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Reptile-city62

Faits divers concernant les ophidiens

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Traduction Google de l'article

Malaisie : un jeune villageois tué et avalé par un serpent !


Horreur! Ce mode de réalisation des cauchemars les plus fous. Serpent géant, pour laquelle une personne n'est Prey - rusé, fort et invisible

Ces images horribles ont été faites en Malaisie et imprimé dans un magazine local. Apparemment, un adolescent local a passé la nuit dans la jungle, où il a été attaqué et python réticulé. Dead man intérieur d'un serpent ou a été tué avant d'avoir avalé un python - n'est pas claire.

La première mention du fait que les pythons réticulés manger les gens, a paru dans la presse en 1960. Python adultes de grande taille ne pouvais pas avaler, mais l'enfant - facilement. Mais c'est un python dans un géant.

Python Net, habite les forêts tropicales d'Asie, est le plus long serpent du monde. Les plus gros spécimens mai atteindre une longueur de plus de 10 m.

Ces pythons sont alimentés principalement des animaux: singes, de petits ongulés, rongeurs, oiseaux et reptiles. Fréquemment attaquées et des animaux de compagnie. La proie habituelle mai être les jeunes porcs et les chèvres. Un cas lorsque le python réticulé Bornéo avalé une longueur de 6,95 m ours malais féminins pesant 23 kg.



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Australie : Un chien muselé par un serpent


Un labrador australien s’est retrouvé dans une bien mauvaise posture la semaine dernière. Alors qu’il se promenait dans le jardin de ses maîtres à Melbourne, un serpent est venu lui entourer le museau.


Non, ce n'est pas la nouvelle laisse de Bronson.... - Photo: dr



En arrivant tranquillement à la maison, Bronson, un labrador noir, a choqué ses maîtres la semaine dernière. Et pour cause, un serpent lui entourait le museau.

«On a d’abord cru qu’il s’agissait d’un serpent venimeux», a raconté au Herald Sun Deborah Allen, la propriétaire de l’animal. «Bronson est très obéissant. Il n’ouvre pas sa gueule tant qu’on ne le lui a pas ordonné. Mais il avait l’air si triste. C’est comme si son visage disait: ‘Dépêchez-vous de prendre cette chose’».

Une fois que ses maîtres ont réussi à capturer le reptile et l’enfermer dans un sac de toile, Bronson a été transporté d’urgence dans un centre vétérinaire. Le chien s’étant fait mordre par le serpent, il a dû passer quatre jours en convalescence. Mais heureusement il est déjà rentré à la maison.

Source

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C'est qu'il ne pouvait pas ouvrir la gueule du à la constriction, ou parce qu'il ne l'a pas fait ?

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AlexisB a écrit:
C'est qu'il ne pouvait pas ouvrir la gueule du à la constriction, ou parce qu'il ne l'a pas fait ?

Alors là ! Je ne pourrais pas te répondre scratch

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Deux serpents sèment la panique à la Rivière Saint Louis


Ce matin, un père de famille a découvert avec stupéfaction un serpent rayé rouge et noir de plus d’un mètre de long dans son jardin. Pris de panique, il a immédiatement mis en sécurité son marmaille avant d’appeler les pompiers.

Habitant rue Evariste de Parny à la Rivière Saint Louis, un père de famille est tombé nez à nez avec un serpent relativement impressionnant dans son jardin. Surpris, il a immédiatement alerté son épouse et mis son enfant à l’abri dans la maison avant d’appeler les secours.

"Le serpent mesurait au moins 1,50m et il faisait environ 10 centimètres de diamètre" a expliqué le Saint Louisien aux sapeurs pompiers.

Avec l’aide de ses voisins, ce père de famille a utilisé un jet d’eau pour faire fuir le reptile. Malgré la peur, ils sont parvenus à empêcher le serpent d’entrer dans le domicile. Une fois sur place, les pompiers ont tout fait pour retrouver l’animal mais en vain.

Le serpent se serait dirigé vers un terrain vague situé à proximité de la rue Evariste de Parny mais le propriétaire du terrain en question a refusé que les pompiers entament des recherches sur son terrain.

Le serpent en question n’a pas été retrouvé et selon plusieurs témoignages, il y aurait un deuxième reptile en liberté.

Les habitants du quartier ne cachent pas leurs inquiétudes car cette aventure a connu plusieurs antécédents.

Il y a quelques années un singe s’était échappé, un habitant est également tombé nez à nez avec un iguane dans son jardin récemment et une gramoune a littéralement marché sur un serpent alors qu’elle sortait de son lit.

Un habitant du quartier possède plusieurs reptiles et autres animaux exotiques, les gendarmes ont donc déposé un courrier à son attention afin que cet homme puisse répondre à leurs questions.

A noter : les sapeurs-pompiers auraient affirmé à ceux qui ont découvert le reptile rouge et noir que l’espèce n’était pas dangereuse selon leur description.


Source : www.linfo.re

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Spectaculaire : un homme mordu par un serpent venimeux


Il est 18h, la nuit doucement enveloppe le petit village de Kébou. Aboudou marche sur l'étroite piste qui mène de son champ vers sa maison. Une forme allongée surgit des herbes et traverse le chemin. Aboudou ne peut l'éviter et son pied se pose sur l'animal qui aussitôt se retourne et le mord à la cheville.

L'animal qui vient d'attaquer ce paisible paysan est une bitis arietans, également appelée vipère heurtante. Très commune en Afrique de l'ouest, c'est une petite vipère qui ne dépasse pas 1 mètre de long. Les serpents sont de très anciens habitants de la Terre et on retrouve leurs traces il y a 75 millions d'années.

La morsure est très douloureuse et Aboudou sait que l'animal qui vient de l'attaquer lui a inoculé une grande quantité de venin. Paniqué, il se hâte vers le village. Le venin qui se répand dans son organisme est hémorragipare et nécrosant. Les serpents inoculent le venin grâce à des dents modifiées qui permettent une injection sous pression. Selon l'espèce, le venin sera neurotoxique ou hémorragique.

A Kébou, il n'y a pas de dispensaire et encore moins de sérum anti-venin. La famille étant pauvre, Aboudou sera soigné par le tradithérapeute. En cas de morsure, la létalité est située entre 1% et 30% en l'absence de traitement car l'injection du venin n'est pas obligatoirement une suite de la morsure. Les décès interviennent dans un délai de 12h à 6 jours pour une morsure de vipéridae et entre 3h et 8h pour une morsure d'elapidae (cobra, mamba..). Il est important de ne jamais faire de garrot, de ne jamais sucer la plaie ni de l'inciser soi-même.

Un traitement traditionnel est administré à Aboudou. Il est essentiellement à base de plantes. En Afrique, 80% des victimes ont recours en première intention à ce type de soins. Si l'efficacité reste encore à démontrer, il n'est pas moins vrai que certaines plantes ont des effets antitoxiques, antalgiques, hémostatiques et antiseptiques. Malheureusement pour Aboudou, l'injection de venin a été massive et profonde.Il y a d'abord eu l'inflammation locale et la terrible douleur qui ne le lâche pas, puis les vomissements, une douleur abdominale et la diarrhée. Des cloques sont apparues, importantes et remplies de sérosités sanglantes, les gencives saignent ainsi que les pourtours de la plaie. Il est en hypotension, c'est à dire en état de choc. Au bout de quelques heures une nécrose humide, suintante est bien visible qui sera suivie rapidement par un début de gangrène.La fièvre fait trembler tout son corps.



Finalement, Aboudou sera transporté à l'hôpital où il faudra amputer en urgence sa jambe. Il survivra à sa terrible rencontre et passera de longues semaines en soins intensifs. Dans son malheur, Aboudou a eu de la chance. En Afrique, les serpents venimeux, véritable problème de santé publique, sont à l'origine d'un million de morsures chaque année, provoquant 600

000 envenimations qui donnent lieu à 250 000 traitements médicaux et à 20 000 décès. Mais il faut savoir que ces chiffres sont certainement très en-dessous de la réalité car aucunes mesures précises ne sont disponibles. Les attaques ne sont pas localisées uniquement en brousse, elles surviennent aussi en ville mais sont 10 fois moins nombreuses.

Histoires de pays en voie de développement me direz-vous ? En France la possession de serpents venimeux est très réglementée. Outre le fait que de plus en plus d'amateurs en possèdent et que les morsures se sont multipliées, certains cas résultent tout simplement de l'importation de produits exotiques ( bois, plantes, fruits etc...) Rappelez-vous, cet été le témoignage d'un particulier persuadé d'avoir croisé un cobra royal dans les rues d'une ville de France a defrayé la chronique. Nos hôpitaux permettent une prise en charge rapide et efficace. La banque des venins d'Angers possède les antidotes pour au moins 40 espèces différentes. Malgré tout, avec l'hybridation des espèces, il devient difficile de soigner certains patients. On peut également penser que le réchauffement du climat va bénéficier à la reproduction des serpents européens et notamment aux nombreuses vipères du sud de l'Europe. Il est alors à craindre que dans quelques décennies, les problèmes d'envenimation soient de plus en plus fréquent dans la vieille Europe.

Si vous êtes amateur de serpents venimeux, soyez très prudents à la fois pour vous et pour votre entourage.

Source : E.F/www.lepost.fr

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" Il est alors à craindre que dans quelques décennies, les problèmes d'envenimation soient de plus en plus fréquent dans la vieille Europe. "

Pffff dans quelques années il n'y aura de moins en moins d'espace sauvage où ils pourront vivre ...

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Un serpent chez un bébé de 10 mois


Un camarade de jeux inhabituel a fait irruption dans l’appartement où se trouvait un bébé de dix mois mardi soir à Uzwil (SG). Sa famille se trouvait là lorsqu’un serpent a surgi des coussins et s’est approché de l’enfant, a précisé mercredi la police cantonale saint-galloise.

Alertée, la police est venue avec un chien spécialisé dans la traque aux reptiles. Le chien l’a débusqué et un policier l’a placé dans une fourre de coussin. Une erpétologue a examiné le serpent de 80 centimètres de longueur et a conclu qu’il s’agissait d’un serpent de lait qui n’est pas venimeux. Les habitants de la maison ont déclaré qu’ils n’étaient pas les propriétaires de l’animal.

Source

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Un serpent des blés endormi au sous-sol



Drôle de surprise pour cet habitant de Meusnes (41) : samedi matin, alors qu'il vaquait dans le sous-sol de sa maison, il est tombé sur un serpent endormi qui ne ressemblait ni à la vipère ni à la couleuvre à collier, reptiles plus familiers de nos régions. Il a préféré appeler les pompiers pour qu'ils viennent le capturer.
Le reptile, sans doute saisi par le froid, a été capturé sans difficulté et placé dans un carton, puis ramené à la caserne. La douce chaleur des locaux des pompiers l'a progressivement réveillé. Le serpent exotique a pu être identifié : d'une longueur d'environ 50 cm, il s'agissait d'un élaphe-gutatta, une couleuvre également connue sous le nom de serpent des blés (cornsnake). Ce reptile non venimeux se trouve communément dans l'est des États-Unis et se nourrit de rongeurs et d'oiseaux. Réputé docile, il a été adopté par beaucoup d'amateurs qui se procurent ces couleuvres dans des animaleries ou sur Internet. Une fois adulte, l'élaphe-gutatta peut atteindre 1,30 m en moyenne.
Celui capturé samedi s'est vraisemblablement échappé de chez un particulier des environs avant de se réfugier dans cette maison pour passer l'hiver.
Après avoir informé l'ex-direction des services vétérinaires, les pompiers ont confié le serpent des blés au zooparc de Beauval.
Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=41&num=1546686

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Il élevait des serpents pour exploiter leur venin


LESFAITS : Cet amateur n'avait pas les autorisations pour posséder les dangereuses bestioles

Des crotales, des najas, des boas arc-en-ciel... Autant de noms de serpents qui font frémir les ophidiophobes (ceux qui ont la phobie de ces bestioles donc), et que ce Montpelliérain collectionnait dans son appartement de la rue Aristide-Ollivier, à deux pas de la gare. Le problème, c'est que l'élevage de ces ovipares, surtout certaines catégories venimeuses, est strictement réglementé et que le mis en cause était loin d'avoir toutes les autorisations.
L'enquête menée par les gendarmes de la brigade de Saint-Georges-d'Orques, épaulés par l'ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage) et l'Oclaeps (Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique), a démarré à la ferme aux reptiles de la Bastide-de-Serou, dans l'Ariège. Les registres ont

laissé apparaître qu'une trentaine de serpents avaient été prêtés par le Montpelliérain, qui n'avait pas les certificats de capacité pour détenir ces espèces.
La semaine dernière, les militaires ont effectué une perquisition à son domicile et ils ont mis la main sur d'autres serpents, dans des terrariums, notamment deux boas arc-en-ciel... Lors de son interrogatoire, le mis en cause a expliqué qu'il s'était procuré toutes ces bêtes sur des marchés aux Pays-Bas et essentiellement en Allemagne. En fait, sur des forums internet, il se vantait de gérer un centre de production de sérums antivenimeux. L'enquête a montré qu'il avait l'intention de monter une petite exploitation de venin dans l'Ariège, d'où il est originaire, sachant que le gramme de cette substance, prisée par les laboratoires pharmaceutiques, peut atteindre 2 000 €. Mais en proie à des difficultés financières, ces derniers mois, et sachant que l'entretien des serpents a un coût (notamment en électricité, parce que la température doit rester à 27°), il avait préféré cédé temporairement ses animaux fétiches à la ferme aux reptiles de sa région d'origine.
« Un serpent, ce n'est pas un chien. Il faut avoir des autorisations spécifiques et savoir s'en occuper », rappelle l'enquêteur spécialisé de la gendarmerie. Le passionné, lui, sera poursuivi pour ces diverses infractions devant le tribunal correctionnel.

Source : Yanick PHILIPPONNAT/midilibre.com

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7 serpents volés en Seine-et-Marne



Des malfaiteurs ont volé dans la nuit de dimanche à lundi cinq pythons et deux boas, dans une boutique spécialisée de Nangis (Seine-et-Marne), pour un préjudice de 2.000 euros, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la gendarmerie.

Les malfaiteurs ont pénétré par effraction dans un magasin d'animaux exotiques dans la nuit de dimanche à lundi et y ont volé deux boas, dont un de 10 kilos et de 2 mètres de long, ainsi qu'un python australien, trois pythons royaux et un python tapis, a-t-on précisé de même source. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Nangis.

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Un reptile impressionnant découvert dans les bois


Étrange découverte dans les bois de Pouan-les-Vallées (Aube). Un serpent de cinq mètres de long dont on ignore encore l'espèce.



Anaconda ou python molure ? Seule certitude, le serpent a été découvert mort par des chasseurs lors d'une battue au renard. Lundi, alors qu'ils progressent au milieu des bois à Pouan-les-Vallées, les hommes repèrent l'animal aux mensurations impressionnantes : cinq mètres de long pour 80 kg. Dans un premier temps, les gendarmes attachés à la gendarmerie d'Arcis procèdent aux constatations. Puis ce sont les agents techniques de l'office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) qui mettent leurs compétences à disposition des enquêteurs. « Nous devrions établir avec certitude l'espèce du serpent dans les jours à venir. Mais il est d'ores et déjà évident que ce type d'animal n'évolue pas dans cet environnement naturellement. Comme d'autres, il a besoin d'une température de 22°C de manière constante pour survivre. »

Énorme vivarium

Aucun risque de tomber sur un anaconda glissant dans les feuillages en toute liberté. « Il faut disposer d'un énorme vivarium pour les maintenir en vie » précise un gendarme. « L'animal a été déposé mort à une date qu'il nous est difficile d'établir. Nous pourrions remonter jusqu'au début du mois de janvier. »

Les enquêteurs tentent d'établir si l'animal était propriété d'un particulier ou de professionnels. « D'après les premiers éléments dont nous disposons, le serpent n'était pas pucé. C'est pourtant obligatoire pour ce qui concerne ces espèces protégées. » Des investigations complexes pour remonter jusqu'à ceux qui ont abandonné là l'animal.
« Tous les témoignages susceptibles de nous renseigner sur des propriétaires de ce type de serpent nous intéressent. » Dans les heures à venir, l'animal sera détruit, « afin d'enrayer les risques sanitaires ».
Source:http://www.lest-eclair.fr/index.php/cms/13/article/429697/Un_reptile_impressionnant_decouvert_dans_les_bois

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Pouah ! C'est une sacrée bête !

Pourquoi, pensent ils que le reptile a été déposé là mort ?
Ne peut il pas s'être échappé ?

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Mon voisin est pompier, il ma expliquer que dans le 66 il y avais tout les jours des histoires comme ça l'été... python, boa, vipere, couleuvre...

il ma dit que s'il tombe sur un BCI, il m'apel Smile

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mt_man_66 a écrit:
Mon voisin est pompier, il ma expliquer que dans le 66 il y avais tout les jours des histoires comme ça l'été... python, boa, vipere, couleuvre...

il ma dit que s'il tombe sur un BCI, il m'apel Smile


C'est pas tout à fait le même problème entre d'un côté, des serpents potentiellement dangereux mais sur leur territoire, et de l'autre, des serpents (pythons, boas) qui n'ont strictement rien à foutre dans la nature...

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Un serpent dans les chaussures


Il y a quelques jours, un serpent s'est évadé de chez son propriétaire. Celui-ci, qui en possédait d'autres, a déménagé, emmenant ses animaux. Et ce sont ses voisins qui sont tombés sur le reptile fugueur, qui avait élu domicile chez eux. Une jeune voisine, âgée d'une vingtaine d'années, a cru défaillir en découvrant l'animal, lové près de ses chaussures. Les pompiers de La Fère sont aussitôt intervenus pour le capturer. Il s'agit d'un Alterna lamproperltis, une espèce non venimeuse, mais ressemblant à s'y méprendre au corail dont la morsure est mortelle. Il a été confié aux services compétents de l'environnement.

Source :aisnenouvelle.fr

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À Terre-Rouge - Un serpent sème la panique


Est-ce un serpent ou une couleuvre ? Un habitant de Terre-Rouge dit avoir vu et filmé un reptile de plus de 2 mètres, qu’il croit être un serpent, dans sa cuisine le lundi 1er mars. Il dit l’avoir repoussé à l’aide d’un bâton. Le reptile a disparu sous les escaliers de la maison. L’homme, son épouse et leurs deux enfants n’ont pas voulu prendre de risque. Ils ont préféré passer la nuit chez des proches.

Il était aux alentours de 16h30 quand les deux filles du couple, qui étaient en train de jouer dans la maison, tombent nez-à-nez avec le reptile qui s’était lové dans un coin de la cuisine. La taille du reptile leur fait peur et elles appellent leurs parents à l’aide. Le couple filme le reptile avec un téléphone portable avant de le chasser hors de la maison à l’aide d’un bâton. La reptile rampe sous un escalier qui se trouve dans la cour avant de disparaître dans une bouche d’égout.

Le couple, en compagnie des enfants, se rend chez des proches à Plaine-Verte. Pour les épater, on leur montre le film du gros reptile. Les proches parents, impressionnés par la taille du reptile, sont très alarmés. Pour eux, l’affaire est entendue: il s’agit ni plus ni moins que d’un serpent. Il est peut-être venimeux. Les habitants courent un grand risque. Il faut absolument donner l’alerte et faire la chasse au reptile.

Confortés dans la certitude qu’il y a un serpent dangereux en liberté, les proches raccompagnent le couple chez lui pour l’aider à retrouver le reptile. Pour faire les choses en grand, le couple consigne aussi une déposition au poste de police de la localité. C’est aussitôt le branle-bas de combat. Plusieurs policiers, des pompiers et les proches parents du couple descendent sur le lieu et passent la région au peigne fin. Mais le reptile semble s’être volatilisé. Les recherches se poursuivent en vain jusqu’à 3h30 du matin. Pour des raisons de sécurité, il est conseillé au couple de rester a l’écart de la maison pendant un certain temps. Mais depuis lundi, le serpent demeure introuvable.
Dans la localité, les habitants préfèrent être sur leurs gardes. Certains nous racontent qu’ils entendent dire que le serpent rôde dans les parages pendant la nuit et alors ils prennent soin de bien verrouiller portes et fenêtres pour dormir en toute quiétude.

D’autres, moins alarmistes, prennent toute l’histoire avec un grain de sel. Pour eux la région est infestée de nids de couleuvre. «Ena boucou coulev ici. Nou fine trouve pas mal coulev dans nou la case, dans la salle de bains, dans la cuisine ou même dans la chambre à coucher. Ena coulev pliss ki ene mètre. Nous ena fotos bane coulev-la tout», nous déclare un habitant.

Couleuvre ou serpent ? L’avis des spécialistes

« Il s’agit bien d’un serpent ». C’est ce que Ram Racheya, le Conservateur du Natural History Museum de l’île Maurice, nous confirme après avoir visionné la vidéo. Pour lui, vu la taille et aussi la forme de sa tête, il n’a aucun doute que c’est un serpent. Mais alors de quelle espèce s’agit-il ? Pour M. Racheya, il est difficile de se prononcer vu la qualité de l’image. Y-a-t-il donc des serpents à Maurice ? Pour lui, au 18ème siècle et au début de 19eme siècle, il y avait des serpents boas sur le sol mauricien. La taille maximale du boa adulte ne dépassait pas 1m80. Mais l’espèce a vite disparu après à cause des prédateurs tels que la mangouste, le lièvre marron et d’autres. Puis, avec le changement de notre eco-système avec l’extension des habitations, les serpents ont disparu. Du coup, on recense environ 16 reptiles dans les îles avoisinantes, telle que l’île Ronde, l’ île de La Passe, entre autres. Mais aujourd’hui sur le sol mauricien il n’y a plus de serpent. Celui aperçu à Terre-Rouge, selon M. Racheya, nous est peut-être venu par voie maritime dans un conteneur quelconque. C’est la raison pour laquelle il demande aux autorités de bien surveiller l’arrivée des cargos à Maurice.

D’après la vidéo, le serpent semble être inoffensif et effrayé. Ram Racheya demande aux habitants d’envoyer le serpent au Natural
History Museum aux fins d’analyse si jamais ils le capturent.

Le serpent hante notre île depuis la nuit des temps !

Fouillant aux archives de la Librairie Nationale, nous avons pu mettre la main sur un ouvrage datant de 1844 « Proceedings of the Royal Society of Arts & Science of Mauritius » dans lequel on peut lire que Sir Henry Barkly fait mention qu’un serpent ressemblant à la plus grande espèce de l’île Ronde(Bolyeria) avait été vu à Pointe-aux-Piments et figurait à ce moment-là dans les collections du musée sous le nom Herpetodryas. En 1946, un étudiant au Museum de Paris, découvrait de nombreux ossements d’un serpent en examinant le materiel sub-fossile récolté à la Mare aux Songes par M. Paul Carie.

L’avis d’un expert Le Dr Nik Cole est catégorique: «C’est une couleuvre!»
Le Dr Nik Cole, l’auteur du livre "A Field Guide to the Reptiles and Amphibians of Mauritius, est formel: c’est une couleuvre.
Le serpent qui a été filmé est une couleuvre adulte aussi connue comme l’Indian Wolf Snake ou le Common Wolf Snake. La couleuvre est l’une de cinq espèces qu’on trouve encore à Maurice. Quoiqu’en 2005, un jeune python de deux mètres été retrouvé à Point-aux-Sables. « Tout le monde pensait qu’il s’agissait d’une couleuvre », mais de son coté, la Wild Life Foundation tient à rassurer la population qu’il s’agit d’une couleuvre et non d’un serpent. C’est ce qu’avance Vikash Tatayah, le Conservation Manager de Mauritian Wildlife Foundation,. Cette couleuvre est plus connue sous le nom de Indian Wolf Snake, Lycodon aulicus dit-il après avoir visionné le film. Il s’agit d’une couleuvre non offensive qui peut atteindre jusqu’à 80 centimètres. « Tout est relatif sur la vidéo. Nous avons analysé la forme de sa tête et aussi le rayon jaune en forme de diamant etc. «Il s’agit d’une couleuvre ». nous dit encore M.Tatayah.
Ce dernier nous confirme qu’à Maurice il n’y a pas de serpent mais que les conditions climatiques sont idéales pour le serpent de vivre ici. « Nous sommes dans une île tropicale où il y a abondance de nourritures pour les serpents comme pour les insectes, les rats entre autres. Il faut avoir un contrôle rigoureux lors du débarquement de cargaisons dans le port Souvent des serpents se dissimulent dans des cargaisons », laisse entendre M. Tatayah.


Novembre 2001 : Un serpent d’un mètre cinquante tué Flic-en-Flac. Il serait arrivé dans un conteneur qui renfermait des caisses en bois dans lesquelles se trouvaient des appareils de cuisine.
Mars 2002 : Deux serpents aperçus dans la région de Sorèze créent l’émoi. Deux familles ont trouvé un serpent mesurant approximativement 1m50 qui se promenait dans les alentours. Parmi ces familles, une ressortissante anglaise confirme avoir vu le même type de serpent dans son pays. Elle avait alerté la police.
Octobre 2003 : Un serpent de mer au ventre jaune (Pelamis Platurus) retrouvé sur la plage de l’île Plate. L’animal est très venimeux. Ce reptile se trouve dans les eaux tropicales généralement à quelques kilomètres de la plage.
Juin 2004 : Un serpent d’environ 1 mètre 30 à 2 mètres sème la panique dans la rade de Port Louis. Ce sont les travailleurs du port qui ont fait la découverte du serpent en ouvrant la cale du navire Derwent. Le reptile a pu prendre la fuite et demeure introuvable jusqu’aujourd’hui.
Juillet 2004 : A Palmar, un serpent de 1m80 boit le lait qu’on déversait sur un Shivling selon le prêtre Parash Sohraye. Ce dernier qualifie l’événement de miracle. Quand au serpent de couleur marron avec des raies blanches, il demeure introuvable à ce jour.
Décembre 2006 : Un habitant de Roche Bois est tombé sur un serpent à Riche Terre et l’a tué. Il s’agit d’un python.
Bois d’oiseau
Une légende dit qu’un arbre connu comme bois d’oiseau est mortel pour le serpent. C’est une des raisons que Maurice n’a pas de serpent. « C’est tout à fait faux et c’est aussi un mythe », laisse entendre M. Tatayah



Source : defimedia.info

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Hiré : Un python met des voleurs aux arrêts


Tous les jours pour le voleur, un jour pour le propriétaire, dit l'adage. Pour cette histoire qui relève de l'ingéniosité de M. William Brown, l'on peut dire qu'il faut souvent user de son intelligence pour se débarrasser des visiteurs animés de desseins malsains. Ainsi, cet homme d'affaires(?) libérien, venu chercher fortune dans une extraction minière de la cité des Oignons, était de tout temps victime de visites nocturnes. Et à chaque fois, à deux reprises, les quidams ont réussi à emporter d'énormes butins sans être inquiétés par le gardien et les chiens. Toujours absent de son domicile pour affaires, il ne savait plus à quel saint se vouer pour protéger ses biens ( ?). Alors, lui vint l'ingénieuse idée de trouver des reptiles pour les mettre dans sa chambre. Et, un de ses amis de lui conseiller d'élever des pythons. Ayant trouvé cette idée géniale, il va acheter un python, long de trois (03) mètres, qu'il dépose discrètement dans sa chambre à l'insu de son gardien. Naturellement, il devrait trouver de quoi nourrir ce reptile, même en son absence. Ce qu'il fît. Un jour, alors qu'il était parti pour trois jours, il reçut la visite de personnes indésirables et indélicates qui ont poussé l'audace d'entrer jusque dans sa chambre. Le bruit qu'ils faisaient a tiré le reptile de son sommeil. La lampe torche a fait scintiller une lumière dans la pénombre. Voulant s'approcher, ils virent le python et découvre sa forme monumentale. Peur panique ! Débandade dans la pénombre. L'un des voleurs trébuche, chute et tombe de tout son long sur le python. Tremblotant, il va engager un dialogue direct avec le reptile, selon les témoignages du gardien des lieux : " Pardon chef, je n'ai rien fait. C'est mon ami qui m'a demandé de venir l'accompagner. Il a fui. Je vais lui demander de venir dire la vérité ". Ainsi maîtrisé, le voleur ira le lendemain montrer les traces de son complice qui court toujours.

N'GUESSAN DENIS


Source : news.abidjan.net

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Un serpent dans les sanitaires


Un Laonnois s'est retrouvé en compagnie d'un serpent alors qu'il se trouvait dans les WC d'un ami. Récit d'une histoire à faire froid dans le dos.

«J'ÉTAIS assis au petit coin. A un moment, j'ai senti quelque chose, comme une présence derrière ma jambe. Au moment où j'ai voulu mettre ma main, j'ai jeté un coup d'œil. Là, je vois un serpent, dont la tête n'est qu'à quelques centimètres de ma cheville. Là, j'ai fait un bond. Aux Jeux Olympiques, j'en aurai battu pas mal ! » Ce début de matinée, Christophe Renaut s'en souviendra. Hier, à l'appartement n° 9 du 35, rue Nestor-Gréhan, il est chez son ami Jean-Paul Bouzy. Contraint d'aller soulager une naturelle envie, il se retrouve donc en drôle de compagnie.
« Petit, j'ai vu ma cousine être mordue par une vipère. J'avais été obligé de la porter alors qu'elle souffrait. Depuis ce jour, les serpents et moi… »

Parti sous la douche

Une fois la stupeur passée, l'homme a averti la police municipale, qui était en intervention dans l'immeuble. « J'ai eu le temps de voir la tête, explique Emmanuel Gueremy, chef des policiers municipaux, et j'estime le diamètre de l'animal de 2 à 2,5 cm. Mais nous n'avons pas pu l'attraper. »
Christophe et Jean-Paul Bouzy (le locataire des lieux qu'il a bien sûr immédiatement prévenu), l'ont eux vu un peu plus longtemps. « J'ai eu le temps de voir une trentaine de centimètres avant qu'il ne disparaisse en rampant sur les tuyaux qui filent sous le bac de douche. » L'équipe des pompiers n'a rien pu faire non plus. D'où vient l'animal ? « J'ai eu une couleuvre que je nourrissais de souris, explique Jean-Paul, mais je l'ai donnée à un ami il y a plus d'un an… À quelqu'un qui n'habite pas la résidence. » Et un serpent n'est pas comme un chien, capable d'effectuer plusieurs dizaines de kilomètres pour retrouver son maître.
« On se connaît tous ici et je ne vois pas qui pourrait en avoir un », expliquent les deux amis. Hier matin, deux agents de l'Opal ont visité chaque appartement de l'immeuble. À la fois pour prévenir de la présence de ce « nouvel animal de compagnie », en vogue depuis quelques années, mais aussi pour informer les locataires d'être sur les gardes, et de prévenir les pompiers en cas de nouvelle visite inopportune…
L'année passée, des mygales avaient semé la panique dans une autre résidence de la ville préfecture. Un homme avait oublié de refermer le vivarium où il élevait ces animaux. Pour le serpent de la résidence Montreuil, l'explication est pour l'instant… fuyante.

Stéphane MASSÉ
smasse@journal-lunion.fr


Source : lunion.presse.fr

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Un cobra en liberté sème la panique en Allemagne


Ce vendredi, les pompiers allemands étaient toujours à la recherche d'un dangereux cobra qui affole la population de la ville de Mühlheim an der Ruhr. Le reptile s'est échappé de l'appartement de son propriétaire jeudi, selon un porte-parole de la ville.

"Nous n'avons malheureusement pas encore retrouvé le cobra. L'immeuble a été évacué ce jeudi après midi pour être ensuite placé sous scellés", a indiqué Volker Wiebels, porte-parole de cette ville proche de Düsseldorf.

« Avec des spécialistes des serpents nous sommes retournés dans l'immeuble ce vendredi matin mais toujours pas de trace du dangereux reptiles », a-t-il ajouté. Les recherches se concentrent principalement dans les caves et les combles du bâtiment.

Tous les parquets des appartements ont été arrachés afin de tenter de dénicher l'animal tandis que tous les occupants de l'immeuble ont passé la nuit en dehors de chez eux.

Le reptile de type cobra à monocle mesure 30 cm de long et vit d'habitude en Asie du Sud-Est. Il est considéré comme très dangereux, ses morsures étant mortelles. Une fois atteint l'âge adulte, ce serpent peut mesurer jusqu'à 1,80 mètre en moyenne et devient très agressif.


Source : LeVif.be avec Belga

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Une couleuvre dans son moteur


Dans une publicité restée célèbre, une marque conseillait de mettre un tigre dans son moteur. Une Tarnaise roulait elle avec une couleuvre sous son capot, et c'est réellement arrivé. Ce fait insolite s'est produit hier vers 16 h 30, rue Saint-Antoine à Albi. Ce sont des passants qui ont vu la tête du serpent, qui dépassait sous la voiture en stationnement, dont il tentait de s'échapper. Les témoins ont alerté les secours. Deux sapeurs-pompiers d'Albi ont mis 45 minutes environ à repérer et à déloger le reptile, caché dans le compartiment moteur.

La conductrice habite à Lombers. On suppose que c'est là que sa passagère clandestine est montée à bord, dans la nuit de dimanche à lundi ou hier matin, avant que l'automobiliste ne se rende à Albi.

La couleuvre ne s'est pas laissée facilement attraper. Effrayée, elle a mordu ses sauveteurs, sans dommage parce qu'ils s'étaient munis de gants. Pas rancuniers, ils sont allés relâcher dans la nature « cet animal utile. Mieux vaut le protéger. Elle était bien contente ! »

« Ils ont bien fait », approuve Jean-Luc Raynaud, herpétologue à Vabre et auteur avec son père Albert du livre « Les Reptiles du Tarn » (1). D'après la description, il identifie cette couleuvre verte et jaune d'un mètre de long comme étant une Coluber viridiflavus. « Une couleuvre se met partout où elle peut se réchauffer. Elle a senti de la chaleur et elle est entrée, peut-être parce que dimanche, ça s'est refroidi. Reconnaissable à sa pupille ronde, la couleuvre n'est pas méchante. Elle peut même nous débarrasser des petits rats et souris. »
Source: http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/08/850518-Albi-Elle-a-une-couleuvre-dans-son-moteur.html

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États-Unis : Attaque mortelle d’un serpent




Aux États-Unis, un homme a succombé à ses blessures après avoir été attaqué par un serpent dans un appartement d’Omaha, au Nebraska.

Les événements sont survenus hier quand Cory Byrne, 34 ans, est allé à la rencontre de son voisin pour lui montrer son reptile, un python de trois mètres de longueur et pesant 25 livres.

Selon les policiers, le serpent s’est enroulé autour du cou de son propriétaire, qui s’est vu incapable de s’en défaire, cherchant par tous les moyens à trouver son souffle.

Un ami ayant été témoin de la scène a bien essayé de tirer la victime de sa fâcheuse position, mais sans succès.

À leur arrivée sur les lieux, les paramédics ont constaté que Byrne était inconscient. Ils ont entrepris des manœuvres de réanimation, parvenant à dégager le serpent du cou de son propriétaire.

La victime a été transportée à l’hôpital, où son décès a été constaté.

Après l’incident, l’animal a été confié un organisme de protection pour les animaux. On ignore le sort qui lui sera réservé.

«Il s’agit de l’un des plus longs serpents que nous ayons accueillis depuis fort longtemps, a dit un porte-parole de la Nebraska Humane Society. Nous allons mener une enquête pour déterminer si la taille du serpent rendait sa possession illégale...»

(D’après CNN)

lcn.canoe.ca

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comme quoi je ne voit pas l'interet de posseder ce genre de serpent Evil or Very Mad les petits sont bien plus interressant et moins dangeureux enfin ce n'est que mon avis

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Il y a une erreur dans l'article: L'original parle d'un serpent de 3 mètres, et non d'un de 9 mètres...
M'empêche, cette personne devait être incompétente, car il n'y a pas ce genre d'accident chez des expérimentés... J'espère juste que ce n'est pas un boa constricteur qui l'a tué, comme celui qui est sur la photo... Evil or Very Mad

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Constricteur a écrit:
Il y a une erreur dans l'article: L'original parle d'un serpent de 3 mètres, et non d'un de 9 mètres...
M'empêche, cette personne devait être incompétente, car il n'y a pas ce genre d'accident chez des expérimentés... J'espère juste que ce n'est pas un boa constricteur qui l'a tué, comme celui qui est sur la photo... Evil or Very Mad


Et oui tu a raison, c'est curieux, je n'ai pourtant fait qu'un simple copié/collé de l'article. Je ne comprend pas ce qu'il s'est passé. scratch

Je corrige ça de suite. clin oeil

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nan mais le jour où je vois mon serpent entouré au cou de mon voisin en train de suffoquer, je fais un 100m jusqu'à la cuisine et je taillade le serpent jusqu'à ce qu'il lache prise au retour...

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Invité
Un python, avec une photo de boa... Ouais.

On ne sait même pas quelle espèce précise, qui plus est... les journalistes américains sont effrayants de rigueur. : )

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mué .....ça sent le n importe quoi .........



booms , c est le voisin qu il faut tailler...........

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La chasse au "python des toilettes" ouverte à Vitrolles


Une résidante de l'immeuble Nº 16, allée Brocard, a lancé une pétition, largement signée par ses voisins

Moi, je l'attends, j'ai besoin d'une nouvelle ceinture", plaisante Jean-Paul, au deuxième étage du bâtiment Nº16, allée Philippe-Brocard, dans le quartier de La Frescoule. Celui qu'il attend de pied ferme, c'est le python qui s'est échappé d'un logement du rez-de-chaussée, il y a maintenant quinze jours.

Depuis son évasion, vraisemblablement par la conduite des eaux usées, le serpent, qui mesurerait entre 2,50 et 3 mètres de long, va et vient dans l'immeuble, provoquant quelques sueurs froides aux habitants.

L'inquiétude a gagné les résidants, surtout ceux qui ont eu la mauvaise surprise de découvrir le reptile, la gueule ouverte, dans la cuvette de leurs toilettes. "Il était là. J'ai eu peur alors j'ai tiré la chasse d'eau, mais c'était une mauvaise idée parce que du coup, on l'a perdu", confie une jeune femme du deuxième étage.

"J'ai vu une énorme masse verte"

Selon le témoignage de Dominique, un habitant du bâtiment adjacent, qui connaît bien le propriétaire du python, le serpent aurait d'abord grimpé par des gaines techniques pour accéder aux étages supérieurs, avant de se promener dans les canalisations. "Samedi dernier, il est retourné chez lui, mais son propriétaire n'a pas pu le rattraper. Il a d'ailleurs cassé plusieurs cloisons pour le retrouver."

Et c'est dans un autre logement qu'il a fait de nouveau son apparition. "J'ai vu une immense masse verte dans les toilettes, raconte Sabrina, une jeune maman. J'ai crié et j'ai appelé mon mari qui est vite allé chercher le propriétaire." Puis c'est le branle-bas de combat. À l'aide d'une serviette, il tente de maintenir le reptile qui, lui, n'a qu'une envie, se faire encore une fois la malle.

Son propriétaire lâchera prise quelques minutes avant que les pompiers et la police municipale n'arrivent sur les lieux. "Il paraît qu'il faut un homme par mètre du python, donc il en faudrait au moins trois vu sa taille, poursuit Sabrina, qui ne cache pas sa crainte. Il paraît que ça peut avaler un nourrisson..., poursuit-elle, tout en montrant que ses toilettes sont situées juste à côté de la chambre de son bébé. Ce jour-là, heureusement, il n'y avait pas les enfants."

En face de chez elle, presque enfermée à double tour, une femme sort pieds nus sur le palier. C'est elle qui est à l'origine de la pétition, mais elle a souhaité garder l'anonymat.

Pour elle, comme pour les résidants, il est difficile d'accepter que le propriétaire n'ait "pas averti plus tôt que son serpent s'était échappé. C'est la moindre des choses". D'autant qu'il serait carrément fan d'animaux invertébrés et de ce qu'on appelle désormais les NAC : ces nouveaux animaux de compagnie.

"On va bientôt se retrouver avec des crocodiles !"

Selon les témoignages, l'homme, routier de profession, que nous n'avons pas pu joindre hier, aurait des "iguanes, des rats... et d'autres animaux. Et il les a acquis légalement", rapporte Dominique, qui semble bien le connaître.Mais pour la pétitionnaire, "si on tolère tout, on va bientôt se retrouver avec des crocodiles! J'estime que la liberté s'arrête là où commence celle des autres. Et s'il sort du bâtiment. Il y a des écoles par ici. C'est sûr que ça fait peur". Sa pétition, qui a reçu presque l'ensemble des signatures des habitants de l'immeuble, va être envoyée à la Société Domicil, et au syndic Logicil, qui de son côté affirme "ne pas savoir comment faire dans la mesure où le serpent ne se montre pas." D'après les calculs des résidants, qui ont désormais bien du mal à oser s'asseoir sur le trône, le python serait dans un logement au premier étage. Mais sa propriétaire étant absente, personne n'en a la certitude. Une chose est sûre, dans ce bâtiment de La Frescoule, il faudra garder son sang-froid...
Source: http://www.laprovence.com/article/vitrolles/la-chasse-au-python-des-toilettes-ouverte-a-la-frescoule

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Ils volent un boa constrictor


Deux jeunes garçons qui ont l'air tout à fait « normaux » se mettent un jour des cagoules sur la tête, pénètrent chez un passionné de reptiles, le frappent et lui volent son boa. Huit mois avec sursis.

La procureure Hoflack résume bien la situation : « On est dans du tragi-comique. C'est le vol du boa constrictor par deux pieds nickelés dans les principaux rôles. Et ces deux pieds nickelés n'hésitent pas à utiliser du scotch pour s'en prendre à la victime, car ils ont vu trop de films. La réalité, c'est que ces deux types ont des problèmes d'argent. C'est le drame de la précarité sociale : on vole un boa, on braque les petites surfaces, c'est devenu un sport national. » Que s'est-il passé, ce jour-là - le 14 décembre 2009 - dans la tête de Justin G. et de Benoît S. ? Cagoules sur la tête, ils sonnent chez M., rue Guynemer à Armentières. Le bousculent, le frappent. Le plus massif des deux donne des coups de poing, traîne la victime dans les toilettes, la ligote avec un rouleau de scotch, pendant que l'autre, plus gringalet, s'empare du boa constrictor : une femelle d'un an et demi, mesurant un mètre cinquante.
Leur mobile ? « L'argent », expliqueront-ils en garde à vue. Le curieux animal vaudrait entre 130 et 300 euros. Tout ça pour ça ?

« Qu'est-ce que c'est que cette façon ? », demande, interloquée, la présidente Reliquet, avec cette voix semblable à celle de Caroline Dublanche, les soirs de libre antenne à la radio. Surgit alors un autre mobile : selon Benoît S., le boa était victime de maltraitance de la part de son maître. C'est un passionné de reptiles qui parle : « Je connaissais la victime. Je lui achetais des insectes pour mes reptiles. Et j'ai bien vu, l'hygiène et la nourriture du boa, c'était pas ça. » « Même si c'est vrai, ça ne vous excuse en rien » , répond du tac au tac la présidente dont le visage moitié rieur, moitié grave, exprime bien cette situation tragi-comique.

Pour payer les factures

Les deux prévenus ont bon nombre de points communs : ils sont du secteur d'Armentières, âgés de 21 ans, en concubinage, pères tous les deux, gagnant 1 000 à 1 300 euros par mois, tatoués au cou, passionnés de reptiles, en jean et tee-shirt blanc. Deux compères dans toute leur splendeur, qui ont voulu jouer aux gangsters ou qui ont eu un coup de folie, de bêtise, d'inconscience. « C'était pour payer les factures et faire des courses » , explique maladroitement Justin G. « Il faut au moins leur faire comprendre que la vie, c'est pas ça », convient maître En-Nih, l'avocate du jeune homme. Elle requiert un travail d'intérêt général, une amende aussi s'il le faut. Mais la présidente Reliquet est plus sévère : huit mois avec sursis pour les deux bandits au casier vierge.
Source: http://www.nordeclair.fr/Actualite/Justice/2010/06/17/ils-volent-un-boa-constrictor.shtml

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Un serpent terrorise une résidence de Vitrolles: "Dans les toilettes, il cherche un endroit chaud et sombre"


Vitrolles, une résidence paisible. Mais un serpent, un python, rôdait au premier étage raconte La Provence. L'animal a été capturé cet après-midi peut-on lire sur LeFigaro.fr. Il mesure 2m50 et a été attrapé "après plus de deux heures d'une intervention qui a mobilisé une vingtaine d'agents municipaux, policiers ou sapeurs-pompiers."

L'animal avait été aperçu au rez-de chaussée et faisait des allers et retours tranquilles entre l'extérieur et la résidence, empruntant les conduits les plus insolites. Une résidante aurait ainsi été surprise de se retrouver "nez-à-nez", si l'on peut dire, avec l'animal qui sortait de la cuvette de ses toilettes: "Il était là. J'ai eu peur alors j'ai tiré la chasse d'eau, mais c'était une mauvaise idée parce que du coup, on l'a perdu" raconte-elle dans La Provence.

Un python dans les toilettes, ça ressemble à cela:

Vidéo de CaughtOnTapeTV: on ne sait pas si la scène a été reconstituée ou pasSnakes on a plane


Le propriétaire du serpent serait selon ce journal, un routier, et posséderait "iguanes, rats... et d'autres animaux (...) acquis légalement."

Le serpent serait apparu à nouveau chez un autre habitant: "J'ai vu une immense masse verte dans les toilettes, raconte Sabrina, une jeune maman. J'ai crié et j'ai appelé mon mari qui est vite allé chercher le propriétaire." Mais l'animal s'enfuit.

Une résidente avait donc lancé une pétition, signée par "presque tous les habitants", et envoyée au syndic qui affirme à La Provence, "ne pas savoir comment faire dans la mesure où le serpent ne se montre pas."

Une autre habitante s'inquiétait pour son bébé...
En 2007 par exemple, les pompiers avaient récupéré un serpent dans des toilettes à Metz:



Contacté par Le Post, toganim, spécialiste des animaux sauvages, tient à relativiser:

"Ce n'est pas un python africain, certainement un python molure. Que des serpents passent via les conduits d'eaux usées, cela arrive, mais personnellement je n'ai vu cela que dans les histoires (...) même si les pythons savent bien nager."

"On parle d'un animal de 3 métres de long. Vu le diamètre de son corps, je suppose que les toilettes et les conduits de cet immeuble sont sacrément gros! Je pense que l'animal, si vraiment il est dans les conduits, ne dépasse pas 1m20, 1m50. Il peut être à l'intérieur pour chercher un environnement humide (certains pythons sont semi aquatiques). L'animal en fuite va chercher un endroit chaud, tranquille, sombre (et humide), souvent on les retrouve l'hiver, sous les radiateurs ou le long d'une fenêtre où le soleil donne. La nuit, il va chasser s'il a faim."

"Il ne mangera pas un bébé, même si attiré par la chaleur du corps du nourrisson il peut se lover dessus et l'écraser involontairement. Il ne faut pas non plus 3 hommes pour le maintenir. Une personne qui connait les serpents arrivera à s'en saisir seule. Mais il faut faire attention, certaines espèces sont agressives et mordent cependant, aucun python n'est venimeux. Je ne connais pas l'état de salubrité de la résidence, ou bien il ne trouvera rien du tout ou alors il va se faire rats, souris ou chats! Il faut garder à l'esprit qu'un python peut rester 6 mois ou 1 an sans manger."


Et vous, avez-vous déjà vu un serpent dans vos toilettes?
Avez-vous réagi comme dans cette caméra cachée?



lepost.f

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Fin de cavale pour le python


Le serpent a été capturé sain et sauf, à la Frescoule, après trois heures d'intervention. Récit

En direct de la Frescoule, les experts tentent d'attraper le python qui s'est échappé...", commentent des adolescents, téléphone portable à la main, derrière le périmètre de sécurité mis en place par la police municipale, près de l'école Georges-Lapierre. "Eh viens! On fait une vidéo pour la mettre sur Facebook". Nul doute que, quelques minutes seulement après la capture du python de la Frescoule, les images circulaient déjà sur la Toile... pour le plus grand soulagement des habitants du quartier, venus en nombre, assister au spectacle.

Il aura fallu pas moins de trois heures d'intervention, menée conjointement par les pompiers, les services techniques municipaux, la Société des eaux de Marseille (Sem) ainsi que deux entreprises privées, pour arriver à déloger le reptile, qui avait élu domicile dans une des canalisations du réseau des eaux usées de la Ville.

"Refroidir" l'animal

Il est 10h30, quand les agents du service réseaux et circulation, sous la houlette d'Alain Svetina, se mettent à la chasse de celui que nous avions surnommé le "python des toilettes", en référence à ses deux apparitions dans la cuvette de deux appartements du bâtiment Nº16, allée Philippe-Brocard.

Entourés de Christophe Tardito et DE M. Capasso de la société BS Assainissement, mandatée par Domicil et le syndic Logicil, responsables de l'immeuble, les agents de la ville explorent les canalisations du bâtiment à l'aide de caméras, avant d'envoyer des fumigènes pour tenter de faire sortir le reptile. Mais rien. Le serpent a décampé. Autour de l'immeuble, ils soulèvent deux plaques d'égouts, puis sous la troisième, plus petite, appartenant au domaine public, surprise ! Le python est là, entouré sur lui-même. Alors que les habitants s'approchent doucement, ou observent depuis leur balcon, les accès à d'autres ramifications sont alors bouchés, dans l'attente de l'arrivée des pompiers. Pour eux, l'opération est délicate et inédite.

Quelle solution employer pour déloger l'animal? La première envisagée semble la plus sûre. Une piqûre prodiguée par le vétérinaire pour endormir la bête et le sortir en sécurité. La seconde, le "refroidir" avec du dioxyde de carbone. Le temps joue contre les pompiers, car le vétérinaire ne peut se déplacer immédiatement. Ils décident d'appliquer leur méthode. Reste que le python, qui n'a pas apprécié ce coup de froid, s'est déroulé pour une fois encore se faire la malle, dans la canalisation. Maintenu un bon moment par la queue pour éviter qu'il ne s'échappe, un soldat du feu finit par lâcher prise. Il est près de midi.

Arnaud, le héros

Les discussions vont de plus en plus belle entre les différents intervenants. Que faire? Quel système employer désormais? Les riverains, eux, de plus en plus intrigués, posent nombre de questions qui font parfois sourire: "Ça y est, ils ont débouché le python?", lance un jeune garçon. D'autres préconisent, en rigolant, "de jeter un appât dans la canalisation, un chien ou un chat." Certains, plus expéditifs, "une balle dans la tête et on n'en parle plus..."

L'heure tourne, le python erre dans la canalisation de plusieurs mètres de long. Personne ne sait à quelle hauteur il peut être. Un habitant, fan de photographie et ancien employé de zoo, propose de descendre dans la bouche d'égout pour tenter d'apercevoir quelque chose. Malgré le flash, le reptile se fait désirer. L'attente est longue. Sous un soleil de plomb, quelques ados provocateurs tentent de passer sous les bandes délimitant la zone.

13h20. L'entreprise d'assainissement Vilar arrive sur les lieux. Dans le même temps, d'autres policiers municipaux et parmi eux, Arnaud Duverne qui jouera un rôle essentiel par la suite. Les Vilar, père et fils, sont à la manoeuvre. La technique est simple: noyer la conduite puis ensuite procéder à l'autopression. Le serpent sous les eaux ne peut alors que refaire surface d'un côté ou de l'autre de la canalisation. Pendant ce temps, Arnaud Duverne, ancien gendarme spécialiste des forêts profondes s'équipe de gants et les pompiers se préparent à intervenir.

Quelques minutes seulement après le début de cette tentative de la dernière chance, le reptile montre sa tête, à l'endroit même où il a été aperçu au départ. Arnaud Duverne est aux aguets. Alors que le python se montre à nouveau, il l'attrape et le sort d'un seul geste. Sain et sauf, le reptile sera conduit au zoo de la Barben. Le capitaine Demarle, de la caserne de Vitrolles, confiait qu'il était content de voir la situation rentrer dans l'ordre après une opération "délicate mais originale." Son propriétaire, toujours en déplacement hier, encourt des poursuites pour mise en danger de la vie d'autrui. Il devra également payer tous les frais qui incombent à la capture de son python qui a bien fini de terroriser les habitants du quartier.
Source: http://www.laprovence.com/article/vitrolles/fin-de-cavale-pour-le-python

Les photos de l'intervention:









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Un serpent aux Vaucrises

CHÂTEAU-THIERRY (Aisne). Nez à nez avec un serpent, un agent de la Maison du Cil a gardé l'animal dans sa pince jusqu'à l'arrivée des pompiers.


«JE ne l'oublierai jamais ! » Jusque-là, Michel Tancray n'avait vu des serpents que dans les livres ou dans les animaleries. Sa rencontre de mardi avec une couleuvre, dans le quartier des Vaucrises, restera l'un des grands moments de sa carrière, entamée il y a presque six ans.
« J'étais en train de ramasser des papiers derrière l'immeuble Roussillon, avenue Otmus, raconte cet agent de proximité de la Maison du Cil, dans la descente de cave, j'ai vu ce serpent. » Sur le coup, il a cru que c'était un jouet en plastique ! « Quand je l'ai pris avec ma pince, il s'est redressé », explique-t-il.
C'est alors que l'émotion est sans doute montée d'un cran, même si l'employé n'a pas perdu son sang-froid : « J'ai serré la pince. » Un tête-à-tête entre l'homme et l'animal d'environ un quart d'heure a suivi, pendant qu'une habitante appelait les pompiers et que ceux-ci arrivaient.
Michel Tancray a transporté le reptile dans sa pince, un peu plus loin, puis l'a maintenu au sol ; mais le serpent se débattait et parvenait à progresser…
Le « palpitant » du découvreur a alors un peu accéléré son rythme, mais les sapeurs-pompiers sont arrivés, il a pu le déposer dans un carton fermé.
Aujourd'hui, il le sait, l'animal n'était pas dangereux. C'est ce que confirment les responsables de la boutique Iguana 02, à laquelle il a, depuis, été confié, en attendant l'identification du propriétaire. Il s'est sans doute échappé d'un domicile. « Ce sont des couleuvres d'élevage, ça ne mange que les souris », explique le commerçant, qui en vend… Il s'agit d'une Elaphe Gutatta, une couleuvre américaine appelée couramment serpent des blés. Elle mesure 1,10 m et il s'agit donc d'un adulte.
Les pompiers, parmi lesquels la formation Nac (Nouveaux animaux de compagnie) est de plus en plus répandue, le rappellent, les serpents domestiques ne sont pas venimeux et recherchent les endroits frais et humides. Si le reptile castel sortait sa langue, c'est parce qu'il s'en sert pour sentir, grâce aux capteurs de Jacobson… Et la bête est curieuse !
Source: http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/un-serpent-aux-vaucrises-il-en-pince-pour-le-reptile

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Un python disparaît, les habitants paniquent.



Le serpent a disparu à La Boissière-sur-Èvre, samedi. L'inquiétude croit, mais l'animal n'est pas dangereux.

À La Boissière-sur-Èvre, petite commune de 380 habitants du Choletais, on ne parle plus que de ça. De ce « python en liberté », d'une taille considérable d'un mètre quarante, prêt à surgir d'un coin de rue, à se cacher dans l'arbre qui surplombe votre jardin... « Il est balèze comme serpent, quand même », dit une habitante. « Il faut fermer toutes les fenêtres », ajoute un autre, un peu craintif. Une troisième ne mâche pas ses mots : « Si je le vois, il prend un coup de pelle ! »

Depuis le début de la semaine, la disparition d'un python royal, du domicile de ses propriétaires, sème une frousse bleue aux habitants de la commune. Au point donc d'alimenter tous les fantasmes. Mais c'est exagéré, affirme la maîtresse de cet « animal de compagnie » : « Le python royal est inoffensif, il n'est pas venimeux. » Ginuis ¯ son petit nom ¯, âgé de 17 ans, « mange uniquement des souris, des hamsters. Pas d'animaux qui dépassent sa grosseur, c'est-à-dire 10 centimètres. »

C'est dans la nuit de vendredi à samedi que le python a pris la poudre d'escampette. Il faisait trop chaud, sans doute. « On l'a sorti du terrarium, pour qu'il s'aère et qu'il fasse de l'exercice. Mais il a disparu par une fenêtre restée ouverte. » Mardi, après de vaines recherches, les autorités sont prévenues : pompiers, gendarmerie, mairie. Aucun dispositif n'est cependant lancé, « puisque ce serpent n'est pas dangereux », rappelle le maire, Christophe Dougé. D'ailleurs, le python royal est, de loin, le python le plus gardé en captivité, du fait de son caractère docile.

« Les voisins les plus proches ont été informés », dit-il, tandis qu'une affichette a été collée à la vitrine du bar du centre-bourg, avec le numéro de ses propriétaires (09 81 72 72 03). « C'est lui qui est en danger. Si on ne le retrouve pas d'ici la fin de l'été, il ne survivra pas au froid de septembre. C'est un animal tropical », rappelle sa propriétaire, attristée.

Christian MEAS
ouest-france.fr

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"D'ailleurs, le python royal est, de loin, le python le plus gardé en
captivité, du fait de son caractère docile."

C'est faux.

1. Gutt
2. Regius
3. BCI

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Deenye a écrit:
"D'ailleurs, le python royal est, de loin, le python le plus gardé en
captivité, du fait de son caractère docile."

C'est faux.

1. Gutt
2. Regius
3. BCI


Le python le plus gardé ! clin oeil pas le serpent !

après la gutt', c'est bien le python régius... 2eme serpent le plus gardé et 1er python ! clin oeil

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Les serpents exotiques profitent de l'été pour s'échapper



Image © Keystone



Profitant d'un bain de soleil sur le balcon ou de la porte du terrarium mal fermée, une quinzaine de serpents exotiques se font la malle en Suisse romande chaque été. Boas ou pythons, ils sont le plus souvent sans danger.

En été, quand le mercure est au plus haut, il prend l'envie aux serpents exotiques de sortir de leur terrarium pour profiter de la chaleur du soleil. «Beaucoup de propriétaires d'un boa, espèce d'Amérique du Sud et d'Amérique centrale, dont la taille avoisine généralement les deux mètres, ou d'un python royal, reptile d'environ 1,50 mètre en provenance d'Afrique centrale, profitent de la hausse du mercure pour leur faire prendre des bains de soleil sur leur balcon», constate Jean Garzoni, directeur du Vivarium de Lausanne. C'est lui qui s'occupe de récupérer les fuyards en Suisse romande*. «Faute de connaissances, les propriétaires ne se rendent souvent pas compte qu'une fois la température corporelle de leur animal remontée, celui-ci n'hésite pas à s'enfuir des terrasses, l'évasion la plus courante. La bête, parfois lente quand sa température interne est basse et qui aime alors se blottir contre son propriétaire pour se chauffer, peut devenir très active sous l'effet de la chaleur du soleil.»

Il arrive aussi que les gros reptiles profitent d'une sortie avec leur maître dans un lieu public pour se faire la malle. «Une fois, j'ai dû aller récupérer un boa constrictor dans un mur situé sur les rives du lac de Neuchâtel, se rappelle Jean Garzoni. Son propriétaire avait voulu aller se baigner avec lui! C'est déplorable. D'une part, on risque d'effrayer les gens, et donc de contribuer à renforcer les peurs infondées de certains à l'égard de ces animaux; d'autre part, le serpent ne se sent à l'aise que dans son terrarium.» Certains reptiles s'échappent parce que la porte du terrarium est mal fermée ou parce que la souris qu'ils n'ont pas encore mangée grignote l'ossature en bois de certains terrariums et ouvre ainsi une issue vers l'extérieur.

Quand ils ne s'enfuient pas par les canalisations, comme ce python de 2,50 mètres récupéré le 17 juin à Vitrolles, près de Marseille. «C'est davantage le cas en France, où il y a des systèmes d'écoulements centraux. En Suisse, c'est plus compliqué à cause des nombreux siphons», rassure le spécialiste.

Quinze vagabonds en Romandie
Une bonne quinzaine de serpents exotiques se font toutefois la malle chaque été en Suisse romande. La plupart ne sont jamais repris par leurs propriétaires. Après un contrôle vétérinaire, le vivarium peut les placer en familles d'accueil. Dans le cas contraire, ils restent en pension au vivarium. Mais cette pension coûte cher à l'institution: de 15 000 à 20 000 francs par animal et par an.

«Dans la grande majorité des cas, il s'agit de boas ou de pythons royaux, reprend le directeur du vivarium. Il n'y a que très rarement d'espèces venimeuses; l'année passée, nous avons eu deux cas. Le détenteur d'un serpent venimeux est obligé de suivre préalablement des cours afin de connaître le comportement de son animal, ce qui n'est pas le cas avec les espèces non venimeuses.» Mais le spécialiste craint que le nombre d'évasions d'espèces venimeuses n'augmente: «Avec Internet, les jeunes arrivent sans trop de difficultés à se faire livrer sous le manteau ce genre de bêtes, et ils n'ont souvent pas conscience des règles à respecter. Il m'est déjà arrivé d'aller récupérer un serpent dangereux dans une famille alors que les parents ne savaient même pas que leur enfant en avait un caché dans un carton!»

En cas de rencontre avec un serpent, appelez le vivarium au 021 652 72 94, les pompiers ou la police qui transmet en général les appels. Recouvrez si possible l'animal d'un seau lesté d'une pierre ou d'un bidon, à l'abri du soleil.

Les couleuvres et vipères, effrayantes mais très utiles

Si les espèces locales sont moins impressionnantes, elles font néanmoins l'objet de nombreux appels téléphoniques au Vivarium de Lausanne (ou à la police et aux pompiers, qui transfèrent en général les appels). L'an passé, une soixantaine de couleuvres et de vipères autochtones ont ainsi été délogées d'habitations, de jardins ou de lieux publics. «Contrairement à des serpents exotiques, que l'on doit forcément embarquer, on peut remettre les espèces locales dans leur milieu, explique Jean Garzoni, directeur du vivarium.

Mais avant, il s'agit d'expliquer aux gens l'importance du rôle de ces animaux dans la nature (en contribuant à éliminer rats et souris, ils évitent les invasions de nuisibles, ndlr). Au final, la plupart comprennent bien et nous aident même à les relâcher.»


Source : http://www.lematin.ch/tendances/evasion/serpents-exotiques-profitent-echapper-296428

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Dap-Dap a écrit:
Deenye a écrit:
"D'ailleurs, le python royal est, de loin, le python le plus gardé en
captivité, du fait de son caractère docile."

C'est faux.

1. Gutt
2. Regius
3. BCI


Le python le plus gardé ! clin oeil pas le serpent !

après la gutt', c'est bien le python régius... 2eme serpent le plus gardé et 1er python ! clin oeil


Oups...

C'est l'habitude de lire des conneries, au bout d'un moment on les voit avant qu'elles arrivent...

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"parce que la souris qu'ils n'ont pas encore mangée grignote l'ossature
en bois de certains terrariums et ouvre ainsi une issue vers l'extérieur"

En revanche, elle est pas mal celle-là!

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Ce genre de faits divers m'énerve au plus haut point. voir les réctions d'ignorants, entendre des gens avoir peur pour leurs vies à cause de serpent d'1.5 m ....

J'ai une petite question tout de même, le python qui était dans les canalisations , et qu'ils ont fini par sortir et emmener au zoo ... c'est quelle espèce ? car on voit pas bien sur la dernière photo... Car le proprietaire je ne vois pas pourquoi il devrait payer pour "mise en danger de la vie d'autruie" ... vu la taille du "monstre" personne ne risquait rien !

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