nini26

Que de belle photos ils sont vraiment tous plus beau les un que les autres;)

Trop belle:1116:

Peut tu stp allé te presenté pour que l'on puisse te connaitre plus :study: merci

Tes chiens sont superbe

Oh la pauvre bisous et courage

Si le vétérinaire confirme l'empoisonnement, même si l'animal s'en sort, pensez à lui demander un certificat que vous remettez à la Gendarmerie en déposant votre plainte. Ensuite, malheureusement, à part si vous avez un fort soupçon sur une personne et moyen de le prouver, ça risque d'être dur de coincer la personne qui a fait ça...* Prevenir le maire Voir avec les voisins si il n'on pas mis de la mort au rat dans leur combe ou le garage par exemple car il se pourrais qu'il et mangé une souris ou un rat qui eu en on mangé ?? Sachant que plusieurs plaintes ont souvent plus d'impact, demandez à d'autres personnes d'en introduire également une. Si nécessaire, prévenez également le service environnement de votre commune car le poison n'est pas seulement dangereux pour les chiens. Il l’est aussi pour les enfants, les chats et d'autres animaux. Prévenez le quartier grâce à des avis apposés dans votre voisinage. Cela pourrait intimider le fautif comme cela l’incitera peut-être à ne plus empoisonner des animaux à l’avenir. Si la police semble peu réactive, vous pouvez vous porter partie civile. Dans ce cas, il doit y avoir enquête. Si vous désirez bénéficier d’un avis juridique peu coûteux, vous pouvez vous adresser à une boutique de droit ou à un avocat. Nous vous conseillons également d'impliquer la presse et les hommes politiques locaux. associations de défense de l'environnement M.N.L.E.PACA 58 RUE ENDOUME 13007 MARSEILLE TEL 04 91 52 56 41 http://www.mappy.fr/

Au c'est trop triste courage bisous

ton histoire et vraiment trop triste sa me peine beaucoup bisous

il est trop beau bisous a toi et a lui

Un terrarium à phasmes Matériel nécessaire : 2 vitres de 600 x 360 x 4 mm.(faces latérales) 1 vitre de 600 x 350 x 4 mm.(face arrière) 2 vitres de 350 x 70 x 4 mm.(plinthes) 1 vitre de 350 x 200 x 4 mm.(plafond) 2 vitres de 360 x 358 x 4 mm.(porte et plancher) 1 charnière laiton de 470 x 25 mm. 1 plaque d'alu perforé de 1 mm.(grilles d'aération) 2 fermoirs inoxydables. 1 m de cornière plastique blanc de 10 x 10 mm. 1 tube de colle silicone incolore.(Loctite) 1 pistolet pour tube de silicone. 1 élastique. 1 pierre à aiguiser à huile. 1 sangle nylon et des coins en bois. Quelques conseils : Si vos vitres n'ont pas été meulées, préparez-les en élimant les arêtes vives des chants à la pierre à aiguiser.(pour éviter les coupures) Collez la vitre arrière sur la vitre de base : le tout étant posé sur une chaise. Collez ensuite les 2 faces latérales : le dossier maintient la vitre arrière. Collez la plinthe du bas, et brider légérement le tout en glissant des coins entre la sangle et les faces latérales. Le lendemain, posez la vitre du plafond sur une table et encollez les bords. Renversez le montage sur cette nouvelle base pour fermer le terrarium et collez la deuxième plinthe qui servira de support au plafond. Attendre 48 heures avant d'enlever au cutter le surplus de colle : éviter de lisser le silicone.(avis personnel de l'auteur pour un sens esthétique) Coupez votre grille d'aération et n'oubliez pas d'y ajouter des rebords, pliés à l'équerre, de 5 mm environ, pour que votre grille s'encastre et se colle parfaitement dans le plafond. La grille de la porte, quant à elle, aura le rebord côté charnière replié sur lui-même, pour épouser l'épaisseur du verre lors de la fermeture. La pose de la charnière ne devrait pas poser de problème si vous présentez bien la porte sur le terrarium couché. Les 2 fermoirs ont été réalisés dans des chutes d'inox et pliés en forme de crochet pour recevoir l'élastique qui maintient la porte fermée. La cornière en plastique assure la fixation de la grille sur la porte, mais peut aussi protéger celle-ci contre d'éventuelles maladresses. N'oubliez pas que le silicone possède une grande résistance à l'arrachement et non pas au cisaillement.(voir dessin)

Un nichoir pour les oiseaux de votre jardin Matériel nécessaire : 1 morceau de contre-plaqué de 180 x 180 x 10 mm. (toit) 1 morceau de contre-plaqué de 125 x 120 x 10 mm. (fond) 2 morceaux de contre-plaqué de 300 x 130 x 10 mm. (faces latérales) 1 morceau de contre-plaqué de 225 x 145 x 10 mm. (face avant) 1 morceau de contre-plaqué de 300 x 125 x 10 mm. (face arrière) 1 rond de 8 x 150 mm. (perchoir) 1 crochet fermé. des clous de 1,5 x 20 mm. de la colle à bois. du vernis. Quelques explications : Ce nichoir peut être réalisé avec des chutes de contre-plaqué mais aussi avec du chêne, du hêtre, du pin ou du sapin. Les dimensions sont données à titre indicatif et pourront être modifiées suivant l'épaisseur du bois utilisé. Le nichoir sera fixé à 3 m du sol et le trou d'envol sera orienté vers le sud ou le sud-est. La fixation se fera sur une branche à l'aide du crochet fermé, fixé au milieu du toit. (attention au centre de gravité) Suivant les oiseaux qui fréquentent votre jardin, le trou peut varier de diamètre : 28 mm pour les mésanges bleues et 32 mm pour les rouge-queues. Commencez votre installation au début du printemps, cela permettra au vernis de sécher et aux oiseaux de s'habituer à leur nouvel environnement. Et pour rendre votre nichoir plus accueillant, décorez-le en y fixant des morceaux d'écorces.

Un arbre à chat révolutionnaire Matériel nécessaire : 1 panneau de contreplaqué de 800 x 400 x 15 mm. 2 panneaux de contreplaqué de 400 x 300 x 15 mm. 1 panneau de contreplaqué de 370 x 300 x 15 mm. 2 panneaux de contreplaqué de 400 x 285 x 15 mm. 2 panneaux de contreplaqué de 300 x 300 x 3 mm. 1 morceau de sapin de 600 x 100 x 50 mm. 2 longueurs de 630 x 30 x 15 mm. 6 ronds diamètre 15 x 150 mm. 1 crochet de suspension. 5,40 m de baguette d'angle de 15 x 15 mm. (pour la finition) des pointes de 2 x 30 mm. des morceaux de moquette. un bout de tapis en coco. une chute de sisal (revêtement de seuil en paille tressée). de l'adhésif double face. Quelques précisions : Pour une fois, je ne pourrai pas vous donner d'informations supplémentaires, car je n'ai pas vu cet arbre à chat dessiné par Damien, mon neveu, et monté par Jean-Pierre, son papa (c'est toujours le même qui travaille). Seuls les dessins et la photo (c'est Régine, ma frangine qui l'a prise) vous aideront à sa réalisation. Et merci à Noémie (ma nièce) pour avoir dirigé les travaux et permis à Olympie (un short-hair) de découvrir son nouveau jouet. Comme quoi, quand toute la famille s'y met, ça peut faire des étincelles............. Mode opératoire pour l'assemblage et le montage de l'arbre à chat : Au vu des nombreuses questions que suscite cet arbre à chat, mais aussi pour aider les nanas bricoleuses qui débutent, voici quelques conseils supplémentaires. Commencer par la découpe de toutes les planches suivant le plan. Assembler la niche par collage et pointage : côté, fond, dessus et avant. La présenter sur la planche de base et la clouer. Installer le madrier le long de la niche, au milieu et le fixer par le dessous avec 2 vis. Ajuster le plateau et la planche inclinée, et fixer l'ensemble sur le madrier et sur la niche. Préparer l'échelle qui sera fixée par 2 équerres sous la planche du haut. (plateau) Procéder à la découpe des moquettes et au collage. Finir avec la pose des baguettes d'angle de finition. NB : pour un déplacement aisé de l'ensemble, coller des tampons «glissdown» sous la planche de base.

Fabriquer soi-même la niche idéale pour son chien (voir schéma plus bas) Caractéristiques de la niche A Toit réversible en pente légère formant un auvent. Il est conseillé de peindre le toit en noir d'un côté afin de faciliter l'absorption de la chaleur en hiver et en blanc de l'autre côté pour permettre de réfléchir les rayons du soleil en été. Amovible, le toit facilite également le nettoyage de la niche. B Cloison amovible que l'on peut retirer par temps chaud favorisant la circulation d'air. C Murs fixés au plancher par des boulons qui facilitent le démontage lorsque l'on veut changer la niche de place. D Seuil d'un minimum de trois pouces de hauteur permettant d'atténuer les courants d'air par temps froid. En hiver, on peut rajouter une toile épaisse à l'entrée de la niche pour que celle-ci garde davantage sa chaleur. E Plancher de bois permettant de mieux garder la chaleur et séchant rapidement. F Plate-forme sur laquelle le chien peut s'étendre au-dessus du plancher. G Cadre et supports dégageant la niche de six pouces au-dessus du sol, permettant de laisser circuler l'air et de garder la niche bien au sec. * Si votre chien hésite à entrer dans sa niche à cause de l'obscurité, levez le toit et laissez-le explorer sa « maison » pendant le jour. Déterminez les dimensions de la niche : Surface du plancher - Prévoyez 36 pouces carrés (225 cm2) de surface de plancher pour chaque pouce (2,5 cm) de hauteur entre le sol et les épaules du chien. Par exemple, un chien d'une hauteur de 20 pouces (50 cm) a besoin d'une surface de 720 pouces carrés (4,5 m2) soit 20 pouces (50 cm) X 36 pouces (91 cm). Hauteur - Afin de déterminer la hauteur que doit avoir la niche à l'Intérieur, ajoutez un ou deux pouces (2,5 ou 5 cm) à la hauteur de votre chien lorsque celui-ci est assis (depuis le haut de sa tête ou le bout de ses oreilles, selon le cas). Ainsi, pour un chien mesurant 23 pouces (58 cm) dans cette position, une niche d'environ 25 pouces (64 cm) de hauteur est suffisante. Autres parties de la niche Ouverture : 9'' X 15'' (23 cm X 38cm) Entrée : 12'' X 20 '' (30 cm X 50 cm) Chambre : 36'' X 30 '' (91 cm X 50 cm) Surface intérieure totale : 48'' X 20 '' (122 cm X 50 cm) Plate- forme : 36'' X 72 '' (91 cm X 183 cm) Toit : 36'' X 72 '' (91 cm X 183 cm) Assemblage de la niche : 1- Clouez la plate-forme en contreplaqué de 1/2'' sur un cadre de 2'' X 4''. 2- Fixez le cadre sur des pattes de 2'' X 4'' X 10''. 3- Clouez des murs en contreplaqué de 1/2'' sur des cadres de 2'' X 2''. 4- Assemblez les murs avec des boulons. 5- Fixez les murs à la plate-forme avec des boulons. 6- Fixez les charnières sur le mur arrière à l'aide de vis. 7- Fixez le toit sur les charnières à l'aide de boulons.

Merci bruno pour le poste

Pour tous seu qui veule en savoir plus sur le anolis coralinensis voici le lien qui arrive directement dans la fiche de l'encyclopedie /viewtopic.forum?p=16410#16410

anolis coralinensis Caméléon américain <A class=postlink href="http://imageshack.us" target=_blank> Si ce lézard est accessible aux débutants, il demande néanmoins une attention constante pendant les premiers jours : les animaux stressés par leur déménagement doivent être correctement nourris et vous devez leur fournir des vitamines en quantité suffisante. Maintenance : Hygrométrie à 80%, des températures de 20-22°C nuit et 26-28°C jour, avec un point chaud à 35°C sous la lampe chauffante (spot de jour). Un néon UV pour reptiles est indispensable, ainsi qu’un chauffage de nuit par infrarouge ou cordon chauffant par exemple. Il sera bénéfique d’abaisser les températures légèrement durant l’hiver, ainsi que la durée du jour. Il est déconseillé de le sortir de son terrarium, car il est très rapide et sensible au froid. Terra conseillé pour un trio : 50X50X100/ Nourriture : Il mange des insectes (grillons), mais aussi du nectar (disponible en poudre pour geckos diurnes), du miel ou des morceaux de fruits bien mûrs. N’oubliez pas les compléments vitaminés à pulvériser ou à saupoudrer, de façon régulière. En résumé : Caractère : docile Origine :Amérique du Nord Moeurs : Arboricole / Diurne Biotope : Tropical Taille adulte : 20 cm Esperance de vie : 3 ans Nourriture adaptée : insectes

Shar Pei Taille : 44 à 51 cm Poids : 20 à 30 kg Caractère : Calme, intelligent, attaché à ses maîtres Origine : Chine Utilisation : Chien de Garde et de Compagnie Le shar peï est un chien originaire de Chine et remonterait à l'époque des Han (206 av J.C / 220 ap J.C). A cette époque, les shar peï étaient utilisés comme chien de ferme, de garde ou encore de chasse. A ce moment là, ils n'étaient pas encore trés plissés. Les chiens avec beaucoup de plis ont été sélectionnés plus tard lorsqu'ils ont servi de chiens de combat dans les années 1940/1950. C'est donc à cette époque que le shar peï a été remodelé par l'homme, d'où l'apparition de ce poil rugueux et piquant désagréable à mordre pour l'adversaire, de ces yeux enfoncés difficile à blesser, de ces petites oreilles avec presque aucune prise pour la gueule de l'adversaire et de cette queue courte et effilée glissant entre la gueule de son adversaire. Quant aux plis, ils servaient tout simplement à ce que le shar peï puisse attaquer malgré les morsures de l'adversaire. Avec toute cette peau en trop, c'était ainsi plus facile pour lui de se retourner même si on le mordait déjà. Ainsi constitué, le shar peï devenait insaisisable et donc trés doué pour le combat. Bien sûr, les hommes avaient sélectionné des chiens au mauvais caractère, réputation que subit encore parfois le Shar Peï, alors que la sélection a maintenant des chiens trés équilibrés et à l'aise dans leurs plis ! C'est avec l'arrivée du communisme en Chine que tout se complique pour notre ami à plis. L'état instaure une taxe sur les chiens et nos shar peï deviennent vite inutiles. Ils sont abandonnés, ne vivant plus que par eux même. La race décline vite. C'est alors qu'un passionné de la race, le sauveur des Shar Peï (Magto law) décide de sauver la race de l'extinction et d'en envoyer quelques uns aux Etas Unis. Là bas, un programme de reproduction de la race a pu être mis au point. Voilà pourquoi on a dit pendant longtemps que c'était la race la plus rare et la plus chère au monde. Le shar peï est maintenant présent sur les 5 continents. C'est un chien calme, équilibré, et très attaché à sa famille. Il fait le bonheur de chaque propriétaire ! Son caractère est très attachant et on le compare souvent au chat : il n' aime pas l'eau, refuse de sortir sous la pluie et évite les flaques. Il n'est d'ailleurs pas rare de voir les chiots de 2 mois déjà propres. C'est un chien très sensible qui a besoin de la reconnaissance de ses maîtres. Si on gagne sa confiance, ce sera un compagnon à emmener partout avec soi. D'une grande patience il saura très bien se tenir en public.

Leonberg Taille : 65 à 80 cm et + Poids : 40 à 75 kg Caractère : Doux, têtu et affectueux Origine : Allemagne Utilisation : Chien de compagnie Le Leonberg est un grand chien imposant par sa masse, mais toujours élégant et sans lourdeur. Il possède une jolie robe à poils longs et fournis dont la couleur varie du sable charbonné au fauve charbonné ; une puissante encolure et une démarche assurée; les oreilles haut placées, tombantes, souvent ourlés de noir, les yeux en amande et un joli masque noir. C’est un animal doux, débordant d’affection pour ses proches. S’il donne toute sa tendresse à ses maîtres, il réclame en retour beaucoup d’affection et reste parfois distant avec les étrangers. Il a des aptitudes pour la recherche en avalanche, le travail de pistage, le travail à l’eau, l’agility, etc…. A la fin des années trente et au début des années quarante du 19e siècle, Heinrich Essig, conseiller municipal à Léonberg près de Stuttgart croisa une chienne Terre-Neuve noir et blanc avec un mâle du nom de "Barry", chien St Bernard originaire de l'hospice du même nom. Plus tard un chien de montagne des Pyrénées enrichit ce croisement. Il en résulta de très grands chiens à poil blanc, en majorité à poil long. Le but recherché par Essig était de créer un chien à l'aspect léonin, le lion étant l'emblème héraldique de la ville de Léonberg. Les premiers chiens vraiment dignes de porter le nom de "Chiens de Léonberg" naquirent en 1846. Ils cumulaient les excellentes qualités des races dont ils descendaient. Peu de temps après, vu leur caractère de symbole, un bon nombre de ces chiens furent exportés de Léonberg et disséminés sur toute la terre. A la fin du 19e siècle, en Bade-Wurtemberg, le Chien de Léonberg était de préférence utilisé comme chien de ferme ; ses qualités de chien de garde et de trait étaient très appréciées. Pendant les deux guerres mondiales et vu les pénuries des années d'après-guerre, le nombre des chiens d'élevage diminua de façon dramatique. Aujourd'hui, le " Chien de Léonberg " est un excellent chien de famille qui répond parfaitement à toutes les exigences imposées par la vie moderne. Conformément à sa destinée utilitaire d'origine, le Chien de Léonberg est un grand chien puissant et bien musclé, mais qui reste élégant. Il se distingue par l'équilibre de ses proportions et par la maîtrise de son tempérament plein de vivacité. Les mâles sont tout spécialement imposants et forts. En tant que chien de famille, dans les conditions actuelles de vie et d'habitat, le Chien de Léonberg est un compagnon agréable qu'on peut emmener partout sans difficultés et qui se distingue par son amour prononcé pour les enfants.

Matin de Naples Taille : 60 à 75 cm Poids : 55 à 90 kg Caractère : Calme, "pot de colle" Origine : Italie Utilisation : Chien de Garde Le Mâtin de Naples est issu des grands molosses qui, après avoir combattu avec Alexandre le grand seraient arrivés en Italie au 1er siècle. Le Mâtin était alors utilisé comme chien de guerre, se battant bardé de cuir à côté des légions romaines, Il combattait également les fauves ou les gladiateurs dans les célèbres jeux du cirque. Il pouvait aussi être utilisé comme chien de garde dans les grandes propriétés. C'est d'ailleurs cette dernière utilisation qui lui permettra de traverser les siècles après le déclin de l'empire romain. On le retrouve au moyen âge, toujours gardien et combattant... Puis vers le 19 ème siècle où il est utilisé comme chien de boucher et toujours comme gardien des grandes propriétés !!!! La pauvreté du sud de l'Italie se faisant de plus en plus ressentir, les effectifs de notre Mâtin déclinent alors doucement jusqu'en 1946 où 8 sujets sont présentés pour la première fois à l'exposition canine de Naples. Lors de cette exposition, les Mâtins sont alors remarqués par quelque futurs passionnés qui vont développer et diffuser la race. Le mâtin de Naples est un chien très calme, particulièrement « pot de colle » avec ses propriétaires. Il est un agréable et patient « copain » pour les enfants, son instinct de protection étant particulièrement développé (attention aux débordements lors de « chahuts » où le chien pourrait intervenir en protection de son jeune maître). Attention, le Mâtin Napolitain n'est pas un chien sportif !!!! Le Mâtin n'est plus le fauve redoutable qu'il était autrefois, il est maintenant un compagnon de la famille agréable et câlin, mais il reste un gardien dissuasif qui saura reconnaître le danger et protéger les siens.

Je vous invite ici a parlé les métiers autour des animaux :idea: j'ai fais une petite recherche, et voilà les sites qui pourrez vous apporter des informations : Recherches pour une formation d'assistante vétérinaire: http://www.animal-services.com/sites/metier_asv.php3 Pour devenir aide soignante, un autre site: http://www.emploi-medical.com/formation/fo...idesoignant.htm Toutes les écoles préparant au concours http://www.sante.gouv.fr/ Renseignements utiles http://v4.orientation.fr/question-42958-Devenir_assistant_veterinaire.html PS : Je vais en parlé pour cette section

Mes je suis ravis que sa t'interesse :bisous :

J'ai trouvé sa esceque sa pourra t'aidé :flrs: AM modifiant les arrêtés de protection faune Sont désormais exclus des interdictions de transport, commerce et naturalisation fixées par les différents arrêtés de protection de la faune française : - les antiquités (AM du 29/07/2005) - les mammifères "protégés territoire national et Guyane" nés captifs - les mammifères "protégés territoire national et Guyane" légalement introduits en France - les mammifères marins "protégés territoire national" nés captifs - les mammifères marins "protégés territoire national" légalement introduits en France - les oiseaux "protégés territoire national et Guyane" nés captifs (AM du 24/03/2006) - les oiseaux "protégés territoire national et Guyane" légalement introduits en France - les oiseaux "protégés TAAF" nés captifs - les oiseaux "protégés TAAF" légalement introduits en France - les reptiles et amphibiens "protégés territoire national et Guyane" nés captifs - les reptiles et amphibiens "protégés territoire national et Guyane" légalement introduits en France - les insectes "protégés territoire national et Ile de France" nés captifs - les insectes "protégés territoire national et Ile de France" légalement introduits en France On entend par “antiquités” les objets travaillés datant d'avant le 1er juin 1947 (AM du 29/07/2005) On entend par "nés captifs" les spécimens de sources C, D ou F. On entend par "légalement introduits en France" les spécimens en provenance de pays tiers ou d'autres Etats membres UE introduits en France conformément à la réglementation (ou aux réglementations) en vigueur au moment de l'introduction. Les restrictions et obligations fixées par le règlement (CE) n° 338/97 continuent de s'appliquer pour ces spécimens, le cas échéant. http://cites.ecologie.gouv.fr/v1/upload/AM%202006%20juillet%2024%20modifiant%20AM%20protection.pdf

Il se trouve une aides pour les membres regarde dessus il y a des explication comment inseré une photos Lien de l'aide /viewtopic.forum?t=2044

AKITA Autres noms : Japanese Akita - Chien japonais d'Akita Pays d'origine : Japon :idea: Provenant de la province d'Akita, sur l'île de Honshu, sous le nom de ''Akita Matagi'' (chien de chasse à l'ours), l'Akita figurait parmi les chiens de chasse de taille moyenne. Cette race, dont les ancêtres seraient des chiens chinois, fut par la suite croisée avec un Mâtin et avec le Tosa. De ce fait, il fut longtemps utilisé comme chien de chasse du gros gibier et chien de combat. Après une période de déclin, cette race, désignée comme faisant partie du patrimoine naturel national japonais, devint très populaire. Ce chien, le plus grand des chiens japonais de type ''Spitz'', devenu presque exclusivement un chien de compagnie, est très prisé en Europe et aux Etats-Unis où un type plus lourd (50 kg) est développé. Il est arrivé en France en 1981. :idea: Robuste, vigoureux, très courageux, indépendant, fier mais également calme. Docile, facile à vivre, c'est un bon compagnon. Méfiant envers les étrangers, vigilant mais peu aboyeur, il se révèle être un excellent gardien. Dominateur, il cohabite difficilement avec ses congénères. Il doit être éduqué avec fermeté mais sans brutalité. :idea: Grand sportif, la vie en appartement ne lui convient que s'il peut se dépenser quotidiennement. Brossage quotidien. Etrillage lors des mues. :idea: Chien de garde. Chien d'utilité (auxiliaire de police, guide d'aveugle). Chien de compagnie. Tête : Forte. Front large. Stop marqué avec un sillon frontal net. Chanfrein droit. Museau assez long et fort. Lèvres serrées. Oreilles : Petites, épaisses, triangulaires, légèrement arrondies à leur extrémité. Dressées et inclinées vers l'avant. Yeux : Petits, presque triangulaires, brun foncé. Corps : Allongé. Cou épais, musclé et sans fanon. Poitrine haute. Côtes modérément cintrées. Ventre bien relevé. Queue : Attachée haut, épaisse, bien enroulée sur le dos. Poil : Court, dur, droit. Plus long sur le garrot, la croupe, et encore plus sur la queue. Sous-poil souple et dense. Robe : Rouge, sésame, bringée et blanche. Les couleurs citées, excepté le blanc, doivent présenter l'''urajiro'' poil blanchâtre sur les faces latérales du museau, les joues, sous la mâchoire, sur la gorge, le poitrail et le ventre, sur la face inférieure de la queue et la face interne des membres. Taille : Mâle : 67 cm (de 64 à 70 cm). Femelle : 61 cm (de 58 à 64cm). Poids : De 30 à 50 kg. Groupe : Chiens de type Spitz et de type primitif

Comment administrer un médicament à mon oiseau? Les particularités anatomiques et comportementales des oiseaux de cage et de volière en font des animaux de manipulation difficile et délicate. L’administration des médicaments, que ce soit des traitements préventifs (vermifuges par exemple) comme des traitements à visée curative prescrits par votre vétérinaire devra se faire selon une méthode bien précise, alliant efficacité et innocuité. :idea: 1. La capture Avant d’ouvrir la cage, il faudra être extrêmement vigilant et veiller à fermer toutes les issues, portes comme fenêtres. On bouchera également tous les conduits et bouches d’aérations par lesquelles les petits formats sont susceptibles de d’échapper. Tous les dangers potentiels en cas de fuite dans la pièce devront être éliminés : arrêtez les ventilateurs, faites sortir le chien ou le chat, cachez les miroirs et tous les objets dans lesquels l’oiseau pourrait se percuter. La capture des oiseaux de petite taille est plus facile dans l’obscurité, lorsque la cage a été débarrassée de tous les accessoires. Elle est réalisée de préférence à mains nues, ou à l’aide d’un filet à mailles serrées. Les oiseaux de taille moyenne et de grande taille peuvent être saisis à l’aide de gants ou d’une serviette de toilette. En se plaçant derrière lui alors qu'une autre personne attire son attention, on le saisit rapidement en l’enveloppant dans la serviette, en prenant soin de garder les ailes repliées et plaquées contre le corps. :idea: 2. La contention. Les oiseaux de petite taille (moins de 100 gr) comme les passériformes seront contenus en tenant la tête entre l’index et le majeur, et en recouvrant (sans serrer) le reste du corps avec les autres doigts. Les oiseaux inoffensifs de taille moyenne (de 100 gr à 1 kg) doivent être contenus en tenant la nuque entre en pince entre le pouce et l’index, le dos étant placé dans la paume de la main et le ventre recouvert par les autres doigts. Les oiseaux agressifs de taille moyenne et les oiseaux de grande taille (1 à 2 kg) devront être tenus à deux mains. Saisissez la nuque à la base de la mâchoire entre le pouce et l’index afin d’éviter les coups de bec. Le dos de l’oiseau prend appui sur la paume. De l’autre main, maintenez les pattes. :idea: 3. Les voies d’administration. Tout comme pour les autres animaux, on distingue plusieurs modes d’administration possibles. La voie respiratoire, la voie orale, la voie percutanée et la voie injectable sont les méthodes les plus utilisées. Les méthodes d’injection ne seront pas abordées ici, car réservées aux vétérinaires. :idea: · La voie respiratoire. Il s’agit des aérosols. Il convient de se procurer un nébulisateur (chez votre pharmacien, ou éventuellement en location chez certains vétérinaires). Cet appareil permet de créer des microgoutellettes de moins de 0,5 microns qui contiennent le médicament. Grâce à leur taille, ces particules pénètrent jusqu’à l’appareil respiratoire profond. Cette technique est idéale pour les pathologies pulmonaires, en particulier infectieuses. Le nébulisateur est placé à proximité immédiate de la cage, et le tout est recouvert d’une serviette afin de créer une enceinte close. :idea: · La voie orale. Il existe plusieurs techniques possibles pour faire avaler un médicament à un oiseau. :idea: -Dans l’eau de boisson : Fréquemment conseillée par les détaillants ou les éleveurs, cette voie d’administration, bien que facile, n’est pas de la plus grande efficacité, et peut même s ‘avérer dangereuse. En effet, la consommation d’eau est irrégulière dans la journée, et parfois variable selon le sexe. De plus, elle peut être réduite en cas de pathologie. Les concentrations thérapeutiques du médicament ne sont en général pas atteintes aux doses préconisées. C’est pourtant la seule voie d’administration possible pour les petits formats. Il convient donc d’augmenter les doses de façon à être sûr que l’animal en absorbera une quantité suffisante, tout en ne dépassant pas le seuil de toxicité. En particulier, les passériformes sont des oiseaux qui ne boivent que 250 à 300 ml d’eau par kg et par jour, et il faudra donc adapter en conséquence les doses de médicaments ayant une toxicité rénale. On comprendra aisément qu’il n’y a donc rien de précis possible, d’où de gros inconvénients de manque d’efficacité, voire d’accidents de surdosage. Une autre technique consiste à assoiffer l’oiseau plusieurs heures avant de lui mettre son eau à disposition. On pourra également camoufler le goût du médicament en ajoutant un peu de sucre ou de jus de fruit. Mais la prudence reste de rigueur. :idea: -Dans la nourriture : On observe les mêmes inconvénients de manque de précision que dans l’eau de boisson : cette méthode est donc à éviter si possible, d’autant plus qu’un oiseau malade est souvent anorexique. :idea: -Le gavage : En dehors des injections, c’est la seule méthode réellement précise. Les comprimés et gélules adaptés aux autres animaux seront écrasés, réduits en poudre, et dilués dans de l’eau. L’administration se fait à l’aide d’une seringue, sur laquelle on adapte un tuyau de plastique souple ou une sonde en métal à embout arrondi en « olive » que l’on introduit directement dans le jabot. La tête sera maintenue dans le prolongement du corps, et les manipulations se feront en douceur et sans forcer. :idea: · La voie percutanée. Il s’agit de préparations médicamenteuses sous forme de patch, de liquide à excipients huileux ayant une bonne pénétration transcutanée, ou de pommades. Ces médicaments seront administrés sur la membrane alaire ou sur la région du cou. Il faudra se méfier de l’ingestion possible de ces médicaments lors du lissage des plumes. Prévoyez une collerette ou limitez l’application à de toutes petites quantités. De plus, certains produits peuvent provoquer une chute des plumes, favorisant des hypothermies dangereuses. Vous l’aurez compris, l’administration des médicaments chez les oiseaux, et en particulier les oiseaux de petite taille, peut s’avérer être un véritable casse-tête. N’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire, qui pourra également vous apprendre à pratiquer des injections, méthode qui reste encore la plus précise et la plus sécurisante pour tout le monde