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FRANCE : Alertes sur les risques de tempêtes, crues, orages, sécheresse, etc...

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La préfecture de Haute-Savoie a mis en garde mercredi contre les risques élevés d'avalanche pour la journée de jeudi dans le massif alpin, appelant les skieurs et les randonneurs à la plus grande prudence.

"Compte tenu des importantes chutes de neige attendues jusqu'à jeudi matin, l'estimation du risque d'avalanches pour la journée de jeudi est classée en risque fort (niveau 3 sur 5, évoluant vers niveau 4)", a indiqué la préfecture dans un communiqué.

 AFP/AFP - La préfecture de Haute-Savoie a mis en garde mercredi contre les risques élevés d'avalanche pour la journée de jeudi dans le massif alpin, appelant les skieurs et les randonneurs à la plus grande prudence  Photo par Jean-Pierre Clatot/AFP.


Elle met en garde notamment contre les coulées de neige fraîche qui pourraient se déclencher naturellement jeudi matin dans des pentes raides, à moins de 1.800 m, et les avalanches de poudreuse en altitude.


Elle appelle les skieurs ou randonneurs à "une extrême prudence", principalement lors des randonnées à ski ou en raquettes, rappelant qu'il est préférable de skier sur des pistes balisées et sécurisées.

 AFP news agency 26/12/2013



Par ailleurs, après les vents forts qui ont balayé toute la région rhônalpine mercredi, il ne devrait plus rester mercredi soir que 3.000 clients non alimentés dans l?Ain, le Rhône, la Loire, l?Ardèche, la Drôme et le nord de l?Isère, a indiqué ERDF dans un communiqué. Le retour à la normale est prévu pour jeudi soir, précise l'opérateur.

AFP / Yahoo actualité 26/12/2013

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Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a reconnu jeudi "une erreur d'appréciation" des services de l'Etat qui n'ont pas suffisamment pris en compte le risque de crues en Bretagne lors du passage de la tempête Dirk.

"Il y a eu sans aucun doute une erreur d'appréciation", a déclaré le ministre lors d'une visite à Quimperlé dans le Finistère, département le plus touché par les crues de plusieurs cours d'eau depuis la nuit de lundi à mardi.

Crues à Morlaix 24/12/2013 (Finistère)


"Je vais demander aux préfets concernés, notamment au préfet de région, de tirer un certain nombre d'enseignements, faire un certain nombre d'évaluations (...) pour comprendre pourquoi le niveau d'alerte (...) un cran au-dessus n'a pas été donné", a déclaré M. Valls, qui s'exprimait devant une maison de trois étages dont la façade en bord de rivière a été emportée.

M. Valls a prévu de se rendre après Quimperlé à Châteaulin et à Morlaix, deux autres communes du Finistère touchées par les inondations.

Il a indiqué que les procédures de placement en zone de catastrophe naturelle étaient enclenchées et seraient rapidement mises en oeuvre. "Le président de la République souhaite que les choses aillent le plus vite possible", a-t-il souligné.

Il a appelé à la vigilance face au risque de nouvelles inondations à l'approche de précipitations annoncées en Bretagne dans les jours qui viennent, plusieurs cours d'eau étant encore très hauts malgré une décrue ces dernières heures.

"C'est dans ces moments-là que la Bretagne doit sentir pleinement la solidarité" du pays, a-t-il affirmé.

AFP / Yahoo actualités 26/12/2013

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Météo France a classé le Finistère en vigilance rouge pour les crues ce jeudi après-midi alors que deux autres départements bretons sont toujours en vigilance orange...
Bis repetita. Après le passage de la tempête Dirk à Noël, plusieurs communes bretonnes étaient partiellement inondées ce jeudi, notamment Quimperlé (Finistère), en raison de fortes pluies. Ces précipitations ont conduit Météo France à classer le Finistère en vigilance rouge pour les crues ce jeudi après-midi, le Morbihan et l'Ille-et-Vilaine étant toujours en vigilance orange.

 Rue inondée le 2 janvier 2014 à Quimperlé —Damien Meyer AFP


Aucune victime n'a cependant été à déplorer et les pompiers du Finistère n'ont eu à effectuer qu'un nombre «limité» d'interventions, ces crues, dûment anticipées, ayant affecté des quartiers régulièrement touchés par les eaux, a indiqué le CODIS.

 laurentbzh abd 24/12/2013

A Quimperlé, «le niveau de la Laïta a atteint 4,70 m, alors que Vigicrues n'attendait que 4,20 m au maximum», a déclaré Alain Kerhervé, adjoint au maire en charge du dossier.

Des inondations de moindre ampleur ont également affecté des rues de Quimper et de Landerneau, ont indiqué les pompiers.


 Il y a trois ans déjà... Passionvideomab allain 30/9/2013


La N12, principale artère à quatre-voies du nord de la Bretagne, a par ailleurs été coupée par une inondation jeudi matin au niveau de Guiclan (Finistère), dans le sens est-ouest, ont indiqué les autorités routières.

Une femme d'une cinquantaine d'années a été tuée mercredi dans le Morbihan lorsqu'un arbre déraciné par le vent s'est abattu sur la voiture dans laquelle elle se trouvait, près
Quelques 90 habitations et commerces jouxtant les quais ont été touchés, avec pour certains plus de 1,50 m d'eau, a précisé Alain Kerhervé. «Nous espérons que l'arrêté de catastrophe naturelle sera pris le plus rapidement possible», a ajouté l'élu.

 

AFP 2/1/2014


Des inondations de moindre ampleur ont également affecté des rues de Quimper et de Landerneau, ont indiqué les pompiers. La N12, principale artère à quatre-voies du nord de la Bretagne, a par ailleurs été coupée par une inondation jeudi matin au niveau de Guiclan (Finistère), dans le sens est-ouest, ont indiqué les autorités routières.

>> Retrouvez ici les témoignages des internautes de 20 Minutes lors du passage de Dirk.

>> A voir ici les images de la ville de Morlaix envahie par les eaux.

20 minutes 2/1/2013

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Les intempéries qui frappent en continu la Bretagne ne permettaient pas encore dimanche de décrue mais la situation allait néanmoins en s'améliorant, tandis que le littoral Atlantique panse ses plaies après les dégâts provoqués par les fortes vagues de ces derniers jours.

Dans le Finistère les regards restent braqués sur un petit fleuve côtier, la Laïta, passé une nouvelle fois en vigilance rouge dans la nuit avant de revenir à l'orange dimanche matin.

euronews (en français) 3/1/2014


Si un nouveau débordement a eu lieu le matin à Quimperlé, l'eau de la Laïta devrait rester dans son lit cette fois lors des prochaines marées hautes de dimanche soir et lundi matin avec des pics annoncés en-dessous des 3,60 mètres contre 4 mètres dimanche matin, a indiqué à l'AFP le sous-préfet de Morlaix, Philippe Loos, qui assure la permanence pour le département.

Avec des coefficients de marée à la baisse, les rivières du Finistère devraient désormais rester dans leurs lits. "On ne devrait pas avoir de débordement ce soir mais nous restons en vigilance orange" en raison des précipitations qui tombent toujours sur le département et des sols gorgés d'eau, a-t-il ajouté.

F5MOX 4/1/2014


Les départements du Morbihan, de l'Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique sont aussi toujours en vigilance orange "crues" dimanche.

Dans le Morbihan, la situation est tendue à Pontivy où 200 mètres de barrages anti-inondation apportés par la sécurité civile ont été déployés. Vingt sapeurs-pompiers de la sécurité civile de Nogent-le-Rotrou y sont arrivés dimanche en renfort.

Après avoir baissé légèrement samedi, dimanche le niveau des eaux de l'Oust et du Blavet remontait, menaçant des habitations à Josselin, Pontivy ou encore Malestroit. Dans cette commune, deux collèges seront fermés lundi et les transports scolaires seront perturbés dans le département, a prévenu la préfecture.

AFP 2/1/2014


Le littoral de la façade Atlantique, en vigilance jaune "vagues submersion", a été frappé toute la semaine par de fortes vagues en raison de la conjonction du phénomène de vents forts et de grandes marées. Les coups de boutoir de la mer déchaînée ont endommagé de nombreux ouvrages du littoral dans le Finistère et le Morbihan, placés plusieurs jours en vigilance orange.

Dans le Morbihan et le Finistère des cordons dunaires se sont affaissés, des sentiers côtiers ont disparu et des installations de bord de mer ont été dégradées par les flots. Dans le Finistère ,ce sont surtout les communes de Combrit et Treffiagat qui sont concernées.

Par précaution samedi soir et dimanche matin une dizaine d'habitants de ce secteur ont été accueillis en mairie pendant les périodes de marées hautes. A Treffiagat dimanche matin une pelleteuse tentait de reboucher les plus grosses trouées dans le cordon dunaire qui a perdu quatre mètres de hauteur, a constaté l'AFP.

Des dégâts parsèment ainsi le littoral Atlantique, comme à La Baule (Loire-Atlantique) où l'association des commerçants de la plage La Baule-Pornichet réclame le classement en catastrophe naturelle car, selon eux, sur les 45 installations autorisées sur la plage (restaurants, club de voile, etc...), une quinzaine d'établissements sont "en situation critique" et nécessitent pour certains une reconstruction.

Plus au sud sur le littoral girondin, une dizaine d'engins, pelleteuses, camions-bennes, s'activaient à marée basse pour ré-ensabler le front de mer de Soulac-sur-Mer, où l'océan a gagné environ 4 mètres sur la dune ces derniers jours.

Sur cette commune l'océan gagne en moyenne trois mètres par an, a expliqué dimanche à l'AFP Yves Hérault, des services techniques de la municipalité, qui supervisait les travaux.

Mais les événements climatiques des derniers jours ont rongé un peu plus un aplomb sableux haut de 10 à 15 m qui donne sur la mer et une élégante villa -inoccupée- appartenant à un particulier ne se trouve désormais plus qu'à 10 mètres du bord, et un immeuble de quatre étages, où seule une poignée de personnes vivent à l'année, à une vingtaine de mètres.

Samedi pour les travaux de ré-ensablement du pied de la dune, quelque 14.000 mètres cubes de sable ont été charriés mais "ce qu'on amène en une journée, la mer le reprend en une forte marée", explique M. Hérault.


Le Point 5/1/2014

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De fortes vagues sont attendues dans la soirée et dans la nuit sur le littoral Atlantique, de la Bretagne au Pays Basque.

Le littoral Atlantique toujours en alerte. Neuf départements - de la Bretagne au Pays Basque - ont été placés ce lundi soir en alerte orange pour un risque "vagues submersion".

Certaines vagues pourraient atteindre 8-10 mètres localement, selon plusieurs préfectures. "Cette longue et puissante houle peut occasionner des dégâts notamment sur des parties fragilisées ou exposées du littoral", indique Météo France. L'épisode devrait se terminer mardi vers 11 heures.

Image météo France


Dimanche, une femme a été emportée par une lame, alors qu'elle se trouvait sur une promenade rocheuse près du phare de Biarritz. Un hélicoptère de gendarmerie a survolé sans succès le littoral et la mer lundi jusque vers 16H30, balayant une bande de 30 km. La houle a empêché d'engager une brigade nautique.
La disparue, âgée de 20 à 30 ans, se trouvait avec un groupe de six personnes dimanche qui, vers 17H30, a été surpris par une vague qui a emporté un homme et une femme. Seul l'homme a pu regagner la plage après 20 minutes environ, avec l'aide d'un témoin de la scène, a indiqué le sous-préfet de Bayonne, Patrick Dallennes.

En Bretagne, où le département d'Ille-et-Vilaine demeurait en alerte orange inondations, les crues restent conséquentes mais plusieurs rivières, dont la rivière de Morlaix (Finistère), le Blavet (Morbihan), la Vilaine médiane (Ille-et-Vilaine) sont repassées de vigilance orange à jaune ou verte.

"Un retour progressif à la normale va être observé sur les prochains jours sur ces secteurs", selon Météo France, même si du sud-Finistère à la Loire-Atlantique, plusieurs cours d'eau restaient lundi soir en vigilance orange, dont "la Vilaine aval, la Laïta et l'Oust, maintenus en vigilance orange pour le risque de crues".

AFP 23/12/2013


L'Express 6jan.2014

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Les pluies torrentielles qui ont frappé dimanche le sud-est de la France ont provoqué d'importantes inondations sur la Côte d'Azur. Celles-ci ont fait au moins deux morts et un disparu, ont annoncé les autorités locales.

Plusieurs communes, entre Hyères et Le Lavandou, ont été durement touchées, alors que les pluies s'abattent sur la région depuis vendredi et doivent se poursuivre jusqu'à lundi matin.


 Christ Jesus 17/1/2014

Un homme de 73 ans est décédé dans sa cave et une autre personne a disparu sur son bateau à La Londe-les-Maures, près de Hyères, a annoncé le préfet du département du Var Laurent Cayrel.

Depuis la mi-journée, quelque 155 personnes ont dû être évacuées par hélitreuillage dans le département. Dimanche soir, alors que les rotations d'hélicoptères ont dû cesser avec la pénombre, des habitants du quartier de l'Oratoire à Hyères étaient évacués par barques.

 openskayy 18/1/2014

"La situation est très préoccupante, ça ne va pas s'améliorer cette nuit", a déclaré le préfet, évoquant un "record historique de précipitations" dans la ville de Hyères.

Au moins six centres d'hébergement ont été ouverts dans les communes sinistrées. Une vingtaine de routes départementales ont été coupées et le trafic ferroviaire a repris au ralenti dans la région après avoir été suspendu. Quelque 4000 foyers étaient privés d'électricité en fin d'après-midi.


 
itele 19/1/2014

Dans le département voisin des Alpes-Maritimes, également frappé par de fortes pluies, une dizaine de routes restaient fermées à la circulation dimanche à cause d'éboulements qui, par endroits, empêchaient d'accéder à certains villages.

 itele 19/1/2014





romandie 19/1/2014

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Les cours d'eau du Var étaient en nette décrue après les intempéries qui ont provoqué ce week-end la mort de deux personnes et la disparition d'une troisième. Des pluies faibles à modérées vers les côtes étaient attendues dans la journée, le département restant en alerte orange.

"Les cumuls de pluie mesurés sur le département depuis le début de cet épisode, soit 48 heures, sont généralement compris entre 80 et 160 mm. Les plus forts cumuls de pluie ont été enregistrés dimanche à l'occasion d'un fort orage entre Hyères et le Lavandou avec 150 à 200 mm", a précisé lundi la préfecture du Var dans un communiqué.

 

openskayy 20/1/2014


Elle confirme une "nette décrue" sur l'ensemble des cours d'eau du département. La circulation a été rétablie sur une dizaine de routes du réseau secondaire. Une vingtaine de routes demeurent interdites à la circulation. Huit personnes ont encore été secourues dans la nuit. Une vingtaine de personnes ont été évacuées par précaution d'un lotissement de Hyères.

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, et le ministre de l'Ecologie, Philippe Martin étaient attendus dans la matinée à La Londe, une des communes les plus touchées par les inondations.


 

ibrm2000 20/1/2014


C'est sur ce secteur qu'un homme de 73 ans a été retrouvé mort dans sa cave et qu'un autre est porté disparu sur son bateau. Une troisième victime a été emportée par les flots dans sa voiture à Pierrefeu.

Romandie 20/1/2014

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Alors que la situation revenait progressivement à la normale mardi dans les zones inondées samedi et dimanche dans le Var, les autorités commençaient à procéder, petit-à-petit, à l'évaluation des dégâts.

Plus aucune zone n'est inondée, et seules deux familles de quatre personnes ont encore été hébergées dans la nuit de lundi à mardi dans des centres d'accueil d'urgence, a indiqué la préfecture du Var. Toutes les autres personnes ont pu être accueillies par des proches. AFP/AFP - Alors que la situation revenait progressivement à la normale mardi dans les zones inondées samedi et dimanche dans le Var, les autorités commençaient à procéder, petit-à-petit, à l'évaluation des dégâts.

Au total, plus de 1.500 personnes ont été évacuées et plus de 600 accueillies dans des centres d'hébergement dimanche lors des intempéries qui ont touché le département.

  

wtfdu83 19/1/2014


Deux zones ont été particulièrement concernées par l'épisode pluvio-orageux de samedi et dimanche et pansaient leurs plaies mardi :

- Celle de l'Est-Var, sur le bassin versant de l'Argens, où les cumuls ont été importants dans la journée de dimanche et entraîné la submersion de la basse vallée de ce fleuve, une région vouée à l'agriculture et au tourisme.

 

BFMTV 19/1/2014


- Et celle de Hyères, La Londe, Le Lavandou, qui a vécu un épisode orageux isolé mais violent dimanche matin, survenu après deux jours de pluies, entraînant des crues importantes, notamment de la rivière Maravenne, qui a dévasté un quartier de la Londe. Une route était d'ailleurs encore coupée, sauf pour les secours et les riverains, entre Pierrefeu et La Londe. Dans les quartiers sinistrés, le nettoyage et le déblaiement continuaient mardi dans cette zone.

"Tout le monde s'active, les habitants, les employés municipaux, les pompiers et les militaires de la protection civile nettoient et évacuent", témoignait le maire de Hyères, Jacques Politi, qui se trouvait mardi matin dans le quartier de l'Oratoire.

Le maire, qui a reçu un coup de téléphone de Nicolas Sarkozy "qui lui témoigne tout son soutien", indiquait également mardi après-midi que "sur les 14.000 hectares de sa commune, 2.300 (avaient) ont été impactés, ainsi que 800 habitations, soit 2.000 personnes.

  

Sandra le lavandou 19/1/2014


Les polices municipale et nationale, ainsi que la gendarmerie, ont organisé, comme elles le font systématiquement lors de ce genre d'évènements, des patrouilles préventives pour éviter les pillages dans les zones sinistrées, sans que la préfecture ait été alertée d'actes de malvaillances jusqu'ici.

"Ce sont 500 personnes (agents communaux, sapeurs-pompiers, membres des comités feu de forêts) qui sont mobilisés pour les opérations de nettoyage dans les quartiers inondés", indiquait sur son site internet la mairie de La Londe. Un engin de levage a par ailleurs commencé à travailler sur le port de plaisance Maravenne sur la même commune, où une quarantaine de bateaux, dont 23 ont coulé, restaient enchevêtrés.


 

BFMTV 21/1/2014


Les professionnels touchés par les crues procédaient eux aussi à une première évaluation des dégâts, un bilan qui ne sera pas disponible avant quelques jours, selon les professionnels.

La CCI du Var était en train de mettre en place un "guichet unique" (regroupant divers organismes : Urssaf, RSI, chambres consulaires, etc.) pour les entreprises sinistrées, guichets qui devraient être opérationnels mercredi matin. "Les zones les plus lourdement touchées sont celle de Hyères/La-Londe/Bormes, et l'Est Var", a précisé à l'AFP une porte-parole.

Parmi les professionnels qui ont subi des dommages, on comptait notamment des campings, des métiers de l'industrie hôtelière et des agriculteurs.


 

dol thierry 21/1/2014


La chambre d'agriculture du département a d'ailleurs "réactivé" sa "cellule de crise". "On pense qu'a priori, l'horticulture est la filière la plus durement touchée", expliquait, prudente, une porte-parole de la chambre. "La plaine agricole (de Hyères) a été partculièrement touchée", a confirmé M. Politi, qui indique avoir fait une demande de calamité agricole.

Stéphane Morféa, président de la FDSEA Maures-Esterel et maraîcher dans le Val d'Argens, déplorait, fataliste, cette nouvelle inondation après celles de 2010 et 2011, qui ont durement touché cette zone. "Plus que les dégâts, c'est l'incertitude", regrette-t-il. "En 2010, on nous a dit que c'était exceptionnel, en 2011 aussi. Que vont-ils nous dire en 2014 ? Quand les exceptions se succèdent, ce n'en sont plus", a-t-il poursuivi.

Le préfet du Var tenait toute la journée de mardi "une série de réunions de travail pour organiser et faciliter le retour à la normale avec l'ensemble des acteurs varois". 


AFP / Yahoo actu 21/1/2014

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Les risques d'inondations et d'avalanches concernent l'Ariège, la Haute-Garonne, les Hautes-Pyrénées, les Pyrénées-Atlantiques, le Gers et les Landes.

Six départements du Sud-Ouest sont placés en vigilance orange aux inondations par Météo-France en raison de pluies abondantes en cours sur les Pyrénées. Météo France a d'abord placé en vigilance orange pluie/inondations dès 6 h 00 du matin quatre départements pyrénéens - Ariège, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées et Pyrénées-Atlantiques.

 

Photo d'illustration. ©️ MARINE NATIONALE / AFP


L'organisme de météorologie a ensuite annoncé en milieu de matinée que la vigilance orange s'appliquait aussi dans ces départements aux risques d'avalanches. La vigilance orange aux inondations est parallèlement étendue au Gers pour la plupart des cours d'eau descendant des Pyrénées et au sud des Landes en raison de la crue de l'Adour et des gaves pyrénéens.

 

Le site vigicrues.fr précise qu'il existe pour ces cours d'eau "un risque de crue génératrice de débordements importants". La vigilance orange doit se prolonger jusqu'à samedi à 16 h 00. Il s'agit d'un "épisode pluvieux remarquable par sa durée, nécessitant une vigilance particulière du fait des cumuls importants prévus et de la saturation des sols", selon Météo-France.

L'activité avalanche attendue au cours des prochaines 24 heures est observée en moyenne une à deux fois par hiver sur ces massifs, ajoute-t-on de même source.


lE pOINT 24/1/2014

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De fortes pluies ont provoqué des inondations et d'importants dégâts dans plusieurs départements du Sud-Ouest de la France. Le corps d'une femme a été repêché à Toulouse dans la Garonne en crue.

Selon une source policière, le cadavre de cette femme d'une quarantaine d'années, sans papiers d'identité sur elle, a été récupéré au niveau du centre-ville de Toulouse, mais il est difficile de dire si sa mort a un lien direct avec la crue.

Le pic de crue dans la "ville rose" était attendu pour 14h00. Le match de ligue 1 de football Toulouse-Bastia, qui devait se jouer samedi soir, a été reporté en raison du risque d'inondations.

Une cinquantaine de personnes ont par ailleurs été évacuées de leur domicile dans la nuit de vendredi à samedi dans la région de Pau, annonce la préfecture des Pyrénées-Atlantiques.

En début de matinée, 23 routes départementales étaient coupées et les voies de chemins de fer inondées ont contraint la SNCF a mettre un service de bus de substitution entre Pau et Dax (Landes).

Le département placé en vigilance orange pluies-inondations, avalanches et crues sur les rivières de Pau, le gave d'Oloron, la Nive, la Nivelle, le Saison et les Gaves réunis, a été confronté vendredi soir et dans la nuit à des précipitations importantes qui ont atteint leur pic vers 3h00.

Compte-tenu des conditions de circulation liées aux événements climatiques, la préfecture a appelé la population à limiter les déplacements jusqu'à la fin de l'alerte. Ont aussi été placés en vigilance orange les départements de l'Ariège, de la Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées.

Romandie 25/1/2014

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Huit départements du Sud-Ouest sont en vigilance orange. Les pompiers ont effectué plus de 210 interventions notamment pour des évacuations de logements ou lotissements inondés ou menacés dans les Pyrénées-Atlantiques.

Le Sud-Ouest est touché par de fortes intempéries, samedi 25 janvier.

 

Deux jeunes femmes marchent dans une rue inondée de Tarbes (Hautes-Pyrénées), le 25 janvier 2014. ( AFP )


• Huit départements du Sud-Ouest sont en vigilance orange aux crues, selon Météo France : l'Ariège, la Haute-Garonne, les Pyrénées-Atlantiques, le Lot-et-Garonne, les Hautes-Pyrénées, le Gers, les Landes et le Tarn-et-Garonne. Si la tendance est à l'accalmie au niveau des précipitations, le rique de crues et d'inondations reste important.

• Dans les Pyrénées-Atlantiques, plus de 200 sapeurs-pompiers sont restés engagés samedi matin, assistés de 66 militaires de la sécurité civile. Depuis vendredi après-midi, ils ont effectué plus de 210 interventions notamment pour des évacuations de logements ou lotissements inondés ou menacés, sur plusieurs communes de la région de Pau, comme Idron, Ousse, Nay, ou encore Artigueloutan.

• Au total, une trentaine de routes ont été coupées par des inondations dans les Landes et les Pyrénées-Atlantiques, pour la plupart des routes départementales. L'axe ferroviaire Pau-Dax a également été perturbé, après que la voie ferrée a été inondée au niveau de la commune d'Artix.

• La mairie de Toulouse a annulé le match de football Toulouse-Bastia ainsi que les manifestations prévues au Parc des expositions sur l'île du Ramier, en raison des risques de crue de la Garonne. La rencontre doit être reprogrammée dimanche.



Francetv Info 25/1/2014

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Cours d'eau qui débordent, glissement de terrain, avalanches... Les intempéries ont provoqué plusieurs dégâts en Midi-Pyrénées. A Lortet (Hautes-Pyrénées), petite commune de 220 habitants, un glissement de terrain s'est produit sur une maison délabrée, dans la nuit du vendredi 24 au samedi 25 janvier. C'est la conséquence des fortes pluies qui sont tombées sans discontinuer pendant 24 heures dans le département. Onze personnes ont été évacuées par précaution. Personne n'a été blessé, précise  France 3 Midi-Pyrénées.

 

francetv info 25/1/2014


Les routes sont coupées à Tarbes, la préfecture du département. Les Hautes-Pyrénées sont en vigilance orange pour pluies et inondations, mais également pour le risque d'avalanches, selon  Météo France. La région Midi-Pyrénées reste traumatisée par les inondations de juin 2013 qui ont fait trois morts.

Francetv info 25/1/2014

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Quelques vidéos montrant l'ampleur des crues dans le Sud-Ouest de la France...

 

AFP 25/1/2014 



 openskayy 25/1/2014



 

Knapp Joesph 25/1/2014




 magiedumoment 25/1/2014



 

Loïc Dubosq 25/1/2014



 

Pierre-Alexis Marre 25/1/2014




Youtube 25/1/2014

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De nouvelles évacuations d'habitations menacées par les eaux sont intervenues dans la nuit de dimanche de lundi dans les Landes, malgré une décrue générale dans le Sud-Ouest, où les inondations du week-end se propageaient en plaine, coupant plus d'une centaine de routes.


 

BFMTV 25/1/2014


Dans les Landes, une digue a été submergée à Grenade-sur-Adour, dans l'est du département, où l'Adour a atteint dans la nuit 4,56 m, dépassant son seuil historique. Une douzaine de maisons ont été évacuées dans cette ville de 2 500 habitants et à Larrivière-Saint-Savin, sur l'autre berge de l'Adour. La décrue était en cours lundi matin, mais une école et un collège à Grenade sont restés fermés.

 

Crue de la Garonne, le Pont Neuf. Toulouse7tv 25/1/2014


Selon les préfectures, plus d'une centaine de routes, surtout des départementales et de petits axes, restaient coupées lundi matin dans les Landes, le Lot-et-Garonne, les Pyrénées-Atlantiques et le Gers, quatre des sept départements toujours en vigilance orange lundi matin avec la Haute-Garonne, les Hautes-Pyrénées, le Tarn-et-Garonne. Les départements devaient rester en vigilance orange jusque mardi 6 heures, selon la dernière actualisation de Météo-France.


 Inondations à Tarbes. Rédaction Pyrénéesinfo 26/1/2014


Selon Météo-France, "la décrue est généralisée" sur l'ensemble des cours d'eau pyrénéens à l'origine des inondations du week-end, et les nouvelles pluies "de la nuit de dimanche à lundi ont été faibles et n'ont que légèrement freiné les décrues en cours". Les pompiers sont néanmoins intervenus une centaine de fois depuis dimanche soir dans les Landes, à près de 100 reprises aussi en Lot-et-Garonne, dont dix pour secourir des personnes cernées par les eaux dans leur véhicule, après avoir emprunté des routes inondées et interdites d'accès. Ce scénario s'est reproduit plusieurs fois dans le Gers aussi.

 

BFMTV 25/1/2014


Dans les départements affectés, les transports scolaires étaient perturbés lundi, avec pour le Lot-et-Garonne 27 lignes soit suspendues, soit partiellement desservies. Dans ces départements de plaine, une dizaine de cours d'eau restaient sous surveillance, en particulier la Garonne vers Marmande et Tonneins (Lot-et-Garonne), l'Adour et la Midouze (Landes), malgré la décrue constatée partout. Localement comme sur Dax (Landes), la situation mérite encore de la vigilance les prochains jours, selon Méteo-France, alors que l'onde de crue continue à se propager en aval et que la situation météo reste "perturbée lundi et mardi dans le Sud-Ouest".

 Carte météo du matin 27/1/2014

Le Point 27/10/2014

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Neuf départements de la façade ouest ont été placés en vigilance orange en raison notamment de risques de submersion liés aux forts coefficients de marées, a annoncé Météo France vendredi 31 janvier au matin dans son bulletin de 06H00.

Sont concernés par cette alerte les Pyrénées-Atlantiques, les Landes, la Gironde, la Charente-Maritime, la Loire-Atlantique, la Vendée, le Morbihan,, les Côtes-d'Armor, la Manche et l'ile et Vilaine. Le Finistère est quant à lui en vigilance rouge.

"Dans un contexte de grandes marées et de littoral fragilisé, la conjonction de niveaux marins particulièrement élevés et de fortes vagues nécessite une attention toute particulière", explique Météo France.

Par ailleurs, la vigilance orange en raison des chutes de neige a été levée dans les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes et les Alpes-Maritimes.



S et A 31 jan2014

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Une bonne partie du littoral atlantique est concerné. Le Finistère, en vigilance rouge depuis vendredi pour les crues, est redescendu samedi matin en vigilance orange.

SurfingBiarritz 1/2/2014


L'alerte est maintenue mais aucun incident notable n'a été relevé en début de matinée. Onze départements de la façade Ouest sont toujours en vigilance orange en raison de risques de submersion liées notamment aux forts coefficients de marée, selon le bulletin de Météo France publié samedi 1er février. Le Finistère, en vigilance rouge depuis vendredi pour les crues, est redescendu samedi matin en vigilance orange. En prévision, francetv info donne des  des conseils pour se préparer à de potentielles inondations.

 31 janvier  : la mer à l'assaut des plages de Concarneau (Finistère). ( MAXPPP)

Thomas Rocher 1/2/2014


Ces départements sont ceux de la région Bretagne, les Pyrénées-Atlantiques, les Landes, la Gironde, la Charente-Maritime, la Loire-Atlantique et la Vendée. Parmi ces onze départements, outre le Finistère en vigilance rouge, quatre sont également touchés par des risques de crues et d'inondations (Charente-Maritime, Gironde, Landes, Pyrénées-Atlantiques).

AFP 31/1/2014


Actuellement, une dépression circule au large des îles Britanniques et génère de fortes vagues sur l'ouest de la Manche et sur toute la façade Atlantique. Selon Météo France, les vagues vont s'amplifier en journée de samedi en Manche et sur toute la façade Atlantique. Elles s'atténueront progressivement par le nord en journée de dimanche.



Francetv Info 1/2/2014

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Certains témoins évoquent un spectacle "dantesque". La façade atlantique s'est réveillée dimanche 2 février après une nuit agitée. La grande marée de la veille, associée à une forte houle, a secoué les côtes.

Des dégâts sont à signaler, notamment sur l'île de Sein (Finistère), à Douarnenez (Finistère) ou encore à Soulac (Gironde). Francetv info revient en image sur ce "coup de tabac".

 Des vagues de près de 7 mètres ont déferlé sur le front de mer de Douarnenez (Finistère), dimanche 2 février 2014.


 A force de frapper contre les baies vitrées du centre de thalassothérapie, les vagues ont fini par s'engouffrer, noyant les installations. Par mesure de précaution, la soixantaine de clients avait été évacuée du bâtiment. FRED TANNEAU / AFP

Toujours à Douarnenez, les murets entourant la plage n'ont pas résisté à la force des déferlantes.  FRED TANNEAU / AFP


 Les éléments se sont également déchaînés dans le sud-ouest de la France, comme ici à Biarritz, le 1er février. GAIZKA IROZ / AFP



 

En Gironde, la ville de Soulac a été fortement touchée par la montée des eaux. La plage a été littéralement emportée par les vagues. Ce qui n'empêche pas les habitants et les touristes de s'y rendre pour admirer la mer déchaînée. FRANCE 3



 A Bordeaux et dans son agglomération, où la Garonne était déjà sortie de son lit samedi matin, les débordements enregistrés dans la soirée n'ont entraîné aucune conséquence sérieuse dimanche matin. C. ROUX FRANCE 3 AQUITAINE


 Le littoral espagnol a également été touché, comme ici à Santander (Espagne).  MAXPPP



France tv Info 2/2/2014

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Météo-France a mis fin à sa vigilance orange dans six départements de l'Ouest. Seules la Gironde, les Landes et les Pyrénées-Atlantiques restaient dimanche matin en alerte face aux risques de "vagues-submersion".

Un spectacle "dantesque". Le maire de l'île de Sein (Finistère), Jean-Pierre Kerloc'h n'avait jamais vu une mer aussi déchaînée que dans la nuit du samedi au dimanche 2 février. Décrivant des paquets de mer "énormes", l'élu a indiqué qu'une des deux gares maritimes de l'île finistérienne avait été "éclatée par un sac d'une tonne de sable placé pour la protéger, emporté comme un fétu de paille". Une vidéo filmée par un habitant témoigne de la violence des vagues.

 

Didier-Marie LE BIHAN 1/2/2014


Le week-end houleux attendu sur la façade atlantique, sous l'effet conjugué de vents, pluies et fortes marées, a tenu ses promesses, provoquant des dégâts matériels. Météo-France a mis fin dimanche matin à sa vigilance orange dans six départements de l'Ouest. Seules la Gironde, les Landes et les Pyrénées-Atlantiques restaient dimanche matin en alerte face aux risques de "vagues-submersion".

Dans le Finistère, une baie vitrée de la thalasso de Douarnenez a explosé sous les coups d'une vague, occasionnant des dégâts relativement importants. Les fortes vagues ont également brisé neuf baies vitrées de la clinique de Roscoff, sans impact toutefois sur le fonctionnement de l'établissement. A Plouescat, une douzaine de personnes ont par ailleurs été évacuées préventivement. Enfin dans les Côtes-d'Armor, une douzaine de maisons ont été inondées par des vagues passées au-dessus de digues, dans le secteur de Plestin-les-Grèves.

 Des vagues de plus de 12m se sont abattuent sur l'île de Sein (Finistère), samedi 1er février.  (MAXPPP)

Plus au sud, à la pointe du Cap Ferret (Gironde), au moins 50 mètres d'une digue de sable se sont effondrés dans la mer samedi après-midi, sous l'effet de la houle et de la marée.

L'alerte n'est pas levée dans les Landes, où "le point critique se situera (dimanche) matin", avec de "possibles vagues de 7 à 8 m" et un éventuel phénomène de "type mascaret" à Vieux-Boucau et Mimizan, prévient la préfecture. Les pompiers landais ont déjà effectué de leur côté une soixantaine de sorties, notamment dans le secteur, arrosé par l'Adour, de Saint-Martin-de-Seignanx, à une dizaine de km au nord de Bayonne. Huit maisons ont été inondées et 22 personnes ont été évacuées par les pompiers.



Francetv info 2/2/2014

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Les Côtes-d'Armor, le Finistère et le Morbihan ont été placés mardi matin en vigilance orange par Météo-France qui prévoit un fort coup de vent qui débutera l'après-midi avec des rafales pouvant atteindre en fin de journée jusqu'à 140 km/h sur les côtes. Dans son bulletin de 6 heures, Météo-France annonce que cet événement débutera mardi à 16 heures et se terminera mercredi à 3 heures.

Actuellement, précise l'agence de prévision dans son communiqué, "une nouvelle dépression très creuse circule sur l'Atlantique en direction de l'Irlande et génère des vents tempétueux". Si le vent, de secteur sud, est "faible ou modéré" mardi matin, il va "se renforcer progressivement et les rafales maximales atteindront en fin de journée et soirée, 90 à 110 km/h dans l'intérieur des terres, et jusqu'à 120 à 130km/h sur les côtes, voire 140 km/h sur les endroits les plus exposés", précise le bulletin météo.

Météo-France prévoit aussi "de nouvelles précipitations, modérées, mais dont l'écoulement vers la mer pourra être contrarié par ce vent fort, ainsi que par une houle de sud-ouest qui s'amplifiera la nuit prochaine sur le littoral atlantique".

Les départements en alerte orange "submersion" sont : les Côtes d'Armor, le Finistère, Le Morbihan, la Loire Atlantique, la Vendée, la Charente Maritime, la Gironde, les Pyrénées Atlantique et les Landes. Ce dernier département est également en alerte orange "inondation".

 Le point 4/2/2014

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Le Finistère a été placé en vigilance rouge pour les crues, et 35 départements en orange en raison d'une forte tempête attendue jeudi après-midi.

Après la tempête Petra mardi, une nouvelle tempête hivernale s'apprête à déferler jeudi et vendredi sur un large tiers nord-ouest du pays, où 36 départements sont en alerte orange, voire rouge comme le Finistère, menacé de crues. "Ce n'est a priori pas la tempête du siècle, mais elle peut faire des dégâts", a prévenu jeudi après-midi un prévisionniste de Météo-France, Étienne Kapikian.



Tous les départements situés au nord-ouest d'une diagonale allant de la Charente-Maritime aux Ardennes, y compris la région parisienne, ont été placés en alerte. Ce nouvel épisode tempétueux, avec des vents violents, de fortes précipitations sur des "sols déjà saturés" dans certains départements bretons et un phénomène de "vagues-submersion" sur le littoral, doit forcir en cours de nuit et se poursuivre jusque vers 13 heures vendredi.

Outre la Bretagne, les Pays de la Loire, la Normandie, l'Ile-de-France ainsi que les départements de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres, de la Vienne, d'Eure-et-Loir, d'Indre-et-Loire, de Loir-et-Cher et du Loiret, les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie ainsi que les Ardennes et la Marne ont été placées en alerte orange dans l'après-midi.



Des rafales de vent à 90/110 km/h dans les terres et 120 km/h sur les côtes sont attendues par Météo-France, qui prévoit des cumuls de pluie importants, de l'ordre de 30 à 50 mm, et localement 60 à 70 mm sur le nord du Finistère. De fortes vagues et une élévation du niveau de la mer risquent aussi de submerger des parties du littoral, fragilisé par les coups de vent qui se succèdent depuis le mois de décembre.

Les pluies devraient d'abord s'intensifier jeudi, en particulier sur l'ouest de la Bretagne, avant de se décaler vers la Normandie et le Centre vendredi matin. Le vent, lui, se renforcera sur les côtes des Pays de la Loire et du sud de la Bretagne jeudi soir, avant de progresser vers le nord-est, la Normandie et l'Ile-de-France en deuxième partie de nuit, relève Météo-France.

À la pointe de la Bretagne, le Finistère a une nouvelle fois été placé en alerte rouge pour les inondations, les prévisionnistes s'inquiétant de crues potentiellement importantes de la Laïta, à Quimperlé, et de la rivière de Morlaix, ville dont l'accès a été interdit dans l'après-midi aux véhicules. "La situation est assez urgente pour qu'on arrête la circulation", a estimé Agnès Le Brun, maire de la ville de 16 000 habitants, lors d'une réunion de crise à la mairie. "Il faut tout fermer. Maintenant, car ça va sortir (l'eau, NDLR) d'un coup", a-t-elle assuré, précisant que les véhicules pourraient quitter la ville, mais pas y entrer.

 France 3 Bretagne 2/2/2014


Agnès Le Brun a également demandé l'évacuation par précaution d'une quarantaine d'enfants d'une garderie susceptible d'être inondée. Selon le service de prévision des crues, les niveaux à Morlaix "pourraient être similaires, voire supérieurs", à ceux de Noël dernier, quand la basse-ville avait été subitement envahie par les eaux. Idem pour Quimperlé, où sont craints "des débordements dommageables".

Cette dépression suit de près la tempête Petra qui a déjà frappé la côte atlantique mardi. En raison notamment de la houle, un cargo espagnol s'est encastré dans une digue à Anglet (Pyrénées-Atlantiques), se coupant en trois et entraînant une fuite de quelque 20 tonnes de carburant. Jusqu'à 40 000 personnes ont aussi été privées d'électricité, principalement en Bretagne.

 tout pourleson 2/2/2014


Depuis le 15 décembre, cinq épisodes significatifs d'intempéries ont été recensés en Bretagne par la direction interrégionale ouest de Météo-France à Rennes, selon un rapport provisoire. "On ne décèle pas d'évolution significative du nombre d'événements tempétueux depuis 1950, mais une grande variabilité d'une année sur l'autre", assure le service études et climatologie.

"En terme de fréquence et d'intensité de tempêtes, on reste pour l'instant très loin de la période de référence de janvier et février 1990", quand une dizaine de tempêtes majeures s'étaient abattues sur la région, souligne l'organisme. En revanche "les submersions marines répétées lors des grandes marées de début janvier et début février 2014 peuvent d'ores et déjà être considérées comme exceptionnelles".

Le Point 6/2/2014

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PARIS - Environ 22.000 foyers étaient toujours privés d'électricité vers 12H00 vendredi, a indiqué ERDF, après le passage dans la nuit de jeudi à vendredi de la tempête Qumeira sur le tiers nord-ouest de la France, avec des vents atteignant parfois les 120km/h sur les côtes.

AFP 7/2/2014



C'est en particulier dans les Pays de la Loire que se concentrent près de la majorité des foyers privés de courant, le reste se répartissant de la Bretagne au Nord-Pas-de-Calais.

Nous envisageons un retour à la normale vers la fin de la journée pour l'ensemble des foyers concernés, a-t-on précisé au sein d'ERDF à l'AFP.

 BFMTV 7/2/2014



Au plus fort de la tempête, près de 70.000 foyers se sont retrouvés sans courant. Ils étaient encore 55.000 vendredi matin à 08H00.

 La tempête Qumeira qui a touché le France dans la nuit du 06 au 07 février 2014 a occasionné quelques dégâts en Ile de France et notamment à Bagnolet (93) où une antenne radio de deux tonnes et quinze mètres de haut a été arraché de son socle pour pendre dans le vide retenue par ses câbles. De gros dégâts ont été constatés sur l'immeuble dont la façade était en réfection. D'après les pompiers de Paris, dont des unités spécialisées (GRIMP) ont été dépêchées sur place, le retrait de l'antenne ne devrait pas être engagé avant demain 08 février ou plus tard tant que le vent restera fort en Ile de France. Il n'y a eu aucune victime. Line Press 7/2/2014


La Bretagne, les Pays de la Loire, la Normandie, l'Ile-de-France, les départements de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres, de la Vienne, d'Eure-et-Loir, d'Indre-et-Loire, de Loir-et-Cher et du Loiret, les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie, ainsi que les Ardennes et la Marne, sont en alerte orange pour des vents violents jusqu'à vendredi à 13h00.


La partie ouest de la France, plus particulièrement la Bretagne, a déjà été touchée mardi par la tempête Petra, qui avait privé jusqu'à 40.000 foyers de courant dans la région bretonne.

Romandie 7/2/2014

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C'est peu avant son entrée dans le port de Bayonne que le Luno, cargo battant pavillon espagnol a été immobilisé par une avarie moteur. Les vents violents et la mer déchaînée ont alors propulsé le navire sur une digue, le brisant en deux comme une vulgaire maquette de balsa.

 Naufrage d'un cargo espagnol le 5 février 2014 à Anglet, dans les Pyrénées-Atlantiques. (Bob Edme/AP/SIPA)

Le navire avait à son bord 11 membres d'équipage qui ont tous pu être évacués par hélicoptère vers 13h. Les cales du Luno étaient vides, celui-ci venait s'approvisionner en engrais au port de Bayonne. Les réservoirs de carburant d'une contenance de 130 m3, ont eux été éventrés déversant leur contenu dans l'océan.


WORLDBESTVIEWS 5/2/2014


Le plan Polmar (pollution maritime) a été déclenché en début d'après-midi. Celui-ci prévoit la mise en place de moyens techniques et logistiques permettant d'éviter la propagation du polluant, notamment avec l'aide de barrages flottants, de pompes et de matériaux absorbants.

Sciences et avenir 5/2/2014

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Anglet (AFP) - Le pompage du carburant du "Luno", cargo espagnol échoué depuis le 5 février à Anglet (Pyrénées-Atlantiques), s'est achevé avec succès samedi après-midi, écartant un risque de pollution de la Côte basque.

 bY c64border 6/FEB/2014


Profitant des faibles coefficients de marées dans la matinée, les experts de la société néerlandaise Smit Salvage, spécialisée dans la gestion de navires en difficulté, épaulés par des techniciens du Centre d'expertises pratiques de lutte antipollution (Ceppol) de la Marine nationale, avaient démarré les opérations dès 10H40.
 bY Euronews 6/FEB/2014


A 17H10, plus de six heures après, le pompage touchait à sa fin, alors que le vent avait recommencé à souffler sur le littoral du Pays basque, provoquant une forte houle. "L'opération de pompage s'est terminée avec succès, 72H00 après le naufrage" a déclaré à la presse le sous-préfet de Bayonne, Patrick Dallennes. "Tout risque de pollution est écarté", a-t-il ajouté.
 bY Sébastien Icart 7/FEB/2014


Selon le sous-préfet, "entre 85 et 90 m3 de carburant" mélangés avec un peu d'eau de mer, ont été pompés puis transférés vers des camions-citernes, ainsi que tous les produits détergents qui se trouvaient dans les cuves de la coque avant, échouée sur la plage de La Barre depuis le naufrage.

Initialement prévue en début d'après-midi, l'opération avait finalement été avancée dans la matinée en raison des bonnes conditions de la mer, malgré la marée haute. "Il n'y avait pas beaucoup de houle et le bateau était stable", avait précisé le sous-préfet lors d'un précédent point de presse.

Une première tentative vendredi avait été reportée en raison des difficultés d'accès sécurisé au réservoir de la coque avant. C'est dans cette partie du navire, qui s'était scindé en trois parties après son naufrage spectaculaire à l'entrée du port de Bayonne, que se trouvaient l'essentiel du carburant du navire.

Vingt tonnes, situées dans une cuve dans la partie arrière du cargo, se sont dispersées en mer depuis l'échouage en raison de la houle, selon les autorités.

Samedi, les quatorze membres de l'équipe d'experts, qui ont opéré depuis l'intérieur de la coque, ont réussi à percer un accès au réservoir, permettant l'installation d'une "vanne" et l'évacuation du gazole vers les camions positionnés au pied de la carcasse. Aucune fuite dans le réservoir n'avait été détectée.



"Il était temps qu'on s'arrête, la mer est déchaînée", a commenté le directeur du Ceppol de la Marine nationale, Jean-Bernard Cerutti. Pour lui, "le plus difficile" a été l'installation du dispositif pour aspirer le carburant, "avec 35 degrés de gîte et une forte odeur de gazole".

La fin de l'opération ouvre la voie à "la troisième phase" - après le sauvetage et le pompage - "qui est celle du démantèlement du cargo", a indiqué Patrick Dallennes, tout en disant ne pas savoir pour l'heure "quelles techniques seraient employées".

Les autorités s'attèleront dès lundi à examiner les propositions de démantèlement que l'assureur de l'armateur espagnol, toujours mis en demeure de "faire cesser le danger nautique", doit leur soumettre après avoir lancé un appel d'offres international.

"Quatre ou cinq entreprises dans le monde sont spécialisées dans le démantèlement", a précisé le maire d'Anglet, Jean Espilondo, qui a estimé que l'opération pourrait prendre "quelques semaines". "Il y a des bouts de ferraille qui se promènent et qui vont atterrir sur la plage", il faut que "le démantèlement de l'épave se passe dans des conditions optimales, car l'épave représente un danger", a-t-il rappelé.

Selon les premiers éléments de l'enquête, deux avaries consécutives - une première lorsque le "Luno" s'est présenté pour entrer dans le port de Bayonne, puis une "deuxième avarie électrique" conjuguée aux mauvaises conditions météo - seraient à l'origine de l'accident. Le Parquet de Bayonne n'a identifié aucune "faute pénale", ni "manquement apparent".

Entendus par la Section de recherches de la gendarmerie maritime de Brest, chargée de l'enquête, les onze membres d'équipage ont regagné vendredi l'Espagne. Le naufrage n'avait fait qu'un blessé léger parmi les hommes qui se trouvaient à bord, secourus peu après l'accident lors d'une périlleuse opération d'hélitreuillage.

S & A 8FEB2014

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Des pluies diluviennes près d'Ajaccio et dans une partie du département de Corse-du-Sud ont surpris les automobilistes, lundi 10 février, par la montée des eaux de plusieurs fleuves et rivières, qui ont sortis de leurs lits. 

Certaines routes départementales ont été coupées en raison d'éboulements et de coulées de boue. Les pompiers ont effectué plusieurs dizaines de sorties le long de la rivière Gravona, au nord d'Ajaccio.

Les sols sont, en effet, déjà gorgés d'eau en raison de la répétition des épisodes pluvieux depuis plusieurs semaines. Comme le soulignent régulièrement les experts, la forte urbanisation des zones côtières et de l'arrière-pays empêche souvent les eaux de s'écouler naturellement. Les secours sont aussi intervenus fréquemment autour des stations balnéaires de Sagone et Porto, au nord d'Ajaccio, et de Propriano.


 France 3 Corse ViaStella 11/2/2014


France tv info 11/2/2014

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Le trait de côte du littoral aquitain a reculé en de nombreux points de 10 mètres ou plus, à la suite des tempêtes et houles de fin décembre-début janvier, a annoncé mardi dans un rapport l'Observatoire de la Côte Aquitaine, après un diagnostic de terrain.

"D'une manière générale, l'ensemble de la côte sableuse aquitaine a été fortement érodé" après les dépressions des 23-27 décembre et 3-7 janvier et des fortes houles sur la période, avec un "recul du trait de côte dépassant 10 m sur de nombreux sites", informe l'Observatoire, réseau d'experts lié à la Région.

 

mayol33 21/1/2014


Entre le 14 décembre et le 8 janvier, une succession de dépressions dans l'Atlantique Nord a entraîné une houle très énergétique au large de l'Aquitaine, avec une hauteur de vagues atteignant au moins 4 m pour 60% du temps, "un phénomène qui ne s'est jamais produit" sur ce littoral, selon le rapport.

Selon la base de données BOBWA, qui couvre les vagues dans le golfe de Gascogne sur 1958-2002, la proportion de vagues de plus de 4 m sur une telle période (26 jours) atteint occasionnellement 40%, ponctuellement 50% (3 fois en 44 ans), mais jamais plus de 55%, précise l'Observatoire.

 "L'urbanisation du littoral est de plus en plus forte, on est de plus en plus près ! Le problème, c'est l'homme, pas la nature." Europe 1 6/1/2014


"Les plages se sont fortement abaissées et aplanies, limitant ainsi leur résistance aux assauts de l'océan. Cette fragilité est renforcée par la disparition temporaire des barres sableuses" de marnage, poursuit le rapport, qui a aussi relevé "des submersions marines de faible emprise".

C'est en Gironde que l'érosion marine a été la plus forte avec le creusement de hautes falaises sableuses, la destruction d'accés de plage et des ouvrages côtiers altérés (promenades, enrochements). Dans les Landes, le recul a atteint 10 m ponctuellement, aux abords de courants (petits fleuves)


 

Djé 1 Moment 1 Image 26/1/2014


Par endroits, comme à Soulac-sur-Mer (Gironde), l'érosion "remet en cause l'existence d'immeubles", tel un club de surf, ou un immeuble de 78 appartements Le Signal, interdit d'habitation depuis fin janvier, et que le ministre de l'Environnement, Philippe Martin, a visité mardi. Il a rappelé que l'Aquitaine pourrait bénéficier "de pratiquement 2 millions d'euros" de crédits exceptionnels débloqués par son ministère pour des travaux d'urgence sur son littoral.

Le rapport s'appuie sur des relevés effectués par le Bureau de Recherches Géologiques et Minières et l'Office national des Forêts sur la quasi-totalité du littoral aquitain, soit 270 km.

 

(C'est pas sorcier) YvesLG76 13/2/2013


Le Point 11/2/2014

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Morbihan, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique et Vendée ont été placés en vigilance orange pour les risques de débordement des rivières.

100 000 foyers étaient privés d'électricité ce vendredi à 20 heures, dans quatre départements bretons, en raison de la tempête Ulla, selon un point effectué par ERDF. Selon le décompte, 50 000 foyers étaient concernés dans le Finistère, 40 000 dans les Côtes d'Armor, 4 000 dans le Morbihan et 1 000 en Ile-et-Vilaine.


 JvGwen 14/2/2014


Déjà les pieds dans l'eau, la Bretagne et les Bretons s'apprêtent à affronter un nouveau week-end aussi pluvieux que difficile. Morbihan, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique, Vendée, cinq départements de l'Ouest ont été placés en vigilance orange pour les crues et les risques de débordement des rivières. Et voilà maintenant bientôt deux mois que ça dure. Avec la même litanie de maisons inondées, de routes coupées, de meubles qu'il faut surélever, de commerces dévastés... Autant dire que dans la région, où l'on n'arrête pas d'éponger pour recommencer quelques jours plus tard, le ras-le-bol et la lassitude sont à leur comble.

"Nous avons fait appel à la Croix-Rouge pour apporter un soutien psychologique aux habitants les plus touchés", relate Matthieu Prigent, à la mairie de Quimperlé, l'une des villes les plus affectées par les inondations de ces dernières semaines. Ce n'est pas tant le phénomène des inondations lui-même qui est le plus difficile à vivre. On y est habitués. C'est surtout leur répétition".


 Christ Jesus 14/2/2014


Depuis le 23 décembre, tous les services de secours et de sécurité civile de la région, pompiers, gendarmerie, tout comme le personnel communal, sont sur le pied de guerre. Mais, s'ils peuvent parer au plus pressé, installer des barrages, reloger certaines familles, ils restent impuissants face à la montée des eaux. À Quimperlé, où les rues se sont transformées certains jours en torrents d'eau boueuse, près d'une centaine d'habitations et de commerces ont été inondés. Avec jusqu'à plus d'un mètre cinquante d'eau dans les salons.

Au carrefour de l'Ille-et-Vilaine, du Morbihan et de la Loire-Atlantique, la ville de Redon s'est, quant à elle, retrouvée presque entièrement entourée d'eau, avec des liaisons routières totalement coupées avec le Morbihan, principal département limitrophe. Les communes de Guipry, Messac, en Ille-en-Vilaine, Malestroit, Pontivy, dans le Morbihan, ou encore Quimper et Morlaix, dans le Finistère, ont dû apprendre à vivre les pieds dans l'eau. Sur les trois derniers mois, Météo-France n'avait pas enregistré un tel niveau de précipitations depuis 2000-2001, avec le chiffre record de 670 mm à Rostrenen. Un phénomène auquel s'est ajoutée une succession de tempêtes violentes, Dirk, Petra et aujourd'hui Ulla, qui n'ont rien arrangé.

"Ces crues et ces inondations sont dues au passage répété de perturbations de la zone atlantique, et on en a déjà eu dans le passé, relativise Alain Pennec, le maire de Quimperlé. Mais ce qui est nouveau, c'est la rapidité avec laquelle elles se produisent. Autrefois, l'eau mettait 24 heures à venir de Scaër, à 25 kilomètres en amont, aujourd'hui, elle met huit heures. Pour la première fois, on a eu aussi à Quimperlé des eaux boueuses et marron."

 ALTO127 14/2/2014


Si ces crues exceptionnelles ont des causes purement climatiques, sans qu'on puisse les imputer pour autant au réchauffement de la planète, plusieurs phénomènes aggravants sont ainsi pointés du doigt. À commencer par le remembrement et la transformation de l'agriculture bretonne qui ont supprimé les barrières naturelles à l'écoulement des eaux. "En Bretagne, depuis les années 1960, on a arasé plus de 150.000 kilomètres de talus, rappelle Alain Pennec. Cela a forcément eu une incidence. L'urbanisation des villages, les zones pavillonnaires qui se sont étalées et la multiplication des grandes surfaces commerciales ont également imperméabilisé d'énormes surfaces qui ne retiennent plus les eaux." Un double constat partagé par le géographe Jacques Lescoat, auteur de La Bretagne ou l'environnement égaré.

À Morlaix, on met aussi en cause l'absence de travaux, comme la création de bassins de rétention en amont, pour limiter et prévenir les crues. En attendant, la Bretagne, plongée sous les pluies incessantes, continue de panser ses plaies et personne ne peut encore établir un bilan des dégâts.


 Sciortino Gleaton 14/2/2014


"C'est très difficile, constate Matthieu Prigent. Il y a les dégâts dans les maisons, mais aussi sur la voirie qui entraîneront des frais importants. Le manque à gagner dans les commerces est aussi à prendre en compte, d'autant que les premières inondations se sont produites au moment des fêtes de Noël et du premier de l'an. À Quimperlé, c'est l'ensemble des commerçants qui ont enregistré des pertes de chiffre d'affaires."

À Morlaix, Caroline Lambel, l'une des patronnes de la brasserie La Terrasse, non loin de la mairie, a connu "la totale", avec à la fois sa maison et son restaurant inondés et sa voiture mise hors d'usage par les eaux, comme 180 autres véhicules dans la ville. Malgré la lassitude et l'appréhension, elle reste pourtant philosophe et croise les doigts. "Il y a des gens plus malheureux que nous, et de toute façon, on ne peut rien y faire", lâche-t-elle, avant d'ajouter : "Ce soir, pour la Saint-Valentin, on est complet. Il ne reste plus à espérer que la ville ne va pas se transformer à nouveau en Venise !"



Le Point 14/2/2014

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BREST - La tempête Ulla, la plus forte de l'hiver selon Météo-France, quittait progressivement samedi la Bretagne et le Cotentin, se dirigeant vers la mer du Nord après avoir fait un mort sur un paquebot et laissé encore 70.000 foyers sans électricité vers midi.

Un octogénaire est décédé vendredi à bord d'un paquebot naviguant au large du Finistère à la suite d'une chute provoquée par les mauvaises conditions météorologiques. Des vents à 150 km/h ont été enregistrés dans la nuit.

 alainducapsizun 15/2/2014


Des centaines de passagers ont passé la nuit dans des trains ou des salles polyvalentes car la SNCF, inquiète des chutes d'arbres sur les voies, avait décidé vendredi soir, par mesure de sécurité, d'interrompre le trafic ferroviaire entre Rennes et Brest comme entre Brest et Quimper.

La vigilance orange vagues-submersion de trois départements --Finistère, Loire-Atlantique, Morbihan-- a été levée dans la matinée, selon le bulletin publié à 10H00 par Météo-France. Mais une vigilance orange inondation est en vigueur pour le Morbihan, l'Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique jusqu'à dimanche 6h00 du matin.



 npouvrea 14/2/2014


Dans la nuit les valeurs maximales relevées durant l'épisode tempétueux ont été de l'ordre de 140 à 150 km/h à la Pointe de Bretagne et de 130 à 135 km/h au nord d'une ligne Brest-Morlaix; la partie du Finistère plus au sud de cette ligne, a connu des valeurs comprises entre 102 et 110 km/h, selon Météo-France.

Le vent violent, qui avait commencé à souffler dans la journée, a plongé dans le noir jusqu'à 115.000 foyers en Bretagne. Quelque 70.000 restaient sans courant samedi à midi, selon Electricité Réseau distribution France (ERDF), dont 43.000 dans le Finistère, 24.000 dans les Côtes d'Armor, 2.000 dans le Morbihan et un millier en Ille-et-Vilaine. Le courant devrait être rétabli au fil du week-end, a-t-on précisé.


 

Eric Basquin 14/2/2014


Le trafic ferroviaire a repris progressivement dans la matinée. Les trains circulent de nouveau entre Lorient et Quimper, et devaient reprendre à 13 heures entre Saint Brieuc et Brest, selon un porte-parole de la SNCF, qui a pris en charge un millier de passagers dans la nuit. Mais la ligne Brest-Quimper devrait rester fermée tout le week-end, et peut-être lundi, car des dizaines d'arbres sont sur la voie, a indiqué sur RTL Barbara Dalibard, directrice générale de SNCF Voyages.

Nous n'avons eu aucune information de la part de la SNCF, alors qu'on avait deux gamins dans la nature, a regretté Philippe Cueff, père de deux enfants partis vendredi soir de Rennes en direction de Brest. Le train s'est arrêté à Saint-Brieuc et ils y sont restés jusqu'à 21H00 avant qu'une connaissance aille les chercher, a-t-il expliqué à l'AFP. La SNCF m'envoie régulièrement des messages pour que je réserve des voyages ou des hôtels, mais là, je n'ai eu aucune information, a-t-il pesté.



 M0nst3rFuLLFr 14/2/2014


On a dormi dans un train, puis on nous a réveillés à 06H00 pour évacuer le train et là on attend des nouvelles, a témoigné les traits tirés Simon Le Gall, la vingtaine, en gare de Rennes. Venant de Paris, il devait se rendre à Brest. Quelque 500 voyageurs ont dû être hébergés pour la nuit dans des rames sécurisées en gare de Rennes, tandis que 300 autres ont passé la nuit dans des trains et dans une salle des fêtes à Saint Brieuc.

Après l'annulation de nombreux vols dans les aéroports de Brest, Lorient et Quimper, le trafic reprenait progressivement.

Dans le Finistère, particulièrement touché, les pompiers ont mené dans la nuit quelque 563 interventions, essentiellement en raison de la chute d'arbres, selon la préfecture du Finistère, qui n'a pas fait état d'accident corporel. Les interventions avoisinaient les 400 dans les Côtes d'Armor.

 

fouinard fouinardtv 14/2/2014


La préfecture maritime de l'Atlantique a également signalé la perte de 70 conteneurs au large de la Bretagne par un navire de la compagnie danoise Maersk, précisant cependant qu'ils ne contenaient pas de matières dangereuses.

De nombreuses routes, essentiellement du réseau secondaire, ont été coupées en raison d'inondations.

A Brest, il est tombé depuis le 15 décembre 636 mm de pluie, un record, selon Météo-France, qui soulignait vendredi l'intensité de la tempête Ulla. Nous avons là, sur la pointe de la Bretagne, la tempête la plus forte depuis le début de l'hiver, a assuré à l'AFP Frédéric Nathan, prévisionniste à Météo France.



Romandie 15/2/2014

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PARIS - Quelque 22.000 foyers en Bretagne restaient sans électricité dimanche à la mi-journée, conséquence de la tempête Ulla, a indiqué à l'AFP Electricité Réseau Distribution France (ERDF).

Sur ces 22.000 foyers, 15.000 sont dans le Finistère et 7.000 dans les Côtes-d'Armor, a précisé un porte-parole d'ERDF.

AFP 15/2/2014


ERDF a indiqué que l'alimentation électrique avait été rétablie pour 80% des clients touchés par la tempête. Ils étaient 115.000 sans courant au pic de la tempête.

Un autre bilan sera fourni en fin de journée, selon ERDF, qui fait tout pour qu'un maximum de clients retrouvent du courant d'ici ce soir.

La tempête Ulla, la plus forte de l'hiver selon Météo-France, s'est éloignée progressivement samedi de la Bretagne et du Cotentin en direction de la mer du Nord, après avoir fait un mort sur un paquebot.

 Les alertes météos sont identiques à la veille, sachant que les services de météo France actualisent les données deux fois par jour, aujourd'hui à 10h08.


Romandie 16/2/2014

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BREST - La vigilance orange crues a été levée lundi pour le Morbihan, la Loire-Atlantique et l'Ille-et-Vilaine trois jours après le passage de la tempête Ulla, alors que 5.000 foyers sont toujours privés d'electricité courant dans le Finistère et les Côtes-d'Armor, a-t-on appris auprès de Météo France et d'ERDF.

Les trois départements traversés par la Vilaine aval sont désormais placés en vigilance jaune pour les crues, indique sur son site Vigicrues, qui souligne que la décrue est en cours sur l'ensemble des cours d'eau de la région.


BFMTV 16/2/2014




D'abondantes pluies s'abattent sur la région depuis deux mois, gorgeant les sols d'eau et élevant le niveau des cours d'eau, tandis que les tempêtes se suivent à intervalles réguliers. La dernière en date, Ulla, la plus forte de l'hiver selon Météo France, a frappé vendredi le nord-ouest du pays.

Elle s'est éloignée progressivement samedi de la Bretagne et du Cotentin en direction de la mer du Nord, après avoir fait un mort sur un paquebot, et privé, au plus fort, jusqu'à 115.000 clients d'électricité.

Lundi, 5.000 de ces foyers sont toujours privés de courant en Bretagne, 3.000 dans le Finistère et 2.000 dans les Côtes-d'Armor, selon Electricité Réseau Distribution France.

Les chantiers sont beaucoup plus longs et compliqués que prévu, a expliqué à l'AFP une responsable d'ERDF, mettant en cause la force des vents qui ont balayé la région et qui ont parfois atteint les 150km/h, selon Météo France.


BFMTV 16/2/2014



En outre, la ligne ferroviaire entre Brest et Morlaix est perturbée lundi en raison de la présence de sel sur les isolateurs, les éléments alimentant les caténaires en électricité, a-t-on appris auprès de la SNCF, qui a précisé que le problème concerne le tronçon de voie situé près de la rade de Brest.



Romandie 17/2/2014

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Bordeaux (AFP) - C'est le quotidien de maires du Pays basque jusqu'au Nord-Pas-de-Calais: l'érosion du littoral sur la côte ouest, qu'elle concerne des plages sableuses ou des falaises de craie, grignote le budget des communes comme le temps des élus.

Quatre ans après la tempête "Xynthia", qui avait fait 47 morts en février 2010, et alors que de violentes intempéries se sont succédé en début d'année, nombre de maires de communes côtières dressent un constat identique: la protection durable du littoral est devenue un casse-tête pour les élus, sur fond d'inquiétude croissante des habitants, alors que l'Etat, en raison de ses lourdeurs administratives, est perçu davantage comme un obstacle qu'un allié.

 C'est le quotidien de maires du Pays basque jusqu'au Nord-Pas-de-Calais: l'érosion du littoral sur la côte ouest, qu'elle concerne des plages sableuses ou des falaises de craie, grignote le budget des communes comme le temps des élus. (c) Afp

Permanences lors des intempéries, agents mobilisés pour les pompages d'eau ou le nettoyage des dégâts, travaux de réensablage ou de ré-enrochement, temps consacré à monter les dossiers de financement...: si la problématique varie d'une commune à l'autre -- recul de dunes ou de falaises, menaces d'invasion marine de polders, consolidation de digues mises à mal par les tempêtes --, les municipalités se retrouvent désormais en première ligne.

"Avec Xynthia, on a vu revenir des événements qu'on connaissait, mais qu'on avait oubliés, ainsi que les risques qui vont avec. En montagne, les maires n'ont jamais oublié cette gestion du risque", analyse Lionel Quillet, maire de Loix (690 habitants) et président de la communauté de communes de l'Ile de Ré (Charente-Maritime), dont les digues ont considérablement souffert en 2010 et qui voit son cordon dunaire régulièrement attaqué.

Face à ces enjeux, les élus se retrouvent, selon lui, "dans un étau"."Pris d'un côté par la demande des administrés qui veulent être protégés" et "de l'autre dans un bras de fer avec l'Etat" qui, s'il a pris en charge les travaux les plus urgents après la tempête, est depuis moins prompt à mettre la main à la poche.

Avec, en plus, dénoncent nombre d'élus, des règlementations, notamment environnementales, qui ne sont pas forcément adaptées à la problématique des dispositifs de protection contre la mer, rallongeant parfois de plusieurs années l'instruction de demandes de financement. A tel point qu'en octobre, le ministre de l'Ecologie, Philippe Martin, a demandé aux préfets concernés de simplifier les procédures pour "accélérer les travaux" post-"Xynthia".

"On n'a jamais été paralysé autant par des études de papier que depuis Xynthia", peste Jean-Yves Gagneux, maire de Bouin (2.000 habitants) en Vendée, où des digues protégeant des polders ont été endommagées par la spectaculaire tempête et qui bataille depuis pour leur consolidation.

Même sentiment à Charron (Charente-Maritime), village de 1.800 habitants, où trois personnes sont mortes en 2010. Après des premiers travaux d'urgence, lasse d'attendre l'aval de la préfecture, la municipalité a lancé en octobre, sans autorisation, la construction d’une contre-digue de protection. Résultat: 120.000 euros imputés au budget de la commune, une dépense que le maire, Jérémy Boisseau, espère voir validée dans le cadre du Programme d'action et de prévention des inondations.

Dans ce contexte, Lionel Quillet dit avoir constaté une double dynamique: "On assiste à une déresponsabilisation de l'Etat et une accélération de la prise de responsabilité des élus", dénonce-t-il, alors qu'il y a "55 ans de retard à rattraper" pour l'entretien des dispositifs de protection. Avec le risque, souligne-t-il, que les petites communes, moins bien dotées financièrement et en ressources humaines, soient "moins défendues" que les autres face aux risques littoraux.

Devant la complexité du phénomène et les enjeux financiers, les maires demandent à être épaulés. A Capbreton, station balnéaire des Landes, où la municipalité a investi trois millions d'euros dès 2008 dans un système de "transfert hydraulique de sable" pour endiguer l'érosion des plages, le maire, Patrick Laclédère, se félicite d'avoir le soutien technique et financier d'un Groupement d'intérêt public (GIP) Littoral, créé dès 2006 en Aquitaine, pionnière en la matière.

Une solidarité qui apparaît à terme indispensable: "Après la gestion des déchets, la gestion des risques du littoral sera sans doute le deuxième acte fondateur d'intercommunalités", estime Lionel Quillet. D'autant que si le logement ou l'emploi restent la préoccupation principale des électeurs, la conscience des risques grandit chez les habitants du littoral, témoignent plusieurs élus. Et lentement s'immisce dans les campagnes électorales.

Sciences et avenir 27/2/2014

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La côte atlantique est toujours sous le vent et la pluie. Après un mois de janvier marqué par les inondations à répétition, notamment en Bretagne, Andréa, une nouvelle dépression, traverse la France vendredi 28 février et samedi 1er mars. Sept départements ont été placés en vigilance orange pour des risques de vagues-submersion.

Francetv info a demandé à Ludovic Lagrange, prévisionniste chez MétéoGroup et consultant de France Télévisions, quelques explications.


France 3 Bretagne 28/2/2014


Francetv info : la dépression Andréa est-elle comparable aux épisodes de tempête précédents ?

Ludovic Lagrange : Cette dépression est moins violente que la dernière. Le plus gros de la tempête est derrière nous, les vents les plus violents ayant été atteints, a priori, vendredi après-midi. Par ailleurs, elle concerne essentiellement la Bretagne et en particulier le Finistère et les Côtes-d'Armor.


euronews (en français) 28/2/2014


Des vents violents ont été observés sur le sud et l'ouest de la dépression avec notamment des vents relevés à 149 km/h à Camaret, 142 km/h à la pointe du Raz et 135 km/h à Brignogan. Ces vents ont atteint leur maximum vendredi après-midi. Ils faibliront en même temps que la dépression se décalera vers l'intérieur des terres.

La houle conjuguée aux grandes marées provoque toutefois des risques de submersions sur l'ensemble de la côte. Le littoral aquitain, déjà très fragilisé par les précédents épisodes, y est particulièrement exposé.

Francetv infoA quoi est dû ce nouvel épisode ?

Ludovic LagrangeDepuis le 15 décembre, nous avons un défilé de dépressions qui se succèdent sous nos latitudes. L’anticyclone des Açores a normalement tendance à remonter sur l’Atlantique et à forcer les dépressions à remonter vers le nord. Mais cet hiver, l'anticyclone n'a pas fait son travail, il circule à des latitudes trop basses, bloqué dans son domaine, il ne nous protège pas.


framboise De Pornic 28/2/2014


Francetv infoLes nombreuses dépressions sont-elles liées à l'hiver très doux que nous connaissons ?

Ludovic LagrangeC'est l'inverse, c'est parce qu'il y a eu autant de dépressions qu'il a fait aussi chaud. Quand le temps est plus doux, c'est principalement dû au flux d'ouest. Cet hiver, à l'échelle atmosphérique, il y a eu deux vastes régions où il a fait trop froid : au nord et au nord-est des Etats-Unis ainsi qu'en Asie. Pour simplifier, il y a comme un retour à l'équilibre qui s'impose dans l'atmosphère, et ce rééquilibrage s'effectue sous nos latitudes.




Par ailleurs, Météo France a émis une alete de fort risque de déclenchement d'avalanche par les skieurs sur l'Isère et les Alpes du Sud

Sur tous les massifs de l'Isère et des Alpes du Sud, le risque de déclencher une avalanche au passage d'un skieur sera fort ce samedi et se généralise à la plupart des orientations. Ce risque est particulièrement présent samedi matin. Il augmente avec l'altitude et concerne les secteurs où la neige est accumulée par le vent.

En effet, les 30 à 50 cm de neige récente, auxquels s'ajoute une nouvelle couche de neige d'ici samedi matin, sont transportés par des vents soutenus et de direction variable (Sud-Ouest vendredi puis Nord samedi).

Sur certains massifs des Pyrénées, les risques de déclenchement sont également forts même si les quantités de neige fraîche sont un peu moins importantes.

Le risque de déclenchement d'avalanche sera en légère atténuation dimanche.

Météo-France recommande la plus grande prudence pour les skieurs hors-pistes et randonneurs. Pour des informations plus détaillées par massif, consultez les bulletins d'estimation du risque d'avalanches (www.meteofrance.com ou applications smartphone, rubrique montagne) et renseignez-vous localement auprès des professionnels de la montagne.

France tv info 28/2/2014 - Météo France

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Attention aux fortes vagues sur la façade ouest de la France.

Météo France a placé, dimanche 2 mars, le littoral de onze départements, de la Manche aux Pyrénées-Atlantiques, en vigilance orange "vagues-submersion".

En fin d'après-midi, Manche, Ille-et-Vilaine, Côtes-d'Armor, Finistère, Morbihan, Loire-Atlantique, Vendée, Charente-Maritime, Gironde, Landes et Pyrénées-Atlantiques sont toujours concernés par cette mesure. Finistère, Charente-Maritime et Gironde demeurent en outre en vigilance orange inondations.



Les grandes marées sont attendues à partir de dimanche soir et les fortes vagues devraient atteindre leur puissance maximale lundi soir. Météo France pointe un "phénomène vagues-submersion remarquable, similaire à celui de début février dans un contexte de grandes marées et de littoral fragilisé".

Depuis le 15 décembre 2013, un défilé de dépressions se succèdent. La dernière tempête, Andréa, a traversé la France vendredi en causant quelques dégâts, mais beaucoup moins importants qu'au début de l'hiver.


Actualisation le dimanche 02 mars 2014 à 19h38 
Prochaine édition le lundi 03 mars 2014 à 10h00




Etat maximum de la vigilance "crues"   


 

Rouge : Risque de crue majeure. Menace directe et généralisée de la sécurité des personnes et des biens.
Orange : Risque de crue génératrice de débordements importants susceptibles d’avoir un impact significatif sur la vie collective et la sécurité des biens et des personnes.
Jaune : Risque de crue ou de montée rapide des eaux n'entraînant pas de dommages significatifs, mais nécessitant une vigilance particulière dans le cas d'activités saisonnières et/ou exposées.
Vert : Pas de vigilance particulière requise.


Tronçons de cours d'eau en vigilance "crues" :   

Toutes les heures mentionnées sont des heures légales. 
Cliquez sur une zone de la carte pour afficher le détail par Service de Prévision des Crues (S.P.C.).


France tv info 2/3/2014 - Météo France

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Lacanau-Océan, Biscarosse ou encore Montalivet sont concernées par ces fermetures, qui touchent de nombreuses plages des Landes et de la Gironde.

Pas de promenade sur ces sites, ce week-end. Plusieurs plages du littoral aquitain, des Landes et de Gironde en particulier, sont interdites d'accès ce week-end pour raisons de sécurité, à cause d'accès endommagés à la plage ou de masses de déchets amenés par les marées spectaculaires du week-end dernier. Les grandes marées et fortes houles du week-end et de lundi dernier n'ont fait ni victimes ni dégâts matériels graves sur le littoral aquitain, mais aggravé une érosion déjà poussée par les tempêtes et marées de janvier et février, avec un recul accru du trait de côte, et des promenades de front de mer ou accès aux plages endommagés ou détruits.

 La plage de Mimizan (Landes) recouverte de déchets après les grandes marées, le 7 mars 2014. (JEAN-PIERRE MULLER / AFP)

- Dans les Landes : Les plages de Biscarosse, Mimizan, Lit-et-Mixe, Ondres et Tarnos (Landes) ont fait l'objet d'arrêtés municipaux d'interdiction, alors que le temps ensoleillé annoncé ce week-end était voué à attirer de nombreux promeneurs vers le littoral.

Ces interdictions tiennent à des accès ponctuellement dangereux à la plage, à des dunes creusées et fragilisées, et aux grandes quantités de déchets (bois, plastique, bidons) potentiellement dangereux, que les communes du littoral ont entrepris de nettoyer depuis plusieurs jours, selon la préfecture. D'autres communes landaises du littoral n'ont pas pris d'arrêté d'interdiction, mais édicté des recommandations d'éviter la plage ou conseils de prudence.

 Une plage dévastée à Montalivet (Gironde), le 4 mars 2014. ( MAXPPP)

- En Gironde : En Gironde, la station vedette Lacanau-Océan est interdite quelques jours pour assurer la sécurité des personnes, car les descentes à la plage ont été détruites. L'érosion de la dune "rend possible d'éventuels effondrements de sable" potentiellement dangereux, et le "maniement sans précaution" des déchets peut aussi s'avérer dangereux, a annoncé la mairie, jeudi.

Une liste complète des plages girondines interdites d'accès n'était pas disponible en préfecture vendredi soir, mais selon le site Sud Ouest.fr, les plages de Carcans, Hourtin, Montalivet, Neaujeac-sur-Mer notamment, étaient visées.

Le maire de Lacanau a remercié les bénévoles qui se sont proposés pour nettoyer les plages, mais a rappelé que l'heure était au nettoyage du gros des déchets par engins mécaniques. Il a donné rendez-vous au public le mardi 11 mars pour le début d'un grande collecte manuelle, encadré par du personnel communal.

France Tv Info 7/3/2014

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Toulouse - Trois mille sept cents foyers étaient toujours privés d'électricité jeudi en début de soirée dans le sud-ouest et le centre après les vents violents et les orages qui ont fait trois morts mercredi, a-t-on appris auprès d'ERDF.

Electricité réseau distribution France prévoit que le courant soit rétabli chez la totalité de ses clients dans le courant de la soirée.

 Christ Jesus 21/5/2014


A 18H00, 2.000 abonnés était sans courant en Aquitaine, 700 en Midi-Pyrénées, 500 en Limousin, 300 en Auvergne et 200 dans le Centre.

Météo France avait placé Midi-Pyrénées en vigilance jaune pour les vents violents et une trentaine de départements en vigilance orange pour les orages mercredi, dans une bande allant du sud du Massif central au nord de la France. Des dizaines de milliers de foyers s'étaient retrouvés sans électricité en raison des chutes de branches et d'arbres sur les réseaux électriques aériens. Des centaines de techniciens d'ERDF et d'entreprises prestataires spécialisées ont été mobilisés pour sécuriser et dépanner les réseaux.

France 3 Aquitaine 22/5/2014


Ces intempéries ont fait trois morts :

- La passagère d'un camping-car à Bozouls dans l'Aveyron a été tuée lorsqu'une branche a traversé le pare-brise du véhicule.

- Une automobiliste de 84 ans est morte à Andouque dans le Tarn lorsque son véhicule, poussé par une rafale, est entré en collision avec un camion. 

- En Dordogne, une femme de 60 ans est morte dans l'effondrement du toit d'une grange, à Biras, provoqué par les orages.


Romandie 22/5/2014

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Les orages toucheront les départements du nord de la France jusqu'à l'Aquitaine en passant par la région Centre, dès 18 heures et jusqu'à mardi.



Lundi, une forte vague orageuse renforcée pendant la nuit frappera le pays en deux temps, justifiant la mise en vigilance orange de 27 départements à partir de dimanche 18 heures, indique Météo-France.

Il s'agit des départements des régions Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Ile-de-France, Haute-Normandie, Centre, Poitou-Charentes ainsi que la Dordogne et la Gironde.

- Lundi matin, des averses orageuses parfois soutenues défileront entre le Poitou, les Pays de la Loire, la Normandie et le nord de la Seine. Sur le Sud-Ouest, on observera une relative accalmie avec davantage d'éclaircies entrecoupées d'ondées éparses.

- Dans l'après-midi, l'activité orageuse redémarrera et se généralisera à travers le pays, du sud de la Garonne à la Haute-Normandie et à la frontière belge.

 Photo d'illustration. ©️ Dimitri Rosel / Biosphoto

Sur toutes ces régions, on peut craindre des orages forts, voire violents, accompagnés de fortes pluies en peu de temps, de grêle et de rafales. L'activité pourra perdurer jusque dans la nuit de lundi à mardi.

La Bretagne restera en marge sous un temps variable, plus frais, ponctué de rares ondées.

Du Nord-Est à l'est de Midi-Pyrénées et au pourtour méditerranéen, ce sera une nouvelle journée estivale, encore un peu plus chaude sur le flanc est. Par rapport à la veille, il faut juste s'attendre à des bourgeonnements et à des averses sur le massif alpin. Il fera 11 à 13 degrés en Bretagne, 14 à 18 degrés ailleurs, voire un peu plus sur le Lyonnais, la Côte d'Azur et la Corse. Les températures maximales afficheront 19 à 24 degrés des côtes de la Manche aux Pays de la Loire, 32 à 35 du Nord-Est à l'intérieur du Languedoc et de la Provence, voire localement 36 (plaine d'Alsace et couloir rhodanien). À l'Est, ce sera la journée la plus chaude de la période. Sur le reste du pays, on prévoit entre 26 et 31 degrés en général.

Pour plus d'informations et lire les bulletins régionaux : cliquez ICI. Une fois sur le lien cliquez sur le(s) département(s) qui vous intéresse(nt) pour accéder aux informations.

Le point 8/6/6/2014

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Le premier épisode orageux de la saison se poursuit lundi 9 juin.

Météo France a placé 32 départements en alerte orange aux orages. Il s'agit de l'Aisne, la Charente, la Charente-Maritime, le Cher, la Creuse, les Deux-Sèvres, la Dordogne, l'Eure, l'Eure-et-Loir, l'Essonne, la Gironde, les Hauts-de-Seine, l'Indre, l'Indre-et-Loire, les Landes, le Loir-et-Cher, le Loiret, le Lot-et-Garonne, le Nord, l'Oise, le Pas-de-Calais, Paris, les Pyrénées-Atlantiques, la Seine-Maritime, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, la Somme, le Val-de-Marne, le Val-d'Oise, la Vienne, la Haute-Vienne et les Yvelines.



La nuit dernière, déjà, des orages ont provoqué de nombreux dégâts matériels dans le Val-d'Oise, les Yvelines, et une partie de l'Oise. Au total, 577 personnes ont fait appel secours, mais "seulement une centaine nécessitera une action des sapeurs-pompiers" au cours de la nuit, a précisé le porte-parole des pompiers lundi. "Le trafic routier a été très fortement perturbé", sans causer d'accident nécessitant l'intervention des secours, a-t-il ajouté.

BFMTV 8/6/2014


Pour autant, certains automobilistes ont été choqués par la violence de l'épisode orageux. "Les grêlons étaient gros comme des balles de tennis. Autour de moi, j'ai vu beaucoup de carambolages, des voitures qui avaient versé dans le bas-côté", a expliqué l'un d'eux au Parisien. Cet automobiliste roulait sur la nationale 184 à hauteur de Taverny (Val-d'Oise). Une fois le gros de l'orage passé, "il y avait encore une pluie et des éclairs très impressionnants".

Un grêlon de près de 100 grammes tombés dans le Val d'Oise, le 8 juin 2014. (CAPTURE D'ECRAN / FRANCETV INFO)

Des grêlons plus petits, "de la taille d'une balle de golf" ont atteint le nord des Yvelines, provoquant là aussi des dégâts matériels (caves inondées, toitures abîmées) mais sans faire de blessé, a indiqué la préfecture.

Les pompiers sont intervenus à 140 reprises, a-t-elle ajouté. Des rafales de vent allant jusqu'à 106 km/h ont été enregistrées à Magnanville (Yvelines) et à 110 km/h à Pontoise (Val-d'Oise), selon Météo France.

]Francetv info 9/6/2014

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Alors que les dégâts de la nuit sont importants, 41 départements ont été placés en vigilance orange jusqu'à mardi 6 heures du matin.

Raphy Créations 9/6/2014


Le point 9/6/2014

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L'alerte orange pour orages a été levée dans la nuit de lundi à mardi pour les 41 départements concernés au lendemain de violents orages, a annoncé Météo France dans son bulletin de 04h00.

 Paris après l'orage, image d'illustration, 2013. ©️ Caters news agency/ SIPA

"L'aspect orageux s'est atténué et ne nécessite plus un niveau orange", indique Météo France. "Quelques pluies orageuses sont actuellement sur le Nord du pays et s'évacueront dans les deux prochaines heures vers la Belgique", précise l'institut.

Quarante-et-un départements du Nord de la France jusqu'à l'Aquitaine, en passant par la région Centre, avaient été placés en vigilance orange après une nuit marquée par de nombreux dégâts dus aux orages.

Sciences et avenir 10/6/2014

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La Corse et les deux départements ont été placés samedi en vigilance orange par Météo-France en raison d'un épisode orageux dans la nuit de samedi à dimanche.

Dans la nuit de samedi à dimanche, à minuit, Météo-France prévoit un "épisode pluvio-orageux actif nécessitant un suivi particulier compte tenu des cumuls et des phénomènes associés". Cet événement devrait se terminer dans la nuit de dimanche à lundi. Météo-France indique que l'orage va débuter "vers le milieu de nuit de samedi à dimanche sur le Var et la Haute-Corse, s'étendant en deuxième partie de nuit vers les Bouches-du-Rhône et la Corse-du-Sud".

L'opérateur météo prévoit dimanche, après une accalmie dans la matinée, "un risque cellules orageuses peu mobiles", qui pourront générer "de forts cumuls de pluies" sur le Var et les Bouches-du-Rhône. "En Corse, les orages, très présents dimanche matin sur l'ensemble des départements, affecteront plutôt le nord de l'île l'après-midi", précise-t-on. Les précipitations seront "généralement comprises entre 30 et 50 mm" et pourront atteindre "localement 50 à 100 mm en quelques heures", indique encore Météo-France, signalant la présence possible de grêle.



Le Point 14/6/2014

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Des orages accompagnés de grêle et de vents parfois violents sont attendus ce samedi dans l'après-midi et en soirée. 32 départements sont placés en alerte.

France 3 Haute-Normandie 27/6/2014


Dans l'après-midi : "Un premier épisode orageux marqué va concerner l'Auvergne, la région lyonnaise et la Franche-Comté. Dans la soirée un deuxième épisode va se mettre en place sur le Sud-Ouest et se déplacer dans la nuit vers l'Auvergne, Rhône-Alpes, la Franche-Comté et le sud de l'Alsace", d'après les prévisionnistes. Ces derniers précisent que "ces orages seront parfois accompagnés de grêle et de violentes rafales de vent pouvant dépasser les 100 km/h".



Le point 28/6/2014

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Météo-France a annoncé la fin de l'alerte aux orages, qui ont durement touché les vignobles de la côte de Beaune et causé l'annulation de festivals.


Les vignes ont été fortement endommagées. ©️ FRANCOIS NASCIMBENI / AFP

Météo-France a annoncé dimanche vers 1 heure du matin la fin de l'alerte orange qui était encore en vigueur dans 22 départements en raison d'orages et de vents violents qui ont durement touché les vignobles de la côte de Beaune. 22 départements étaient encore concernés : Côte-d'Or, Lozère, Bas-Rhin, Vosges, Allier, Cantal, Haute-Loire, Puy-de-Dôme, Ariège, Aveyron, Haute-Garonne, Tarn, Ain, Ardèche, Loire, Haut-Rhin, Rhône, Saône-et-Loire, Doubs, Jura, Haute-Saône et Territoire de Belfort. Météo-France parle d'un "épisode orageux moins important que prévu", même si "des orages de grêle et des rafales ont été observés, en particulier de la Haute-Garonne à l'Aveyron".

"Des pluies modérées très localement orageuses devraient encore concerner l'est de la vallée du Rhône, les Alpes et le Jura jusqu'en fin de matinée dimanche, mais ne justifient plus le maintien des départements en vigilance orange", explique l'organisme. L'alerte avait déjà été levée dans la soirée dans dix départements du Sus-Ouest : les cinq de l'Aquitaine - Dordogne, Gironde, Landes, Lot-et-Garonne et Pyrénées-Atlantiques, mais aussi en Corrèze, dans le Gers, le Lot, les Hautes-Pyrénées et le Tarn-et-Garonne.

Samedi après-midi, les vignobles de la côte de Beaune ont été touchés par des orages de grêle, qui sont tombés notamment sur les communes de "Santenay, Meursault, Volnay, Pommard et sûrement Beaune", où poussent de prestigieuses appellations. "C'est une véritable catastrophe. On était parti sur une belle récolte et ça tombe à l'eau", a déclaré le président du syndicat de Pommard, Jean-Louis Moissenet. "Il faut attendre demain pour connaître les dégâts, mais on devrait être dans les mêmes proportions que l'an dernier, soit entre 40 % et 80 %" de pertes selon les parcelles, a précisé le président du syndicat d'appellation de Volnay, Thiébault Huber. Le secteur avait déjà été détruit par la grêle en juillet 2013 et à l'été 2012.

Dans la région de Lyon et dans le Beaujolais, le préfet du Rhône a décidé d'interdire pour la soirée et la nuit de samedi à dimanche les manifestations culturelles et sportives en raison des vents violents soufflant dans le département, pouvant dépasser 100 km/h. La seconde soirée du festival Garorock a été annulée samedi par décision préfectorale en raison des orages sur le Lot-et-Garonne.

Les festivaliers, qui sont en grande majorité installés dans un immense camping, ont été transférés au Parc des expositions de Marmande, le temps que l'épisode orageux passe. La manifestation était maintenue en revanche pour dimanche. De même, les organisateurs de "Bordeaux fête le vin" ont décidé de fermer pour la soirée le site des quais. Les festivités ont aussi été annulées. La manifestation reprendra dimanche. Dans l'Hérault, qui n'était pas concerné par l'alerte orages, une cellule spéciale a été mise en place par les pompiers du département à cause de la forte houle observée sur le littoral.

À 19 heures, une trentaine d'interventions étaient recensées afin de porter secours à des personnes en difficulté (embarcations légères qui ont chaviré, voiliers contre des rochers, véliplanchistes...) et d'assister des personnes sur les plages de Villeneuve-lès-Maguelone, Agde, Cap d'Agde ou Marseillan pour des débuts de noyade. Quatre plages ont été fermées au public : Agde, Marseillan, Vias et Valras. Vers 6 heures samedi matin, 26 départements avaient été placés en alerte, avant de passer à 32 en milieu de matinée, puis 22 dans la soirée.

Le Point 29/6/2014

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Un comité sécheresse s'est tenu mardi après-midi à la Préfecture de Haute-Marne. Un premier arrêté a été pris afin de limiter la consommation d'eau et limiter les risques incendie. Si la sécheresse persiste, la préfecture pourrait prendre une autre série de mesures dans la semaine.


 ©️ France 3 Champagne-Ardenne


- Pour les agriculteurs, l'irrigation des cultures céréalières, maraîchères, horticoles et arboricoles est interdite entre 11h et 18h.

- Les fontaines publiques à circuit ouvert, les piscines et les plans d'eau ne pourront pas être remplis, sauf pour les activités commerciales

- De la même façon, il est interdit d'arroser les pelouses et espaces verts entre 11h et 18h. Les golfs devront être arrosés avant 8h le matin ou après 20h dans la soirée. 

- Les industries et commerces sont priés de limiter leur consommation d'eau au strict nécessaire. L'utilisation de l'eau hors des stations professionnelles pour le lavage des voitures est défendue, sauf pour les véhicules sanitaires ou techniques.

Régulation de la navigation fluviale : Les bateaux seront regroupés dans la mesure du possible pour le passage des écluses.

Ces mesures ne sont pas applicables si l'eau provient de réserves d'eau pluviale ou d'un recyclage.


France3 Champagne Ardennes 2/7/2014

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La pluviométrie de juin n’a pas permis, de manière générale, d’inverser la tendance à la baisse, déjà importante fin mai, des ressources en eau. La situation est tendue sur certains secteurs comme celui du bassin versant du fleuve Hérault. Les mesures de restriction d'eau sont accrues.

 ©️ F3 LR F.Guibal 1er juillet 2013.

Suite à la réunion du 2 juillet de la cellule sécheresse en charge de la surveillance de la ressources en eau, le préfet de l’Hérault décide :

- de renforcer les restrictions (passage en niveau 2) des usages de l’eau sur les 122 communes du bassin versant du fleuve Hérault.

- de maintenir les restrictions fortes de niveau 2 déjà en vigueur sur le secteur alimenté par la nappe de l’Astien (entre Vendres et Agde).

- de maintenir sur le reste du département les restrictions de niveau 1 déjà en vigueur.

- d’accentuer les contrôles des services de l’Etat sur le respect des restrictions.

 ©️ prefecture DDTM 34 Etat de la sécheresse dans l'Hérault - au 2 juillet 2014.

Toutes les informations sur le site internet des services de l'Etat : l’arrêté préfectoral du 02/07/2014, la carte détaillée des zones concernées, les mesures.

- Vous êtes un particulier : contactez en priorité votre mairie.
- Vous êtes abonné d’un réseau de distribution d’eau potable ou d’eau brute : contactez en priorité le gestionnaire de votre réseau.
- Vous êtes une collectivité et/ou un gestionnaire  : contactez la DDTM34.

France3 Languedoc Roussillon 2/7/2014

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"Une situation fortement orageuse d'été" va toucher, à partir de vendredi matin, une zone qui va du Puy-de-Dôme à l'Aude et aux Bouches-du-Rhône.

L'alerte vaut à partir de vendredi matin, 6 heures. Treize départements du sud-est de la France ont été placés en vigilance orange par Météo France en raison d'orages, jeudi 3 juillet. Sont concernés l'Ardèche, l'Aude, l'Aveyron, les Bouches-du-Rhône, le Cantal, le Gard, l'Hérault, la Loire, la Haute-Loire, la Lozère, le Puy-de-Dôme, le Tarn et le Vaucluse.



Selon Météo France, ces départements vont connaître une "situation fortement orageuse d'été qui nécessite une vigilance particulière dans la mesure où il existe un risque fort de phénomène violent".

"Un système dépressionnaire pluvio-orageux actuellement sur l'Espagne va progressivement se décaler vers le Nord-Est de la France, explique Météo France. Cette dégradation va débuter vendredi matin par le Languedoc-Roussillon et se propagera vers le Nord-Est en cours de journée." Le service national de prévision prévient qu'"une extension de la vigilance est à l'étude pour les départements situés vers le Nord-Est".

 Treize départements ont été placés en vigilance orange par Météo France, le 3 juillet 2014. (PASCAL POCHARD-CASABIANCA / AFP)

"Les orages seront accompagnés de violentes rafales de vent sous les cellules les plus fortes, d'une activité électrique intense, de forte intensité de précipitation et de grêle", indique-t-il. Ces "violents orages" sont "susceptibles de provoquer localement des dégâts importants".

Francetv Info 3/7/2014

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Météo France engage à la prudence face au nouvel épisode orageux qui touche le pays.

L'alerte orange en prévision d'orages a été étendue. Elle concerne maintenant 19 départements du sud-est et de Rhônes-Alpes, ainsi que les Pyrénées-Atlantiques, jusqu'à vendredi 4 juillet 2014, 23 h 00, selon le dernier bulletin de vigilance émis par Météo France.

Météo France annonce un nouvel épisode orageux sur le pays ce vendredi 4 juillet 2014. (AFP)

Les Pyrénées-Atlantiques ont été ajoutés sur la liste vendredi à 07h00 par Météo France, en raison de fortes pluies depuis 05h00 "sur le Pays Basque et l'ouest du Béarn".

Météo France avait dès jeudi 3 juillet placé en vigilance les départements de l'Ardèche, l'Aude, l'Aveyron, les Bouches-du-Rhône, le Cantal, le Gard, l'Hérault, la Loire, la Haute-Loire, la Lozère, le Puy-de-Dôme et le Vaucluse, avant d'ajouter vendredi matin l'Ain, la Drôme, l'Isère, le Rhône, la Savoie et la Haute-Savoie.

L'alerte a en revanche été levée sur le Tarn qui ne devrait être "touché que partiellement".



Les Débats Scientifiques 24/3/2013


Sciences et avenir 4/7/2014

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Itxassou (France) (AFP) - L'alerte orange aux intempéries qui avait concerné jusqu'à 31 départements vendredi a été levée dans la soirée, le Pays basque ayant le plus souffert avec des crues d'une rare violence qui ont fait un mort, ainsi que 300 brebis mortes noyées.

Jésus-Christ 4/7/2014


A la mi-journée, la crue s'était déplacée de l'intérieur du Pays basque vers le littoral, où la Nive en crue se jette dans l'Adour à Bayonne. La mairie avait lancé par précaution une alerte à la population vivant en bordure de la Nive, notamment en raison du phénomène de marée, qui empêche l'évacuation des eaux vers l'Océan.

En une nuit, l'équivalent d'un mois de pluie est tombé au Pays basque, entraînant une montée brusque des eaux.

Les Pyrénées-Atlantiques n'ont été ajoutés à la liste des départements concernés que vers 07H00 par Météo-France, quelques heures après le début de la montée des eaux qui a surpris la population, notamment dans les secteurs de Mauléon, Saint-Jean-Pied-de-Port et Saint-Etienne-de-Baïgorry. Une alerte orange pour les crues avait été lancée à 10H00, avant d'être levée dans l'après-midi. Mais une quinzaine de routes départementales étaient encore coupées vendredi soir.

Sept maisons de Mauléon étaient menacées vendredi soir par un glissement de terrain entraînant l'évacuation de 15 personnes, selon la préfecture des Pyrénées-Atlantiques.

A Cambo-les-Bains, 180 curistes ont été pris en charge pour la nuit par la mairie après l'inondation de leur centre.

A Ostabat Asme, un homme âgé de 84 ans a été emporté par les eaux. Son corps a été retrouvé peu après 07H00, selon la préfecture.

"Tout était normal ce matin à 8 heures. L'eau est monté extrêmement vite en deux heures", a témoigné Maialen Delanoix, 24 ans, de Cambo-les-Bains, jointe par téléphone.

"Il y a d'importants dégâts : une vingtaine de maisons autour de chez moi sont inondées, avec un bon mètre d'eau à l'intérieur", a-t-elle ajouté en décrivant des "baraques de chantier et voitures, charriées par la Nive, sous le pont du Bas-Cambo".

Selon le capitaine Nicolas Regerat, en charge du PC des secours à Saint-Jean-Pied-de-Port, cinq hélicoptères ont été mobilisés et 61 personnes ont été hélitreuillées ou évacuées de leurs habitations après une montée des eaux "très rapide" qui avait démarré par un orage.

Mais de nombreux animaux et cultures n'ont pu être sauvés, en particulier 300 brebis, mortes noyées, et les vignobles d'Irouléguy ont été touchés par des glissements de terrain.

"On est bloqués depuis 6 heures du matin", a témoigné Gaizka Iroz, photographe de l'AFP habitant le village d'Itxassou, où la Nive a débordé.

"On a monté le grand-père de 92 ans à l'étage". "C'est ma belle-mère qui nous a réveillés à 06h00 en disant +vite, vite l'eau monte, il faut sauver le cheval et le chien+", a-t-il ajouté, déplorant n'avoir eu vent d'aucune alerte.

"Le village est complètement isolé depuis vendredi matin, il n'y a pas d'accès. Nous avons dû procéder très rapidement à l'évacuation d'un camping dont la sirène a sonné ce matin à 07H00. L'eau est montée à une vitesse folle, je crois n'avoir jamais vu ça", a aussi raconté le maire de Saint-Etienne-de-Baïgorry, Jean-Michel Coscarat, joint par téléphone.

Au plus fort de l'évènement, 4.000 foyers ont été privés d'électricité contre 700 vendredi en soirée après la mobilisation des équipes d'ERDF.

Au total, dans la nuit de jeudi à vendredi, près de 15.000 sapeurs-pompiers, trois hélicoptères de la sécurité civile, des gendarmes et des policiers ont été mobilisés dans le Sud-Ouest face pour faire face aux intempéries, selon le ministère de l'Intérieur.

Sciences et avenir 4/7/2014

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Météo-France, qui prévoit la formation de "nouveaux orages plus violents", a placé 22 départements du sud-ouest au grand est en vigilance orange.



Vingt-deux départements du sud-ouest au grand est ont été placés en vigilance orange par Météo-France en raison d'un risque de forts orages attendus à partir de dimanche après-midi. Les départements des régions Auvergne, Franche-Comté, Alsace, Lorraine ainsi que l'Ariège, la Haute-Garonne, le Tarn, l'Aveyron, la Loire, la Saône-et-Loire, la Haute-Marne et la Côte d'Or sont concernés par cette alerte, qui court de 15 heures à 22 heures.

Alors qu'un temps pluvio-orageux va concerner une grande partie du pays dimanche, Météo-France prévoit la formation en cours d'après-midi "de nouveaux orages plus violents et nombreux" sur un axe allant du sud-ouest à la Bourgogne en passant par l'Auvergne.

Le point 6/7/2014

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La préfecture de Haute-Savoie met en garde les alpinistes contre les risques d'avalanche, compte-tenu des très mauvaises conditions météo que connaît la région depuis une semaine. Le retour du beau temps, annoncé à partir du 14 juillet, ne sera pas moins problématique.

 ©️ France 3 Alpes Vue aérienne du Mont-Blanc

Si, en plaine, les conditions sont actuellement automnales, avec de fortes pluies et des températures d' à peine 20 degrés depuis une semaine... En haute montagne, on peut carrément parler de conditions hivernales, comme le rappelle la préfecture de Haute-Savoie dans un communiqué.

En conséquence, les autorités appellent dès maintenant les alpinistes à la plus grande prudence. Car, avec les abondantes chutes de neige et un fort vent du nord en altitude, toutes les conditions sont réunies pour provoquer des départs de plaques, et donc d'avalanches.

"En début de semaine prochaine, avec le retour d’un beau temps chaud et ensoleillé, le réchauffement soudain du manteau neigeux favorisera des départs naturels et provoqués d'avalanches. Les horaires de courses devront être adaptés à la situation" poursuit le communiqué.  

La préfecture conseille, plus que jamais, de se renseigner auprès des professionnels avant tout départ en montagne. "Habillez-vous pour des conditions hivernales et équipez-vous du matériel indispensable (pelle, sonde, détecteur de victimes d'avalanches)". Il en va de sa sécurité ainsi que de celles des secouristes.  

FR3 Alpes 11/7/2014

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Certains ont perdu leurs bêtes, noyées, emportées par les eaux des crues spectaculaires de vendredi dernier. D'autres ont perdu leurs cultures, "complètement foutues". L'état de catastrophe naturelle a été reconnu. 35% du montant de leurs pertes devrait leur être remboursé.

 ©️ France 3 Aquitaine

Tout a été submergé, l'eau est monté jusqu'aux toitures en deux heures" témoigne une éleveuse de poules. La totalité de son élevage, soit 10 000 poulets, a été anéanti.  Ce cas n'est qu'un exemple parmi tant d'autres au pays basque intérieur, touché par les très fortes crues de la Nive, notamment, vendredi dernier.

France 3 Aquitaine 10/2/2014


France3 Aquitaine 10/7/2014

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Météo-France prévoit de forts orages jusqu'à samedi matin dans l'ouest et le sud-ouest de la France et note un "risque fort de phénomènes violents".

Météo-France a émis vendredi matin un avis de vigilance orange "orages" pour onze départements qui doit débuter ce soir à 18 heures. Dans un bulletin publié à 6h30, Météo-France a précisé que les départements placés en vigilance étaient ceux des Pays de la Loire, de Poitou-Charnentes ainsi que la Gironde et les Landes. Le début de l'événement est prévu vendredi à 18 heures pour se terminer samedi matin à 4 heures, selon le bulletin. Météo-France prévoit en effet une "situation fortement orageuse d'été qui nécessite une vigilance particulière dans la mesure où il existe un risque fort (une forte probabilité) de phénomènes violents".



Le point 18/7/2014

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