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BelleMuezza

La fourrure est de retour partout et pour toutes les bourses.

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La fourrure est de retour partout et pour toutes les bourses.


Malgré l'intervention de la Fondation auprès des grands couturiers, nous assistons à une recrudescence inquiétante de la fourrure dans les magazines de mode, les défilés, mais aussi dans les rues commerçantes et populaires. La fourrure n'est donc plus réservée à une élite. Il est désormais possible de s'offrir un manteau, un gilet sans manche très tendance, une petite toque, une veste avec une capuche en renard, en lapin, ou peut être même en chien viverrin en provenance de Chine pour un prix modique. La fourrure se vulgarise et les vedettes, très fashion dans les clips ou les journaux pour les jeunes, s'affichent avec leur atouts mortuaires.

Le nombre d'animaux sacrifiés pour les caprices de la mode a encore augmenté ! D'après la « Fur Free Alliance », 50 millions d'animaux seraient élevés et tués pour le plaisir macabre et écœurant de ces gens-là ! La France, quant à elle, compte 35 élevages d'animaux à fourrure.

Grâce à la mobilisation de la FBB et d'autres associations, cette mode cruelle avait été enrayée dans les années 80-90.

Comment peut-on encore porter un manteau qui a nécessité la mort de 40 renards, 80 visons, 10 loups, etc. Sans compter que ces animaux sont soit issus d'élevages où ils ne connaissent que la cage dont ils ne sortiront que pour être gazés ou électrocutés, soit issus du piégeage. Est-il utile de rappeler également le sort réservé aux chiens et chats en Chine ?

Image pouvant choquer les personnes sensibles et le jeune public... : L'inudustrie de la fourrure en Russie.
Spoiler:
 


Des vidéos traumatisantes circulent de plus en plus sur le Net mais apparemment cela n'est pas suffisant pour faire évoluer les mentalités… Mais fermer les yeux, c'est être COMPLICE !

À ce sujet, Brigitte Bardot elle-même avait déclaré : « Il y a très longtemps, j'ai porté de la fourrure parce que je ne savais rien des coulisses de ce marché. Chaque année, 50 millions d'animaux sont élevés et tués dans des conditions inimaginables pour satisfaire les caprices de la mode. 50 millions de raisons de vous dire : La fourrure pour moi, c'est fini ! ». Lorsque l'on est informé mais que l'on continue de porter de la fourrure, alors cet acte est purement criminel !

Chaque année, 50 millions d'animaux sont tués pour le commerce de la fourrure.

• 45 millions d'animaux sont issus de l'élevage.
Ils sont gazés ou électrocutés avant d'être saignés, puis dépecés. La plupart sont encore conscients à ce moment-là.

• 5 millions sont des animaux sauvages capturés dans la nature.
Certains sont chassés, comme les phoques, qui sont assommés et dépecés sur place, souvent encore vivants. D'autres sont retenus dans des pièges qui les mutilent. Beaucoup tentent de se ronger la patte pour s'échapper, endurant la souffrance, la faim et la soif jusqu'à l'arrivée du trappeur. De plus, les pièges ne sont pas sélectifs, et beaucoup d'autres animaux, non destinés à la fourrure, y meurent, considérés comme de simples déchets de cette industrie.

• En Asie, et notamment en Chine, les chiens et les chats sont des animaux à fourrure. Ils sont capturés et tués par milliers dans des conditions insoutenables.

Les principaux pays complices

Aujourd'hui, les élevages se situent principalement dans les Pays Scandinaves, en Russie, au Canada, aux États-Unis et de plus en plus en Chine, où la main d'œuvre est très bon marché et les lois pour la protection des animaux sont totalement absentes.

En France, on trouve une vingtaine d'élevages de visons : 190 000 visons ont été élevés, puis gazés, en 2005. En Poitou-Charentes, près de 100 000 lapins Orylag sont sacrifiés chaque année. « Fourrure Torture » estime que 40 millions de fourrures de lapins sortent annuellement des abattoirs français, pour alimenter le commerce de la fourrure.

.Fondation Brigitte Bardot

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Après la libération, mi-octobre, de 4.200 visons d'un élevage de Saint-Cybranet en Dordogne, la Fondation Brigitte Bardot a fermement dénoncé la cruauté des élevages d'animaux pour la fourrure. Pour la Présidente de la FBB : « Ce ne sont pas les auteurs de la libération des visons qui doivent être condamnés, mais tous ceux qui élèvent ces milliers de visons dans des cages en batteries avant de les gazer pour en faire des manteaux ou tout autre inutile article en fourrure ». Dans une lettre adressée, le 23 octobre, au ministre de l'Agriculture, Brigitte Bardot demande la fermeture de tous ces élevages.

C'est malhonnête !
Il est scandaleux, déplacé et mensonger d'accuser aujourd'hui les personnes qui, dans un élan d'humanité et d'empathie, ont voulu sortir ces animaux de leur enfer. Les véritables responsables, les seuls, sont ceux qui ont introduit ces animaux dans le but de les élever, de les tuer et vendre leur peau. Déjà, les ragondins qui se sont multipliés ces dernières années dans les zones humides européennes sont tous issus d'élevages, ces petits rongeurs d'Amérique ayant été importés pour leur fourrure.



Ces élevages entraînent par ailleurs de fortes pollutions, des nappes phréatiques notamment. J'ai sous les yeux le cas d'un élevage à Emagny, dans le Doubs, où 10 000 visons « vivent » dans un élevage autorisé à recevoir 1 000 bêtes… Ces visons qui, dans la nature, vivent au bord des cours d'eau, se retrouvent dans des cages grillagées totalement inadaptées à leurs besoins naturels.

C'est une honte !

Pourtant, l'article L214 du code rural est très clair : « tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce », ce n'est pas le cas dans les élevages de visons en France et c'est pourquoi, Monsieur le Ministre, je sollicite votre intervention pour faire interdire ce type d'élevage (visons et autres animaux à fourrure) sur l'ensemble de notre territoire.

Plusieurs pays européens, comme le Royaume-Uni, ont déjà interdit ces élevages pour des raisons éthiques ou de protection animale. J'aurais aimé que la France, capitale de la mode, prenne cette initiative mais, à défaut, elle doit rejoindre les pays qui donnent l'exemple.

Il est urgent d'agir car nous ne pouvons, moralement, accepter d'abandonner ces milliers de bêtes à leur funeste sort... Je compte infiniment sur vous et vous transmets mes amicales salutations.


Pour plus de renseignements sur l'elevage de visons d'Emagny :
http://www.cpepesc.org/Elevage-de-visons-a-Emagny-25-un.html?var_recherche=visons



.Fondation Brigitte Bardot

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Le piégeage : l'agonie lente et douloureuse


Chaque année, les trappeurs tuent de façon cruelle des millions d'animaux pour leur fourrure, ainsi que de nombreux animaux pris par erreur dans ces pièges (animaux domestiques, lapins, oiseaux...). Pour un animal visé, entre 1 et 10 animaux sont piégés « par accident ». Les pays qui piègent le plus d'animaux pour leur fourrure sont les États-Unis, la Russie et le Canada.
Plusieurs pièges sont utilisés pour capturer les animaux dans leur environnement naturel : les pièges à mâchoires, les collets, les pièges Conibear...

Le piège à mâchoires reste le plus largement employé. L'AVMA (American Veterinary Medical Association) a qualifié ces pièges d'« inhumains ». Ce piège très basique mais particulièrement barbare a été interdit dans 89 pays. Quand l'animal marche sur ce piège, les mâchoires se referment instantanément sur l'un de ses membres. L'animal se débat frénétiquement pour lutter contre la souffrance insoutenable provoquée par le piège qui a pénétré dans sa chair, souvent jusqu'à l'os. Les animaux finissent par mourir d'épuisement, de froid, d'infection, tués par des prédateurs ou par les trappeurs.

Les animaux, comme les castors et les rats musqués, victimes des pièges sous-marins, peuvent lutter désespérément jusqu'à 20 minutes avant de mourir noyés.



Pour éviter que les animaux se fassent mutiler par des prédateurs, les trappeurs utilisent aussi des pièges qu'ils fixent dans des arbres ou sur des poteaux. Les animaux pris dans de tels pièges sont pendus par le membre piégé jusqu'à ce que mort s'en suive. Les pièges Conibear écrasent le cou des animaux. Ces derniers peuvent suffoquer jusqu'à 8 minutes dans ce piège.
Pour les animaux qui sont encore vivants au retour du trappeur, le calvaire continue. Pour éviter d'endommager les peaux, les trappeurs battent les animaux à mort. Une méthode courante consiste à mettre un pied sur la tête de l'animal et presser la poitrine avec l'autre pied pendant plusieurs minutes, afin de provoquer l'étouffement de l'animal.

Le mythe de la conservation des espèces

Malgré la propagande des fourreurs, il n'y a aucune raison écologique pour piéger les animaux dans la nature. Les animaux n'ont pas besoin de l'homme pour se réguler. Même si des interventions humaines ou une situation inhabituelle venaient à faire augmenter temporairement une population, l'équilibre reviendrait rapidement par des processus naturels.

.Fondation Brigitte Bardot

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