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0 NeutralÀ propos de fagioli carlo
- Date de naissance 16/06/1955
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fagioli carlo a commencé à suivre Race.Boxer
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fagioli carlo a commencé à suivre Questions générales sur le travail et par disciplines, dates et résultats de concours RCI, L'alimentation de nos boxers adultes et et 4 autres
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lien pour calculer la ration de notre chien
fagioli carlo a répondu à un(e) sujet de globi1 dans L'alimentation de nos boxers adultes
salut Albachiara(très belle chanson de Vasco Rossi...ti svegli piano senza far rumore ti riaddormenti solo quando tramonta il sole...),tu as fait seulement une leçon mais tu utilise ta tête pas seulement pour l'emmener chez le coiffeur!!!! comme pour toutes les choses il faut raisonner et tu le fais; Ciao -
Je suis Christine Curt j'ai une info . pour les passionnes de travail je suis invitée par les amis du RCI a encadrer une semaine de stage au cantal ,il a pour bute de vous aider vous conducteur de boxer a progresser dans cette discipline vous allez sur le site de chien plus ils y a toute les infos ,profité car le groupe des amis du RCI vous mets a dispo une grande dresseuse de boxer. jespère vous voir a se stage. christine curt
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pour Stella: combien de concours as tu fait en Allemagne? Tu sais qu'est ce passe t il en Allemagne? Ce n'est pas comme tu crois et donc il faut parler de ce qu'on connait! Pour tous ce qui ne comprennent pas pourquoi envoyer un chien chez un dresseur je les invite à lire mon article que je met de suite: SUR LES POLEMIQUES QUI ONT SURGI EN ITALIE AUTOUR DU ROLE DU DRESSEUR PROFESSIONNEL Carlo Fagioli J’ai écrit l’article qui va suivre pour le revue du Boxer Club d’Italie. Il concerne donc le monde canin italien. Ne vous étonnez donc pas d’y trouver des références aux institutions canines de ce pays. Je pense qu’il puisse toutefois intéresser le monde cynophile français, et j’ai donc essayé de le traduire pour vous le proposer. J’aimerais ici vous parler d’un argument et d’une profession qui, dans le cadre de la cynophilie officielle, dans les dernières quinze années, a suscité, malgré soi, des débats très vifs et des discussions très acharnées, c’est à dire la profession de dresseur pour les chiens d’utilité et de défense ; et j’insiste sur l’utilité et défense parce que, à ma connaissance, le rôle de dresseur professionnel pour les chiens de chasse, n’a jamais donné lieu à des débats aussi passionnés. Pour vous faire un exemple, à ces dresseurs la on permet de présenter plus de deux chiens à la fois dans le même concours, chose qui n’est pas consentie à leurs confrères de l’utilité et défense. A mon avis tout ça en dit beaucoup sur la considération que l’ENCI (Ente Nazionale della Cinofilia Italiana, l’équivalent en Italie de notre SCC) a du secteur de la chasse, qui est toujours considérée comme la « noble art » par rapport à l’U. D.(utilité et defense) qui reste le parent pauvre. Le dresseur professionnel est considéré par la plupart des gens comme le principal bénéficiaire de ces qu’on appelle les Brevets de qualification, mais à mon avis il n’est que le dernier maillon de la chaîne des bénéficiaires. Le premier maillon, qui a aussi créé la profession de dresseur, et qui est à l’origine des jugements de ces brevets, est en réalité l’éleveur de chiens de race. Et c’est justement la mise en place de cette chaîne qui a fait progresser tout l’élevage canin. Je vais essayer de vous expliquer pourquoi. En Italie entre la moitié et la fin des années soixante, dans le milieu de l’élevage des Bergers Allemands, il y avait deux ou trois noms de proue, tels que le comte Gatti, le docteur Gorrieri et monsieur et madame Gobbi, qui pour améliorer leur cheptel ont importé de l’Allemagne des sujets de grande valeur qui avaient déjà les brevets de travail ainsi que la Korung, vu que déjà à l’époque ils étaient obligatoires dans ce pays, où les titres de travail et les test de caractère font partie de la culture canine, de la même façon qu’en fait partie la vie associative dans les clubs canin, des structures bien équipées et adaptées à la tache, où deux à trois fois par semaine chaque propriétaire d’un ou de plusieurs chiens de race peut se rendre pour éduquer et pour dresser ses chiens et les préparer donc pour les brevets et pour la Korung. L’Italie, pour se mettre au pas avec les critères de sélection allemands, a du d’abord se mettre en règle pour ce qui concernait les tests de caractère. Mais, étant donné que ni le comte Gatto, ni le docteur Gorrieri ou encore M. et Mme Gobbi, ne pouvaient pas eux mêmes préparer et dresser les sujets sortis de leurs élevages, et aussi qu’à l’époque en Italie n’existait pas une structure de clubs canins efficace, ces messieurs ont été obligés de s’adresser à des professionnels du dressage. Et, puisque à cette époque le nombre de chiens produits par chaque élevage a beaucoup augmenté, vu que ces mêmes éleveurs ont commencé à travailler sur une plus grande quantité de chiots dans l’espoir de voir plus facilement sortir le chien d’exception, le nombre de sujets à mettre en règle et donc à dresser s’est multipliée. Donc si au début on confiait son chien à un ami pour qu’il le prépare, le nombre a fait qu’ils ont été obligés de trouver quelqu’un qui fasse ça à plein temps, ce qui a donné naissance à la profession proprement dite, qui au début avait pour tache de s’occuper presque exclusivement des sujets sortis des grands élevages dont on a parlé. Mais alors, pourquoi donc j’affirme que nous avons tous bénéficié de ce mouvement ? Parce que le très beau sujet qui avait toutes les qualités morphologiques pour améliorer la race, était quand même obligé d’avoir ses test de caractère et ses brevets de travail. On peut donc affirmer que, sans l’apport de ces professionnels, qui permettaient aux chiens d’être conformes à la réglementation pour la reproduction des chiens de race, le grand bond en avant que l’élevage des races d’utilité et défense a fait en Italie, et à l’etranger, entre la fin des années soixante-dix et les années quatre-vingt, n’aurait pas été possible. Et ici permettez moi d’ouvrir une parenthèse pour rendre hommage à ces véritables pionniers de la profession qui sont partis en Allemagne pour se former et apprendre les techniques, et qui par la suite, non seulement ont dressé et présenté des chiens de grande valeur, mais qui ont aussi formé une entière génération d’hommes assistants, qui, grâce aux techniques apprises et au travail exigent et très méticuleux auquel ils avaient été formés, ont pu officier dans des concours au plus haut niveau international. Je ne ferai pas de noms. Il serait injuste pour ceux que j’aurais éventuellement oublié, mais sachez bien que si l’élevage des BA ou des Doberman ou encore des Boxers, à partir des années quatre-vingt sont devenus une référence mondiale, juste après l’élevage Allemand, on le doit en grande partie au travail acharné de ces professionnels, qui ont permis aux meilleurs chiens tant sur le plan morphologique que sur celui du caractère, d’être conformes au règlement pour la reproduction et donc pour l’amélioration de la race. L’emploi de ces sujets d’exception a profité à tout le monde de l’élevage canin et l’a fait progresser dans son ensemble. Mais, en augmentant le nombre de chiots et donc des chiens à préparer, le nombre des dresseurs professionnels a lui aussi augmenté. Or, nous savons très bien que dans toute profession il y a les bons, les moyens et aussi carrément les mauvais. Si on ajoute à ça que chaque dresseur a vu grandir le nombre de chiens qui lui ont été confiés, par conséquence le temps qu’il pouvait dédier à chaque chien a diminué avec des retombés sur le résultat final. J’ajouterais que soit au niveau des professionnels du dressage que des juges on s’est trouvé en présence d’une certaine dérive, parce que s’il y a les bons, les moyens et les mauvais chez les premiers, il y a aussi le même phénomène chez les autres. Mais encore une fois il ne faut pas se tromper de cible : tout ça n’est pas la faute du dresseur professionnel ! Il ne fait que travailler avec ce que l’élevage canin lui propose, et, permettez moi d’insister, si le nombre des professionnels a augmenté, c’est que la quantité de chiens produits par les éleveurs a augmenté, pour pouvoir obtenir le « champion ». Je vais essayer, sans critiquer les dresseurs et les juges, de vous expliquer ce qui, selon moi, est arrivé et qui va surtout arriver dans les concours, sans que pour ça leur valeur en soit diminuée. En tenant compte du fait que le chien peut rester chez le dresseur trois ou quatre mois au maximum, et en tenant compte aussi de l’actuel règlement de l’IPO, nous ne pouvons pas penser qu’un dresseur, qui pour gagner sa survie et pour couvrir les frais de sa structure doit travailler à fond, en seulement quatre mois puisse accepter de travailler plus de cinq ou six chiens à la fois. Et rendons nous compte aussi que pour préparer cinq à six chiens en quatre mois le dresseur ne peut pas s’occuper bien comme il faut de tous les détails dans l’exécution des exercices, qui font la différence en termes de pointage final du concours, et qui par contre sont le souci du sportif qui doit préparer son chien pour un concours IPO. Donc à mon avis, le critère qui doit guider le dresseur professionnel, consiste à montrer en concours qu’il a un chien qui est bien sous contrôle, qui a travaillé comme il faut, qui a bien appris les exercices fondamentaux. On ne pourra pourtant pas parler d’un chien bien dressé, puisque en réalité il s’agit d’un chien fortement conditionné, qui, le jour du concours, aura besoin de toute l’expérience d’un conducteur chevronné pour montrer ses qualités caractérielles : être bien sous contrôle, équilibré, stable et pas nerveux. Il faudra aussi qu’il montre qu’il sait pister, le nez bien au sol, qu’il sait faire un rapport d’objet, qu’il répond au rappel, qu’il est sociable, qu’il sait défendre et qu’il revient au calme tout de suite après. Comme je viens de l’expliquer on ne peut pas dire que ça correspond à un entrainement profond, étant donné qu’un tel niveau n’est pas joignable en seulement trois ou quatre mois, mais amplement suffisant pour évaluer les qualités caractérielles du sujet qui sont exhibées le jour du concours, sous la conduite d’une main expérimentée. De son coté le juge devra montrer la souplesse et la sagesse de comprendre qu’il a à faire à un chien qui a été préparé dans des délais si courts, et donc il devra juger surtout ses qualités et non son niveau de dressage, donc l’équilibre, la non dangerosité, la sociabilité, le fait d’être bien sous contrôle, et, bien entendu, s’agissant d’un chien de garde et défense, l’attitude à défendre et le retour au calme. Tout ça bien entendu dans le respect du règlement des concours, étant donné que le juge en premier doit le respecter. Ils faut donc que ceux qui présentent le chien l’aident à les aider, vu que dans le règlement il y a des parties où le maximum est exigé et d’autres qui sont plus confiées à la discrétion du juge. Ceci dit, je ne comprends pas les cris scandalisés qui se lèvent quand un professionnel passe un chien en concours et que le juge lui permet un rappel de plus, un chien qui connaît et exécute son programme, sans éclat, c’est vrai, mais en étant toujours bien sous contrôle. C’est tout ce qu’un dresseur peut obtenir en si peu de temps. Après tout il ne faut pas oublier qu’un sportif qui prépare son chien passe au minimum sept à huit mois, souvent même un an, à l’entrainer avant de lui faire passer son IPO 1, et il s’agit la de « son » chien. Vous comprenez fort bien comme ça soit impossible de mettre autant de temps pour un dresseur qui vit de ce travail et pour un éleveur qui doit financer la carrière des ses meilleurs sujets. J’ai essayé de vous faire comprendre mon point de vue et je pense d’avoir aussi rendu service à ceux qui ne sont pas de mon avis, en leur expliquant pourquoi ils voient certains comportements en concours. En tout cas, que ça soit bien clair, le chien présenté en concours par un professionnel, doit montrer d’être en possession des qualités qui l’autorisent à obtenir son brevet en concours. Et je voudrais aussi ajouter que c’est grâce aux dresseurs professionnels que le niveau de la beauté des sujets des races d’utilité et de défense a fait un grand bond en avant, ces trente dernières années, parce que grâce à eux la fine fleur des étalons et des lices ont pu obtenir les brevets qui les autorisaient à reproduire pour améliorer la race. Je pense que encore aujourd’hui soit valable tout ce que je viens de dire sur le parcours qui a fait naitre et s’affirmer la figure du dresseur professionnel, ainsi que tous les bienfaits pour l’élevage dans son ensemble. Il y a peut être quelque changement, mais il faut dire que même les petits éleveurs qui font un petit nombre de portées chaque année, travaillent de façon beaucoup plus scientifique et ciblée pour obtenir le « grand chien », n’ont souvent pas le temps ou les capacités de travailler eux mêmes leur « champion », étant donné qu’en Italie il n’y a pas la même culture canine qu’en Allemagne, la culture du Club Canin Sportif. La on se retrouve au Club deux ou trois fois par semaine, plus les week-end, pour faire travailler son chien mais aussi pour être entre copains. Il y a des familles entières qui vont au Club, qui organisent des fêtes et des repas, et dans cette ambiance entrainent leurs chiens. Il ne faut pas oublier non plus, et j’adresse cette petite pique aux adorateurs de la rigueur germanique, qu’en Allemagne les chien passent leur premier brevet, et puis le deuxième et ensuite le troisième sur le terrain de leur Club, avec leur H. A. et que donc en Allemagne un chien peut arriver en IPO3 dans des conditions nettement plus favorables que dans d’autres pays. Donc toute cette rumeur autour des qualités et de la grande rigueur germanique par rapport à nous ne correspond pas pleinement à la vérité, il vous suffit d’imaginer que votre chien puisse faire ses concours sur son terrain et avec son Homme Assistant, pour comprendre quels avantages il pourrait en tirer. Voilà pourquoi, encore aujourd’hui, malgré les changements intervenus, le dresseur professionnel reste une figure très importante dans le panorama de l’élevage des races d’utilité et de défense. Il faut aussi considérer que le dresseur professionnel d’aujourd’hui est le même bonhomme qui dans les décennies 80 et 90 représentait l’Italie dans les Championnats du Monde de travail pour les races d’utilité et défense, pas seulement comme conducteur mais aussi en tant qu’entraineur des sujets présentés par des membres des différents clubs de race. En tant que professionnel exerçant une profession libérale il doit toujours garantir à sa clientèle un produit haut de gamme, qui est constitué par son travail et son savoir. Il cherchera toujours de s’améliorer pour pouvoir fournir un service meilleur que celui de ses concourants. Et c’est toujours le même bonhomme qui présente en concours des chiens de « beauté », qui se renseigne, qui découvre des nouvelles solutions aux problèmes des chiens, etc., afin d’être toujours capable de donner des réponses aux problèmes de sa clientèle, à partir de ceux d’un simple propriétaire qui veut éduquer son chien, jusqu’au concourant d’un Championnat du Monde. Je pense qu’il mérite du respect. CARLO FAGIOLI
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Non, il n'y a pas d'erreurs car on met sur la fiche technique que le protéines métabolisables et pas des ongles et de becs, par ailleurs autorisés par la loi et qui font quand même pourcentage mais qui n'apportent rien. Il faut contrôler les kilocalories, c'est à dire l'énergie métabolisable, et vous verrez que, sans augmenter le pourcentage de graisses, on a plus de kilocalories! Tout ça vient des qualités de matières premières
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bonjour, je recherche des distributeurs -depositaires de croquettes Natur Dog que j'importe de l'Italie.Elles sont des croquettes naturelles,sans coservateurs et sans mycotoxines (certification officielle)pour plus des renseignements visitez mon site ou contactez moi directement; Merci CARLO FAGIOLI >Hameau de Billy >69620 Légny >Port ++33 (0)614 161487 Fixe ++33 (0)4 74 71 62 87 >http://www.delpasquino.com >fagioli.carlo@aliceadsl.fr
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stage 18et 19 septembre
fagioli carlo a répondu à un(e) sujet de fagioli carlo dans Accès groupes: Rencontre amical, porte ouverte, stage..... boxer
Bonjour, non, pour moi le dressage concerne tous les animaux, même les animaux sauvages (où possible) car le dressage c'est l'apprentissage des exercices plus spécifiques d'une façon plus précise et performante (si tu es en concours il faut faire des points!!!) et /ou donc plus fiable (comme tu dis justement le chiens de recherche, assistance etc. Donc pas de dressage si avant tu n'as pas éduqué ton chien (éducation=respect des règles!) Non je ne fais pas des évaluations comportementales, car seulement les vetos sont habilités à faire ça. Et puis ça veut dire quoi faire des consultations de comportementalisme? Merci de ton intérêt -
voilà pour info APPRENDRE À PENSER CHIEN-POUR ARRIVER A PARLER CHIEN POUR POUVOIR COMMUNIQUER AVEC LUI. -Dresser un chien selon une méthode naturelle qui respecte les exigences éthologiques du chien est –t –il possible ? -Le saviez vous que souvent la non compréhension de la part du chien de l’enseignement d’un exercice est causée par une proposition non correcte de notre part de l’exercice même ? -Le saviez vous que pour apprendre un exercice au chien souvent ça vaut mieux changer la chronologie des parties qui le composent ? -C’est quoi qui bloque physiologiquement chez le chien l’apprentissage en hyper excitation ? -Souvent une réponse non idéale du chien à un commandement en concours est causée par un non parfait timing : coder ou pas coder le chien ? -Pendant le concours le conducteur doit-t-il penser « global » ? Maitrise du terrain de concours ! APPRENDRE À PENSER CHIEN-POUR ARRIVER A PARLER CHIEN POUR POUVOIR COMMUNIQUER AVEC LUI. STAGE DE METHODE ET TECHNIQUES DE DRESSAGE Animateur Carlo FAGIOLI 18 et 19 septembre 2010 Lieu: SARCEY Coordonnées GPS: Terrain : N 45.88654° E 4.57673° Le stage s’adresse à tous, débutants ou confirmés, qui veulent avoir une comparaison des méthodes et qui souhaitent s’améliorer. Durant le stage seront abordés les sujets suivants : • Définition de l’instinct • Caractéristiques des instincts du chien et leurs utilisations pour l’éducation d’un chiot et dans la relation homme chien • Le langage du chien : comment il communique • De l’éthologie à la psychologie : pourquoi et comment ! • Les principes fondamentaux d’éthologie et de psychologie canine et leurs utilisations dans le dressage, (Chef de meute - Renforcement positif et négatif : deux éléments clefs) • Les phases de croissance psychique et physique du chiot : leur importance pour un développement comportemental correct. • Brefs aperçus de la physiologie des cinq sens chez le chien • Le Jeu, élément déterminant pour créer la relation maître /chien et prévenir les troubles du comportement • Un chien de sport peut-t-il vivre dans la maison ? • Méthodes et techniques de dressage pour les chiens d’utilité • Les trois exercices fondamentaux pour ouvrir les portes à chaque apprentissage • Conducteur, coach et H.A : quel rapport entre eux ? Possibilité de reprise vidéo Durant le stage, seront prévues des projections de vidéos de chiens en concours et en dressage Stage de methode et des techniques de dressage Animé par Carlo Fagioli 18 et 19 septembre 2010 Lieu: SARCEY Coordonnées GPS: Terrain : N 45.88654° E 4.57673° Feuille d'inscription Nom : Prénom : Adresse Mail : Téléphone : Niveau du stagiaire et du chien: Points faibles à améliorer: Possibilité de repas complets entre 13 et 15 euros Pour les réservations des repas et des chambres me contacter avant clôture. Clôture: 11 septembre Prix du stage 95 euros à l'ordre de Carlo Fagioli (Possibilité de tarif de groupe, me contacter) Pour tout renseignement : CARLO FAGIOLI >Hameau de Billy >69620 Légny >Port ++33 (0)614 161487 Fixe ++33 (0)4 74 71 62 87 >http://www.delpasquino.com >fagioli.carlo@aliceadsl.fr ajout des feuilles pdf presentation APPRENDRE À PENSER ... engagement
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Championnat de travail AFB 2009 à Thionville
fagioli carlo a répondu à un(e) sujet de RAFTO dans dates et résultats de concours RCI