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RAF-nacannonce

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  1. Morelia spilota cheynei Nom vernaculaire : Python tapis des jungles Répartition géographique : Nord Est de l'Australie Taille : jusqu'à 1.8 mètres Description : C'est un python de taille modeste, allant de 140 à 180 cm. La tête est massive et très démarquée du cou particulièrement fin. La langue et l'intérieur de la bouche sont bleu très foncé. Les fossettes thermosensibles, situées au-dessus de l'avant des lèvres supérieures et sous l'arrière des lèvresinférieures, sont nombreuses et bien marquées. La couleur de fond est noire ou brun très foncé avec des taches allant de gris pâle au jaune vif et de forme très variable. C'est un serpent à la fois terrestre et arboricole. Difficulté : facile Elevage : La taille de terrarium conseillée pour un couple est de 150x70x80. Celui-ci sera de type tropical humide avec pour substrat des copeaux de bois. Il faudra y placer des cachettes au sol et en hauteur en liège et feuillage ainsi que des grosses branches et un grand bac d'eau. Nutrition : Rongeurs -Oiseaux -Lézards - Eclairage : tube néon 2.0 (2% d'uvb) Température jour: chaud 32 - froid 28 Température nuit: chaud 28 - froid 26 Conseils : Ce serpent étant arboricole, il est donc préférable de chauffer en radiant à partir du plafond avec une ampoule céramique ou un tapis et de disposer judiceusement le branchage. Reproduction: facile Accouplement : A partir de février Gestation : 70 Ponte : 16 oeufs en moyenne Incubation : 60 Période de repos : oui Divers : Le cheynei est un très joli serpent, de taille moyenne et facile à maintenir. C'est un bon mangeur au caractère variable. * Source Google Photos Perso : Merci Valko
  2. Androctonus australis (Buthidae) Attention, espèce à réserver a des éleveurs expérimentés car scorpion très dangereux ! Description C'est un scorpion jaune qui peut avoir le bout des pinces et le dernier segment de la queue plus foncés, voire quasi noir. Il est facile à reconnaître grâce à sa queue qui est assez imposante. Il y a plusieurs "morphe" d'Androctonus australis : Androctonus australis classique est jaune paille avec le bout de la queue un peu noirâtre. Androctonus australis lybicus est comme le classique mais avec le bout des pinces brun sombre. Androctonus australis hector est plus brûnatre que jaune paille et a le bout des pinces et le bout de la queue noire. Répartition Afrique du nord Taille Environ 8 cm pour les spécimens que je maintiens. Ils peuvent atteindre 10 cm. Comportement Scorpion désertique très dangereux. Espèce qui se met en position de défense à la moindre vibration. Il soulève alors sa queue bien haut ainsi que ses pinces en les tenant ouvertes. Mais ATTENTION, c'est espèce est une des espèces les plus DANGEREUSES, il piquera sans hésiter et on peut voir parfois une goutte de venin perlant sur l'aiguillon. La journée il reste caché sous une pierre ou autre cachette avec les pinces ouvertes à l'entrée du trou. Possible de le maintenir en couple. Terrarium 20*20*20 suffit pour un spécimen. Un substrat fait de sable sec est parfait. Humidité On peut leur donner à boire une fois par mois dans un capuchon de bouteille ou en aspergeant le coin du terrarium. L'hygrométrie doit être de 30 %. Température 30 à 32 °C le jour. Entre 20 et 22°C la nuit. Si vous utilisez des spots ou ampoules chauffantes, prévoyez une bonne aération pour éviter les 40°C et plus ... Nourriture Blattes, grillons, sauterelles ... Il n'hésite pas à s'attaquer à plus gros que lui Reproduction et croissance - aucune donnée - Dimorphisme sexuel : La femelle possède entre 22 et 28 dents aux peignes et le male entre 30 et 38 Toxicité du venin : Venin de stade 5, très toxique, il peut causé du dégât très important et irréversible, il y a des cas de mortalité. Ce n’est pas une espèce pour les débutants. Remarque(s) C'est un scorpion à déconseiller, il est dangereux et fait partie de la famille des Buthidés. * Source & Photos rafilayardi Merci Valko
  3. Mesobuthus gibbosus Description: C'est un buthidé, prudence est de rigueur ! Scorpion avec le corps jaune brun et les pattes , pinces et la queue plus jaune encore ! Il a de joli petit traits noirs sur le corps Repartition: Grêce, Turquie, ... Taille: Environ 6 cm Comportement: Comportement assez craintif. Il bouge a la moindre vibration et court très vite. C'est un scorpion assez vif ... Les adultes ne semblent pas être sociables et vaut mieux séparer les jeunes après le stade 2-3 La longévité une fois adulte est de 3 ans. Terrarium: Un terrarium de 20X20X20 suffit. Le substrat sera du sable ou du gravier sec. On peut lui donner une coupole d'eau une fois toute les deux semaines. Humidité: Il ne faut pas une atmosphere humide mais plutot sèche. Moins de 50% je dirais malgré qu'il soit tolérant face a des écarts. Température: De 30 a 33 °C environ. Attention, c est une espèce européenne, une pause en hiver est préférable (15°C) Nourriture: Toute sorte d'insectes. Reproduction et croissance: Une vingtaine (ou trentaine) de petit naît. Ils muent pour la première environ 4 jours après ! (chez moi le 23 du mois: naissance et 26: première mue) Remarque: C'est un scorpion des plus dangereux dans les européens, je ne le conseillerai donc pas à un débutant. Source rafilayardi Merci Valko
  4. Opisthacantus rugiceps Description Ce scorpion possède des pinces assez massives comparées à son corps. Sa couleur est comme celle d'un Hadogenes paucidens, un peu verdâtre et les pattes sont plutôt brunes. Il me fait un peu penser à un Euscorpius géant. Répartition Afrique > Tanzanie Taille Environ 10 cm Comportement Espèce calme qui ne montre pas de signe d'agressivité. Si on l'ennuie de trop, il peut essayer de pincer mais pas de piquer. En tout cas, c'est ce que j'ai pu observer sur mes spécimens. N'oubliez pas qu'un spécimen n'est pas l'autre ! Cette espèce est sociable. Terrarium 20*20*20 suffit pour un spécimen. Prévoir une écorce ou autre pour faire office de cachette. Humidité Un substrat ni trop humide ni trop sec, une humidité d'environ 60 à 70% Température Comprise entre 25 et 29°C le jour. Entre 20 et 22°C la nuit. Nourriture Blattes, grillons Reproduction et croissance J'avais une femelle gravide dont je n'ai pas vu l'accouplement. Je l'ai eue alors qu'elle était bien portante au mois d'octobre/novembre 2005 et elle était maintenue dans un terra avec trop d'humidité je pense. Elle refusait de manger et ce jusqu'au mois d'avril 2006, tout ca sans maigrir. Au mois d'avril elle donna naissance à 25 petits pullus. Ce n'est qu'après environ une semaine qu'ils ont mués pour la première fois et après quinze jours ils sont descendus du dos de leur mère mais en restant regroupés entre-eux. Remarque(s) C'est un scorpion à conseiller, il ne pose pas de difficultés particulières. De plus, j'ai pu lire que c'est un scorpion semi-arboricole et qu'ils communiqueraient entre-eux en tappant sur les écorces. Malheureusement je n'ai pas encore pu observer ce phénomène. * Source InSecTopia Photos Perso Merci Valko
  5. Pandinus imperator Espèce protégée par la Convention de Washington et la décision n°338/97 du Conseil de l'Europe. FAMILLE : SCORPIONIDAE REPARTITION : Togo DESCRIPTION : Grand scorpion uniformément noir brillant. Les pinces sont proportionnellement larges, et présentent une granulosité importante. D'autres espèces moins répandues de Pandinus, P. gambiensis et P. dictator, sont un peu plus petites, et se distinguent principalement par le nombre et la disposition de leurs trichobothries. DIMORPHISME SEXUEL : Par exception, le sexe des individus de cette espèce peut aisément être déterminé à l'oeil nu, avec un minimum d'exercice. En bloquant le scorpion entre deux boites en plastique transparent, on peut voir au niveau du sternite II les 'peignes'. Ceux du mâle sont plus longs, et leurs dents sont plus longues. L'éleveur qui a un couple en main, a peu de chances de se tromper. Chez cette espèce, le nombre de dents des peignes ne peut être un critère fiable, car il y a chevauchement des plages. Par contre leur disposition et surtout leur taille suffisent à faire la différence. TAILLE : Une des plus grandes espèces de scorpions connues. Certains spécimens peuvent dépasser 20 cms de longueur totale. D'une façon générale, les mâles sont plus 'gros' que les femelles. COMPORTEMENT : Scorpion docile, mais qui garde un caractère indépendant. De fréquents cas de piqure, bien que sans gravité, doivent mettre en garde contre toute manipulation de cette espèce. Le venin de Pandinus imperator est réputé non dangereux pour l'homme, bien que sa piqure soit très douloureuse. Il s'agit d'un des rares scorpions ayant un comportement social développé : de petits groupe reproducteurs peuvent être élevés dans un même bac, du moment que le nombre de cachettes et l'apport en nourriture sont suffisants. L'agressivité entre mâle et femelle peut être réelle lors des accouplements. TERRARIUM : Un terrarium de 40 cm x 20 cm est conseillé. Prévoir un bac plus grand pour les groupes reproducteurs. Ce scorpion a besoin d'une hygrométrie relativement importante (80% HR environ). Préférer un substrat de 10 cm de tourbe humide. Température de 24°C à 28°C le jour, 20°C à 22°C la nuit. Placer un bout de liège comme abri. Pandinus imperator a un pic d'activité crépusculaire vers 18H-20H. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. Ne pas éclairer le terrarium. NOURRITURE : Grillons, blattes, criquets, souriceaux... Pour les bébés, donner des micro-grillons qui seront tués par la mère. REPRODUCTION : Bien nourrir mâle et femelle avant l'accouplement. Séparer la femelle qui vient d'avoir des bébés du reste du groupe reproducteur. Laisser juste la femelle avec ses petits. La ponte survient 7 à 14 (!) mois après l'accouplement. Il y a en général de 12 à 30 pullus. CROISSANCE : La croissance des jeunes est très lente. Longévité environ 8 ans. Source gea.free.fr Merci Valko
  6. Heterometrus spinifer FAMILLE : SCORPIONIDAE REPARTITION, SYSTEMATIQUE : Il y a 21 espèces et 31 sous-espèces ce qui rend la classification très dure. On les trouve dans les forêts humides du sud de l'Asie (H. fulvipes), Thaïlande (H. spinifer), Malaisie, l'est de l'Asie (H. longimanus), Java, Bornéo, Sumatra (H.cyaneus). DESCRIPTION : Grand scorpion noir avec des reflets verts, qui peut aller jusqu'à 15 cm. Il ressemble à Pandinus imperator qui lui à des reflets brun acajou. Les pinces sont puissantes et larges, lisses ou granuleuses selon les espèces. Plutôt lisses avec un peu de grain sur le haut de la main pour H. spinifer, vraiment granuleuses pour H. fulvipes. Le corps est massif. La vésicule à venin est de la même couleur que la queue, contrairement au Pandinus. Attention la piqûre d'Heterometrus n'est pas bénigne, au contraire, elle peut causer de graves problèmes oculaires en plus d'être très douloureuse. DIMORPHISME SEXUEL : Hélas pas d'information sur la quantité des dents de peignes, mais comme pour Pandinus la différence entre un mâle adulte et une femelle se voit très facilement avec un peu d'habitude. Les peignes les plus longs étant pour les mâles bien évidemment. TAILLE : Selon les espèces la taille varie de 10 à 17 cm. H. swammerdami qui est le plus grand. H. spinifer atteint 12 à 15 cm. COMPORTEMENT : C'est une espèce sociable qui peut vivre sans problème en groupe de plusieurs individus. Une cohabitation entre Heterometrus et Pandinus est même possible. Cependant le scorpion asiatique est beaucoup plus agressif que son cousin d'Afrique. Toute manipulation est à proscrire. Ce n'est pas un scorpion très rapide mais il fait front si vous le taquinez et n'hésite pas à pincer avec force et faire usage de son dard. Il pique rarement sa proie sauf si la taille de celle-ci l'empêche de bien la maîtriser. C'est un scorpion fouisseur, il creuse une galerie et se cache dedans pendant la journée, le soir il sort juste ses pinces pour attraper ses proies. Une activité nocturne est quelque fois constatée, il se promène, fait le tour du terrarium, essaye de monter le long des parois. Ce scorpion convient bien lorsque l'on a déjà une expérience avec eux, toutefois son élevage est relativement facile. TERRARIUM : Le type est évidemment tropical, de grande taille, comptez 30x20 minimum pour un spécimen. Ajoutez une bonne quantité de tourbe humide afin qu'il puisse faire son terrier. Température de 20 à 28°C, un cordon chauffant est bien accepté. Hygrométrie de 80 à 95%, vaporisez de l'eau non calcaire régulièrement 3 à 4 fois par semaine. Un abreuvoir est très conseillé. Comme décor toutes souches, branches, pierres, mousses sont appréciés, attention aux plantes qui pourront être déterrées par votre scorpion lorsqu'il creuse sa cachette. Pas besoin d'éclairage, en effet il vit ordinairement dans la pénombre de sa forêt natale. De même il n'est pas nécessaire d'équilibrer le ratio entre jour et nuit. NOURRITURE : Nous trouverons des proies en rapport avec la taille du prédateur évidemment, les criquets pèlerins, blattes de toutes tailles, grillons, vers morio, voir même des lézards sont très bien acceptés par les adultes. Attention de ne pas trop nourrir vos Heterometrus car ils sont tous très voraces. Pour les pullus, les drosophiles ainsi que les vers de farine sont très bien. Prévoyez des micro grillons pour le stade suivant et vous n'aurez pas de problèmes. Il arrive souvent que la mère tue un grillon adulte et le laisse aux petits qui se chargent de le manger. REPRODUCTION : La gestation dure environ 12 mois, la taille de la portée va de 15 à 35 pullus. Ne pas séparer la mère des petits, ceux-ci peuvent même rester définitivement ensemble sans aucun problème. En élevage courant et convenablement nourri, aucun cas de cannibalisme n'est constaté. CROISSANCE : La croissance est assez rapide, en un an ils auront presque la taille adulte, toutefois veuillez bien faire attention à leur fournir de la chaleur et une bonne humidité afin d'avoir des mues qui se passent sans problèmes. Source gea.free.fr Merci Valko
  7. Euscorpius flavicaudis FAMILLE : EUSCORPIIDAE REPARTITION : Sud de la France, Corse, Italie, Espagne DESCRIPTION : Petit scorpion au corps et aux pinces de couleur brun-rouge, les pattes ambulatoires et le telson sont ocres. Les pinces sont proportionnellement larges et puissantes, l'opisthosoma est court. Il n'y a pas de dimorphisme sexuel visible à l'oeil nu. TAILLE : La femelle est de taille modeste, de 3 à 5 cms de longueur totale. Le mâle est encore plus petit (3 à 4 cms). COMPORTEMENT : Scorpion rapide et nerveux, il pince facilement et pique lorsqu'il est dérangé. Il se met rapidement en position de défense. Peu douloureuse, sa piqure est inoffensive pour l'homme. Fréquent en France, non dangereux, résistant (adulte), il constitue une bonne source d'observation et d'apprentissage pour le débutant. TERRARIUM : Un terrarium de 20 cm x 10 cm est conseillé. Prévoir un bac plus grand pour les groupes reproducteurs. Grégaire, il peut être élevé en groupe de dix individus ou plus dans un bac de 50 cm x 30 cm pourvu que les cachettes soient nombreuses. Dans la nature, il abonde sur les murets où l'on trouve parfois un specimen tous les 20 cms. Ce scorpion se contente d'une hygrométrie moyenne (70% HR environ), est assez tolerant aux écarts. Préférer un substrat de 4 cm de tourbe humide, avec de la mousse et des pierres entassées comme abris. Température de 22°C à 24°C le jour, 19°C à 22°C la nuit. L'éclairage naturel d'une pièce ou un éclairage artificiel de la pièce avec cycle jour/nuit convient parfaitement. Ne pas éclairer le terrarium. NOURRITURE : Grillons, asticots, petites blattes... Pour les bébés, donner des micro-grillons qui seront tués par la mère. Cette espèce peut supporter des périodes de plusieurs semaines sans nourriture. REPRODUCTION : Bien nourrir mâle et femelle avant l'accouplement. Dans le groupe reproducteur, les naissances auront lieu sans intervention de l'éleveur. La ponte survient 11 à 12 mois après l'accouplement. Il y a en général de 12 à 70 pullus. CROISSANCE : La croissance des jeunes est très lente, la mortalité importante comme chez la plupart des petites espèces. Longévité probable d'environ 6 à 8 ans. Source gea.free.fr Merci Valko
  8. Hottentotta hottentotta Cette famille de scorpions comprend les espèces les plus dangereuses au monde, qui sont à l'origine de cas mortels et d'autres envenimations très graves. Leur élevage est déconseillé, le choix étant restreint entre les mortels, les très dangereux et les dangereux. L'élevage de ces scorpions n'est de toutes façons pas envisageable sans une solide expérience et si vous n'êtes pas équipé d'installations sécurisées. Les données qui suivent sont donc plus fournies à titre de renseignement que d'incitation à l'élevage. FAMILLE : BUTHIDAE REPARTITION, SYSTEMATIQUE : H. hottentotta se trouve surtout en Afrique centrale, Sénégal, Tchad, mais aussi en Iran et en Inde. C'est essentiellement dans les savanes qu'il réside, on le trouve sous les pierres, dans les anfractuosités du sol, voir dans les terriers des autres ainsi que dans les termitières. Il y a 21 espèces d'Hottentotta. DESCRIPTION : Scorpion de taille moyenne, brun roux avec les tergites (plaques dorsales) marbrées de noir. D'aspect trapu, la queue n'est pas très épaisse, les mains (pinces) sont fines, avec les doigts assez longs. DIMORPHISME SEXUEL : Seules les dents de peigne peuvent donner une information à ce sujet. Hélas elles sont très fines, qui plus est les "fourchettes" se croisent, et les erreurs sont très courantes. Pour un mâle comptez entre 25 et 30, pour une femelle 22 à 26. TAILLE : Comme dit ci-dessus, la taille est moyenne, il dépasse très rarement les 8 ou 9 cm. COMPORTEMENT : C'est un scorpion craintif qui détale à la moindre alerte. On peut le mettre en groupe, la sociabilité y est plutôt bonne. On les trouve d'ailleurs les uns sur les autres dans leur cachette ce qui prouve qu'il ne s'attaque pas entre eux une fois que chacun à trouvé sa place dans le groupe. Par contre des cas de cannibalisme de la mère envers les petits seraient fréquents. Donc séparez-les de leur mère après la première mue, mais laisser les bébés ensemble. C'est un scorpion assez rapide, vif, qui est actif dès la soirée jusqu'au matin suivant. Il pique rarement ses proies et se gave facilement s'il a trop à manger. La piqûre est très douloureuse. TERRARIUM : Un terrarium de petite taille (bac plastic Hagen 20x10) suffit pour un spécimen, pour un groupe de 4 ou 5 prévoyez un peu plus grand ( 20x30). Pour le sol un mélange de terreau et de sable, 60/40, convient très bien. Comme il ne creuse pas apportez-lui des cachettes, pierres, écorces, petites souches etc… Pour l'hygrométrie 60 à 70% suffisent. Laissez le sol sec, vaporiser seulement une partie du terrarium tous les 15 jours ou, mettez leur un petit abreuvoir. Température de 25 à 30°C avec des pointes possibles à 35, descendre vers 20-22°C la nuit si possible. NOURRITURE : Les grillons de taille moyenne (moins d'1 cm) lui suffiront, car s'ils sont trop gros il n'y touchera pas. Dans la savane africaine ses proies sont plutôt les termites. Il ne touche pas aux proies du genre cloporte par contre, sans doute trop "exotique" pour lui. REPRODUCTION : La gestation dure environ 8 mois, la portée est comprise le plus souvent entre 8 et 20 pullus, voir 30 dans les meilleurs cas. Des cas de parthénogenèse (mode de reproduction des animaux dans lequel le mâle n'intervient pas.) sont couramment observés chez cette espèce. CROISSANCE : La durée de vie en élevage de ce scorpion n'est pas très longue, estimée entre 3 et 4 ans. Source gea.free.fr Merci Valko
  9. Genre Hadogenes (kraepelin, 1874) Localisation : Afrique du Sud, Namibie, Angola, Zimbabwe, Bostwana, Mozambique, Rep. Démocratique du Congo, Tanzanie. Température: Ce genre de scorpion supporte aisément des températures de plus de 35°C, cependant, en élevage 30°C suffiront, avec, pour la nuit une baisse d'au moins 10°C si possible. Pour les espèces vivantes en Afrique du Sud, une diapause hivernale est la bienvenue. A ce moment, une température de 15/20°C serait alors préférable. Pour grandir correctement, les jeunes Hadogenes demandent des températures souvent plus proche des 35°C car à une température de 22/24°C aucune mue ne s'effectue. Nourriture: Les grillons seront la base de l'alimentation en élevage. Cependant, adultes, ces espèces mangeront sans problème des blattes, des criquets, des lézards, des myriapodes et même des petits rongeurs. Il parait aussi qu'en cas de disette dans leur pays d'origine certains de ces scorpions mangeraient des escargots. Pour les bébés, les micro grillons feront l'affaire. Les Hadogenes ne sont pas de gros mangeurs, il arrive fréquemment que la proie soit délaissée pendant un semaine, voir plus, avant qu'elle ne disparaisse. Aussi ne vous inquiétez pas trop. Ces scorpions ont une grande longévité, mais aussi une très lente croissance. Terrarium: Les Hadogenes sont des scorpions vivant au milieu de rochers (lithophile). On les trouve dans les fissures, d'où leur forme si spéciale, qui ne plait pas à tous le monde. Il faudra donc un terrarium de grande taille, et solide, avec beaucoup de pierres plates (genre ardoise, ou autres). Ces pierres seront elles, posées sur un substrat composé de terre argileuse ou de tourbe sèche, mais surtout pas sur du sable. Pour ce genre de scorpion, les terrariums deviennent vite très lourds, donc faites attention en cas de déplacement. Hygrométrie 30-50%, plutôt sèche avec quand même un abreuvoir à disposition. Dans leur pays d'origine, il ne tombe que très peu d'eau pendant l'année. On peut cependant vaporiser les pierres et les parois du terrarium afin d'abreuver occasionnellement le(s) spécimen(s). Cependant pour les espèces vivantes plus prés de l'équateur (Tanzanie, RD Congo etc...) demandent beaucoup plus d'humidité. On vaporisera plus souvent, et l'on gardera le substrat plus humide. Il est possible de faire cohabiter plusieurs Hadogenes ensemble, cette espèce est considérée comme plutôt sociable et calme. Toutefois il ne faut pas mélanger entre diverses espèces d'Hadogenes et la nourriture doit être en quantité suffisante pour tous les scorpions. Sociabilité: Les Hadogenes sont pour la plupart des scorpions plutôt sociable. On peut garder un couple sans problème. On veillera seulement à isoler le mâle avant une naissance. Le stress du fait de la présence de celui-ci, pourrait avoir comme réaction la mise à mort des pullus par la femelle. La taille de ces scorpions fait que si vous voulez mettre plusieurs couples ensemble, il vous faudra un très grand terrarium. En effet, les rivalités mâle/mâle et femelle/femelle engendre des baguarres souvent invalidantes voir mortelles pour les plus faibles. Pour une meilleur croissance et pour éviter tout canibalisme, les jeunes seront isolés, mis en pot individuellement. Remarque: Les Hadogenes ne sont pas si inoffensif que ça. Certes l'épaisseur du metasoma et la longueur de l'aiguillon montre que la piqûre n'est pas ce qu'il faut craindre le plus, mais ne laisser jamais vos doigts à porter des pinces de ces scorpions. La puissance est telle qu'il peut vous couper jusqu'à l'os. Attention donc ... Fiche extraite de http://bultel.p.free.fr Rédigée par Patrick B. Merci Valko
  10. Voilà toutes les informations spécifiques à cette espèces à mon goût trop peu connue . que j'ai pu trouver. Si vous trouvez d'autres choses n'hésitez pas à les communiquer. Smeringurus mesaensis Nom commun : scorpion dune ou sable scorpion d'or. Famille : vajovidae Origine : Arizona ( puis ) Californie Type : désertique Taille : ou - 13 cm Tempérament : agréssif Nourriture : insectivore Etat civil Vivant dans les dunes de sable d'Arizona , le smeringurus mesaensis fait parti des 95 éspèces de scorpions connues aux Etat-Unis. Leur manque de couleur leur donne une certaine beautée qui na été vu dans aucune autre éspèce de scorpion . Néamoins les varations de la même épèce trouvées en Califorie tendent à être d'une tonalité jaunâtre qui est également attrayante mais la qualité éthérée est perdue. Maintenance Terrarium :L / l / H 80/40/40 ( une fois adulte ) Température : 18 - 20° la nuit et 35°C le jour ( voir 40°C au point chaud car c'est un scorpion très actif lors des fortes chaleurs ) Hygrométrie : 40 à 50% Une bonne épaisseur de sable sera utile ( 20 cm ) .Le seringurus mesaensis est un scorpion creusant des galeries , il faudra donc instaler racines et pierres en quantitée sufisante. NB mélanger 5% de bantonite ( ou terrétanche ) au sable afin de lui donner une consistance sufisament dure ce qui évitera les effondrements. Fiche extraite de http://bultel.p.free.fr Rédigée par Patrick B. Merci Valko
  11. Le genre Centruroides Localisation : Répubique Dominicaine, Cuba, Mexique, Petites Antilles: (Anguilla, Antigua, Barbuda, Guadeloupe, Martinique, St. Barthélemy, St. Martin), Costa Rica, Guatemala, Honduras, Panama, Colombie, Equateur, Venezuela, Bahamas, Cuba, USA, Colombie. Sous-espèces de Centruroides: *Centruroides chiapanensis Hoffmann, 1932 *Centruroides chiapanensis chiapanensis Hoffmann, 1932 *Centruroides chiapanensis tapachulaensis (Hoffmann, 1932) *Centruroides elegans (Thorell, 1876) *Centruroides elegans elegans (Thorell, 1876) *Centruroides elegans edentulus Werner, 1939 *Centruroides elegans insularis Pocock, 1902 *Centruroides elegans meisei Hoffmann, 1938 *Centruroides flavopictus (Pocock, 1898) *Centruroides flavopictus flavopictus (Pocock, 1898) *Centruroides flavopictus meridionalis Hoffmann, 1932 *Centruroides infamatus (C. L. Koch, 1844) *Centruroides infamatus infamatus (C. L. Koch, 1844) *Centruroides infamatus ornatus Pocock, 1902 *Centruroides limpidus (Karsch, 1879) *Centruroides limpidus limpidus (Karsch, 1879) *Centruroides limpidus tecomanus Hoffmann, 1932 *Centruroides margaritatus (Gervais, 1841) *Centruroides margaritatus margaritatus (Gervais, 1841) *Centruroides margaritatus morenoi Mello-Leitão, 1945 *Centruroides nigrovariatus (Pocock, 1898) *Centruroides nigrovariatus nigrovariatus (Pocock, 1898) *Centruroides nigrovariatus baergi Hoffmann, 1932 *Centruroides nitidus (Thorell, 1876) *Centruroides nitidus nitidus (Thorell, 1876) *Centruroides nitidus taino Armas & Marcano Fondeur, 1987 *Centruroides suffusus Pocock, 1902 *Centruroides suffusus suffusus Pocock, 1902 *Centruroides suffusus chiaravigli Borelli, 1915 *Centruroides testaceus (DeGeer, 1778) *Centruroides testaceus testaceus (DeGeer, 1778) *Centruroides testaceus arubensis (Bakker, 1963) L'élevage Note: Les Centruroides sont divisés en deux groupes. Ceux qui vivent dans les endroits chauds et secs, et les autres qui vivent en milieu tempéré et humide. Bien entendu, il faut adapter les conditions d'élevage du scorpion en prenant compte de son habitat d'origine. Température: Les Centruroides vivant en milieu tropical, demandent une température plus constante, en moyenne 24/25°C, que les spécimens vivant en milieu aride. Pour ces derniers, on peut monter jusqu'à 35°C mais à condition de bien faire retomber la température à 20/22°C pour la nuit. Il faut cependant maintenir aux jeunes un bon 30°C, et cela quelques soit leur origine, si l'on veut avoir une bonne croissance des jeunes On remarquera d'ailleurs, que les jeunes s'arrêtent de grandir et ne s'alimentent presque plus en cas de température trop basse. Il est possible que certaines espèces tropicales subissent pendant le "carême", un hivernage alimentaire. Nourriture: Les grillons ainsi que les jeunes criquets font très bien l'affaire. On peut aussi donner des blattes, de petites et moyennes tailles avec plus ou moins de succès. Pour les très jeunes (stade 2), il est possible de donner des drosophiles (Drosophila melanogaster), afin de faire passer les jeunes scorpions au stade supérieur et de pouvoir ensuite, leur donner du micro-grillon. Pour certaines espèces, dans cette famille, ce sont de redoutables chasseurs, qui peuvent attrapper sans problème, une proie aussi, sinon plus grosse qu'eux. Terrarium: Du fait de la grande surface de répartition, le terrarium peut être soit tropical, soit désertique. De manière générale, les espéces tropicales seront maintenues sur un substrat (tourbe ou terre) humide, avec une hygrométrie de 70 à 85%, avec des cachettes mais aussi des branchages ou de grands morceaux de bois, car cesespéces sont d'excellents grimpeurs et se maintiennent trés souvent contre les écorces des arbres. Un abreuvoir est toujours conseillé pour que les adultes viennent se désaltérer.Pour les espéces dites désertiques, le sable ou une terre argileuse est idéal comme substrat. L'hygrométrie nécessaire se situe entre 40 et 55%, mais cela n'empêche pas de vaporiser un coin du terrarium ou de remplir un petit abreuvoir de temps en temps (en moyenne 1 fois par mois). On disposera des pierres ou des écorces pour servir de cachettes. Sociabilité: On peut maintenir des Centruroides (plusieurs couples) ensemble sans trop de dégâts. Bien sûr en cas de manque de nourriture, le cannibalisme reprend trés vite le dessus, les plus petits en feront les frais. Il faut cependant les maintenir dans un bac suffisamment grand et avec assez de cachettes pour tous. On peut même mettre ensemble, des espéces différentes (mais demandant les mêmes conditions d'élevage), comme par exemple C. gracilis et C. margaritatus. Mais il vaut mieux isoler les jeunes afin de les faire grandir à part, puis lorsqu'ils sont suffisamment grand (stade 5), on peut les remettre ensemble. Remarque: Il faut faire trés attention à ce genre de scorpions. Les Centruroides sont des scorpions trés rapides, qui réagissent au moindre déplacement d'air. Certaines de ces espèces (Centruroides noxius, C. infamatus) font annuellement, des centaines de morts au Mexique. Aussi, ils seront réservés qu'à des éleveurs expérimentés et très prudents. Fiche extraite de http://bultel.p.free.fr Rédigée par Patrick B. Merci Valko
  12. Le genre Orthochirus Localisation : Afghanistan, Indes, Pakistan, Djibouti, Somalie, Ouzbékistan, Iran, Turkménistan, Algérie, Egypte, Maroc L'élevage Température: Les Orthochirus sont, pour la plupart, des scorpions vivant en milieu désertique. Ils supportent donc de très fortes températures, mais aussi des périodes avec des températures négatives. Dans nos élevages, les températures devront donc être d'au moins 30°C pour l'été, avec une baisse de température de 10°C minimale pour la nuit, et si possible 15°C pour la période hivernale, avec une baisse nocturne possible à 10°C. Une pause hivernale serait plutôt bénéfique pour ce genre de petits scorpions. Nourriture: Vu la taille des spécimens adultes, en moyenne 3 cm, nous vous conseillons d'utiliser des micro-grillons. Cependant, nous pensons que quelques fourmis peuvent nourrir un Orthochirus, de même que la grosse drosophile noire (D. melanogaster). Pour les jeunes (stade II), les drosophiles de petites tailles (Drosophiles rouges) seront très utiles, on peut aussi essayer de donner des collemboles. Terrarium: Les terrariums seront de types arides, avec une terre grossière, du genre terre ocre du sud de la France, ou un mélange de sable/tourbe (70/30). Ce ne sont pas des scorpions fouisseurs, donc il faut absolument leur mettre des cachettes (pierres, écorces etc..). Pour l'hygromérie, nous conseillons une valeur avoisinant les 20 à 30% pour l'été, et 60% pour l'hiver. évidemment, un point d'eau devra ê;tre mis à disposition de temps à autre (1 x par mois devraist suffir). Il devra être sécurisé, c'est à dire avec du gravier ou des billes d'argile dedans, afin d'éviter les noyades. Sociabilité: La sociabilité de cette espèce laisse quelque peu à désirer, un cannibalisme important ayant été constaé. Il vaut mieux isoler les spécimens adultes et ne les mettre en présence que pour les accouplements. On veillera aux premiers contacts entre le mâle et la femelle au moment des reproductions. Il est quand même possible d'avoir un groupe dans un grand terrarium (20 x 15 minimum), on diminuera le facteur cannibalisme en nourrissant et en abreuvant correctement le groupe. Cependant, il y aura quelques pertes de temps en temps. Remarque: Les Orthochirus commencent à être une espèce que l'on trouve de plus en plus dans les élevages amateurs. O. scrobiculosus et O. innesi sont les espèces le plus couramment rencontrées. Il est quand même nécessaire de signaler que la durée de vie des spécimens adultes est très courte en élevage, ne dépassant rarement 18 mois. Fiche extraite de http://bultel.p.free.fr Rédigée par Patrick B. Merci Valko
  13. Sous espèce de Leiurus : * Leiurus quinquestriatus quinquestriatus (H. et E., 1829) : Soudan, Tchad, Niger, Somalie. * Leiurus quinquestriatus hebraeus (Birula, 1908) : Moyen-Orient, Israël, Liban, Syrie, jusqu'au Qatar et Oman. Température: Vous pouvez apporter à cette espèce une température d'environ 30°C. La nuit descendre à 20-22°C pendant la saison chaude (mai à août), Pour la saison "froide" le maximum sera de 25°C la journée, et de 14°C pour la nuit, si possible. Il n'est pas nécessaire de lui imposer une pause hivernale avec diminution de nourriture. Nourriture: Comme c'est un scorpion de taille correcte, vous pouvez donner des criquets pèlerins qui seront très appréciés, ainsi que les grillons adultes, blattes, scorpions de son espèce ou autres. Les lézards et les petits mammifères sont très vite neutralisés après injection de son venin et serviront de repas pour le mois voir même plus longtemps. Ce scorpion pique à tout les coups sa proie. Pour les jeunes, les micro-grillons seront très bien. Terrarium: Un terrarium sécurisé est absolument obligatoire pour ce genre de scorpion. L' ouverture se fera par le dessus et non par le devant ou un coté. Comme substrat, un mélange de terre argileuse et de sable, ainsi que quelques cailloux lui sera bénéfique. Quelques cachettes suffiront, aussi mettez dans ce terrarium, soit un morceau d'écorce de liège, soit une pierre afin qu'il creuse dessous son terrier où il passera la majeur parti du temps. Le taux d' hygrométrie sera très bas, 30-35% suffiront. Habitué aux grandes sécheresses, ce scorpions puisse l'eau dont il a besoin dans ses proies, aussi il n'est pas nécessaire de laisser à demeure un abreuvoir. Toutefois, lors de la basse saison, il est possible d' humidifié légèrement une partie du terrarium (attention aux mycoses en cas de trop grande humidité). Comme dimension comptez, au minimum, 20 x 20 pour un spécimen et 30 x 20 pour un couple. Sociabilité: Bien que très territoriaux, ces scorpions peuvent cohabiter tant bien que mal entre eux, si la surface du terrarium est assez grande pour cela. Il y aura des pertes au début même s' ils sont bien nourris, et une fois le groupe formé, il sera impossible d'y ajouter un autre spécimen. Bien sur, avec un très grand terrarium (100 x 45, par exemple) la cohabitation se passera beaucoup mieux et il y aura beaucoup moins de perte. Attention, en cas de sous alimentation le cannibalisme sera très fréquent. Remarque: Toute manipulation de cette espèce ne doit se faire qu'en cas d' ABSOLUE nécessité et demandera l' utilisation d' une pince d' au moins 30 cm de long. Ce scorpion est d'une grande rapidité aussi bien en déplacement que lors d' une attaque et n' hésite pas à piquer en cas de dérangement. Note: Je déconseille formellement aux débutants cette famille réputée pour son venin très toxique. Fiche extraite de http://bultel.p.free.fr Rédigée par Patrick B. Merci Valko
  14. Le Scorpion Empereur Description : Il s’agit d’un scorpion vraiment magnifique qui, malheureusement, est victime de son succés puisqu’il est en voie de disparition et placé en annexe 2 de la Convention de Washington. Tous les individus cédés doivent être accompagnés d’un CITES ou d’une facture attestant son origine licite. A taille adulte, ce scorpion peut atteindre la taille de 20cm, avec un corps large et imposant. Il est noir brillant, avec des pinces larges dont il se sert plus que de son dard lorsqu’il est subadulte et adulte. Seuls les jeunes peuvent être un peu vifs et piquer facilement. Cette espèce peut être manipulée, car elle est calme et sociable, cependant, il ne faut pas perdre de vue que la piqûre qu’il peut infliger est très douloureuse. Maintenance : Les scorpions comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’ils ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même s’ils sont plus résistants que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80-90%, et des températures de 20-22°C la nuit et 24-28°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les scorpions ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. De plus, vous ne pourrez éviter que le scorpion aille au contact dangereux voire mortel du chauffage. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. En tout cas, une bonne couche sera utile, dans la mesure où le Pandinus construit un terrier (20cm de substrat est une bonne moyenne). Les Pandinus ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant ils sont crépusculaires et souvent plus actifs la nuit, lorsque tout est calme et qu’ils peuvent sortir de leur cachette. La durée de gestation de la femelle est de 7 à 14 mois, avec 12 à 30 jeunes qui pourront rester plusieurs mois sur le dos de la mère. Ils sont matures vers 1 an. Nourriture : Insectivore (grillons, blattes, criquets), le scorpion peut à priori manger tout ce qui bouge, mais les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : docile Origine : Côte d’Ivoire, Ghana, Togo, Guinée, Nigéria Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 20 cm Esperance de vie : 8 Nourriture adaptée : insectes Fiche d'élevage d'après le site de jungleshop.fr Merci Valko
  15. L'élevage Température: Température de 18 à 25°C avec une perte de 4 à 8°C pendant la nuit, l' hiver descendre si possible vers 10°C. Euscorpius flavicaudis est l' espèce qui vit le plus près de l' homme. On le trouve très souvent dans les maisons, donc ne vous formalisez pas trop pour essayer de lui recréer des température hivernales, il se contentera sans problème de la température de votre logement. Nourriture: Dans son biotope assez humide, la proie la plus courante est le cloporte. Il est d'ailleurs assez courant de trouver ce scorpion au milieu de ses proies favorites. Cependant, en élevage, les grillons de taille relativement moyenne à moyenne grosse, feront l'affaire sans aucun problème. Pour les jeunes, les drosophiles seront nécéssaires, sauf si vous avez la possiblité de donner des bébés grillons. Terrarium: Si vous disposez plusieurs Euscorpius ensemble prévoyez un terrarium de taille moyenne (30x20 pour 10 adultes maxi). Ajoutez aussi des pierres plates les unes sur les autres pour confectionner un pseudo mur, chacun y trouvera sa cache qui deviendra plus tard son territoire. Hygrométrie: de 40 à 80% selon la saison, l'été l'hygrométrie sera plus basse que l'hiver. Ce genre de scorpion ne creuse pas de galerie, le niveau de terreau doit donc être assez peu élevé, 4 cm suffiront. Quelques petites plantes seront très bien venues, ainsi bien sur, qu'un petit abreuvoir peu profond. Sociabilité: C'est le genre de scorpion que l' on peut élever en groupe sans trop de problème, mais attention si jamais la nourriture venait à manquer, les Euscorpius les plus petits feraient vite les frais de cette disette, même passagère, en étant devorés par les plus grand qu'eux. Cependant, la sociabilité entre les jeunes n'est pas bonne du tout. La course à la croissance, les poussent à s'entretuer, les plus forts tuant les plus faibles, et les plus faible mangeant ceux qui mue et sont donc sans défense, même s'ils sont un peu plus gros qu'eux. Remarque: Cette famille assez courante dans en France, surtout pour les sudistes, est pour le moins abandonnée par beaucoup d'éleveurs de l'hexagone au profit d'espèces plus exotiques. Pourtant lorsque vous avez réussit à faire devenir adulte une portée de pullus d'Euscorpius, aucun autre scorpion ne pourra vous poser de problème ... Note: Pour sexer un Euscorpius, on comptera plus sur le dimorphisme sexuel que sur le nombre des dents de peignes. En effet, les mâles possèdent des mains (pinces) et surtout une vésicule beaucoup plus grosses que celles des femelles. Fiche extraite de http://bultel.p.free.fr Rédigée par Patrick B. Merci Valko
  16. HADRURUS ARIZONENSIS Description : Il s’agit d’un scorpion magnifique de petite taille (14cm) : il est jeune brun avec le cephalothorax gris-noir. Il a de petites pinces et une posture cambrée presque permanente, toujours sur ses gardes. Il pique assez facilement, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes individus, et même deux individus d’un couple peuvent être agressifs l’un envers l’autre à un moment ou à un autre. Il est donc conseillé de séparer les individus, même s’il existe des couples pour lesquels cela se passe bien. La piqûre de ce scorpion est douloureuse mais sans conséquences. Maintenance : Les scorpions comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’ils ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même s’ils sont plus résistants que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 50-60%, et des températures de 18-22°C la nuit et 24-30°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Cependant, vous pouvez aussi utiliser une ampoule chauffante (type infrarouge par exemple), en raison du biotope de type désertique d’origine de l’animal ; mais elle doit être hors d’accés. Comme les scorpions ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. De plus, le scorpion irait forcément au contact dangereux voire mortel du chauffage ! En substrat, vous utiliserez du sable fin de type desertique, sur une épaisseur de 20 cm environ , avec des pierres ou des racines (ou vignes) enterrées qui lui permettront de creuser des galeries. Les scorpions ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant ils sont crépusculaires et souvent plus actifs la nuit, lorsque tout est calme et qu’ils peuvent sortir de leur cachette. Nourriture : Insectivore (grillons, blattes, criquets), le scorpion peut à priori manger tout ce qui bouge, mais les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : agressif Origine : Arizona, Nevada Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Desertique Taille adulte : 14 cm Esperance de vie : 20 ans Nourriture adaptée : insectes ATTENTION : les scorpions ne sont pas des créatures inoffensives. Plus encore que la plupart des mygales, il est nécessaire d’être prudent, car certaines espèces peuvent entraîner des symptômes d’envenimation qui ne sont pas à négliger ! De plus, une vingtaine d’espèces (non vendues sur ce site) présentent un caractère particulièrement dangereux, avec des issus fatales. Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des scorpions en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Fiche trouvée sur jungleshop.fr Merci valko
  17. Le genre Hadogenes se compose de : Hadogenes angolensis Lourenço, 1999 Angola. Hadogenes austroafricanusPenther, 1900 Zimbabwe. Hadogenes bicolor Purcell, 1899 Afrique du Sud. Hadogenes bifossulatus Roewer, 1943 Namibie. Hadogenes gracilis Hewitt, 1909 Afrique du Sud. Hadogenes granulatus Purcell, 1901 Bostwana, Mozambique, Zambie Hadogenes gunnigi Purcell, 1899 Afrique du Sud. Hadogenes hahni (Peters, 1862) Namibie. Hadogenes lawrencei Newlands, 1972 Namibie. Hadogenes longimanus Prendini, 2001 Afrique du Sud. Hadogenes minor Purcell, 1899 Afrique du Sud. Hadogenes newlansdi Prendini, 2001 Hadogenes paucidens Pocock, 1896 Rep. Démocratique du Congo Hadogenes phyllodes Thorell, 1876 Afrique du Sud, Namibie. Hadogenes polytrichobothrius Prendini, 2006 South Africa. Hadogenes soutpanbergensis Prendini, 2006 South Africa. Hadogenes tityrus (Simon, 1888) Afrique du Sud, Namibie. Hadogenes trichiurus (Gervais, 1843) Afrique du Sud. Hadogenes troglodytes (Peters, 1861) Afrique du Sud, Botswana, Mozambique, Zimbabwe. Hadogenes zuluanus Lawrence, 1937 Afrique du Sud, Swaziland. Hadogenes zumpti Newlands & Cantrell, 1985 Afrique du Sud, Namibie? Sous espèces d' Hadogenes : Hadogenes trichiurus (Gervais, 1843) * Hadogenes trichiurus caffer Hewitt, 1918 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus gracilioides Hewitt, 1918 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus pallidus Pocock, 1898 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus parvus Hewitt, 1925 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus trichiurus (Gervais, 1843) : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus werneri Fet, 1997 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus whitei Purcell, 1899 : Afrique du Sud. Hadogenes troglodytes (Peters, 1861) * Hadogenes troglodytes dentatus Hewitt, 1918 : Afrique du Sud. * Hadogenes troglodytes letabensis Werner, 1933 : Afrique du Sud. * Hadogenes troglodytes troglodytes (Peters, 1861) : Mozambique, Afrique du Sud.. * Source messcorpions.com
  18. Famille : Hemiscorpiidae. Genre et Espèce : Hadogenes paucidens. Nom vernaculaire : Olive Keeled Flat Rock Scorpion. Origine : Afrique du sud. Congo. Taille : 20 a 22 cm. (8 ½ po.) Terrarium : Il vit au milieu des rochers, un terrarium de type steppique de 10 gallons est très bien, ajoutez 5 cm. (2 po.) De mousse de tourbe, il ne creuse pas de terrier donc les cachettes sont de mises, disposé plusieurs pierres plates. Humidité : Il préfère les endroits secs de 40-60 % d’humidité, vaporisé légèrement les pierres et parois le soir seulement, une a deux fois par mois. Température : 27° C. le jour et de 20° a 22° C. la nuit, une diapause d’une durée de 4 a 6 semaines de 15°a 17° C. est suggérée. Nourriture : Ils mangent des grillons, vers de farine, blattes, lézards, escargots. Il ne faudrait pas trop les nourrir, ils mangent peu, une a deux proies par mois suffisent. Les petits pourrons ce nourrir de micros grillons. Reproduction : Gestation de 18 mois, portée de 20 a 30 pullus, croissance très lente. Sociabilité : Calmes, ils peuvent vivres en couple mais vaut mieux les mètres dans des terrariums individuels. Toxicité du venin : Venin faible, stade 1, il peut causé plus de dégât avec ces fortes pinces. Citation:Les Hadogenes ne sont pas si inoffensif que ça. Certes l'épaisseur du metasoma et la longueur de l'aiguillon montre que la piqûre n'est pas ce qu'il faut craindre le plus, mais ne laisser jamais vos doigts à porter des pinces de ces scorpions. La puissance est telle qu'il peut vous couper jusqu'à l'os. Attention donc ... Lu sur messcorpions.com * Source Scorpus Park - Photo Valko Merci VALKO
  19. les scorpions ont tous un venin il y a 1500 espèces connues de scorpions. il y a seulement une vingtaines d'espèces potentiellement dangereuse pour l’homme. se sont des Buthidae pour la plus part. par ordre alphabétique une liste des scorpions dangereux. Androctonus amoreuxi. Adroctonus australis. Androctonus bicolor aenas Androctonus crassicauda. Androctonus mauretanicus. Buthus occitanus tunetanus. Centruroides exilicauda Centruroides infamatus. Centruroides limpidus. Centruroides noxius. Centruroides sculpturatus. Centruroides suffusus. Leiurus quinquestriatus. Parabuthus transvaalicus. Tithius serrulatus. les stade de dangerosité Sans danger. (Stade 1) Douleur au point de l’inoculation, sensation de brûlure et de fourmillement et engourdissement qui s'estompe en moins de 24 heures. Très douloureux(Stade 2) Douleur au point de l’inoculation, sensation de brûlure et de fourmillement et engourdissement , diarrhée , sueurs et vomissement qui s'estompe en moins de 48 heures. Toxique, ( Stade 3 )- troubles du stade 2 qui s'amplifie accompagnés de problèmes respiratoires et cardiaque avec risque d'altération de la conscience. Très toxique (Stade 4 ) même troubles que le stade 3 accompagné d’insuffisance respiratoire aigu, lutte, humus a la bouche, dysfonction cardiaque, œdème pulmonaire, augmentation de la tension artérielle, accident cérébraux vasculaire, hémorragie interne, état de choc. Hautement toxique, fréquemment mortel(Stade 5) Les mêmes troubles que le stade 4 accompagné d’hyperthermie de 40°C. Convulsions, œdème aigu du poumon, coma. La mort survient dans 10% des cas 24 heures après la piqûre
  20. Vaejovidae Franckeus Soleglad & Fet, 2005* F. Kochi (Sissom, 1991)* F. minckleyi (Williams, 1968)* F. nitidulus (C. L. Koch, 1843)* F. peninsularis (Williams, 1980)* F. platnicki (Sissom, 1991)* F. rubrimanus (Sissom, 1991)* Paravaejovis Williams, 1980 P. pumilis (Williams, 1970) Paruroctonus Werner, 1934 P. ammonastes Haradon, 1984 P. arenicola Haradon, 1984 P. arnaudi Williams, 1972 P. baergi (Williams & Hadley, 1967) P. bajae Williams, 1972 P. bantai (Gertsch & Soleglad, 1966) P. becki (Gertsch & Allred, 1965) P. boquillas Sissom & Henson, 1998 P. boreus (Girard, 1854) P. borregoensis Williams, 1972 P. coahuilanus Haradon, 1985 P. gracilior (Hoffmann, 1931) P. hirsutipes Haradon, 1984 P. luteolus (Gertsch & Soleglad, 1966) P. maritimus Williams, 1987 P. marksi Haradon, 1984 P. nitidus Haradon, 1984 P. pecos Sissom & Francke, 1981 P. pseudopumilis (Williams, 1970) P. shulovi (Williams, 1970) P. silvestrii (Borelli, 1909) P. simulatus Haradon, 1985 P. stahnkei (Gertsch & Soleglad, 1966) P. surensis Willliams & Hardon, 1980 P. utahensis (Williams, 1968) P. variabilis Hjelle, 1982 P. ventosus Williams, 1972 P. williamsi Sissom & Francke, 1981 P. xanthus (Gertsch & Soleglad, 1966) Pseudouroctonus Stahnke, 1974 P. andreas (Gertsch & Soleglad, 1972) P. angelenus (Gertsch & Soleglad, 1972) P. apacheanus (Gertsch & Soleglad, 1972) P. bogerti (Gertsch & Soleglad, 1972) P. cazieri (Gertsch & Soleglad, 1972) P. chicano (Gertsch & Soleglad, 1972) P. glimmei (Hjelle, 1972) P. iviei (Gertsch & Soleglad, 1972) P. lindsayi (Gertsch & Soleglad, 1972) P. minimus (Kraepelin, 1911) P. reddelli (Gertsch & Soleglad, 1972) P. rufulus (Gertsch & Soleglad, 1972) P. williamsi (Gertsch & Soleglad, 1972) Serradigitus Stahnke, 1974 S. adcocki (Williams, 1980) S. agilis Sissom & Stockwell, 1991 S. armadentis (Williams, 1980) S. baueri (Gertsch, 1958) S. bechteli (Williams, 1980) S. calidus (Soleglad, 1974) S. dwyeri (Williams, 1980) S. gertschi (Williams, 1968) S. gigantaensis (Williams, 1980) S. gramenestris (Williams, 1970) S. haradoni (Williams, 1980) S. hearnei (Williams, 1980) S. joshuaensis (Soleglad, 1972) S. littoralis (Williams, 1980) S. minutus (Williams, 1970) S. pacificus (Williams, 1980) S. torridus Williams & Berke, 1986 S. wupatkiensis (Stahnke, 1940) S. yaqui Sissom & Stockwell, 1991 Smeringurus Haradon, 1983 S. aridus (Soleglad, 1972) S. grandis (Williams, 1970) S. mesaensis (Stahnke, 1957) S. vachoni (Stahnke, 1961) Stahnkeus Soleglad & Fet, 2006* S. allredi (Sissom & Stockwell, 1991)* S. harbisoni (Williams, 1970)* S. deserticola (Williams, 1970)* S. polisi (Sissom & Stockwell, 1991)* S. subtilimanus (Soleglad, 1972)* Syntropis Kraepelin, 1900 S. macrura Kraepelin, 1900 Uroctonites Williams & Savary, 1991 U. giulianii William & Savary, 1991 U. huachuca (Gertsch & Soleglad, 1972) U. montereus (Gertsch & Soleglad, 1972) U. sequoia (Gertsch & Soleglad, 1972) Vaejovis C.L. Koch, 1836 V. acapulco Armas & Martin-Frias, 2001* V. bilineatus Pocock, 1898 V. bruneus Williams, 1970 V. carolinianus (Beauvois, 1805) V. cazieri Williams, 1968 V. chamelaensis Williams, 1986 V. chiapas Sissom, 1989 V. chisos Sissom, 1990 V. cisnerosi Saavedra & Sissom, 2004* V. coahuilae Williams, 1968 V. confusus Stahnke, 1940 V. crassimanus Pocock, 1898 V. curvidigitus Sissom, 1991 V. davidi Soleglad & Fet, 2005* V. decipiens Hoffmann, 1931 V. diazi Williams, 1970 V. dugesi Pocock, 1902 V. eusthenura (Wood, 1863) V. flavus Banks, 1900 V. franckei Sissom, 1989 V. galbus Williams, 1970 V. glabrimanus Sissom & Hendrixson, 2005* V. globosus Borelli, 1915 V. gracilis Gertsch & Soleglad, 1972 V. granulatus Pocock, 1898 V. gravicaudus Williams, 1970 V. hirsuticauda Banks, 1910 V. hoffmanni Williams, 1970 V. insularis Williams, 1971 V. intermedius Borelli, 1915 V. intrepidus Thorell, 1876 V. janssi Williams, 1980 V. jonesi Stahnke, 1940 V. kuarapu Francke & Saavedra, 2005* V. lapidicola Stahnke, 1940 V. maculosus Sissom, 1989 V. magdalensis Williams, 1971 V. mauryi Capes, 2001* V. mexicanus C. L. Koch, 1836 V. mitchelli Sissom, 1991 V. monticola Sissom, 1989 V. mumai Sissom, 1993 V. nayarit Armas & Martin-Frias, 2001* V. nigrescens Pocock, 1898 V. nigrofemoratus Hendrixson & Sissom, 2001* V. norteno Sissom et al., 2004* V. occidentalis Hoffmann, 1931 V. pattersoni Williams, 1980 V. paysonensis Soleglad, 1973 V. pequeno Henrixson, 2001* V. pococki Sissom, 1991 V. punctatus Karsch, 1879 V. punctipalpi (Wood, 1863) V. puritanus Gertsch, 1958 V. pusillus Pocock, 1898 V. rossmani Sissom, 1989 V. russelli Williams, 1971 V. setosus Sissom, 1989 V. solegladi Sissom, 1991 V. sonorae Williams, 1971 V. spicatus Haradon, 1974 V. spinigerus (Wood, 1863) V. sprousei Sissom, 1990 V. subcristatus Pocock, 1898 V. tesselatus Hendrixson & Sissom, 2001* V. vaquero Gertsch & Soleglad, 1972 V. viscainensis Williams, 1970 V. vittatus Williams, 1970 V. vorhiesi Stahnke, 1940 V. waeringi Williams, 1970 V. waueri Gertsch & Soleglad, 1972 Vejovoidus Stahnke, 1974 V. longiunguis (Williams, 1969) Source :The Scorpion files
  21. Superstitioniidae Alacran Francke, 1982 A. tartarus Francke, 1982 Sotanochactas Francke, 1986 S. elliotti (Mitchell, 1971) Superstitionia Stahnke, 1940 S. donensis Stahnke, 1940 Troglotayosicus Lourenço, 1981 T. vachoni Lourenço, 1981 Typhlochactas Mitchell, 1971 T. cavicola Francke, 1986 T. granulosus Sissom & Cokendolpher, 1998 T. mitchelli Sissom, 1988 T. reddelli Mitchell, 1968 T. rhodesi Mitchell, 1968 T. sylvestris Francke, 1986
  22. Scorpionidae Bioculus Stahnke, 1968 B. caboensis (Stahnke, 1968) B. cerralvensis Stahnke, 1968 B. comondae Stahnke, 1968 B. cruzensis Stahnke, 1968 B. comondae Stahnke, 1968 B. parvulus Martin-Frias, 2004* Cazierus Francke, 1978 C. alayoni Armas, 1999* C. asper Teruel, 2006* C. chryseus Teruel & Armas, 2006* C. garridoi Armas, 2005* C. gundlachii (Karsch, 1880) C. paradoxus Teruel & Diaz, 2004* C. parvus Armas, 1984* C. politus (Pocock, 1898) C. scaber (Pocock, 1893) C. torrei (Moreno, 1938)* DidymocentrusKraepelin, 1905 D. hasethi (Kraepelin, 1896) D. hummelincki Francke, 1978 D. krausi Francke, 1978 D. lesueurii (Gervais, 1844) D. minor Francke, 1978 D. nitidus (Hirst, 1907) D. trinitarius (Franganillo, 1930) D. waeringi Francke, 1978 Diplocentrus Peters, 1861 D. actun Armas & Palacios-Vargas, 2002* D. anophthalmus Francke, 1977 D. bellator Teruel, 2003* D. bereai Armas & Martin-Frias, 2004* D. churumuco Francke & Ponce Saavedra, 2005* D. chiapasensis Beutelspacher & Armas, 1998* D. coddingtoni Stockwell, 1988 D. colwelli Sissom, 1986 D. coylei Fritts & Sissom, 1996 D. cozumel Beutelspacher & Armas, 1998* D. cueva Francke, 1978 D. diablo Stockwell & Nilsson, 1987 D. ferrugineus Fritts & Sissom, 1996 D. formosus Armas & Martin-Frias, 2003* D. gertschi Sissom & Walker, 1992 D. hoffmanni Francke, 1977 D. jaca Armas & Martin-Frias, 2000* D. keyserlingii Karsch, 1880 D. lindo Stockwell & Baldwin, 2001* D. Lourençoi Stockwell, 1988 D. lucidus Stockwell, 1988 D. luisae Guijosa, 1973 D. magnus Beutelspacher & López-Forment, 1991 D. malinalco Armas & Martin-Frias, 2003* D. maya Francke, 1977 D. mellici Armas, Martin-Frias & Berea, 2004* D. mexicanus Peters, 1861 D. mitchelli Francke, 1977 D. mitlae Francke, 1977 D. montecristo Armas & Martin-Frias. 2000* D. ochoterenai Hoffmann, 1931 D. ornatus Stockwell, 1988 D. peloncillensis Francke, 1975 D. perezi Sissom, 1991 D. rectimanus Pocock, 1898 D. reddelli Francke, 1977 D. roo Armas & Martin-Frias, 2005* D. santiagoi Stockwell, 1988 D. silanesi Armas & Martin-Frias. 2000* D. sinaan Armas & Martin-Frias. 2000* D. spitzeri Stahnke, 1970 D. steeleae Stockwell, 1988 D. taibeli (Caporiacco, 1938) D. tehuacanus Hoffmann, 1931 D. tehuano Francke, 1977 D. whitei (Gervais, 1844) D. williamsi Sissom & Wheeler, 1995 D. zacatecanus Hoffmann, 1931 Heterometrus Ehrenberg, 1828 H. barberi (Pocock, 1900) H. beccaloniae Kovarik, 2004* H. bengalensis (C. L. Koch, 1841) H. cimrmani Kovarik, 2004* H. cyaneus (C. L. Koch, 1836) H. flavimanus (Pocock, 1900) H. fulvipes (C. L. Koch, 1837) H. gravimanus (Pocock, 1894) H. indus (DeGeer, 1778) H. kanarensis (Pocock, 1900) H. keralaensis Tikader & Bastawade, 1983 H. laoticus Couzijn, 1981 H. latimanus (Pocock, 1894) H. liophysa (Thorell, 1888) H. liurus (Pocock, 1897) H. longimanus (Herbst 1800) H. madraspatensis (Pocock, 1900) H. mysorensis Kovarik, 2004* H. nepalensis Kovarik, 2004* H. petersii (Thorell, 1876) H. phipsoni (Pocock, 1893) H. rolciki Kovarik, 2004* H. scaber (Thorell, 1876) H. sejnai Kovarik, 2004* H. serratus (Pocock, 1900) H. spinifer (Ehrenberg, 1828) H. swammerdami Simon, 1872 H. thorellii (Pocock, 1892)* H. tibetanus Lourenço, Qi & Zhu, 2005* H. tristis (Henderson, 1919) H. ubicki Kovarik, 2004* H. wroughtoni (Pocock, 1899) H. xanthopus (Pocock, 1897) Heteronebo Pocock, 1899 H. bermudezi (Moreno, 1938) H. caymanensis Francke, 1978 H. cicero Armas & Marcano-Fondeur, 1987 H. clareae Armas, 2001* H. dominicus Armas, 1981 H. elegans Francke, 1978 H. forbesii Pocock, 1899 H. franckei Stockwell, 1985 H. granti Pocock, 1899 H. jamaicae Francke, 1978 H. monticola (Armas, 1999)* H. nibujon Armas, 1984 H. oviedo (Armas, 1999)* H. portoricensis Francke, 1978 H. pumilus Armas, 1981 H. vachoni Francke, 1978 H. yntemai Francke & Sissom, 1980 Nebo Simon, 1878 N. flavipes Simon, 1882 N. franckei Vachon, 1980 N. grandis Francke, 1980 N. henjamicus Francke, 1980 N. hierichonticus (Simon, 1872) N. omanensis Francke, 1980 N. poggesii Sissom, 1994 N. whitei Vachon, 1980 N. yemenensis Francke, 1980 Oiclus Simon, 1880 O. purvesii (Becker, 1880) Opistophthalmus C. L. Koch, 1837 O. adustus Kraepelin, 1908 O. ammopus Lamoral, 1980 O. ater Purcell, 1898 O. austerus Karsch, 1879 O. boehmi (Kraepelin, 1896) O. brevicauda Lawrence, 1928 O. capensis (Herbst, 1800) O. carinatus (Peters, 1861) O. cavimanus Lawrence, 1928 O. chaperi Simon, 1880 O. chrysites Lawrence, 1967 O. coetzeei Lamoral, 1979 O. concinnus Newlands, 1972 O. crassimanus Purcell, 1899 O. ecristatus Pocock, 1899 O. fitzsimonsi Hewitt, 1935 O. flavescens Purcell, 1898 O. fossor Purcell, 1898 O. fuscipes Purcell, 1899* O. gibbericauda Lamoral, 1979 O. gigas Purcell, 1898 O. glabrifrons Peters, 1861 O. granicauda Purcell, 1898 O. granifrons Pocock, 1896 O. haackei Lawrence, 1966 O. holmi (Lawrence, 1969) O. intercedens Kraepelin, 1908 O. intermedius Kraepelin, 1894 O. jenseni (Lamoral, 1972) O. karrooensis Purcell, 1898 O. keilandsi Hewitt, 1914* O. lamorali Prendini, 2000* O. laticauda Purcell, 1898 O. latimanus C. L. Koch, 1841 O. latro Thorell, 1894* O. lawrencei Newlands, 1969* O. leipoldti Purcell, 1898* O. litoralis Lawrence, 1955 O. longicauda Purcell, 1899 O. lornae Lamoral, 1979 O. luciranus Lawrence, 1959* O. lundensis Monrad, 1937 O. macer Thorell, 1876 O. nitidiceps Pocock, 1896 O. opinatus (Simon, 1888) O. pallipes C. L. Koch, 1842 O. pattisoni Purcell, 1899 O. penrithorum Lamoral, 1979 O. peringueyi Purcell, 1898 O. pictus Kraepelin, 1894 O. pluridens Hewitt, 1918* O. praedo Thorell, 1876* O. pugnax Thorell, 1876* O. pygmaeus Lamoral, 1979 O. scabrifrons Hewitt, 1913* O. schlechteri Purcell, 1898 O. schultzei Kraepelin, 1908 O. setifrons Lawrence, 1961 O. ugabensis Hewitt, 1934 O. wahlbergii Thorell, 1876 O. werneri Lamoral & Reynders, 1975 Pandinus Thorell, 1876 P. arabicus (Kraepelin, 1894) P. bellicosus (L. Koch, 1875) P. boschisi Caporiacco, 1937 P. cavimanus (Pocock, 1888) P. colei (Pocock, 1896) P. dictator (Pocock, 1888) P. eritreaensis Kovarik, 2003* P. exitialis (Pocock, 1888) P. gambiensis Pocock, 1899 P. hawkeri Pocock, 1900 P. imperator (C. L. Koch, 1841) P. magretti Borelli, 1901 P. meidensis Karsch, 1879 P. militaris Pocock, 1900 P. pallidus (Kraepelin, 1894) P. peeli Pocock, 1900 P. percivali Pocock, 1902 P. phillipsii (Pocock, 1896) P. platycheles Werner, 1916 P. pococki Kovarik, 2000* P. smithi (Pocock, 1899) P. viatoris (Pocock, 1890) Scorpio Linnaeus, 1758 S. maurus Linnaeus, 1758 Tarsoporosus Francke, 1978 T. anchicaya Lourenço & Flórez, 1990 T. flavus (Gonález-Sponga, 1984) T. kugleri (Schenkel, 1932) T. yustizi Gonález-Sponga, 1984 Urodacus Peters, 1861 U. armatus Pocock, 1888 U. carinatus Hirst, 1911 U. centralis L. E. Koch, 1977 U. elongatus L. E. Koch, 1977 U. excellens Pocock, 1888 U. giulianii L. E. Koch, 1977 U. hartmeyeri Kraepelin, 1908 U. hoplurus Pocock, 1898 U. koolanensis L. E. Koch, 1977 U. lowei L. E. Koch, 1977 U. macrurus Pocock, 1899 U. manicatus (Thorell, 1876) U. mckenziei Volschenk, Harvey & Smith, 2000* U. megamastigus L. E. Koch, 1977 U. novaehollandiae Peters, 1861 U. planimanus Pocock, 1893 U. similis L. E. Koch, 1977 U. spinatus Pocock, 1902 U. varians Glauert, 1963 U. yaschenkoi (Birula, 1903)
  23. Pseudo-chactidae Pseudochactas Gromov, 1998 P. ovchinnikovi Gromov, 1998
  24. Microcharmidae Akaranocharmus Lourenço, 2004* A. pauliani Lourenço, 2004* Microcharmus Lourenço, 1995 M. cloudsleythompsoni Lourenço, 1995 M. fisheri Lourenço, 1998 M. hauseri Lourenço, 1996 M. jussarae Lourenço, 1996 M. sabineae Lourenço, 1996 Neoprotobuthus Lourenço, 2000*
  25. Iuridae Calchas Birula, 1899 C. nordmanni Birula, 1899 Iurus Thorell, 1876 I. dufoureius (Brullé, 1832)
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