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Nemrod111

Qui mange du hérisson?

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Bonjour,
J'ouvre un sujet pour ne pas polluer un sujet existant :

Ugatza a écrit:
Nemrod a écrit:
Allons plutôt dire cela aux gitans, le hérisson est leur plan préféré et de fête (jamais vu un chasseur en manger Rolling Eyes )

Et après on peut continuer à chasser l'Ortolan ou la Tourterelle des bois au printemps...
La tradition n'est pas un argument recevable.
Seul compte l'état de conservation de l'espèce et sa dynamique démographique!
La loi, c'est la loi!
Est ce que tu peux expliquer la présence de cette recette dans cet almanach?

Tout d'abord loin, mais très loin de moi, l'idée de cautionner le fait de manger du hérisson.
Je ne comprend absolument pourquoi cette recette se trouve dans cet almanach (que je n'ai pas lu d'ailleurs). Est-ce dans une rubrique ;"vieille recette de nos grand-mère" ou autre??

Ugatza a écrit:
A mon avis, elle exprime une certaine désinvolture...et une remise en question rampante de la loi de 1976...

Désinvolture; surement ; remise en question de la loi de protection du hérisson ; surement pas Sad

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Oui, mais c'est l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'article dans l'almanach du chasseur. J'aimerias bien voir la source Surprised

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Je ne sais pas Nemrod si tu t'associes a ce site ?

http://www.pyrenees-pireneus.com/pattes_ourson_pannees.htm#1

Dollo - Voir son site a écrit:
« L'Ours ou les pattes d'oursons sont de vielles recettes de cuisine traditionelle qui intéresseront peut être l'ethnologue ou le sociologue. J'ai pensé qu'il pouvait être intéressant de connaître ce qui se faisait autrefois sans pour autant juger ce passé que l'on cherche souvent à faire revivre. Il est évident qu'auhourd'hui, en France, tuer de l'ours pour le manger est strictement interdit. Toute fois, il est possible de se procurer de l'ours dans d'autres pays européens ou au Canada. »

« Ces précisions me semblent nécessaire pour éviter aux esprits tordus de se poser des questions et de porter, une fois encore, atteinte à la liberté d'expression et de diffusion des idées différentes des leurs. Principe qui s'appelle le terrorisme intellectuel et particulièrement développé dans le milieu de la défense de l'environnement et de la protection des animaux. »



Donc il faut lire les extraits des diverses conventions ci-dessous ont été signées par la France et inclues dans le code de l’environnement paru au journal officiel de la REPUBLIQUE.

Et je ne pense pas que ce soit les associations de protection de la nature qui pratiquent le « Terrorisme » mais plutôt ceux qui incitent à désobéir aux lois éditées par la REPUBLIQUE.

Convention de Berne relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe, protection, faune, sauvage, flore, sauvage, habitat, naturel, espèce, migratrice, extinction, comite, permanent, convention, berne
Berne, 19 septembre 1979 - Entrée en vigueur : 1er juin 1982.

Article 6
Chaque Partie contractante prend les mesures législatives et réglementaires appropriées et nécessaires pour assurer la conservation particulière des espèces de faune sauvage énumérées dans l'annexe II.
Seront notamment interdits, pour ces espèces : toutes formes de capture intentionnelle, de détention et de mise à mort intentionnelle ; la détérioration ou la destruction intentionnelles des sites de reproduction ou des aires de repos ; la perturbation intentionnelle de la faune sauvage, notamment durant la période de reproduction, de dépendance et d'hibernation, pour autant que la perturbation ait un effet significatif eu égard aux objectifs de la présente Convention ; la destruction ou le ramassage intentionnels des œufs dans la nature ou leur détention, même vides ; la détention et le commerce interne de ces animaux, vivants ou morts, y compris des animaux naturalisés, et de toute partie ou de tout produit, facilement identifiables, obtenus à partir de l'animal, lorsque cette mesure contribue à l'efficacité des dispositions du présent article.


CODE DE L'ENVIRONNEMENT
(Partie Législative)
Section 1 : Préservation du patrimoine biologique
Article L411-1
I. - Lorsqu'un intérêt scientifique particulier ou que les nécessités de la préservation du patrimoine biologique justifient la conservation d'espèces animales non domestiques ou végétales non cultivées, sont interdits :

1º La destruction ou l'enlèvement des oeufs ou des nids, la mutilation, la destruction, la capture ou l'enlèvement, la perturbation intentionnelle, la naturalisation d'animaux de ces espèces ou, qu'ils soient vivants ou morts, leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur détention, leur mise en vente, leur vente ou leur achat ;

2º La destruction, la coupe, la mutilation, l'arrachage, la cueillette ou l'enlèvement de végétaux de ces espèces, de leurs fructifications ou de toute autre forme prise par ces espèces au cours de leur cycle biologique, leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur mise en vente, leur vente ou leur achat, la détention de spécimens prélevés dans le milieu naturel ;

3º La destruction, l'altération ou la dégradation du milieu particulier à ces espèces animales ou végétales ;

4º La destruction des sites contenant des fossiles permettant d'étudier l'histoire du monde vivant ainsi que les premières activités humaines et la destruction ou l'enlèvement des fossiles présents sur ces sites.

II. - Les interdictions de détention édictées en application du 1º ou du 2º du I ne portent pas sur les spécimens détenus régulièrement lors de l'entrée en vigueur de l'interdiction relative à l'espèce à laquelle ils appartiennent

Loi du 21 avril 1989 portant approbation des Amendements de Bonn du 22 juin 1979 et de Gaborone du 30 avril 1983 à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, signée à Washington, le 3 mars 1973, complétant la loi du 19 février 1975 portant approbation de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, signée à Washington, le 3 mars 1973.

Art. Ier. Définitions
Aux fins de la présente Convention et, sauf si le contexte exige qu'il en soit autrement, les expressions suivantes
signifient:
a) «Espèce»: toute espèce, sous-espèce, ou une de leurs populations géographiquement isolée;
b) «Spécimen»:
- tout animal ou toute plante, vivants ou morts;
- dans le cas d'un animal: pour les espèces inscrites aux Annexes I et II, toute partie ou tout produit obtenu à partir de l'animal, facilement identifiables, et, pour les espèces inscrites à l'Annexe III, toute partie ou tout produit obtenu à partir de l'animal, facilement identifiables, lorsqu'ils sont mentionnés à ladite Annexe;
- dans le cas d'une plante: pour les espèces inscrites à l'Annexe I, toute partie ou tout produit obtenu à partir de la plante, facilement identifiables, et, pour les espèces inscrites aux Annexes II et III, toute partie ou tout produit obtenu à partir de la plante, facilement identifiables, lorsqu'ils sont mentionnés aux dites Annexes;
c) «Commerce»: l'exportation, la réexportation, l'importation et l'introduction en provenance de la mer;
d) «Réexportation»: l'exportation de tout spécimen précédemment importé;
e) «Introduction en provenance de la mer»: le transport, dans un Etat, de spécimens d'espèces qui ont été pris dans
l'environnement marin n'étant pas sous la juridiction d'un Etat;
f) «Autorité scientifique»: une autorité scientifique nationale désignée conformément à l'article IX;
g) «Organe de gestion»: une autorité administrative nationale désignée conformément à l'article IX;
h) «Partie»: un Etat à l'égard duquel la présente Convention est entrée en vigueur.

Art. V. Réglementation du commerce des spécimens inscrites à l'Annexe III
1. Tout commerce de spécimens d'une espèce inscrite à l'Annexe III doit être conforme aux dispositions du présent article.
2. L'exportation d'un spécimen d'une espèce inscrite à l'Annexe III par tout Etat qui a inscrit ladite espèce à l'Annexe III nécessite la délivrance et la présentation préalables d'un permis d'exportation qui doit satisfaire aux conditions suivantes:
a) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que le spécimen n'a pas été obtenu en contravention aux lois
sur la préservation de la faune et de la flore en vigueur dans cet Etat;
b) un organe de gestion de l'Etat d'exportation a la preuve que tout spécimen vivant sera mis en état et transporté de façon à éviter les risques de blessures, de maladie, ou de traitement rigoureux.
3. Sauf dans les cas prévus au paragraphe 4 du présent article, l'importation de tout spécimen d'une espèce inscrite à l'annexe III nécessite la présentation préalable d'un certificat d'origine et, dans le cas d'une importation en provenance d'un Etat qui a inscrit ladite espèce à l'Annexe III, d'un permis d'exportation

Art. 12. Sous réserve d'autres dispositions plus sévères, les infractions à la présente loi, aux règlements communautaires et nationaux d'application ainsi qu'aux mesures prises en vertu desdites dispositions légales et réglementaires sont punies d'un mprisonnement de huit jours à six mois et d'une amende de «251 à 25.000 euros»1, ou d'une de ces peines seulement.
Les dispositions du livre 1er du code pénal ainsi que «des articles 130-1 à 132-1 du code d’instruction criminelle»2 sont applicables aux infractions prévues par la présente loi.

Art. 63. Les associations d'importance nationale dont les statuts ont été publiés au Mémorial et qui exercent depuis au moins trois ans leurs activités statutaires dans le domaine de la protection de la nature et de l'environnement peuvent faire l'objet d'un agrément du Ministre.
Les associations ainsi agréées peuvent être appelées à participer à l'action des organismes publics ayant pour objet la protection de la nature et des ressources naturelles
.

10b PROTECTION DE LA NATURE – 1. Dispositions générales
CODE DE L’ENVIRONNEMENT – 2004 - B – Vol. 3
1 Ajouté par la loi du 28 mai 2004.

En outre, ces associations peuvent exercer les droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne les faits constituant une infraction au sens de la présente loi et portant un préjudice direct ou indirect aux intérêts collectifs qu'elles ont pour objet de défendre, même si elles ne justifient pas d'un intérêt matériel et même si l'intérêt collectif dans lequel ils agissent se couvre entièrement avec l'intérêt social dont la défense est assurée par le ministère public.
Chapitre 13. Dispositions pénales
Art. 64. Sous réserve d'autres dispositions plus sévères, les infractions aux prescriptions de la présente loi et à ses règlements d'exécution ainsi qu'aux mesures prises en vertu desdites dispositions légales et réglementaires sont punies d'un emprisonnement de huit jours à six mois et d'une amende de 251 à 750.000 euros, ou d'une de ces peines seulement.


Avec l’article 63 on s’aperçoit que ce que dit Dollo dans ses élucubrations sur son site et complètement faux, les associations écologistes ont, sous certaines conditions définies par la loi, toute latitude pour dénoncer les manquements, souvent perpétrés, au code de l’environnement.

Dollo a écrit:
tuer de l'ours pour le manger est strictement interdit


La question est de savoir si ce monsieur pense que c'est seulement de tuer un ours, ou tout autre animal protégé par le code de l'environnement, pour le manger qui est un délit ?

Ils y en a qui pourront ainsi transmettre ces informations à Dollo...

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Merci, par ces textes, de nous montrer que la capture d'ours en Slovénie pour les importer dans les Pyrénées est strictement interdit.
Mais j'imagine qu'il y a des dérogations comme pour tuer des loups perturbant les activités humaines, tuer l'ours Bruno qui menaçait les activités humaines ou recapturer Sarousse qui représentait une menace potentielle à proximité de zone urbaine de plaine (il parait que les zones urbaines de montagne peuvent être menacées, c'est normal).

Il est évident que si on ne peut pas tuer d'ours, on ne peut pas en manger. Il me semble que ça coule de source. Mais manifestement ce n'est pas clair pour tout le monde.
Pour ce qui est des hérissons j'ai toujours vu les gens du voyage en manger. Question de culture.... Je ne juge pas.

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Louis a écrit:
.

Il est évident que si on ne peut pas tuer d'ours, on ne peut pas en manger. Il me semble que ça coule de source. Mais manifestement ce n'est pas clair pour tout le monde.
Pour ce qui est des hérissons j'ai toujours vu les gens du voyage en manger. Question de culture.... Je ne juge pas.


Non, ma question n'est pas celle là, je te demande de t'exprimer clairement, ce que tu refuses toujours de faire d'ailleurs...les réponses nettes et toi... Shocked

Je te demande si comme tu l'affirmes le délit c'est :

Dollo a écrit:
tuer de l'ours pour le manger est strictement interdit


Et que si l'on tue l'ours pour autre chose, par exemple s'il a détruit 3 rûches , ou croqué 2 brebis ce n'est pas un délit, d'après toi ?

Allez vas-y ai le courage de tes opinions !!!! Courage Louis Basketball

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Merci Michel pour ces infos, mais tu as passé la journée pour tout recopier Question

Michel a écrit:
Dollo - Voir son site a écrit:
.../...« Ces précisions me semblent nécessaire pour éviter aux esprits tordus.../...

Voici un des plus beaux exemples de mauvaise foie qui m'ait été donné de rencontrer, à moins que ce ne soit de l'inconscience de la part de ce monsieur.
Michel a écrit:
Dollo - Voir son site a écrit:
.../...de se poser des questions et de porter, une fois encore, atteinte à la liberté d'expression et de diffusion des idées différentes des leurs. Principe qui s'appelle le terrorisme intellectuel et particulièrement développé dans le milieu de la défense de l'environnement et de la protection des animaux. »

Vous ne trouvez pas ça un peu fort ? Apparemment ce Dollo n'a pas peur des mots "terrorisme intellectuel" je ne sais si je dois rire ou pleurer, toujours est-il que nous trouvons deux mots employés par ce type, en ce qui concerne le premier je suis certain qu'il sait de quoi il parle, quant au second... je doute fort qu'il en connaisse la signification.
Louis a écrit:
Mais j'imagine qu'il y a des dérogations comme pour tuer des loups perturbant les activités humaines, tuer l'ours Bruno qui menaçait les activités humaines ou recapturer Sarousse qui représentait une menace potentielle à proximité de zone urbaine de plaine (il parait que les zones urbaines de montagne peuvent être menacées, c'est normal).

Tuer l'ours ou le loup même avec des dérogations est purement scandaleux, car justement ces dérogations sont fondées sur des raisons qui sont purement futiles, nous savons tous que la véritable raison, lorsqu'elle n'est pas politique, est juste pour calmer les esprits de quelques éleveurs abrutis par leur haine systématique des prédateurs quels qu'ils soient.
Tu parles de menace potentielle, mais ce n'est là que procès d'intention et tu le reconnais puisque tu emploies toi-même le mot "potentielle" donc par ce fait tu ne peux que me donner raison sur que je viens de dire ci-dessus.

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Tu fais bien de reformuler tes questions peu claires. Maintenat c'est mieux...

Citation :
Je te demande si comme tu l'affirmes le délit c'est :

Citation :
Dollo a écrit:
tuer de l'ours pour le manger est strictement interdit



Et que si l'on tue l'ours pour autre chose, par exemple s'il a détruit 3 rûches , ou croqué 2 brebis ce n'est pas un délit, d'après toi ?

Allez vas-y ai le courage de tes opinions !!!! Courage Louis

Le principe : le droit français est basé sur la déclaration des droits de l'homme annexée à la constitution qui stipule que tout ce qui n'est pas interfdit par la loi est autorisé.
A ma connaissance, rien n'interdit en droit français de manger de l'ours.
Par contre il est interdit d'en tuer.
Donc manger de l'ours n'est pas un délit et le tuer est un délit.
Toutefois, manger de l'ours tué illégalement devient du recel et donc pénalement condamnable au même titre que de le tuer.

Mais si tu manges de l'ours acheté légalement comme ici en Finlande sur le net http://www.2travelandeat.com/finlande/viande.d.ours.html ou aller en manger en Russie http://www.pyrenees-pireneus.com/Ours_des_Pyrenees.htm#52
Je crois qu'il est aussi possible d'en chasser et en manger en Slovénie, Croatie, Roumanie...
Il existe également des recettes au Canada et Alaska où il est possible d'en chasser dans certaines conditions et à certaines époques de préférence en fin d'été lorsqu'ils ont manger beaucoup de baies et pas trop de poissons... pour le goût de la viande.

A cette question :
Citation :
Et que si l'on tue l'ours pour autre chose, par exemple s'il a détruit 3 rûches , ou croqué 2 brebis ce n'est pas un délit, d'après toi ?

Bien sûr que dans ce cas c'est un délit sauf à prouver ou démontrer que l'on est en légitime défense. Je parle de l'ours pas du loup qui est un sujet que je connais moins bien.

Ai-je été assez clair ?

Canis écrit :
Citation :
...est juste pour calmer les esprits de quelques éleveurs abrutis par leur haine systématique des prédateurs quels qu'ils soient.

Le terme d'abrutis pour qualifier les éleveurs est tellement intéressant que la phrase pourrait être renvoyée à l'inverse à celui qui l'écrit. Nous pourrions avoir ainsi :
Citation :
Introduire ou laisser divaguer quelques grands prédateurs est juste pour calmer les esprits de quelques écologistes abrutis par leur haine systématique des éleveurs quels qu'ils soient.

pour éviter ce type d'amalgame et de dérapage il faut peut-être faire attention au propos... enfin c'est une idée... comme ça Very Happy

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Je vous rappelle l'intitulé de ce sujet.

Si Monsieur Dollo souhaite lancer une discussion sur le caractère légal de la capture d'ours en Slovènie pour être relâchés en France, il est prié de le faire ailleurs que dans ce sujet.

Il y a ici un forum consacré à l'Ours...

D'autre part, l'objet de cette discussion n'est ni la cuisine, ni l'ethnologie, ni l'histoire, mais la présence d'une recette de cuisine concernant le hérisson (sans précision d'origine) dans un almanach de chasseurs.

Merci de revenir au sujet.

Ugatza (modération)

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Je maintiens le terme abrutis. Mais il y a plusieurs nuances dans ce que j'ai dit, nuances qu'apparemment tu n'as pas saisies. J'ai dit "quelques éleveurs" ce qui sous entend que je ne les mets pas tous dans le même panier, ensuite j'ai dit "par leur haine" ce qui revient à dire que je pourrais concevoir que sans cette haine ils pourraient ne pas être abrutis, mais nous savons que la haine rend con. Ensuite j'admets que chez les écolos il y a aussi des abrutis comme partout. Maintenant question abruti… qui se sent morveux se mouche. Apparemment l'amalgame c'est toi qui le fais, peut-être à cause du fait que tu n'avais pas compris ces nuances, mais je suis persuadé que maintenant les choses sont claires, ce n'est pas une idée non non , c'est une certitude.
Ceci est en réponse à Louis, j'espère qu'elle clôt le H.S. si toutefois il veut continuer la discussion il peut créer un sujet là-dessus.

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Michel a écrit:
Je ne sais pas Nemrod si tu t'associes a ce site ?

http://www.pyrenees-pireneus.com/pattes_ourson_pannees.htm#1

Dollo - Voir son site a écrit:
« L'Ours ou les pattes d'oursons sont de vielles recettes de cuisine traditionelle qui intéresseront peut être l'ethnologue ou le sociologue. J'ai pensé qu'il pouvait être intéressant de connaître ce qui se faisait autrefois sans pour autant juger ce passé que l'on cherche souvent à faire revivre. Il est évident qu'auhourd'hui, en France, tuer de l'ours pour le manger est strictement interdit. Toute fois, il est possible de se procurer de l'ours dans d'autres pays européens ou au Canada. »


Et bien je me lance (je ne sais plus c'est ici ou sur le lien "ours" qu'il faut que je poste, mais comme cela parle de recette, je reste ici),
Je ne vois rien de répréhensible sur le fait que cette recette soit indiquée; les mentions en gras me paraissent indiquer de façon inambigüe que cette recette fait parti de l'histoire. Je ne suis pas un stakanovitz de la liberté d'expression, mais je suis pour la transmission au moins orale ou écrites de notre histoire.

C'est d'ailleurs pour cela que je voulais avoir l'article original de la recette du hérisson pour pouvoir juger si il était bien clairement indiqué que c'est une vieille recette et que le hérissson est bien une espèce protégée.

Si toutes ces précautions sont bien prises, comme ont peu le lire sur la recette des pattes d'ourson, je ne suis pas choqué. On voit bien dans les livres d'histoire la recette des chrétiens sauce lion, des embastillés sauce estrapade, ou autre. C'est de l'histoire et le rapporter n'est pas en faire l'apologie.

Michel a écrit:
Dollo - Voir son site a écrit:
« Ces précisions me semblent nécessaire pour éviter aux esprits tordus de se poser des questions et de porter, une fois encore, atteinte à la liberté d'expression et de diffusion des idées différentes des leurs. Principe qui s'appelle le terrorisme intellectuel et particulièrement développé dans le milieu de la défense de l'environnement et de la protection des animaux. »

Je n'irai pas jusque là, mais quelquefois, ils voient le mal partout ces écolos Rolling EyesWink

Nb : cela dit dans un contexte actuel, plutôt tendu, je comprend que cela puisse choquer; mais plein d'autre choses choque (caricatures de M, dessin de chasseur représentant un "trou duc" etc...) ; faut-il les interdire pour autant? Rolling Eyes

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