lannier 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 J'ai constaté depuis de longues année que malgré la protection accordée à tous les rapaces en France il en est une espèce qui fait les frais de la vindicte de certaines personnes: l'autour des palombes. Alors que dans les zones que je prospecte je ne relève pas de disparations fréquentes d'aires de faucons crécerelles, buses variables et éperviers d'Europe, pour l'autour des palombes c'est une autre histoire. Récemment, un chasseur dans le Loiret me disait sans aucune honte qu'il savait faire la différence entre une buse et un autour, et que parmi ses collègues aucun chasseur ne loupait une occasion de se débarrasser d'un autour. Cette persécution est flagrante sur les aires d'autours: il est rare d'en trouver d'une année sur l'autre dans un même territoire si ce territoire fait parti d'une ACCA. Je pense que certains chasseurs ont tôt fait de repérer les nids et d'aller tirer la femelle en mars-avril. Ce fait est vraiment désolant. Pour ma part, je découvre les nids d'autours des palombes principalement dans les grandes propriétés privés où les propriétaires interdisent la chasse. Il y a quelques années, un article dans la revue annuelle de l'ANFA avait fait mention de ce fait dans des termes similaires. Vous aussi, avez-vous été témoin de telles pratiques? Dans quelles régions de France? (je suis limitrophe Loiret et Seine & Marne). Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
etienne01 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 Citation :Je pense que certains chasseurs ont tôt fait de repérer les nids et d'aller tirer la femelle en mars-avril. Il ne s'agit pas de chasseurs, mais de braconniers. Attention a ne pas généraliser des comportements irresponsables. La majorité des chasseurs sont respectueux des règles de protection des rapaces, c'est d'ailleurs pour cette raison que tous les effectifs de rapace sont stables voir en augmentation. Les éventuels contrevenants à cette législation encourent de lourdes peines si ils se font prendre, c'est le rôle de l'oncfs que de mener les actions nécessaires. J'imagine mal des chasseurs prendre des risques aussi considérables qu'aller fusil à la main, tirer des autours au printemps... Par ailleurs, lorsque l'on connait la discrétion d'un autour, la difficulté de repérer une aire, les possibilités pratiques de lui mettre un coup de fusil sont loin d'être évidentes. Suivant les autours en permanence sur mon secteur, j'ai déjà bien du mal à les jumeler entre deux futaies, j'imagine donc la difficulté de réussir à leur mettre un coup de fusil... Si notre devoir de fauconnier est de dénoncer de telles pratiques, il n'en demeure pas moins, qu'il faut être attentif à ne pas jeter l'opprobe sur le monde de la chasse, pour quelques allumés de la gachette, qui tireraient des autours au printemps, comme ils braconneraient chevreuils ou lièvres aux phares. Attention donc à ne pas confondre chasseurs et braconniers. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
voirons 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 Hum! Fermiers chasseurs ou pas qui tirent la buse (qui est souvent un autour) Aires d'autour tirées lorsque la forme a ses oeufs. J'ai constaté cela. Il ne faut pas généraliser mais ça existe. Lorsque l'on chasse sur son territoire, il est aisé de savoir où se trouve une aire d'autour. Je ne sais si cela continue mais il était programmé un jour ou deux réservés à tirer les nids ...afin de "réguler les becs droits". J'espère que cela est terminé car c'était un désastre pour les rapaces. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
lannier 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 Ne pas confondre chasseurs et braconniers ?!?! Soit, mais je pense qu'il ne faut pas se voiler la face. Il existe des chasseurs (il faut bien les appeler comme tels, de la même manière qu'un automobiliste qui conduirait avec un taux d'alcoolémie supérieur à ce qui est autorisé se verrait appeler Irresponsable, Chauffard). Petite anecdote: l'année dernière, je rencontre le président d'un terrain de chasse (1800 hectares). Il me fait visiter son territoire, vraiment bien aménagé pour petits gibiers et gros gibiers. Rien à redire, sauf lorsqu'il m'indique à l'occasion d'une buse qui nous survole que les buses (il me dit Buse car il la bien reconnut) capturent régulièrement des perdrix et qu'en moyenne il en perd 1 par mois. Alors, que nous ne nous connaissons pas il me dit clairement que cette buse ne sera plus là dès les premiers jours qui suivront l'ouverture de la chasse. C'est un président de chasse, il est responsable de faire respecter la loi et d'exclure de son association les contrevenants (ils sont 40), voir de les dénoncer si délits commis. Il est persuadé que les buses lui volent son gibier et qu'il a le devoir d'y remédier. Il connait bien la différence qu'il existe entre les restes laissés par un renard et un rapace. Pensez-vous vraiment que ce soit le seul à agir de la sorte? Ce qui m'ennuie sérieusement dans cet anecdote c'est que sans chercher je tombe sur un chasseur (et s'en est bien un ou alors on joue sur les mots) qui ne respecte pas les rapaces. Vous croyez vraiment que c'est le hasard. Moi, je ne le pense pas. Je pense plutot que le nombre de chasseurs qui n'hésitent pas à dégommer un rapace sont plus nombreux que certains pensent. Le budget de repeuplement consacré par cette association m'a semblé extravagant et je comprends mieux pourquoi lorsqu'il y a concurrence le plus faible soit éliminé. Quant à la connaissance des terrains de chasse il ne faut pas retirer cela aux chasseurs: ils les connaissent parfaitement. Dans ma propre ACCA, l'un des chasseurs (et ce n'est certainement pas le seul) savait où se remisait le dernier faisan encore vivant sur un terrain de + de 1500 hectare. Repérer un nid d'autour n'est pas si difficile lorsque l'on fréquente de manière hebdomadaire un terrain de chasse, car soit l'autour est présent et on le repère, soit il n'est pas présent et on ne le repère pas. Mais ne me dites pas qu'une aire d'autour ou de buse passe inaperçu des chasseurs. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
etienne01 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 Attention a ne pas tomber dans la parodie... Les écolos lâchent des caisses de vipères par hélicoptère, les chasseurs tirent dans les nids, les fauconniers vont chercher des oiseaux dans les falaises pour les vendre à des riches collectionneurs ...etc... Lorsque tu dis que tu as pu constater cela, c'était à quelle époque ? Je l'ai moi aussi constaté, mais c'était il y a plus de 20 ans ! Dans le temps, cette méthode de régulation des becs droits était tout à fait légale, chaque année, les sociétés de chasse organisaient les tirs de nids de pies et corneilles au printemps, les rapaces qui payaient le plus lourd tribu étaient surtout les moyen-ducs, les buses et les crécerelles. Les dernières battues de ce genre auxquelles j'ai pu assister datent des années 85, et cela est formellement interdit depuis cette période. Je vous en prie, ne tombons pas dans le piège de la caricature. Depuis que je pratique la fauconnerie, je rencontre chaque année de bons samaritains qui m'affirment que des fauconniers traffiquants ( des Allemands 9 fois sur 10... allez savoir pourquoi...) sont venus piller des nids de faucon pour les vendre à des arabes ... la plupart du temps, le nid cité en référence est un nid de buses ou de milan ou de crécerelles ! Personne ne les a jamais vu, mais il y a toujours un copain qui connait un copain qui les a vus ! Les légendes, parfois basées sur des faits réel qui ont eu lieu il y a des décénies ont la vie dure. Ne rentrons pas dans ce jeu stupide, basons nous sur des faits et dénonçons les, pas sur des ragots ou des légendes populaires. Le vocabulaire aussi est important : Un chasseur qui tire sur des nids n'est pas un chasseur, mais un braconnier. Un fauconnier qui pille des nids n'est pas un fauconnier, mais un braconnier. La preuve la plus falgrante que tout cela n'est qu'une vaste mascarade, sont que les effectifs d'autours sont en pleine expansion, que les pélerins peinent à trouver des falaises disponibles. Les populations d'autours sont telles sur notre département qu'il est impossible de conserver un pigeonnier et de laisser sortir les pigeons à partir du mois de Septembre. A titre personnel, j'ai eu plus de 60 pigeons prédatés en moins d'un mois ! Un fermier situé à quelques km à eu plus de 70 volailles tuées cet automne ! Il est clair que les populations d'autour posent désormais de sérieux problèmes sur certains secteurs et ce n'est pas en niant la réalité flagrante que nous parviendrons à protéger cette espèce. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
lannier 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 L'anecdote que je relate date de 2008. Si elle avait daté de quelques décenies cela n'aurait eu aucun intérêt, sinon à vouloi jouer la carte de la mauvaise foi. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
etienne01 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 Citation :Ce qui m'ennuie sérieusement dans cet anecdote c'est que sans chercher je tombe sur un chasseur (et s'en est bien un ou alors on joue sur les mots) qui ne respecte pas les rapaces. Mais qu'est ce que c'est que ces discussions de comptoir ? Vous vous basez sur la provoc d'un président de société de chasse, pour juger que les chasseurs tirent et exterminent les rapaces ? L'oncfs a-t-elle dressé un procès verbal pour destruction d'espèce protégée ? Cela a-t-il été constaté autrement que par votre jugement ou vos impressions ? Avez-vous vu de vos yeux un seul rapace tué, ou un nid tiré ? Seuls les faits parlent et prouvent le contraire : les populations d'autour n'ont jamais été aussi dynamiques ! En début de saison, j'ai rencontré un président d'une société de chasse locale. Sa première réaction fut de me dire que si un de mes faucons passait à proximité, il se prendrait une volée de plomb ! Depuis, nous volons chaque jour sur ses territoires, et y sommes accueillis cordialement par les chasseurs.Nous n'avons jamais eu aucun problème, n'avons jamais observé la moindre infraction, malgré buses, autours et autres rapaces qui passent pourtant à portée régulière de fusil. Je rencontre des chasseurs, non pas occasionnellement, mais à longueur d'année, ainsi que des présidents de chasse et je prétends que dans leur grande majorité, non seulement ils sont respectueux des espèces protégées, mais qu'ils s'investissent afin de les faire respecter. Comment voulez-vous vous que les fauconniers se fassent accepter par les chasseurs avec de tels préjugés. Tous comme les chasseurs à tir, les fauconniers sont des chasseurs, ni meilleurs, ni pires. Il faudra bien qu'un jour les fauconniers cessent de jouer les donneurs de leçon et comprennent qu'ils ne sont pas des chasseurs privilégiés, au dessus des lois ou supérieurs aux chasseurs à tir, à courre ou à l'arc. Avec un tel état d'esprit et de tels préjugés, on ne fait avancer ni la cause de la fauconnerie, ni celle de la protection des rapaces. Etre à l'écoute des préocuppations des chasseurs, des éleveurs, des colombophiles, qui sont confrontés quotidiennement au problème de la prédation exercée par les populations de certains rapaces, ne signifie pas que l'on encourage leur destruction, au contraire, c'est par le dialogue et sans préjugés que l'on parvient à trouver des solutions et faire comprendre l'utilité de ces espèces et de leur protection. Les procès d'intention n'ont jamais fait avancer les causes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
eyes 0 Posté(e) le 15 décembre 2009 Pour ma part, je trouve que ce que relate lannier, n'est pas si rare. Me sachant fauconnier, il m'est arrivé régulièrement que des amis "bons chasseurs" me rapportent des rapaces trouvés sur leurs territoires de chasse, truffés de plomb!!! Combien de nos oiseaux tombent tout les ans, tirés en plein vol, du faucon au royal? Il est en ce moment question d'un texte autorisant, peut être, prochainement de pouvoir dans certains cas reclassés des rapaces nuisibles afin de les détruire. Même si, en règle général, les populations sauvages se portent bien, les centre de soins ne désemplissent pas !!! Etant donné qu'ils régulent leur reproduction en fonction de la quantité de nourriture disponible, plusieurs questions se posent au vu de l'explosion démographique: - les comptages sont incomplets et récents, faible connaissance des effectifs avant agriculture chimique et avant la convention de washington. L'augmentation peut s'expliquer par l'amélioration des biotopes (malgrès tout) et l'information sur la protection. - si il y à surnombre, est ce que l'homme n'offre-t'il pas trop de nourriture(poulailler à ciel ouvert, gibier laché...)? ne doit-il pas s'adapter dans ces techniques d'élevage ? La gestion du petit gibier dans de nombreuses ACCA est malheureusement un contentement minimum pour la cotisation d'un timbre, comme un filet garni à une kermesse!!! En général sur du laché, sans chasse, on retrouve environ 16 à 24% d'une année sur l'autre, et on chasse au mieux au bout de 5 ans. Mais ici, dans la Vienne, il y à surcharge de chasseurs sur les ACCA, et très peu peuvent gérer quoi que soit efficacement. Et parallèlement l'autour y est menacé, la DDAF m'a prévenu alors que je ne parlais pas d'autour, qu'ici, pas d'autorisations de désairage envisageable !!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
etienne01 0 Posté(e) le 16 décembre 2009 Une fois encore, et sans vouloir ni polémiquer, ni minimiser les causes, il ne faut pas généraliser, sur la base de "on dit" ou de racontars. Les chiffres des centres de soins parlent mieux que ne sauraient le faire des témoignages anecdotiques ou des impressions : Chasse 1% Poison 1 % Indéterminé 11% Route 21 % Divers 10 % Electrocution 4 % Dénichage 40 % Prédation 15 % Les rapaces qui paient le plus lourd tribu sont les buses, lentes et plus facilement accessibles, on voit que la chasse ne représente que 1 % des causes, et on ne peut pourtant pas prétendre que les centres de soins sont pro-chasse ! On voit clairement que les tendances se sont inversées depuis les mesures de protection, chasse, poison et piègeage étant il y a une trentaine d'année les causes principales de mortalité de ces espèces. C'est ce revirement de tendance qui explique en grande partie l'expension des populations de rapace, on ne peut donc pas prétendre que les chasseurs - mis à part quelques braconniers anecdoctiques dont tout le monde parle - sont la cause principale de disparition de ces espèces, puisqu'au contraire, c'est grace au respect de la législation par le monde de la chasse que les rapaces sont parvenus au niveau démographique actuel. Donc attention, en vous focalisant sur le monde de la chasse dont nous faisons partie intégrante et en l'accusant de tout les maux, vous vous trompez de cible, stigmatisez inutilement des partenaires de terrain dont nous avons impérativement besoin pour nous soutenir. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
voirons 0 Posté(e) le 16 décembre 2009 Etienne a tout à fait raison. Nous sommes des chasseurs et si nous pouvons connaître par-ci par là quelques débordements, il est plus positif de se faire connaître avec notre mode de chasse auprès des associations communales et des chasseurs à tir que de rester retranché sur une ligne totalement négative et refuser le contact et les échanges. Une chose est sure : pas de territoire = pas de fauconnerie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 16 décembre 2009 J'ai convaincu dans ma région plusieurs vieux chasseurs aux pentes à me téléphoner lorsqu'un rapace se retrouve pris dans les mailles de leur filet. Ils sont de plus en plus nombreux pendant l'ouverture de cette chasse (du 1er octobre au 20 novembre) à m'appeler pour identifier et relacher le " vilain rapace ". Il sagit la pluspart du temps de crécerelle, épervier et plus rarement d'émérillon. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
cetrero82 0 Posté(e) le 16 décembre 2009 l'impact le plus significatif dans ma zone sur l'autour ( et bien entendu la buse ) est causé par les nases à corneilles - moyen légal de régulation des corvidés - très efficace surtout avec des pigeons à l'intérieur pour éliminer l'autour sur un territoire, une chasse privée, un élevage ou tout simplement par c......! Notre intervention est délicate, dans ce cas les auteurs de ces faits sont toujours méfiants mais avec du temps on peut y parvenir avec certains. Cela fait parti de notre passion. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
etienne01 0 Posté(e) le 16 décembre 2009 Il s'agit la de démarches qui me paraissent nettement plus positives que de radicaliser ou stigmatiser l'ensemble des chasseurs. C'est en effet le quotidien de bon nombre de fauconniers que d'aller sans à priori aucun, libérer les rapaces ainsi piègés. La présence d'un fauconnier, qui est aussi un chasseur, permet d'aborder avec pédagogie les problèmes parfois rencontrés avec certaines espèces, d'en discuter, d'expliquer leur role et leur utilité. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
romu01 0 Posté(e) le 16 décembre 2009 il est évident qu'il ne faut généraliser, loin de là!! mais pourtant les faits sont là, cette année plusieurs balbu et un ciracaète en centre soin, bléssés par plomb!!! (en Gironde) quand aux autours, certe en augmentation, ils paient un lourd tribu aux palombières. les buses elles sont tirées, empoisonnées et piégées dans plusieurs départements (de sources sûres), c'est souvent le cas dans les ACC qui tentent de repeupler leurs térritoires avec du petit gibier. Attention, ce ne sont pas des plans d'actions collectifs antirapaces non plus!! ces faits sont malheureusement bien plus généralisés que ce que l'on peut croire (tout le monde ne s'en vante pas sur tout les toit), les ignorer, ce n'est pas défendre la chasse!!!!!!!!!!!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 16 décembre 2009 Un piégeur m'a téléphoné l' été dernier pour me dire que deux énormes éperviers étaient dans sa corbeautière et qu'il aimerait bien que je lui les sorte. ( je pense qu'il avait la trouille ) J'étais convaincu de trouver de l'autour, bien qu'il ne soit pas si présent que ça d'ailleurs dans les landes. En arrivant, je constatais que ce n'était que deux milans noirs ... Nous en rigolons encore lorsque nous en reparlons. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 16 décembre 2009 Il arrive parfois de retrouver effectivement dans des corbeautières des prises accidentèles, mais les piégeurs que je connais relachent sans exception, tout ce qui n'est pas nuisible. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
etienne01 0 Posté(e) le 17 décembre 2009 romu a écrit:mais pourtant les faits sont là, cette année plusieurs balbu et un ciracaète en centre soin, bléssés par plomb!!! (en Gironde) Il ne s'agit pas de fait mais d'un exemple, qui ne vaut pas démonstration. Les faits ont été donnés précédement : Chasse 1 %... La semaine passée un chien s'est fait écraser dans ma rue. Cela veut dire que cela arrive, mais pas que les chiens sont extérminés par les voitures. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Goshawk 0 Posté(e) le 17 décembre 2009 Superbe forme d'autour niaise Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pascal08 0 Posté(e) le 17 décembre 2009 Comment peut-on tuer un tel oiseau aussi sublime?????? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
voirons 0 Posté(e) le 17 décembre 2009 Superbe autour sors...les meilleurs. Il devrait y avoir une dérogation donnant la possibilité de garder un oiseau pareil en autourserie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 17 décembre 2009 Cette forme ( 1120grs ) a été attrapé en Juin 2008 dans une des volières d'un ami qui élève, poules, pigeons et canards d'ornements. Chaque année, une cinquante de sujet lui son prédaté par les rapaces, une perte d'environ mille cinq cent euros. Malgré les degats occasionné sur son élevage, cet amoureux de la nature relache également ces " saloperies de rapaces " comme il me dit à chaque fois en souriant Avant de la relacher, nous lui avions mis une bague rouge en plastique. En juillet 2009, nous avons attrapé le tiercelet, puis deux trois jours plus tard, à nouveau la forme qui avait toujours sa bague rouge. L'aire ne doit pas être trés loin.... Un aigle botté a également été attrapé en Aout 2009. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
romu01 0 Posté(e) le 17 décembre 2009 etienne a écrit: La semaine passée un chien s'est fait écraser dans ma rue. Cela veut dire que cela arrive, mais pas que les chiens sont extérminés par les voitures. eh bien disons que par endroit le réseau routier est trés dense!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
gaetan08 0 Posté(e) le 19 décembre 2009 moi je vais souvent voir les pièges et jamais vu de rapace dedans... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites