David63

Avec un tel pseudo, obligé! Cet article va peu être t'intéresser (de Jean Lambinon) L'élevage commence par l'installation d'un aquarium rudimentaire. Qui peut être remplacé par un bac en plastique ou autre... Les seuls éléments indispensables ne coûtent pas très cher: une petite pompe à air et un filtre «sous gravier», à diffuseur inclus dans la cheminée, que l'on installe dans un coin de l'aquarium ou du bac. On se procure ensuite du sable à gros grains en l'achetant dans un magasin aquariophile ou en tamisant deux fois du sable de récupération (une fois pour enlever les cailloux, la seconde pour enlever le sable fin qui risquerait de former une croûte à la surface). Il doit occuper le fond de l'aquarium sur au moins huit centimètres d'épaisseur. Avant de le répandre, dans tous les cas, il est indispensable de le laver abondamment en le remuant. Le plus simple consiste à le mettre dans un seau et à le brasser avec le pommeau d'une douche. On le verse sur le filtre, puis on l'égalise. On remplit d'eau. A l'intérieur, on peut installer une rampe lumineuse munie d'un tube Grolux «horticole» qui permet le développement d'une vie végétale. La lumière du jour suffit largement, si on a installé le tout dans un bac dont les vitres latérales ont été opacifiées. Attention simplement à ne jamais exposer un tel aquarium directement aux rayons du soleil. Il s'échaufferait rapidement et ses pensionnaires périraient à brève échéance. Pompe et lumière en marche, on attend une petite semaine, que l'eau commence à vivre et « vieillisse», comme disent les aquariophiles. La pompe remplit un double rôle ; oxygéner l'eau en la faisant circuler à travers le sable, multiplier la population de bactéries dénitrifiantes qui lui permettront de rester saine, malgré tout ce que nous allons y mettre ! Justement, avant d'introduire les premiers animaux, précisons quelques points mal connus... La température idéale se situe autour de 18°C; j'ai remarqué que les plus grosses espèces se développaient plus vite vers 20-22°C, et même au-dessus, mais l'équilibre devient de plus en plus fragile et tout crève au moindre problème. Ensuite comme nous l'avons vu, les gammares sont détritivores, donc mangent à peu près n'importe quoi. Pourtant, le choix de la nourriture n'est pas très vaste, car en milieu clos, même en présence de nourriture abondante, ils deviennent cannibales s'ils ne disposent pas d'abris nombreux... Etant donné que les petits sont presque invisibles à l'oeil nu à la naissance, on a alors l'impression que le processus de reproduction est arrêté pour une cause inconnue. La première méthode, élégante, consiste à planter toute la surface de I"aquarium de Myriophylles, Fontinalis et autres plantes touffues. C'est possible avec une température de 15 à 18°C. , alors les gammares les colonisent très vite. On les récolte facilement en passant une petite épuisette d'aquarium dans le «chevelu» des plantes. Petit truc pour bouturer une Myriophylle: on coupe la partie supérieure et avant de plonger le gros bout de la tige dans le sable, on enlève les feuilles qui garnissent toute la partie qui sera enterrée. Sinon, la plante pourrit au lieu d'émettre des racines. Une autre plante donne des résultats encore meilleurs : le Riccia, bien connu des aquariophiles, qui flotte en surface et ne nécessite qu'une faible hauteur d'eau. La «mousse de Java» convient aussi bien. Mais on ne peut jamais garantir qu'une plante, même très rustique, va se plaire et prospérer dans tel ou tel aquarium. D'autre part les rendements obtenus avec cette méthode «douce» restent fort modestes. Aussi a-t-il fallu envisager une méthode un peu plus délicate. Au bout d'une longue série d'essais étalés sur un peu plus d'un an, nous avons à peu près tout essayé. Le matériau parfait, idéal est malheureusement un peu trop cher pour cause de rareté : c'est l'éponge naturelle de mer. Il suffit d'une génération (un peu plus d'un mois) pour qu'une éponge soit entièrement colonisée. Encore un mois et elle est dévorée en entier. Si on n'a rien prévu d'autre, le cannibalisme fait des ravages.

Hello Je donne suite à mes problèmes de No2 et No3. Après mesure (gouttes) de mes No3 à +de 50 je décide de faire un changement d'eau d'environ 25% et de rajouter de la salvinia natans provenant de mon autre bac. Dés le lendemain je remarque une nette amélioration de l'activité de mes crecres, je mesure mes No3 et note une baise entre 30 et 50. Depuis mes petites pensionnaires sont carrément plus active. Par contre ses foutus No2 yoyotent toujours de 0 à 0.05 Est ce que je continu à effectuer des petits changements d'eau pour baisser mes No3? Une questions concernant les algues verte (dû au no3), peuvent elles,en se décomposant, être en partie rèsponsable de mes nitrites?

Ok, pour le moment et sauf un avis différent mon pH n'est pas problématique pour de la neocaridina. Par contre, par curiosité, si mon kh "fait tampon" pourquoi mon pH a augmenté, c'est peut-être idiot ce que je dis.

Bon, après mesure, toujours 7,5/7,6 de pH.

En rentrant du taf, je referais une mesure de pH, j'ai fait un 30% de changement d'eau il y a 3 jours avec de l'eau de conduite(pour faire chuter mes no3, mesuré à 50, certainement le résultat de l'après pic de no2), je n'ai pas refait de mesure de pH depuis

Mes roche ont elles eu une incidence sur le ph? J'ai injecté du CO2 pour le start les 3 premières semaines, peu être une petite dissolution des roches à eu pour effet d'augmenter la dureté et le ph à suivie...?

Merci pour ta réponse Gammarus.

Respect, maintenir tout ces bac cela doit être un job à plein temps. Pas de Carnegiella en maintenance?

Attention les Danio (Microrasbora) n'ont pas leur place dans un 20L.

alliga à raison, avant tout règle ton problème de population, dans ces 20l Guppy et hyphessobrycon amandae n'ont pas leur place. A mon avis le crabe, oublie. Pour les Neritina attention si ton bac et dépourvu d'algues ils risquent de mourir de faim. Un petit conseil, si tu ne la pas fait, c'est de t'équiper en test gouttes (no3,no2,ph,gh,kh) qui te seront indispensable pour assurer un bonne maintenance de ton nano.

À pointes, c'est des clithons ?

J'ai eu la même chose sur ma racine Araignée, je confirme cela va disparaître tout seul.

Bonjour à tous. Je me pose une question concernant les paramètres de l'eau que je doit introduire dans mon bac 30L (changements d'eau,combler évaporation). Les paramètres actuels de mon bac: Ph 7.5/7.6 Kh 5 Gh 9 Les paramètres de mon eau de conduite: Ph 7 Kh 4 Gh 3 J'ai dans mon bac quelques roches "Sukima stone" qui sont légèrement calcaire et de ce fait agissent sur la dureté, même si cela n'est pas recommandé, pour le moment je n'ai pas l'impression qu'elles créent un problème. Pas de sol technique bien sûre. Le bac est peuplé de bloody Mary. Faut il que j'utilise l'eau de conduite au paramètres différents de mon bac ou une eau de source qui colle à mes paramètres? Si j'utilise une eau de source plus minéralisé que mon eau de conduite mes roches risque de me poser problème, non?(vu que gh et kh augmentent par la suite) Ces questions dans l'idée de préserver la santé de mes crecres. Bon j'espère avoir été clair

Amuse toi bien

Plutôt que de tailler,et si tu as possibilité, tu devrais utiliser une petite meuleuse, avec un disque adapté tu pourras faire un bon travail d'ajustage sans risquer de faire du gâchis. Attention de ne pas oublier les protections:lunettes...etc Là, en s'appliquant un peu tu pourras ajuster au mieux et créer l'effet compact ( d'un seul bloc)

Retailler des okho stone ça risque d'être chaud, elles doivent être friable et tu risques de te retrouver avec des coupes trop net (pas très hystérique) Après il faut faire un essai sur une pierre.

Je vois difficilement comment mettre en œuvre ton idée. Par contre avec de la Christmas Moss (vesicularia sp) ce sera du plus bel effet.

Qu'est-ce que tu entends par retravailler les pierres ?

Pour mettre en valeur les aspérités il faut passer un peu de temps à nettoyer le dépôt argileux. Je m'avancerai a dire un coup de lavage haute pression pour un nettoyage en profondeur, peu être faire un essai sur une pierre.

Par contre à prévoir un sérieux nettoyage sur ces pierres

Après une petite recherche il aurait en effet une différence de taille entre Corneus (planorbe géante) et Duryii. Autant pour moi, comme quoi il faut se méfier des appellations données sur les sites spécialisés. Merci pour l'info corrective. Planorbella duryi/Planorbarius corneus Source:aquariumnano.blogspot

Ok, merci pour vos réponses. Des précautions sont à prendre pour l'utilisation de la poudre de montmorillonite ? Mes cagouilles cohabitent avec des "nez rouge" et poissons "Hachette". Arrive t'on a gérer la dureté selon le dosage ou cela reste aléatoire?

Planorbarius corneus corneus,ce n'est pas son nom scientifique?

J'ai trouvé cette idée de désinfectant (Publié par sophieaunaturel) pour une approche plus naturel, à voir si ça peu être intéressant en aquariophilie. Le désinfectant naturel, remplaçant de l'eau de javel Voici un p'tit produit désinfectant ménager, que vous pouvez même emporter dans votre sac à main. Oui, oui, c'est bien utile lorsqu'on partage des toilettes (camping, toilettes du bureau...). Ici, pour une version sac à main de 30 ml Ingrédients : 1 cuillère à café de bicarbonate de soude : ça ressemble à une poudre fine, un peu comme du sel. Il a des propriétés nettoyantes (abrasif doux), neutralise les odeurs. Le bicarbonate se trouve en supermarché, magasin bio... (coût de 1,5 à 5€ les 500g) 20 ml de vinaigre blanc (ou d'alcool) : propriétés désinfectantes, anti-fongiques (champignons), anti-parasites, désodorisantes, détartrantes... Je vous conseille d'acheter le premier prix en supermarché (moins de 1€ de litre ! ) 10 ml d'alcool à 70° : désinfectant puissant 5 gouttes d'huile essentielle de citron ou pin sylvestre ou menthe poivrée au choix, selon l'odeur qui vous plait, en plus c'est aussi désinfectant et antimicrobien. Coût des ingrédients : 0,50€ sans le flacon (à récupérer !) La recette (ultra simple) : Versez dans un bol le bicarbonate de soude. Ajoutez le vinaigre, ça mousse. Quand le mélange ne mousse plus, vous pouvez ajoutez l'alcool et les huiles essentielles. Mélangez brièvement, ça mousse encore, en général. Versez ensuite le liquide dans un flacon pulvérisateur, à emmener dans le sac à main, par exemple. Il vous reste à coller un étiquette en notant les ingrédients. C'est utile de savoir ce qu'il y a dedans, vous souvenir du mélange. Utilisation : un ou deux pschiit suivis d'un coup de chiffon pour nettoyer les surfaces à désinfecter. Vous pouvez aussi faire la même version en plus grand contenant (toujours pulvérisateur pour les toilettes de la maison, ou le ménage en général). Ce liquide n'est pas dangereux en soi, presque comestible, donc pas d'accident domestique ! On sort ainsi de la javelmania, très nuisible pour l'environnement.