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Contrebandière de reptiles condamnée à des amendes


Windsor, le 29 octobre 1999 -- Environnement Canada et Revenu Canada ont annoncé aujourd’hui que Mme Nancy Regier, de Windsor, a reçu une amende de 8 000 $ après s’être reconnue coupable d’importer illicitement des reptiles au Canada et d’en exporter illicitement du Canada.

Mme Regier a été condamnée à une amende de 6 000 $ après avoir plaidé coupable à l’accusation d’avoir fait entrer en contrebande 14 boas arboricoles de Madagascar et 14 pyxides arachnoïdes dont la valeur est estimée à 84 082 $ au Canada. Elle a été condamnée à une amende supplémentaire de 2 000 $ après avoir plaidé coupable d’avoir exporté illégalement du Canada deux iguanes terrestres de l’île Exuma et un python d’Angola d’une valeur estimée à 40 190 $.

En août 1998, dans le cadre d’une enquête en cours, des agents de conservation d’Environnement Canada et des inspecteurs des douanes de Revenu Canada ont porté des accusations contre cinq personnes soupçonnées d’être impliquées dans la contrebande internationale de reptiles. Le 30 juin, M. Marc Lachaine, de Toronto, a reçu une amende totale de 4 000 $ pour l’importation et l’achat illicites de reptiles. Le 22 septembre 1999, M. Dale Hickson, de Windsor, a reçu une amende de 1 500 $ après s’être avoué coupable d’exportation illicite de reptiles et Mme Deborah Abbott, de Vancouver, a reçu une amende de 5 000 $ après s’être avouée coupable d’importation illicite de reptiles au Canada.

« La contrebande de reptiles est une activité criminelle des plus lucratives qui met en danger les animaux les plus vulnérables au monde », a déclaré M. Gary Colgan, chef de l’exécution et de l’observation de la loi au Service canadien de la faune. « Revenu Canada prend très au sérieux sa responsabilité de prévenir le commerce illicite des animaux menacés », a ajouté M. Ian McGuffin, directeur adjoint des Enquêtes de Revenu Canada à Windsor.

Les reptiles dont il est ici question sont des espèces protégées en vertu de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). En régissant leur commerce à l’échelle internationale, ce traité international protège les espèces d’animaux et de plantes menacées contre la surexploitation. La Direction générale des douanes et de l’administration des politiques commerciales de Revenu Canada partage avec la Division de l’application de la loi d’Environnement Canada la responsabilité d’appliquer les lois visant à protéger les espèces visées par la CITES.
Source:http://www.on.ec.gc.ca/announce.cfm?ID=245&Lang=f

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Saisie de deux tonnes de serpents et de tortues


PHNOM PENH - La police au Cambodge a mis la main sur deux tonnes d'animaux vivants -serpents et tortues-et arrêté deux hommes qui tentaient de faire passer illégalement ce chargement au Vietnam, ont annoncé les autorités jeudi.

Alertée par un informateur, la police cambodgienne a intercepté un bateau mercredi sur la rivière Bassac (sud-est du Cambodge), frontalière avec le Vietnam. Les forces de l'ordre ont découvert 1,6 tonne de serpents, essentiellement des pythons, et 263 tortues pesant au total 317 kilos, a précisé le colonel Chan Savouen, chef adjoint de la police de la province de Kandal.

"Les serpents et les tortues sont des reptiles rares dans notre pays et il est strictement interdit de les chasser et d'en faire le trafic", a-t-il souligné.

Deux Cambodgiens âgés de 17 et 20 ans ont été arrêtés. Ils ont raconté avoir été engagés pour transporter le chargement mais affirment ignorer l'identité de leurs employeurs. Selon eux, certains des reptiles ont été capturés au Cambodge, d'autres sont originaires de la Thaïlande voisine.

Tous ont été relâchés dans la nature mercredi, a précisé Chan Saouven.

Le Vietnam est souvent utilisé comme zone de transit dans le trafic d'espèces sauvages d'Asie du sud-est pour alimenter le marché chinois des animaux de compagnie exotiques et des produits alimentaires.
Source:http://www.journalmetro.com/insolite/article/387997--saisie-de-deux-tonnes-de-serpents-et-de-tortues

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WELLINGTON, 8 déc 2009 (AFP) - Un touriste allemand a été interpellé en Nouvelle-Zélande alors qu'il tentait de quitter le pays avec une quarantaine de lézards issus d'espèces protégées, cachés dans ses sous-vêtements, a-t-on appris mardi de source judiciaire.

Hans Kubus, 58 ans, a été interpellé dimanche à l'aéroport de Christchurch, dans le sud de la Nouvelle-Zélande

Les douaniers ont trouvé dans ses sous-vêtements un petit paquet qui renfermait les reptiles, a indiqué le procureur, Mike Bodie, lors de la comparution du touriste devant un tribunal. Au total, 44 animaux, des lézards dont des geckos, appartenant à sept espèces différentes, ont été trouvés, tandis que M. Kubus a reconnu qu'il les avait prélevés dans la nature sans autorisation et qu'il en faisait commerce

Ces reptiles font l'objet d'un marché noir en Europe, et ceux dissimulés par le touriste allemand avaient une valeur marchande d'environ 30.000 euros, a indiqué M. Bodie.
Source: http://www.tele-animaux.com/actualite,info,nouvelle-zelande--un-touriste-interpelle-avec-des-lezards-dans-le-slip:6767.html

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askook a écrit:
WELLINGTON, 8 déc 2009 (AFP) - Un touriste allemand a été interpellé en Nouvelle-Zélande alors qu'il tentait de quitter le pays avec une quarantaine de lézards issus d'espèces protégées, cachés dans ses sous-vêtements, a-t-on appris mardi de source judiciaire.

Hans Kubus, 58 ans, a été interpellé dimanche à l'aéroport de Christchurch, dans le sud de la Nouvelle-Zélande

Les douaniers ont trouvé dans ses sous-vêtements un petit paquet qui renfermait les reptiles, a indiqué le procureur, Mike Bodie, lors de la comparution du touriste devant un tribunal. Au total, 44 animaux, des lézards dont des geckos, appartenant à sept espèces différentes, ont été trouvés, tandis que M. Kubus a reconnu qu'il les avait prélevés dans la nature sans autorisation et qu'il en faisait commerce

Ces reptiles font l'objet d'un marché noir en Europe, et ceux dissimulés par le touriste allemand avaient une valeur marchande d'environ 30.000 euros, a indiqué M. Bodie.
Source: http://www.tele-animaux.com/actualite,info,nouvelle-zelande--un-touriste-interpelle-avec-des-lezards-dans-le-slip:6767.html


Suite...

L'Allemand Hans Kurt Kubus, 58 ans, passera 14 semaines derrière les barreaux et devra avoir payé son amende de 5.000 dollars néo-zélandais (3.200 euros) avant d'être renvoyé dans son pays, a décidé mardi le juge du tribunal d'instance Colin Doherty. Selon l'accusation, il s'agissait du plus grave cas d'atteinte aux espèces protégées recensé dans le pays depuis une décennie ou plus.

L'homme n'avait pas choisi n'importe quel lézard, parmi les plus de 3.000 existants. Son choix s'était porté sur deux espèces protégées de geckos et de scinques, d'une valeur de 2.000 euros chacun, sur le marché européen. Il les avait dissimulés dans une poche en tissu cousue à la main.

Le trafiquant a admis exploiter certaines espèces sans permis. Il s'était déjà rendu à quatre reprises depuis 2001 en Nouvelle-Zélande. AP

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Des geckos et des scinques à 2000€ ?

On parle de quelle espèces là?
Naultinus pour le gecko?

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Aucune idée pour les espèces, pour les Gecko tu dois être dans le vrai Rudy je pense, en tout cas c'est bien triste à lire...

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Rudy a écrit:
Des geckos et des scinques à 2000€ ?

On parle de quelle espèces là?
Naultinus pour le gecko?


On trouve en Nouvelle-Zélande deux genres de geckos (Hoplodactylus et Naultinus) et pour les scinques, le genre est Oligosoma.

Mais je ne sais pas quelles espèces de ces genres peuvent atteindre ce prix là, sur le marché de la terrariophilie.

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askook a écrit:

Le trafiquant a admis exploiter certaines espèces sans permis. Il s'était déjà rendu à quatre reprises depuis 2001 en Nouvelle-Zélande. AP


En 2001, 2004, 2008 et 2009.
En 2008, il est venu avec un éleveur suisse...

Source: http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/australiaandthepacific/newzealand/7080799/Reptile-collector-who-smuggled-geckos-in-his-underwear-jailed-in-New-Zealand.html

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Les douanes saisissent des tortues


Les douaniers français ont saisi 25 tortues terrestres, qu'ils ont renvoyées au Togo, et deux perroquets, qu'ils ont confiés à la Ligue protectrice des animaux, annonce la Direction générale des douanes, en rappelant que le trafic des espèces menacées est la deuxième cause de leur disparition juste après la destruction de leur habitat naturel.

En contrôlant les entrepôts d'une société qui importe des reptiles et des rongeurs pour les revendre en ligne, les douaniers de Blagnac, près de Toulouse, ont découvert 50 tortues terrestres de l'espèce "Kinixys belliana". Parmi elles, 25 étaient trop vieilles pour quitter le Togo. En effet, "pour des raisons de préservation de l'espèce et de conditions de reproduction, seuls les spécimens juvéniles (taille inférieure à 8cm) peuvent quitter leur habitat naturel", expliquent les douanes dans leur communiqué. "Après visite sanitaire", les 25 tortues adultes "ont aussitôt été réacheminées vers leur pays d'origine".

Par ailleurs, lors d'un contrôle sur le terminal du Tunnel sous la Manche, les douaniers de Calais ont découvert dans un van immatriculé en Allemagne une cage contenant deux perroquets multicolores de l'espèce "Aras cloroptera". Le passager du véhicule a déclaré les avoir achetés dans une bourse d'échanges aux oiseaux aux Pays-Bas et n'a pas pu produire de "justificatif de circulation communautaire ni de factures", expliquent les douanes. Les aras ont été confiés à la Ligue protectrice des animaux de Calais.
Source:http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/02/25/01011-20100225FILWWW00518-les-douanes-saisissent-des-tortues.php

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Un trafic de tortues démantelé


Une nouvelle fois, un trafic de tortues a été démantelé par la Brigade nature de Mayotte. Les reptiles seront rapatriés samedi à Madagascar.

La Brigade nature de Mayotte s’apprête à rapatrier samedi à Madagascar, une douzaine de tortues « Pyxis arachnoïdes », en français « tortues araignées » saisies en septembre 2009 par les services des douanes du port de Longoni au nord de l’île. Un matelot d’un cargo porte-container, en provenance de Madagascar, tentait de les faire rentrer à Mayotte pour les vendre en France ou dans d’autres pays d’Europe.

Espèces protégées

Ces tortues terrestres de Madagascar sont protégées par la Convention de Washington du 3 mars 1973 sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Elle réglemente le commerce des espèces menacées. « Cette convention liste toutes les espèces menacées en 3 annexes, de l’annexe 1 à l’annexe 3, des plus menacées aux moins menacées. Ces tortues Pyxis arachnoïdes font partie des espèces les plus menacées de l’annexe 1 de cette convention » indique Jean Mehn, chef de la Brigade nature de Mayotte.

Il précise également que le matelot malgache, mis en cause dans ce trafic, a fait l’objet d’une procédure douanière et à la police de l’environnement pour importation de marchandises illégales, pour infraction à la Convention de Washington et aussi pour importation d’une espèce exogène à Mayotte, puisque l’importation de toute espèce de faune sauvage non représentée à Mayotte est interdite aussi.

Trafic

Le matelot incriminé a écopé pour l’ instant d’une amende. Un précédent trafic de tortues rares venues de Madagascar avait été enrayé en janvier 2007 à Mayotte. Un acheteur venu de Corse, île française de la Méditerranée, et muni de faux papiers d’importation espérait ramener en Europe 10 tortues, quatre adultes et six bébés, dites « à éperon » ou « à soc », protégées aussi par la Convention de Washington.

La valeur de ces derniers animaux était estimée à environ 300.000 euros. En 2007, il n’en restait plus que 400 exemplaires dans le monde, dont la majorité à Madagascar, dans la région de Magunda, dans le nord de la grande île. Ces 10 tortues du nom scientifique de « Geochelone yniphora » avaient été rapatriées à Madagascar sous la surveillance du procureur de la république Guy Jean, à l’époque.
Source: http://mayotte.rfo.fr/infos/actualites/environnement-trafic-de-tortue-demantele_18548.html

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Nouvelle-Zélande : un homme arrêté avec des lézards dans le slip.



Nouvelle-Zélande – Dimanche 6 décembre, un homme d’origine allemande a été arrêté alors qu’il essayait de quitter le pays. Il dissimulait dans ses sous-vêtements plusieurs lézards. Les animaux étaient issus d'espèces protégées.

C’est à l’aéroport de Christchurch que l’homme, âgé de 58 ans, a étéinterpellé par la douane. Les agents ont alors trouvé dans son slip un petit paquet renfermant plusieurs reptiles. Au final, ce sont 44 animaux de sept espèces différentes qui ont été retrouvés. L’homme aurait attrapé les reptiles, dont des geckos, dans la nature, alors qu’il n’en avait pas l’autorisation. Il comptait les revendre. Le procureur en charge de l’affaire a déclaré que les animaux retrouvés représentaient une valeur marchande de 30 000 euros.

Source:http://www.zigonet.com/reptile/nouvelle-zelande-un-homme-arrete-avec-des-lezards-dans-le-slip_art9255.html

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askook a écrit:
Nouvelle-Zélande : un homme arrêté avec des lézards dans le slip.



Nouvelle-Zélande – Dimanche 6 décembre, un homme d’origine allemande a été arrêté alors qu’il essayait de quitter le pays. Il dissimulait dans ses sous-vêtements plusieurs lézards. Les animaux étaient issus d'espèces protégées.

C’est à l’aéroport de Christchurch que l’homme, âgé de 58 ans, a étéinterpellé par la douane. Les agents ont alors trouvé dans son slip un petit paquet renfermant plusieurs reptiles. Au final, ce sont 44 animaux de sept espèces différentes qui ont été retrouvés. L’homme aurait attrapé les reptiles, dont des geckos, dans la nature, alors qu’il n’en avait pas l’autorisation. Il comptait les revendre. Le procureur en charge de l’affaire a déclaré que les animaux retrouvés représentaient une valeur marchande de 30 000 euros.

Source:http://www.zigonet.com/reptile/nouvelle-zelande-un-homme-arrete-avec-des-lezards-dans-le-slip_art9255.html


Suite...

Le ressortissant allemand a été condamné aujourd'hui en Nouvelle-Zélande à un peu plus de trois mois de prison pour avoir tenté de faire sortir du pays des reptiles protégés d'une valeur marchande estimée à près de 100.000 euros.

Thomas Benjamin Price, présenté tour à tour comme un courtier en Bourse basé en Suisse et comme sans emploi, est le deuxième Allemand condamné à de la prison en Nouvelle-Zélande en deux mois pour trafic d'espèces protégées. Il était en possession de 16 geckos lors de son interpellation à Christchruch (sud), en compagnie de deux autres hommes, il y a trois semaines.

La peine infligée aux deux autres hommes, un Mexicain et un Ougandais, n'a pas encore été prononcée. Les reptiles représentaient une valeur marchande de 192.000 dollars néo-zélandais (96.000 euros).
Source:http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/03/03/01011-20100303FILWWW00419-canberra-prison-pour-trafic-de-geckos.php

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askook a écrit:
Un trafic de tortues démantelé


Une nouvelle fois, un trafic de tortues a été démantelé par la Brigade nature de Mayotte. Les reptiles seront rapatriés samedi à Madagascar.

La Brigade nature de Mayotte s’apprête à rapatrier samedi à Madagascar, une douzaine de tortues « Pyxis arachnoïdes », en français « tortues araignées » saisies en septembre 2009 par les services des douanes du port de Longoni au nord de l’île. Un matelot d’un cargo porte-container, en provenance de Madagascar, tentait de les faire rentrer à Mayotte pour les vendre en France ou dans d’autres pays d’Europe.

Espèces protégées

Ces tortues terrestres de Madagascar sont protégées par la Convention de Washington du 3 mars 1973 sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Elle réglemente le commerce des espèces menacées. « Cette convention liste toutes les espèces menacées en 3 annexes, de l’annexe 1 à l’annexe 3, des plus menacées aux moins menacées. Ces tortues Pyxis arachnoïdes font partie des espèces les plus menacées de l’annexe 1 de cette convention » indique Jean Mehn, chef de la Brigade nature de Mayotte.

Il précise également que le matelot malgache, mis en cause dans ce trafic, a fait l’objet d’une procédure douanière et à la police de l’environnement pour importation de marchandises illégales, pour infraction à la Convention de Washington et aussi pour importation d’une espèce exogène à Mayotte, puisque l’importation de toute espèce de faune sauvage non représentée à Mayotte est interdite aussi.

Trafic

Le matelot incriminé a écopé pour l’ instant d’une amende. Un précédent trafic de tortues rares venues de Madagascar avait été enrayé en janvier 2007 à Mayotte. Un acheteur venu de Corse, île française de la Méditerranée, et muni de faux papiers d’importation espérait ramener en Europe 10 tortues, quatre adultes et six bébés, dites « à éperon » ou « à soc », protégées aussi par la Convention de Washington.

La valeur de ces derniers animaux était estimée à environ 300.000 euros. En 2007, il n’en restait plus que 400 exemplaires dans le monde, dont la majorité à Madagascar, dans la région de Magunda, dans le nord de la grande île. Ces 10 tortues du nom scientifique de « Geochelone yniphora » avaient été rapatriées à Madagascar sous la surveillance du procureur de la république Guy Jean, à l’époque.
Source: http://mayotte.rfo.fr/infos/actualites/environnement-trafic-de-tortue-demantele_18548.html


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Madagascar : rapatriement des onze tortues malgaches saisies à Mayotte

Onze tortues araignées, saisies par le service de douanes au port de Longoni à Mayotte en septembre 2009, ont été rapatriés à Madagascar la semaine dernière.

Les onze tortues malgaches appelées, tortue araignée en raison de coloration graphique sur sa carapace, qui font parties des reptiles les plus rares du monde, ont été saisies par les agents de la brigade de surveillance du port de Longoni à Mayotte dans une cabine d’un porte-container en septembre 2009, a rapporté mardi Midi, un journal local en langue malgache.

Le transfert de ces tortues s’est fait le 27 février dernier et c’était la compagnie Air Madagascar qui a transporté gratuitement ces espèces en voie de disparition à Madagascar.

Les tortues saisies ont été placées à la station d’observation et de sauvegarde de tortues (SOS Tortues) dans un village à 35 km au nord de Tuléar, qui se trouve à 900 km au sud d’Antananarivo, où elles suivrons de contrôle médical avant d’être relâchées dans la nature.

La tortue araignée est l’une des plus petites tortues au monde et elle se caractérise par sa faible fécondité ce qui montre la réduction des nombres de cette espèce.

Le prix de cette tortue en Europe atteint 10.000 euros, ce qui pousse les trafiquants à prendre des risques pour les exporter.
Source: http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?breve1959

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Saisie de grenouilles toxiques et protégées en Guyane


Les douanes de Guyane ont saisi cette semaine 44 grenouilles interdites d'exportation, à la fois colorées et toxiques en raison d'un venin contenu dans leur peau, très recherchées par les collectionneurs, a annoncé samedi l'ONCFS.

Ces petits amphibiens à tête jaune (Dendrobates tinctorius), dont la taille peut varier de 3 à 7 cm étaient dissimulées dans des boîtes de pellicules photo cachées dans du linge sale, précise l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) dans un communiqué.

La saisie a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi, mais le trafiquant, un citoyen allemand d'origine grecque, était surveillé depuis "quelques jours", selon l'Office.

Ces grenouilles sont protégées par la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d'extinction (CITES) et un arrêté ministériel français en interdit strictement l'exportation hors de Guyane.

Non seulement leur couleur attire les collectionneurs de nombreux pays, prêts à payer 400 euros et davantage pièce, mais en plus elles possèdent une "glande à venin interne à la toxicité plusieurs milliers de fois supérieure à celle de la cocaïne", selon l'ONCFS.

"Ces molécules, encore peu étudiées aujourd'hui, sont convoitées par de grands laboratoires pharmaceutiques notamment", et cette forme de piraterie "prend de l'ampleur depuis ces dernières années", insiste l'Office.

Présentes dans tout le bassin amazonien (Brésil, Venezuela, Colombie, Surinam, Colombie...), elles sont utilisées par certaines communautés amérindiennes pour la confection de poisons de chasse ou de guerre.

En frottant de mucus de ces grenouilles la peau de jeunes perroquets, là où les plumes ont été précédemment arrachées, l'intoxication de l'épiderme provoque également une repousse de plumes normalement colorées et appréciées pour la confection de parures.

L'ONCFS rappelle que le trafic de faune sauvage se situe au troisième plan mondial, après celui des armes et des stupéfiants.

La personne interpellée devait être jugée en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Cayenne.Source: http://www.romandie.com/infos/news2/100403093355.yef2hvlt.asp

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Il cache des iguanes dans sa prothèse de jambe

Ce Californien, qui avait volé des bébés iguanes dans une réserve écologique des îles Fidji encourt une peine de prison.


Jereme James, 34 ans, avait volé trois bébés iguanes rayés des îles Fidji dans une réserve écologique de ces îles du Pacifique Sud, lors d'un voyage en 2002. Il les a fait voyager et pénétrer aux Etats-Unis en les dissimulant dans sa prothèse de jambe.

Six ans après les faits, ce Californien a été accusé de trafic et possession illégale d'animaux menacés et encourt une peine de prison, selon une source judiciaire. Il sera jugé le 14 juillet, a précisé son avocat. Les iguanes sont une espèce en voie de disparition en raison de la destruction de leur habitat. Son histoire rappelle que les touristes en voyage se doivent de respecter la faune et la flore du pays qu'ils visitent.


Source : http://lci.tf1.fr/science/environnement/2008-04/cache-bebes-iguanes-dans-prothese-jambe-4897113.html

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Il y a eu un reportage sur le trafic d'animaux pendant le 20h de TF1.
Dés qu'il est sur le net, je posterai le lien...

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Pas de voyage en Allemagne pour 75 scorpions


Un homme qui tentait d'envoyer en Allemagne par colis aérien 75 scorpions égyptiens venimeux a été arrêté en début de semaine à l'aéroport du Caire, a indiqué mercredi un responsable aéroportuaire. Les douaniers ont découvert les insectes vivants, d'une espèce rare, cachés dans un petit coussin.

Ils se trouvaient au milieu d'autres produits égyptiens devant partir par avion, a précisé à l'AFP ce responsable sous couvert de l'anonymat.

L'homme arrêté, représentant une compagnie d'export de Gizeh, un quartier du Caire, a assuré que les animaux étaient destinés à un centre de recherche médicale allemand.

Les scorpions ont été confisqués et l'homme déféré devant la justice pour violation des lois sur l'exportation et mise en danger de la vie d'autrui.
Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/1110143/2010/05/26/Pas-de-voyage-en-Allemagne-pour-75-scorpions.dhtml

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300 tortues découvertes en Malaisie


Trois cent (300) tortues de Madagascar ont été découvertes par les douaniers de l’aéroport international de Kuala Lumpur, en Malaisie, le 1er juin dernier. Ces animaux, endémiques de Madagascar, étaient enfermées dans deux valises qui contenaient également de la drogue, selon l’organisme TRAFFIC en Asie du Sud-Est.

Ces tortues se composaient de 285 sokake, tortues radiées Astrochelys radiata, 14 kapika, tortues araignées Pyxis arachnoïdes, et de une angonoka, tortue à soc Geochelone yniphora, cette dernière étant très rare et très menacée, selon le statut de l’IUCN. Les deux valises contenant ces tortues et la drogue étaient arrivées à Kuala Lumpur par un vol d’Air Mauritius.

Les tortues sont vivantes et ont été prises en charge par le Département de la Biodiversité et des Parcs Nationaux (Perhilitan) de Malaysie qui étudie actuellement les moyens de rapatrier ces tortues sur Madagascar.

C’est donc un nouveau dossier sur le trafic des tortues endémiques à Madagascar qui vient d’être ouvert avec cette découverte à Kuala Lumpur. Un dossier de plus par rapport aux marchés d’animaux de compagnies qui existent en Asie du Sud Est, dont celui de Bangkok. Ces animaux étant interdits à la vente, il est plus qu’évident qu’il proviennent d’un vaste réseau de trafiquants : tout d’abord au niveau des régions, puis à nos frontières mêmes, et enfin toute la chaîne des commanditaires-revendeurs en Asie du Sud Est.

Ces trois espèces de tortues sont inscrites dans l’Annexe 1 de la CITES, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Selon l’UICN, la tortue à soc Astrochelys yniphora est vraiment très menacée ; sa population est estimée entre 100 et 400 individus répartis sur une superficie de 1500 km², dans le nord-ouest de Madagascar.

Relevons que l’Annexe I de la CITES comprend toutes les espèces menacées d’extinction et le commerce de leurs spécimens n’est autorisé que dans des conditions exceptionnelles. Quant à l’Annexe II, elle comprend toutes les espèces qui ne sont pas nécessairement menacées d’extinction mais dont le commerce des spécimens doit être réglementé pour éviter une exploitation incompatible avec leur survie.

« TRAFFIC, l’organisme de contrôle qui regroupe l’UICN et le WWF, se félicite de la diligence des autorités de la Malaysie dans cette affaire, toutefois elle a exprimé son inquiétude du fait que les coupables de ce crime semblent avoir échappé », a déclaré le directeur régional de TRAFFIC dans le Sud-Est asiatique, le Dr William Schaedla. Aussi, il a exhorté les autorités du département malaysien des douanes et l’autorité en charge de la biodiversité de poursuivre l’enquête afin de démasquer les trafiquants.

Dans le cas des tortues malgaches, il s’agit de la première grande prise à l’étranger en cette année 2010 qui est, rappelons-le, l’année mondiale de la biodiversité. Par le passé, des exportations illégales ont été découvertes autant à Madagascar qu’à l’étranger, notamment dans les pays de l’Asie du Sud-Est d’où ces animaux repartent parfois vers d’autres pays.

Dans le trafic de tortues, il convient de rappeler quelques dossiers ces dernières années. En 2008, en Thaïlande, 269 tortues radiées ont été saisies au marché de Chatuchak, à Bangkok. La tortue radiée est l’espèce la plus courante sur ce marché spécialisé dans la vente des animaux de compagnie. Deux ans plus tôt, en 2006, un ressortissant malgache avait été arrêté à l’aéroport de Bangkok pour trafic de tortues radiées. En 2005, il y a eu l’affaire de trois militaires malgaches qui ont introduit illégalement 180 tortues radiées à La Réunion. Mais il n’y a pas que les tortues. D’autres espèces font également l’objet de trafic, pour ne rappeler que les 500 caméléons et les centaines d’amphibiens découverts à Ivato dans les bagages respectifs d’un chinois et d’un russe. Trafic de tortues et bois de rose : la biodiversité malgache se vide et il est impératif que des mesures sévères soient prises.
Source: http://www.madagascar-tribune.com/300-pieces-decouvertes-en-Malaisie,14223.html

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Dans l’Hérault, le trafic d’animaux ne tarit pas


Le trafic d’animaux exotiques ne concerne pas que le port de Marseille ou l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Dans l’Hérault, depuis 2004, près de 2 000 animaux ont été saisis par les autorités, tandis que des centaines d’autres sont abandonnes par leurs propriétaires. « Pas plus tard qu’hier, nous avons hérité de deux singes magots, une femelle adulte et un petit, dont leurs maîtres ne voulaient plus. »

Laurence Colas, directrice du zoo du Lunaret à Montpellier, n’est plus guère étonnée par de tels abandons. Il faut dire qu’elle a déjà récupéré, par le passé, une quinzaine de singes. « La plupart proviennent du Maroc, poursuit-elle. Les touristes les trouvent mignons, en achètent un… Pour passer la frontière, ils les endorment avant de les cacher dans leurs bagages. Et ils se retrouvent ensuite avec un animal dont, un jour, ils ne veulent plus. Parmi les animaux ramenés de l’étranger, beaucoup meurent durant le voyage ou au bout de quelques mois, comme les caméléons. »
Dans un bâtiment réservé aux animaux placés en quarantaine, le bébé magot, seul dans une vaste cage, porte encore le ridicule harnais dont l’avait affublé son ancien propriétaire. Il devrait bientôt rejoindre l’enclos du zoo réservé à ses congénères, dont les deux tiers proviennent de saisies ou d’abandons. La femelle magot, elle, pourrait ne pas trouver sa place au sein du clan : « Certains animaux ayant grandi chez des particuliers ne sont plus réhabilitables, explique Laurence Colas. Certains sont agressifs, d’autres s’automutilent… »

Achetés puis « jetés »

Animaux séduisants devenus encombrants, achetés puis jetés… Les singes ne sont pas les seuls à faire les frais de ces caprices égoïstes : la directrice du zoo désigne ici et là un caméléon, un boa, un serpent-roi, un serpent des blés… « On nous a aussi amené un lémurien de Madagascar, on nous a proposé de reprendre des piranhas… »
L’engouement pour les NAC (nouveaux animaux de compagnie) n’est pas étranger à ce phénomène : la demande reste forte, d’autant que les animaux exotiques sont faciles à se procurer : « On peut trouver ce qu’on veut sur internet, mais on peut aussi acheter de tout dans des bourses aux reptiles, en Hollande ou en Allemagne. Bien souvent, les passionnés se connaissent et fonctionnent en réseau », explique Laurent Retière, agent technique de l’environnement à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS).
De tels réseaux existent aussi dans l’Hérault, comme l’a notamment prouvé l’affaire qui a éclaté autour d’une ferme pédagogique, à Cessenon-sur-Orb, en 2004, où l’ONCFS a saisi pour 150 000 euros d’animaux : tatou, lynx, gibbon, singes hamadryas, tortues, harfang des neiges, renard polaire, pélican, chat-léopard du Bengale… « Ils étaient achetés illégalement à l’étranger puis revendus ici à des particuliers, raconte Laurent Retière. Avec cette affaire, nous avons réalisé que l’Hérault représentait une plaque tournante, au moins régionale, pour ce genre de trafics. »
Et depuis, les affaires s’enchaînent. En 2006, l’ONCFS découvre 250 papillons capturés ou importés, puis épinglés et mis sous cadres pour être vendus. En octobre 2008, saisie record : 640 tortues entassées dans un jardin sont retrouvées chez un particulier près de Béziers. Tortues d’Hermann, tortues grecques, cistudes d’Europe, mais aussi de dangereuses tortues serpentines de 25 kg, et de rares émydes lépreuses.
Un mois plus tard, nouvelle saisie dans le Gard de 150 animaux exotiques, parmi lesquels nombre de venimeux : boas, pythons, scorpions, une cinquantaine de mygales, des rainettes de Guyane… Là non plus, le propriétaire ne possédait pas les certificats de capacité nécessaires pour la détention de tels animaux.
Et la liste des affaires se poursuit : « 400 animaux naturalisés ont été saisis début 2010 à Frontignan chez un chasseur. Il ramenait dans ses valises les bêtes qu’il avait tuées en Afrique ou en Amérique du Sud, puis il les naturalisait, raconte Laurent Retière. Nous avons trouvé chez lui 270 espèces différentes d’oiseaux… » Ainsi, depuis 2004, l’ONCFS a saisi dans l’Hérault environ mille animaux vivants, et presque autant d’animaux morts.

Lâchés dans le Salagou, le Lez ou la Mosson

Certains spécimens devenus trop envahissants ou encombrants sont également abandonnés par leurs propriétaires en pleine nature. L’exemple le plus connu est celui des tortues de Floride, relâchées un peu partout, dans le lac du Salagou, le Lez ou la Mosson. Des écrevisses de Louisiane colonisent également nos cours d’eau.
Un phénomène qui évolue en fonction des modes : « On a vu des grenouilles xénopes, très voraces, relâchées dans des rivières, se souvient Laurence Colas. Par le passé, c’étaient des youyous du Sénégal, des oiseaux parfois jugés trop bruyants. » Aujourd’hui, à Frontignan, c’est une population de martins tristes, une espèce d’oiseaux très envahissante, qui pose problème.
« Les animaux relâchés causent de gros soucis et entraînent des désé­quilibres écologiques, enchaîne Laurent Retière. Des tortues serpentines, capables d’attaquer n’importe quoi, ont été retrouvées dans la nature, tout comme des tortues-alligators de 60 kg, dont la morsure peut couper la main d’un enfant… Ces espèces agressives mettent en péril les autres populations de tortues. »
La plupart des tortues saisies dans notre département proviennent du Maroc. Achetées là-bas quelques euros, elles sont revendues ici 50, 100, voire 200 euros. Le trafiquant risque une amende de 50 euros, soit bien moins que pour un polo portant un faux crocodile… « C’est pire pour les gris du Gabon, poursuit Laurent Retière. Achetés 2 euros au Cameroun, ils valent ici environ 1 500 euros. Au final, le risque est quasiment nul pour un bénéfice énorme. »
La volonté des autorités d’accentuer ou non la répression sera décisive dans les années à venir. Pour Laurence Colas, l’enjeu est de taille : « Il faut rappeler que le trafic international d’animaux est le troisième au monde, après la drogue et les armes. » Mais un autre facteur apparaît lui aussi comme déterminant dans le devenir de la faune sauvage : la prise de conscience, par tous, que la place des animaux sauvages n’est pas dans un salon. n Sarah Finger

Mygales, serpents et scorpions d’ici

Notre région est naturellement riche en animaux « exotiques », comme l’explique David Sautet, chargé d’études en expertise faunistique aux Ecologistes de l’Euzière : « La lycose de Narbonne compte parmi les plus grosses araignées de France. On la prend fréquemment pour une mygale mais elle appartient à la famille des tarentules. Elle est assez répandue, surtout en garrigue, et possède deux gros crochets pour injecter son venin, douloureux mais peu dangereux pour l’homme. Elle confectionne, à la surface du sol, des pièges en forme de chaussette avec un capot circulaire recouvert de terre et qu’elle tient fermé. Elle laisse dépasser deux pattes et, dès qu’elle sent quelque chose, elle surgit, capture sa proie et la tire dans sa cachette. »
La veuve noire est également présente chez nous. Dotée de grandes pattes, beaucoup moins poilue que la précédente, elle possède un abdomen noir un peu allongé marqué de quelques taches rouges. Potentiellement dangereuse mais peu agressive, elle se loge dans les anfractuosités des murs.
La couleuvre de Montpellier, le plus grand serpent de France, peut atteindre 2,40 m. La population de ce serpent vif mais inoffensif est en régression, car fréquemment victime des voitures. Enfin, le scorpion languedocien, de couleur jaune, venimeux, se trouve à proximité des habitations.
Source: http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!18325.entry

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Tortues marines : Le gouvernement philippin condamne 13 braconniers


Puerto Princesa, Philippines, le 11 août 2010 – La justice philippine a condamné 13 braconniers à des peines de prison allant de 6 à 18 mois ainsi qu’à de lourdes amendes. Les 13 contrevenants vietnamiens ont été appréhendés il y a deux ans pour avoir capturé 101 tortues imbriquées dans la région d’El Nido, dans le Nord de Palawan. La tortue imbriquée est en danger critique d’extinction
.

Le 29 août 2008, les autorités philippines ont alpagué le navire des braconniers à environ 8 kilomètres à l’ouest de l’île Cabaluan. Les braconniers ont tenté de s’échapper mais ont été rattrapés. Le navire avait à son bord 101 tortues imbriquées agonisantes. Les tortues de mer sont considérées par l’UICN (Union Internationale pour la conservation de la nature) comme fortement menacées. Les règles internationales et philippines interdisent de capturer, tuer ou vendre des tortues marines ou des produits dérivés.

Les tortues marines sont très importantes dans les cycles naturels des océans. Par exemple, les tortues vertes se nourrissent de varech. La plante continue dès lors à pousser et se multiplier sur les sols marins. Des milliers d’espèces de poissons et d’invertébrés vivent dans ces ‘prairies marines’. Elles servent aussi de réservoirs pour capturer le dioxyde de carbone excédentaire dans l’atmosphère. Un frein non négligeable au réchauffement de la planète. La tortue imbriquée quant à elle se nourrit de méduses qui risquent de se multiplier avec le changement climatique. Sans tortue pour les manger, les multitudes de méduses risquent de fortement gêner le tourisme.

Le WWF espère que la condamnation des 13 braconniers vietnamiens servira d’exemple et découragera d’autres contrevenants. Au cours des 10 dernières années, plus de 1000 étrangers non philippins ont été appréhendés et accusés de braconnage. Mais quasiment aucune arrestation n’a entraîné de condamnation car les autorités ne veulent pas risquer de mettre les relations avec les pays voisins en péril.
Source: http://www.wwf.be/fr/?inc=news&newsid=799&pageid=news

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100 reptiles vivants dans une valise



Kuala Lumpur, Malaisie – Un contrebandier a été arrêté par le service de sécurité de l’aéroport de Kuala Lumpur. Sa valise contenait 100 reptiles vivants.

Le personnel de l’aéroport a été prévenu lorsque la valise s’est ouverte sur le tapis roulant. Ils ont trouvé à l’intérieur de la valise une impressionnante quantité de reptiles dont 95 boas constricteurs, 2 vipères rhinoceros et une tortue matamata.

Le contrebandier, Anson Wong, est déjà connu des services américains pour trafic d’animaux sauvages et avait encouru en 2001 une peine de 71 mois de prison. C’est alors qu’il était en transit entre la capitale malaisienne et Jakarta en Indonésie qu’Anson Wong a été une nouvelle fois arrêté pour le même motif. Un communiqué de presse a expliqué que Wong restera en prison 2 jours et risque au total jusqu’à 7 ans de prison et des amendes de près de 25.000 euros pour chaque animal sauvage. Le boa constrictor est notamment protégé par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES selon le sigle anglo-saxon).

Traffic, une organisation contrôlant le commerce d’animaux sauvages a déclaré que la Malaisie devait "relever le défi" et prendre conscience que le pays est une plateforme pour les trafiquants d’animaux sauvages. "Leur tentative de se moquer du système légal malaisien doit être traité de front", a expliqué Kanitha Krishnasamy, directrice de programme chez Traffic.

zigonet.com

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Prison pour un célèbre trafiquant malaisien de reptiles




Un célèbre contrebandier malaisien d'animaux sauvages a été condamné lundi à six mois de prison pour avoir tenté d'exporter des serpents menacés, une peine jugée bien trop faible par les défenseurs des animaux.

Anson Wong, 52 ans, considéré comme l'un des trafiquants d'animaux les plus recherchés au monde, a plaidé coupable d'avoir voulu faire passer illégalement 95 boas constrictors, une espèce menacée, vers l'Indonésie voisine.

Surnommé "Lizard King" ("le roi lézard"), il avait été arrêté le 26 août après l'ouverture accidentelle de sa valise sur un tapis roulant de l'aéroport de Kuala Lumpur. Le personnel de l'aéroport y avait découvert les boas, ainsi que deux vipères et une tortue.

Wong a été condamné en vertu de la loi qui interdit l'exportation sans permis d'animaux et devra verser une amende de 190.000 ringgits (61.000 dollars).

Il risquait jusqu'à sept ans de prison.

Les organisations Traffic, qui lutte contre le commerce clandestin des animaux sauvages, et WWF se sont déclarées déçues par la faiblesse de la peine. "Cela démontre que la Malaisie n'est pas prête à combattre les crimes dont sont victimes les animaux sauvages", a estimé un responsable de Traffic.

Wong avait déjà encouru en 2001 une peine de 71 mois de prison aux Etats-Unis pour trafic de reptiles.


sciencesetavenir.fr

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Bolivie : un trafic d’insectes alimente la passion des collectionneurs du monde entier


En Bolivie, se cache un réseau de trafiquants d’insectes principalement destinés à être revendus sur le marché international des collectionneurs.
Aidés par les habitants locaux, entre 200 000 et 250 000 insectes sont capturés et quittent le pays par avion chaque année, affirme le biologiste Fernando Guerra Serrudu.
Les trafiquants ont trois critères d’évaluation : la rareté, l’endémisme et la couleur. Certaines espèces endémiques, comme le papillon Agrias amydon boliviensis, peuvent valoir jusqu’à 2 000 dollars et sont donc très recherchées par les trafiquants.
Les insectes sont les êtres vivants les moins bien protégés en Bolivie et le Ministère de l’Environnement et de l’Eau espère publier à la fin de l’année le premier « Livre rouge des invertébrés ».
Source: http://www.gondwana-agency.co/Bolivie.%3A.un.trafic.d%92insectes.alimente.la.passion.des.collectionneurs.du.monde.entier-861.html

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Tortues de Madagascar : Le reptile coûte 30 000 USD sur le marché noir


Mardi, 12 Octobre 2010 00:00

Au moins un millier de tortues terrestres sont capturées illégalement dans le sud de l'île chaque semaine, selon une étude de WWF.

Le commerce illicite des espèces de tortues endémiques de Madagascar, qui plus est, menacées de disparition, continue librement. Ces animaux n'ont été saisis que dans leurs pays de destination, comme en Allemagne et en Thaïlande. A titre d'illustration, les services des Douanes de Francfort ont saisi 98 tortues de grande valeur dont des tortues à soc connues sous le nom scientifique « Asterochelys yniphora », une espèce rare qu'on trouve seulement dans la Grande Ile, au début de ce mois-ci, suite à leurs investigations. Chaque animal pourrait être acquis à 30 000 USD sur le marché noir, a-t-on appris de source proche de ce dossier.

Bannies du commerce international. Notons que les tortues à soc ou « Angononoka » tout comme les tortues radiées, bénéficient d'un statut d’espèce « strictement protégée », c'est-à-dire qu'elles sont bannies du commerce international, selon la convention de Washington sur la protection des espèces en voie de disparition ou CITES. En effet, on ne recense plus qu'une centaine d'individus vivant dans la nature, a-t-on évoqué. Le service des Douanes de Francfort a également découvert deux autres espèces de tortues de Madagascar, à savoir , les tortues radiata ou « Astrochelys radiata » et les tortues spider ou « pyxis arachnoides » parmi les 98 tortues de grande valeur saisies, à part les tortues terrestres égyptiennes. « Jusqu'ici, nous avons trouvé des infractions contre les conventions de protection des espèces... Notre enquête nous amène à un degré plus loin et à une organisation plus importante qui ont tendance à faire du commerce lucratif sans considération aucune des espèces en voie de disparition », a remarqué Wolfgang Schmitz, l'attaché de presse des services des Douanes. « Ces animaux saisis sont provisoirement pris en charge dans des stations spécialisées afin de les ramener le plus tôt possible à un projet reconnu sur le plan international pour la protection de la nature », selon Beate Jessel, un autre responsable,

218 tortues saisies à l'aéroport. Et pas plus tard qu'hier, les autorités de l'aéroport international de Suvarnabhumi en Thaïlande, ont saisi une cargaison illégale de 217 tortues radiées, dont au moins quatre d'entre eux ne sont plus en vie, ainsi qu'une tortue à soc de Madagascar, de source bien informée. Les agents des Douanes et les autorités de la CITES ont retrouvé à l'aéroport deux valises sur le carrousel à bagages où ces tortues en voie de disparition ont été cachées. Ils ont entretemps arrêté un homme malgache âgé de 39 ans, qui avait porté la valise remplie de tortues à Bangkok en passant par Nairobi, sur un vol Kenya Airlines. C'est la 2e fois que les autorités thaïlandaises ont eu une grosse prise de tortues en provenance de Madagascar, qui sont issues d'un commerce illicite, cette année. En effet, des centaines de la même espèce rare ont été saisies dans une valise à l'aéroport international de Kuala Lumpur, en juin dernier. Deux femmes malgaches ont été emprisonnées suite à ce trafic. Par ailleurs, l'étude récente du WWF révèle qu'au moins un millier de tortues terrestres sont capturées illégalement dans le Sud de Madagascar, chaque semaine. Les trafics sont-ils autorisés ou échappent-ils vraiment au contrôle des autorités malgaches ?

Navalona R.

midi-madagasikara.mg

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Voilà le genre d'article qui me mets hors de moi ! Une fois de plus les amateurs de reptiles sont accusés " de vider la nature " à cause de leur passion . Et le nombre incalculable de reptiles utilisés dans l'industrie de la mode par exemple .......... silence complet ...... silent

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Des tortues en danger de disparition saisies en Thaïlande


Les autorités de l’aéroport international Suvarnabhumi de Bangkok, en Thaïlande ont saisi ce samedi 9 octobre un transfert illicite de 217 tortues radiées et une tortue à soc, portant ainsi en un peu plus d’une semaine un deuxième coup aux trafiquants tentent d’introduire dans ce pays des espèces rares et menacées.

Les agents du Bureau d’investigation et de répression des douanes royales thaïlandaises et les autorités de la CITES à l’aéroport ont retrouvé sur le carrousel à bagages deux valises où avaient été cachées des tortues considérées en danger critique d’extinction.

Ils ont également arrêté l’homme malgache de 39 ans qui avait transporté les valises de Madagascar à Bangkok, en passant par Nairobi sur un vol Kenya Airlines. Au moins quatre des tortues radiées ont été retrouvées mortes au moment de la saisie.

Les décès de tortues et les faits de contrebande sont tragiques en eux-mêmes, mais la situation aurait pu être encore pire si les autorités thaïlandaises n’avaient pas agi de façon rapide. Toutes les espèces de tortue de Madagascar sont gravement menacées, avec la capture illégale pour la revente des animaux comme cause principale de leur déclin.

La saisie de samedi fait partie de plusieurs grandes captures similaires que la région a connu cette année. Il y a un peu plus d’une semaine, les mêmes autorités thaïlandaises ont arrêté un pakistanais de 44 ans qui tentait d’introduire clandestinement dans le pays 1440 tortues étoilées indiennes et un crocodile Gavial emballés dans quatre valises. C’était la deuxième fois que cet individu était arrêté.

En Juin, des centaines d’exemplaires de la même espèce rare de Madagascar avaient été trouvés dans une valise à l’aéroport international de Kuala Lumpur, tandis ce qu’en Juillet deux femmes malgaches ont été emprisonnées pour la contrebande de centaines de tortues en Malaisie.

Le commerce des tortues est dévastateur des populations sauvages. Une étude récente du WWF révèle qu’au moins un millier de tortues terrestres sont illégalement extraites du sud de Madagascar chaque semaine.

« Les tortues à soc en particulier, sont extrêmement vulnérables et le commerce illicite a réduit leur nombre à quelques centaines », a déclaré Chris R. Shepherd, directeur régional adjoint de TRAFFIC Asie du Sud-Est. La longue exploitation de l’espèce et la perte d’habitat ont réduit sa zone de présence à cinq zones isolées représentant seulement 12 kilomètres carrés. En conséquence, on dénombre seulement environ 200 animaux sauvages de ce type. Les deux espèces de tortues saisies par les autorités thaïlandaises sont inscrites à l’Annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore (CITES) et sont interdits de commerce international.
Source: http://www.madagascar-tribune.com/Des-tortues-en-danger-de,14878.html

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Le trafic d'animaux exotiques, un business florissant au Brésil


RIO DE JANEIRO - Une douzaine d'hommes armés en tenue de camouflage sautent d'une camionnette de la Police forestière et investissent les allées du marché de Caxias dans la banlieue nord de Rio: les trafiquants d'animaux n'ont pas le temps de fuir. Ils sont arrêtés avec leurs oiseaux, tortues, singes et reptiles.

"Grâce à ces contrôles nous avons réduit de 80% le trafic d'animaux exotiques sur ce marché par rapport à l'année dernière", déclare à l'AFP le lieutenant Marcele Figueiredo, une jeune femme de 28 ans à la tête du bataillon de la police militaire environnementale de Rio de Janeiro.

Créé en 1983, ce bataillon spécial est composé aujourd'hui de 400 hommes - dont six femmes - qui ne chôment pas.

Chaque année au Brésil, 250.000 animaux sont victimes du trafic, selon les statistiques officielles, et c'est sur des marchés de fin de semaine comme celui-ci qu'ils se retrouvent en vente.

Le trafic d'animaux est la troisième activité illégale la plus lucrative après la vente d'armes et de drogues dans le pays, selon la police. Elle génère plus d'un milliard de dollars par an, estime l'ONG de lutte contre le trafic animalier Renctas.

La législation brésilienne interdit la chasse ainsi que la détention en captivité de tout animal "sauvage", sauf s'il est issu d'élevages autorisés, très rares dans le pays. Acheter au marché noir un perroquet vert ou un toucan arraché à son habitat coûte dix fois moins cher que dans une boutique légale.

"C'est cette différence de prix qui encourage le trafic", déplore le lieutenant Figueiredo.

Aucune espèce n'y échappe. Les oiseaux sont les plus prisés. De 8 euros pour un oiseau commun à 7.000 euros pour un grand ara bleu. Plus un animal est en voie de disparition, plus sa cote augmente.

Un homme vient d'être arrêté alors qu'il tentait de vendre un perroquet vert pour quelques dizaines de reais. Il affirme qu'il "voulait s'en débarrasser parce qu'il mord" et qu'il "ignorait commettre une infraction".

L'oiseau sera transféré dans un centre de tri pour animaux près de Rio tandis que le vendeur s'en sortira avec une amende assortie d'une promesse de ne pas récidiver.

Les animaux saisis sont mis en quarantaine en arrivant au Centre de Tri d'Animaux Sauvages (Cetas) dans la grande banlieue de Rio, un organisme qui dépend du ministère de l'Environnement.

Quelque 8.000 animaux par an arrivent dans ce centre, souvent en piteux état. Nombre de primates y sont aussi recueillis après avoir été simplement abandonnés à l'âge adulte, car devenus trop agressifs, par leurs propriétaires peu scrupuleux.

"C'est un vrai problème" car ils ne peuvent plus se débrouiller tout seuls et on ne peut plus les relâcher dans la nature, disent les vétérinaires.

La moitié des animaux victimes de trafic meurent pendant le transport.

"Ils sont transportés dans de mauvaises conditions, ils sont mis dans des petites cages fermées avec peu d'air. Ils passent des heures sans manger ni boire", affirme un vétérinaire du centre, Daniel Marchesi.

Pourtant, ces animaux trouvent preneurs. Quelque 40% d'entre eux partent vers l'Europe et l'Amérique du Nord. Mais les Brésiliens entretiennent aussi une grande partie du trafic.

"Il y a une grande diversité d'espèces au Brésil et de très beaux animaux qui donnent envie aux gens. Et c'est une habitude culturelle chez les Brésiliens d'avoir des animaux de toutes sortes à la maison", a souligné le docteur Marchesi.

(©️AFP / 29 décembre 2010 06h15)

romandie.com

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Thaïlande: saisie d'animaux rares



AFP : 11/02/2011

Des centaines d'animaux sauvages, dont plusieurs dizaines de serpents, d'araignées, et de tortues parmi les plus rares au monde, ont été saisies dans les valises d'un Indonésien à l'aéroport de Bangkok, ont rapporté aujourd'hui les autorités thaïlandaises.

Rivo Cahyono, 34 ans, s'apprêtait à prendre l'avion lorsque le contrôle de ses bagages aux rayons X a révélé la présence de plusieurs centaines d'animaux vivants entassés dans trois valises, selon la Division de protection de la flore et de la faune sauvages.

Des compartiments spéciaux avaient été aménagés dans les bagages, pour y accueillir notamment 88 tortues étoilées d'Inde, 33 tortues à tête jaune, et une tortue à soc -- des espèces extrêmement rares et protégées.

Parmi les découvertes des douaniers se trouvaient aussi deux boas constrictor et 34 pythons royaux, 18 mygales enfermées dans des boîtes en plastique, des écureuils, plusieurs espèces de lézards, et un perroquet Gris du Gabon.

Le trafiquant a expliqué aux autorités avoir acheté tous ces animaux au célèbre marché de Chatuchak, situé dans le nord de la capitale thaïlandaise.
D'après Traffic, qui lutte contre la contrebande des espèces en danger, le plus grand marché à ciel ouvert de Bangkok est "une plaque tournante pour le trafic de certaines des espèces les plus rares au monde".

Le directeur régional de l'organisation, William Schaedla, a accueilli la saisie avec satisfaction mais émis des réserves sur ce commerce au grand jour d'animaux protégés, "juste sous les fenêtres" des services en charge de leur protection.
"La situation est totalement inacceptable dans un pays qui prétend s'attaquer efficacement aux trafics illégaux d'espèces", a-t-il déclaré.

Les autorités ont estimé que le trafiquant avait acheté ces animaux pour environ 18.000 euros. Il sera poursuivi pour possession illégale et trafic d'animaux sauvages et encourt une peine maximum de quatre ans de prison.

lefigaro.fr

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en espèrant qu'il prenne la peine maximum;mais cela me surprendrait.

a quand la reconnaissance de "crime contre l'animalité".

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Arrestation en Thaïlande de l'un des plus gros trafiquants de varans





L'un des plus gros trafiquants de varans de Thaïlande a été arrêté hier, alors qu'il était en possession de plus de 200 de ces impressionnants lézards particulièrement appréciés dans la cuisine chinoise.

Les dizaines de varans ont été découverts dans un entrepôt de la province de Ang Thong, dans le centre de la Thaïlande, rapporte le site de la fondation Ushuaïa. Le trafiquant arrêté comptait exporter les animaux en Chine, en passant par le Laos, a indiqué la police, précisant qu'il risquait quatre ans de prison et 40.000 bahts d'amende, soit 1.000 euros environ. L'homme est "l'un des principaux braconniers" de varans en Thaïlande, pays où ces lézards géants sont protégés.

Les varans sont très appréciés en Chine, mais aussi au Vietnam, où ils sont mangés. En outre, l'Asie du Sud-Est est l'une des régions où le trafic d'animaux sauvages est le plus important. Il y a quelques jours en Thaïlande, des centaines de tortues, d'araignées et de serpents ont ainsi été découverts dans les valises d'un Indonésien qui les avaient achetés sur le célèbre marché de Chatuchak, à Bangkok.

L'arrestation du trafiquant de varans a été permise grâce à une vaste opération menée fin 2010 contre les braconniers de lézards en Thaïlande, a expliqué l'association Freeland, qui lutte contre les trafics d'animaux.



maxisciences.com

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seulement mille balles d amende avec le fric qu il as du faire c est plutot faible...enfin deja une bonne chose de faite....

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Vol de tortue endémique à Madagascar


Un bébé tortue Astrochelys yniphora, connu sous le nom vernaculaire d’Angonoky, a été intercepté de justesse le mardi 1er mars 2011 dans le district de Soalala, région Boeny. Cette espèce rare de tortue était prête à être embarquée clandestinement dans un navire en partance de Soalala vers Mahajanga.

Cette race endémique de tortue, qui n’existe que dans le district de Soalala, a fait maintes fois l’objet d’une sensibilisation massive et continue sur sa protection, dans tout le district et dans toute la région Boeny, et ce de toute part, aussi bien du côté du département de l’Environnement et ses partenaires que du côté des autorités administratives et policières.

Toutefois, les mesures sévères imposées aux voleurs et recéleurs n’ont pas empêché Rakotondrainibe Johnson, 34 ans, Chef Quartier Mobile de comploter avec Mme Soamada Elisoa, 27 ans, et Mlle Herizane Mastine, 20 ans, tous les trois demeurant à Soalala. Un pactole de 10 millions d’ariary aurait été promis pour ces voleurs et recéleurs pour l’acheminement clandestin de cette perle rare de Soalala si l’opération avait réussi.

Un renseignement reçu par le Directeur du Parc National de Baly, Soalala a été passé le mardi 1er mars à la brigade de la Gendarmerie qui était intervenue immédiatement par une perquisition au domicile des recéleurs. Des bottes de haschich appartenant à Mr Rajaonarison Victor, instituteur FRAM à Antanamahitsy, Soalala ont été découvertes avec la tortue dans le même domicile, destinées à être écoulées vers Mahajanga.

Les 4 complices ont été gardés à la Brigade de la Gendarmerie de Soalala jusqu’à leur déferrement à Mahajanga. La vedette rapide Antselaky appartenant au Parc national de Soalala a servi de transport à ces délinquants vers Mahajanga.
Source: http://www.madagascar-tribune.com/Vol-de-tortue-endemique,15616.html

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Un homme transporte 36 serpents dans ses bagages


Un Autralien de 22 ans transportait un véritable vivarium dans ses bagages à main avant d'être arrêté par les douaniers à l'aéroport de Munich, a-t-on appris vendredi auprès des douanes.
Le jeune homme, un professeur de sport dont le nom n'a pas été divulgué, rentrait lundi de Sydney et avait emprunté la sortie "verte" des voyageurs n'ayant rien à déclarer lorsqu'il a été arrêté par les fonctionnaires.

A l'ouverture de ses bagages, les douaniers ont découvert un sac en toile qui cachait 36 jeunes pythons, longs de 30 cm en moyenne, dont un specimen rare très coté de python blanc.

"C'est la plus importante saisie de serpents vivants à l'aéroport de ces dix dernières années", a expliqué Thomas Meister, un porte-parole des autorités à l'AFP. Interpellé, le jeune trafiquant a été placé en garde à vue.
Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1313346/2011/09/02/Un-homme-transporte-36-serpents-dans-ses-bagages.dhtml

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Il revient d'Australie avec un "python blanc"?

Si quelqu'un à un peu plus d'info sur ce serpent je suis preneur Very Happy

Si je devais ramener des bestioles d'Australie je sais déjà ce que je prendrais Very Happy

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J'aime bien les deux annonces, le prix et surtout la rédaction. Entre le copié/collé et le français douteux.

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