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CedrikG1

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Tout ce qui a été posté par CedrikG1

  1. Merci Beaucoup a tous, desoler du delait Jolie photo, ca m'inspire pour en faire d'avantage
  2. Génial ca ALAIN ca devra aller dans le spot-it de Martin sur les liens importants.
  3. Sylvain lol, j'sais pas pourquoi j'ai toujours le reflex de t'appeler Sylvain, t'a vraiment une face a Sylvain ... t'es sur tu t'appel pas Sylvain :? Pour ce qui est de faire des position de défense, les P.lugardi se débrouille tres bien, autant que sa petite soeur.
  4. Sylvain, Perso, les P.lugardi que j'ai eu la chance de garder étaient autant défensive que les P.murinus que j'ai eu. La seul petite différence, si je fais une moyenne de tous les specimens des deux especes que j'ai eu, est que la P.lugardi est moins suspecte à fuire tres rapidement ... La P.murinus va generalement faire une position de defense, attaquer en l'air 2-3-5 ... 10 fois parfois, et finalement prenne fuite tres rapidement, ce qui est définitivement plus dure a gérer. P.lugardi, oui ca arrive qu'elle fasse la meme chose mais, perso, je trouve que over all, cest moins fréquent. Cela dit, le pire male mature que j'ai eu la chance d'avoir est de l'espece P.lugardi, qui était alors la ... un sal putin de conard avec un caractere de cochon Tres difficile d'avoir un control sur ce genre d'individu.
  5. Cette espèce tire le plus souvent vers le beige pale, même a cette grosseur. Ce qui m'enbête avec ce spécimen est l'abdomen qui diffère de couleure avec le reste du corps. Plus, les marques abdominales sont moins caracteristique d'une P.lugardi, tu sais habituellement je regarde et d'un coup d'oeil je te dirai si c'est une P.murinus ou P.lugardi, les deux parfois confondues. Cela dit sur ce spécimen, je trouve qu'il y a un peu des deux ... Je doute que ce soit hybrid, quand je posais la question cetait pour m'en assurer, mais ton spécimen est pas comme tous les autres qu'on voit, il est différent un peu c'est intéressant, c'est pour ca que je t'avais demandé si t'étais interessé a l'échanger y'a de ca plusieurs mois, tu te rappel ? J'avais déjà remarqué la différence. T'as pas mordu a l'apas, grrrr
  6. Alain, J'en ai parlé avec un collegue qui m'a dit qu'a son avis tout est normal chez ta P. lugardi, que la couleure importe peu en fait, surtout sur photo, ce que nous savons tous bien sur. Cela dit parfois ca nous échappe surtout dans une différence aussi marquante. Le fait que ton spécimen soit relativement jeune, peut expliquer pourquoi il a cette couleure. Cela dit j'aimerais bien examiner une exuvie de plus proche, peut-être elle cache des choses interessantes qui sait. A+, Cédrik.
  7. Alain, je voulais t'en parler mais j'attendais de t'appeler. Je trouve que le specimen présenté plus haut est très étrange, par sa couleure, son abdomen et ses marques abdominales ... aucun doute qu'il n'y a pas de risque qu'il soit hybrid ? des chances que tu puisse menvoyer la prochaine exuvie ?
  8. Alain, tu es rendu pas mal big dans ce groupe C'est vraiment cool, se specialiser dans un groupe, ca permet de gratter plus en profondeur. T'inquiete je vais t'appeler bientot, j'ai pas une seconde a moi ... 7/7 10 heure par jour de travail. Continu tes efforts, A+!
  9. CedrikG1

    Diverses mutations

    Héé ca me dit quelque chose ce specimen la Tu controle définitivement le marché des Africaines, félicitation Une sacrée chance que tu es là.
  10. Woops .... en fait il manque une énorme partie a la fiche! Seul le tier a été retranscrie, j'essarai d'arranger ca quand j'aurai du temps pour moi
  11. Merci beaucoup Martin et non ca me fais plaisir! Comme tu as dit, ca remonte a un bon moment l'écriture de cette fiche, y'a sans aucun doutes des fautes et je n'ai plus le temps, a mon tour, de le reviser Amuse toi!
  12. Salut tout le monde, j'ai pensé faire une petite fiche generale sur le genre Pterinochilus, juste une petite présentation. Si vous voyez des choses à corriger, hésitez pas je suis très ouvert. Genre Pterinochilus Ce genre contient 7 espèces pour le moment. Pterinochilus murinus POCOCK, 1897. RCF* - UMV* - TCF* - DCF Pterinochilus chordatus GERSTÄCHER, 1873. LCF* - DCF - TCF* Pterinochilus lugardi POCOCK, 1900 * Pterinochilus alluaudi BERLAND, 1914 Pterinochilus leetzi SCHMIDT, 2002 Pterinochilus simoni BERLAND, 1917 Pterinochilus vorax POCOCK, 1897 Genre identifié par POCOCK en 1897 avec un mâle de l'espèce Pterinochilus vorax trouvé au Fwambo, à l'ouest de la Tanzanie. L'identification de la Pterinochilus murinus a suivi immédiatement après, dans la même année. Ce sont des théraphosidae qui peuvent être petits ou larges, c'est à dire environ 2 à 6 cm de corp pour les femelles et 2 à 5 cm de corp pour les mâles, dépendant de l'espèce. Les Pterinochilus sont très répendues à travers l'Afrique, on les retrouve entre autre au Sudan, Ethiopoe, Kenya, Tanzanie, Zimbabwe, Mozambique, Zambie, Zaïre, Afrique du Sud, Namibie, Angola ... Les especes Pterinochilus lugardi, Pterinochilus chordatus, Pterinochilus murinus sont disponible dans le hobby, on peut, tres rarement voir passer une vraie Pterinochilus vorax avec beaucoup de chance, moi j'en ai jamais vu, mais j'ai vu plusieurs personnes se faire vendre des Pterinochilus murinus spiderling sous le nom de Pterinochilus vorax. Il est possible d'identifier certaines especes de ce genre rapidement en regardant la carapace, l'abdomen ou simplement a leur couleure. Elles peuvent etre particulierement défensives, imprévisibles, en plus de leur venin actif, c'est donc important de toujours etre prêt a tout. Celui qui a travaillé le plus sur le genre est definitivement Strand, qui a decrit plusieurs especes. Pterinochilus widenmanni et Pterinochilus mamillatus ont été les premieres especes proposés par Strand, vite suivie de la Pterinochilus raptor qui est aujourdhui un synonime de Pterinochilus chordatus, suivie de la Pterinochilus carnivorus qui est aussi un synonime de Pterinochilus chordatus, suivie de la Pterinochilus mutus qui est un synonime de Pterinochilus simoni, suivie de la Pterinochilus occidentalis qui est aussi un synonime de Pterinochilus simoni, suivie de la Pterinochilus obenbergeri qui est encore une fois un synonime de Pterinochilus simoni, ouf . - Pterinochilus murinus, identifiée en 1897 par POCOCK basé sur un male trouvé a "Ugogo region", situé en Tanzanie, regroupe a elle seul une bonne partie des pays de distributions des especes Pterinochilus, on en retrouve beaucoup en Tanzanie, au Kenya egalement, mais aussi plus au sud comme Zambie, Zimbabwe, et meme Afrique Du Sud , ce qui explique les nombreuses formes de couleures attribué à l'espece. À ce jour, on connait 4 formes de couleures ; - TCF "Typical Color Form", couleure plutot gris-orangé, et plus pale. exemple http://baboonspiders.de/popup_galerie.php?id=114 - UMV "Usambara Mountain Variant" , couleure plutot orange foncé. exemple http://i97.photobucket.com/albums/l213/BaboonSpider/African%20species/Pterinochilus%20genus/murinus/murinus10.jpg - RCF "Red Color Form" , couleure orange beaucoup plus eclatante que les autre formes de couleures. exemple http://i33.photobucket.com/albums/d72/Kirdec/murinus.jpg - DCF "Dark Color Form", forme de couleure extremement rare sinon inexistante dans le hobby, ou le specimen est noir. exemple http://birdspiders.com/archive/15B020F4KD0B7KAEC2K1404B32BB7328807.html Malheureusement, dans le hobby ces formes de couleures ont été énormement croisées et en fait c'est impossible de dire quelle forme de couleure est un specimen sauf s'il est WC "wild caught", ou si on sait l'origine du pere et de la mere, voir meme leur pere et leur meme a eux aussi. Dans la nature, les formes de couleures sont generalement regroupées dans des regions propres a elles, par contre c'est difficile a dire si un croisement de couleure n'arrive pas ici et là. Certaines formes de couleures ressemble parfois beaucoup a d'autres especes come la Pterinochilus lugardi par exemple. Une bonne facon de les differencier est de chercher pour les piques typiques aux Pterinochilus murinus, localisé sous les pedipalps, au maxilla. Ils ne sont pas tres facile a localiser, ca prend un microscope et une bonne photo macro. Sinon, elle a aussi une autre caracteristique unique dans le genre Pterinochilus, le spermatheques des femelles murinus courbent et se referment vers l'interieur; Un autre fait interessant sur la Pterinochilus murinus, par contre une caracteristique que l'on retrouve sur beaucoup sinon tous les Harpactirinae, est cette "patch" de poils, presente sur la partie externe des chelicères. Pterinochilus murinus retrolateral scopulae J'ai pu lire a quelques reprise que les Pterinochilus murinus avaient un comportement plutot tolérant si on laissait un sac d'oeuf evoluer avec la mere, par contre aucuns recherches serieuses n'a vraiment été faite, seulement quelques expériences, qui semble nous révéler qu'elles sont plus tolérantes que sociable. Elles sont generalement tres facile à accoupler, et produisent plus ou moins entre 100 et 200 bébés, et sont bien connu pour produire deux, voir trois sac d'oeuf fertiles avec un seul acouplement! Les Pterinochilus murinus vont s'adapter a presque n'importe quel type d'environnement, arboricole, terrestre et fouisseuses. Richard Gallon dit que cette espece est retrouvé sous les roches, bariquadé dans de denses cocons de toile, où elles sont terrestres. Elles ne semblent pas construire de tunel sous terrains, mais occupent et transforment des cavités à leurs gouts. Elles vont aussi etre retrouvé entre les branches d'un arbre, où elles construisent un cocon de toile et vive maintenant plus comme une arboricole! Perret a étudié la populations de Pterinochilus murinus de Ifakara, en Tazanie, et a noté que les males mature etaient present seulement entre novembre et avril, et absent entre juin et octobre. Par contre, des males matures ont été collecté en juin, juillet et octobre à d'autre endroits. Synonimes : Harpactira elevata KARSCH, 1878 = Pterinochilus murinus POCOCK, 1897 Pterinochilus hindei HIRST, 1907 = Pterinochilus murinus POCOCK, 1897 Pterinochilus mamillatus STRAND, 1906 = Pterinochilus murinus POCOCK, 1897 - Pterinochilus lugardi, identifié en 1900 par POCOCK basé un specimen male trouvé a Kwebe Hills, près du lac Ngami, est elle aussi retrouvée a beaucoup d'endoit, soit Botswana, Namibia, le Sud de l'Afrique, Tanzanie, Zambia et le Zimbabwe, dans une altitude passant du niveau de la mere a 1450 mètres. Leur mode de vie en nature est inconnu vraiment, mais en captivitées elles vont généralement opter pour un comportement de fouisseuse. Les males maturent entre décembre et juin. Elle aussi, contient plusieurs formes de couleures, par contre on en sait tres peu d'information, je sais meme pas si les formes de couleures son identifiées et clairement séparée, j'ai vu des specimen tres foncé, et d'autres presque aussi orange que la Pterinochilus murinus RCF, tant dit que d'autre etaient beige tres pale, tous avec aucune information selon leur forme de couleure ... Le probleme de croisement de forme de couleure est sans aucun doute présent chez cette espèce également à mon avis étant donné que personne ne sait rien a ce sujet. Elle est assez facile a identifier par les marques sur son abdomen, les 2 yeux son plus gros que les autres especes du genre. Les spermatheques permette de séparer la Pterinochilus lugardi a la P. murinus par la presence de lobes terminaux sur les spermatheques : Nous pouvons egalement séparer l'espece Pterinochilus lugardi de l'espece Pterinochilus murinus par l'absence de ces bulb mince et allongées au niveau du spur, ceux de la P. lugardi étant moin long et plus large. Aussi, la carapace de la P. lugardi est beaucoup plus bombée que celle de la P. murinus: Synonimes : Eucratoscelus tenuitibialis (SCHMIDT & GELLING, 2000) = Pterinochilus lugardi POCOCK, 1900 Idiothele pluridentatus (HEWITT, 1919) = Pterinochilus lugardi POCOCK, 1900 - Pterinochilus chordatus, identifié en 1873 par GERSTÄCKER basé sur un specimen male trouvé en Dschagga, dafeta. Cette espèce est distribué en Ethiopie, Kenya, Somalie, Sudan, Tanzanie et Uganda, à une altitude passant du niveau de la mere a 2100 mètres. Une espece fouisseuse qui est retrouvé dans les "grass land". Les males maturent en juillet. Sa couleure peut varier, pas besoin de preciser que les formes de couleure en captivité sont probablement croisé. Cette espece diffère de la Pterinochilus lugardi, [i]Pterinochilus simoni, et Pterinochilus vorax, par l'absense de lobes terminaux des spermatheques. Cette espece, avec sa forme DCF, est la version foncée des Pterinochilus, étant beaucoup plus foncée que les autres especes qu'on connait dane le hobby. . Elle semble etre plus disponible dans le marché présentement au Québec mais elle reste quand meme plus rare que la Pterinochilus murinus RCF et probablement la Pterinochilus lugardi aussi. Elle contient 2 forme de couleure connu mais il y en a probablement plus vu sa distribution géographique assez large ; - DCF "Dark Color form" Cette forme de couleure est tres foncée presque noire, et non disponible dans le hobby a ce que je sache. - LCF "Light Color Form" Cette forme de couleure se raproche plus du gris pale, mais il y a plusieurs variantes de couleures inclu dans cette forme de couleure, c'est pas simple ... Exemple http://baboonspiders.de/popup_galerie.php?id=92 - TCF "Typical color form" Cette forme de couleure se raproche plus vers le gris-brun, melanger avec un peu de couleure golden exemple http://baboonspiders.de/popup_galerie.php?id=110 Synonimes: Coelogenium raveni (SMITH, 1990) = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Harpactira chordata GERSTÄCKER, 1873 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Pterinochilus affinis TULLGREN, 1910 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Pterinochilus brunellii CAPORIACCO, 1940 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Pterinochilus carnivorus STRAND, 1917 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Pterinochilus raptor STRAND, 1906 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Pterinochilus sjostedti TULLGREN, 1910 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Pterinochilus widenmanni STRAND, 1906 = Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) - Pterinochilus simoni, identifié en 1917 par BERLAND basé sur un male trouvé en Angola, Landana, on la retrouve au "Congo River basin, en Angola et au Zaïre, avec une altitude passant du niveau de la mere a 500 mètres (probablement plus de 1000 mètres si le site de collecte de Binga est corecte) On connait presque rien sur cette espece qui, à ce que je sache, n'a jamais été en captivité. Aucune information presque n'est disponible et on en entend jamais parler. Elle est decrite comme ayant les pattes, pedipalps, cheliceres et le dos de l'abdomen brun. De petites bandes aux joints pattes et pedipalps. L'abdomen a les marques habituelles des Harpactirinae. Le coté ventral de l'abdomen est brun foncé, avec des orifices pulmonaires plus pales tant dit que le sternum et coxae est brun foncer. Leur mode de vie est inconnu, les males mature entre mars et Août Synonimes: Pterinochilus mutus (Strand, 1920) = Pterinochilus simoni Berland, 1917 (Gallon, 2002: 215). Pterinochilus obenbergeri (Strand, 1920) = Pterinochilus simoni Berland, 1917 (Laurent, 1946: 323). Pterinochilus occidentalis Strand, 1920 = Pterinochilus simoni Berland, 1917 (Laurent, 1946: 323). - Pterinochilus alluaudi, identifié en 1914 par BERLAND, basé sur un specimen male retrouvé au sud de Kenya, au Maji ya Chumvi, et c'est en fait la seule destination que l'on connait actuellement de ce specimen. Ce specimen vivait a une altitude d'environ 200 mètres et les males maturent en juillet. Elle serait d'une coloration brun pale avec les marques typiques des Harpactirinae à l'abdomen et à la carapace, avec des bandes distinctes aux pattes et pedipalps. La partie ventrale de l'abdomen brun pale, avec une bande abdominale plus pires exterieurs de la male visible au dessus de l'orifice pulmonaire anterieur et et l'épigastrique, avec les orifices pulmonaire de la meme couleure. Je n'ai jamais entendu parler de Pterinochilus alluaudi gardée en captivité, c'est une mygale extrement rare sinon impossible a trouver. Ce qui fait que les informations sont inexistantes ou tres peu courante, m'aventurer dans les details trop precis serait vraiment illogique. Synonimes: ? - Pterinochilus vorax, la premiere du genre a etre identifier, en 1897 par POCOCK, basé sur un specimen male provenant du Lake Tanganyika, Feambo, Tanzanie. Elle est largement distrubié a travers l'Afrique egalement ; Angola, Burundi, Zaïre, Rwanda et Tanzanie, passant d'une altitude du niveau de la mere, a 1810 mètres. Les males maturent entre février et avril, et aussi en octobre. Avec une distribution aussi large, je serais pas surpris qu'il y ait plusieurs formes de couleures sur cette especes egalement. Dans de tres rares cas on peut voir passer une Pterinochilus vorax dans le hobby, cela dit elles sont extrement rare et bien souvent c'est une Pterinochilus murinus d'une forme de couleure moins commune, ou meme simplement une RCF! Étant donné que les informations manque sur cette espèce egalement, je m'aventirerai pas trop profond dans les details. Une espece superbe qui va probablement finir par introduire le marché officiellement ... pour ensuite, j'en suis sur et certain, etre croisé avec des Pterinochilus murinus par du monde qui ne conaissent pas grand chose aux mygales, vu leur ressemblance et on ne saura plus qui est quoi, comme c'est le cas pour beaucoup d'espece deja... Synonimes: ? - Pterinochilus leetzi : Informations rares ou inexistantes.
  13. Salut! J'ai écrit une fiche d'information générale sur les araignées de la famille des Theraphosidae (ce que l'on appelle "mygales") pour ceux qui débutent dans ce merveilleux monde, cela dit, je suis loin d'être un expert et toute correction ou ajoue est la bienvenue. Présentation de la mygale : Avant tout, pour les besoins de la terrariophilie, nous pouvons séparer les araignées de la famille des Theraphosidae en trois groupes en tenant compte du mode de vie. On retrouve donc les arboricoles, les fouisseuses et les terrestres oportunistes. Les mygales arboricoles vivent principalement dans les arbres à l'intersection de deux branches, ou dans des trous semblables à des cachettes d'oiseaux, dans des plantes, à l'intérieur des branches entremellées, ou même à la base de l'arbre, sur les murs ou sous les toits des habitations humaines. Les mygales fouisseuses sont les spécialistes des tunnels, elles creusent comme des "Bulldozers" et vivent principalement sous terre, tandis que les mygales terrestres oportunistes vivent principalement sur terre en se cachant sous les écorces, les roches, ou n'importe quels objets disponibles. Toutes les espèces possèdent un venin, de toxicité variable. Même si certaines ont un venin assez puissant, je n'ai jamais entendu parlé d'une mort causée par la morsure d'une mygale. La morsure de biens des espèces pourrait être comparable à une piqûre d'abeille. Ceci dit, certaines espèces vous donneront un mauvais moment à passer et une morsure sur un animal de compagnie pourrait être inquiétante. Oui mais ... par quelle espèce commencer ? Voici quelques espèces réputées bonnes pour les débutants et assez communes en élevage, donc plus facile à obtenir pour le néophyte: Tout le genre Avicularia , exemple : Avicularia metallica, Avicularia avicularia, Avicularia versicolor ... Mygales de type arboricole. Tout le genre Acanthoscurria , exemple : Acanthoscurria geniculata , Acanthoscurria brocklehursti ... Mygales terrestres. Tout le genre Brachypelma , exemple : Brachypelma smithi , Brachypelma vagans, Brachypelma albopilosum ... Mygales terrestres. La Chromatopelma cyaneopubecens Mygale terrestre. Tout le genre Grammastola , exemple : Grammastola rosea , Grammastola pulchra , Grammastola aureostriata ... Mygales terrestre. D'après moi, ces espèces sont idéales pour un débutant, il y en d'autres qui sont intéressantes car il y a des centaines d'espèces connues à ce jour, mais ça donne une bonne idée. Cela dit, TOUS les individus ont un caractère unique, donc même si vous avez une Avicularia avicularia, elle peut être défensive et nerveuse et vice versa. Plusieures centaines d'espèces de Theraphosidae sont identifiées à ce jour et nous en découvront plusieures aujourdhui aussi. Il exsite présentement environ 850 espèces décrites et plusieures de connues et non-décrites. Évidement, chaque espèce a une particularité ou un detail unique bien a elle qui la différencie des autres espèces. La taxonomie des mygales est très compliquée et difficilement abordable. Certaines espèces sont identiques à première vue, si bien que l'identification d'espère à partir de photos est souvent impossible ou du moins pas très fiable. Les mygales sont des êtres solitaires, mais quelques espèces (une très faible proportion) comme par exemple certaines espèces du genre Poecilotheria peuvent se tolérer en groupe et parfois montrer des comportement sociaux. Si vous voulez créer une communauté d'individus, vous devez ABSOLUMENT vous assurez que votre espèce est dite "tolérante", mais les risques de canibalisme demeurent. Les chances de succès sont augmentés si les individus sont tous issus du même sac d'oeufs et n'ont jamais été séparés. Les mygales demandent peu d'entretien, sont inodore, ne font pas de bruit, ne sont pas communes, vous laisseront collé à la vitre du vivarium pendant vraiment beaucoup de temps ... et en terminant, elles sont vraiment incroyable, heh! Je vais tenter de vous le démontrer en présentant ce qu'est une théraphosidé. Pterinochilus murinus Psalmopoeus cambridgei Stromatopelma c. calceatum Ceratogyrus marshalli Xenesthis immanis Poecilotheria regalis . . . Anatomie : **edit: spinerets = fillières Glossaire : Chélicères : Crochet de la mygale, son ultime moyen de défense ou son arme de chasse Bulbe copulateur : Organe sexuel mâle situé au bout des pédipalpes servant à transférer le sperme lors de l'accouplement avec la femelle Exuvie : Une mue, vieille peau, ce qui reste après la mue Epigastrique : Fente, entre les deux orifices pulmonaires antérieurs, qui ouvre sur les organes sexuels de la mygale Fémur : 1er segment de la patte à partir du corps Métatarse : 4ème segment de la patte à partir du corps Opisthosome : Partie arrière de la mygale, où se situent les organes vitaux, est aussi appelé "abdomen". Patelle : 2ème segment de la patte a partir du corps Pattes 1 : Première paire de pattes à partir de l'avant Pattes 2 : Deuxième paire de pattes à partir de l'avant Pattes 3 : Troisième paire de pattes à partir de l'avant pattes 4 : Quatrième paire de pattes à partir de l'avant Prosome: Partie avant de la mygale, point d'attache des huit pattes et deux pédipalpes aussi appelé "céphalothorax" ou "carapace" Pédipalpes : Pattes modifiées de la mygale situées entre les pattes 1 servant comme appendice de préhension. Comme par exemple retenir les proies lorsqu'elles passent à l'attaque. Spermathèque : Organe sexuel de la femelle qui conservera le sperme lors de l'accouplement, lors de la mue les parois de cette structure vont muer aussi. Apophyses tibiales: Crochets situés sur les pattes 1 du mâle mature servant à retenir et positionner la femelle pendant l'acouplement. Cette structure n'est pas présente chez toutes les espèces. Tibia : 3ième segment de la patte à partir du corps Tarse : 5ième segment de la patte à partir du corps Terrarium : La décoration est à votre choix, vous pouvez décorer ou ne pas le faire ça ne change rien pour l'animal. Vous pouvez faire un environnement imparfait comme dans la nature avec des bosses et des creux si vous voulez ça rend le tout beaucoup plus naturel. Aussi, en offrant une décoration dense, il y a beaucoup plus d'endroits ou la mygale peut se cacher, donc beaucoup moins de risque qu'elle panique sans savoir ou se cacher lorsqu'elle se sent en danger. Donnez un minimum de fois fois leur taille comme espace. Les mygales demandent TRÈS peu d'espace pour vivre, même si vous offrez un énorme terrarium, elles n'en n'utiliseront qu'une petite partie une fois la retraite officielle faite. En fonction de l'espèce de votre mygale, vous devrez adapter l'environnement à leur "mode de vie". Par contre, il y a des choses communes à chaque mode de vie: -Un bol d'eau plein en tout temps; -Une retraite ou cachette qui est adaptée au mode de vie (une mygale sans cachette est une mygale stressée avec toutes les répercutions encourues sur sa santé); -Au moins 2 à 3 pouces (5 à 7 cm) de substrat bien compacté. Chaque mode de vie diffère dans l'organisation du terrarium alors voici comment accueillir les mygales... -Terrestre: La surface est évidement importante pour ces espèces et la hauteur importe peu. Donnez quand même un minimum de 2 à 3 fois sa taille pour qu'elle soit libre de ses mouvements. Ce que vous devez mettre dans le terra : 2-3 pouces de substrat bien compacté . Une cachette comme un tronc d'arbre mort / une roche plate / une écorce de liège courbée. Prudence avec les roches, car elles peuvent s'effondrer et écraser la mygale si celle-ci creuse une grosse gallerie en dessous. -Arboricole :La hauteur est importante pour celles-ci. L'espace terrestre importe moins mais donnez quand même un minimum de 3 fois sa taille pour qu'elles puissent bouger. Ce que vous devez mettre dans le terra : Un minimum de 2 pouces de substrat bien compacté. Quelque chose qui leur permettront de grimper; une écorce / branche / roche verticale / tronc d'arbre mort vide à l'intérieur, etc, et faites en sorte qu'elle se trouve un coin plus étroit, comme par exemple en croisant deux écorces ensemble, ou à la limite entre l'écorce et la vitre, ou elle pourra construire sa retraite et se faire un petit coin tranquille. Dans cet exemple, on retreouve un environnement conçu pour ma Poecilotheria fasciata. -fouisseuses :La quantité de substrat est importante pour ces mygales. L'espace en hauteur n'est pas très importante mais donnez leur un minimum de 2-3 fois leur taille. Ce que vous devez mettre le terra; beaucoup de substrat, un minimum de 4 fois sa taille en profondeur de substrat. C'est à peu près tout ce que ces mygales ont besoin, car elles passeront le plus gros de leur temps dans les tunnels. Vous pouvez, et je vous le conseille, pré-construire un début de tunnel, elles vont généralement l'utiliser et le developper beaucoup plus rapidement que si vous la laissez sans cachette, ce qui lui permettra de s'acclimater beaucoup plus rapidement Pour les bébés (ou mygalons) : Un contenant de pillule ou tout autre petit contenant est l'idéal même si ça semble petit. Donnez un pouce de substrat bien compacté. Un bébé dans un vaste environnement n'est pas une bonne idée car vous le perdrez et il ne trouvera probablement pas sa nourriture. De plus, le stress de l'animal sera beaucoup plus élevé. C'est beaucoup plus facile de bien s'en occuper ainsi, vous êtes certain qu'il ne manque de rien, et vous pouvez observer son évolution. Object naturel : Si vous décidez de prendre des objects dans la nature pour mettre dans votre terra, il est conseillé de faire bouillir l'object 10 minutes et de le laisser refroidir avant de le mettre dans le terrarium. Personellement, je prend tous mes décors dans la nature et je n'ai pas de problème avec mes specimens. Vous pouvez ainsi prendre les cachettes qui ressemblent à ce qu'on peu retrouver dans leur habitat naturel, et ainsi pouvoir mieux le recréer. Diète : Les Theraphosidae sont carnivores et majoritairement insectivores, leur diète en captivité se compose principalement de grillons mais aussi de blattes, sauterelle, super worm, etc. Tout ce qu'elles peuvent maîtriser est bon... Il est préférable d'éviter les vertébrés en particulier les souris adultes vivantes (et même mortes). Prendre des insectes dans la nature comporte ses risques (insecticide, parasites, etc.) donc je le déconseille. Certaines espèces sont appellées "Bird eater", mais leur diète ne se compose pas vraiment d'oiseaux. C'est un terme impressionnant qui est employé ne terrariophilie, mais n'est pas représentatif de la réalité. Certains explorateurs ont pu observer une mygale manger un oiseau, mais ce n'est certainement un régime de base ... Si vous pouvez avoir des blattes, je vous conseille d'utiliser celles-ci au lieu des grillons, car ces derniers sont bruyants, dégagent des odeurs nauséabondes, transportent beaucoup de mites avec eux, ont une courte durée de vie lorsqu'adultes et peuvent être dangereux pour la mygale pendant la mue.
  14. Pterinochilus chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Famille: Theraphosidae Sous famille: Harpactirinae Genre: Pterinochilus (POCOCK, 1897) Espèce: chordatus (GERSTÄCKER, 1873) Identifiée en 1873 par GERSTÄCKER avec un spécimen male retrouvé à Dschagga, au Kenya. GERSTÄCKER a également identifié Eucratoscelus constrictus mais c’est les deux seul que je connais à son nom. Avec sa grande distribution géographique, on retrouve le specimen sous différentes formes de couleures, mais les formes plus pâles sont plus rares. Passant de très foncée (DCF)pour la forme la plus commune a beige pâle (LCF)qui sont plus rares à brune (TCF). L’abdomen est marqué par la signature traditionnelle des Harpactirinae mais moins visible que chez la P. lugardi ou P. murinus. Masque qui entoure la région oculaire. Distribution geographique C’est intéressant car elle est un peu écartés des autres espèces Pterinochilus, au lieux de se concentrer sur la partie centrale, sud et est, celle-ci habite également la régions est … Kenya, Tanzanie et Uganda, mais envahit sur le territoire nord-est … Éthiopie, Sudan et Somalie. Bien sur, il n’y a pas eu énormément d’expéditions pour étudier l’habitat naturel et la distribution géographique de cette espèce en particulier, peut-être habite-t-elle un territoire plus grand aussi grand soit-il présentement, quand on regarde les autre espèces Pterinochilus ça ne serait pas surprenant! Climat Selon ce qu’on sait de leur répartition, elle semble être concentré sur le sud du Kenya … je trouve juste étrange qu’elle soit localiser dans le même secteur que la Pterinochilus murinus forme orange Usambara … Ce qui prouverait que les recherche on été fait des secteur limités. Par contre de ce qu’on en sait, la partie sud du Kenya habite beaucoup de Pterinochilus chordatus, nous allons donc utiliser ce secteur pour nous donner une idée dans quelle type de climat ils peuvent vivre. Nairobi – Kenya Température moyenne Jour - Nuit ( C. / F. ) • Janvier : 25 / 77 - 12 / 54 • Février : 26 / 79 - 13 / 55 • Mars : 25 / 77 - 14 / 57 • Avril : 24 / 75 - 14 / 58 • Mai : 22 / 72 - 13 / 56 • Juin : 21 / 70 - 12 / 53 • Juillet : 21 / 69 - 11 / 51 • Août : 21 / 70 - 11 / 52 • Septembre : 24 / 75 - 11 / 52 • Octobre : 24 / 76 - 13 / 55 • Nobembre : 23 / 74 - 13 / 56 • Décembre : 23 / 74 - 13 / 55 Si nous nous basons sur ces informations, on peut constater un refroidissement d’avril à août, et que les nuit tout au long de l’année sont particulièrement fraîche, c’est pourquoi les tunnels dans lesquels ont les retrouve sont particulièrement importants pour avoir une température stable. Précipitations moyennes / mois ( en MM ) • Janvier : 38 • Février : 64 • Mars : 125 • Avril : 211 • Mai : 158 • Juin : 46 • Juillet : 15 • Août : 23 • Septembre : 31 • Octobre : 53 • Novembre : 109 • Décembre : 86 Pas besoin d’avoir deux yeux pour constater que la saison humide se passe de novembre a mai, tout le contraire de certains pays de l’ouest. Cela dit, les deux s’équivalent, pendant que l’un est dans une saison sèche l’autre est dans une saison humide et vice versa. Saison sèche de juin à octobre, avec très peu de précipitation. Mais par curiosité, allons voir le climat de la régions centrale de l’Éthiopie, pour comparer ... Harrar - Éthiopie Température moyenne Jour - Nuit ( C. / F. ) • Janvier : 25 / 77 - 13 / 55 • Février : 26 / 78 - 14 / 57 • Mars : 27 / 80 - 14 / 58 • Avril : 27 / 80 - 15 / 59 • Mai : 27 / 80 - 15 / 59 • Juin : 26 / 78 - 14 / 58 • Juillet : 24 / 75 - 14 / 57 • Août : 23 / 74 - 14 / 57 • Septembre : 24 / 76 - 14 / 58 • Octobre : 26 / 78 - 14 / 58 • Nobembre : 26 / 78 - 13 / 56 • Décembre : 26 / 78 - 13 / 56 Précipitations moyennes / mois ( en MM ) • Janvier : 8 • Février : 33 • Mars : 76 • Avril : 119 • Mai : 127 • Juin : 89 • Juillet : 130 • Août : 160 • Septembre : 94 • Octobre : 36 • Novembre : 15 • Décembre : 10 Différent mais semblable en même temps. Oui les saisons changent un peu mais le tout s’équivaut, un point intéressant est qu’au Kenya les précipitation sont plus abondantes ce qui n’est pas tellement une surprise vue la proximitée de la côte. Je ne suis pas certain d'avoir à préciser qu'il ne faut pas verser 200 mm d'eau dans le terrarium. Ces chiffres ont pour but de simplement savoir les saisons sèches - de pluie - chaude - plus tempérée. La vaporisation dépend de la ventilation de votre terrarium et de la pièce, le méthode de chauffage utilisé pour la maison, temps sec ou humide ... vous devez trouvez vos propres méthodes de vaporisation et constitution de terrarium en observant, expérimentant par essais-erreur pour arriver à un résultat dont votre mygale semble s'adapter le plus rapidement. Comportement en terrarium Espèce principalement terrestre et fouisseuse que l’on retrouverais dans les étendues d’herbes, cachés dans leur tunnels, je dis fouisseuses mais ca n’a rien à voir avec les espèces Hysterocrates, donc disons plutôt terrestre-fouisseuse. En captivité, elles aiment bien se cacher a 5 ou 6 centimètres sous le sol ‘’fournir d’avantage de substrat’’ avec des roches entre-croisées a la sortie de sa retraite, vous pouvez également fournir quelques feuilles près de sa retraite, ce qu’elle utilisera comme barricade supplémentaire presque assurément. Comme toutes espèces Pterinochilus, elles peuvent avoir une attitude défensive face a un intrus dans leur environnement, la précaution est de mise surtout quand on mixe leur rapidité a leur venin plus toxique que beaucoup d’espèces communes. Une mauvaise morsure d’une femelle adulte peut vous amener à des sensations de douleur intense, crampes, nausée, étourdissement, sueur et vomissement peuvent être vue chez les sujets nerveux de la situation. Ces symptômes sont simplement ce qu’on a pu observer chez les sujets mordues, il faut savoir que chaques individus réagissent différemment à une morsure, par sa tolérante aux douleures, sa défenses contre le venin, sa nervosité, grandeur, poids et santé physique du sujet … trop de facteurs bref ! Selon mon expérience personnelle, on peut observer cette espèce plus souvent hors de son terrier que P. murinus et P. lugardi, et ne montre aucune tendance arboricole contrairement a la P. murinus. Croissance Rapide, la durée exacte est bien sur variante et de toute façon je n’ai pas eu de spécimen passant de mygalons a une grosse femelle adulte, donc ca serait dure a dire. Les femelles atteignent 50 MM. Gardé a 25 degrés celcius, bien nourri, vous pouvez avoir une juvénile large en un an, près de 40 MM. Diète J’ai répertorié plus d’une centaine d’espèce de rongeur, exemple d’un d’entre eux http://www.ethiopianwolf.org/Images/SideBanner8.png 7 espèces de lézards qui sont par contre principalement arboricoles , exemple http://www.tallbo.com/bilder/cordylus/c_rhodesianus.jpg provenant de l’Afrique de l’Est mais malheureusement très peu d’information sur les insectes sont disponible. Son identification Elle est assez facile à indentifier évidemment par sa couleur foncée dans la la forme la plus commune ‘’DCF’’, elle peut par contre parfois donner du file à retordre avec la Ceratogyrus meridionalis, qui peut porter à confusion • Ceratogyrus meridionalis http://homepage.ntlworld.com/the.tarantula.store/C.meridionalis.htm • Pterinochilus chordatus http://homepage.ntlworld.com/the.tarantula.store/P.chordatus.htm La différence se trouve sous la mygale, la Ceratogyrus meridionalis a le dessous de l’abdomen foncé tant dis que ceux des espèces Pterinochilus sont pales. La Ceratogyrus meridionalis possède une bande pâle qui traverse la régions de l’épigastrique en passant par les orifices pulmonaires antérieurs qui sépare face foncée de l’abdomen et du sternum. C’est la meilleure manière de distinguer physiquement ces deux espèces. Mais lorsque les formes plus pâles apparaissent comme la ‘’LCF’’, alors là ca peut porter à confusion avec P. lugardi! • Pterinochilus chordatus http://baboonspiders.de/popup_galerie.php?id=109 • Pterinochilus lugardi http://s97.photobucket.com/albums/l213/BaboonSpider/African%20species/Pterinochilus%20genus/lugardi/?action=view&current=lugardi-3.jpg Si on regarde son physique on s’aperçois que l’abdomen et la carapace de la P. chordatus forme pale sont un peu plus fournis en détails, ce qui cache un peu la marque typique Harpactirinae de l’abdomen, qui est donc un peu plus visible chez la femelle mature P. lugardi. P. chordatus est légèrement plus grosse que la P. lugardi d’environ un centimètre, femelle mature comparé une sur l’autre. Mais si on veut être sur de son identification, on attend pour son exuvie, et on regarde les points suivants, car elle possède … • Aucun pique sur les maxilla, ni de spermathèques recourbés, exclue de Pterinochilus murinus • Aucun lobes terminaux sur les spermathèques mais plus de plume sur la face rétrolateral du chélicere ‘’retrolateral chelicera scopulae’’ que la P. lugardi, on exclue donc de cette dernière. • Aucune bande abdominale, exclue de Ceratogyrus meridionalis. Reproduction Les males maturent au mois de Juillet au Kenya. Avec un mâle mature jeune et une femelle mature post mue et bien nourrie, les chances de succès sont assez grande car comme toute les espèces de ce genre si la femelle en gestion est gardée bien nourri, à 25 ou 26 degrés celcius avec réduction de vaporisation dans le terra, mais pas arrêt complet. Un fait intéressant pourtant souvent inconnu de beaucoup d’éleveurs est le sac que produisent beaucoup d’espèces Harpactirinae et toutes les Stromatopelminae sont fixes et non mobile et rond. La femelle produit un cocon serré qui tiendra les œufs bien ferme, et l’entoure d’un cocon très épais qui non seulement les protège des prédateurs, de la mère qui pourrait avoir une soudaine envie de croquer dedans et en plus ca leur fait un endroit sécuritaire lors de la sortir du cocon au stade larve et ensuite nymphe ou ils peuvent encore une fois se nourrir en ayant une porte de secoure rapide ! http://s97.photobucket.com/albums/l213/BaboonSpider/African%20species/Heteroscodra%20genus/maculata/?action=view&current=sacH.jpg Pour terminer je dirais que c’est définitivement une espèce sous-estimé comme beaucoup d’espèces Africaine d’ailleurs. Mais l'humain étant ce qu'il est, il n'y avait pas vraiment d'autres fin possible que celle ci ...
  15. Je part bientot, et ma collection doit partir dans les prochains jours, donc je l'offre a 600$ au premier venu, ce qui est un prix RIDICULE. Pour ceux qui peuvent venir la chercher a Montreal ou Sherbrooke seulement. Male.Female.Unknow sex 0.1.0 Poecilotheria miranda 4 inch 0.1.0 Poecilotheria regalis 4 inch 1.0.0 Poecilotheia pederseni 5 inch 0.0.1 Poecilotheria formosa 4 inch 0.0.1 Poecilotheria fasciata 4 inch 0.0.1 Poecilotheria sp. 4 inch 1.0.2 Chaetopelma graciles 2 inch 0.1.0 Heterothele villosella 2 inch 0.1.5 Pterinochilus chordatus 2 and 3 inch 0.1.0 Pterinochilus murinus UMV 41/2 inch 0.0.7 Pterinochilus murinus mwamgwanba 1 inch 0.1.4 Pterinochilus murinus RCF 3 inch 0.3.2 Pterinochilus lugardi 4 inch 0.2.0 Heteroscodra maculata 41/2 inch 0.1.0 Ephebopus murinus 5 inch 0.2.1 Hysterocrates sp. ''gigas'' 5 inch and 3 inch 0.1.0 Psalmopoeus pulcher 3 inch 0.2.0 Ceratogyrus marshalli 4 inch 0.0.2 Ceratogyrus brachycephalus 1 inch 0.0.2 Ceratogyrus sp. ''darlingi'' 1 inch 0.2.1 Stromatopelma c. calceatum 3 and 4 inch 0.0.1 Eucratoscelus pachypus 1 inch 0.1.0 Latrodectus hesperus 1 1/2 cm VENDU
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