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Fly the snipe

La nouvelle saison (2008)

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590 gr, et en avant! Et pourtant même attitude que les jours précédants, ce qui montre que le poids n'y est plus pour grand chose, sauf à lui donner un surcroît de motivation pour ne pas qu'il se pose. Je change d'endroit ce soir, ça devrait suffir.

Une caille est partie devant le breton. L'oiseau était encore chaperonné.

Un perdreau vite rejoint et tué. Le tiercelet mange la tête, prend une beccade au leurre et monte au poing pour un poussin.

A la maison, une séance d'une 30aine de jumps, pour la motivation, le souffle, le muscle et surtout pour que nous passions un peu de temps ensemble, car il a été vite introduit mais nous ne nous connaissons pas encore.

Il commence à être costaud. Les jumps étaient verticaux et il n'a commencé à haleter qu'à partir du 28ème.

Amicalement,

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577 gr, mais j'ai dû me tromper.
Mise sur l'aile sur l'exploitation vers 20 h. Le tiercelet monte franchement en cercle en se décentrant. A un moment, je le trouve parfaitement placé pour une descente d'enfer. Sans doute ai-je hésité trop longtemps à escaper ou a-t-il déjà l'esprit à autre chose car il continue à se décentrer en plafonnant à peine au dessus d'un pilône THT, puis il passe derrière une haie à 200 mètres de moi pour disparaître. J'aperçois quelques crécerelles qui se remisent dans la haie et un autre qui se pose sur le pilône à 10m de haut. Je m'apprête à sortir mon album de coloriage quand...
Coup de fusil.
Le tracking l'indique ni en l'air ni par terre. Je suis les bips en craignant qu'ils ne s'arrêtent (le brac pouvant le détruire si c'était bien le faucon qui était visé). J'entends les sonnettes en me dirigeant vers le pilône. Ce n'est pas une crécerelle posée à 10m mais bien le tiercelet. Ouf! Pour une fois, je suis content qu'il n'ait pas été en vol.
Je retourne au centre du champ et colorie au moins 5 pages de mon album dans l'heure qui passe. Cette fois j'ai compris, il est trop haut.
Quand le soleil est couché, le faucon daigne reprendre son vol, de fort belle manière d'ailleurs, montant, se centrant, si bien que je lui escape le perdreau que je m'étais juré de laisser dans son sac. Attaque immédiate mais infructueuse pour cause de remise (c'est un perdreau qui a déjà été récupéré d'une attaque similaire et qui connaît la musique). Pour le coup, le faucon avait pris l'envie de voler et, trop lourd par ailleurs, il a fait bien des tours avant de rejoindre le leurre.
Un poussin en tout et pour tout.

Ce matin, je pèse le faucon dans l'espoir de le faire voler (la température est fraîche et largement plus adaptée que le soir). Finalement, j'opte pour la recherche avec les chiens du perdreau perdu la veille. Banco. Le pointer l'arrête le long d'une haie et, exercice constructif, ne le rattrape pas parce qu'il se remise en hauteur. Comme quoi, quand les perdreaux ne sentent pas l'homme, il les arrête. Comment se comportera-t-il avec les escapes dans 10 jours quand il passera son TAN?

Amicalment,

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565 gr, soit moins que son poids à l'intro.
Il ne s'est pas posé. Etonnant, non?
Pourtant, il a refait le même tou que la veille pour finir par tourner au dessus de son pilône et de la haie. Mais il est revenu aussitôt.
Un perdreau peu coopératif qui retombe comme un caille d'élevage. Le faucon insiste, relance, mais le perdreau a dû finir par entrer dans un trou de souris.
50 jumps au retour à la maison.
A confirmer.

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petite leçon pour le fauconnier....
2 ou 3 escaps
si un fait le "con" et se remise un deuxième volontaire est là pour rattraper éventuellement le coup.
le faucon voit en son fauconnier une source inépuisable de gibier , boneraison pour ne pas partir trop loin Mr.Red
ouaip mais il va descendre son plafond! ben ...non
mais ça ce sera qd tu auras les pigeons, un imprenable volant et il apprendra vite à remonter son plafond tout en restant centrer Cool

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565 gr hier soir. Il est à peine 19 heures quand le tiercelet part du poing dans les 5 secondes de son déchaperonnage.
Il monte immédiatement à son plafond habituel en à peine un large demi cercle.
Une forme de crécerelle immature venue le houpiller tourne les avillons quand elle s'aperçoit que le tiercelet est en train de décrire un cercle qui le place déjà au dessus d'elle. Elle est à mi distance des lignes d'abricotiers quand le tiercelet est en position pour l'entreprendre. Elle échappe à l'attaque en s'engouffrant dans les fruitiers.
Le tiercelet ressource et vient se recentrer sur moi. Je le serts au 2ème tour pour bien confirmer l'intérêt qu'il a à ne pas se poser. Il prend le perdreau par l'arrière. Je suis sur place pour sauver la vie de la proie en offrant le cadavre du perdreau de l'avant veille. Je laisse le faucon plumer et manger un quart de gorge. Je pose le leurre et sa cuissette sur le perdreau que le faucon abandonne sans difficulté. Pleine gorge au gant.
Un vol académique et un faucon sans défaut. On y est.
Demain, si St-Bavon le permet, je volerais à Arlay dans le Jura. Après demain en Bourgogne.

Un bonheur n'arrivant jamais seul.
Le faucon à la perche, je décide d'aller tester la réaction au coup de fusil du pointer en vue du TAN de la semaine prochaine. J'avais attaché le perdreau non tué du jour au fond d'un vaste champ, le seul (enfin) moissonné, le long de la route d'Arles.
Je vais me mettre à contre vent avec le pointer en laisse.
Je l'envoie à droite et il rejoint la route dans une course parfaite en ligne droite. Il entâme un large virage à gauche, soutenu par mes instructions au sifflet (peu efficaces car peu travaillées depuis des mois que les blés nous coupaient l'espace). Il court de manière parfaitement rectiligne et perpendiculaire à moi, me passe devant et est presque arrivé au bout du champ quand il entâme un large virage à droite pour repartir dans l'autre sens, ceci pour deux lacets supplémentaires. Sa quête est interrompue par l'envol de 3 cailles qui se remisent dans les tournesols. Il a été surpris. J'espère qu'il a eu le temps de sentir leur odeur pour la prochaine fois.
Je le fais revenir à grand peine car il a fini par entrer dans les tournesols pour lèver un oiseau que mon imagination sans doute fertile me fait nommer oedinème (ca ne ressemble à rien d'autre qu'à ça).
Retour au point de départ contre le vent. Nouvelle quête académique de 3 lacets conclue par un arrêt sur le perdreau. Je siffle le down et encourage le chien à ne pas bouger le temps que je le rejoigne, le dépasse, et récupère le perdreau à 8-10 m devant le chien. Je tire 2 cartouches devant un chien à peine étonné.
Formidable. Dommage que nous n'ayons pas été déjà à l'épreuve du TAN, car je doute pouvoir renouveler l'exercice aussi bien à court terme.

Un faucon bien mis, un chien bien mis, des cailles... Vivement l'ouverture, n'est-ce pas?

Amicalement,

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"Un vol académique et un faucon sans défaut. On y est."
Rien que ça ??

Si tu es sur le coin, passes chez moi, on ira voler en montagne et faire travailler les chiens, j'ai hate de voir un aussi bon équipage au 10 JUILLET.

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Eh non, il n'a actuellement plus de défaut. C'est un oiseau très bon chaperonnier, qui ne charrie pas, qui n'a pas de crises de folie, qui commence à avoir confiance en ses capacités, qui se centre plutôt bien, qui monte vite même si ce n'est pas haut, qui attaque sans crainte, qui prend presque à chaque fois même si les escapes sont faciles, qui abandonne immédiatement sa prise au profit du leurre, qui a une bonne santé...
Quand j'ai rencontré des difficultés, je les ai décrites objectivement il me semble. Quand les choses tournent bien, je ne le cache pas non plus.
Nous faisons tout ça (faucons et chiens) pour de rares moments de bonheur. Ne les boudons point quand ils arrivent.

Non, il n'a pas de défaut à corriger et je peux envisager la suite avec d'autant plus de sérénité que l'eleveur de perdreaux vient de me trouver une quinzaine de pigeons de ferme, que j'en aurai d'autres dès lundi sur un marché aux volailles en Bourgogne et que quelques-uns d'entre vous me proposent gentillement des voyageurs.

Pour une fois que je n'ai pas l'occasion de me plaindre, profitez-en!

Non vraiment, je pensais qu'après tout ce temps tu avais appris à me connaître. Espèce de boudeur!

De toute façon, la description d'un affaîtage en temps réel s'achève avec la première prise sauvage. De première prise il ne peut y en avoir avant l'ouverture, n'est-ce pas? Donc le carnet de vol prend naturellement fin.

Un peu de pratique, ça fait jamais de mal aux néophites qui ont pu suivre un conditionnement.

Non mais,

Amicalement,

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As-tu une source d'appro pour des voyageurs?
Je redescends lundi après-midi et peux faire un détour. Folklore pour folklore: j'aurais 3 chiens, le tiercelet de pèlerin et celui de harris, des pigeons.

Amicalement,

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ARGHH.... pas sur pour les voyageurs je dois appeler demain et il ne m'en reste plus qu'une 15 aine de bon volants.
Par contre pour lundi c'est peut-être jouable.

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Merci Fly de nous avoir fait partager l'affaitage de ton oiseau !
Ce n'est pas donné à tout le monde de se dévoiler ainsi, et de s'ouvrir à la critique.
Bravo !

Franck

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Bon. Parce je sents que vous vous ennuyez déjà...

Je sorts du travail tôt hier soir pour prendre la route vers 18 heures au plus tard. A 17 heures, j'arrive à la maison. Ma femme et la belle mère juste arrivée de Pointe à Pitre sont déjà prêtes et m'attendent assises sur leurs valises.

C'est trop bête de ne pas faire voler le faucon. Je le pèse tout de même: 582 gr! Le soleil est haut et ardent, le vent du sud est fort et je dois racheter des piles pour l'émetteur. Non, ce n'est vraiment pas raisonnable.

Un petit quart d'heure plus tard le faucon est sur l'aile. Il monte comme d'habitude mais ne revient pas se centrer. Etonnant, non? Moi qui espérait mutualiser chiens et faucon dans le champ moissonné... je me retrouve à réviser les bases du tracking avec un signal des plus ténus, le faucon s'étant éloigné un peu plus à chaque cercle pour disparaître.

Après une heure de grillade au soleil, la mauvaise conscience se réveillant (eût égard à ces dames qui attendent), je commence à suivre les bips, en ligne droite (brutiau tu as été, brutiau tu resteras): un verger, un champ de blé, deux champs de blé, une roubine, deux roubines (profonds canaux d'irrigation au berges abruptes en général tenues par une rangée d'arbres et de ronciers)... bref, un petit rappel de la chasse en Guyane. Un gentleman farmer peaufine son gazon anglais derrière un mas isolé. Il a dû être surpris de me voir derrière la roubine un instant et au milieu du champ de blé qui jouxte son domaine le moment d'après, d'autant qu'un gars qui promène une antenne au milieu de deux chiens qui courent partout...

Bref, le faucon est bien là, mais il n'a manifestement pas fini de voler et il repart en direction de l'exploitation. Chemin inverse pour les chiens et moi. Le tracking indique que l'oiseau est parti vers la montagne. La route nous sépare et je ne peux prendre le risque de faire traverser les chiens.

Aussi je retourne à mon point de départ et sorts à contre coeur le cadavre de perdreau entâmé la veille pour le faire tourner en bout de longe.

Je vois le tiercelet qui arrive à toute vitesse depuis la montagne.

Nous prenons la route vers 20 heures 45. Le treillis a séché en route. Pour les bottes, ce sera plus long.

Amicalement,

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Deux vols en Camargue dans le marais.

Le premier en présence du maître et de retour d'un déplacement professionnel de finalement 2.5 jours, le faucon ayant trop perdu de poids en mon absence. Le faucon est resté sur l'aile un temps honête, centré mais très bas de plafond. Les bécasseaux et autre limicoles étaient partis devant le pointer que je n'avais pas eu l'idée de tenir avant de mettre sur l'aile. Le faucon est manifestement peu à l'aise au dessus de l'eau et des roseaux. Il n'entreprend pas le pigeon volant que je lui lance et finit par se poser sur une digue. Il a été nourri à la maison.

Hier soir, de retour du TAN où le pointer a fait une petite promenade de fumées en fumées (il était le dernier à passer et le terrain était bien jalonné), rendant secondaire les cailles qu'il ne connaît pas de toute façon. Téméraire, je mets sur l'aile au milieu de chevaux camarguais, soucieux de respecter la zone où le proprio de la chasse m'a autorisé à voler (petit à petit, l'idée fera son chemin...). Le faucon est à 20 gr de plus que la veille et il s'éloigne pour attaquer des mouettes ou équivalent dans le pré qui jouxte le marais, derrière une roubine. D'attaques en survols, il disparaît au loin. Je me dis qu'il doit me voir dans cet environnement plat et je l'attends au milieu des chevaux.
Après 15-20 mn, il est revenu se centrer et j'ai tenté d'envoyer le breton dans les roseaux. Ce couillon de chien attendant une escape de ma part est resté dans les bottes. Le temps que je me décide à descendre dans le marais, le faucon avait fait trois tour pour repartir vers ses mouettes.
Quand il est revenu, il a reçu le leurre et sa cuissette. Récup au gant sur un poussin. Il était 16h30.
Le soir, 49 jumps améliorés (je monte sur une chaise) pour 3 poussins de plus.
Amicalement,

A propos, le train e vendredi a été pris... de justesse. J'ai dû entrer par la première voiture, à l'appel du chef de gare.
Escape d'un pigeon volant, poursuivi par un faucon qui n'a pas encore confiance en lui car il abandonne vite.

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Fly the snipe a écrit:

Escape d'un pigeon volant, poursuivi par un faucon qui n'a pas encore confiance en lui car il abandonne vite.


Ce n'est pas une question de confiance, mais de vélocité et de volonté, si il ne poursuit pas c'est qu'il a déjà compris que des proies beaucoup moins volantes étaient disponibles et à sa portée sans trop d'effort ou que dans le pire des cas il serait nourri au leurre au retour.

Dès lors pourquoi poursuivrait-il un pigeon bien volant ? Very Happy

C'est le problème quand on démarre avec du perdreau, le pigeon est beaucoup moins attractif ensuite.

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Hier. 70 km/h de mistral. Du public comme finalement très souvent.
J'avais mis un pigeon en boîte d'escape au milieu d'un champ moissonné et reviens avec pointer et faucon.
Le pointer va presque directement se mettre à l'arrêt car il a saisi l'émanation de loin (l'effet magique du vent). Le faucon, mis sur l'aile en même temps que le chien a été envoyé, est déjà revenu se centrer, sans pratiquement battre des ailes, juste en maîtrisant les bourrasques. Plafond décevant malgré le mistral (30-40 m). J'escape lorsque le faucon est derrière moi un pigeon que je réveille sûrement car il retombe au sol avant de s'envoler, le faucon déjà aux trousses. Belle poursuite, le faucon prenant la tangeante pour couper la route du pigeon qui est obligé de revenir plusieurs fois au milieu du champ. Il finit par rejoindre et entrer dans une haie de cyprès salvatrice avec un tiercelet qui le suit. Je retrouve le faucon dans les pommiers, dépité.
Amicalement,

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Hier soir, le tiercelet est furieusement motivé. Pourtant, il est à 580 gr et dans d'autres temps, il aurait pu se balader.

Ces jours-ci, il est très régulier et je tente de le mettre sur l'aile au milieu des rangées de cyprès en espérant qu'il surprendra des ramiers en passant de l'une à l'autre. C'est exactement ce qui se passe, si ce n'est que 2 pigeons partent en sens inverse une fois le faucon passé. Mais deux autres partent au fond du champ moissonné, immédiatement poursuivis par le faucon. Les pigeons ont 300 m d'avance et le faucon comprend assez vite qu'il n'a aucune chance. Il revient se centrer.
Quelques tours au dessus de moi, avec une perte de plafond à chacun.

J'escape un pigeon qui s'avère un athlète car en quelques secondes il a rejoint la haie à plusieurs centaines de mètres. Le faucon est parti derrière et a le temps de porter une attaque in extrémis, esquivée.

Ca fait deux poursuites. Le faucon revient se centrer mais il a le bec largement ouvert. Il faut ajouter une chaleur intense, le champ des cigales remplissant l'air d'un vacarme suffisant pour couvrir le tintement des sonnettes.

Leurre et cuissette. Nourrissage à la maison 1 heure plus tard.

Entre les pigeons qui retombent immédiatement (et qui font baisser son plafond) et les imprenables, le faucon comprend-t-il quelque chose? Il lui en manque encore beaucoup pour conclure.

Amicalement,

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Fly the snipe a écrit:

Entre les pigeons qui retombent immédiatement (et qui font baisser son plafond) et les imprenables, le faucon comprend-t-il quelque chose? Il lui en manque encore beaucoup pour conclure.


Et toi ? Very HappyVery Happy Sans bons pigeons pas de bons faucons !
Il faut de bon pigeons : les mauvais doivent malgré tout assez bien voler pour ne pas être trop faciles et les bons doivent voler haut et vite sans se poser. Ensuite c'est au fauconnier de servir au bon moment, qui se joue souvent en quelques secondes, c'est pour cela qu'il faut toujours avoir 2 pigeons dans la poche et être prêt à intervenir rapidement.

Si il lui en manque encore beaucoup pour conclure, c'est déjà qu'il est sur la bonne voie, il loupe, est contraint de dépasser ses limites, donc il apprend !

Dans tous les cas pour qu'un faucon commence à être capable de prendre des bons volants, il faut compter entre 3 et 600 pigeons escapés.
Tu n'en n'es qu'au début, et il est probable que ton oiseau l'ait compris bien avant toi ! Very Happy

Bonne chance - cordialement.

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Je mets sur l'aile au milieu des haies de cyprès. Le faucon disparaît. Je continue jusqu'en champ et me positione au milieu.
15 mn plus tard, pas de nouvelles.
Tracking: le champ, un autre champ moissoné, une parcelle de tournesols...
La télémétrie indique que le faucon est au sol.
Amicalement,

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Des difficultés en Camargue pour motiver le faucon à attaquer au dessus des roselières et des platières. Pourtant, les envols de canards et autres limicoles auraient dû le motiver au moins à attaquer. Le pigeon lâché dans ce milieu provoque un intérêt très passager.

Première nuit passée dehors de vendredi à samedi:

Le faucon a (tout de même) volé un peu au dessus du marais avant de rejoindre la digue pour s'y poser. Il revient spontannément mais pour être rejoint par un tiercelet sauvage. Tout deux s'éloignent et reviennent. Je donne le leurre avec cuissette + corp de poussin au poing pour tenter de décoller le pèlerin sauvage et m'apprête quitter les lieux quand les chiens font voler des canards.
Réaction atavique de ma part (qu'en eût-il été s'il s'était s'agit de bécassines), je remets sur l'aile.
La grosse gorge de la veille (pourtant il était en poids en partant), le milieu qui l'impressionne, le gros tiroir tout juste reçu, l'émotion du vol en compagnie d'un congénère, le nombre impressionnant d'oiseaux... toujours est-il qu'il se met à monter, monter, en allant se positionner au dessus d'un bosquet au loin, pour monter encore. Il est 18h30 et je suis bouffé par les moustiques. Il vole et je le suis sur 3-4 km au tracking, dans un paysage d'une intensité insoupçonnée, au milieu des enganes, des taureaux, des chevaux, des canards et des moustiques... jusqu'à d'anciens silots refuge de nombreux choucas et étourneaux. J'ai en général de l'eau jusqu'au genoux et la progression est ... laborieuse. A 23 heures, après l'avoir localisé de peu, j'abandonne le tiercelet dans un arbre isolé où il s'est perché pour la nuit. A cause des 100aines de piqures, je ressemble à une orange.

Le lendemain, je suis au pied de l'arbre à 5h45, réfugié dans la voiture à observer les moustiques qui m'attendent. Le faucon part dans la nuit et m'oblige à sortir. Il disparaît et revient tourner au dessus de moi et du leurre. A 6 heures, nous prenons le chemin du retour et arrivons à la maison à 6h30, quand le soleil passe un oeil au dessus des Alpilles.

Samedi et dimanche, 2 vols par jour. Ce matin, nous étions rentrés à 7 heures.

On s'emballe, on s'emballe, mais plus il vole, plus il s'assèche, donc plus souvent il peut manger... et donc voler.

Moralité: Sans doute ne faut-il pas chercher à tout prix à faire voler au dessus des roselières.
Moralité 2: Vive la télémétrie.

Amicalement,

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Ca c'est du vol et de la fauconnerie !

De la prise de risque, de l'ambition, de l'engagement et en plus, tout fini bien. On est loin de deux réclames ou d'une passe au leurre !

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Deux vols par jour. C'est un peu compliqué de connaître son poids car le tiercelet est encore empeloté le matin. En revanche, le vol amène le vol et si je tenais compte de sa réaction, nous irions voler aussi à midi.

L'avantage du matin, c'est la température beaucoup plus fraîche. L'inconvénient, c'est qu'il faut passer avant la brume (une courte fenêtre de vol).

Sur les chaumes, le tiercelet reste parfaitement centré. Je garde les derniers pigeons volants (petits, trapus et courts) pour en faire une souche et suis repassé aux perdreaux (très vifs).

Le faucon ne monte pas plus mais il prend avec un taux de réussite de 25% en moyenne. Il peut y avoir plusieurs poursuites quand le perdreau a eu le temps de se remiser et que les chiens le remettre sur l'aile. Le faucon est en général au dessus de la remise. Pas terrible pour le plafond, mais enfin.

Le tiercelet a du coeur, car il lui arrive au déchaperonnage de partir du poing derrière un oiseau sauvage aperçu dans les sillons et... de le rattraper (attaque en général esquivée).

Ma foi, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a. Je vais retenter la Camargue ce soir ou demain.

Amicalement,

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576 gr au moment du départ pour la Camargue. Je mets sur l'aile 40 mn plus tard à deux pas de l'endroit que la veille.

Sans doute son meilleur vol. Le faucon a volé au moins 20 minutes en restant en permanence au contact, centré à un plafond jamais atteint (dans une telle situation de contact), sans chercher à chasser pour lui en rejoignant les bosquets ou le toit du hangar.

Le faucon est sur l'aile depuis quelques minutes quand Guinness trouve une compagnie de (jeunes?) faisans sauvages en bout de parcelle. Il y en a trop pour que le chien maîtrise la situation et il provoque l'envol. Je suis un peu loin, du coup le faucon aussi. Les faisans ne prennent pas de risque, ils glissent vers les roseaux au raz du sol.

Le faucon les a vu, juge inutile d'attaquer mais va tout de même se positionner au dessus du chien en perdant un peu de plafond.

Je traverse le champ pour tenter de maîtriser les chiens qui cherchent dans le riz derrière la roselière (pour épargner le riz jeune) et escape un perdreau au faucon.

Le tiercelet, qui est remonté entre temps, n'a aucun mal à accrocher le perdreau, mais il ne le retient pas.

D'où vient cette manie d'accrocher à la première attaque. Est-ce la peur de la chute dans les roseaux? Est-ce la garantie d'une relance par les chiens? Tel ne fut pas le cas cette fois-ci car le perdreau s'est branché dans une "haie".

Mis à part cette non conclusion, le faucon s'est très bien comporté, restant centré quand je me déplaçais. A renouveler pour qu'il dépasse ses limites et ses craintes.

Amicalement,

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Citation :
D'où vient cette manie d'accrocher à la première attaque


Je reviens sur un précédent post ( hier ) : il sait qu'il a une seconde chance, généralement plus facile...

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Je crois que c'est à peu près ça en effet.
La première attaque est bien menée et il accroche le gibier, donc je ne crois pas qu'il cherche la facilité. En revanche, il doit bien y avoir une certaine forme d'habitude de la poursuite qui suit.
C'était pas mal pour rallonger l'effort et l'habituer à persister, mais il faudra que je lui fasse comprendre que ce n'est pas automatique.
On verra ce soir. Il faudrait que je me passe des chiens un moment mais c'est dur.
Amicalement,

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Hier en Camargue. 576 gr. Le faucon est désormais bas et faible à ce poids. Il tourne trop près et trop bas. Dommage car les faisans étaient là. Il a fallu que je le récupère à vide pour le remettre sur l'aile après de longues minutes: c'est au moment où j'allais le chaperonner pour quitter les lieux qu'il s'est décidé. Il est monté à un plafond correct en peu de temps. L'attaque a été belle et efficace, même si le perdreau a abandonné au dernier moment pour se poser et qu'il a été pris au vol après une ressource serrée.
Je maîtrise désormais la cuisson des magrais de perdreau et nous nous somme régalés.

Ce matin. Vraie situation de chasse avec le perdeau positionné dans le champ avant l'opération. Le pointer ne le manque pas, l'arrête (quand je pense qu'il n'a pas eu son TAN...), coule jusqu'à l'envol. e faucon est bien placé et assez haut. L'attaque est trop longue et le perdreau rattrapé in extrémis. Il n'est pas pris. Beau vol.

Amicalement,

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Hier soir en Camargue, juste avant la nuit, chaleur obligeant.

611 gr. Le tiercelet est beaucoup plus aérien. Allez, même si c'est souvent difficile de juger, tentons un plafond: 80 à 100 mètres.

Le premier perdreau a vu le faucon avant d'être lancé et il se remise dans la roselière que j'ai laissée derrière moi pour avoir une parcelle entière devant.

Le faucon remonte après un embryon d'attaque, tourne au dessus de la parcelle, très légèrement excentré mais tournant comme une grande aiguille. Je le laisse faire pour qu'il monte encore si possible.

Quand il se décentre encore légèrement, j'agite la main au dessus de ma tête ce qui le fait se repositionner à l'aplomb. Quand il est derrière moi, j'escape. Le perdreau va vite mais il est buffeté "avec précaution" à 30-35 mètres du sol au milieu du champ. Déstabilisé, le perdreau fait une pirouette et reprend sa fuite, le faucon un peu en retard (pour cause de ressource) derrière, et trouve son salut en arrivant à des buissons. Le faucon abandonne désormais facilement à l'approche de la remise.

Une fois encore, le faucon a accroché sans faire mal. C'était pourtant facile pour lui de frapper fort car il avait de la vitesse.

Beau vol tout de même, avec un oiseau régulier bénéficiant d'un beau coup d'aile malgré son poid du soir.

Peut-être devrais-je le leurrer à la carcasse de perdreau pour multiplier les chances qu'il lie.

Amicalement,

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Pourquoi veux-tu qu'il lie ?
Qu'appelles-tu accrocher ? Il loupe son buffetage ?

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J'ai du mal à analyser l'origine de son comportement: il rejoint, serre une fois ou frappe "doucement", comme pour déstabiliser le gibier et provoquer sa chute.
Si ça marche comme prévu, il ressource et prend en général au moment où le perdreau touche le sol (c'est au passage excellent pour le balai). C'est pourtant plus compliqué.
Craint-il de tomber dans la végétation? Quand il a lié définitivement (2-3 fois), il n'était pas à l'aise à la descente et il a vraiment fallu qu'il arrive aux roseaux pour ne plus tenter de freiner sa descente (c'est un oiseau qui ne charrie pas). A chaque fois, il a atterri in extremis en bordure de champ.
Il aurait peur.
Amicalement,

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Euh..... Bravo Fly !
Tu viens de découvrir le buffetage ! Very Happy

Un pélerin n'est pas un autour, il buffète - puissament ou non cela s'améliore aussi avec l'expérience - la proie tombe et il descend dessus pour manger ! Very Happy

En haut vol on recherche le buffetage pas que l'oiseau lie ! Very Happy Si il lie, c'est plutôt un défaut généralement lié au manque de plafond ! Very Happy

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"C'est pourtant plus compliqué" j'ajoute le sous-entendu: que le buffetage.

Hier, il a tapé assez haut (30-35 m). S'il est parti de 90 mètres, ça fait peut-être une vitesse encore trop faible. Pourtant le perdreau très motivé n'a pas eu le temps de parcourir grand chose et le faucon est arrivé fort.

Ca viendra sûrement naturellement.

L'impatience de la jeunesse sans doute... C'est rassurant.

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Il est des souches qui lient et d'autres qui tapent.

Un peal qui ne lie pas a assez peu de chance de retrouver sa prise au milieu de l'océan, comme les oiseaux qui volent au dessus des forêts, de la végétation de 1m de haut....

Un faucon qui buffete a ma préférence même s'il est souvent moins efficace que celui qui lie. Cette violence et ce spectacle me ravi plus que la délicate prise en l'air. Question de goût....

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Arrête tes conneries, on ne fait pas du haut vol pour voir lier des perdreaux comme par un autour !

C'est d'ailleurs toute la différence entre le haut et le bas vol !
La puissance du buffetage n'a rien à voir avec le plafond, cela dépend des oiseaux c'est vrai.

Un des plus incroyable buffetage , plafond de 7 / 800 m piqué en goutte d'eau vertical, d'un de mes hybrides, explosion littérale du pigeon dans un nuage de plume avec le bruit d'un crochet du droit et .... le pigeon qui continue son vol ! Very Happy

Autre oiseau. Il y a 5 ans forme de pélerin immature, un plafond minable de moins de 50 m , tout ce qui part est mort, pourtant l'oiseau ne semble que froller ! mais les pigeons tombent raides morts en tournant comme des papillons, quasi coupés en 2 !

Pour les pélerins, il faut reconnaitre qu'il est rare que des buffetages d'enfer ne correctionnent pas les pigeons du premier coup, ce qui n'est pas tjs le cas des hybrides. Un rapport poids / main / puissance probablement.

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585 gr. Je laisse voler voler voler. Au départ, c'est un peu mou avec une montée battue contre le vent et un laisser aller plané avec le vent. Tu vas le vouloir ton perdreau, je te le dis. Avec le temps qui passe, il commence à voler plus mécaniquement.
Le soleil est couché quand j'escape le perdreau à un faucon à 45 mètres maxi.

Rebelote. Un buffetage bruyant qui fait tomber le perdreau de 4 mètres, une proie qui se resaisie mais qui n'a pas le temps de repartir bien loin avant d'être liée et maintenue dans la chute.

Possible que le côté pile (ou peal) ressorte chez ce tiercelet.

Amicalement,

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Le coté peal n'a rien a y voir, le coté face non plus. Si ton oiseau loupe les buffetage, c'est qu'il ne lie pas CQFD. Il manque tout simplement de puissance.

Probablement manque de plafond pour pouvoir améliorer sa trajectoire et buffeter avec efficacité . Donc manque d'amplitude + manque d'expérience = manque de puissance.

Ah oui, au fait ! pourquoi cherche-t-on à faire monter les faucons ? Un caprice de fauconnier ou une utilité technique ?

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Monte le en poids, il va prendre du plafond!

Il a du peal? Généralement se sont les peals qui buffètent le mieux.

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Scottish/peal. Et pourtant pas bien lourd.

Je le remonte, je le remonte... car il supporte bien dasn son comportement. Un bon indicateur: il vole 2 fois par jour quand il ne part pas à angle droit quand je le récupère au bloc. S'il est direct, c'est qu'il ne fera pas de balade ensuite.

Amicalement,

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Alors, j'ai de très gros brookeis....

Je vole un tiercelet à 560 gr Embarassed

Le dernier peal/écossais que j'ai volé tournait autour des 720 gr poids de vol.

Es-tu certain qu'il n'est pas trop bas?

En générale, je vole mes oiseaux au poids auquel je les reçois après deux mois.

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A 611 gr ce matin, il était à 20 gr de son plein poids. Il a bien volé mais a vu trop tard l'escape qui se remise dans les cyprès sans même devoir mettre le turbo.

Hier soir en Camargue. Mise sur l'aile un peu plus tôt que la veille, mais au même poids. Le faucon n'a manifestement pas envie d'attendre l'escape aussi lontemps que la veille car il part sur la parcelle adjacente pour attaquer des hirondelles qui tombent au ras du sol. le faucon est obligé de se poser à la 2de attaque.

Il revient sur ma parcelle mais cherche autre chose. J'agite la main pour le faire se centrer et escape quand il est derrière moi.

Buffetage en règle (comme quoi...). Le perdreau tombe comme une pierre mais le faucon n'est pas pleinement "récompensé" car le breton prend le gibier pour le rapporter avant que le tiercelet n'ait le temps de tomber sur la proie après une belle ressource.

Je rends son perdreau au tiercelet mais il attend déjà le gant où il est gorgé.

J'y vais fort sur la nourriture. Une gorge de 4 poussins le soir (à peu près le maxi pour lui) et un ou deux poussins le matin (qu'il y ait vol ou non) pour éviter qu'il ne soit trop bas le soir. Pour le remonter plus vite, je peux lui donner du perdreau, mais attention à la rapidité de prise de poids. Je donne en général une cuisse et pas plus.

Amicalement,

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Après cette connerie, t'as tué le breton?

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Ces Belges !!!!
Ils tuent les chiens qui font leur boulot. Sans doute ne sont-ils pas habitués à voir la passion dans l'oeil de leur auxiliaire.
Mr.Red

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Un clébard qui ne comprend pas qu'il peut rapporter au fusil et que ça lui est interdit sous le faucon ne mérite pas mon chenil! blackeye

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Ne pas confondre passion et stupidité, un seul remède : la pelle à neige.
Le premier coup pour fly, qui n'y comprend décidément rien et le reste pour son clébard ! Very Happy

Ps : un tiercelet de pélerin a 630 plein poids est un peregrinus des plus standart... le peal / écossais doit surtout se retrouver sur la facture...

La technique favorite de certains éléveurs : a plus de 600 g, il a du peal et a moins de 600 du brookei ! Very Happy à tous les coups on gagne !

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sokol a écrit:
Un clébard qui ne comprend pas qu'il peut rapporter au fusil et que ça lui est interdit sous le faucon ne mérite pas mon chenil! blackeye


Très juste. C'est pourquoi, à plus d'un an maintenant, ce chien devra chasser une saison pour apprendre à exploiter ses aptitudes naturelles.

Il est parti avec un handicap sérieux en vivant sa première année chez une parisienne qui regarde 30 millions d'amis. Il veut toujours participer et montrer qu'il sait bien faire, et c'est usant.

Pas de vol aujourd'hui pour cause de déplacement pro à ANNECY (je crois que c'est en Europe. A vérifier Wink .

Amicalement,

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Annecy...passe chez notre montagnard, c'est pas loin!

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Le pointer est déclenché, le faucon le serait-il aussi?.

Rien que sur le vol d'hier soir, le tiercelet a volé haut et a attaqué 4 fois, 2 sur ramiers (il tente de chasser pour lui), 1 sur perdeau (poursuite après évitement) et 1 sur jeune faisan (pris).

J'essaie de le maintenir à plus de 610 gr, mais avec ces vols plus ou moins sportifs, il faut anticiper juste.

Amicalement,

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Fly the snipe a écrit:

le tiercelet a volé haut et a attaqué ....1 sur jeune faisan (pris).


Là, je commence à avoir un peu de mal à comprendre....

De l'intérêt de faire voler sur des pouillards hors période de chasse : 1 pour l'oiseau / 2 pour l'éthique / 3 pour l'image de la fauconnerie auprès des chasseurs locaux.

La chasse au vol n'est pas le far west, nous ne partageons ni n'encourageons de telles méthodes.

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Chez nous,les jeunes faisans ne volent pas 50 mètres pour le moment. Et chez toi?

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Les jeunes faisans volent très bien et montent comme un perdreau aurait du mal à le faire. Ce qui leur manque encore, c'est sa,s doute de la vitesse.

Les faisans sauvages que je peux voir par ailleurs sont quasi allongés (compagnies).

Dans 4 jours, ouverture de la sauvagine!

Amicalement,

NB: l'éthique dépend du principe d'utilisation des escapes ou pas. La chasse française dépend de l'escape (lâchers de galinettes).

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Désolé, mais chasser les faisans début Aout :

alors qu'ils ne sont pas allongés,
que leur chasse est fermée,
que seul l'entrainement sur gibier d'escape est autorisé,

et venir s'en vanter sur un forum publique relève de l'irresponsabilité la plus totale.

Il y a une grande différence entre des oiseaux "quasi allongés" et des oiseaux allongés capables de défendre loyalement leurs chance devant un prédateur.

Pour ce qui est de l'éthique, tout le monde saura apprécier. Le gibier sauvage se respecte, les couvées de gibier ne sont pas des manes inépuisables dans lesquelles on peut aller s'amuser à entrainer ses chiens et ses oiseaux.

Tu n'es plus en Guyane . Si les chasseurs de ton coin tenaient ton raisonnement, tu serais probablement contraint d'aller chasser du gibier de lacher à l'ouverture.

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etienne a écrit:

que seul l'entrainement sur gibier d'escape est autorisé,


Donc ça tombe très bien.

Pour des escapes, on trouve des cailles, des pigeons, des perdreaux et... des faisans.

Il y a plusieurs façons de faire prendre une escape. Pour ma part, je choisis désormais celle qui sera la plus proche de la chasse pratique. Le tiercelet a dépassé le stade où il doit être servi "en direct".

Relis le post attentivement.

Celà dit, je peux être discret sur la chasse si cette ativité suscite de l'émotion même chez les fauconniers.

Amicalement,

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