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Une heure sans lumière 2012 ou EARTH HOUR

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De Paris à Sydney, du plus grand immeuble du monde jusqu'au plus minuscule des igloos, le monde va célébrer cette année la plus grande manifestation planétaire en faveur du climat en éteignant ses lumières le 31 mars 2012 de 20h30 à 21h30.

Le mouvement Earth-Hour est né en 2007. Au départ, seule la ville de Sidney en Australie avait éteint ses lumières. L'année dernière, ce sont plus de 5251 grandes villes dans le monde et 1,8 milliards de personnes qui ont éteint leur lumière pour Earth-Hour.

Cette année, Earth-Hour aura lieu le samedi 31 mars de 20h30 à 21h30.

Alors n'oubliez pas d'éteindre vos lumières et soutenez la plus grande manifestation planétaire en faveur du climat.


En savoir plus : www.earth hour.fr

WWF mars 2012

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Un petit rappel : demain samedi de 20h30 (France) tout le monde éteint ses lumières et autres appareils (sauf ceux vitaux tels qur réfrégirateurs, congélateurs...) pendant une heure... pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique... Cette action est proposée dans de nombreux pays dans le monde....

Dommage qu'il ne soit pas possible de mesurer les performances des pays participants ... histoire de savoir quels sont les bons élèves et donc ceux qui se sentent concernés par cette problématique...

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Des millions de terriens vont éteindre samedi leurs lumières pendant une heure sur toute la planète en signe d'engagement pour lutter contre le réchauffement climatique, une opération qui sera même photographiée de l'espace par un astronaute.

De la place Tahrir au Caire à l'Empire State Building de New York, des milliers de villes dans quelque 150 pays et territoires devaient éteindre les éclairages de leurs monuments pendant 60 minutes à partir de 20h30 locales.

La sixième édition de cette opération lancée à l'origine par Sydney (Australie) compte cette année quelques nouveaux arrivants comme la Libye, l'Irak et la station spatiale internationale (ISS) qui suivra la vague d'extinction des lumières sur son parcours autour du globe.

"Il n'y a pas de meilleur moyen pour que les gens prennent conscience de l'avenir de la plus belle planète de l'univers", a estimé l'astronaute André Kuipers (Pays-Bas) à bord de la station spatiale et qui partagera ses photos de la Earth Hour sur l'internet accompagnées de ses commentaires.

Depuis la première édition de l'opération en 2007, l'événement est devenu, selon son organisateur, le Fonds mondial pour la nature (WWF), la plus grande démonstration du soutien mondial à la lutte contre la pollution aux gaz à effet de serre.

L'an dernier, 5.251 villes et 1,8 milliard de personnes dans 135 pays y avaient pris part, selon le WWF.

"La Earth Hour 2012 est la célébration du pouvoir des peuples", a souligné samedi le responsable du WWF-Australie Dermot O'Gorman. "Des centaines de millions de gens dans différents pays du monde agissent bien au-delà de ces 60 minutes pour la planète".

L'opéra de Sydney et le pont Harbour Bridge devaient être les premiers à plonger dans l'obscurité à partir de 09H30 GMT et devaient être suivis par la grande tour de Tokyo, la Taipei 101 de Taiwan et la Grande Muraille de Chine.

A Pékin, deux monuments du parc olympique, le Nid d'oiseaux et le Cube à eau, se passeront d'éclairage pendant une heure. A Singapour, 32 centres commerciaux et plus de 370 sociétés, y compris les filiales de Louis Vuitton et Armani, resteront dans l'obscurité pendant l'opération.

La résidence présidentielle taïwanaise, plus de 1.700 commissariats et centres d'entraînement aux Philippines éteindront également les éclairages non essentiels "mais pas dans les cellules pour éviter que les prisonniers ne s'échappent", a précisé un porte-parole de la police, Agrimero Cruz.

A New Delhi, si trois monuments célèbres comme l'India Gate resteront dans l'obscurité provisoirement, pour la population cela ne changera pas trop du quotidien. "Nous avons beaucoup de coupures d'électricité, donc on y est habitué", a noté Sangeeta Dayal, habitante de la capitale indienne. Ses enfants ont toutefois demandé à participer à la Earth Hour après avoir été informés à l'école de la nécessité de faire des économies d'énergie.

Après l'Asie, les lumières s'éteindront à Dubaï, Paris avec entre autres la Tour Eiffel, l'Elysée, le Musée du Louvres, Rome avec la coupole de la Basilique Saint Pierre et Londres avec Buckingham Palace.

Cofondateur de la Earth Hour, Todd Sampson, qui dirige une société de publicité à Sydney, a rappelé qu'à l'origine il s'agissait d'obtenir que les habitants des quartiers du port de Sydney éteignent leurs lumières.

"Nous n'aurions jamais pu prévoir que cela prendrait une telle ampleur. Et puis le mouvement est même plus important à l'étranger qu'ici en Australie", a-t-il indiqué à des journalistes près du Harbour Bridge samedi.


Sciences et Avenir 31 mars 2012

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Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, de nombreuses lumières ont été éteintes samedi à travers le monde.

Un nombre record de 147 pays et régions ont pris part à cet événement annuel, organisé depuis 2007 par le Fonds mondial pour la nature.

Les lumières ont donc été éteintes entre 20h30 et 21h30, heures locales, dans les lieux touristiques et les immeubles de bureaux.

Plusieurs bâtiments se sont ainsi pliés à la règle à Sydney, en Australie, notamment l'Opéra et le Harbor Bridge.

Progressivement, les pays situés plus à l'ouest ont ensuite pris le relais.

Au Japon, la Tour de Tokyo a suivi l'exemple, ainsi que le Dôme de la Bombe Atomique, à Hiroshima.


NHK 01/04/2012

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Des millions de personnes ont éteint samedi leurs lumières pendant une heure sur toute la planète en signe d'engagement pour lutter contre le réchauffement climatique, une opération qui devait même être photographiée de l'espace par un astronaute.

De la place Tahrir au Caire à l'Empire State Building de New York, des milliers de villes dans quelque 150 pays et territoires ont éteint les éclairages de leurs monuments pendant 60 minutes à partir de 20h30 locales.

A New York, le siège des Nations unies a été plongé dans l'obscurité "par solidarité avec les hommes, les femmes et les enfants - soit 20% de l'humanité - qui vivent sans accès à l'électricité", a expliqué le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.

Les lumières du chantier de la tour de la Liberté, construite sur le site des tours jumelles du World Trade Center détruites par les attentats du 11 septembre 2001, ont également été éteintes.

Les îles Samoa, dans le Pacifique, avaient été comme toujours les premières à éteindre les lumières, suivies de la Nouvelle-Zélande, dont les villes se sont brutalement assombries.

A Sydney, la ville qui a lancé l'opération en 2007, le pont de la baie et l'Opéra ont été plongés dans le noir, ainsi que la plupart des gratte-ciel de la ville, sous les regards d'habitants venus pique-niquer sur le port au clair de lune.

La grande tour de Tokyo a ensuite éteint son illumination nocturne, mais pas l'Arbre du Ciel, avec ses 634 mètres, la plus haute tour de télécommunications du monde, qui doit être inaugurée en mai.

Les gratte-ciel de Hong Kong ont aussi été plongés dans le noir, de même qu'à Pékin des édifices devenus célèbres grâce aux jeux Olympiques comme le Nid d'Oiseau. Même la Grande Muraille de Chine a cessé pendant une heure d'être visible de l'espace.

La tour Taipei 101 à Taïwan et les principaux centres commerciaux et gratte-ciel de Singapour ont également observé cette "Heure de la Terre", tandis qu'aux Philippines, des centaines de commissariats ont éteint leurs lumières, "mais pas dans les cellules pour éviter que les prisonniers ne s'échappent", a précisé la police.

La sixième édition de cette opération comptait cette année de nouveaux arrivants comme la Libye, l'Irak et la Station spatiale internationale (ISS) qui suivait la vague d'extinction des lumières sur son parcours autour du globe.

"Il n'y a pas de meilleur moyen pour que les gens prennent conscience de l'avenir de la plus belle planète de l'univers", a estimé l'astronaute André Kuipers (Pays-Bas) à bord de la station spatiale, qui a annoncé qu'il partagerait ses photos sur l'internet.

"L'Heure de la Terre 2012 est la célébration du pouvoir des peuples", a estimé samedi le responsable du WWF-Australie Dermot O'Gorman. "Des centaines de millions de gens dans différents pays du monde agissent bien au-delà de ces 60 minutes pour la planète", a-t-il souligné.

A New Delhi, si trois monuments célèbres comme l'India Gate sont restés dans l'obscurité provisoirement, pour la population cela ne changeait guère du quotidien. "Nous avons de nombreuses coupures d'électricité, donc nous y sommes habitués", a noté une habitante, Sangeeta Dayal.

A Bombay, des habitants ont organisé des défilés à la bougie dans plusieurs rues.

En commençant par Vladivostok, port du Pacifique, 40 villes de Russie ont également participé à l'extinction des feux.

Les lumières se sont aussi éteintes sur les grandes tours de Dubaï, comme la Burj Khalifa, la plus haute tour du monde, et dans d'autres villes du Moyen-Orient. Au Maroc, des ONG engagées dans le développement durable se sont associées à ce mouvement dans huit villes, dont Marrakech, Rabat et Fès.

Partout en Europe, des monuments symboliques ou hauts lieux touristiques comme le Palais impérial de Schönbrunn à Vienne, la Sagrada Familia à Barcelone ou le rocher de l'Acropole à Athènes ont également passé une heure dans l'obscurité.

En Italie, 350 communes se sont jointes à l'initiative, éteignant pendant une heure des édifices comme la coupole de la Basilique Saint-Pierre à Rome, le théâtre de La Scala à Milan, la tour de Pise ou encore la place Saint-Marc à Venise.

Pour un concert dédié au monde du vélo, organisé en contrebas du Château Saint-Ange à Rome, lui aussi plongé dans l'obscurité pendant une heure, l'électricité nécessaire a été produite par les bicyclettes de 128 "donneurs d'énergie".

Dans les Balkans, plus de 40 villes serbes, 32 villes croates et, pour la première fois, trois villes macédoniennes se sont jointes au mouvement.

A Paris, l'Hôtel de Ville, le Parc des Princes, la cathédrale Notre-Dame, l'Arc de Triomphe, entre autres, ont été plongés dans l'obscurité. En revanche la Tour Eiffel n'a été éteinte que pendant cinq minutes pour des raisons de sécurité. Cofondateur de l'Heure de Terre, Todd Sampson, qui dirige une société de publicité à Sydney, a rappelé qu'à l'origine il s'agissait d'obtenir que les habitants des quartiers du port de Sydney éteignent leurs lumières. "Nous n'aurions jamais pu prévoir que cela prendrait une telle ampleur", a-t-il déclaré.

SCIENCES ET AVENIR 01/04/2012

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