite la position de reproduction par rapport à la dossière de la femelle * le mâle a des griffes plus longues et recourbées, ce qui l’aide à grimper sur la femelle * le cloaque du mâle est plus éloigné du plastron, et la base de la queue où se trouvent les organes génitaux est plus épaisse. Certains de ces critères sont parfois plus souvent valables pour les testudinidés (espèces terrestres et palustres). Pour ce qui est de mes deux tortues (une femelle et un mâle) je constate que * le plastron de mon mâle Graptemy pseudogeographica kohnii n’est pas du tout concave. * Ses griffes ne sont pas encore très longues * Il est effectivement beaucoup plus petit que la femelle (10 cm de carapace à 1 an contre 14 pour la femelle) mais vu qu'il s'agit de deux espèces différentes, ce critère comparatif me parait peu intéressant. Les seuls critères remarquables sont la base de la queue et l'éloignement du cloaque. Voici des photos La base de la queue de ma femelle Trachemys scripta scripta est étroite et le cloaque est fort proche du plastron. Le niveau du cloaque ne dépasse pas la dossière. En revanche mon mâle Graptemy pseudogeographica kohnii a le cloaque fort éloigné, il dépasse largement la dossière et la base de la queue est beaucoup plus épaisse.

Mon mari et moi désiron prendre un petit fufu femelle mais j'aimerais savoir les prix en moyenne je ne veut pas que l'on se face arnaqué et leurs comportement avec les enfants car j'ai deux garçons de 3 ans et 18 mois merci beaucoup dans l'attente de vous lire

Oui c'est vraiment super mega geniale

Alors bien sur que je peut t'aidé voici le lien /viewtopic.forum?t=267 c'est notre gentille modo pepite62 qui a crée cette tres belle fiche Il y a plein d'informations dans l'encyclopedie des animaux Peut tu te presenté Stp au lien suivant on aimerais te connaitre mieux :study: au lien suivant /viewforum.forum?f=38 Aide aux membres /viewtopic.forum?t=2044 :flrs:

Elle et maginfique

Que faut-il penser des croquettes ? Que penser des croquettes ? Depuis environ 10’000 ans, le chien partage la vie des humains. Nos ancêtres l’ont sans doute nourri différemment d’aujourd’hui. Cependant son appareil digestif est resté le même et le chien a le même goût que ses ancêtres sauvages. Il se nourrira toujours de viande, d’abats, de fruits et de plantes, riches en ferments, en vitamines et en sels minéraux. L’estomac du chien « contemporain » n’est pas plus fragile que celui du chien sauvage. Il ne faut pas penser que la plupart des nourritures commerciales sont mieux adaptées à l’estomac, aux intestins et au foie du chien. Des biscuits pour chiens Vers 1850, un céréalier anglais eut l’idée d’utiliser des excédents de céréales pour fabriquer des biscuits pour chiens. Ces biscuits remportèrent un grand succès comme récompenses, comme encouragements lors de dressages, comme provisions en cas de déplacement, etc. Vers la fin du XIXème siècle, c’est aux Etats-Unis que les biscuits firent leur apparition et leur fabrication devient rapidement une industrie prospère, le « dog food », accompagnée d’une publicité tapageuse. Il y a une quarantaine d’années, les propriétaires de chiens nourrissaient leurs compagnons avec de la viande crue, des abats (foie et tripes), des légumes, du riz très cuit, ce qui satisfaisait tout le monde : chiens, éleveurs, propriétaires et vétérinaires. Puis les biscuits made in USA inondèrent peu à peu le marché européen ; ce furent les croquettes à grand renfort de publicité. Les managers de publicité comprirent très vite que les jeunes vétérinaires aux études, les droguistes, les magasins spécialisés dans le commerce des animaux, les magasins de grande surface étaient des candidats rêvés pour promouvoir ces nouveaux aliments. La mode des croquettes était ainsi lancée par leur fabricant à grands coups de réclames, d’enquêtes auprès du public. Il a été facile de démontrer qu’une nourriture sèche, déshydratée, en sacs, prête à l’emploi... et une grande écuelle d’eau étaient l’aliment moderne par excellence, propre, rapide, ces dernières étant les deux qualités essentielles de l’homme moderne. Plus besoin d’aller à la boucherie, plus besoin de préparer une gamelle en se salissant les mains, plus besoin de découper de la viande, plus besoin de posséder un frigo et un congélateur. C’est nouveau, c’est new ! Et le chien ? Lui a-t-on demandé son avis ? Que contiennent les croquettes ? Des surplus de boucherie (viandes diverses, abats et graisses) dont la provenance est en principe contrôlée, des légumes de second choix, qui sont hachés, cuits, desséchés, des surplus de céréales moulues. On en fait une pâte, puis on incorpore des corps gras, des exhausteurs de goût chimiques, des vitamines de synthèse, des liants, des agents conservateurs, du sel. Les fabricants les plus soucieux testent la qualité de leurs produits sur les chiens de leurs propres chenils, analysent les crottent pour que leur consistance soit régulière. Que peut-on alors reprocher aux croquettes ? D’abord leur absence de ferments et de vitamines naturelles, qui sont détruits par la chaleur de la stérilisation, ce qui contribue à diminuer l’immunité du chien à l’égard des maladies infectieuses et chroniques, en particulier pour le bon fonctionnement des reins, du foie, des intestins. L’adjonction à hautes doses de vitamines de synthèse ne remplace pas les vitamines naturelles contenues dans la viande crue, dans les fruits et dans les légumes. Un excès de sel est nocif pour les reins et le cœur. Les céréales et la farine en trop grande quantité dans les croquettes déséquilibre le pourcentage de protéines, ainsi que les adjonctions chimiques qui provoquent une tendance à l’obésité et à une mauvaise assimilation, qui est à l’origine des crampes et des arthrites. La mode du self-service qui consiste à laisser au chien une quantité de croquettes à discrétion est le meilleur moyen de favoriser l’obésité, la dégénérescence graisseuse des organes avec le complément direct : essoufflement, fatigue du cœur et des articulations, troubles digestifs, espérance de vie diminuée. Les maladies dues à l’obésité sont les plus difficiles à traiter. Il arrive que les chiens nourris de croquettes mangent les crottes des autres chiens ou du crottin de cheval ; cela indique des carences dans l’alimentation ; le chien cherche ainsi à récupérer les ferments, les vitamines, la flore intestinale qui lui manque. Le retour à une alimentation carnée fait disparaître ce déséquilibre. Relevons que les chiens alimentés exclusivement par une nourriture sèche sont plus fréquemment victimes de torsions d’estomac. Posons-nous les questions suivantes : Mon chien est-il une chose qu’on alimente toujours avec le même produit, comme on recharge la batterie d’un téléphone mobile ou est-il un être vivant qui aime la variété dans son alimentation ? Dois-je condamner mon chien à toujours manger le même repas comme s’il n’avait ni goût, ni intelligence, ni flair, ni préférence ? Mon chien nourri de croquettes est-il moins malade ? Se gratte-t-il moins ? Vit-il plus longtemps ? Son embonpoint est-il satisfaisant ? Le nourrissage de mon chien est-il une préoccupation de bien faire pour moi ou n’ai-je pas le temps nécessaire à lui consacrer ? Une alimentation fabriquée industriellement pour le chien peut-elle vraiment substituer une nourriture naturelle ? Ne devrais-je pas changer complètement son alimentation et revenir à une alimentation carnée ? Si ces questions vous concernent, vous aurez fait un bon pas dans la bonne direction pour le bien de votre chien.