Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

taiko111

Membres
  • Compteur de contenus

    7 151
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par taiko111

  1. oui c'est bien cela , après cette espèces est connu pour des morsures mémorable , après je n'est jamais essayé , et je ne compte pas le faire . Donc les deux thermomètres sont des thermostat a la base , mais je les utilise juste en thermomètre .celui de de gauche contrôle le point froid celui de gauche le point chaud . après il y as l'interrupteur on/off de la brumisation . La brumi est contrôle par un pro timer a la secondes pour 3 a 5 brumisation suivant les jours . au milieu c'est un controleur humidité , lui aussi je m'en sert juste pour les données.
  2. C'est pour un trio de scinque a queue préhensile
  3. et oui , vous en avez vu un y'as pas longtemps , et le même menuisier est venu a la maison . un grand merci a toi bertrand place aux photos
  4. Cherche pas une excuse Mac on a compris que tu voulais pas nous voir
  5. C'est dommage , nous y sommes le samedi 11 , nous et pour Nicolas ca tombe bien il faut qu'on lui parle
  6. dans les plus ou moins 25cm . félicitation pour cette ponte! ca fais plaiz surtout quand on sait comme c'est rare
  7. ben moi je suis absolument contre ce genre de terra table basse , vive le stress pour eux , enfin chacun ses goûts
  8. l'évolution, ça existe ! Les lézards de Pod Mrcaru, preuves vivantes de l'évolution... Les acteurs d'une évolution accélérée Il est assez fréquent d'entendre dire que l'évolution des espèces est improuvable car le processus est trop long et ne peut s'observer à l'échelle humaine. Et il est vrai que la majeure partie du temps, le processus d'évolution est long et difficile à déchiffrer. C'était sans compter sur la nature (généreuse !) qui a fourni aux scientifiques un bel exemple d'évolution rapide et incontestable : les lézards d'une petite île, Pod Mrcaru. Commençons l'enquête... Le lieu du crime ! L'île croate de Pod Mrcaru (0.03km2) est située dans la mer Adriatique à proximité de l'île de Pod Kopiste (0,09 km2). De très petite taille, l'île de Pod Mecaru est isolée et sans présence humaine. La victime Sur ce petit bout de terre vivaient tranquillement une espèce de lézard dont le doux nom scientifique est Podarcis melisellensis. Comme la majorité des lézards dans le monde cet animal est insectivore et la concurrence n'étant pas très rude, l'animal était bien installé sur l'île depuis fort longtemps. On peut même dire qu'il se la coulait douce... voir qu'il passait son temps à lézarder au soleil (il fallait la faire !). Les origine du drame en 1971... En 1971 des scientifiques, sous la direction du professeur Eviatar Nevo, décident de procéder à des expériences in-vivo sur l'île en introduisant 5 couples d'une autre espèce de lézard : Podarcis sicula. Cette espèce a été prélevée sur l'île voisine de Pod Kopiste. Le but de cette expérience était d'observer la compétition qui allait s'exercer entre les deux espèces. Les scientifiques comptaient revenir régulièrement sur l'île afin de vérifier l'acclimatation de cette nouvelle espèce. Malheureusement c'est à ce moment que la guerre interne yougoslave de Croatie éclate, empêchant les scientifiques de continuer leurs expériences. Le projet tombe bien sûr dans l'oubli... et les lézards sont laissés sans surveillance. 33 ans plus tard... Entre 2004 et 2006 une nouvelle équipe dirigée par Antony Herrel retourne sur l'île à six reprises pour reprendre les travaux et découvrir si l'espèce a réussi à survivre. Les études reprennent : non seulement les lézards Podarcis sicula ont proliféré mais certaines de leurs caractéristiques physiques sont modifiées. Les nouveaux lézards sont plus gros, leurs mâchoires plus imposantes, leurs pattes plus petites, leur estomac présentent également une valve inexistante dans l'espèce d'origine... Leur mode de vie et de comportement est également modifié : ils ont perdu en vélocité, défendent moins leur territoire et surtout ils sont devenus majoritairement herbivores ! Quant aux anciens lézards autochtones de l'île (Podarcis melisellensis) ils ont été tout simplement supplantés par les lézards étrangers... La nouvelle population est estimée à 1000 individus ce qui est assez étonnant pour une île de si petite taille. (Crédit: Anthony Herrel of the University of Antwerp) Changement de régime alimentaire Les scientifiques ont comparé le régime alimentaire de Podarcis sicula sur son île d'origine avec celui de la nouvelle île. Le lézard original était insectivore à 93-96 % et végétarien à 4-7%... Le lézard "nouveau" est végétarien à 34% au printemps et à 61% en été. Autre constat, les intestins de nos lézards sont habités par des nématodes (vers inconnus jusque là chez les lézards de la région). Ces vers pourraient aider au processus de digestion de la cellulose des végétaux. Le coupable ? L'évolution ! Les lézards nouvellement introduits ont trouvé des sources différentes de nourriture que celles qu'ils consommaient sur l'île de Pod Kopiste. Entre 1971 et 2004, trente générations de lézards se sont succédées. Parmi elles, comme dans toute espèce, des variations (ou des mutations) ont été sélectionnées : possibilité de digérer des végétaux, mâchoires permettant de déchirer des plantes fibreuses... Les individus possédant de telles caractéristiques ont été largement avantagés par rapport aux autres car ils avaient des sources de nourriture à profusion. Ces individus ont pu ainsi se reproduire davantage que les autres et finir par supplanter la population d'origine qui avait moins de possibilités. L'évolution en marche... accélérée Afin de confirmer que ces lézards étaient bien issus des premiers 5 couples, les scientifique ont procédé à une étude plus approfondie. Les résultats confirment que les lézards originaux et les lézards introduits sont semblables sur le plan génétique. C'est donc en seulement trente générations (et en 36 ans) que le processus d'évolution a permis l'apparition dans une population d'individus très différents et mieux adaptés à un nouvel environnement. Charles Darwin aurait apprécié cette preuve directe du processus d'évolution en harmonie avec ses théories. Il aurait, par contre, été étonné de la rapidité de sa mise en oeuvre. Il pensait, lui, que l'évolution se faisait majoritairement très lentement, de manière graduelle. Par contre cette expérience inattendue valide la théorie des équilibres ponctués de Stephen Jay Gould et Niles Eldredge qui propose une évolution des espèces à différentes vitesses : parfois lente quand le milieu est stable et rapide dans les situations de stress dans un environnement changeant. C.R. Sources : Sciencedaily Sciences et Vie Aout 2008 N° 1091
  9. iules tres peu connu en elevage , a voir
  10. n'importe quel croquette dfe preference les plus protéiné . oui je les mets dans la boites plus facile pour surveiller la quantité de nouriture absorbé.
  11. mon bac est pas chauffer il fait 26° dans ma pieces d'élevage les croquette parte tres vite chez moi
  12. lol , j'en ai quelques milliers , c'est plus pratique
  13. pour un premiere pontes je dirais beaucoup je compterai dans a eclosion dans les semaines a venir une des premieres naissances de cette grosse ponte , pour la tailles petit je dirais
  14. voila des photos d'une especes que j'ai depuis lomtemps , mais trop petites pour des photos les couleurs evoluront encore
  15. il sont présent depuis plusieurs mois dans mon élevage mais trop petit pour des photos plus tôt , on voit le jaune commencez a apparaître . adultes il finiras un anneau jaune un noir
  16. J'ai du sable de bacs a sable sur 15 cm depuis des années sans soucis
  17. taiko111

    pour ceux qui aime ces maous

    merci pour les photos , je trouve que ton terra manque cruellement de branche , c'est dommage quand je vois comment les mienne aime les branches
  18. ça sent bon la aussi , tous mes bacs de iules sont en effervescence
×
×
  • Créer...