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Promotion des Energies renouvelables

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Le GIEC veut promouvoir davantage les énergies renouvelables



Un groupe des Nations unies sur le climat estime que les sources renouvelables d'énergie pourraient fournir près de 80 pour cent des besoins en électricité dans le monde vers les années 2050.

Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat ou GIEC a publié ces prévisions lundi dans un rapport, approuvé par les délégués des pays membres lors de discussions à Abou Dhabi.

Le GIEC estime que les énergies renouvelables, telles que le solaire et l'éolien, pourraient assurer jusqu'à 77 pour cent des besoins en énergie dans le monde d'ici la moitié du 21e siècle. A l'heure actuelle, les énergies renouvelables comptent pour seulement 12,9 pour cent de la production d'électricité.

Selon le GIEC, une transition vers les sources d'énergies renouvelables aurait aussi pour effet de réduire de quelque 560 milliards de tonnes les émissions de dioxyde de carbone d'ici 2050.

De son côté, le World Wildlife Fund appelle à redoubler d'efforts pour promouvoir l'emploi des énergies renouvelables dans le monde. A son avis, le rapport soumis par le GIEC montre que le réchauffement du climat peut être atténué sans avoir recours à l'énergie atomique.


Source : NHK 10/05/2011

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Depuis le Grenelle de l’Environnement, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables comptent parmi les priorités du ministère de l’Ecologie. Il ne s’agit pas simplement de lutter contre le réchauffement climatique, mais aussi de revitaliser les territoires.

Dans cette optique de revitalisation des territoires ruraux, la ministre de l’Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet et le directeur général de la Caisse de Dépôt, Augustin de Romanet, viennent de signer un accord. Celui-ci prévoit l’engagement de la Caisse de Dépôt en faveur de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables pour la période 2011-2013, la convention précédente ne couvrant que la période 2008-2010. L’objectif de cette entente est un soutien à l’espace rural en termes de croissance et d’emplois.

Alors que le premier accord avait déjà réussi à augmenter les capacités de production de 542 MW et ainsi permis aux territoires de se développer économiquement tout en réduisant sa dépendance énergétique, la nouvelle convention vise à en ajouter 500 MW de capacités supplémentaires en investissant plus de 135 millions d’euros. Une attention particulière sera prêtée au déploiement de la filière biomasse, dont les perspectives sont très favorables en milieu rural.  

L’accord prévoit aussi de privilégier des partenariats publics-privés en matière d’efficacité énergétique afin de permettre la rénovation thermique du parc logement, principalement en ce qui concerne les logements sociaux. Finalement, on compte développer un noyau de petites et moyennes entreprises du secteur de l’énergie qui soient capables de dynamiser l’industrie française et d’occuper une place stratégique dans la politique de compétitivité de la France.

Immoxygene, mAXISCIENCES 18/11/2011

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Paris - Les 212 lauréats de l'appel à projets Territoires à énergie positive pour la croissance verte ont été dévoilés lundi par la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal.

Les territoires récompensés, collectivités ou regroupement de collectivités, pourront bénéficier d'une aide financière d'au moins 500.000 euros pour mettre en place des projets visant à réduire la consommation d'énergie, développer des sources d'énergies renouvelables ou encore développer des pratiques d'économie circulaire. Au total, les lauréats représentent 20.000 communes et quelques 40 millions d'habitants, c'est dire le dynamisme sur les territoires, s'est félicité Ségolène Royal.

 Infographie Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie

Cette aide financière pourra aller jusqu'à 2 millions d'euros en fonction de la qualité des projets. Elle sera financée via le fonds spécial de la transition énergétique doté d'un milliard et demi d'euros sur trois ans et géré par la Caisse des dépots.

La ville d'Orléans, le département du Gers, la Communauté urbaine de Bordeaux ou encore l'île de la Martinique font partie des lauréats. Par ailleurs d'autres territoires dits en devenir, ont également été sélectionnés et ont vocation à accéder dans un deuxième temps à ces subventions.  528 collectivités et groupements de collectivités avaient répondu à cet appel, lancé le 6 septembre 2014 par le gouvernement. Il s'inscrit dans le cadre des différents programmes lancés pour concrétiser la future loi sur la transition énergétique, qui sera examinée à partir de mardi par le Sénat.


Infographie, montrant toutes les facettes de ce qu'est un territoire à énergie positive pour la croissance verte.... Twitter FrancEcologiEnergie 
@ecologiEnergie


Ce projet de loi prévoit notamment d'ici 2030 une réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre (par rapport à 1990), une baisse de la consommation d'énergie de 20 % (par rapport à 2012) et l'augmentation de la part des énergies renouvelables dans le mix-électrique à 32%.


Romandie 9/2/2015

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Paris - La ministre de l'Ecologie et de l'Energie a annoncé jeudi une série de mesures en faveur des énergies renouvelables, notamment une baisse des contraintes militaires sur le développement éolien, un prochain appel d'offres sur le photovoltaïque et des simplifications administratives.

Baisse de la facture énergétique, source de croissance et d'emplois, le développement des énergies renouvelables ouvre de nombreuses opportunités, a affirmé Ségolène Royal, lors d'un discours au colloque national annuel du Syndicat des énergies renouvelables à Paris.

Alors que pour la première fois en 2014, la production d'électricité issue des renouvelables a atteint 20% de l'ensemble de la production de courant, elle a annoncé quatre nouvelles mesures pour faire sauter certains verrous qui freinaient jusqu'ici le développement des énergies renouvelables.

Très attendues par le secteur de l'éolien terrestre, la ministre a annoncé que les discussions avancent avec le ministère de la Défense à propos de la cohabitation des éoliennes et de certaines installations de l'armée.

Le ministère de la Défense a accepté de réduire de 18% les zones de survol à très basse altitude et de 11% les zones d'entraînements, où l'installation d'éoliennes est interdite, a-t-elle affirmé.  Et un amendement du Sénat à la loi sur la transition énergétique actuellement examinée va permettre de revoir les zonages autour des radars tout en préservant les analyses au cas par cas dans les zones sensibles, a-t-elle précisé.

Sur l'éolien en mer, la ministre a également annoncé l'introduction dans la loi d'un amendement permettant un meilleur dialogue en amont des projets entre le gouvernement et les candidats potentiels à des appels d'offres.  En revanche, elle a donné la consigne de prolonger un peu les concertations autour de la définition des zones pour les prochains appels d'offres.

Ségolène Royal a également annoncé que l'ordonnance portant sur la généralisation de l'expérimentation du permis unique dans l'éolien et la méthanisation sera publiée dès la promulgation de la loi sur la transition énergétique avant l'été.

La ministre veut également favoriser l'autoconsommation d'énergie par les particuliers en annonçant la publication ce jeudi du rapport du groupe de travail sur le sujet qui doit être le point de départ d'un grand chantier prioritaire.  Parmi les propositions: le lancement d'appels d'offres pour les installations d'autoconsommation dans les secteurs industriels, tertiaires et agricoles, notamment via des panneaux solaires installés sur les bâtiments, la mise en oeuvre d'un cadre réglementaire.

Dans le solaire, la ministre a annoncé le lancement d'un appel d'offres dans les prochains jours pour les installations de puissance intermédiaire et un autre incluant le stockage d'énergie en outre-mer.

Enfin, Ségolène Royal a annoncé la première réunion du Comité national biogaz le 24 mars prochain pour faire des propositions en faveur de la méthanisation, qui permet de produire de l'énergie à partir des déchets, notamment agricoles.


Romandie 12/2/2015

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Montevideo - Dans une même région, le Venezuela, pays aux plus importantes réserves pétrolières au monde, mais aussi l'Uruguay, l'un des plus avancés dans l'éolien: pour couvrir ses besoins énergétiques en hausse, l'Amérique latine (1) cherche encore sa voie.

C'est vrai que c'est une région qui a beaucoup de pétrole et de gaz naturel, mais beaucoup de pays n'en ont pas ! En Uruguay, on n'a ni pétrole, ni gaz, ni charbon, souligne Ramon Méndez, directeur national de l'Energie de 2008 à février 2015. Une situation qui a poussé le petit pays de 3,3 millions d'habitants à miser sur l'éolien, jusqu'à devenir l'un des plus en pointe dans ce domaine. On a réussi à la fin 2014 à avoir 96% de notre électricité d'origine renouvelable, se félicite-t-il.

Comme l'Uruguay, une partie de la région, déjà équipée en barrages hydro-électriques, a pris le tournant des énergies propres: dans le désert d'Atacama, le Chili prépare un gigantesque parc solaire. Au Brésil, au Mexique, les champs d'éoliennes fleurissent.

A tel point qu'en décembre, l'organisation de défense de l'environnement WWF qualifiait l'Amérique latine de nouvelle région de prédilection pour les énergies renouvelables, félicitant les cinq meilleurs élèves selon elle: le Costa Rica (en passe de devenir le premier pays d'Amérique latine avec 100% d'électricité renouvelable), l'Uruguay, le Brésil, le Chili et le Mexique.

  Entre 2002 et 2012, l'électricité produite grâce à l'éolien a augmenté en moyenne de 26% dans le monde. En Amérique du Sud, elle a augmenté de 51%, en Amérique centrale de 42%, note Tabaré Arroyo Curras, expert en énergie chez WWF, installé au Mexique. (Image carte de l'Amérique centrale (2). U.S. Central Intelligence Agency (CIA) / domaine public)

Une vingtaine de pays latino-américains proposent des mécanismes incitatifs en la matière. Mais tout n'est pas rose: Dans l'énergie solaire, nous n'avons pas encore fait encore l'effort, nous générons moins de 0,5% de l'électricité grâce au soleil.

La question des énergies renouvelables se pose alors que l'Amérique latine, par sa croissance économique, voit ses besoins énergétiques augmenter.

Une de nos études a montré que la région devra doubler sa capacité en électricité d'ici 2030, explique depuis Washington Gerard Alleng, spécialiste du changement climatique à la Banque interaméricaine de développement (BID). Cela crée une pression sur le système énergétique: fournir de l'énergie va devenir un défi pour la région. Mais c'est aussi une opportunité pour les énergies renouvelables.

Un vent et un ensoleillement souvent exceptionnels dans cette partie du monde font que, d'ici 2050 selon la BID, les énergies propres pourraient potentiellement couvrir plus de 20 fois la demande en électricité en Amérique latine.

Mais il reste des barrières, notamment ce que WWF appelle les subventions perverses aux combustibles fossiles.

Les pays où il est très compliqué pour les énergies renouvelables d'entrer en force sont : la Bolivie, le Pérou et l'Equateur, et peut-être un peu l'Argentine, des pays où en 2013, plus de 40 milliards de dollars ont servi à subventionner les combustibles fossiles, soit deux fois ce qui a été investi en renouvelables sur tout le continent cette année-là, regrette Tabaré Arroyo Curras. Sans compter les réticences des producteurs de pétrole et de gaz.

Il y a des tensions au sein des organismes régionaux, raconte une source proche d'un gouvernement latino-américain, entre les partisans des renouvelables et un groupe mené par le Venezuela, la Bolivie, l'Argentine et l'Equateur. Nous sommes en train de construire le traité énergétique de l'Unasur (Union des nations sud-américaines, rassemblant 12 pays), mais nous n'arrivons pas à aller plus loin que le sommaire, parce que nous avons des points de vue totalement différents !.

Sébastien Velut, directeur de l'Institut des hautes études sur l'Amérique latine (IHEAL) à Paris, cite la disponibilité en hydrocarbures comme un frein aux renouvelablesEn Colombie, en Equateur, on est encore sur un modèle plus pétrolier et au Venezuela, l'essence est tellement bon marché que c'est un blocage énorme pour tout changement.

Même l'Uruguay vient d'annoncer en janvier avoir trouvé des gisements potentiels de brut dans ses eaux, assurant que cela ne contredit pas sa politique d'énergies propres. Oui, bien sûr, on est en train de chercher du pétrole, dit Ramon Méndez, car pour le transport notamment, il restera encore longtemps indispensable. C'est une question de survie !


(1) L’Amérique latine est généralement définie comme la partie de l'Amérique où l'on parle des langues romanes (c'est-à-dire dérivées du latin). Pays toujours inclus dans l'Amérique latine :

 l'Argentine
 la Bolivie
 le Brésil
 le Chili
 la Colombie
 le Costa Rica
 Cuba
 l'Equateur
 le Guatemala
 le Honduras
 le Mexique
 le Nicaragua
 le Panama
 le Paraguay
 le Pérou
 la République Dominicaine
 le Salvador
 l'Uruguay
 le Vénézuela

Pays parfois inclus dans l'Amérique latine :

 le Porto Rico
 Haïti
 Le Bélize (Wikipedia)



(2) L'Amérique centrale s'étend de l'isthme de Tehuantepec dans le sud du Mexique (le Mexique est majoritairement situé en Amérique du Nord), au nord au Golfe d'Uraba (Colombie) au sud. Elle est bordée par le Golfe du Mexique au nord, la mer des Caraïbes à l'est, et par l'océan Pacifique au sud et à l'ouest. Dans sa définition la plus commune, l'Amérique centrale comprend les pays suivants  

 le Guatemala
 le Belize
 le Honduras
 le Salvador
 le Nicaragua
 le Costa Rica
 le Panama
et selon la définition de l'ONU on peut également y ajouter   le Mexique. (Wikipedia)


Romandie 31/3/2015

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