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Georges le solitaire (Lonesome Georges), dernier représentant de l'espèce Geochelone Abigdoni

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La tortue Lonesome George est la dernière de l'espèce des Geochelones abongdoni nigra

Y’a-t-il sur Terre quelqu’un de plus seul que « Lonesome George » ? Sans parents, ni amis, ni même homologues, George est condamné à errer sur l’île d’Abingdon avant de disparaître, emportant avec lui tout le sort de son espèce. Sur l’île d’Abingdon, dans l’archipel des Galapagos, « Lonesome George » est la dernière tortue géante de son espèce. Cela fait d'elle le reptile le plus rare du monde. Du haut de ses 80 ans (estimation), George a néanmoins encore de beaux jours devant lui car l’espérance de vie moyenne de cette espèce, la Geochelone abingdoni nigra, peut atteindre 150 à 200 ans.

C’est en 1971 que George fut découvert sur l’île de Pinta par hasard par un chercheur d’escargot qui a trébuché sur sa carapace. L’événement, pourtant anodin, a eu son importance dans le milieu scientifique qui croyait l’espèce éteinte. Depuis, George a été transféré au centre de recherches Charles Darwin et de nombreuses tentatives d’accouplement ont été tentées avec des membres de sous-espèces voisines (toutes des tortues géantes des Galapagos). Pourtant, impossible de trouver une compagne qui plaise à George.

Un peu d’optimisme
En juillet 2008, les chercheurs ont constaté avec soulagement que George s’était accouplé avec deux tortues femelles. Résultat : 13 beaux œufs concentrant l’avenir d’une espèce. Ces œufs ont été placés en incubation, mais malheureusement, se sont révélés infertiles. Mais la Geochelone abingdoni nigra n’est pas encore disparue et l’espoir perdure.

En effet, des scientifiques de l’université de Yale, aux Etats-Unis, ont comparé l’ADN de George à celui des tortues Geochelone becki provenant de l’île d’Isabela. Surprise : l’une d’elles s’est avérée être une cousine, en ayant la moitié des gènes en commun avec la sous-espèce de George. Parmi les 2000 tortues G. Becki vivant en liberté sur l’île d’Isabela, qui sait si ne se cache pas une femelle dont les deux parents seraient originaires de Pinta. Cette potentielle partenaire sexuelle de George porterait alors en elle tout l’avenir d’une espèce.

Maxisciences 17/08/2011

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Georges le solitaire, « Lonesome George », la tortue mascotte des îles Galápagos est morte à un âge vénérable – estimé à 100 ans. Cette tortue géante de l’île Pinta de la sous-espèce Chelonoidis nigra abingdoni n’a pas de descendant : les tentatives pour la faire se reproduire avec des femelles d’une sous-espèce très proche de la sienne, venant de l’île voisine d’Espanola, sont restées vaines.

C’est un naturaliste hongrois qui, le premier, a décrit Georges en 1972. Les responsables du parc national ont précisé que la célèbre tortue serait autopsiée, pour déterminer les causes du décès, puis empaillée pour être conservée.

Les tortues géantes des Galápagos ont été rendues célèbres par les travaux de Charles Darwin, jeune naturaliste venu au XIXème siècle sur ces îles de l’océan Pacifique à bord du HMS Beagle. Ses observations ont nourri sa théorie de l’évolution des espèces.

Ces grandes tortues terrestres peuvent vivre de 150 à 200 ans. Ainsi en 2006 une tortue âgée de 176 ans, originaire des Galápagos, est morte dans un zoo australien. Harriet aurait été embarquée dès l’âge de 5 ou 6 ans jusqu’en Grande-Bretagne – la légende veut que Darwin lui-même l’ait ramenée dans son île européenne en 1835. Des tests génétiques avaient révélé que Harriet était née vers 1830 et qu’elle appartenait à une sous-espèce trouvée sur une île de l’archipel que Darwin n’a pas visitée. Quoi qu’il en soit, Harriet avait passé quelques années en Grande-Bretagne avant d’être transférée au Jardin botanique de Brisbane, en Australie.



Photo du 21/07/2008 réalisée dans le parc national des Galapagos (Ap/SIPA)

L'Equateur a annoncé jeudi sa décision d'inscrire au patrimoine culturel national "Georges le Solitaire", une tortue géante centenaire, dernier représentant de son espèce décédé en juin dans l'archipel des Galapagos.

Unique survivant de l'espèce "Geochelone Abigdoni", l'animal est mort de cause naturelle, après plusieurs tentatives infructueuses de reproduction, dans un centre d'élevage de tortues de cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1.000 km des côtes.
"Georges le Solitaire" constitue un symbole de la lutte pour la protection d'un "écosystème fragile dont la conservation est la responsabilité de tous", a indiqué le vice-ministre équatorien du Patrimoine, Juan Carlos Coellar, dans un communiqué.
Des chercheurs ont été chargés d'une étude visant à démontrer l'intérêt scientifique que présente le corps de cette tortue, qui sera embaumé avant d'être exposé dans l'archipel des Galapagos.
Entre 30.000 et 40.000 tortues représentant une dizaine d'espèces différentes vivent dans ces îles classées au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies et célèbres pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces du naturaliste britannique Charles Darwin.


Sciences et Avenir 26/06/2012 - Sciences et Avenir 05/07/2012

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En juin dernier, la tortue "Lonesome George" a trouvé la mort de manière inattendue, une centaine d'année avant l'âge requis. Pourtant, il semblerait bien qu'elle soit décédée naturellement, emportant avec elle tout espoir de voir perdurer son espèce.

C'était en juin dernier : la fameuse tortue géante "Lonesome George", nommée d'après l'acteur américain George Gobel, rendait l'âme sur les îles équatoriennes des Galapagos. Mais plus que ce spécimen, avec cette mort, s'est éteinte toute une espèce Chelonoidis abingdonii, puisqu'elle en était la dernière représentante alors que de nombreuses tentatives de reproduction avaient été faites.

Si son décès restait jusqu'à aujourd'hui mystérieuse, l'autopsie de son corps a enfin été réalisée, permettant d'en savoir plus sur sa mystérieuse disparition.

C'est Marilyn Cruz, vétérinaire et coordinatrice de l'association Agrocalidad in Galapagos, l'agence gouvernementale dédiée aux normes agricoles et à la biosécurité des îles qui a réalisé l'autopsie commandée par la constitution équatorienne, la première au monde à accorder les mêmes droits aux animaux et aux hommes. L'étude du corps visait ainsi à comprendre pourquoi cette tortue est morte à un peu plus de 100 ans, alors que les animaux de son espèce vivaient plutôt jusqu'à 200 ans. La vétérinaire Marilyn Cruz a déclaré avoir "ressenti une confusion d'émotions" lors de l'opération.

En tant que native des Galapagos, plus exactement de l'île Floreana, elle a en effet confié avoir éprouvé une grande tristesse lors de la perte de l'animal centenaire, considéré comme un trésor national. Mais elle a dû mettre ses sentiments de côté pour ouvrir le plastron de la tortue (son ventre recourbé).

Elle explique : "Ce n'était pas quelque chose que je voulais faire, mais c'était quelque chose qui devait être fait". Tous les organes ont été inspectés mais rien d'anormal n'a été observé dans le corps de l'animal décédé, mis à part la couleur étrange de son foie, surement due à l'âge. Il semblerait donc que Lonesome George soit décédé de mort naturelle.

Maintenant que l'autopsie a été faite, le corps de la tortue va être embaumé puis exposé. En effet, le gouvernement équatorien veut ériger Lonesome George comme un symbole de la lutte pour la protection d'un "écosystème fragile dont la conservation est de la responsabilité de tous".



mAXISCIENCES 06/08/2012

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QUITO - Un temps considéré comme le dernier représentant de son espèce, Georges le Solitaire, une tortue centenaire, originaire des Galapagos, a été envoyé aux Etats-Unis pour y être embaumé, avant de regagner le célèbre archipel équatorien, a annoncé mardi la direction du Parc national des Galapagos (PNG).

La mort de cet animal, survenue le 24 juin dernier sur l'île Pinta, avait suscité une forte émotion car elle avait sonné le glas de l'espèce Geochelone Abigdoni, avant que d'autres spécimens ne soient découverts dans cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1.000 kilomètres des côtes de l'Equateur.

Ses restes ont été transportés par avion dans un caisson spécial en direction de New York, où le Musée américain d'histoire naturelle va se charger de l'opération de taxidermie, selon un communiqué diffusé par le PNG.

Une fois embaumé, Georges le Solitaire retrouvera l'archipel des Galapagos pour y être exposé dans un musée qui sera construit sur le site même où l'animal a vécu depuis sa découverte en 1971. La tortue s'était éteinte de cause naturelle, après plusieurs tentatives infructueuses de reproduction, dans un centre d'élevage.

Considérée comme un symbole de la lutte pour la protection de l'écosystème, elle avait été inscrite en juillet dernier par le gouvernement équatorien au patrimoine national.

Entre 30.000 et 40.000 tortues d'une dizaine d'espèces différentes, dont certaines peuvent atteindre 1,80m et vivre jusqu'à 180 ans, peuplent les îles Galapagos. Cet archipel, classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces au naturaliste britannique Charles Darwin.


ROMANDIE 12/3/2013

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Quito, 4 sept 2014 (AFP) - Symbole de la conservation animale sur l'archipel équatorien des Galapagos, "Georges le solitaire", une tortue centenaire morte en 2012, va être exposée au Musée américain d'histoire naturelle de New York, l'un des plus connus de la mégapole des Etats-Unis.

Georges le solitaire en 2007, originellement el Solitario Jorge en espagnol, est le nom donné à celui que l'on pensait être la dernière tortue connue de l'espèce Chelonoidis abingdonii, une des dix espèces de tortues géantes des Galapagos.putneymark, Flickr, ccby-sa 2.0

La mort de l'animal avait soulevé une vive émotion car elle avait sonné le glas de l'espèce "Geochelone Abigdoni", avant que d'autres spécimens ne soient découverts dans cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1.000 kilomètres des côtes de l'Equateur. Transportée dans un caisson spécial aux Etats-Unis, la tortue a subi une opération de taxidermie qui a duré plus d'un an. Après l'exposition, prévue à partir du 18 septembre à New York, "Georges le solitaire" reprendra le chemin des Galapagos, où il constituera le clou d'un musée consacré aux tortues.

Fin 2012, une équipe de l'université de Yale annonce avoir trouvé 17 tortues au patrimoine génétique identique à celui de Georges dans certaines îles voisines, ouvrant la voie à une repopulation de l'île par l'espèce. Sur cette photo, Georges le solitaire en 2006 sur l'ïle de Pinta. mikeweston, Flickr, cc by-sa 2.0 (http://www.flickr.com/photos/mikeweston/)

Entre 30.000 et 40.000 tortues d'une dizaine d'espèces différentes, dont certaines peuvent atteindre 1,80 m et vivre jusqu'à 180 ans, peuplent ces îles paradisiaques. Cet archipel, classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces au naturaliste britannique Charles Darwin.

Fondation 30 millions d'amis 4sept.2014 - Wikipedia

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