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Blaise

Saskia et Jiro, suite

Messages recommandés

Avant la neige tant attendue en montagne, pour les Huskies,
il faut profiter encore des belles rencontres au parc à Blonay:











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Un temps de Huskies, ça se mérite...

Annoncée depuis quelques jours, la neige est arrivée en force hier, avec un sérieux coup de froid:


mais rien d'exceptionnel sur les Préalpes avec ce saupoudrage
observé depuis Vevey, ce matin, sur le Grammont (2172m):


il fallait monter bien plus haut pour profiter d'un vrai service de neige,
qui a fait défaut tout au long de cet été puisque le dernier remonte au 20 juin,
le jour où Saskia a fêté ses 9 ans!

Après une heure de route et les deux tronçons en benne,
c'est le frigo: 20 à 30 cm de neige poudreuse soufflée,
une température ressentie de -20° avec un blizzard polaire,
mais on revoit enfin une Saskia folle de joie, qui retrouve toute sa jeunesse:


ici, nous sommes encore à l'abri de la tempête pour admirer le paysage:


mais pas pour longtemps:






Saskia entraîne Jiro, qui apprécie moins les rafales de neige dans les yeux:






Voilà pour le premier épisode...

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Heureusement, le vent qui a failli projeter un gant dans le vide
et rendait la course difficilement supportable, s'est calmé,
me permettant de faire des prises de vues extraordinaires:


et Jiro a vite retrouvé sa motivation:






quelle complicité:






tellement absorbés par leurs jeux, je les tire un peu,
en profitant de la vue vers notre point de départ:


un skieur va tenter de gravir le sommet des Diablerets (3210m):

rendu difficile d'accès après la canicule de 2003, puis impossible depuis cet été,
avec des chiens sur cette arête... dommage, c'était une belle course pour ma première chienne!

nous nous contentons de ce sommet, appelé le Dôme,
qui dépasse tout de même les 3000m:


pour gravir le sommet le plus élevé, il faut atteindre ce glacier crevassé:


sans faire de varappe, on peut éviter la descente sur les rochers
en traversant le glacier en contrebas qui est devenu très dangereux:


la vue vers l'ouest est magnifique:


avec les Tours d'Aï (2331m) au-dessus de Leysin et même Lausanne au loin:


la vue vers l'est avec les Alpes Bernoises:


depuis la gauche, on reconnaît le célèbre Eiger (3970m), le Mönch (4107m) et la Jungfrau (4158m):


et ici, derrière la Quille du Diable (2908m), les hauts sommets valaisans,
dont les Mischabels (4545m), le Weisshorn (4506m), le Mont Rose (4634m),
la Dent Blanche (4357m), le Cervin (4478m) etc:


enfin, au sud, le Grand Combin (4314m):

le Mont Blanc (4809m actuellement) étant caché derrière le sommet des Diablerets...

Le deuxième épisode qui va suivre montrera les ravages de cet été caniculaire
sur le glacier, dont les dangereuses crevasses qui sont apparues...

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J'ai choisi de descendre le long du ski-lift qui fonctionnait jadis tous les étés:


la bâche blanche destinée à réfléchir les rayons solaires n'a pas permis
de préserver cette partie du glacier:


il n'en reste plus que des lambeaux:


et des crevasses impressionnantes:


ce ski-lift semble condamné et devra probablement être remplacé par un télésiège:












nous quittons enfin la zone dangereuse:


il a fallu passer plusieurs fois par jour et pendant tout l'été avec les chenillettes
pour sécuriser l'accès au restaurant situé au pied de la Quille du Diable:


et voilà le bus des neiges qui fait la navette sur le glacier:






Le dernier épisode de la journée sera marqué par deux grosses surprises...

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La première surprise est l'apparition cet été d'un gouffre géant:








ce puits a servi à vidanger le lac apparu pour la première fois lors de la canicule de 2003:




ce lac, se formant à la surface du glacier lors de la fonte anormale des neiges environnantes,
n'est pas apparu l'été 2014, tout au plus un marais de neige fondue a été visible en septembre 2013:

c'est bien à cet endroit, à quelques mètres près, que le gouffre s'est formé!

vue depuis la crête où nous avons subi le blizzard,
on voit bien la cuvette qui contenait ce lac:


La deuxième surprise est la participation à la réalisation d'un film chinois:






le retour par la montée sur la crête encore bien ventilée:


avec la vue plongeante sur le petit glacier de Prapio,
situé sur l'autre versant, bien abrité du foehn et moins exposé au soleil:


après 5 heures de marche dans la neige, nous avons encore le courage d'escalader le point de vue:


c'est sur le premier becquet que la caméra tournante est installée:
http://glacier3000.roundshot.com/

voici l'image de cette caméra que j'ai pu capturer le 30 août dernier:


le spectacle est aussi sous la passerelle:


la vue d'ensemble des crêtes que nous avons parcourues aujourd'hui:


et une belle vue de profil des Dents du Midi (3257m), au fond et légèrement à droite:


le retour à la station:


le bus des Chinois:


FIN

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3 jours plus tard, le paysage a totalement changé:

l'été indien règne au-dessus de la mer de nuages...

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Notre dernière course d'entraînement avant le dernier grand sommet...

































on bouche les crevasses et prépare les pistes pour la prochaine saison:


ces remparts devront retenir la neige avant qu'elle s'envole:


lors du retour à la station, nous allons revoir, de loin, le fameux gouffre:




ces cumulus iront même jusqu'à l'orage quelques heures plus tard:









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La première saupoudrée d'octobre à basse altitude n'a pas été généreuse,
même à 3000m d'altitude, où il aurait fallu être pour avoir un soleil éclatant:


La station étant fermée pour cause de réparations, nous sommes restés
sous cette épaisse couche de brouillard pour profiter de ce service minimum d'or blanc:










La pauvre Saskia avait besoin de retrouver un peu de bonheur,
souffrant depuis quelques jours d'une blépharite à la paupière inférieure gauche:




une fois la paupière nettoyée de ses croûtes par le véto:


le traitement prescrit:
Ophta-Clean de Virbac pour nettoyer la paupière infectée avec des compresses de gaze
Pommade ophtalmique Maxitrol
Rilexine, antibiotique par voie interne
Prednisone,  anti-inflammatoire stéroïdien
de plus le port de la collerette si elle se gratte la plaie...

Comme toujours, la neige va contribuer à sa guérison, contrairement aux parcs d'ébats pour chiens,
devenus boueux et propices à une surinfection...

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Ce service minimum de neige m'a au moins permis de monter en voiture jusqu'au col du Grand St-Bernard,
à 2470m d'altitude, alors que tous les autres cols d'altitude situés plus à l'Est de la Suisse sont déjà en fermeture hivernale!

Samedi 17 octobre 2015, un jour qui a réuni tout ce qu'il y a de plus beau dans la région:
feuillages d'automne, neige, givre, glace, soleil et un peu de brouillard qui ne gêne pas...

Fuyant la grisaille des plaines, nous trouvons enfin le beau temps près de Bourg St-Pierre, vers 1600m d'altitude:








arrivés près de l'Hospice, nous trouvons un bon saupoudrage:








Saskia ne semble pas souffrir de sa paupière:












le brouillard de ces derniers jours a déposé une belle couche de givre:


même ici:










mais le lac n'a pas encore gelé, malgré des températures voisines de -10°C:
















une fine pellicule de glace brille au soleil:


près de l'enclos des chiens St-Bernard, qui sont déjà redescendus à Martigny:


plus bas, la rivière (la Dranse) a déjà gelé:



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L'Allalin, notre dernier grand sommet

Tout s'est bien passé, à part que nous étions les seuls à grimper sur ce sommet et que les traces étaient
en grande partie effacées par les tempêtes de neige de ces derniers jours; j'ai réussi
à ouvrir la trace dans de la neige parfois cartonnée enfonçant jusqu'aux genoux,
si bien qu'au lieu des deux heures prévues pour l'ascension, il en a fallu plus du double;
l'été 2015 a aussi transformé les glaciers jusqu'à cette altitude en y ouvrant de nombreuses crevasses...

Une grande vidéo va bientôt montrer les difficultés rencontrées sur ce sommet réputé facile, évidemment
dans de meilleures conditions, c'est-à-dire lorsque la trace est déjà bien faite, solution de facilité dirai-je...
ce que ma chienne Huskie Nykyt a connu:



Partis de Vevey vers 05h30, nous arrivons à Saas Fee pour les premiers rayons de soleil:


après deux tronçons dans des grandes cabines, le funiculaire nous amène à plus de 3450m d'altitude,
pour l'équivalent de 70€:


à cette altitude et de plus sur des pentes exposées au nord, le ski d'été est toujours possible!
le sommet projeté se trouve à l'arrière-plan:


le sommet des installations mécaniques:


et c'est là que les choses sérieuses commencent:


la seule possibilité est de passer au-dessus de ces murs de glace:


mais la pente raide est recouverte de cette neige qui enfonce tellement qu'il faut
parfois 10 minutes pour avancer de quelques mètres:


mes Huskies ne peuvent pas me tirer et marchent soit à côté de moi, soit dans mes traces:


chaque "replat" est l'occasion d'une pause:


mais d'autres paliers raides nous demandent également beaucoup d'énergie:


en plus toujours à l'ombre, avec -10°C:


enfin nous retrouvons une ancienne trace:


hélas pas pour longtemps:




enfin le soleil va rendre plus agréable la course, faisant apparaître les reliefs de la neige,
ce qui est important pour déceler les crevasses parfois recouvertes de ponts de neige:


Jiro tire Saskia qui a de plus en plus de peine en haute montagne:

pour elle, c'est bien son troisième et dernier sommet de plus de 4000m d'altitude;
elle aura quand même 10 ans l'année prochaine!

nous arrivons au petit col, d'où le sommet paraît encore loin et difficile d'accès
à cause de cette grande crevasse qui traverse presque toute la pente:


depuis ce col, la vue sur quelques grands sommets est magnifique:


aussi sur le Breithorn de Zermatt que nous avons escaladé il y a une année, le Cervin etc:


Nous arrivons sous cette rimaye qui paraissait infranchissable depuis le petit col:


aussi incroyable que cela en avait l'air, on a réussi à passer,
au prix d'une nouvelle débauche d'énergie, suivie d'une bonne pause:


il reste cette pente moyennement raide exposée au soleil à gravir:


après les deux heures passées à l'ombre, il fait trop chaud ici et l'oxygène commence à manquer,
faute d'acclimatation... ce n'est jamais évident de gravir un sommet de 4000m d'altitude en un jour,
en partant de 400m d'altitude...


nous arrivons presque au but: une dernière pause pour admirer ces étendues de neige vierge
parsemées de crevasses et également la Pointe Dufour, 4634m, le plus haut sommet du massif du Mont Rose,
tout à droite de l'image:


et l'arrivée au sommet:




quelques friandises pour les courageux compagnons, mais pas de pique-nique,
car il faudra redescendre assez vite pour ne pas manquer le dernier funiculaire, à 15h45...




la neige a ramolli en plein soleil, tant mieux car cette neige cartonnée par le vent était assez désagréable:


le soleil de l'après-midi éclaire l'imposant massif des Mischabels:


la descente est pénible dans cette neige profonde et irrégulière:


les skieurs ont déserté les pistes, il faut se dépêcher de descendre:




c'est le ballet des dameuses qui préparent les pistes pour demain:


à gauche, la vallée de Saas:


il reste 5 minutes pour les dernières photos:




je ne pensais pas que ce sommet, maintenant à contre-jour:

allait nous occuper toute la journée, il ne reste même pas le temps
de voir le palais des glaces ni de se reposer au restaurant tournant...
il s'en est même fallu de peu qu'on rate le dernier métro!

Le lendemain a été une journée entièrement consacrée à la vidéo:

où j'ai filmé beaucoup de "tours d'horizon" pendant que Saskia et Jiro se reposaient.


Voici quelques images de la station valaisanne de Saas Fee.

Ces photos ont été faites à la hâte pendant les dernières minutes de soleil:








le peu de neige qui restait à 1800m d'altitude:






un sommet d'allure volcanique qui paraît impressionnant:


mais dont l'altitude est inférieure de 1200m à celui que nous venons d'escalader:


et que Saskia et Jiro voient certainement pour la dernière fois:

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Lac et glacier de Moiry

Dans le val d'Anniviers, une course facile mais assez longue offre des paysages magnifiques:






Depuis la route d'accès à Grimentz, bien avant Vissoie, les couleurs automnales,
avec en prime la lune décroissante, méritaient un bref arrêt:


La route était encore ouverte jusqu'à la base du barrage, mais pas le tunnel,
et il restait une petite couche de neige poudreuse à l'abri du barrage:


Nous sommes partis pour le tour du lac:






en faisant un petit détour par cette plage du bout du lac:


dans les revers, la neige devient intéressante pour mes petits loups:


au lieu de rejoindre la route, nous continuons l'exploration de cette vallée:






voici le dernier mélèze:


le même pris avec mon iPhone:


la marche est plus aisée au fond de la vallée:




en faisant attention aux plaques de glace recouvrant l'eau et le sable mouvant par endroits:




quel contraste avec les pentes ensoleillées dépourvues de neige jusqu'à 3000m d'altitude:


un nouveau palier nous amène au lac glaciaire:




au même endroit, pris avec mon iPhone:


plus loin, la glace est assez solide pour s'y aventurer:


le glacier de Moiry s'est retiré jusqu'ici, après avoir laissé ce lac:






avec mon iPhone:


depuis la moraine, on contemple la glace:


et on aperçoit la cabane du Club Alpin Suisse à gauche sur la crête rocheuse:


nous poursuivons notre exploration de la base de ce glacier jusqu'à 2500m d'altitude environ:




au point culminant de la course, nous devons faire demi-tour:


le soleil va bientôt disparaître et nous profitons d'un autre éclairage:




une surface de jeu idéale:




tout en admirant cet endroit glacial:




que nous quittons avec regrets:


j'ai ressorti mon iPhone ici:


elle est ouverte en été:


et tout près du parc estival accessible en voiture et en bus:


4km de marche sur cette route, c'est la partie la moins intéressante de la course:




je ressors ici mon iPhone pour la dernière fois, afin de comparer son contraste de lumière
avec celui de mon Canon Ixus 990IS que j'ai toujours utilisé jusqu'à maintenant:


l'hébergeur d'images efface la différence de résolution entre les deux appareils,
l'iPhone 6S donnant des images de 200Ko en moyenne, contre 700Ko pour le Canon!


ces glaçons datent du coup de froid de la mi-octobre:


mais le temps est trop chaud pour la saison ici, la flaque d'eau n'est pas gelée:


le seul passage enneigé sur la route est court:




le dernier rayon de soleil sur le barrage:


et nous retrouvons l'hiver sous le barrage:


pour le plus grand bonheur de Saskia:


et de Jiro qui l'imite pour une fois:


j'ai dû recourir à quelques friandises pour les faire rentrer dans la voiture...

Cette région est assez éloignée de la maison, avec 3h et demi de route aller et retour;
la dernière fois, j'y étais allé le 20 juin 2012, pour l'anniversaire des 6 ans de Saskia, donc sans Jiro,
et sur la vidéo suivante, on ne voit qu'une partie du lac glaciaire:


En revanche, j'avais pu monter en voiture jusqu'au parc de la buvette, ce qui raccourcit considérablement la course,
car nous n'avions pas fait le tour du lac; il y avait déjà du bétail par endroits.

En juillet et août, cette région devient trop touristique et il faut se protéger du soleil...
mais en fin octobre ou en novembre, juste avant la fermeture hivernale de l'accès à la base du barrage,
avec un peu de neige pour adoucir la marche et motiver les chiens sans souffrir de la chaleur du soleil,
cette course représente une longue marche d'une vingtaine de km dans des paysages de toute beauté,
que je préfère 1000fois à tout ce que l'on peut faire sur terre, voire dans la boue...


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Le retour express de l'hiver!

A 1500m d'altitude, il faisait +13°C avec de la pluie hier, aujourd'hui -2° et demain, il fera -10°! Actuellement, il neige à Vevey, alors que deux jours avant, par 18°, les gens se trouvaient en manches courtes sur les terrasses ensoleillées...

Profitant d'une brève éclaircie, j'ai amené mes petits loups dans la région des Mosses:


























encore un peu de soleil avant l'arrivée d'une forte chute de neige:




hélas, mon appareil ayant gelé, je n'ai pas pu photographier la tempête qui a suivi,
encore plus impressionnante que celle-là:


le thermomètre de la voiture a passé de -2°C à -7°C pendant notre balade de 3 heures.

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Première neige au parc d'ébats à Blonay

Le château ce matin:


12cm de neige humide tombés pendant la nuit:














Icomme et Icare:


3 museaux qui s'aiment bien:


les moutons à 100m du parc n'intéressent pas les chiens:

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Une nouvelle matinée de rêve, à 20 min de la maison:








côté prévisions météo, il semblerait qu'un nouveau service de neige me permette
de rechausser bientôt les skis et de remettre les harnais de trait à Saskia et à Jiro...

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La neige de rêve à La Fouly avec trois chiens!

Comme au coeur de l'hiver, -13°C au thermomètre de la voiture,
mais un froid bien plus agréable que +5°C en plaine avec l'humidité!

Il a déjà fait -30°C en Suisse la nuit passée:


La couche de neige poudreuse de 50cm tombée il y a 2 jours s'est vite tassée:


et la piste de fond est déjà ouverte:


















au fond, le village de la Fouly, situé tout à l'Est du massif du Mont Blanc:


et surplombé par de hautes montagnes:




mais bien ensoleillé entre 10h et 14h, même l'hiver:








quel beau chemin sans trace:






après plus de 2 heures de rêve, les premiers cirrus envahissent le ciel:


et la neige va se remettre à tomber ce soir...

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40cm de nouvelle neige dans ma région...

Ici, rien n'est ouvert; pour le ski-joering, on attendra les traces des raquetteurs:



















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Blaise, vos chiens sont vraiment très beaux, ils reflètent la force tranquille!
C'est bien la neige qui viens de tombée chez vous ?

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KAIZOKU a écrit:
Blaise, vos chiens sont vraiment très beaux, ils reflètent la force tranquille!
C'est bien la neige qui vient de tomber chez vous ?


La neige entretient leur fourrure, ils sont faits pour la neige! Il suffit qu'ils aient brassé la neige pendant deux heures pour que leur fourrure sente le linge frais pendant quelques jours; le frottement de la neige élimine les bactéries tandis que le froid durcit la peau, empêchant les parasites de s'infiltrer.

En été, ils souffrent facilement d'infections de la peau: ils ont une fourrure qui n'est pas adaptée à l'eau, séchant très lentement, ce qui provoque une prolifération des bactéries, puis des démangeaisons, donc l'envie de se lécher, ce qui réhumidifie les régions sensibles, en particulier à l'intérieur des jambes et sous le ventre; ce cercle vicieux aboutit à des pyodermites à répétition en été:




Donc pas de baignades pour eux, ni de promenades sous la pluie lorsque la température dépasse les 10°C!

J'ai installé un climatiseur dans ma chambre, assurant une température de 18°C lors des grandes chaleurs, d'ailleurs je ne supporte pas non plus la chaleur.
Le climatiseur assèche également l'air, ce qui est important pour entretenir la fourrure de mes Huskies.
Comme ils ont passé la plupart des journées de canicule dans la chambre refroidie, ils n'ont pas eu de pyodermite cet été.
L'économie de frais de véto avec les désagréments de la collerette est sans comparaison avec le petit surplus de consommation d'électricité...

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Nage dans la Neige

l'automne touche à sa fin:


mais l'hiver est arrivé en quelques jours:








la Cape au Moine, 1941m:


dès maintenant, je fais la trace pour Saskia et Jiro:


et ici, il y a plus de 1m de neige soufflée:


j'enfonce jusqu'au ventre tandis que la neige compactée par le vent leur est plus favorable:


ici, ils comptent à nouveau sur moi:




mais retrouvent vite assez d'énergie pour jouer:


toujours aucune trace ici, à ce carrefour d'habitude très fréquenté:


nous prenons énormément de temps à brasser ces 50 à 80cm de neige fraîche,
alors que le ciel se couvre rapidement:


par chance, ce nouveau carrefour vient d'être atteint par des randonneurs:




et un skieur en peaux de phoque est très bien accueilli:


ce refuge forestier n'est pas fermé:


je suis un peu déçu de la visibilité pour la descente,
mais la bonne trace permet à mes petits loups de reprendre la marche en tête:




on devrait apercevoir le lac Léman depuis ici:


ceux qui connaissent la région le devinent:


le voilà:


la région de Vevey est restée verte, trop basse pour accueillir la neige...
demain, un nouvel épisode neigeux important est annoncé!
ce sera une journée de repos après les 5 heures de marche dans la neige profonde,
et je choisirai une balade dans une couche de 5 à 10cm puisque dans la région,
le choix est souvent possible entre 0 cm et trop de neige!!

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Le nouvel épisode neigeux et arrivé, même à basse altitude:






et un peu plus haut, il fallait en profiter:


sans aller jusqu'à 1500m d'altitude, où on aurait enfoncé plus haut que les genoux:


vers 1200m, avec 50cm d'épaisseur, c'est déjà trop pour eux:






mais je n'avais pas le choix, plus bas la neige devenait trop lourde...

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La ruée vers l'or blanc

Pour le 9ème jour consécutif de bonne neige,
tombant un dimanche, on aurait dit que l'annonce du redoux
pour la semaine prochaine sonnait le glas de cette période de bonheur parfait,
où de nombreux chiens se sont retrouvés par hasard, certains se connaissant déjà:


















Il paraît que ceux qui se réjouissent du printemps ne seront pas déçus ces prochains jours...

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Cela fait une semaine que la neige souffre de la chaleur:

et aucun miracle en vue...

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Il fait trop chaud en altitude depuis une semaine, au-dessus de la mer de nuages et de brumes de pollution, jusqu'à +10°C à 2000m il y a 3 jours et il ne gèle toujours pas en-dessous de 3400m d'altitude, sauf dans les combes à l'ombre où la neige reste croûtée ou verglacée.
Au moins mes Huskies ont un peu de neige de printemps pendant quelques heures par jour, si je choisis bien l'endroit: entre 1200m et 1500m d'altitude, on en trouve.

Il y a deux ans, pendant une bonne partie du mois de décembre, la neige avait disparu des pentes ensoleillées:


mais c'était un régal dans les combes froides:






et l'année passée, j'avais fait une vidéo spectaculaire montrant le manque de neige dans les Préalpes le 21 décembre:


Ce qui m'inquiète, c'est la persistance de la chaleur anormale depuis l'été et la raréfaction des épisodes relativement froids...

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Vers un Noël 2015 printanier!

Cela devient la nouvelle "norme" chez nous, même si le soleil et la douceur ne concernent pas
ceux qui dépriment sous la mer de nuages bas et ne peuvent pas monter au-dessus de 800m d'altitude:


avec 12° à l'ombre, après une bonne marche,
mes petits loups font la sieste sur une étroite bande de vieille neige:


c'est apparemment le calme sur les hauteurs de Vevey et de Montreux,
l'occasion de contempler les faces "enneigées" des montagnes:


mais pas le silence, car la rumeur lointaine de la civilisation perce la couche de brouillard...
les villes ne sont qu'à 5km à vol d'oiseau!

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L'appel de la neige est trop fort!

La pluie a douché les derniers espoirs de neige pour cette année,
sauf au-dessus de 2800m d'altitude:














apparu lors de la canicule de cet été 2015, le gouffre fait des heureux:


mais inquiète mes louloups:




il est possible de descendre les quelques 25m pour atteindre le fond
et une grotte glaciaire à condition d'être bien équipé...

une couche par année:


l'endroit idéal pour s'entraîner au sauvetage dans une crevasse
et aussi à escalader un mur de glace:






la promenade face aux grands sommets parmi les plus prestigieux des Alpes:


un bar sur le glacier, bien fréquenté pour un mardi:




et la piste continue:


mais la neige vierge est plus attrayante pour le jeu:








c'est le moment de revenir à la station avant la cohue:


une belle rencontre lors de la remontée:






la chienne Huskie Kaya est même détachée un instant avec sa copine Border collie:




la neige a souffert de la chaleur même à cette altitude:


une série de parapentes prennent leur envol dans la douceur presque estivale:


il fait 0°C à 3900m, comme en été, lisez cet extrait de la météo des Alpes, pour Chamonix:


la station de Gstaad, visible derrière les petits loups, est dans la verdure:


et ici, près de 3000m d'altitude, l'une des rares pistes de ski est en neige de printemps:


il faut éviter la piste à tout prix:


la station des Diablerets figure parmi les mieux loties de toute la Suisse:


c'était la première fois que nous sommes montés si haut à cette saison pour trouver de la neige;
si elle ne revient pas avant l'année prochaine, ce qui est hélas prévu, ce sera dramatique pour les stations...

Au lieu des 1,5 à 2 degrés fixés comme limite maximale par la Conférence internationale de Paris
sur le réchauffement climatique, dans les Alpes, nous nous rapprochons plutôt, pour ce mois de décembre,
d'une élévation de température de 10° par rapport à la norme du siècle passé...

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"Les neiges d'antan, c'est pas pour demain!"
tel est le titre des manchettes du journal le plus lu ce dimanche matin dans le canton de Vaud...

Effectivement, nous voici à 1700m d'altitude:


au moins le lac est gelé, mais rien à voir avec un véritable hiver:














Le chalet a été rénové depuis peu, mais il est resté au même endroit...

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Au nord de la Dent de Lys (2014m)

Un paysage très original avec ces restes de neige inaccessibles sans crampons:


Saskia et Jiro ne peuvent pas jouer sur ces plaques de neige et ont même de la peine à marcher:


C'est incroyable de voir cette neige qui fond pendant quelques minutes de soleil
puis regèle tout de suite après, grâce au rayonnement thermique, qui refroidit
le sol exposé au ciel bleu, grâce à l'absence de vent et de plafond nuageux;
l'air est si sec et chaud ici, avec entre +8°C et +10°C à l'ombre, qu'aucun givre ne peut se déposer;
le sol n'est pas gelé sous les sapins qui restent pourtant constamment à l'ombre.
Et dire que toute la plaine au-dessous de 700m d'altitude est sous le brouillard persistant,
avec +5°C; la "mer" de brouillard est fréquente chaque hiver, mais d'habitude une belle couche de givre
se dépose sur les arbres... cette année, il fait trop chaud pour les brouillards givrants...

La Dent de Lys est bien plus belle comme ça:

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Il faut que Saskia et Jiro profitent maintenant de chaque jour de neige,
puisqu'elle est enfin arrivée en altitude, comme aujourd'hui:












vers 1600m d'altitude:






le faux oeil gauche de Saskia:


cette fois, les nuages élevés qui arrivent par l'ouest annoncent déjà la suite
de l'enneigement de cet hiver, en tout cas au-dessus de 1500m d'altitude...

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Une belle boucle au-dessus de Blonay:


La piste de ski de fond des Pléiades vient d'ouvrir
et le tableau séparant les skieurs des promeneurs vient d'être installé:


alors que la neige est si rare en ce début d'hiver, mieux vaut le respecter:


pour éviter un aller et retour sur la route forestière fermée à la circulation en hiver,
ou faire une boucle trop petite pour mes louloups encore en forme,
j'ai choisi le sentier à flanc de la pente raide que je n'ose pas parcourir en l'absence de neige;
une chute peut être fatale à certains endroits, souvent humides et glissants,
mais avec cette petite couche de neige bien compacte, pas assez épaisse pour cacher le sentier,
je m'y aventure sans craindre d'avalanche ou de chute si mes chiens surprennent un animal sauvage:




après 2km sans trace, nous débouchons sur la clairière de Lautaret (ou L'Hauteret selon certains panneaux):


le chemin qui rejoint la route privée de Plan Chatel est panoramique:


c'était la dernière image avant l'arrivée brusque du brouillard et de quelques flocons,
donnant l'impression d'être au coeur de l'hiver... demain matin, il faudra se lever tôt
pour profiter des nouveaux flocons avant que la pluie lessive le peu de neige à moyenne altitude!

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Et voici le lac Léman bien agité:


un orage arrive, c'est le moment de rentrer:


et la neige ne va pas tarder à s'inviter, comme après chaque tempête hivernale...

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La neige tant attendue est arrivée un peu plus bas que ces derniers jours:


ces piquets devraient être sous la neige à la mi-janvier:


mais l'hiver semble arriver, timidement:






un peu de froid est annoncé...

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Une semaine de bonheur dont il faut profiter!

16cm de neige fraîche à Vevey, à 400m d'altitude:




la maison à Saskia:


les copains au parc de Blonay, recouvert d'une vingtaine de cm, à 600m d'altitude:







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Des chiens heureux de se retrouver au parc après une nouvelle averse de neige:

















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Ce matin, après une nuit avec -10°C et sur une neige bien tassée par les nombreux chiens,
voici de nouvelles rencontres et des jeux sympas:


Jiro a toute une stratégie pour s'emparer du jouet du magnifique Terre-neuve:








Saskia intervient:

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Des chiens survoltés...

Une nouvelle chute de neige a enfin donné au parc d'ébats de Blonay
les conditions optimales pour jouer:








le magnifique Shetland immobile un instant:


et la jeune chienne Berger australien, derrière Jiro:


le ciel s'assombrit, on espère encore de la neige et surtout du froid:

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Une jeune chienne tunisienne de Djerba a passé du sable à la neige:


rapide, elle essaie de semer Jiro:


et vient provoquer Saskia:




le Labrador noir est un grand copain de jeu:




hélas, la neige souffre déjà du redoux sensible et il faut espérer un nouvel épisode neigeux
cet hiver pour pouvoir revenir au parc, qui va se transformer inévitablement en champ de boue...

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Les paysages de montagne et les commentaires me font voir une chose: je suis nul en matière de montagne. Je suis bien incapable de distinguer un pic d'un autre. Question de culture. Jamais chaussé skis ni raquettes ni mis les pieds sur un traîneau.
Le gouffre et les failles dans les glaciers me font poser des questions: que découvre-t-on en dessous ? quels vestiges du passé sont enfouis dans ces glaces multimillénaires ?

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A chacun ses domaines, pour moi, ce sont la montagne, la météo, la neige, les champignons et la musique classique de Bach à Stravinski. Je ne connais rien en peinture, en littérature, en histoire humaine, en musique actuelle etc. Je ne vais jamais au cinéma, au concert, dans des musées et ne voyage plus sans mes chiens! Dans le sport, il n'y a plus que le tennis que regarde, bien que j'ai aussi joué au volleyball, skié, nagé etc. Mon passé de chef de courses de neige en montagne m'a laissé beaucoup de connaissances dans le domaine de la neige et des avalanches; mais je n'ai jamais fait de spéléo ni exploré les cavernes sous les glaciers...
Je sais que les glaciers avancent en glissant sur les rochers d'une manière bien particulière: la glace fond aux endroits où elle exerce la plus grande pression contre la roche et c'est cette mince couche liquide qui lui permet de glisser, par ailleurs l'eau regèle dès que la pression diminue, comme le montre l'expérience du fil de fer qui traverse un morceau de glace sans le couper... mais le processus est lent, les glaciers avancent au rythme où la neige les recharge; les glaciers reculent lorsque l'enneigement ne compense pas leur perte de masse à cause de la fonte de leur extrémité inférieure. Il y a d'autres phénomènes qui érodent les glaciers, comme les bédières, torrents à la surface des glaciers qui s'engouffrent dans des crevasses en formant des moulins avec parfois des tourbillons qui usent la glace en créant ces gouffres, pour rejoindre les rivières sous la glace.
Les crevasses se forment lorsqu'une partie du glacier est disloquée par un changement de pente de la partie qui le supporte et les rimayes marquent la séparation entre la glace restée accrochée à une pente raide et la partie du glacier qui s'affaisse sur un replat.

Différents objets sont véhiculés par les glaciers, comme des pierres, du bois, et parfois même des cadavres d'alpinistes qui réapparaissent 50 à 100 ans après leur disparition! Sinon, on s'intéresse aux bulles d'air dont l'analyse révèle les changements atmosphériques depuis des millénaires, aussi aux débris végétaux, fossiles, etc.

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Tu pourrais faire un superbe ouvrage de toutes ces aventures en images ! c'est souvent passionnant. Parce que sur le net, ça fond, ça coule et cela rejoint l'océan des choses oubliées.

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Il faudrait faire un film, rien ne remplace le mouvement, d'ailleurs je suis en train de préparer une nouvelle vidéo à partir des séquences d'aujourd'hui, Saskia étant en forme pour courir, bien sûr sans traction, à la descente!


Effectivement, c'était trop beau aujourd'hui, avec de la magnifique neige, dans les Préalpes:


























la descente en yooner, sans traction car je vais aussi vite qu'eux sur mon engin:


une vidéo est en préparation...
ils n'ont pas de harnais de trait car s'ils ralentissent et que je les dépasse,
il est arrivé qu'ils se prennent une patte dans le harnais détendu...
en ski-joering, je leur mets encore un harnais de trait car Saskia est toujours en forme, à bientôt 10 ans!

Le parc à chiens n'est déjà plus praticable et la neige est bonne à partir de 1200m d'altitude;
il fallait en profiter avant la catastrophe annoncée: le retour de la chaleur pour cet hiver déjà beaucoup trop chaud...

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Bon eh bien à bientôt sur un des forums. Dès que je pourrais je vais acquérir une caméra pour filmer mes balades avec mes loups noirs et feu (et la tite Alaskan du Jura). Pour l'instant, pas les finances.

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Un petit appareil suffit pour faire des bonnes vidéos. Youtube corrige les tremblements si l'appareil ne permet pas de stabiliser les images.

La vidéo suivante montre la dernière partie de cette descente de toute beauté:

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Même en copiant à partir de Http, le lien ne s'ouvre pas. Cela arrive parfois.

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La rencontre des trois chiens de l'hôtel de Ferret

Fuyant le méchant redoux progressif qui envahit les Préalpes,
j'ai choisi d'emmener Saskia et Jiro au fond du Valais, tout près de l'Italie,
à plus de 1600m d'altitude, où il faisait encore -13°C ce matin:


ça valait le déplacement:










les deux Huskies ne sont pas fugueurs:














l'attelage a déjà monté le pain dans le traîneau, depuis La Fouly, pour le restaurant:


et les trois chiens vont se reposer dans leur enclos ici:


nous poursuivons la course en ski-joering:








quel bonheur de se retrouver en pleine nature, vierge de trace humaine:




nous ne pourrons pas aller beaucoup plus loin, en raison du danger d'avalanche:


et rejoignons la rivière presque entièrement gelée:


pour admirer ces beautés naturelles:








et c'est le retour:


sur nos traces:




c'est le Mont Dolent, 3820m d'altitude, le sommet à la frontière des trois pays,
la France, l'Italie et la Suisse:


depuis ici, la descente en pente douce va permettre enfin aux petits loups de courir sur environ 2km:

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Au soleil, il faisait trop chaud pour les Huskies!
J'aime le bruit de la neige froide lorsqu'on marche dessus, ça ne glisse pas du tout, d'ailleurs, dans le grand Nord, lorsqu'il fait -30°C, les voitures roulent à 100km/h sur des routes blanches...

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Hélas, c'est déjà le printemps!








par chance, il reste une cinquantaine de cm de neige tassée, ici à 1300m d'altitude,
de quoi s'offrir encore quelques courses de ski-joering...

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Semblerai que les chiens de l'hôtel n'aient pas le joli poil de tes loups. Plus laineux. Sans doute moins de sorties ?

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