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gerfaut

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  1. gerfaut

    Le vent tourne....

    Il n'y a pas (encore) de changement en ce qui concerne la détention des rapaces. Le Service Public Fédéral – Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement a un Conseil du Bien-Etre et de la Protection Animale. Ce conseil s'est réuni en 2009 et a émis un avis et des recommandations sur la détention de rapaces par des particuliers sur base d'un rapport fourni par un groupe de travail. Voici un résumé de l'avis rendu par le CBEPA (le texte complet n'est disponible qu'en néerlandais): http://www.health.belgium.be/eportal/AnimalsandPlants/animalwelfare/AnimalWelfareCouncil/Publicationsandrecommendations/index.htm#rapaces Il faut cliquer sur le lien 'Détention de rapaces par les particuliers' puis sur 'avis'. En résumé, les rapaces ne pourraient plus être détenus selon les techniques de fauconnerie s'ils ne sont pas volés régulièrement (donc aucun problème pour les fauconniers). S'ils ne sont pas volés régulièrement, donc aussi pour les fauconniers en dehors de la saison de vol, ils devraient être détenus dans des volières dont les dimensions minimales sont fixées. Par exemple pour un faucon pèlerin (ou un couple) ou une buse de Harris : 4mx3mxh 2,25m, ce qui ne paraît pas excessif! Un certificat d'aptitude serait requis pour tous ceux qui veulent détenir des rapaces selon les techniques de fauconnerie. Voici un extrait du texte: Quiconque est trouvé en possession d'un rapace muni de lanières aux pattes doit pouvoir démontrer ce qui suit: a) possession d'un certificat d'aptitude; b) assurance RC chasse ou assurance similaire; c) identification et n° de téléphone apposés sur une bague ou plaquette; d) hébergement adapté, abri; e) apporter la preuve qu'il fait régulièrement effectuer des vols libres à l'oiseau RAPPEL: Il ne s'agit jusqu'à présent que d'un avis. A ma connaissance, la loi sur le bien-être animal du 14 août 1986 n'a pas été modifiée! Tant que le gouvernement est en affaires courantes, il ne peut être question d'une nouvelle loi. Ceci dit, si quelqu'un envisage de construire une volière, autant le faire aux normes qui seront proposées.
  2. Le chicquera était autrefois assez commun en Asie et en Afrique. On en voyait sur presque tous les poteaux! C'est un 'grand' émerillon - il pèse environ 50gr de plus que notre émerillon classique ; c'est aussi un chasseur d'oiseaux mais il prend de plus grandes proies que notre émerillon spécialisé sur les alouettes. Il vole moins en 'haut vol' et plus d'amont. J'ai volé, pendant trois saisons, une forme passagère qui venait du Pakistan, il y a fort longtemps. Son poids de vol était 275gr. Elle était très agressive et, sur les conseils de Jack Mavrogordato qui en avait volé plusieurs, je l'ai volée d'amont au-dessus des haies sur merles et grives. Elle y excellait et était très agile, un peu comme les perlins. J'ai réussi à faire quelques dizaines de prises de grives et merles et même une Huppe (fasciée) à la Côte d'Azur lors d'un vol à mi-chemin entre le faucon et l'épervier. Ce faucon a, un jour, essoré et dérobé ses sonnettes et je ne l'ai plus revu. Cétait avant l'usage des émetteurs! Comme beaucoup de petits faucons, ce sont des oiseaux assez fragiles et à déconseiller aux débutants ; ils demandent deux repas par jour. Il y a quelques années, un reproducteur-amateur Allemand en produisait une dizaine chaque année. Tous mourraient dans l'année, sans explications! Il a arrêté d'en reproduire.
  3. émerillon à tête rousse - falco chicquera
  4. gerfaut

    question

    Vous trouverez un résumé de la législation belge sur le site http://www.associationdesfauconniersbelges.be/ Si vous chassez en Région Wallonne, il vous faut un permis de chasse. Le nouvel arrêté sur les dates d'ouverture et de fermeture ne comportera pas de modifications pour la chasse au vol. Il sera publié fin juin. Si vous avez des questions précises, vous pouvez-me contacter par mp
  5. Nous nous rejoignons au moins sur un point, il est en effet diffamatoire d’accuser quelqu’un de braconnage sans raison, et à moins qu’il ne s’agisse d’un lapsus révélateur de votre part au sujet d’une accusation que nous n’avons pas porté, nous continuons de nous interroger sur les motifs réels de votre mutisme à ce sujet. Le titre du premier post est bien ‘braconnage’ – n'est-il pas ? Le titre du second post est « braconnage ou pas » - non ? N'avez-vous pas écrit sur le Forum International: "there was a falconer there well known and a fellow with a falcon on the fist obviously hunting crows."? Où avez-vous vu que nous étions 'manifestement en action de chasse sur corneilles"? Soyez heureux de mon 'mutisme' parce qu'il ne durera pas et tout prochain post diffamatoire fera l'objet d'une plainte! Nous avons posé une question à laquelle il paraissait pourtant simple de répondre : que peuvent donc bien faire deux fauconniers, en 4*4, faucon au poing, sur nos territoires de chasse ? Compte tenu des réponses pour le moins… confuses à cette question, la réalité concrète de la situation paraît simple au regard de vos explications : La réponse me semble pourtant claire et au risque de nous répéter: FL n’avait pas de faucon au poing et nous circulions sur un chemin qui mène à notre territoire de chasse (voisin du vôtre). 1. Vous admettiez être sur notre territoire avec 3 faucons, dont un pour chasser la corneille Vous n’avez sans doute pas du bien lire la réponse : nous n’avons jamais admis être sur votre territoire avec 3 faucons ; j’ai dit que nous passions en véhicule sur un chemin public pour nous rendre d’un de nos territoires vers un autre, voisin du vôtre ! 2. FL ne tenait pas au poing ses jumelles, ni son chien, ni un lapin dans un chapeau, ni aucun autre accessoire de prestidigitation, mais bien un faucon. Nous comprenons l’embarras de FL à devoir me traiter de myope à défaut de menteur… Si FL ne le peut le faire, étant à l'étranger, je confirme formellement ce qu'il a écrit dans son post et j’affirme qu’il s’agit, en effet, d’un mensonge ou … d’une baisse de vue. 3 . La route que vous empruntiez n'est pas publique mais privée( la circulation automobile est interdite sur ce type de voirie à perwez sauf pour les personnes ayant droit): vous n'aviez rien à y faire, d’autant que ce chemin est loin d’être le plus court, encore moins le plus carrossable. J’ai le droit de circulation sur les voiries de Perwez ayant deux territoires de chasse sur la commune de Perwez. La route, en béton, est par ailleurs excellente à défaut d'être large et de permettre un croisement facile de deux véhicules! 4. Vous reconnaissez être venus vérifier, je cite : « si d’autres fauconniers sont en action et d’éviter, dans ce cas, tout accrochage accidentel entre faucons. » Or, si chacun chasse chez soi, et pas chez l’autre, les risques d’accrochage sont nuls. Les territoires étant voisins, les risques d’accrochage existent malgré tout surtout avec des faucons qui chassent à vue et/ou qui ont un grand plafond!; un autre risque existe aussi : celui de voir un faucon en action être leurré ou rappelé par un fauconnier distant. 5 . Vous confirmez que m’ayant croisé - « Constatant qu’il y avait un fauconnier (Nebli), nous avons passé notre chemin après l’avoir salué et sommes allés voler sur un territoire distant d’une dizaine de kilomètres. » - du coup, vous êtes allés voler chez vous : n’était-il pas plus simple d’y rester, plutôt que de venir voir chez les autres si il n’y a pas de risque à y voler son faucon ? Je crois, qu'encore une fois, vous n'avez pas compris que j'ai le droit de chasse sur plusieurs territoires dont un voisin du vôtre. Comme nous avons constaté la présence d'un fauconnier, nous avons évité de voler sur ce terroire et nous avons été voler sur un troisième territoire distant d’une dizaine de kilomètres. Qu’il n’y ait pas eu braconnage, cela est fort possible mais qu’il n’y ait pas eu d’intention, tout participe à penser le contraire. A notre tour nous mettons quiconque au défi d’imaginer que deux fauconniers, qui manoeuvrent en voiture, s'arrêtent puis repartent, faucon au poing sur le territoire d’autrui, y sont venus pour enfiler des perles. Je suis content de lire qu'enfin, vous admettez "qu'il n'y ait pas eu braconnage"! Depuis quand lisez-vous les intentions des gens? Vos qualités de "devin" compensent sans doute la baisse de votre vue! Tout cela est effectivement bien lamentable, mais ce n’est pas la fauconnerie qui est en cause, et se sont bien les auteurs de cette triste affaire qui n’en sortiront pas grandis. Pour ma part, je déplore cette perte de temps et ce débat stéril. Cetains préfèrent être devant leur clavier, d'autres sont mieux aux champs. C'est mon cas: à propos, chaque faucon a bien volé et fait prise aujourd'hui!!!
  6. Chacun réagit différemment, certains se réjouissent et voient les aspects positifs de cette reconnaissance, d'autres sont dubitatifs et broient du noir. Je préfère personnellement une inscription à rien et des menaces d'interdiction. Ceci dit, il s'agit de la soumission la plus importante jamais réalisée, portant sur une tradition pratiqué depuis des millénaires sur 3 continents ; d'après le rapport du Comité d'experts, cette soumission devrait servir de 'modèle' pour les soumissions futures. Ce qui a été inscrit n'est pas le repas dominical mais selon le communqué du Ministère de la Culture français le repas gastronomique des Français. Le repas gastronomique des Français est une pratique sociale coutumière destinée à célébrer les moments les plus importants de la vie des individus et des groupes, tels que naissances, mariages, anniversaires, succès et retrouvailles. Il s’agit d’un repas festif dont les convives pratiquent, pour cette occasion, l’art du « bien manger » et du « bien boire ». Le repas gastronomique met l’accent sur le fait d’être bien ensemble, le plaisir du goût, l’harmonie entre l’être humain et les productions de la nature. Parmi ses composantes importantes figurent : le choix attentif des mets parmi un corpus de recettes qui ne cesse de s’enrichir; l’achat de bons produits, de préférence locaux, dont les saveurs s’accordent bien ensemble ; le mariage entre mets et vins ; la décoration de la table ; et une gestuelle spécifique pendant la dégustation (humer et goûter ce qui est servi à table). Portée initialement par l’Institut européen d’histoire et des cultures de l’alimentation (IEHCA), la candidature a été annoncée officiellement en février 2008 par le Président de la République. La coordination interministérielle du dossier a été réalisée par le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Pêche, avec la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires (MFPCA). Je suis d'accord avec Martial que les deux ne sont pas incompatibles et peuvent parfaitement s'accorder dans la même journée pour célébrer par exemple ue belle journée de vol!
  7. L'inscription à l'UNESCO est, en effet, avant tout une reconnaissance 'morale' et ne confère pas de nouveau statut juridique ou légal. Il y a, cepêndant, une obligation des Etats soumissionnaires de préserver un élément qui est classé! Comme la fauconnerie est reconnue faisant partie du patrimoine immatériel de l'humanité, c'est une activité qui acquiert ses lettres de noblesse et qu'il faut protéger. Il ne faut pas non plus oublier qu'il n'y a pas si longtemps, la fauconnerie était la cible de beaucoup d'attaques et, dans certains pays Européens, proche de l'interdiction. Elle a, par exemple, été inerdite en Estonie et dans certains pays nordiques ou Baltiques. Cette insciption permettra sans doute aux derniers pays de l'Union Européenne où la fauconnerie est interdite de légiférer en la matière. Si la vénerie avait été classée, elle n'aurait sans doute pas été interdite en Belgique. C'est aussi et c'est important, la première fois qu'un mode de chasse est reconnu comme faisant partie du patrimoine culturel de l'humanité. Je crois que cela nous fera gagner l'estime du monde de la chasse qui a souvent considéré la fauconnerie comme un mode de chasse 'marginal' et que cela nous ouvrira beaucoup de portes. Les interdictions que vous relevez plus haut sont du ressort des lois sur le bien-être animal. La reconnaissance sera sans doute un argument de plus en faveur des méthodes traditionnelles de détention des rapaces par les fauconniers qui ont fait leur preuves au cours des siècles. On m'a dit que les Autrichiens avaient déjà entammé des discussions pour revoir les fameuses lois sur le bien-être animal. A titre d'exemple, l'argument des l'inscription sur la liste d'inventaire du patrimoine en Belgique a permis à la Commission qui examinait les conditions de détention des rapaces de proposer de conserver les méthodes traditionnelles qui seront reprises dans la loi en préparation. Un des préalables de la discussion pour le monde des associations de protection des oiseaux était la légitimité de la détention d'oiseaux pour la fauconnerie. Il ne faut pas oublier que dans beaucoup de pays comme la France, l'Allemagne ou la Belgique, les 'opposants' veulent la peau de la fauconnerie! La légitimité de la fauconnerie n'a pas pu être remise en question. C'est déjà un résultat formidable!
  8. LA FAUCONNERIE inscrite au PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL DE L’HUMANITE ASSOCIATION NATIONALE DES FAUCONNIERS ET AUTOURSIERS FRANÇAIS (A.N.F.A) Lors de son cinquième comité intergouvernemental tenu à Nairobi (Kenya) du 15 au 19 novembre 2010, l’UNESCO a inscrit sur la Liste représentative du Patrimoine Culturel immatériel de l’humanité « l’ART DE LA FAUCONNERIE. » Au sein d’une candidature commune portée par les Émirats Arabes Unis, la France, la Belgique, la République Tchèque, la République de Corée, la Mongolie, le Maroc, le Qatar, l’Arabie Saoudite, l’Espagne et la République arabe Syrienne, le Ministère Français de la Culture et de la Communication, particulièrement les membres de la Direction du Patrimoine, et les représentants de l’ANFA ont tenu une place primordiale dans la constitution de ce dossier. Il est vrai que, depuis plus de quinze siècles, la Fauconnerie fait partie de notre patrimoine national. Elle a connu son apogée sous Louis XIII, et on en trouve de nombreuses représentations sur les vitraux des cathédrales dès le XV° siècle, ainsi que dans de nombreuses œuvres d’art (tapisseries, tableaux, manuscrits enluminés). Jadis largement pratiquée à la cour de France et par la noblesse, la Chasse au Vol, art d’affaiter (dresser) les oiseaux de proie en vue de les faire chasser du gibier sauvage dans son milieu naturel, est aujourd’hui pratiquée en France par quelques centaines de passionnés qui consacrent leur vie à leurs oiseaux et à la pérennité de la Fauconnerie. La Fauconnerie Française voit ainsi couronnées des dizaines d’années d’efforts pour que survive cet Art de la Chasse. Naturelle s’il en est, respectueuse d’une éthique millénaire, de la sauvegarde des milieux et du gibier naturel, et défenseur infatigable des oiseaux de proie*, la Fauconnerie est un mode de chasse légal clairement différencié des activités commerciales ou ludiques utilisant des rapaces. En effet c’est la fauconnerie et elle seule, en tant que mode de chasse qui est concernée par cette inscription au Patrimoine Culturel immatériel qui commence ainsi : «La Fauconnerie est l’activité traditionnelle qui consiste à conserver et dresser des faucons et autres rapaces pour attraper du gibier dans son environnement naturel…» Cette reconnaissance mondiale est un encouragement à promouvoir l’authenticité et la qualité de notre déduit, pour que vive l’art que Frédéric II de Hohenstauffen, Empereur germanique et roi de Sicile nommait, dès 1245 « De arte venandi cum avibus » . Philippe JUSTEAU, Président de l’ANFA *L’ANFA est agréée par le Ministère de l’Environnement. comme association de protection de la nature. Contact : secretariat.anfa@wanadoo.fr
  9. Voici le texte qui figure sur le site de l'Unesco: La fauconnerie, un patrimoine humain vivant Inscrit en 2010 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité Pays : Arabie saoudite - Belgique - République de Corée - Émirats arabes unis - Espagne - France - Maroc - Mongolie - Qatar - République arabe syrienne - République tchèque Identification Description La fauconnerie, un patrimoine humain vivant La fauconnerie est l’activité traditionnelle qui consiste à conserver et dresser des faucons et autres rapaces pour attraper du gibier dans son environnement naturel. Utilisée à l’origine pour se procurer de la nourriture, elle est associée à l’esprit de camaraderie et de partage, plus qu’à la subsistance. On la trouve principalement le long des itinéraires et corridors de migration. Elle est pratiquée par des personnes de tous âges, hommes ou femmes, amateurs ou professionnels. Les fauconniers développent une relation forte et un lien spirituel avec leurs oiseaux ; une forte implication est nécessaire pour élever, former, dresser et faire voler les faucons. La fauconnerie est transmise de génération en génération en tant que tradition culturelle de multiples manières, parmi lesquelles l’apprentissage, l’éducation au sein de la famille ou la formation plus formelle dans des clubs. En Mongolie, au Maroc, au Qatar, en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, par exemple, les fauconniers emmènent leurs enfants dans le désert et leur apprennent à maîtriser l’oiseau et à établir une relation de confiance avec lui. Si les fauconniers sont d’origines très diverses, ils partagent des valeurs, des traditions et des pratiques communes que l’on retrouve dans le monde entier, notamment les méthodes d’entraînement des oiseaux et la façon de s’en occuper, l’équipement utilisé et le lien affectif entre le fauconnier et l’oiseau. La fauconnerie est le socle d’un patrimoine culturel plus large, qui inclut des costumes traditionnels, une alimentation, des chants, de la musique, de la poésie et des danses, autant de coutumes entretenues par les communautés et clubs qui la pratiquent. Décision 5.COM 6.45 Le Comité (…) décide que [cet élément] satisfait aux critères d’inscription sur la Liste représentative comme suit : • R1 : La fauconnerie, reconnue par les membres de sa communauté comme leur patrimoine culturel, est une tradition sociale respectueuse de la nature et de l’environnement, transmise de génération en génération, et leur procurant un sentiment d’appartenance, de continuité et d’identité ; • R2 : Son inscription sur la Liste représentative pourrait contribuer à promouvoir la diversité culturelle et le dialogue interculturel dans le monde entier, renforçant ainsi la visibilité du et la sensibilisation au patrimoine culturel immatériel et à son importance ; • R3 : Les efforts déjà en cours dans de nombreux pays pour sauvegarder la fauconnerie et assurer sa transmission, qui se concentrent en particulier sur l’apprentissage, l’artisanat et la conservation des espèces de faucons, sont complétés par des mesures planifiées pour renforcer sa viabilité et la sensibilisation à la fois aux niveaux national et international ; • R4 : Les communautés, associations et individus concernés ont participé à l’élaboration de cette candidature à tous les stades et ont fourni des preuves abondantes de leur consentement libre, préalable et éclairé ; • R5 : La fauconnerie est incluse dans les inventaires du patrimoine culturel immatériel de chacun des États soumissionnaires.
  10. La Fauconnerie inscrite au patrimoine de l’Humanité Lors de la cinquième session du Comité Intergouvernemental de Sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel tenu à Nairobi (Kenya) du 15 au 19 novembre 2010, l’UNESCO a inscrit sur la Liste Représentative du Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité, un mode de chasse, « l’ART DE LA FAUCONNERIE », sous la définition suivante : «La Fauconnerie est l’activité traditionnelle qui consiste à conserver et dresser des faucons et autres rapaces pour capturer du gibier dans son environnement naturel…». Au sein d’une candidature commune portée par la Belgique, les Émirats Arabes Unis, la France, la République tchèque, la République de Corée, la Mongolie, le Maroc, le Qatar, l’Arabie Saoudite, l’Espagne et la République arabe syrienne. La Belgique, représentée par le Ministère de la Culture de la Communauté Française de Belgique et le 'Ministerie van Cultuur van de Vlaamse Gemeenschap', a tenu une place primordiale dans la constitution de ce dossier. Depuis plus de quinze siècles, la Fauconnerie fait partie de notre patrimoine. Elle a connu son apogée sous les Ducs de Bourgogne, et on en trouve de nombreuses représentations sur les vitraux des cathédrales, ainsi que sur des tapisseries, des tableaux et des manuscrits. Jadis largement pratiquée à la Cour et par la Noblesse, la chasse au vol ou « fauconnerie », est toujours pratiquée de nos jours en Belgique par quelques dizaines de passionnés qui consacrent leur vie à leurs oiseaux et à la pérennité de la Fauconnerie. La Fauconnerie est un mode de chasse légal, tant en Région Wallonne qu’en Région Flamande, clairement distinct des activités non cynégétiques utilisant également des rapaces. Pour plus d’information sur la soumission avec photos, video et audio www.unesco.org/culture/ich L’Association des Fauconniers Belges ‘Club Marie de Bourgogne http://www.associationdesfauconniersbelges.be/ L’Association Internationale pour la Fauconnerie et la Conservation des oiseaux de Proie http://www.i-a-f.org/new/
  11. gerfaut

    Bonjour à tous!

    Bonjour, Voici le lien de l'Association Nationale des Fauconniers et Autoursiers Français : http://www.anfa.net/ Plusieurs membres du bureau habitent dans les environs d'Angers. Si vous vous présentez avec diplomatie, le secrétaire vous 'introduira'.
  12. Le laneret était aussi équipé d'un harnais et d'une caméra - voir le texte: You can see this peales keep looking up, he is looking at the lanner he is chasing. The lanner falcon was also wearing a camera. Il ne me semble pas du tout que le peale essaye de se débarasser du matériel - il regarde le laneret qui a l'ascendant.
  13. Je crois que le titre n'est pas très bien choisi: 'la preuve que les harnais les ennuyent". Le harnais n'a absolument rien à voir ici. Il faut lire le texte en commentaire : "You can see this peales keep looking up, he is looking at the lanner he is chasing." Le faucon (peale) regarde un autre faucon (un laneret) qu'il poursuit!!! Au pire, il pourrait être gêné par la caméra mais pas par le harnais.
  14. gerfaut

    hybrides ou purs?

    Mon avis est que hybride = facilité. C'est comme la Harris en bas-vol.
  15. Cette attestation était délivrée avant 1995 pour ceux qui avaient réussi l'examen de chasse au vol ou avaient une licence de chasse au vol (avant 1985). L'arrêté du 23 mars 1985 réglementant la chasse au vol a été abrogé. C'est curieux que cette mention figure encore sur la demande de permis parce que normalement, il y a une période transitoire de 10 ans maximum.
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