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Invité Ninon.

Hommage à Orion

Messages recommandés

Invité Ninon.
Orion, mon chat, mon amour, mon étoile

Mon bel Orion, tu es arrivé chez nous avec ta sœur Pélisse, un jour d’août, il y a presque 8 ans.
De cette portée de 3 chatons, seule Pélisse nous avions choisi. Mais quand nous vous avons vu tous les trois, la deuxième fois, ton futur papa a suggéré alors, de prendre deux chatons, pour ne pas que Pélisse s’ennuie toute seule. Et ce fût toi qui es reparti avec elle. Le choix des prénoms pour toi et ta sœur s’est de suite imposé, tu étais déjà mon étoile, ma petite constellation.
Dès le premier soir, nous avons vu la différence entre vous. Pélisse n’a pas hésité une seconde. Elle est venue nous rejoindre dans notre lit et s’est blottie entre nous sous les draps, jusqu’au lendemain.
Toi tu t’es contenté de rester seul dans le salon. Tu n’avais pas bougé, le lendemain, nous t’avons trouvé à la même place.
Au fil des jours, tu t’es fais à ta nouvelle maison et très vite tes repères ont été pris.
Tandis que Pélisse se surpassait de témérité en grimpant partout, toi tu étais très maladroit. Tu ne parvenais pas à monter sur une chaise. Tu plantais désespérément les griffes de tes pattes avant dans cette chaise, mais ton petit derrière ne suivait pas, et tes pattes arrières pédalaient dans le vide.
Biensûr tu voulais faire comme ta sœur, on te donnait donc un petit coup de main.
Quand nous avons acheté votre premier arbre, Pélisse l’a de suite monopolisé, faisant les acrobaties les plus folles, mais toi, pauvre petit bout maladroit, tu n’y arrivais toujours pas, tu miaulais, tu voulais rejoindre ta sœur, et la coquine se moquait sans doute de toi à ce moment là. Alors gentiment nous te déposions, comme quelque chose de précieux sur cet arbre à côte d’elle, afin que vous puissiez jouer. Ces images je les revois toujours, tant d’années après.
Au fur et à mesure du temps, tu est devenu un beau matou, plein de force, mais toujours avec cette maladresse qui te caractérisait si bien. Tu montais sur l’armoire mais tu ne savais pas en redescendre, tu miaulais pour prévenir que nous devions venir te chercher. Nous escaladions alors notre bureau pour aller te dénicher du haut de l’armoire, et souvent en pleine nuit.
Tu mangeais comme quatre, tu n’étais jamais rassasié, tu poussais ta sœur, dès que ta gamelle était terminée, tu réclamais toujours, tu volais souvent, mais tu étais splendide.
Tu parlais avec nous, tu comprenais tout de nous mais nous ne comprenions pas toujours tout de toi.
En grandissant, Pélisse s’est beaucoup rapprochée de son papa, plus autonome, c’est une petite chatte qui vient quand elle veut, qui ne se laisse porter que si elle veut, qui fait des câlins quand elle l’a décidé.

Mais toi, Orion, toi, tu étais le chat câlin et ronronnant par excellence. Tu ne pouvais t’approcher de moi sans me donner des coups de tête, me lécher, ronronner dans mon cou. Pas un jour ne passait, pas un moment où nous n’étions pas collés l’un à l’autre. Tu voulais que je te porte tout le temps comme un enfant, tu miaulais jusqu’à temps que je vienne et je me suis prise à ton jeu, à tes demandes, tu m’a fais esclave de ta tendresse, tu étais ma drogue, je n’avais qu’une hâte en rentrant du travail c’était de m’allonger avec toi sur le lit et de te câliner, de prendre cette bouffée de tendresse et d’amour que tu me donnais quotidiennement.
Je profitais des moments de tendresse avec ta sœur quand elle voulait bien me les accorder, quand elle en avait envie, elle se joignait à nous, et nous formions alors un trio d’amour.
A l’âge de 6 ans, tu étais un grand, gros et beau chat, tu étais ma fierté. Jamais malade, toujours maladroit, mais tellement joueur, espiègle et tendre. Tu aimais les fleurs, la vie, tu voulais jouer au chef avec ta sœur, aucune bêtise ne t’échappait, tu étais là, en pleine forme et heureux de vivre.

Et ce terrible jour d’avril 2005 est arrivé où tout a basculé. Nous nous étions rendus chez le vétérinaire pour une visite annuelle, le rappel des vaccins pour vous deux, une visite banale un jour comme un autre. Mais quand nous sommes rentrés à la maison, ce n’était plus un jour banal. J’avais indiqué au vétérinaire qu’il me semblait que tu buvais beaucoup plus que Pélisse.
Quant les analyses de sang ont rendu leur verdict, je me suis sentie anéantie. Le Diabète à un taux maximum.
Cette maladie héréditaire dans ma famille et voilà que toi, mon chat, mon ange, tu l'avais aussi.
Je refusais de croire cela, je me disais qu’avec une alimentation plus équilibrée, plus rationnée, tout allait redevenir dans l’ordre comme avant, que cette saleté allait partir de ton corps.
Mais rien n’est redevenu comme avant.
Des jours, des semaines horribles ont suivi. D’abord les piqûres d’insuline que ni moi, ni ton père ne parvenions à te faire. Cette angoisse qui grandissait en moi chaque fois que je devais prendre la seringue, la remplir d’insuline et te l’injecter deux fois par jour dans le cou. Comment pouvais-je te faire cela, moi qui ne pensais qu’à te cajoler, comment pouvais-je enfoncer une aiguille dans ta peau ? On s’est battu tous les trois durant presque deux mois et un matin, l’injection ayant encore raté, j’ai décidé que ce serait la dernière fois. Tu n’étais déjà plus le même. Tu étais stressé, apeuré, voir agressif chaque fois que je voulais m’approcher de toi. Même quand je voulais juste te caresser, tu avais peur de moi et tu allais te cacher.
Je te savais condamné, il n’y avait aucun espoir de rémission, ton taux était bien trop élevé. Sans traitement, le vétérinaire t’a donné alors six mois de vie tout au plus. J’ai refusé cette fatalité.
Tu as commencé à développer des infections urinaires à cadence très rapprochée. La première fois, je n’avais pas compris ce qu’il se passait en toi. Je voyais juste ta souffrance, mais bien vite au fur et à mesure, je suis parvenue à appréhender et à reconnaître les symptômes des ces crises. Je te soignais mon amour, du mieux que je pouvais, et toi, adorable petit être tu contribuais à la prise de tous ces médicaments, sans rien dire, docile. Quelque part tu savais que c’était pour ton bien, pour calmer cette douleur en toi. Mais ce diabète ne voulait pas quitter ton corps.
Chaque mois qui passait était un combat de gagner sur le temps qu’il te restait à vivre. Une année est passée rythmée par plusieurs cystites mais tu étais toujours là. Parfois fatigué, parfois en pleine forme, mais déjà amaigri. Il n’y avait pas que ton aspect qui avait changé, ton caractère aussi avait évolué avec ta maladie.
Tu étais de plus en plus câlin, de plus en plus exclusif. Tu ne voulais plus partager avec ta sœur, tu voulais tout pour toi et je cédais à tout. Pélisse aussi sentait qu’il se passait quelque chose en toi, elle se comportait comme une petite mère. Tu étais entourée de deux mamans.
Vingt mois étaient passés et on me disait que tu étais un miraculé. J’ai mis cela sur le compte de l’amour que nous te portions. Tu étais malade, tu te battais et tu ne voulais pas partir. Ton combat était devenu le mien. Je te surveillais comme le lait sur le feu, à l’affût du moindre signe anormal. Ma vie tournait autour de toi. Mon stress était devenu le tien, ta souffrance était devenue mienne et vice versa.

Une nouvelle année allait pointer son nez. Je te revois encore à Noël, le dernier pour toi, courant, sautant et te cachant dans les emballages cadeaux. Comme tu étais heureux alors, insouciant de ce qui allait arriver 3 mois plus tard.
Tu étais de plus en plus fatigué et surtout amaigri. Que restait-il de mon beau et gros matou ? qu’une petite chose affaiblie.
Cette dernière crise de cystite il y a un mois a été fatale, tu ne t’es pas relevé, comme les autres fois, tu étais fatigué, tu as déposé les armes, tu ne pouvais plus lutter. Tes pattes arrières ne te supportaient plus. Tu ne pouvais plus grimper sur ton arbre, toi qui adorais y jouer dessus. Toi si gourmand tu n’accourais plus dans la cuisine quand je préparais à manger. Tu ne te nourrissais pratiquement plus. Même ton petit lait du matin, tu n’en voulais plus.
Et cette dernière semaine, fût la pire de toute. Je voyais ton état se dégrader, mais je gardais toujours l’espoir, tous les jours en me levant, je me disais qu’aujourd’hui tu irais mieux, que ça ne pouvait pas, ne devait pas être la fin.
Tu n’avais même pas 8 ans, tu avais encore des tas de choses à faire, des tas de fleurs à respirer, pleins de bains de soleil à prendre sur la terrasse, plein d’amour et de tendresse à partager avec les tiens. Non, tu ne pouvais pas partir.
Pourtant, cette décision, je devais la prendre, elle m’appartenait, je tenais ta vie entre mes mains. Te laisser vivre et souffrir ? Te faire partir et me laisser souffrir ?
J’ai choisi la deuxième solution. Avais-je le choix ? je ne crois pas. Même si on se dit que c’est la meilleure solution, que vous autres les animaux avez ce choix de vie ou de mort par rapport à nous êtres humains, je ne parvenais pas à me faire une raison.
Voilà une semaine que tu es parti mon amour. Une semaine que tu ne souffres plus. Ton dernier regard en partant à la clinique vétérinaire en disait long. Savais-tu à ce moment-là que tu ne reviendrais pas à la maison ? le sentais-tu ?
Tu t’es endormi doucement dans mes bras, ton cœur a cessé de battre en une fraction de seconde, il était si fatigué de cette lutte acharnée contre cette maladie, ce diabète qui a eu raison de toi.
Maintenant tu es là mon bel Orion, avec nous, pour toujours. Ton âme est partie emportée par cette étoile filante qui est passée dans le ciel le soir même de ton incinération. Nous t’avons accompagné jusqu’au bout mon amour en ce premier jour de printemps que tu n’auras même pas pu voir. Tu n’as pas été seul pour ce voyage, tu es parti avec ta souris et un bouquet de violettes.
J’espère que là où tu es mon chat, tu continues de jouer avec ta souris et de sentir ces fleurs. Moi je ne sens que les larmes qui coulent le long de mes joues, je ne sens qu’un grand vide et une immense tristesse quand je regarde ton urne.
Tu nous manques, mon amour de chat, Eric, Damien, Pélisse et moi te cherchons toujours.
Pas un jour qui passe depuis une semaine sans que nous ne pensions à toi. Chaque chose est restée à sa place depuis ton départ.
Chaque instant, j’ai l’impression de te voir surgir de nulle part, revenant de ta démarche ondulante, miaulant, pour me dire :
Regarde, je suis là, je suis de retour, ce n’était qu’un mauvais rêve, je ne suis pas parti, tu sais bien, tu m’avais promis qu’on en se quitterait jamais, que nous vaincrions ma maladie, tu me l’avais murmuré dans mes poils quand tu pleurais, allez viens ma petite maîtresse, prend moi dans tes bras et oublie ce cauchemar, tout va redevenir comme avant, je suis là ».
Mais tu n’es pas là.
Plus jamais je ne sentirai la douceur de tes poils contre ma joue, ta petite langue qui me léchait, tes petites dents qui me mordillaient. Plus jamais je ne sentirai ta chaleur, plus jamais je n’entendrai tes ronronnements. Je n’entends que mes pleurs.
Tu as été mon chat, mon bébé, mon amour, durant presque 8 années de bonheur. C’est ce que je m’efforce de garder en mémoire. Je veux oublier tes jours de souffrance et ne penser qu’aux moments de tendresse et de complicité.
Tu resteras toujours dans mon cœur, mon petit Orion. Si tu nous vois, mon ange, de ton nuage, sache que nous t’aimons et que tu nous manques. Attend nous patiemment mon chaton, un jour nous te rejoindrons avec Pélisse, et tu sera là pour nous accueillir et enfin nous serons à nouveau réunis.

Hommage à Orion, disparu le 17 mars 2007 à l’âge de 8 ans des suites d'un biabète
Incinéré le 21 mars 2007, premier jour du printemps

Et voici un poême de Marie Bataille, que j’aime particulièrement.

Maou, mon gros touffu, je me souviens encore
De tes baisers mouillés
Quand, petit esquimau, tu frottais ton museau
Sur le bout de mon nez
Maou, mon gros touffu, je me souviens encore
Je me souviens encor de ton dernier regard
Celui qui m’implora
Quand, tout près de partir, tu vis la mort venir
Te saisir dans ses bras
Je me souviens encor de ton dernier regard
Du fond des jours passés par-delà les années
Je garde au fond de moi
Dans un nid de douceur gravé au fond du cœur
Ton regard plein d’émoi
Du fond des jours passés par-delà les années
Maou, mon gros touffu, roidi entre mes bras
Longtemps je t’ai bercé
Serré tout contre moi, mon petit chat tout froid
Longtemps je t’ai bercé
Maou, mon gros touffu, roidi entre mes bras
Maou, mon gros touffu, serti au creux de moi…
Mon petit chat… si froid…



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Invité

très bel hommage à Orion [IMG]http://smileys.

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[IMG]http://smileys.

une visite pour le poème [:elijano]
une pour le texte [:elijano]
et une enfin pour te dire que ton texte est très émouvant, surtout toute son arrivée, les différences avec sa soeur, son coté pataud.

Merci de nous l'avoir fait connaître dans ses premières découvertes chez toi.

Caresses Orion, où que tu sois.
Bisous

[IMG]http://smileys.

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Invité Anonymou
[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[:dugnou29]

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Bel hommage, je ne dis rien, je ne peux rien dire, je sais simplement combien ça fait mal, très mal, courage, la douleur va s'estomper, il restera les souvenirs plus beau les un que les autres, je suis en pensées avec toi, bises

Et toi , Orion, si tu croises mon Pépére au Paradis des Poilus, ben je suis certain que vous serez copains, c'est un râleur mais ce n'est qu'une facade, il est tellement gentil, tu verras, n'aie pas peur, je suis sûr que c'est beau là bas
Carresses à vous deux et à tout les autres [img]http://yelims1.

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Invité
Merci Monsieur Z, je suis certaine, qu'ils seront potes là haut.

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C'est très beau et très émouvant, Ninon... le texte comme la photo.
Je ne peux rien dire de plus, j'en ai les larmes aux yeux.

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[:elijano][:elijano] Il est magnifique Orion, et avec tout l'amour qu'il reçoit de ses maitres à distance, il doit encore plus heureux là-haut. Courage à toi Ninon.

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Les mots me manquent toujours pour dire ce que je ressens, en lisant c'est quelques lignes ( lol! ) j'ai revécu ces moments de bonheur et de fou rire partagés.
Mais aussi les moins bons.
Orion, tu as regagné le ciel, quittant ces humains qui te faisaient si peur.
Sauf ta maitresse qui t'aimait, que tu aimais d'un amour sans égal.

Ta mère n'aimait pas le surnom que je te donnais de temps en temps. Tu resteras toujours pour moi le gros.
Le gros calin , le gros joueur, le gros pataud, le gros gourmand.

Alors tchao le gros.



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Invité Ninon.
De lire ces quelques lignes écrites par mon mari, de voir cette photo de mon chat, quand il était encore en pleine forme, si beau, est un véritable supplice pour moi. Mon BB, mon amour de chat, rien ne pourra atténuer ma peine. C'est vrai que l'on s'aimait d'un amour sans égal, presque gênant peut être pour ceux de mon entourage qui ne pouvaient pas comprendre. Ce n'est pas qu'un animal que j'ai perdu, c'est une partie de mon être qui s'en est allée avec lui, et là pour l'instant plus rien ne compte, je me noie dans ma souffrance et rien ne peut m'en sortir pour l'instant, d'ailleurs est-ce que je veux vraiment en sortir ? Je voudrais juste retrouver mon chat, c'est tout et pouvoir replonger mes mains et ma tête sur son ventre et entrendre ses ronronnements.
Pardon à vous toutes, si je me répète, j'essaie de faire l'effort de venir sur le forum car je n'oublie pas vos soutiens, mais c'est une véritable torture je dois avouer, non pas que je ne veux plus vous parler, mais quand je me suis inscrite, je me suis présentée avec deux poilus, et maintenant il ne m'en reste qu'un et vous toutes qui avez plusieurs animaux, cela me fait mal. Merci pour tous vos messages, merci pour lui.

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je sais comme il est difficile d'accepter l'absence, c'est comme une déchirure qui ne semble pas vouloir se refermer, chaque matin nous rappelle que l'autre ne sera plus jamais là ... quoi de pire que ne plus pouvoir être avec l'etre aimé, tout ces moments perdus à jamais, tout ces choses que maintenant on voudrait dire, faire, mais il est trop tard.
et puis le jours passent, les semaines, les mois, les ans. on aime pas moins mais on s'habitue à l'abscence, un jour même on s'apperçoit qu'on peut y penser sans qu'une douleur sourde nous déchire le coeur, une autre jour on arrive à sourire à un bon souvenir, une bétise qu'il aurait fait.
il reste là dans une part de nous intime, il est une part de nous.

et pour finir je laisse le grand Jacques te dire :

On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni ces départs ni ces navires
Ni ces voyages qui nous chavirent
De paysages en paysages
Et de visages en visages
Ni tous ces ports ni tous ces bars
Ni tous ces attrape-cafard
Où l'on attend le matin gris
Au cinéma de son whisky

Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni ces jamais ni ces toujours
Ni ces je t'aime ni ces amours
Que l'on poursuit à travers cœurs
De gris en gris de pleurs en pleurs
Ni ces bras blancs d'une seule nuit
Collier de femme pour notre ennui
Que l'on dénoue au petit jour
Par des promesses de retour

Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni même ce temps où j'aurais fait
Mille chansons de mes regrets
Ni même ce temps où mes souvenirs
Prendront mes rides pour un sourire
Ni ce grand lit où mes remords
Ont rendez-vous avec la mort
Ni ce grand lit que je souhaite
A certains jours comme une fête

Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout



je pense bien à toi, mais je ne sais pas les mots qui soigne cette peine, alors même si je ne mets pas toujours un mot, ne penses pas que ce soit de l'indifférence, juste que je ne sais pas les mots.

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Invité Kiwini

Je pleure avec vous 2 devant ces deux jolies photos, devant ses grands yeux et son gros bidon... Il est trop beau ce ti père....

Je comprends votre douleur et je la partage... je me sens aussi impuissante que toi Ninon devant cette fatalité qui nous arrache ceux auxquels on tient le plus...

Le pouvoir des mots ne suffira pas pendant longtemps à apaiser ta douleur... [:205rallye] Seul le temps oeuvrera insidieusement jusqu'à ce que tu puisses un jour penser à lui presque sereinement et alors, tu pourras te dire qu'il n'y a rien à regretter (ou presque) !

ORION a été heureux, choyé et dorloté. Au-delà de la mort, il continuera toujours à être ce gros pépère là. Le devoir de mémoire, pour lui et tous les autres...

Une pensée pour ORION, pour jack, Félix, Cloé et tous nos amis, nos copains à 4 pattes disparus...

ON VOUS AIME..... [IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.

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Kiwini a tout dit...
Ninon, ton âme a perdu sa petite âme jumelle et tout est dépeuplé... Si tu n'as pas le courage de venir parler avec nous pour le moment, nous comprenons très bien, mais ne nous oublie pas...
Je pense à toi, je voudrais tellement pouvoir faire plus.

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Invité
Ninon, je comprends ce que tu ressens, c'est difficile pour moi d'aller sur certains posts, demain, ça fera 1 mois que Jack est parti, j'ai l'impression que c'était hier, je me suis présentée comme toi avec 2 poilus et c'est difficile de dire qu'il n'en reste qu'un. Ayka a besoin de moi comme Pélisse a besoin de toi, même si "nos préférés" qui ne sont plus là, Ayka commence à venir vers moi depuis quelques jours, Pélisse fera de même pour toi, il lui faut encore un peu de temps.

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Invité Ninon.

Il y a un an tu étais parmi nous, mon bel Orion, pour fêter ton anniversaire avec ta soeur Pélisse.
Aujourd'hui tu n'es plus. Je te pleure, tu me manques. Ton absence est une déchirure, dont jamais je ne me remettrai.
Je continue à vivre, à respirer, à penser, à aimer, mais tout cela sans toi, n'est plus pareil.
Tu t'en es allé dans le paradis blanc en emmenant une partie de moi.

Orion, mon petit coeur, pour tes 8 ans aujourd'hui, je ne peux t'offrir que ce bouquet de fleurs (toi qui les aimais tant) et mon amour pour l'éternité. Repose en paix mon bébé dans ta petite urne. Tu seras toujours près de moi.

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[IMG]http://smileys.

c'est très beau Ninon et on pensera très fort à Orion aujourd'hui.

Gratouilles Orion où que tu sois.

Veille sur ta maîtresse et essaie d'apaiser sa peine. Dis lui que vous vous êtes aimés plein d'années, mais qu'aujourd'hui tu es bien, plus de maladies, et avec tous tes copains partis des Poilus.

Amitiés Ninon.

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Agréables pensées de lui !!!!!!!!!!!!! Nous l'avons connu tout beau, en pleine forme !!!!!!!!!!!!!!! Nous ne l'oublions pas!!!!!!!!!!!!!!!! [IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.

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pardon ... mais je ne sais pas les mots qu'il faut dire dans ces moments.
amitié

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Invité titineno

pour toi petit ORION, aujourd'hui tu as 8 ans comme ta petite soeur PELISSE.

Tu es au Paradis Blanc avec ma NOXEA, qui s'amusent avec toi désormais, et tous nos chers petits, tant aimés et regrettés. Vous êtes là-haut, mais près, tout près de nous, en nous dans nos coeurs et nos esprits.

L'amour que nous avons pour vous est intact.

Chers petits vous le savez, toi petit ORION, tu es à l'honneur aujourd'hui avec PELISSE.

Je te fais plein de bisous et caresses ainsi qu'à ma NOXEA et ULYSSE qui vous a rejoint le 8 juin dernier.

REPOSEZ en paix petits êtres devenus des ANGES dans votre PARADIS, qui sera également le nôtre un jour, pour l'éternité, sans plus jamais nous quitter [img]http://13smiley[img]http://13smiley[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[img]http://13smiley[img]http://13smiley

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A vous tous, nos chers disparus qui nous manquent tant, une petite pensée pleine d'amour.
Que votre repos éternel soit doux et quand notre tour viendra, nous vous retrouverons. En attendant, vous resterez à jamais dans nos coeurs. [IMG]http://smileys.

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Invité Ninon.
En ce 17 juillet, cela fait 4 mois exactement que tu m'a quittée mon Orion d'amour. 4 longs mois sans toi, j'ai l'impression que c'était hier que je t'accompagnais vers la mort.

Comme à chaque date anniversaire depuis tous ces mois, j'ai eu une une vision de toi. Toi qui jouait avec ta souris, avec laquelle tu es parti. Tu sautais, heureux mais tu déjà tu t'éloignais loin de moi de plus en plus. Tu te faisais trouble et ton image s'effaçait peu à peu et j'avais beau t'appeler, beau te demander de revenir, tu partais toujours plus loin.

Hier soir tout comme les autres fois, il n'y avait qu'une seule étoile dans le ciel, et je sais que c'était toi. Toi qui me fais signe, qui brille au loin.

Mon étoile, mon amour, ton absence est si difficile pour moi.

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Invité titineno

il y a 4 mois NINON, tu donnais à ORION, la plus grande preuve d'amour que de le délivrer de ses souffrances.

Là où il est il te voit, ils nous voient et nous entendent, chers petits que nous avons tant chéris et que nous aimons encore et encore davantage chaque jour, chaque semaine, chaque mois, et les années qui nous rapprocheront d'eux.

[:banane masquee][:banane masquee][img]http://yelims1.[img]http://yelims1.

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Invité Ninon.

Peut-être que c'était une preuve d'amour, pour ne plus le voir souffrir, mais lui, le sait-il ? sait-il ce que je souffre depuis sa disparition, sait-il ma culpabilité de l'avoir abandonné ?
Pour moi ce n'est pas une preuve d'amour. J'ai baissé les bras tout simplement, épuisée de le voir si malade. Je l'ai conduit pour le voyage du non retour, je ne sais pas si c'est vraiment une preuve d'amour.
Ma preuve à moi aurait été de l'accompagner encore longtemps, de le veiller le soigner et de l'aimer jusqu'à ce qu'il parte tout seul, mais je n'ai pas voulu qu'il continu à souffrir et je ne pouvais plus supporter de le voir dans l'état dans lequel il était. Je ne sais pas si cette faiblesse est une preuve d'amour.[img]http://13smiley

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Invité
Tiens le cou... C'est dure de perdre son chat.

Il y 2 ans environ j'ai perdu le mien j'y pensse tout le temp mais jessai de consacré mon temp à mon autre chat pour ne pas rester malheureuse ! [:dugnou29]

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Invité titineno
Ninon a écrit:
Peut-être que c'était une preuve d'amour, pour ne plus le voir souffrir, mais lui, le sait-il ? sait-il ce que je souffre depuis sa disparition, sait-il ma culpabilité de l'avoir abandonné ?
Pour moi ce n'est pas une preuve d'amour. J'ai baissé les bras tout simplement, épuisée de le voir si malade. Je l'ai conduit pour le voyage du non retour, je ne sais pas si c'est vraiment une preuve d'amour.
Ma preuve à moi aurait été de l'accompagner encore longtemps, de le veiller le soigner et de l'aimer jusqu'à ce qu'il parte tout seul, mais je n'ai pas voulu qu'il continu à souffrir et je ne pouvais plus supporter de le voir dans l'état dans lequel il était. Je ne sais pas si cette faiblesse est une preuve d'amour.[img]http://13smiley


NOXEA avait la même maladie qu'ORION, elle devait être endormie comme lui le 30 Novembre, elle est partie la veille, mais j'avais pris la même décision que toi même si c'était dur, je le faisais pour elle. N'aies aucun regret, il le sait que tu l'as fait pour lui, comme NOXEA l'avait aussi compris, et de l'avoir vue me quitter dans mes bras c'est terrible aussi, elle avait compris également. Ils sont heureux là-haut et savent qu'on les adore et nous attendent gentiment que nous venions un jour, ils ne savent quand comme nous, mais ils poursuivent leur chemin, et ne manque de rien puisqu'ils nous voient. Je t'embrasse NINON, sois un peu apaisée de le savoir sans souffrance, heureux même sans nous.

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Ninon , ce ne fut pas une faiblesse , ce fut une sage decision . Tu peux etre sur qu'il te remercie de la decision que tu as pris.

Tu n'as pas baissé les bras , tu crois que c'est une solution de facilité , la decisions que tu as pris t bien moi je ne crois pas .

Pas evident de decider si un peit compagnon doit vivre ou mourir .
C'est peut etre la decision laplus difficile d'une vie .

Arrete de culpabiliser Ninon !!!!! tu as bien fait plutot que de le laisser souffrir

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C'est vrai Ninon, je pense comme les copines, ce n'est pas de la faiblesse mais de l'amour que tu as prouvé à Orion. L'empêcher de souffrir était un beau cadeau, le dernier que tu pouvais lui faire.
Dans ta vision, il joue, il est content... Il a compris, lui !
Gros bisous à toi, Ninon.

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Invité ninon.
Merci les filles, il me manque tellement mon gros bébé. Pas une jour ne passe sans que je pense à lui.

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Invité Ninon.
Encore un mois qui vient s'ajouter à sa disparition. 5 mois déjà.

Ces longs mois sans lui, mais j'ai l'impression que cela fait à peine quelques jours.
Il me manque tellement.
Je le fais revivre à travers sa soeur Pélisse, mais c'est dur pour moi de voir ma Pélisse si épanouie et lui n'est plus.
Mon amour d'Orion, tu resteras pour toujours dans mon coeur, jamais je ne
t'oublierai, jamais je ne cesserai de penser à toi. Hier soir encore tu
brillais dans le ciel, là haut, si loin, et si près pourtant.
Dort mon coeur, repose toi, tu l'as bien mérité, après toute cette
souffrance. Un jour je pourrais te reprendre dans mes bras. Tu as été
mon bonheur durant 8 ans, tu es ma souffrance à présent.
Pour toi ce soir, mon amour de chat, mes larmes coulent une fois de plus.

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Invité
[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys. très touchant , qu il repose en paix [IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.

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Invité Ninon.
Je ne t'ai pas oublié mon chat, depuis hier, 7 longs mois se sont écoulés sans toi.
Comme chaque soir, des bougies forment une auréole de lumière autour de tes cendres.
Chaque flamme sont là pour me rappeler que tu continues à vivre à travers moi.
Je voudrais que chaque larme que j'ai versé pour toi se soit transformé
en fleurs, afin que tu puisses y gambader au milieu, là où tu es.
Sois un paix mon beau matou, donne moi la force et le courage de continuer ce long chemin sans toi à mes côtés.

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Je comprends ta peine Ninon!!!!!!!!!!!!!!!!
Non on ne les oublie pas!!!!!!!!!!! flower
Gros calins à Pélisse!!!!!!!!!! [IMG]http://smileys.[img]http://13smiley

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Ninon , J'espere que ton souhait se verra realisé et qu'Orion court maintenant dans de magnifiques champs de fleurs !!!!!

Orion veille sur ta maitresse de la ou tu es !!!!!!

[:banane masquee][:banane masquee][:banane masquee][:banane masquee]

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Mes pensées t'accompagnent, Ninon...
Orion, sois heureux petit ange.

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Invité Ninon.
8 mois, date pour date, jour pour jour, heure pour heure, minutes pour minutes, tu disparaissais mon chat.

Secondes par secondes, ton petit coeur s'arrêtait doucement de battre sous cette injection mortelle, dans cette clinique froide, dans la chaleur de mes bras, sous la pluie de mes larmes.

Mon Orion, tu t'en es allé si loin de moi, que je voudrais à jamais rayer cette date du calendrier, de ma mémoire, de ma vie, mais cela est impossible.

Je voudrais que ce jour n'ait jamais existé. Tous les mois, cette date fatidique revient et me rappelle qu'elle était pour toi le dernier souffle de ta vie.

Depuis ce samedi de mars, mon coeur saigne, mes yeux pleurent, ma tête est remplie de toi et je ne suis plus la même. Je ne serai jamais plus comme avant ; avant quand tu étais près de nous.

Seules me reste Pélisse, ce lien entre toi et moi. Ta soeur qui chaque jour me rappelle comme la vie était belle avant ta maladie. Le temps du bonheur qui ne reviendra plus, qui s'est arrêté, quand ton coeur s'est arrêté de battre ce samedi 17 mars 2007.

Il n'y a pour l'heure sur cette terre, un être qui me manque plus que toi, mon chat adoré. Orion mon bébé, où es-tu mon amour ?

Je t'aime, je t'aimais et je t'aimerai toujours mon beau matou.


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Invité

repose en paix Orion, et aide ta famille qui te pleure depuis des mois.

Tu ne souffres plus désormais, tu es au paradis avec tous nos anges

A toi Orion
Milliers de caresses





[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.

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Invité Kiwini

P'tit coeur, personne ne t'oublie... surtout pas "ta maman"... [:205rallye]

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Chère Ninon,
De tout coeur avec toi. La Faucheuse fait partie de la vie.... hélas. Et la séparation d'avec ceux qu'on aime est toujours une épreuve déchirante que le temps apaisera plus ou moins rapidement.
Orion n'est plus là, mais son âme restera à jamais autour de toi. Et je suis sûre que de là-haut il veille sur toi.
Ton Orion est en paix maintenant.

Avec toutes mes meilleures pensées

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Invité Ninon.

Un mois de plus qui nous sépare, 9 mois aujourd'hui et la vie doit continuer.
Tu me manques mon bébé d'amour.
La première fois depuis 9 ans que j'ai fait le sapin de Noël sans ton aide. Personne pour me voler les guirlandes et jouer avec les boules, même Pélisse n'avait pas le coeur à s'y mettre.
Voilà, premier Noël sans toi depuis ces dernières années, tu vas nous manquer Orion, personne qui fera le tour de la table pour mendier et chaparder la nourriture.
Là où tu es, tu brilles encore plus en cette période.
Ebloui le ciel de ta présence mon bel Orion, pour que jamais personne ne t'oublie.

Je t'aime mon chat et ma tristesse est intense.

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Invité

Pour Orion devenu un ange, et qui joue certainement avec Noxea et plein d'autres anges

[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.[IMG]http://smileys.

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Invité Ninon.

Premier Noël sans toi mon chat, il y avait un absent et tu nous as manqué.
Même Pélisse, qui chaque année, jouait avec toi avec les emballages cadeaux et surtout les rubans, n'a pas eu envie cette fois-ci.
Elle est restée sagement assise sur la chaise (ta chaise où tu t'asseyais toujours) et regardais, mais sans bouger.
L'ultime vidéo que nous avions prise l'an passé avec vous deux entrain de jouer aves les rubans et les papiers cadeaux, ne se renouvellera plus.
Je me suis rappelée chaque moment de Noël l'an passé, quand tu venais mendier les olives, toi qui aimait tant cela. Quand tu t'es assis à table pour attendre que quelqu'un veuille bien te donner un p'tit quelque chose. J'ai dans ma tête, ta vision de ce moment là.
Tout était bien différent cette fois-ci, pas de petit mendiant, ni de petit chapardeur.
Il était un peu triste ce Noël, mon Orion. Tu étais là, présent à ta manière avec nous, mais si loin quand même.

Dors mon bébé et veille sur Pélisse de là-haut. Ce soir là, tu lui as manqué, j'en suis certaine.
Ta bougie est restée allumée longtemps, comme si sa flamme reflètait ton âme.

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