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Constricteur

Gavialis gangeticus

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Gavial en danger...


Si quelques un ont un reportage sur TF1 sur les gavials il y a quelques temps, c'est catastrophique, même écœurant.
Comme vous le savez, new Delhi (Inde) a des égouts ouvert et se rejettent dans les rivières, mers... Donc, c'est une véritable pollution.
Le problème, c'est que des poissons vivent ici et aspirent ce poison extrêmement mortel, et les gavials eux, mangent du poisson. Alors qu’ils ne se doutent de rien, ils se font empoisonnés de l'intérieur! Et la, au bout d’un certain temps, ils meurent.
En une année, beaucoup de gavial en sont morts & si cela continue, cette race de crocodile va disparaître !
L'espèce est déjà protégé, mais espérons qu'elle survivra à cette pollution !

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Malheureusement cela est fréquent et agir contre cela est très difficile. Mais je suis tout à fait d'accord pour la protection de cette éspèces comme de centaines d'autres.

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Que voulez vous faire ? Ils ne vont pas changer leur habitude de crétins juste pour sauver une espèce animale. C'est triste, mais c'est la mentalité de majorité d'hommes.

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C'est malheureux en effet, j'en avais entendu parler pour cette espèce, mais hélas aujourd'hui c'est une multitude d'espèces qui sont dans ce cas là, en 2006 il y avait environ 17 000 espèces inscrites sur les listes rouge de l'IUCN.............dans diverses catégories.

Ce chiffre fait peur, mais nous que pouvons nous faire à pars donner des sous à des trucs tels que WWF (mais ça tout le monde ne le peut pas voir ne le veut pas (pour certaines raisons et chacun en a le droit), commencer par respecter nous même notre faune ce sera un premier pas et l'inculquer à nos enfants ou futurs enfants (ou notre entourage).

ou encore pour les plus motivés on peut aller agir sur le terrain mais la plupart du temps tu finances toi même ton voyage et c'est pas donné (chose que j'aimerai faire par la suite quand je serais bien installée professionnellement et personnellement, partir aider quelques semaines durant mes vacances dans l'année)

Après il y a ceux qui agissent sur le terrain , divers scientifiques, biologistes, zoologues etc et font de leur mieux (vu les nombres d'espèces), parfois il a déjà été vu que certains inculque le respect de la faune d'un pays aux peuples

Pour finir c'est aussi difficile car certains pays confrontés à la famine n'ont pas d'autres solutions que chasser et souvent des espèces en voie d'extinction,

Concernant ce dernier point, nous sommes trop sur terre et empiètons sur la nature, de plus, on voit des pays surpeuplés et pauvres continuant à faire encore et encore des enfants (souvent 5 à 10 par familles) , déjà si un travail était fait sur ça, peut être que ça aiderait à préserver certaines espèces puis tout simplement notre Terre.

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Allé dire sa aux Indiens qui crévent la faim de changer leur mode de vie déja triste alors c'est la derniere choses a la quel ils pensent... Et les otorités en ont fort rien a foutre...

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Ce ne sont pas les indiens le problème justement, eux ils respectent la nature justement, ils fusionnent en quelque sorte avec elle et ils chassent d'une part pour se nourrir et en général ce ne sont pas des espèces en voie d''extinction.

En plus la population de ces homme n'est pas en sureffectif.

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Arsinoë, ta réponse est vrai. Mais en une année, beaucoup de gavials sont morts rien qu'à cause de cette pollution. Et en même temps, celà montre qu'au fil de temps, il y en aura de moins en moins, jusqu'à l'extinction de la race! C'est pour cela qu'il est protégé.

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Bien sûr mais qui est en quelque sorte la cause de la pollution, nous clin oeil

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Salut,

Il est difficile pour un peuple de changer du jour au lendemain car l'éducation reçue fait que nous ne pouvons pas changer radicalement. Par contre, les générations montantes qui ont reçu une éducation sur la préservation des espèces animales peuvent faire des efforts.

Cela demanderait bien sur que les divers gouvernements acceptent que leur économie soit revue. La mondialisation peut servir à cela. Au lieu de vouloir s'en mettre plein les poches, les peuples peuvent faire pression.

Il faut accepter que des personnes soit au chomage parce qu'ils travaillent dans des industries à forte pollution. Exemple : les mines de charbon dans les années 80. Tout le monde savait que cela polluluait, que cela tuait des gens, mais les patrons de ces mines s'enrichissaient. Il y eu des luttes et finalement, beaucoup de mines ont fermé.

La luttes pour la conservation des espèces se fait, je crois, de la même manière. Par des luttes, des associations prennent des risquent parfois énormes pour que les Hommes prennent conscience de la disparition des animaux. Je rends hommage à tous ces hommes et ces femmes qui sont morts pour avoir rendu publique des massacre d'animaux. De plus en plus de peuples sonnent l'alerte.

Les choses évoluent petit à petit. Mais l'Homme sera toujours avide de pouvoir. Et contre cela, il faudra toujours lutter.

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El Mino a écrit:
Argent, Pouvoir. L'espèce humaine se résume à deux mots.


Salut,

Pas d'accord avec toi. Il y a : Amour, Partage, Respect, Liberté, Egalité, Fraternité, etc.

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Marie-Laure a écrit:
El Mino a écrit:
Argent, Pouvoir. L'espèce humaine se résume en deux mots.


Salut,

Pas d'accord avec toi. Il y a : Amour, Partage, Respect, Liberté, Egalité, Fraternité, etc.
Je parle bien sur, des plus gros défauts de l'Homme.

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ya pas longtemsp sa avait fait pareil avec les alligator en louisianne yavias une algue ytoxique qui s'était dévelloppé tous les poissont avait crevé sauf uen espèce que les alligator etait forcé de manger
et o final les alligator finissait pas mourir pasque le poison mangait le cerveau pour paralisé lanimal et le tué...
et sa avait été résolu par l'homme
donc peut etre que les gavials pourront survivre!

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Les écolos ont oublié de muscler le gavial


Les écolos ont quelquefois de bonnes idées, généreuses et altruistes, les résultats sont hélas souvent piteux et onéreux. Le gavial, (Gavialis gangeticus) crocodile fluvial débonnaire au long museau qui ne mange que du poisson est en voie de disparition dans les fleuves himalayens et tout particulièrement au Népal où il vit dans la région de basse altitude du Teraï. De bonnes âmes à la fibre verte se sont préoccupées de son triste sort et ont tenté depuis plus de trente ans de sauver l’espèce en la réintroduisant dans son milieu naturel. Des fonds ont été débloqués pour élever des petits gavials en bassin et les relâcher dans les fleuves une fois suffisamment grands pour qu’ils puissent se débrouiller seuls. Tout le petit monde de la protection de la nature était heureux, satisfait du devoir accompli. Le gavial n’est pas dangereux pour l’homme, son cuir est inutilisable en maroquinerie et il ne se retrouve pas à la table des touristes revenus de trekking dans les montagnes.

Hélas, le bout de son museau présente une proéminence cornée appelé gara qui est appréciée des Chinois comme aphrodisiaque, bien moins coûteux que la corne de rhinocéros. Ils avaient pensé à tout, les écolos, même à des programmes de sensibilisation des populations népalaise et une aide à la pisciculture en bassin, histoire de ne pas déranger les gavials avec des filets des hameçons et des harpons. Ils avaient éduqué les pêcheurs népalais au concept du « gavial friendly » à grand renfort de séances de sensibilisation. Ils avaient même demandé aux Népalais de traquer les potentiels braconniers. Mais après trente ans d’effort, les gavials prélevés pour étude étaient bien maigrichons, pire l’animal qui atteignait jadis de 5 à 7 mètres une fois adulte, n’arrivait plus à atteindre cette taille, il crevait jeune ou restait chétif. Alors, à la suite d’un comptage scientifique, les experts ont évalués à mille, le nombre des gavials dans les fleuves népalais, alors qu’ils avaient été réintroduits des centaines, si ce n’est des milliers de jeunes depuis plus de trente ans. La nuisance causée par les Chinois, prédateurs ataviques bien connus dans l’imaginaire occidental et par la pollution népalaise riveraine n’expliquaient pas tout, loin de là. Les jeunes gavials réintroduits dans la nature étaient trop patauds pour arriver à attraper du poisson à contrecourant. Ils mourraient de faiblesse, si ce n’est de faim. On les avait élevés dans des bassins en les nourrissant en leur jetant du poisson comme à de vulgaires saumons d’élevage. Ils ne savaient pas pêcher en eau à écoulement rapide, voire torrentiel. Bref, ils étaient aussi nases que des animaux de cirques relâchés dans la nature.

L’erreur magistrale des scientifiques écolos étaient d’avoir remis à l’eau des gavials gringalets, pas assez musclés. Il aurait fallu muscler les gavials ! C’est le mot exact du représentant de la fondation Lacoste, lors des interviews. Malheureusement pour les bestioles, on ne l’a pas fait. A la décharge de ce projet louable, bien plus spectaculaire que la protection du scarabée pique-prune dans les marronniers de la Charente, ce n’est pas du tout évident de muscler un gavial. Il aurait été nécessaire d’élever des jeunes dans une sorte de chenal en pente avec un fort courant pour reconstituer le milieu naturel du sympathique saurien. Inutile de dire qu’en dehors d’obstacles techniques quasi insurmontables, le prix d’une telle initiative aurait coûté bien plus qu’un transfert de deux pandas. Cependant, quitte à dépenser des millions, autant se donner les moyens du résultat escompté. Le recours à des hydrauliciens et à des ingénieurs spécialisés dans la mécanique des fluides devraient venir à bout du problème. Faire une sorte d’Aquaboulevard au Népal dans un torrent reconstitué avec pente, courant, tourbillons et contrecourant est faisable et peut se réserver payant à terme. Mais il faudrait y associer un marketing touristique agressif pour rentabiliser l’opération. Si Paris vaut bien une messe, le Gange, le Kosi, le Narayani et le Karnali valent bien un effort pour le gavial.

La marque Lacoste a tout de suite compris que la défense du gavial pouvait la rendre attrayante aux défenseurs de la nature, (et de ce fait doper ses ventes) elle a donc sponsorisé des experts supposés capables de protéger le gavial. En 2009, la campagne « Save your logo » de la marque au crocodile a même intéressé Borloo et Woerth. Il est vrai que Lacoste avait injecté 1.5 million d’euros dans l’affaire. Hélas, elle a continué dans la ligne de protection initiée depuis trente ans comme celle initiée par le FDB, Fonds de Dotation pour la Biodiversité. Lacoste n’a pas réussi à muscler le gavial, mais son action a de quoi plaire aux naïfs, aux amoureux du commerce équitable, aux défenseurs de la nature sauvage, incapables de comprendre que l’alibi écolo est devenu un outil de marketing. Malgré les efforts d’associations et de fondations comme la ferme aux crocodiles, SOS Crocodiles ou autre CEPA, l’avenir du gavial se retrouve plutôt dans des parcs animaliers, zoos et fermes d’élevage comme pour les tigres, les ours ou les loups. La réintroduction dans la nature à proximité des populations semble aléatoire, même en dépensant des sommes astronomiques.

La « science » des écolos est souvent du même acabit, onéreuse, irréaliste et totalement à côté des contraintes de la nature et de l’économie, même si elle part de bons sentiments. Le gavial, tout comme toute autre espèce animale mérite d’être protégée, mais faut-il dépenser des millions en pure perte, pour montrer son intérêt porté à la nature ? La plupart des mesures des écolos sont souvent de doux rêves dispendieux réalisés sans préparation ou insuffisamment préparés tout comme de nombreux projets humanitaires, plus vitrine idéologique que véritable objectif de sauvegarde ou de mise en valeur des sites. Trop de professeurs Nimbus exaltés proposent des solutions irréalistes ou trop coûteuse ; cette histoire de gavial n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Source: http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/les-ecolos-ont-oublie-de-muscler-108310

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