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savary

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Tout ce qui a été posté par savary

  1. Voilà une info intéressante, le ministère de l'agriculture aurait pris la décision (je dis : aurait) de PRIVATISER la S.C.C. Il est fort a parier que les tarifs vont s'envoler et que ce qui est encore gratuit va ne plus l'être si cette info est véridique ?
  2. A la base la S.C.C devait ouvrir la concurrence aux clubs de race, mais avec cette pirouette !! Elle contourne la mise en demeure de la F.C.I et la Cour Européenne. Dans deux pays voisins, la concurrence ne se limite pas qu'aux simples clubs de race mais aux CANINE en italie un juge et président de club et entrain de crée une canine. Si la S.C.C avait respecter les règles de concurrence, s'en était finit du MONOPOLE DES CLUBS DE RACE, car demain avec l'ouverture, il y aurait eu création d'autres clubs pour une même race.
  3. La S.C.C viens de voter une loi qui va permettre aux clubs de race de pouvoir crée des sous clubs qui seront sous le pouvoir du club de race. C'est à dire que demain un club de race pourra couper la France en quatre et crée en toute légalité 4 sous clubs qu'elle pourra diriger. Ceux-ci va a l'encontre de la MISE EN DEMEURE D'OUVERTURE A LA CONCURRENCE AUX CLUBS DE RACE imposé par la COUR EUROPEENNE et la F.C.I. Belle pirouette de la S.C.C.
  4. J'ai découvert le BOSTON TERRIER et j'ai craqué dessus. Un BOXER en miniature, véritable petit clown avec le caractère du terrier En JANVIER est arrivée a la maison : GOLDA DU MANOIR DE LA CORBIE ( Chauffe Marcel du Grand Fresnoy X Frisquette) Puis début Mars est arrivée une petite copine bringé GALLA OF HONEY'S BULLS (Enack Coeur des Hauts Coureurs X Evita of Honey's Bulls) les deux copines sont devenues inséparables Que du plaisir a les regardées jouer avec les boboxes....................
  5. oui, il a été voter en réunion ordinaire il y a environ deux ans ' l'ouverture aux clubs de race " c'est à dire qu'il va y avoir la possibilité de crée d'autres clubs par race ( savoir si ils pourront demander l'affiliation, j'en sais pas plus pour le moment ?) Car pour voir le jours ce projet aura besoin d'être mis à l'ordre du jours lors d'une réunion extraordinaire. Ceux ci devrait se faire normalement en 2012. Voilà d'ailleurs un article intéressant parut sur mon forum DOBERMANN EUROPA (le nouveau forum) source : http://www.vetitude.fr/scc-la-fin%e2%80 ... opole/scc/ A quelques heures de l’ouverture de l’exposition mondiale qui se tiendra du 07 au 10 juillet à Paris, la Société centrale canine (SCC) est face à son avenir : la loi du n° 2011-525 du 17 mai 2011 de simplification et d’amélioration de la qualité du droit supprime tout simplement l’agrément préalable délivré par l’Etat pour la gestion d’un livre généalogique pour les espèces féline et canine. C’est donc son exclusivité et sa mission de service public qui trouvent un terme. Son objet même, l’amélioration des races de chiens en France ne se fonde plus sur la délégation de l’autorité de l’Etat. Qui disait chien de race, signifiait Société centrale canine. Il était jusque-là, impossible de prétendre développer un nouveau concept de sélection sans son aval qui, par expérience, était systématiquement rejeté, parfois judiciairement. Dorénavant, il sera possible pour une organisation quel que soit son statut juridique, de proposer un nouveau schéma de sélection, selon des critères qui peuvent différer sensiblement de la doctrine actuelle. Fini également le certificat de confirmation. Celui-ci était déjà régulièrement mis à l’index depuis la loi 99-5 relative à la protection animale et aux chiens dangereux. Plusieurs rapports d’experts préconisaient depuis une quinzaine d’année, le remplacement de ce certificat dont la valeur se bornait à la morphologie, par une autorisation de mise à la reproduction. Cela ne signifie pas la fin du chien de race en France. Bien au contraire : continueront à être dénommés chiens de race, les individus inscrits à un livre généalogique reconnu par le ministère de l’Agriculture. Qu’entend-on par chien de race ? Exit l’agrément unique et préalable , exit l’obligation d’adhérer à la Fédération. Il suffit alors pour un organisme, de proposer un cahier des charges légitime en matière d’amélioration des races et d’être reconnu pour cela. L’Etat se contente aujourd’hui d’un référentiel des races canines et félines, nécessaire aux mises en œuvres règlementaires sanitaires ou sociétales. Tout l’enjeu est donc dans la définition donnée au terme « amélioration ». La SCC n’a jamais réussi à faire admettre à ses représentants que l’hypertype est à condamner, que la sélection par le travail n’est pas ce qu’attend majoritairement le futur possesseur de chien de race, que l’intégration d’un chien dans le foyer et de manière plus large dans la société est la priorité. Car, comme aimait le souligner le Professeur Guy Queinnec* dès le début des années 80, un bon chien de race est avant tout un animal sain, bien dans sa tête, et répondant aux attentes de son détenteur. Il suffit d’observer les modifications des nouveaux livrets généalogiques émis par la SCC pour conclure que cette association reconnue d’utilité publique depuis 1914 se refuse à un tel virage dans la stratégie de sélection du chien de race, garante d’un passé cynophile qui n’a peut-être plus raison d’être. SCC : les enjeux La Société centrale canine aurait tous les atouts pour réussir l’une des plus belles politique d’élevage et de sélection au monde : - une notoriété de marque, - un réseau de cynophiles exceptionnel et très ancré sur le territoire, - une organisation régionale assez indépendante et donc pouvant devenir souple si nécessaire - la force du lobby de la chasse dans toutes les strates de l’association, - l’existence de certaines commissions techniques qui pourraient accompagner cette politique du changement, telle la commission zootechnique. Mais plusieurs difficultés se présentent à elle : - Une organisation engluée dans les guerres de pouvoir, entre clubs de races, d’utilisations, sociétés centrales canines régionales, - La mainmise du top management sur les élus au siège de l’association, - L’incapacité à se projeter avec un angle visionnaire sur l’avenir de la cynologie. On se rappelle la position désastreuse des dirigeants de l’époque, relative aux chiens dangereux - Une incapacité à mener une politique financière pérenne - Une stratégie financière basée seulement sur l’identification canine et créant un nouveau conflit avec l’autre gestionnaire de l’identification des carnivores domestiques, le Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral (SNVEL), - La perte de l’intérêt des expositions canines pour les éleveurs désireux de vendre leur production. 2011-2012 : une période de tous les dangers donc. Car, la SCC pourrait à la fois perdre le fichier national canin et le monopôle de la gestion du livre généalogique du chien de race en France. C’est donc dans un contexte politiquement lourd, que s’ouvre cette semaine, l’exposition mondiale que le chien de France méritait d’organiser depuis si longtemps. La France est reste l’un des pays les plus cynotechniques au Monde, de par son histoire et la présence canine dans la société. IL EST FORT A PARIER QU'IL VA Y AVOIR DANS L'AVENIR UNE CENTRALE CANINE EUROPEENNE ET PLUS NATIONALE
  6. la consanguinité fixe les qualités recherchées mais révèle les défauts.
  7. savary

    cohabitation entre deux chiennes

    BESOIN D'UN CONSEIL, MES DEUX FEMELLES BOXERS SE BATTENT DEPUIS QUELQUES JOURS DES QUELLES SONT ENSEMBLES ? POURTANT LA NUIT ELLE DORMENT SUR LE MÊME FAUTEUIL, L'UNE S'ALLONGE SUR L'AUTRE ET TOUT VA BIEN MAIS DES QUE LA PORTE DE LA VERADA EST OUVERTE AU BOUT DE DIX MINUTE C'EST LE CARTON ASSURER ? AVEC MES DOBS JAMAIS EU SE GENRE DE BLÊME, LA ELLE SE TOISE EST CA FINIT EN BAGARRE ET DES BOXERS QUI S'ATTRAPENT C'EST PAS LE DOB ET J'ARRIVE A LES SEPAREES RAPIDEMENT QUAND LA VIELLE N'EST PAS LA MAIS QUAND ELLE EST PRESENTE LA CELA DEVIENT L'URGENCE, CAR ULMA EST TRES DOMINANTE LA CHEF C'EST ULMA, LA DEUXIEME ARRIVEE C'EST BIANCA BELLA ET J'AI GARDE CARMEN'S QUI N'A QUE 14 MOIS. CELLE QUI SE BATTENT DEPUIS PEU C'EST BIANCA ET CARMEN'S. JE PENSE QU'IL S'AGIT D'UNE RIVALITE POUR SAVOIR QUI SERA LA NUMERO DEUX MAIS BON C'EST CHIANT CAR AVOIR DEUX OU TROIS BAGARRES DANS LA JOURNEE C'EST BON. VOUS EN PENSEZ QUOI ? EST CE QUE CELA VOUS EST ARRIVER QUE DEUX CHIENNES QUI ONT ETES ELEVEES ENSEMBLE NE PUISSENT PLUS SE VOIR ? OU DEVRAIS JE LES LAISSER REGLER LEURS COMPTES ET INTERVENIR QUE SI CELA DEVIENT GRAVE ? MERCI DE VOS REPONSE
  8. voici un article parut sur mon forum ce jour ! LE CONSEIL D'ETAT AURAIT STATUE CONTRE LA S.C.C. POUR LES CHIENS QUI AURAIT SUBIT UNE OCTECTOMIE AVEC AVIS MEDICAL. JUSQU'A MAINTENANT LA SCC REFUSAIT DE CONFIRMER ET D'ACCEPTER EN EXPO CES CHIENS. Conseil d'État N° 298857 Mentionné dans les tables du recueil Lebon 3ème et 8ème sous-sections réunies M. Delarue, président M. Xavier Domino, rapporteur M. Séners François, commissaire du gouvernement SCP DELAPORTE, BRIARD, TRICHET, avocats lecture du mercredi 18 juin 2008 REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS -------------------------------------------------------------------------------- Vu l'ordonnance du 31 octobre 2006, enregistrée le 17 novembre 2006 au secrétariat du contentieux du Conseil d'Etat, par laquelle le président du tribunal administratif de Bordeaux a transmis au Conseil d'Etat, en application de l'article R. 351-2 du code de justice administrative, la demande présentée au tribunal administratif de Bordeaux par M. Pascal A, demeurant ...; Vu la demande, enregistrée au greffe du tribunal administratif de Bordeaux, le 9 octobre 2006, présentée par M. Pascal A ; M. A demande l'annulation de la lettre du 8 août 2006 du président de la société centrale canine notifiant à tous les membres de cette fédération, ainsi qu'aux juges et experts confirmateurs de la filière canine, la proposition, adoptée par le conseil d'administration de la fédération lors de sa réunion du 4 juillet 2006, par laquelle la commission zootechnique interdit de présentation aux concours les chiens ayant subi une otectomie nés après le 30 avril 2004, avec une date d'application immédiate, ainsi que la délibération du conseil d'administration de la société centrale canine du 4 juillet 2006 ; Vu les autres pièces du dossier ; Vu la convention européenne pour la protection des animaux de compagnie du 13 novembre 1987, publiée par le décret n° 2004-416 du 11 mai 2004 ; Vu le code rural ; Vu la loi n° 2003-628 du 8 juillet 2003 ; Vu le code de justice administrative ; Après avoir entendu en séance publique : - le rapport de M. Xavier Domino, Auditeur, - les observations de la SCP Delaporte, Briard, Trichet, avocat de la société centrale canine, - les conclusions de M. François Séners, Commissaire du gouvernement ; Considérant que M. A demande l'annulation de la décision du conseil d'administration de la Société centrale canine du 4 juillet 2006, adoptant une proposition de la commission zootechnique, selon laquelle un chien présentant des oreilles dont l'intégrité n'est pas totale ne peut être inscrit aux concours officiels dont les récompenses sont portées dans le pedigree des animaux, ainsi que de la lettre du 8 août 2006 du président de cette société décidant de l'application immédiate de cette mesure ; Sur la compétence du juge administratif : Considérant d'une part qu'aux termes des dispositions de l'article D. 214-8 du code rural, dans sa rédaction en vigueur à la date de la décision attaquée : « Il est tenu, pour les animaux de l'espèce canine, un livre généalogique unique, divisé en autant de sections que de races. / Le livre est tenu par une fédération nationale agréée, ouverte notamment aux associations spécialisées par race. / L'association spécialisée la plus représentative pour chaque race ou groupe de races, sous réserve qu'elle adhère à la fédération tenant le livre généalogique, dans les conditions prévues par les statuts de ladite fédération, peut être agréée. / L'association spécialisée agréée est alors chargée de définir les standards de la race ainsi que les règles techniques de qualification des animaux au livre généalogique en accord avec la fédération tenant le livre généalogique. » ; qu'en application des dispositions de l'article R. 214-10 du même code, alors en vigueur : « La confirmation est obligatoire pour les reproducteurs des deux sexes ; elle ne peut avoir lieu avant l'âge de dix mois. / Cette confirmation peut être effectuée à partir de critères différents pour chaque sexe et comprendre plusieurs qualifications, la classe la plus élevée concernant les reproducteurs, pour lesquels il est tenu compte des aptitudes » ; qu'aux termes de l'article 1er de l'arrêté du 20 mai 1994 portant agrément de la Société centrale canine : « La Société centrale canine pour l'amélioration des races de chiens en France, fondée en 1882 et reconnue comme établissement d'utilité publique par décret du 28 avril 1914, dont le siège social est établi 155, avenue Jean Jaurès, à Aubervilliers (93) est agréée en qualité de Fédération nationale chargée de la tenue du livre généalogique pour les animaux de l'espèce canine. » ; qu'en application des dispositions du décret du 27 mars 1947 portant réglementation des associations tenant un livre généalogique, complétées par celles du décret du 26 février 1974 relatif à la tenue du livre généalogique pour l'espèce canine, et aujourd'hui codifiées aux articles D. 214-8 et suivants du code rural, l'association s'est vu confier par les pouvoirs publics la tenue du livre généalogique unique de l'espèce canine, dit Livre des origines françaises ; qu'à ce titre, elle est chargée d'inscrire les chiens de race sur un fichier unique divisé en sections correspondant à chacune des races répertoriées et de veiller au respect de la réglementation en vigueur par les éleveurs et les propriétaires de ces chiens, notamment par des inspections, éventuellement inopinées, dans les élevages ; que l'association doit être ainsi regardée comme assurant une mission de service public de caractère administratif ; Considérant, d'autre part, que selon l'article R. 214-14 du code rural alors en vigueur, ne peuvent figurer dans les pedigrees des animaux inscrits sur le livre généalogique que les récompenses obtenues dans des épreuves ou concours officiels organisés par la fédération tenant ce livre, les associations spécialisées agréées et les associations régionales faisant partie de la fédération ; qu'en vertu de l'article R. 214-15 du même code, l'examen de toutes les questions relevant des modalités d'application des articles R. 214-8 à R. 214-14, peut être soumis à une commission scientifique et technique créée auprès de la fédération tenant le livre généalogique dont le président est nommé par le ministre chargé de l'agriculture ; qu'il résulte de ces dispositions que la tenue du « Livre des origines françaises » et les décisions par lesquelles la Société centrale canine fixe les conditions d'inscriptions aux concours officiels dont les récompenses sont portées dans le pedigree des animaux sont indissociables de la mission de service public de tenue du livre généalogique exercée par cette société et constituent des actes pris dans le cadre de ses prérogatives de puissance publique ; Considérant qu'il résulte de ce qui précède que l'exception d'incompétence de la juridiction administrative pour connaître de tels actes, opposée par la Société centrale canine, ne peut qu'être écartée ; Sur les fins de non-recevoir : Considérant, d'une part, que la délibération du 4 juillet 2006 du conseil d'administration de la Société centrale canine interdisant l'admission à un concours d'un chien présentant des oreilles dont l'intégrité n'est pas totale et la décision du 8 août 2006 de son président fixant la date d'entrée en vigueur de cette interdiction constituent des décisions faisant grief ; que, d'autre part, M. A, qui est éleveur de chiens, a intérêt à agir contre ces décisions ; que, par suite, les fins de non-recevoir opposées par la Société ne peuvent qu'être écartées ; Sur la légalité des décisions attaquées : Sans qu'il soit besoin d'examiner les moyens de la requête ; Considérant qu'aux termes de l'article 2 de la convention européenne pour la protection des animaux de compagnie du 13 novembre 1987 publiée par le décret du 11 mai 2004 : « 1. Chaque Partie s'engage à prendre les mesures nécessaires pour donner effet aux dispositions de cette Convention en ce qui concerne / a. les animaux de compagnie détenus par une personne physique ou morale dans tout foyer, dans tout établissement se livrant au commerce ou à l'élevage et à la garde à titre commercial de tels animaux, ainsi que dans tout refuge pour animaux / b. le cas échéant, les animaux errants » ; qu'aux termes de l'article 10 de la même convention : « 1. Les interventions chirurgicales destinées à modifier l'apparence d'un animal de compagnie ou à d'autres fins non curatives doivent être interdites et en particulier : (...) la coupe des oreilles ; / 2. Des exceptions à cette interdiction ne doivent être autorisées que : / si un vétérinaire considère une intervention non curative nécessaire soit pour des raisons de médecine vétérinaire, soit dans l'intérêt d'un animal particulier ; / pour empêcher la reproduction (...) » ; que par elles-mêmes, ces stipulations, qui ne produisent pas d'effets directs à l'égard des particuliers, ne sauraient fonder, en l'absence de dispositions nationales assurant leur mise en oeuvre, la compétence du conseil d'administration de la Société centrale canine à prendre les mesures litigieuses ; Considérant qu'aux termes de l'article L. 214-6 du même code : « on entend par animal de compagnie tout animal détenu ou destiné à être détenu par l'homme pour son agrément » ; qu'aux termes de l'article L. 214-3 du code rural, dans sa rédaction en vigueur à la date de la décision attaquée : « Il est interdit d'exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques ainsi qu'envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité. Des décrets en Conseil d'Etat déterminent les mesures propres à assurer la protection de ces animaux contre les mauvais traitements (...) » ; qu'il résulte de ces dispositions que, à la date de la décision contestée, l'interdiction de toute otectomie des chiens ainsi que les exceptions curatives à cette interdiction ne pouvaient être prises que par décret en Conseil d'Etat ; qu'ainsi, la Société centrale canine ne pouvait légalement, par la décision et la délibération contestées, interdire toute otectomie ni, par suite, écarter des concours les chiens ayant subi une telle opération ; Considérant qu'il résulte de ce qui précède que M. A est fondé à demander l'annulation de la lettre du 8 août 2006 du président de la Société Centrale Canine et de la délibération du conseil d'administration de la Société centrale canine du 4 juillet 2006 ; Sur l'application des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative : Considérant que ces dispositions font obstacle à ce que soient mises à la charge de M. A, qui n'est pas la partie perdante dans la présente instance, les sommes que la Société centrale canine demande au titre des frais exposés par elle et non compris dans les dépens ; D E C I D E : -------------- Article 1er : La lettre du 8 août 2006 du président de la Société centrale canine et de la décision du conseil d'administration de la Société centrale canine du 4 juillet 2006 sont annulées. Article 2 : Les conclusions de la Société centrale canine tendant à l'application des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative sont rejetées. Article 3 : La présente décision sera notifiée à M. Pascal A, à la Société centrale canine et au ministre de l'agriculture et de la pêche.
  9. Chacun est libre de penser comme bon lui semble !! Moi j'ai acheté ma première chienne chez MICHEL GAUDOIS juge / éleveur DE LA BAUME CROMAGNON je connaissais MICHEL depuis des année car quand j'habitais dans la sarthe, c'était mon véto. Je n'est JAMAIS sortit ma chienne sous ces jugements par esprit de sportivité et surtout par fierté et je vois que cela ne gêne pas certains de suivre leurs éleveurs lorsque celui ci juge ? Je suis désolé mais dans la cynophilie y a des régles de déontologie et un juge stagiaire accepte le réglement des clubs de race ! Qui veux que NORMALEMENT un juge doit arrêter de produire ?
  10. j'ai reçu un courrier de la part de la propriétaire de la chienne qui fait première en classe ouverte. Elle me certifie ne jamais avoir discuter avec ma compagne ? Ma compagne ne voulant pas d'histoire, j'adresse donc mes excuses et je retire ce que j'ai écris.
  11. ok pour les réponses, pour travailler en consanguinité sur le boxer actuellement, je vais attendre un peu car cela fait pas trop longtemps que j'élève la race et faut encore étudier . J'ai presque 25 ans de dobermann derrière moi est là je connais un peu quand même ? Mais je pense que le travail consanguin se travail est n'est pas permis à tout le monde surtout en imbreeding. travailler en line breeding est plus evident pour un éleveur qui a un peu de metier.
  12. OK, j'écris en minuscule à l'avenir. J'écris pour les sourds et muets voilà pourquoi j'écris en gros je ne pensais pas crée de gêne bon faut dire qu'avec mes double foyer, j'ai plus de facilité à me relire Non je ne suis pas en colère, je suis , juste un peu C.. car je pensais que l'on voyais mieux
  13. OUPS C'EST L'EIZHEMER QUI ME GUETTE....... C'EST DUR DE VIEILLIR ON SE SOUVIENT PAS FORCEMENT D'UNE ANNEE SUR L'AUTRE
  14. VOUS PENSEZ QUOI DE LA CONSANGUINITE EN ELEVAGE ? C'EST UNE PRATIQUE QUI FAIT PEUR ET QUI EST AU YEUX DU GRANDS PUBLICS PERCUT COMME UNE TARE. DONNEZ VOTRE AVIS SUR LE SUJET
  15. je connais la fonction de délégué, j'ai plus de 20 ans de presence dans les expos, j'avais un des plus grands élevages de DOBERMANN des vingt dernières années. Quand je me suis séparé de ma compagne elle à voulut garder l'élevage. J'ai des amis délégués et j'ai déjà dit à MICKAEL que si il a besoin d'un coup de mains je suis à sa disposition. Sur le post initial se qui me gêne c'est que le juge donne la RCAC à un chien en prenant le pretexte qu'il est trop puissant et qu'en femelle classe ouverte il met la chienne de sa production qui était trop puissante 1er, mais là c'était pas un défaut. Même si je démarre dans le boxer, j'ai l'oeil car pendant des a,nnées les DOBS et les BOXS étaient souvent cote à cote est j'ai pus sympatisé avec des gens du BOX sans savoir qu'un jour j'aurai moi aussi cette race. La première personne avec qui j'ai vraiment eu des contacts amicaux c'est une juge a qui j'ai souvent pousser pour poser sa candidature juge dobermann. Je précise que pour l'expo de DIEPPE des amis m'avait prévenu de ne pas y allez, car tout le monde connait le juge est son impartialité
  16. MIKAEL est ce que quelque part je mets en cause LES DELEGUES ? Le sujet initial est pour les juges / éleveurs
  17. FAIRE DU FAVORITISME C'EST DEJA DUR A SUPPORTER POUR LES AUTRES EXPOSANTS MAIS SAVOIR QUE LE JUGE QUI EST DANS LE RING VA JUGER UN CHIEN DE CHEZ LUI EST LE METTRE PREMIER ET QU'IL VA TE JUGER SANS ETRE OBJECTIF LA JE DIS NON !!!!!!!! QUAND J'ELEVAIS LE DOBERMANN, JE PREFERAIS ALLEZ EN EXPOS A L'ETRANGER CAR JE DISAIS SI JE ME FAIS AVOIR AU MOINS JE NE COMPREND PAS LA LANGUE, MAIS DE SAVOIR QU'EN FRANCE TU TE FAIS AVOIR C'EST INSUPORTABLE. UN JOUR xxx pas de nom svpxxxx JUGEAIT UNE EXPO NATIONALE ET LE DELEGUE DU COIN PRESENTAIT SA CHIENNE, xxxx EST VENU ME VOIR DISCRETEMENT POUR ME DIRE " IL M'A INVITER ALORS LA PROCHAINE FOIS C'EST VOUS QUI FEREZ PREMIER " JE PRESENTAIS UNE DES PLUS BELLES FEMELLES SE JOUR LA ET BIEN, JE PEUX TE DIRE QUE CA TE METS LES BOULES.
  18. les propriètaires de la femelle qui fait premier devant ma chienne sont venus trouver ma compagne pour s'excuser, ce qui fout les nerfs c'est avant même de rentrer dans le ring vous savez que vous finirez deuxieme
  19. BEN POUR NE PAS AVOIR SE DILEMNE LE MIEUX EST D'IMPOSER A SES PROPRES PROPRIOS DE NE JAMAIS VENIR SOUS CES JUGEMENTS. JE VAIS POSER MA CANDIDATURE DE JUGE DOBERMANN PEUT ETRE QUE DANS LES ANNEES A VENIR JE DEMANDERAIS L'EXTENTION AUX BOXERS ET BIEN JAMAIS JE JUGERAIS UN DE MES CHIENS.
  20. POUR MOI LE PREMIER CRITERE QU'UN JUGE DOIT RESPECTER C'EST L'iNTEGRITE !!!!!!!! PEU IMPORTE L'ENDROIT OU VOUS VOUS FAITES JUGEZ QUE CELA SOIT MARSEILLE, LILLE OU DIEPPE, BORDEAUX.... !!!! UN JUGE NE DEVRAIT PAS ACCEPTER QUE SA PROPRE PRODUCTION VIENNE SOUS SON JUGEMENT. JE TROUVE INTOLERABLE DE VOIR DANS UN CATALOGUE QU'UN JUGE SE PERMETTE DE JUGER UN DINZAINE DE CHIEN DE SA PRODUCTION ET DE TOUT METTRE PREMIER DANS LES DIVERS CLASSES DE PRESENTATION JE PENSE QUE LES PRESIDENTS DE CLUBS DE RACE DEVRAIENT FAIRE DES CHARTES IMPOSANT AUX JUGES / ELEVEURS DE NE JAMAIS EMMENES LEURS PRODUCTIONS SOUS LEURS JUGEMENTS
  21. J'AIMERAI SAVOIR CE QUE VOUS PENSEZ DES JUGES QUI ELEVENT ET QUI LORS D'EXPOSITIONS JUGENT LEURS PROPRES PRODUCTIONS EN HESITANT PAS A LES METTRES PREMIERS. J'AI PRODUITS PENDANT + DE 20 ANS EN DOBERMANN ET FRANCOIS STRIBY NE VOULAIT PAS DE JUGE/ ELEVEUR, EST CE QUE VOUS PENSEZ QU'IL AVAIT TORD OU RAISON ? MOI PERSONNELLEMENT J'AI UNE TOUT AUTRE IDEE DE LA FONCTION DE JUGE, D'AILLEURS JE VAIS POSER MA CANDIDATURE AUPRES DU DCF POUR DVENIR JUGE DOBERMANN. MERCI DE VOS REPONSES
  22. EST CE QUE QUELQU'UN POURRAIS EXPLIQUER LES DIFFERENTES SITUATIONS DU PASSAGE AU PROFESSIONALISME... PAS UN GROS ELEVAGE MAIS QUELQU'UN VEUX FAIRE QUATRE PORTEES PAR ANS PAR EXEMPLE - MSA - IMPOTS FAUT-IL LES FRAIS REELS OU LE FORFAIT. MERCI
  23. toujours pareil, encore les deux à vendre et ce qui est inquiétant pas un coup de téléphone depuis plus de trois semaines quand on entend dire que le boxer est une denrée rare car pas assez de chiots pour la demande là je me pose des questions
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