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RAF-nacannonce

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  1. RAF-nacannonce

    renseignement pour copeau

    Moi j'ai du lino avec du journal par dessus que je fait un peu debordé sur les bord ça marche niquel
  2. Tous les pituos ne sont pas forcement mordeur. J'en ai possédé plusieurs il etait tous cool un peu souffleur c'est tout
  3. RAF-nacannonce

    gerbilles

    Ok parce que je sait que sa saute bien haut. Il fut un temps j'avait un regius qui ne manger que ça
  4. RAF-nacannonce

    gerbilles

    Elle n'arrive pas à sauté dehors du bac
  5. Maladies Les parasites Un parasite est un être qui vit au dépend d'un autre. Souvent, dans la nature, les reptiles sont infestés de parasites internes et/ou externes. Souvent, cela n'affectera pas ou peu leur qualité de vie. Il n'en est pas de même en captivité. En effet, la captivité engendre un stress pour l'animal. Ce stress peut être de plusieurs natures (environnement trop petit, température ou taux d'humidité inadéquats, mauvaise alimentation, manipulations trop fréquentes, etc.). Un lézard stressé aura plus de mal à contrôler l'infestation de parasites qu'un lézard sauvage et donc la quantité de parasites présents chez le lézard peut devenir rapidement alarmante. Le cycle de vie d'un parasite Il existe deux types de cycle. Le cycle direct et le cycle indirect. Les parasites qui ont un cycle direct ne nécessitent qu'un seul hôte (le reptile). Ils passent donc par contact direct d'un reptile à un autre vivant dans le même terrarium. Le reptile peut même se re-contaminé lui-même si le terrarium n'est pas adéquatement désinfecté. Les parasites qui ont un cycle de vie indirect ont besoin d'un ou plusieurs hôtes intermédiaires pour une partie de leur développement. Souvent chez les parasites de reptiles, cet hôte est le rongeur ou la proie que le lézard ingurgite. Il est donc crucial de connaître le cycle de vie du parasite pour pouvoir correctement traiter le reptile infecté. Si le parasite a un cycle direct, il faut s'assurer d'avoir une désinfection qui soit la plus parfaite possible, alors que dans le cas d'un parasite à cycle indirect, il faut surveiller l'alimentation de notre reptile plus que son environnement. La façon le plus commune d' « attraper » des parasites est d'en ingérer par la bouche. Par contre, il existe d'autres façons de se contaminer. Les parasites externes Il y a plusieurs types de parasites externes. Cependant, les plus fréquemment rencontrés sont les tiques et les mites. Cependant, il est aussi possible qu'un lézard soit infesté par des larves de mouches ou de moustiques. Ces mouches déposent leurs oeufs dans des plaies ouvertes présentes chez le lézard et lorsque les oeufs éclosent, les larves qui en sortent bougent sur l'animal. Il faut consulter un vétérinaire sans tarder, puisque le traitement est souvent chirurgical. Les tiques sont parfois présentes chez les reptiles qui viennent d'être importés de la nature. Les tiques facilement visibles à l'oeil nu et vivent sur le serpent pour lui sucer son sang. Les tiques peuvent engendrer de nombreux problèmes, puisqu'elles peuvent être porteuses de virus et de certains parasites sanguins. Les tiques peuvent aussi entraîner l'anémie lorsqu'elle ingurgitent un trop grand volume de sang à l'animal. La meilleure façon de traiter les tiques est de les enlever une par une. Il ne faut pas tirer sur le corps de la tique, car la tête de cette dernière peut rester dans la peau du lézard et causer par la suite une infection. Pour enlever une tique, on peut envoyer de l'alcool sur le lézard. Souvent cela fera lâcher prise à la tique. On peut ensuite l'enlever avec des pinces en prenant bien soin d'enlever la tique par la tête au cas ou elle n'aurait pas lâché prise. Les mites sont le parasite le plus fréquemment rencontré chez les reptiles en captivité. Elles sont très communes et très contagieuses. Souvent les animaux importés de la nature arrivent avec un grand nombre de mites sur eux. C'est pour cette raison qu'il faut toujours procéder à des quarantaines avant d'introduire un reptile dans une collection. La mite du serpent, Ophionyssus natricis, est la mite qu'on retrouve également chez les lézards. Cette mite est spécifique aux reptiles et ne peut donc pas infester votre chien ou votre chat. Elle peut être rouge, grise ou noire. Les mites se logent entre les écailles, dans le cloaque et autour des yeux. Les mites se nourrissent de sang et peuvent également transmettre des maladies aux lézards. Un lézard infesté de mites sera souvent complètement immergé dans son bol d'eau. Les bains tuent une partie des mites présentes sur le corps de l'animal. La mite, quoique visible à l'oeil nu, est relativement petite. On voit marcher de petites graines sur l'animal. Les mites peuvent être de plusieurs tailles différentes tout dépendant de leur âge. La mite de reptile vu au microscope est très poilue (ceci peut aider pour son identification). Traitement des mites : Vapona: Le Vapona est une plaquette jaune insecticide couramment utilisée pour tuer des mouches ou d'autres insectes dans les maisons. Ce produit est efficace pour tuer les mites s'il est bien utilisé. Cependant, mal utilisé il peut causer des problèmes neurologiques graves chez les reptiles et peut même entraîner la mort. Si votre lézard est sous traitement au Vapona et qu'il semble amorphe et/ou qu'il démontre des signes neurologiques, il faut retirer le Vapona le plus rapidement possible du terrarium et de ventiler le reptile pour lui faire respirer de l'air frais. Il est important de retirer le bol d'eau du terrarium le temps du traitement pour éviter que l'animal n'ingurgite d'eau contaminé. Il est important de ne pas mettre une trop grande quantité de Vapona et de ne pas permettre le contact direct de l'animal avec la plaquette. Ce produit devient rapidement inefficace une fois retiré de son emballage. Pour une bonne utilisation de ce produit sans danger, il suffit de mettre le reptile dans un terrarium très bien ventilé contenant une petite quantité de Vapona de 2 à 3 heures, 2 à 3 fois par semaine, pour 3 à 4 semaines. Il est important de garder l'animal sur du papier et de jeter tout substrat. Notez bien, cet insecticide peut tuer vos grillons et vos arachnides. Il est donc fortement conseillé de sortir de la pièce où se trouve la plaquette de Vapona tous les insectes et arachnides. Ivermectin (Ivomec) : L'ivermectin est utilisable en injection ou en vaporisation. Ce produit est sous ordonnance vétérinaire. Pour l'avoir utilisé personnellement pour mes reptiles lors de problèmes de mites, je préfère vous conseiller l'utilisation du Nix en vaporisation plutôt que de l'Ivomec en vaporisation. Lorsqu'on mélange l'Ivomec à de l'eau en vue de vaporisation, il est important de savoir que ce produit, une fois dilué, n'est stable que 24 heures. Il est donc conseillé de refaire une bouteille à chaque utilisation. L'ivermectin injectable a cependant une très bonne réputation quant à son efficacité. Perméthrine (Nix) : Le Nix est le shampoing contre les poux pour humain. À mon avis, il s'agit du meilleur produit pour venir à bout d'une infestation de mites chez les reptiles. La méthode d'utilisation du produit est la suivante. Il faut commencer par diluer la petite bouteille achetée en pharmacie dans un gallon d'eau. Il est préférable d'utiliser un gallon d'eau déminéralisé (aussi vendu en pharmacie). Le Nix est très difficile à dissoudre, puisqu'il s'agit d'une sorte de pâte. Il est cependant très important de ne pas se décourager et de bien la dissoudre. Cela peut demander une agitation pendant de longues minutes. Une fois le produit complètement dilué, il suffit de le transférer dans une bouteille à vaporisation. Il est important de garder l'animal sur des essuie-tout durant le temps du traitement et de les changer régulièrement. Pour le traitement, il suffit de placer le lézard dans un petit contenant et de vaporiser le lézard complètement. Il faut que le lézard en ait partout. Le terrarium devrait également être vaporisé complètement. Il faut laisser agir le produit 15 minutes et le rincer par la suite. Le Nix est un produit très efficace lorsque bien utilisé. Il tue les mites et est supposé tuer les oeufs de mites. Par contre, il est conseillé de répéter le traitement une fois aux 4-5 jours pour une durée de 3 à 4 semaines. Les parasites internes Les parasites internes sont également très fréquents chez les reptiles en captivité. Les spécimens provenant de la nature arrivent souvent fortement parasités et il est important de les traiter si on veut un animal en santé. Les signes cliniques les plus fréquents d'un animal ayant des parasites internes sont les suivants : anorexie diarrhée constipation distension abdominale sang dans les selles perte de poids présence de vers dans les selles Pour savoir de quel parasite il s'agit et pour pouvoir traiter adéquatement, il est important d'amener un échantillon de selle chez un vétérinaire. Il procédera à une analyse de selles (flottaison). Lors de la lecture de la lame au microscope, il sera ensuite en mesure d'identifier l'oeuf ou le parasite en question et de vous prescrire le bon médicament. Il existe plusieurs sortes de parasites internes, je vous présenterai les plus fréquents. Les Nématodes 1. Ascaris (vers ronds) Les ascaris sont très fréquents chez les reptiles. Il est possible de les voir dans les selles d'un lézard contaminé. Les ascaris ont l'apparence d'un petit spaghetti avec les deux extrémités effilées. Les oeufs de ce nématode sont très ronds et ont un centre très foncé. Ils ont généralement un cycle indirect. 2. Les vers à crochets Ces parasites sont très communs chez les reptiles et ont un cycle de vie direct. 3. Strongyloïdes Les oeufs de ce nématode sont plutôt ovales avec des filaments à l'intérieur. Le cycle de ce parasite est direct. La larve entre dans le corps de l'animal soit par la bouche ou directement à travers la peau. 4. Oxyures (Pinworm) Les oxyures sont un parasite commun chez les reptiles. Les oeufs de ce parasite sont ovales et très longs. Ils ont un cycle de vie direct. 5. Les vers de poumons Ce parasite est fréquent chez les caméléons. Il a un cycle de vie direct. Les signes cliniques associés à ce parasite sont des signes respiratoires. Les cestodes (vers segmentés aussi appelés tænia) Tous les cestodes de reptiles nécessitent un hôte intermédiaire. Les vers segmentés ne sont généralement jamais retrouvés en entier dans les selles. On retrouve des segments de vers. Ces segments ressemblent à des grains de riz. Les trématodes Les trématodes ont un cycle de vie indirect et sont rarement transmit en captivité. Les escargots sont un hôte intermédiaire pour ce parasite, il est donc plus commun qu'un reptile mangeant des poissons ou des grenouilles soit contaminé par les trématodes. Les protozoaires 1. Les amibes ( Entamoeba invadens) Ce parasite se transmet par l'ingestion d'aliment ou d'eau contaminé par des selles. Ce petit parasite peut causer la mort de l'animal. 2. Les coccidies ( Isospora ) Ce parasite a un cycle de vie direct et est plutôt commun chez les reptiles. 3. Cryptosporidiose ( Cryptosporidia ) Cryptosporidia est une coccidie ayant un cycle de vie direct. Le reptile se contamine en ingurgitant de l'eau ou plus fréquemment une proie contaminée. Souvent, les souris sont les responsables de la cryptosporidiose chez les reptiles. Cette maladie occasionne des régurgitations chroniques et une perte de poids. Certains lézards vont démontrer la présence d'une masse ferme sur le corps. 4. Les flagellés Il existe plusieurs espèces de ce type de protozoaire. Ce protozoaire est fréquemment retrouvé chez les reptiles, cependant l'utilité du traitement est douteuse puisque ce protozoaire est considéré par certain comme faisant partie de la flore normale de l'intestin des reptiles. Le traitement des parasites internes Pour traiter les parasites internes, il est nécessaire de commencer par une analyse de selles. Cette coprologie doit être réalisée par un vétérinaire compétant en médecine herpétologique. Il est vrai qu'un oeuf d'ascaris ressemble toujours à un oeuf d'ascaris et une coccidie toujours à une coccidie. Le but de consulter un vétérinaire compétant en médecine herpétologique n'est pas parce qu'il ne sera pas capable de trouver le parasite problématique, mais plutôt car la posologie des drogues utilisées chez les reptiles est différente de celle pour les mammifères. Il ne faut pas oublier non plus que certaines espèces sont plus sensibles que d'autres à certaines drogues. Les amibes et les flagellés Le traitement consiste en du Métronidazole (Flagyl). Les serpents indigos sont sensibles au Métronidazole et il est conseillé de donner la plus faible dose possible. Les coccidies Ce parasite se traite à l'aide des sulfas. Il est fortement déconseillé de commencer un traitement contre les coccidies à un reptile déshydraté ou ayant des problèmes rénaux. Les cestodes et les nématodes On peut traiter ces deux types de parasites de la même manière. La drogue à utiliser est le Praziquantel (Droncit). Les nématodes Ces parasites se traitent très bien à l'aide de Fenbendazole (Panacur). Prévention La prévention des parasites consiste à faire une bonne quarantaine à tous les nouveaux reptiles. La quarantaine permettra de découvrir la présence de parasites externes. Une coprologie devrait toujours être faite lors de l'acquisition d'un nouveau reptile pour s'assurer qu'il n'est pas contaminé. S'il est contaminé, il faut s'assurer de traiter complètement le sujet avant de le mettre en contact avec des sujets sains. Il est important de fournir un habitat propre au lézard et de lui fournir des proies de premières qualités. Source : AnimauxExotiques.com
  6. Les reptiles perdent régulièrement leur peau, tout au long de leur vie : c’est la mue. La mue des reptiles est toujours un phénomène qui étonne, surprend, et inquiète de nombreux propriétaires. En effet, même prévenus, ceux qui ont un serpent ou un lézard s’inquiètent lorsque le premier a les yeux blancs, ou le second des morceaux de peau qui se décollent, ou un corps laiteux... Ces phénomènes sont naturels et ne reflètent qu’un processus normal de mue. Les serpents : Ils doivent faire de belles mues, et il est en effet anormal que des morceaux de peau séchés restent sur le corps quand la mue a effectivement eu lieu. Ainsi, si la mue du serpent a été difficile, c’est sans doute à cause de son milieu ou de sa santé : Le terrarium n’est-il pas trop sec ? Un taux d’hygromètrie minimum doit être obtenu dans votre installation, et celle-ci est précisée pour chaque animal. Votre animal n’est-il pas parasité par des acariens du tégument (petits parasites qui se logent sous les écailles, et que l’on voit aussi courir le long de son corps) ; ces petites bètes sont fréquentes. Le serpent a-t-il de quoi frotter son corps ? Il lui faut en effet des racines, branches, lianes, pour qu’il puissent se frotter et ainsi décoller sa peau. Ces éléments décoratifs sont aussi indispensables que l’abreuvoir ! Et en effet, votre animal a-t-il suffisamment d’eau disponible ? Ou l’abreuvoir est-il facilement accessible ? Pour les petits serpents (colubridés), la mue s’opère en une seule fois, et un seul morceau, comme le doigt d’un gant. On voit bien ici la mue qui est restée sur l’oeil Pour les grands boïdés, la peau se détache en se craquelant au fur et à mesure. En effet, quelques jours avant la mue, les lunettes pré-cornéennes s’opacifient et deviennent laiteuses, ce qui constitue le signe d’un décollement de l’écaille supra-oculaire, paupière fixe qui se détache avec la mue. Une complication qui peut être grave chez les serpents : la persistance de peau résiduelle sur l’oeil (écailles supra-oculaires). Même si ce problème n’est pas une urgence, il faut mieux opérer au plus vite, de manière à soulager l’animal : On peut essayer de décoller délicatement cette peau résiduelle à l’aide d’un coton-tige imbibé de sérum physiologique stérile ; Si cela ne fonctionne pas, il est encore possible de tenter de décoller la lunette en appliquant doucement un morceau d’adhésif, puis en tirant lentement celui-ci ; Mais ne tirez pas trop fort le skotch ! Cela pourrait entraîner une exophtalmie, c’est à dire une protusion de l’oeil hors de son orbite ! Vous pouvez aussi attendre la prochaine mue, qui devrait décoller ces résidus. Le seul cas pour lequel il faudrait consulter un vétérinaire, c’est si votre serpent refuse de manger à cause de ça, et que vous ne parveniez pas à enlever la lunette résiduelle. Là, il vaut mieux ne pas attendre que votre animal soit affamé. Que puis-je faire pour aider mon serpent à muer ? Vous pouvez lui faire prendre des bains dans une eau tiède à 30-35°C. Il faudra parfois le faire pendant plusieurs heures, et lui décoller un peu à la fois les lambeaux de peau, de préférence avec un linge doux. On voit clairement la peau qui se décolle ! Les lézards : Ils muent également, comme les serpents, mais c’est un peu moins délimité dans le temps, et moins facile à voir venir. Mais dans l’ensemble, le lézard qui va muer ternit, et change légèrement ou complètement de comportement : par exemple, il peut devenir irrascible alors qu’il est habituellement calme. Dans tous les cas, la robe change de couleur, pour aller jusqu’au brun-gris, ou au vert très terne ! Pendant ce temps, le lézard concerné mange aussi moins bien, et en quantité moindre. Ne cherchez pas trop, et patientez un peu : à partir du moment où quelques lambeaux de peau commenceront à se décoller, il reprendra une meilleure humeur et un appétit croissant. Les lézards, eux aussi, muent pour grandir, et après chaque mue, leurs couleurs sont toujours beaucoup plus vives ! On voit bien sur les photos présentées l’ampleur que peut prendre la perte de l’ancienne peau chez un lézard. Cela peut surprendre celui qui ne s’y attend pas ! En ce qui concerne les soins à apporter, ils peuvent être les mêmes que pour un serpent : s’il mue difficilement, des bains à 30-35°C seront utiles. Certains lézards apprécieront même la manoeuvre une fois habitués. Cependant, il vous faut vous demander la raison pour laquelle il a des difficultés à muer, car normalement, il doit savoir muer seul en se frottant contre des branches ou des pierres, en s’aidant de sa mâchoire ou de ses griffes. Certains lézards mangent même leur peau au fur et à mesure qu’ils la décollent ! Si la peau persiste et ne se décolle pas, c’est que vous avez un problème d’hygrométrie dans votre installation,ou que l’animal est stressé. Le premier problème se résoud facilement, alors que le second dépend de votre environnement, de la taille de l’installation, du chauffage qui peut être insuffisant, de vos relations enfin avec l’intéressé ; bref, il faut chercher l’erreur et prendre la mue difficile comme un signe. On voit très bien sur les photos la peau qui se décolle. Cela ne pose aucun problème grave à l’animal, qui va la retirer peu à peu. Il s’agit ici d’un Anolis Equestris. Source : jungleshop.fr
  7. Il arrive que le propriétaire d’un lézard "casse" ou "arrache" la queue de ce dernier, accidentellement. Cela arrive par exemple lorsqu’on veut le retenir alors qu’il veut s’échapper... L’amputation de la queue dite caudectomie n’est pas grave en elle-même, car la queue des lézards repousse. Cela dit, au niveau esthétisme, il va de soi que ce ne sera jamais plus comme avant ! La queue va repousser plus courte, de couleur différente, et également avec des écailles différentes (pour les lézards de type iguanidé ou agamidé). Pour un iguane, la queue repousse souvent noire ! En effet, autant pour certains lézards et plus précisément certains geckos, la queue est vraiment faite pour ça ; autant pour d’autres comme l’iguane ou le pogona par exemple c’est déjà moins évident et plus traumatisant. Quels sont les soins à apporter dans ce cas ? Tout d’abord, il est nécessaire de couper les petits morceaux de muscles qui dépassent du moignon avec des ciseaux propres ; ensuite, appliquez par exemple de la Betadine(R) par précaution, la plaie ayant des chances d’être souillée. En ce qui concerne les geckos, comme les Tokay, les Mamorata et autres Auratus, la queue est encore plus fragile, car ces animaux n’hésitent pas un seul instant à se séparer de ce morceau de leur corps pour prendre la fuite ! C’est ce qu’on appelle l’autotomie, qui nomme l’action d’un lézard qui se "sépare" volontairement de sa queue. En effet, si vous tenez un gecko agité dans votre main, et que vous le laissez glisser maladroitement jusqu’à ce qu’il ne reste que sa queue...une petite contorsion de plus et vous voilà avec un morceau de queue entre les doigts ! Et en plus vous verrez que bien souvent ce morceau continuera à remuer alors que son propriétaire sera déjà loin ! Cela est normal, et constitue pour de nombreux lézards un piège qui détourne l’attention du prédateur qui voulait lui faire la peau ! Pendant que le prédateur s’occupe de la queue qui remue, le lézard s’achappe...pour refaire plus tard une nouvelle queue, toutefois moins belle que la première. Voici la photo d’un Phelsuma Comorensis qui avait perdu un morceau de queue (ci-dessous) ; celle-ci a repoussé rapidement, mais d’une couleur différente. On voit nettement la différence de couleur. Ce type de blessure est assez fréquent chez les geckos car un simple stress ou une bagarre entre mâles peut provoquer l’autotomie. EXCEPTIONS : Il est à noter que certains lézards ne voient malheureusement pas leur queue repousser. Par exemple le genre Rhacodactylus, pour lesquels il restera une espèce de petit moignon tout le reste de sa vie ! Le "rhaco" peut perdre sa queue pendant une bagarre avec un congénère, ou lors d’un stress qui peut sembler banal, après une manipulation... Le queue du rhacodactylus étant préhensible, elle ne peut, biologiquement, se reconstituer. Source : jungleshop.fr
  8. Les mygales aussi peuvent vous causer du tracas, et les soins à appliquer sont assez délicats à mettre en oeuvre. La pathologie des mygales est mal connue, car elles ne font pas l’objet d’études scientifiques réelles, malheureusement. En captivité, on peut rencontrer les problèmes suivants : Parasites Les maladies parasitaires sont courantes chez les specimens prélevés dans la nature, alors que les specimens nés en captivité et élevés dans de bonnes conditions n’en présentent normalement pas. Toutefois, même en faisant attention, il arrive qu’un reste de proie oublié dans un coin aide au développement de parasites qui vont ensuite se loger sur les parties les moins accessibles de la mygale. Les asticots et acariens peuvent être dangereux dans la mesure où ils risquent de proliférer et de stresser l’animal. Les acariens se logent généralement autour des chélicères, et aux articulations, là où la mygale ne peut intervenir efficacement. Les asticots quand à eux séjournent souvent sur le cephalothorax, notamment au niveau de la fovéa où la mygale ne peut les atteindre. Pour soigner l’animal, munissez-vous d’un pinceau fin et oeuvrez avec persévérance et minutieusement. Si vous devez soigner une espèce agressive, le mieux est de tenter de ralentir son métabolisme avant, en arrêtant les chauffages ou en la plaçant dans une pièce plus fraîche ; le danger reste néanmoins présent car elle n’acceptera guère votre intrusion. Evitez le réfrigérateur qui peut provoquer un accident au niveau des centres nerveux. Certains parasites externes proviennent des blattes malades, affaiblies, mortes ou en décomposition !! La parasitose interne, quant à elle, n’est pas diagnosticable et aboutit à la mort de l’animal sans qu’on ait pu intervenir. Quand on sait que la mygale est infesté, il est déjà trop tard. Certains parasites internes proviennent des grillons !! C’est pourquoi nous ne saurions trop vous conseiller les criquets et les blattes dés que c’est possible. Les accidents induits par une mauvaise mue : Ils sont nombreux car les paramètres de chauffage et d’humidité donnés aux mygales par de nombreuses personnes ne sont pas ce qu’elles devraient être. Toutes les mygales ont besoin d’être chauffés : votre température intérieur ne peut être suffisante. Par ailleurs, beaucoup d’espèces ont besoin d’un taux d’humidité élevé. Si ce taux n’est pas assez ou trop élevé, la mygale peut soit rater sa mue partiellement et s’en tirer avec un membre en moins (photo ci-dessous), soit rester coinçée et mourir imobilisée. Sur cette photo, on voit bien le moignon restant ; Cette poecilotheria Fasciata a manqué certainement d’humidité à un moment important de sa croissance. Résultat : une patte ambulatoire minuscule parce que sans doute perdue dans la mue précédente, et encore une patte en moins à la mue suivante. Pour réparer cela, il n’y a rien à faire, sinon corriger les erreurs d’environnement commises et attendre. Les pattes des mygales repoussent, heureusement. A l’inverse, un excés d’humidité dans un terrarium confiné peut amener des champignons : cela se soigne avec une pommade anti-mycosique à l’aide d’un fin pinceau. Plaie ouverte En cas de chute, due à une réaction brusque de votre part, ou de la mygale elle-même, pas grand chose à faire si c’est trop sérieux : la mygale se vide et se traîne piteusement jusqu’à la mort. Si la plaie ouverte est fine, vous pouvez essayer de la colmater avec un morceau d’une feuille de papier à cigarette. Déposez-là juste sur la plaie et collez-la en appuyant doucement sur le tour. Ce n’est pas chose facile mais cela a fait ses preuves. N’oubliez pas d’hydrater beaucoup votre mygale à l’aide d’un pinceau !! Une chute peut se produire dans le cas d’un maintien de l’animal dans un aquarium ou un terrarium mal conçu : les mygales sont les reines de l’évasion et ont proportionnellement beaucoup de force ! Elles peuvent ainsi soulever ou déplaçer des couvercles que l’on croyait trop lourds, sortir et tomber maladroitement sur le sol trop dur, éclatant comme un fruit trop mûr ! C’est surtout le fait des espèces terricoles et des arboricoles engraissées ou gravides qui sont moins alertes en hauteur. Alors prudence : ouvertures de face coulissantes ou porte à lever (ouverture avec ventouse) sont conseillées. Une agression entre un mâle et une femelle lors d’un accouplement peuvent aussi causer des dégâts. Il existe enfin un accident peu connu et peu fréquent mais qui doit être craint : La perte d’un ou deux crochets. Cette perte peut se produire lorsque la mygale mord un objet trop dur, ou la carapace trop dure d’une grosse blatte de Madagascar (Gromphadorrhina Sp) par exemple. Il est donc déconseillé de titiller sa mygale avec une baguette fort rigide sur laquelle, si elle a une réaction agressive, elle pourra se briser un croc. Pour les proies, c’est rare mais selon la taille de son animal il faut éviter les trop grosses carapaces. Il faut savoir enfin qu’une mygale qui perd ses 2 crochets est condamné si elle n’est pas sauvée par une mue imminente qui restituera le manque. Températures Des températures trop basses, peuvent, à terme, aboutir à la mort de la mygale qui ne se déplaçait plus et ne mangeait plus. Soyez sùr de votre installation et des températures que vous devez apporter à votre animal. Bien entendu certaines n’ont pas besoin de températures très élevées, mais d’autres, la plupart, doivent vivre dans un environnement chaud à plus de 25°C, températures rares dans nos intérieurs. Source : jungleshop.fr
  9. Maladie parasitaire interne. La coccidiose est une maladie parasitaire interne, provoquée par des organismes unicellulaires appelés coccidies, colonisant la muqueuse intestinale des reptiles, où ils se reproduisent directement. On peut confondre les ookystes coccidiens avec des vers intestinaux car ils élisent domicile au même endroit en causant de la diarrhée ; mais il s’agit bien d’oeufs de protozoaires et non de vers ! Chez les reptiles et les sauriens en particulier, ce sont Eimeria sp. et Isospora sp. qui sont les plus fréquemment rencontrés. Ce sont des coccidies à cycle direct, c’est à dire que leur transmission a lieu par voie oro-fécale. Par ailleurs, les coccidies sont très résistantes en milieu extérieur, ce qui en fait une menace à ne pas prendre à la légère lorsqu’on a un doute ! D’après le Dr. Shilliger, en général, les geckos attrapent la coccidiose chez les éleveurs, à partir d’animaux infectés, achetés sur des salons. Les grillons peuvent aussi être vecteurs de coccidies, ainsi qu’une écorce de chêne liège, un cep de vigne, du substrat douteux ou encore une gamelle ayant déjà servi...D’où la necessité d’acheter dans un lieu sùr, dans une animalerie spécialisée de préférence et le moins possible d’occasion ! Est-ce que les coccidies peuvent infecter un humain ? Les coccidies les plus communes n’affectent pas l’homme. Mais des types de coccidies plus rares ont un pouvoir infectieux sur l’humain. Un parasite appelé Cryptosporidium, peut être hébergé par l’animal et être transmis à l’humain. Les coccidies sont à très haut risque pour les personnes immunosupressées (ex : les sidéens, les personnes qui sont traitées avec des médicaments qui dépriment le système immunitaire, les cancéreux, les personnes âgées, et les enfants de moins de 2 ans). Une bonne hygiène et une soigneuse élimination des selles de l’animal sont très importantes pour minimiser les risques de transmission de tous les parasites de l’animal à l’humain. Symptômes : La coccidiose se manifeste par une diarrhée chronique pouvant devenir sanguinolente et par un amaigrissement rapide. Il y a des régurgitations (proie, mue,...), des excréments de consistance liquide et à forte odeur. L’animal arrête de manger sans raison même s’il s’intéresse encore aux insectes proposés, et une tâche marron/noire apparait au niveau du ventre. Elle peut grossir en moins de 12h. D’après le Dr Schilliger, la tâche noire constatée sur le gecko mourant correspond à une extravasation de bile hors de la vésicule biliaire. C’est classique chez tous les reptiles peu de temps avant ou après la mort. A faire en cas de doute : Analyse des excréments au laboratoire vétérinaire (en spécifiant que l’on veut tout rechercher : bactério, vers, champignons,...). Il sera utile de donner un maximum de renseignement sur la détention, les symptômes, etc. Attention l’analyse prend au minimum 1 semaine. Il convient donc de ne pas attendre les résultats pour commencer la quarantaine mais ne pas donner de médicament avant les résultats. Il faut simplement réhydrater l’animal et lui proposer à manger à la pince. Bain d’eau tiède pour l’animal avec massage du ventre Réhydratation de l’animal avec du glucose (ça lui sert de boisson et de « nourriture ») + vitamine (attention pas de surdosage). Désinfection tout les jours des terrariums et des décors restants avec de la javel Mise en place de terrariums de quarantaine. Gamelle d’eau changée et nettoyée 2 fois par jour Sopalin pour tout substrat Plus de boite à humidité (elle favorise la prolifération des bactéries, champignons et autres) Cachette Conditions de chauffage normale voir augmentée de 1°C mais pas plus. Traitement medicamenteux : L’éradication totale de ces parasites digestifs est quasiment impossible et malheureusement, le traitement de la coccidiose est souvent décevant. Cela dit, ce n’est pas une raison pour ne rien tenter ! Il faudra utiliser de la sulfadiméthoxine (Ocecoxil) de préférence, par voie buccale selon la posologie suivante : 90mg/kg le 1er jour en dose d’attaque, puis 45mg/kg/jour pendant les 7 jours qui suivent. A savoir Si vous avez un doute et que vous traitez l’animal contre les vers ou contre une bactérie quelconque, vous risquez d’entrainer le développement de mycoses ! Les mycoses digestives sont ainsi souvent secondaires à une autre affection comme la coccidiose ou à un traitement antibiotique inapproprié. Cela peut s’observer par des selles liquides, marron/verdâtres et nauséabondes. Si votre animal a donc des mycoses en plus de la coccidiose, vous devez impérativement traiter les 2 problèmes en même temps. Contre la mycose, utilisez donc l’itraconazole (le moins toxique, mais toxique tout de même, comme tous les antifongiques, sur le foie). Son nom commercial vétérinaire est "ITRAFUNGOL" : 1 goutte/gecko/2jours en hydratant beaucoup l’animal pour forcer l’élimination hépato-rénale. Diarrhée observée Amaigrissement typique... Tache apparente et large Tache en augmentation règulière Photos Celine Dercourt. Textes avec la participation de Celine Dercourt, ARNS.
  10. Maladie métabolique malheureusement courante... L’hypocalcémie : Cette maladie métabolique, qui affecte principalement sauriens et chéloniens, résulte : D’un régime alimentaire inadapté, c’est à dire trop pauvre en calcium et trop riche en phosphore ; De mauvaises conditions écologiques, c’est à dire un manque d’UV générant une hypovitaminose D3. La vitamine D3 permet à l’intestin d’absorber le calcium par l’intestin. Plus rarement, d’une insuffisance rénale. L’hypocalcémie au sens strict, signifie une carence en calcium sanguin, qui se traduit par des tremblements, un manque de tonus. Souvent, elle est associée à une ostéofibrose, c’est à dire à un ramollissement du squelette et à une faiblesse généralisée ; et se manifeste également par des déformations du squelette, la formation d’un tissu fibreux autour des os fracturés (qui se caractérise par de gros membres, par exemple cuisses énormes), un ramollissement des maxilliaires, une incapacité à se déplaçer normalement. Il n’est ainsi pas rare qu’une personne s’inquiète que son caméléon ne parvient plus à grimper, et qu’il reste au sol, tremblant lorsqu’il tente de se déplaçer, et attrapant sa patte avant avec sa patte arrière, manquant de coordination. Chez la tortue, nous observerons un ramollissement caractéristique de la carapace sur sa partie inférieure appelée plastron. La prévention joue évidemment un rôle capital et suppose de distribuer une ration alimentaire adaptée, notamment en nourrissant les proies avec des aliments riches en calcium (en distribuant aux insectes, avec parcimonie, un complexe minéro-vitaminique), et d’installer une source d’UV DANS le terrarium, c’est à dire un tube pour reptiles, une lampe UV spéciale reptiles. Beaucoup de gens ne prennent pas au sérieux les conseils des spécialistes qui avançent que les UV sont très importants pour les reptiles et notamment les lézards et les tortues. Il est vrai que le reptile ne va pas se plaindre, et que les problèmes liés à cette carence mettent du temps à s’installer. Mais quand elle est installée, il est difficile voire impossible de guérir !! CONSEILS : Plaçez un tube UV spécial reptiles, ou une lampe UV spéciale reptiles, DANS votre terrarium. Sachez que les UV ne porteront, maximum qu’à 30cm. Cela veut dire que si votre reptile est toujours à 50cm du tube, il n’a pas assez d’UV, voire pas du tout !! Distribuez aux insectes des minéraux régulièrement ou des aliments riches en calcium. Pour les tortues, vous avez aussi des compléments, mais une alimentation adaptée suffit. Changez votre tube tous les 6 mois maximum ! Le filtre s’abime très vite. A titre curatif, on peut commençer par installer les UV manquants et donner une ration calcique adaptée (demandez conseil à un spécialiste), et dans un cas grave, on peut procèder à des injections de calcium (contrôle vétérinaire), ce qui n’est pas anodin pour l’animal ! Mais n’espérez rattraper totalement un retard de croissance ou des déformations importantes. Combien de fois nous est-il arrivé d’entendre qu’un iguane vert (de 4ans par exemple) était resté petit parce qu’il s’agissait d’une espèce naine !!! Mauvaise foi ou mauvais conseils : le résultat est le même... Textes de Philippe Gérard & JungleShop.
  11. Les Maladies chez les thamnophis et les nerodia : En matière de pathologie des reptiles, la prévention joue un rôle capital. En effet, si vous avez acquis un spécimen sain, c’est à dire en bonne santé au départ, et que vous lui procurez des conditions de vie convenables, il ne développera aucune maladie ! Pour les thamnophis et les nerodia, les problèmes liés à l’alimentation sont plus ou moins connus. Peu de néophytes savent à quel point l’alimentation peut influençer la santé et la vie future d’un spécimen nouvellement acquis. En effet, les reptiles dont l’alimentation dépend presque essentiellement d’une base poisson, peuvent rencontrer des carences graves en calcium, et surtout en vitamine B1, si vous ne respectez pas les précautions diététiques nécessaires ! Le problème lié au calcium se contrecarre facilement en donnant des morceaux de poissons entiers, et/ou des morceaux de poissons saupoudrés d’un complément spécifique chargé en calcium. Pour ce qui est de l’hypovitaminose B1, qui nomme la carence en vitamine B1, elle entraine à plus ou moins long terme une dégénéresence cérébrale mortelle. Les symptômes sont des troubles de la locomotion qui s’accompagnent de convulsions sur le premier tiers du corps. Ces troubles neurologiques sont dûs à des substances appelées thiaminases, contenues dans certains poissons et qui ont pour effet de détruire la vitamine B1, indispensable au bon fonctionnement du système nerveux. Pour cette raison on évitera de distribuer des poissons particulièrement riches en thiaminases, c’est à dire principalement les éperlans, poissons rouges, carpes, chabots, sardines et poissons chats. CONSEILS : On privilégiera au contraire les goujons, vairons, saumon frais en morceaux ou guppies. On notera que la congélation a tendance à augmenter le taux de thiaminases ! Une autre technique, employée systématiquement par JungleShop, consiste à distribuer des souriceaux décongelés frottés au préalable sur du poisson frais. En ce qui concerne un autre type de pathologie souvent rencontré, d’ordre dermatologique : Communément appelé maladie des ampoules ou Blister Disease par les vétérinaires anglo-saxons, cette pathologie se caractérise par des cloques situées sous la peau. Cela est provoqué par l’association d’un substrat humide et d’une ambiance trop froide dans le terrarium. L’apparition de la maladie est liée au fait qu’en cas de froid, et ainsi que JungleShop le précise presque systématiquement à chaque vente, les reptiles voient leurs défenses immunitaires chuter. Alors, les bactéries normalement présentes sur la peau et en principes inoffensives deviennent pathogènes dans ces conditions climatiques défavorables. Leur action dévastatrice est facilité par le fait que l’excés d’humidité provoque un ramolissement des couches superficielles de la peau, qui joue alors moins bien son rôle de barrière protectrice. Ces conditions climatiques défavorables se rencontrent dans plusieurs conditions observées ici et là chez des personnes mal renseignées ou finalement peu soucieuses de la santé de leur animal : Reptile en liberté dans la maison et "rangé" dans un box avec de l’eau, et non chauffé ; Reptile installé dans la baignoire avec plus ou moins d’eau ; Reptile installé sans chauffage dans un terrarium avec plus ou moins d’eau ; Reptile installé dans un terrarium avec trop d’eau, chauffé ou pas. CONSEILS : L’aspect préventif est là encore évident ! Il suffit de veiller à ce que le substrat reste globalement sec et propre et que les températures soient correctes pour éviter l’apparition de la maladie. Consultez les conseils de JungleShop, présentés dans chaque fiche d’élevage et qui correspond à l’espèce en question. A titre curatif, cette maladie nécessite l’intervention d’un vétérinaire spécialisé pour être éradiquée. Classiquement, le traitement consiste à inciser chaque cloque et à y appliquer un antiseptique du type Bétadine. Nous ne rappelerons jamais assez que les reptiles requièrent une attention somme toute simple, mais précise et ABSOLUMENT NECESSAIRE ! Ne pas offrir les conditions climatiques requises à votre reptile est une condamnation à plus ou moins long terme. Nous rappelons également que les spécimens acquis sauvages sont toujours porteurs de parasites internes divers, qui peuvent entrainer des troubles souvent évidents à détecter : gastro-entérite sévère, anorexie, amaigrissement prolongé incontrôlable, selles liquides et nauséabondes avec ou sans vers observables. Dans ce cas un vétérinaire spécialisé traiterait votre animal de façon préventive et sùre. Textes de Philippe Gérard & JungleShop.
  12. Géniale est très rare à la fois merci Pourrait tu nous en dire plus sur cette espèces ?
  13. Chez nous en Alsace il pleyt depuis toutes la journée
  14. Vidéo de la semaine du : 3.12.2007 au 10.12.2007
  15. Malade comme un chien depuis hier, la crève est un début de torticolis Quel temps de M....
  16. Python tacheté Description : Ces pythons sont un des plus petits pythons au monde, atteignant une taille adulte d’environ 75cm à 1 mètre. Ces petits pythons viennent d’Australie du Nord. De corpulence moyenne, de couleur marron de façon assez uniforme en âge adulte, il montre des reflets irisés très beaux. Ce python est robuste et s’alimente très bien à l’âge adulte. Parfois, il est plus délicat de nourrir les juvéniles, mais normalement ils acceptent rapidement de qu’on leur donne si les conditons sont optimum. Notamment, il y a des cas de régurgitations plus courants chez cette espèce si l’on obtient pas exactement les températures nécessaires. Maintenance : Le terrarium conseillé pour un sujet adulte sera de 80x40x40. Il prendra donc peu de place, ce qui est un atout supplémentaire. Disposez copeaux de bois et décors variés, avec une vasque pour l’eau et des abris au sol car il est terrestre. Le substrat devra toujours être sec, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas mettre de vasque pour l’eau. Les températures nécessaires seront de 30°C le jour avec un point chaud à 32°C, avec une zone plus fraiche à 25°C. Et 24°C la nuit environ. L’hygrométrie ne sera que de 60%. Reproduction : Ovipare, la femelle pondra une douzaine d’oeufs, après un période repos à 23°C pendant 2 mois. Les oeufs incuberont pendant cinquante jours environ.ils est important de séparer les bébé python a la naissance pour éliminer les risque de cannibalisme! les bébé devrait commencer a manger apres leur premier mue! soit 1 semaine apres la naissance! Nourriture : Rats, souris. Il accepte bien le décongelé, ce qui évite les dangers de morsures. En résumé : Caractère : docile Origine : Australie Moeurs : crépusculaire et nocturne, terrestre Biotope : semi-désertique Taille adulte : 75-100cm en moyenne Esperance de vie : 15 ans Nourriture adaptée : rongeurs image google texte source jungle shop que jai retravailler Fiche donner par La clique merci à lui
  17. Python de Children Description : Ces pythons sont un des plus petits pythons au monde, atteignant une taille adulte d’environ 1mètre. Ces petits pythons viennent d’Australie du Nord, sans que la provenance exacte ne soit certaine : on les trouve du plateau de Kimberly (australie occidentale) jusqu’au Queensland au Nord-Est. Ils peuvent également être trouvés sur certaines des îles au large de la côte australienne. De corpulence moyenne, de couleur marron ou olivâtre de façon assez uniforme en âge adulte, il montre des reflets irisés très beaux. Ce python est robuste et s’alimente très bien à l’âge adulte. PArfois, il est plus délicat de nourrir les juvéniles, mais normalement ils acceptent rapidement de qu’on leur donne si les conditons sont optimum. Notamment, il y a des cas de régurgitations plus courant chez cette espèce si l’on obtient pas exactement les températures nécessaires. Maintenance : Le terrarium conseillé pour un sujet adulte sera de 80x40x40. Il prendra donc peu de place, ce qui est un atout supplémentaire. Disposez copeaux de bois et décors variés, avec une vasque pour l’eau et des abris au sol car il est terrestre. Le substrat devra toujours être sec, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas mettre de vasque pour l’eau. Les températures nécessaires seront de 30°C le jour avec un point chaud à 32°C, avec une zone plus fraiche à 25°C. Et 24°C la nuit environ. L’hygrométrie ne sera que de 60%. Reproduction : Ovipare, la femelle pondra une douzaine d’oeufs, après un période repos à 23°C pendant 2 mois. Les oeufs incuberont pendant cinquante jours environ. Nourriture : Rats, souris. Il accepte bien le décongelé, ce qui évite les dangers de morsures En résumé : Caractère : docile Origine : Australie Moeurs : crépusculaire et nocturne, terrestre Biotope : semi-désertique Taille adulte : 100cm en moyenne Esperance de vie : 15 ans Nourriture adaptée : rongeurs image google texte jungleshop! Fiche donner par La clique merci à lui
  18. Serpent liane, serpent nasique, à long nez, etc. Description : Ce colubridé est vraiment particulier : outre son régime alimentaire de mangeur de lézards que d’autres colubridés partagent, il a une particularité anatomique plutot amusante : son museau pointu ! C’est aussi ce qui fait son intérêt. Mesurant jusqu’à 1 mètre à l’age adulte, il est surtout arboricole, préférant donc les buissons sinon les arbres de l’Asie du Sud Est. Sa couleur générale, le vert, et séparé en 2 dans le sens de la longueur, laissant le vert vif sur le dessus du corps, et le vert jaunâtre sur la partie ventrale. Dans la nature, son camouflage est si efficace, puisqu’il ressemble à s’y méprendre à une brindille verte, qu’il attrape ses proies sans aucune difficulté !! Rapide et agile, cette espèce n’est pas à mettre entre toutes les mains ; en effet, elle est opisthoglyphe, c’est à dire qu’elle possède des dents non mobiles au niveau postérieur. Son venin n’est pas mortel, sauf si vous faites une mauvaise réaction -ce qui peut toujours arriver !-, mais il fait mal et vous incitera à rejoindreun centre anti-venin. Au bout de trois jours, si le venin n’a pas été inoculé à la tête ou dans une veine, les effets s’estompent sans dommage. A part ça ce n’est pas une espèce agressive. Maintenance : Tout d’abord, le terrarium sera construit dans la hauteur, comme par exemple 70X50X100. Il est conseillé de disposer des branchages nombreux, des feuillages, des cachettes en hauteur. Un bac pour l’eau, disposé aussi bien au sol qu’en l’air, des pulvérisation règulières mais pas forcément intempestives, seront appréciées, car le taux d’hygrométrie sera à maintenir autour de 80%. Les températures seront chaudes, avec 25°C en général et 28°C au point chaud. La nuit, nous conseillons de ne pas chauffer, la température ambiante de votre intérieur suffira. De même cette espèce appréciera une saison à température basse (autour de 15°C). Il est à noter quand même, et c’est important, que même un spécimen né en captivité n’apprécie guère sa situation captive, semble-t-il et les quelques éleveurs qui en possèdent disent qu’il frappe souvent les vitres, se frotte souvent contre les parois, ce qui l’abime parfois considérablement. Une couverture de coco sur la parois peut palier un peu à ce problème. Nourriture : Dans la nature des lézards, et en captivité des rongeurs, de préférence mort et congelés/décongelés. Bien entendu, si l’animal vient de la nature, il sera très difficile voire impossibe de lui faire ingéré des rongeurs. Mais s’il provient d’élevage pas de soucis majeur sinon les premiers jours. Il est à noter que ce serpent est une merveille de la nature que l’évolution a forgé d’une manière insensée. Il mérite pour cela le respect : ne le prenez pas dans la nature, ne l’achetez pas s’il provient d’une capture ! En résumé : Caractère : agressif moins Origine : Inde, Sri Lanka, Birmanie et Thaïlande. Biotope : tropical, diurne. Taille adulte : 80-100 cm Esperance de vie : 10ans Nourriture adaptée : lézards, rongeurs si né en captivité texte jungleshop! photo signer par lauteur! Fiche donner par La clique merci a lui
  19. L’iguane vert vit dans certaines régions de l’Amérique centrale et de l’Amérique du Sud. Il en existe aussi aux Etats-Unis, plus spécifiquement en Floride et au Texas. Taille : L’iguane adulte peut atteindre facilement 1,5m et même se rendre à 2m. Durée de vie : Ce lézard vit environ une douzaine d’années. Habitat naturel : L’iguane vert est un lézard arboricole et vit près des cours d’eau. C’est un excellent nageur, mais préfère grimper à la cime de son arbre lorsqu’il se sent menacé. Alimentation : Jeune, l’iguane vert serait omnivore et en vieillissant, il devient herbivore. On serait porté à donner des insectes, viande et œufs à ce lézard, mais il semblerait que de lui donner des aliments carnés, cela pourrait raccourcir sa durée de vie. Donnez-lui plutôt des légumes (brocoli, carottes râpées, chou frisé, feuilles de céleri, haricots, laitue vert foncé comme la laitue romaine (pas de laitue Iceberg), persil, piment vert, pois mange-tout, etc.), des fruits (abricots, bananes, bleuets, dattes, figues, fraises, framboises, lichies, mangues, poires, pommes, etc.), des fleurs d’hibiscus, des fleurs et des feuilles de pissenlit, de trèfle et de moutarde. Vous pouvez associer de la nourriture en granules pour iguanes (pour une proportion de 50%) aux aliments frais; la nourriture pour iguanes est très complète. Avec chaque repas, donnez des multivitamines sous forme de poudre, contenant de la vitamine D3 et du calcium pour reptiles. Terrarium : Vu la taille que peut atteindre l’iguane vert, il serait sage de prévoir un terrarium assez grand pour contenir un individu adulte. Comme substrat, vous pouvez utiliser du copeau d’écorce pour reptiles et aménager un coin avec de la vermiculite humide. L’iguane aime beaucoup nager, il devrait donc y avoir un grand contenant d’eau lui permettant de s’immerger. Le contenant d’eau devra être placé sous la lampe chauffante, ce qui aidera à garder un taux élevé d’humidité. Incorporez plusieurs branches bien solides pour permettre à votre iguane d’y grimper et quelques plantes naturelles en faisant attention de n’y mettre que des plantes non toxiques. L’installation d’une roche ou d’un tapis chauffant est nécessaire. L’élément chauffant doit rester allumé en permanence. La température au sein du terrarium devrait être située entre 24 et 30ºC (75 et 90ºF) le jour et entre 24 à 25ºC (75 à 80ºF) la nuit. Le taux d’humidité doit être élevé (si possible 80%). Vaporisez le terrarium plusieurs fois par jour à l’eau tiède. La température au sein du terrarium devrait être située entre 30 et 35ºC (86 et 96ºF) le jour et entre 20 à 22ºC (68 à 70ºF) la nuit. L’éclairage devrait rester en fonction durant environ 12 à 14 heures par jour. L’iguane vert a besoin d’un tube fluorescent (pour les rayons UVB) et d’une lampe chauffante (pour les rayons UVA). Ceux-ci l’aident à bien assimiler les vitamines et le calcium qui lui sont nécessaires pour vivre. Ce lézard est un des plus grand que lon peu a voir en captiviter! donc ils nes t pas a prendre a la légere! SA QUEUE PEU CAUSE DE TRES GRAVE LACÉRATION! image google texte google retravaillé Cette fiche nous a etait fourni par La clique merci à lui
  20. Le dragon d'eau est l'espèce la plus grande dans la famille des agamidés. En captivité, on en trouve généralement deux espèces. Ce lézard est très sociable si on l'habitue jeune aux manipulations. Il est de couleur verte et a une très longue queue qui fait le 2/3 de sa taille. Il possède de beaux yeux orange ainsi qu'un oeil pariétal (sur la tête). Espèces Physignathus cocincinus (Indian Water Dragon) et Physignatus lesueurii (Eastern Water Dragon) Autre appellation Agame aquatique, dragon chinois, dragon vert d'eau. Habitat naturel et moeurs Arboricole et diurne. Il habite dans les régions chaudes et humides. Taille à l'âge adulte Entre 80 cm et 100 cm (les femelles sont plus petites). Reproduction Ovipare Dimorphisme sexuel Les femelles sont plus petites et elles ne possèdent pas de grande crête dorsale. Nombre de petits 15 à 20 oeufs Incubation De 60 à 100 jours (moyenne de 70 à 80 jours). Répartition géographique Asie et Australie, tout dépendant de l'espèce. Régime alimentaire Omnivore, forte préférence pour les produits à base de viande. aime bien les souris de grosseur adapter! Espérance de vie 10 à 15 ans. Tempérament Très bon lézard si on l'habitue jeune à se faire manipuler. Il peut cependant être très nerveux et stressé par votre présence, s'il n'a pas été correctement manipulé en bas âge. Les mâles ont tendance à être territoriaux entre eux. ne jamais faire cohabituer 2 male ensemble!1 male avec 2 femelle ya pas de probleme! Vie en captivité L'agame aquatique peut vivre dans un terrarium de 48 gallons minimium ou plus grand. Comme c'est une espèce arboricole, le terrarium doit plus être en hauteur qu'en largeur. Il demande de belles branches non toxiques pour lui permettre de grimper. Le fond peut être du papier, du tapis gazon ou des copeaux. si le terrarium est trop petite le dragon va se frotté le nez contre la vitre causant bien sure des lésion! Une lampe UV et une lampe chauffante sont nécessaires. La nuit, une lampe de nuit ou un coussin chauffant sont également essentiels pour éviter que la température ne baisse trop. On doit lui fournir des cachettes comme pour tous les autres reptiles. Un grand plat d'eau est nécessaire, car le dragon d'eau adore l'eau, il plonge et nage souvent. Température point chaud 30 °C à 34 °C point froid 25 °C à 28 °C de nuit 22 °C à 24 °C Degré d'humidité Élevé (80 % à 90 % d'humidité). Un grand plat d'eau doit être fourni ainsi que plusieurs vaporisations d'eau tiède dans le terrarium pour maintenir un niveau d'humidité adéquat. L'installation d'un générateur de brouillard est conseillé pour maintenir un bon taux d'humidité sans avoir à vaporiser le terrarium dix fois par jour. vs devez changer leau au 2 jour pcq ils déferque de ds!! moi je le conseil a tous débutant ! le prix dachat est dérisoir! et tres facile dentretien malgres tous!! image moi meme! texte source! google tres retravaillé! Cette fiche nous a etait fourni par La clique merci à lui
  21. RAF-nacannonce

    renseignement pour copeau

    Suis d'accord la desinfection impecable un coup dans la baignoire et le tour est jouer.
  22. Description : si ce serpent est placide et souvent pacifique, il n’exclut absolument pas la méfiance. Il ne doit jamais être sous-nourri lorsqu’il est de grande taille (en moyenne 3,5-4 mètres, au maximum...beaucoup plus), car alors il peut être dangereux et vous mordre par accident : une morsure d’un tel serpent n’est pas sans risques, c’est pourquoi il ne peut être à la portée de tous. Il a un corps massif et une tête comparativement assez petite. Il est de couleur naturelle jaune-grisâtre, avec de grandes taches rectangulaires brunes. Des petites taches claires ornent ses flancs. Il a enfin un motif noir en forme de fer de lance sur la tête. L’albinos est orange et blanc, et il devient plus clair en vieillissant. Nous ne le conseillons pas aux débutants dans la mesure où il est difficile de se rendre compte des contraintes et des dangers auxquels ils devront faire face quand ce dernier sera adulte. Cependant, un débutant très motivé, sérieux et très très intéressé pourrait prendre un individu déjà habitué aux manipulations. Le plus souvent, ce serpent souffle fort, pour impressionner ; tout est relatif : c’est lorsqu’il est affamé par un propriétaire inconscient qu’il peut devenir dangereux ! Maintenance : Elle est assez aisée : hygrométrie de 80%, 23°C la nuit et 30°C le jour. Le terrarium devra être spacieux (mais pas avec 10 mètres de long non plus, un gros serpent remuant peu !), chauffé par cordon et thermostat, ou avec cordon et lampes (de jour et de nuit) : protéger les ampoules s’il est jeune. Evitez les néons et les lumières fortes, et n’hésitez pas à mettre beaucup de décorations. Dans la nature, on le trouve au Sud de la Chine, en Indochine, Birmanie, Bornéo et Java, dans une jungle de plaine ou de moyenne montagne, mais aussi dans les champs et les plantations. Nourriture : Rongeurs, oiseaux. Attention à ne pas trop le nourrir, car il deviendrait obèse et donc en mauvaise santé, et surtout il deviendrait très grand et très gros. En résumé : Caractère : Agressif Moins Origine : Asie Moeurs : Terricole / Nocturne Biotope : Tropical Taille adulte : 4m Esperance de vie : 15 ans en moyenne Nourriture adaptée : rongeurs Python molure jeune Molure phase GREEN Phase albinos classique Phase ALBINOS GREEN Albinos green, sans doute l’une des plus belles. attention! ils est tres important de bien ce laver les main apres avoir nourit votre serpent!ceci est un gros boidé pouvent causer des blessure garve!!! photo!( moi ,google et jungleshop) texte source_http://www.jungleshop.fr/article.php3?id_article=61 Cette fiche nous à etait remise par La clique merci à lui
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