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crowley

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À propos de crowley

  • Date de naissance 26/12/1986
  1. Bryan*, ne va pas écorcher son prénom! Magnifique espèce au passage
  2. T'as le report sous la main?
  3. Malgré que ce soit un article destiné au grand public et donc à prendre en tant que tel, je reste assez dubitatif sur son contenu. Une espèce peut être considérée éteinte malgré une poignée de survivants, une espèce peut être considérée absente d'un territoire malgré la présence de quelques individus isolés et stables... Je ne vois pas en quoi, au nom d'un seul individu, on peut prétendre que la veuve brune se soit installée en Polynésie française et qu'elle devienne une espèce invasive. De ce qui est de l'invasion, la prédation ou l'entrée en compétition avec la faune locale, le risque n'est manifestement pas nul mais minime ou du moins largement en deçà de la certitude qui se dégage de cet article. Les veuves, toutes espèces confondues, voyagent énormément avec l'activité humaine et le rapport invasion/transit est quoi qu'on en dise relativement faible. D'ailleurs c'est assez étrange d'affirmer "Il précise que le spécimen ne peut arriver sur le territoire dans des bagages." alors que justement c'est un vecteur efficace. De ce qui est de la morsure, outre la quantité de venin on pourrait aussi parler à juste titre de la toxicité qui n'est pas la même, pas plus que la composition.
  4. oui mais ces symptômes inflammatoires sont probablement attribuables justement à la réaction immunitaire que l'on souhaite provoquer avec le produit immunogène, et leur intensité peut varier en fonction de la nature de la (les) toxine(s), leur neutralisation, l'adjuvant et le solvant utilisés.
  5. Il faut croire que si puisque la production de sérum antivenimeux se base sur le même principe sur le cheval. L'effet inverse de la résistance? J'ai du mal à saisir. Tu parles des réactions d'hypersensibilité? En effet, c'est le risque. Je n'ai pas vu la vidéo, je n'arrive pas à la lire, mais j'imagine qu'il fait la même chose que Bill Haast. Et en pratique ça marche; Bill Haast a essuyé quelques vilaines morsures dont les effets ont été considérablement moindres grâce à cette préparation préalable. Cependant la désensibilisation au venin d'abeille se fait justement par injection de petites doses de venin. Sans être allergologue, il me semble que ce n'est pas tant le venin de serpent qui est allergène mais plutôt les sérums antivenimeux et leur problème de purification, même si le risque reste là, tout est une mosaïque d'épitopes. Et du reste la dose et la fréquence d'administration doivent être des facteurs primordiaux de ce risque. De ce qui est de la question de Gekreuzigt, elle reste pertinente mais sans réponse de ma part. Certains composés sont effectivement connus pour détruire les reins à petite dose, reste à savoir laquelle.
  6. crowley

    Heu, ça pique ?

    Magnifiques! Une nette préférence pour le Psammodynastes pulverulentus et le Gloydius blomhoffi !
  7. idem, et en plus de ne pas marcher, les rares fois où ça fonctionne ça avance par à-coups: comme un nourrisson qui prend sa potée à doses de 5 cuillerées à la fois. Si vous mettez les rosés direct dans la seringue, c'est un peu normal... Il faut d'abord les passer au mixer avec un peu d'eau. Ca coule autant de source que de sous-entendre la décongélation quand on parle de nourrissage au congelé. Mais merci pour ton intervention...
  8. Les serpents n'ont pas le regard perçant d'un aigle mais ils en ont une bonne. Et quand bien même, un animal avec une mauvaise vue distingue le jour de la nuit. idem, et en plus de ne pas marcher, les rares fois où ça fonctionne ça avance par à-coups: comme un nourrisson qui prend sa potée à doses de 5 cuillerées à la fois.
  9. si tu lis un tout petit peu le topic j'ai déjà abordé le sujet plus haut.
  10. il est là: Article L122-1 Modifié par LOI n°2011-525 du 17 mai 2011 - art. 45 Il est interdit de refuser à un consommateur la vente d'un produit ou la prestation d'un service, sauf motif légitime, et de subordonner la vente d'un produit à l'achat d'une quantité imposée ou à l'achat concomitant d'un autre produit ou d'un autre service ainsi que de subordonner la prestation d'un service à celle d'un autre service ou à l'achat d'un produit dès lors que cette subordination constitue une pratique commerciale déloyale au sens de l'article L. 120-1.
  11. On s'éloigne lentement du sujet initial, et je voulais quand même relever l'argument redondant du fric comme élément péjoratif dans un débat sur l'animal, ce même argument sortant aussi de la bouche de commerçants . De mon point de vue, si du fric est fait sur le dos d'une bête qui ne pâtit elle même pas de ce processus, où est le mal? Le fric est fait s'il y a une réponse à l'offre. Comme il est de bonne morale aujourd'hui de taper sur la capitalisme ce n'est pas étonnant. Raisonnons dans l'autre sens, si la tendance était de vendre des animaux à prix bas, les mêmes détracteurs diraient qu'il est ignoble de considérer que la vie d'un animal a si peu de valeur. Je pense simplement que la notion de faire du fric et de bien être animal sont dissociables même si elles ne sont pas toujours dissociées.
  12. C'est rare, je suis d'accord avec toi, et heureusement. Par ce que quiconque est déjà passé au tribunal sera certainement d'accord avec moi sur le fait que certaines décisions sont parfois hallucinantes et contre toute attente surtout en faveur de David plutôt que Goliath (consommateur, employé, locataire, etc.)
  13. Aux yeux de la loi, un motif légitime de refus de vente peut-il être basé sur une simple appréciation du vendeur sans faits concrets? Parce qu'au delà de la mauvaise foi notoire de certains rares acheteurs à clamer bien haut qu'ils feront un enfer de la vie de leur animal convoité et à l'opposé ceux qui sont irréprochables, il y a un monde de subtilités entre les deux qui n'est ni blanc ni noir et qu'il est impossible de justifier correctement aux yeux de la loi; c'est d'ailleurs pour ça que l'on voit encore des établissements d'élevage déplorables qui ont quand même eu des visites de la DDPP et qui peuvent continuer comme bon leur semble, parce que les charges ne sont pas assez concrètes pour avoir un poids légitime. Aujourd'hui, si une vente était refusée à chaque personne qui n'est objectivement pas en mesure d'assurer idéalement le maintien d'un reptile, je pense que les rayons d'animalerie présentant des espèces sauvages pourraient tous mettre la clef sous la porte.
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