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Arctique : Shell obtient le feu vert des Etats-Unis pour forer en Alaska

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Arctique : Shell obtient le feu vert des Etats-Unis pour forer en Alaska


En fin de semaine dernière, Shell a obtenu le feu vert des autorités américaines pour mener quatre forages dans l'océan Arctique, à une trentaine de kilomètres au large des côtes de l'Alaska. Des forages exploratoires, qui ne pourront toutefois pas être menés sans l'accord de plusieurs organisations environnementales.
Shell vient d'obtenir l'autorisation de réaliser des forages exploratoires en eau peu profonde dans l'océan Arctique. Les autorités américaines ont en effet donné leur feu vert au géant anglo-hollandais, rapporte Radio Canada. Cette autorisation concerne quatre forages, qui devraient être réalisés à une trentaine de kilomètres au large des côtes de l'Alaska, dans la mer de Beaufort.

Toutefois le feu vert des autorités américaines est soumis à conditions. Avant de pouvoir lancer son projet, le groupe pétrolier devra obtenir l'autorisation de plusieurs agences environnementales, et notamment celles de la Protection de l'environnement, de la Préservation de la faune, et de la Gestion des ressources marines. Si ces trois organismes accordent à leur tour, le feu vert à Shell, l'entreprise anglo-hollandaise pourrait commencer ses quatre forages dans moins d'un an, à savoir en juillet 2012.

Mais les écologistes s'insurgent contre ce projet. C'est notamment le cas du Sierra Club, du Centre pour la diversité biologique et de la Ligue de défense de la nature d'Alaska, qui jugent cette décision "dangereuse et décevante". Comme le soulignent les défenseurs de l'environnement, les conditions climatiques sont extrêmes dans la mer de Beaufort. Le vent, les glaces et le brouillard de la région pourraient s'avérer dangereux, et rendre très difficile le nettoyage d'une éventuelle marée noire. Or, un tel accident serait une catastrophe écologique, menaçant les animaux de l'Arctique et notamment les ours blancs, les baleines et les morses.



.Maxisciences 08/08/2011

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Depuis ce matin, dans le port d’Helsinki en Finlande, des militants de Greenpeace occupent le brise-glace Nordica, propriété de l’Etat finlandais prêté à Shell, pour sa campagne de prospection pétrolière en Arctique.

Ce matin, 20 militants venus de 13 pays différents sont donc montés à bord. L’objectif ? Empêcher, par une action non violente, le navire de faire route vers un autre navire, le “Fennica”, afin d’ouvrir des voies de navigation pour deux navires de forage en route vers la côte nord de l’Alaska.

Les manifestants ont déployé une banderole proclamant : Arrêtons Shell – "Sauvons l’Arctique".



Shell doit réaliser cinq opérations de forage d’exploration dans les mers des Tchouktches et de Beaufort.

Et pourtant, les compagnies pétrolières savent très bien qu’un déversement d’hydrocarbures au large de la côte de l’Alaska aurait des effets dévastateurs de l’environnement et se révéler impossible à nettoyer.

Tirer profit d’une catastrophe ?


Pour la première fois dans notre histoire, nous sommes confrontés à la possibilité d’un monde sans glace au pôle Nord, sans habitat pour les ours polaires, les narvals, les morses et bien d’autres espèces fragiles.

Et ce risque est encouru par chacun d’entre nous, pour les profits financiers d’une entreprise : Shell !

Shell est la première grande entreprise pétrolière internationale à concrétiser l’exploitation de l’Arctique. Mais d’autres géants mondiaux du pétrole pourrait suivre rapidement et provoquer une dangereuse ruée vers le pétrole de l’Arctique.




-----> message de la pétition : Ne touchez pas à l'arctique

Adressé à : Monsieur Peter Voser,

Le 24 Février, un navire de forage de votre compagnie s’apprêtait à mettre le cap sur l’Alaska en vue de démarrer, dès l’été prochain, des opérations de prospection pétrolière.

L’Arctique n’est pas une région que l’on peut exploiter. C’est un espace qu’il faut protéger. Les spécialistes et les scientifiques nous l’ont dit et répété : il serait impossible de mettre en place une intervention de nettoyage en cas de marée noire dans cette partie du monde.

Extraire du pétrole dans cette région en toute sécurité pose des défis techniques insurmontables. Vous aurez beau essayer de convaincre l’opinion publique qu’il n’y a aucun risque, nous connaissons la vérité. Nous savons qu’il n’en est rien.

Je vous demande donc de renoncer immédiatement à vos projets de prospection et d’exploitation pétrolières en Arctique.

Bien cordialement,


Greenpeace 01/05/2012

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Aujourd’hui, les compagnies pétrolières tentent désespérément de repousser des limites auparavant considérées comme infranchis-sables, trop risquées ou non rentables. Cette expansion effrénée touche désormais l’Arctique, où la fonte des glaces causée par les changements climatiques ouvre la voie à de vastes régions jusque-là préservées.




Voici, à l’usage des pétroliers une petite fiche pratique, des 10 bonnes raisons pour ne pas forer en Arctique !

1. C’est extrêmement risqué. Le climat polaire est l’un des plus rudes au monde, entreprendre quelque chose là-bas est infiniment plus compliqué qu’ailleurs.

2. Notre climat ne peut pas se le permettre. Les impacts du changement climatique deviennent de plus en plus visibles … Et forer pour brûler plus d’énergie fossiles est la dernière chose que nous devrions faire, tout particulièrement lorsqu’il s’agit de le faire dans une zone fragile et intacte comme l’Arctique.

3. En Arctique, les puits de secours sont plus difficiles à forer. En cas d’accident, d’explosion – comme sur la plateforme Deepwater Horizon – un puits de secours doit être foré, mais l’arrivée de la glace hivernale pourrait empêcher ce type d’opération …

4. La récupération du pétrole est presque impossible dans la glace. Les techniques standards en cas de déversement deviennent inutiles dans la glace épaisse. Selon un haut responsable d’une entreprise canadienne spécialisée, en cas de déversement de pétrole,"il n’y a vraiment pas de solution, de méthode aujourd’hui."

5. Il n’y a pas de capacité d’intervention en cas de déversement. L’Arctique est extrêmement isolée géographiquement - une petite population, et peu d’équipements disponibles. Environ 6.000 navires ont été utilisés lors de la catastrophe de Deepwater Horizon. Cairn Energy avait seulement 14 bateaux disponibles dans la baie de Baffin au Groenland ; Shell en prévoit seulement neuf dans son plan d’intervention en cas de déversement dans la mer des Tchouktches.

6. L’environnement est encore moins capable de faire face à un déversement d’hydrocarbure qu’ailleurs. En effet, le manque de soleil en hiver et le froid signifient que le pétrole va prendre plus de temps à se décomposer. L’huile restera bloquée sous la glace en mer. Plus de 20 ans après la catastrophe de l’Exxon Valdez en Alaska, du pétrole peut encore être trouvé dans l’environnement de la baie du Prince William.

7. La faune locale est particulièrement vulnérable. De nombreuses espèces d’oiseaux migrent vers l’Arctique en été, ainsi que les baleines et les phoques. Les ours polaires et les renards arctiques, qui dépendent fortement des ressources marines et côtières pour vivre, seront directement impactés par l’industrialisation.

8. Cette exploitation est très coûteuse – la recherche de pétrole de l’Arctique coûte incroyablement cher. Ces deux dernières années Cairn Energy a dépensé plus d’un milliard de dollars pour forer une poignée de puits – et encore pas trouvé de pétrole. Là où le coût d’extraction d’un baril conventionnel se situe entre 10 et 40 dollars le baril, extraire un baril de pétrole en Arctique coûtera entre 40 et 100 dollars. Sans compter le coût des assurances … Le Lloyd’s, marché des assurances, a levé le drapeau rouge : le plus grand risque en termes de dégâts environnementaux, de coûts d’assurance est une marée noire !


9. Trois ans de ressources pétrolières - l’US Geological Survey estime que l’Arctique pourrait contenir jusqu’à 90 milliards de barils de pétrole. Cela semble beaucoup, mais cela ne répondrait qu’à trois ans de la demande de pétrole dans le monde. Nous risquons donc de compromettre cet espace vierge et magique qu’est l’Arctique pour trois ans de pétrole à peine …

10. Nous n’en avons pas vraiment besoin. Les constructeurs automobiles sont parfaitement capables de produire des véhicules économes en carburant. Si des entreprises comme Volkswagen le voulaient, des véhicules efficaces seraient la norme… Épargnant ainsi aux consommateurs le coût du carburant, et à l’Arctique le coût de l’exploitation pétrolière !



Greenpeace 27/04/2012

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Le brise-glace finlandais "Nordica", affrété par Shell, a quitté le port de Helsinki pour l'Arctique, en dépit de sa tentative de blocage par Greenpeace, a indiqué l'ONG.

"Le bateau est parti (mardi soir) après l'évacuation de nos militants par la police", a déclaré à l'AFP Veera Juvonen, de la branche finlandaise de Greenpeace.

Une vingtaine de militants de l'ONG s'étaient enchaînés mardi matin au Nordica dans le port d'Helsinki, pour tenter de bloquer un projet de forage pétrolier du groupe Shell dans l'Arctique.

Ils ont été interpellés par la police mardi dans la journée ainsi qu'un nouveau groupe de militants, arrivés à bord de bateaux pneumatiques pour tenter d'empêcher que le brise-glace quitte le port.

Une porte-parole de la police de Helsinki a indiqué que les derniers militants, parmi la quarantaine interpellés, avaient été libérés mercredi à la mi-journée.

Le "Nordica", un brise-glace appartenant à la Finlande, devait rejoindre un autre navire, le "Fennica", parti dès mars, afin d'ouvrir des voies de navigation pour deux navires de forage en route vers la côte nord de l'Alaska. Selon Greenpeace, Shell doit réaliser cinq opérations de forage d'exploration dans les mers des Tchouktches et de Beaufort.

Mme Juvonen n'a pas indiqué si Greenpeace allait tenter d'arrêter le navire en mer "Cela reste à voir. Je ne peux pas donner une telle information", a-t-elle déclaré.

Les défenseurs de l'environnement ont mis en garde contre la difficulté de forer dans l'Arctique et de nettoyer efficacement de potentielles fuites, soulignant les risques encourus par la faune et les populations environnantes, dans un écosystème fragile.


[b:]-----> Avec Greenpeace :[/b]
Cliquez sur l'image pour accéder à la pétition contre les forages en Arctique.




Sciences et Avenir 02/05/2012

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Des militants de Greenpeace ont été arrêtés après l'abordage jeudi en pleine mer Baltique du brise-glace Nordica affrété par Shell pour l'aider dans un forage en Arctique, que l'organisation écologiste avait déjà tenté de bloquer au port d'Helsinki, a indiqué la police.

"Les six militants de Greenpeace qui ont abordé ce matin le brise-glace finlandais Nordica ont été arrêtés et sont suspectés" d'intrusion illégale et de blocage, a indiqué dans une déclaration la police de la région de Blekinge, dans le sud-est de la Suède.

"Six militants de Greenpeace, venus de Finlande, d'Israël, d'Autriche, de Suède et du Danemark, ont abordé le Nordica au sud de l'île suédoise d'Öland", a déclaré à l'AFP le porte-parole de l'ONG pour la région nordique, Juha Aromaa, précisant que l'abordage s'était produit peu après 04h00 (02h00 GMT).

Une vidéo réalisée par Greenpeace montre les militants remontant le long du brise-glace à bord de petites embarcations légères et rapides avant d'en escalader la coque et de déployer des banderoles énonçant "Stop Shell" et "You can save the Arctic" (Vous pouvez sauver l'Arctique).

Les autorités suédoises sont montées à bord du Nordica vers 08h30 (06h30 GMT) et ont arrêté puis évacué l'un des militants, tandis que les cinq autres se sont enchaînés au navire, selon la police de Karlskrona où le brise-glace était attendu en début d'après-midi.

Deux jours avant, mardi, une vingtaine d'activistes s'étaient enchaînés au navire au port d'Helsinki avant d'être interpellés. Ils avaient été suivis par un autre groupe.

Mardi, la police finlandaise avait interpellé puis relâché une quarantaine de militants de Greenpeace qui avaient tenté de bloquer le Nordica à Helsinki.

Le Nordica, un brise-glace appartenant à la Finlande, doit rejoindre un autre navire, le Fennica, parti dès mars, afin d'ouvrir des voies de navigation pour deux navires de forage en route vers la côte nord de l'Alaska.

Selon Greenpeace, Shell doit réaliser cinq opérations de forage d'exploration dans les mers des Tchouktches et de Beaufort.

Les défenseurs de l'environnement ont mis en garde contre la difficulté de forer dans l'Arctique et de nettoyer efficacement de potentielles fuites, soulignant les risques encourus par la faune et les populations environnantes, dans un écosystème fragile.



Sciences et Avenir 03/05/2012

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LONDRES - Le géant pétrolier anglo-néerlandais Royal Dutch Shell a annoncé jeudi qu'il renonçait à forer en Alaska en 2014, après une décision défavorable de la justice américaine, un nouveau revers pour le groupe dont le programme a pris plusieurs années de retard.

Une cour fédérale, saisie par des organisations écologistes, a jugé la semaine dernière que le gouvernement américain avait fourni des informations inadéquates lors de l'octroi de licences d'exploration dans la région.


Une décision qui dresse des obstacles substantiels pour les projets de forage de Shell en Alaska et qui a amené le groupe à décider d'arrêter son programme d'exploration en Alaska en 2014, a-t-il indiqué à l'occasion de la publication de ses résultats annuels. C'est une conséquence décevante mais le manque de clarté fait que je ne suis pas prêt à engager de nouvelles ressources pour forer en Alaska en 2014, a déclaré le patron de Shell, Ben van Beurden, qui s'est engagé jeudi à réduire les investissements et à céder des actifs afin de redresser la rentabilité du groupe.

Nous allons veiller à ce que les agences (gouvernementales) compétentes et le tribunal résolvent leurs contentieux le plus rapidement possible, a ajouté le nouveau patron de Shell. Interrogé par l'AFP sur une date de reprise des forages, un porte-parole du groupe s'est refusé à tout commentaire.

Le programme d'exploration de Shell en Alaska a déjà pris plusieurs années de retard. Le groupe devait à l'origine commencer à forer en 2010 mais avait vu son programme gelé après la terrible marée noire de 2010 dans le golfe du Mexique, causée par l'explosion de la plate-forme du britannique BP, Deepwater Horizon.

Après avoir effectué des premiers forages en 2012, il avait été contraint en septembre de la même année de les repousser après un problème sur un navire. Alors qu'il devait forer de nouveau en 2013, il avait finalement décidé de prendre encore du temps pour s'assurer que ses équipements soient prêts.

Les forages au large de l'Alaska sont très critiqués par les défenseurs de l'environnement alors que c'est dans cette région qu'a eu lieu l'une des plus grosses marées noires de l'histoire, lorsque le pétrolier américain Exxon Valdez s'est échoué en 1989. Shell avait participé au développement de l'extraction pétrolière en Alaska dès les années 1950. Il s'était retiré de la région à partir de 1997 mais a recommencé à y investir des milliards de dollars ces dernières années.

La décision de Shell de renoncer à faire des forages en Alaska cette année a été saluée jeudi par des groupes environnementaux.

Shell reconnaît finalement ce que nous disons depuis longtemps à savoir que le forage offshore dans l'Arctique est risqué, coûteux et tout simplement pas un bon investissement d'un point de vue d'une entreprise, a déclaré une responsable de l'organisation Oceana, Jacqueline Savitz, interrogée par l'AFP.

Pour Greenpeace International, l'échec de Shell dans l'Arctique est suivi de près par d'autres compagnies pétrolières qui doivent maintenant conclure que cette région est trop éloignée, trop hostile et trop iconique pour y faire de l'exploration.

Romandie.com 30Janv.2014

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Malgré la contestation de mouvements écologistes, le géant pétrolier néerlandais avait creusé un puits, qui s'est finalement avéré moins prometteur que prévu.

La compagnie Royal Dutch Shell a annoncé, lundi 28 septembre, l'arrêt de ses forages controversés en Alaska, après une première série d'explorations jugée décevante par le géant pétrolier anglo-néerlandais. Dans un communiqué (en anglais), le groupe a expliqué avoir creusé "jusqu'à une profondeur de 6 800 pieds" (environ 2 070 m) son puits "Burger J", situé à environ 240 km au large de la petite ville de Barrow en Alaska.

 Des écologistes opposés à l'exploration pétrolière menée par Shell en Alaska, protestent à Anchorage (Alaska, Etats-Unis), le 31 août 2015. (JONATHAN ERNST / REUTERS)

"Shell continue de reconnaître un potentiel d'exploration important dans ce bassin" pétrolifère d'une taille équivalente à la moitié de celui du Golfe du Mexique (sud-est des Etats-Unis), "et cette zone devrait à terme revêtir une importance stratégique pour l'Alaska et les Etats-Unis, a déclaré le groupe dans un communiqué. Toutefois, le résultat de l'exploration est clairement décevant pour cette partie du bassin".

Le groupe va donc "cesser toute nouvelle exploration au large de l'Alaska dans l'avenir immédiat. Cette décision reflète à la fois le résultat du puits 'Burger J', les coûts élevés associés au projet et l'environnement de régulation difficile et imprévisible au niveau fédéral pour le large de l'Alaska."

Shell avait débuté, à la fin juillet, ses opérations de forage dans cette zone, après avoir reçu le feu vert du président Barack Obama, ce qui avait provoqué la colère d'organisations écologistes, Greenpeace dénonçant d'"immenses risques pour les populations de l'Arctique, la faune et notre climat". Le président américain avait défendu cette décision à la fin août avant un voyage dans la région, expliquant que l'économie américaine devait "encore s'appuyer sur le pétrole et le gaz", tout en promettant des "règles les plus exigeantes possibles" pour éviter toute pollution, cinq ans après une marée noire catastrophique dans le Golfe du Mexique.

Shell a précisé qu'elle enregistrerait "des charges financières" liées à ce retrait, qui seront détaillées lors de la présentation de ses résultats financiers le 29 octobre. La compagnie a simplement souligné que son activité en Alaska pesait quelque 3 milliards de dollars dans son bilan et qu'elle devrait payer environ 1,1 milliard de dollars aux sous-traitants en vertu d'engagements préalables.



Francetv info 28/9/2015

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