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Initiatives ruches : bâtiments publics, entreprises...

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Il y aura des ruches au Palais-Bourbon (Assemblée Nationale)





PARIS (AFP) - Le président de l'Assemblée nationale a décidé qu'il y aurait des ruches d'ici quelques semaines au Palais-Bourbon, a-t-on appris vendredi auprès de la présidence.

Claude Bartolone, président PS élu en juin dernier, avait indiqué récemment qu'il réfléchissait à cette hypothèse. L'endroit de leur implantation n'a pas encore été décidé, a-t-on appris de même source.

La ville de Paris compte près de 300 ruches, dans les parcs comme le jardin du Luxembourg, mais aussi au conseil régional d'Ile-de-France ou encore sur le toit de l'Opéra Garnier.

Le député UMP Daniel Fasquelle (Pas-de-Calais), dont le suppléant est apiculteur, s'est félicité vendredi d'avoir soufflé l'idée à Claude Bartolone en juillet.



SCIENCES ET AVENIR 05/10/2012

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PARIS - Trois ruches seront installées mercredi prochain sur le toit du Palais-Bourbon, a indiqué jeudi le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, conformément à ce qu'il avait annoncé en octobre.

L'installation sera complétée par un parcours pédagogique autour de la biodiversité. Les essaims arriveront, quant à eux, dès que les températures s'y prêteront, écrit Claude Bartolone (PS) dans un communiqué.

De nouvelles initiatives viendront compléter cette première étape symbolique et pédagogique en faveur d'une gestion plus responsable de l'institution, a-t-il ajouté.

La ville de Paris compte près de 300 ruches, dans les parcs comme le jardin du Luxembourg, mais aussi au conseil régional d'Ile-de-France ou encore sur le toit de l'Opéra Garnier.


ROMANDIE 28/3/2013

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Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone (PS), accueille aujourd'hui, 25 avril 2013 à 16 heures, trois essaims d'abeilles dans les ruches bleu, blanc et rouge installées le 3 avril dernier sur le toit du Palais-Bourbon", a-t-il annoncé mercredi dans un communiqué.

60 000 abeilles côtoieront désormais les députés et les fonctionnaires de l'Assemblée nationale. Elles ont été acquises, comme le matériel, auprès de la société Lerouge Apiculture. L'exploitation du rucher a été confiée à un groupe de salariés volontaires de l'institution. La Société centrale d'apiculture, qui assure depuis sa création en 1856 l'exploitation du rucher du Sénat au jardin du Luxembourg à Paris, apportera une assistance technique et un cursus de formation", précise le communiqué.

"Depuis son élection, Claude Bartolone a engagé plusieurs actions en faveur du développement durable, notamment la compensation carbone des déplacements aériens, et l'acquisition d'une flotte de véhicules hybrides", souligne le texte. "De nouvelles initiatives viendront compléter cette première étape symbolique et pédagogique en faveur d'une gestion plus responsable de l'institution durant la législature".

LE POINT.FR 25/4/2013

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"La Ruche Urbaine" propose d'installer des ruches dans les entreprises lyonnaises. Un toit, une terrasse, un jardin, ces lieux peuvent accueillir une ou plusieurs ruches. "La Ruche Urbaine" est le projet professionnel de Nicolas Masurel, un urbaniste et paysagiste lyonnais, fils d’apiculteur.

 ©️ France 3 RA

Nicolas Masurel voit en l’apiculture urbaine une manière de contribuer à la bio-diversité et surtout de sensibiliser le grand public à la sauvegarde des abeilles.

Avec la multiplication des espaces verts, des plantations variées sur les terrasses et bords de fenêtres et surtout les méthodes de culture sans engrais et sans pesticides, la ville devient un refuge pour les abeilles... Nicolas Masurel espère installer ses premières ruches à Lyon au printemps prochain.


France3 Rhône Alpes 3/7/2014

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Depuis le mois d'avril, 7 ruches et près de 4.000 abeilles ont pris place sur le toit d'un récent bâtiment d'Epernay dans le cadre lié à une action de la biodiversité.

 ©️ Paul-Antoine Boudet / France 3 Champagne-Ardenne

Patrick Vialle est l'apiculteur en charge de ces ruches urbaines. Mais il en possède près de 200 autres, en milieu rural.

 Pour la ville d'Epernay, première ville Marnaise à obtenir le label Agenda 21 local France (Label attribué à une ville pour son développement durable), l'expérience est prometteuse.


FR3 Champagne Ardennes 8/9/2014

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Motivées par une volonté de préservation de la biodiversité, mais pas seulement, les sociétés de l’agglomération strasbourgeoise sont de plus en plus nombreuses à accueillir des ruches sur leur site. Explications.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les abeilles se sentent désormais mieux en ville qu’à la campagne. « En raison du développement de la monoculture et de l’usage de produits chimiques, elles disparaissent progressivement des champs, où elles n’ont plus de quoi se nourrir, déplore l’apiculteur strasbourgeois Jean-Claude Moes. Au contraire, elles trouvent des condi-tions de vie propices dans les zones urbaines, où l’on applique de plus en plus la règle du zéro phytosanitaire ».

Les trois ruches installées en terrasse au centre commercial Rivétoile, près de la place de l’Étoile à Strasbourg. Photo Rivétoile

Face à ce constat, des collectivités locales ont décidé d’introduire des ruches dans leur environnement, à l’instar des Villes de Schiltigheim, Fegersheim et Lampertheim depuis un peu moins d’une poignée d’années. S’inspirant de leurs actions, de plus en plus d’entreprises font de même. « En la matière, les sociétés de l’agglomération strasbourgeoise font partie des pionnières et des bonnes élèves » , pointe Jean-Claude Moes en citant, parmi elles, le magasin Les Galeries Lafayette, la menuiserie Abeco ou encore la malterie Cargill.

Dernier exemple en date : la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) a installé, mercredi dernier, trois ruches dans son dépôt de la Kibitzenau, en partenariat avec l’Association apicole de Strasbourg. Cette initiative, qui s’inscrit dans la politique de développement durable de l’entreprise, vise à participer « à la protection et à la réinsertion des abeilles en ville » , à favoriser « la pollinisation et à maintenir ainsi la biodiversité ».

Une volonté que partagent, pour ne citer qu’eux, les Transports Woehl, qui abritent trois ruches au Port-du-Rhin, depuis 2011. « Il s’agit pour nous d’une démarche environnementale au même titre que l’utilisation d’un véhicule au gaz naturel pour nos livraisons dans Strasbourg » , explique Jean-Philippe Gilger, en charge du dossier pour le transporteur.

Ce geste est d’autant plus simple, selon lui, qu’apiculteurs privés ou associatifs proposent désormais des solutions clés en main aux entreprises : « Chez nous, c’est Jean-Claude Moes qui s’occupe de la gestion et du soin de nos abeilles, ainsi que de la récolte et du conditionnement du miel. Accueillir une ruche ne pose donc aucune difficulté, à la condition de lever l’aspect psychologique, c’est-à-dire la peur, qui peut freiner certains. »

« Oui, les abeilles peuvent piquer, mais elles ne sont pas agressives et ne vont pas forcément entrer dans les bureaux ou les ateliers. En revanche, elles sont indispensables à la biodiversité. Il est donc important de combattre la méconnaissance de leur monde, martèle Jean-Claude Moes. Quand les gens sont conscients de l’enjeu que représente leur protection, les choses se passent très bien. La meilleure preuve se trouve à la chocolaterie Suchard qui, après avoir implanté trois ruches, en compte maintenant 18 dans son usine à Neudorf, grâce au parrainage de ses salariés ».

La présence de ruches est intéressante pour la biodiversité, mais aussi pour les entreprises, poursuit Jean-Claude Moes. Par exemple, le fait d’en avoir posé trois en terrasse a permis au centre commercial Rivétoile « de gagner des points dans le cadre de la certification Breeam-in-Use, qui confirme les qualités intrinsèques de notre bâtiment en matière d’exploitation technique, de performance environnementale et de maîtrise des risques » , se réjouit sa directrice, Florence Feldmann. « Nos colonies d’abeilles prospèrent bien et ne sont à l’origine d’aucune nuisance », constate-t-elle, en précisant d’ailleurs que « les riverains du centre viennent de voter leur reconduction ».

Pas question, pour autant, que Rivétoile accroisse son cheptel. « Nous sommes un centre commercial, rien d’autre, dixit Florence Feldmann. Nous n’avons pas vocation à devenir des apiculteurs professionnels ou à nous lancer dans une production importante de miel. Celui que nous récoltons déjà nous sert lors d’ateliers culinaires ou est offert à nos partenaires et à nos clients à l’occasion d’événements. Il est très recherché ! »

Précision : les quelque 20 000 abeilles qui peuplent une ruche produisent, en moyenne, 15 à 30 kilos de miel par an. Du fait qu’elles butinent en ville « des « plantes exotiques [NDLR : inexistantes à la campagne], salive Jean-Claude Moes, leur miel offre des saveurs gustatives étonnantes. Une raison de plus d’encourager les entreprises à s’intéresser aux abeilles. »


L'Alsace 25/5/2015

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En campagne, les colonies déclinent et les essaims disparaissent. C'est exactement l'inverse en milieu urbain.

Dans cette ruche de Strasbourg, 60 000 abeilles préparent la récolte. La colonie est en pleine activité et devrait produire 20 kilos de miel. Elles se trouvent en pleine ville, sur le toit de l'assurance maladie, à quelques rues de la cathédrale. Un apiculteur professionnel intervient plusieurs fois par mois pour entretenir ces ruches.



Pour lui, la ville constitue un cadre idéal pour les abeilles. "En ville c'est vrai qu'il y a de la pollution, mais elle est atmosphérique, elle n'est pas phytosanitaire. La campagne on utilise des pesticides de façon intensive, de façon considérable. On a une monoculture, généralement des céréales", explique Jean-Claude Moes, apiculteur.

Une nourriture abondante et de qualité, c'est ce qui plait aux abeilles en ville. En quatre ans, une dizaine d'entreprises se sont lancées dans l'aventure à Strasbourg. France 2 a fait déguster ce miel urbain aux passants. Tous le trouvent très bon. Ces ruches ont surtout pour intérêt de réintroduire les abeilles en ville et de favoriser la pollinisation et la biodiversité indispensable à l'agriculture.


Francetv info 3/9/2015

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