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Armèle

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À propos de Armèle

  • Date de naissance 25/09/1965
  1. Toujours autant d'humour à ce que je vois ! L'humour, c'est comme l'amour, ça aide à travers les moments difficiles et c'est un moteur anti déprime non ? Une aide à la guérison aussi peut être ? Sherlock est hypoactif lui aussi. (mais il ne pèse "que" un peu moins de 7 kilos lui !! lol ) Louve, je vous comprends et adhère totalement à vos propos. j'ai raconté "mon histoire" il y a quelques temps sur ce même forum. L'amour des animaux aide c'est indéniable à se bouger les fesses (pardon) quand on se laisse aller à se morfondre et à s'appitoyer sur son sort. Ca fait des "miracles" que seul, nous n'avons pas le courage de réaliser. Enfin bref courage et ne lâchez jamais.(je vous envois un MP) Lety (je ne suis plus sûre du nom) ; à toi qui te demande si ton style de vie est compatible avec l'adoption : Socrate (berger allemand de 40 kg) a partagé ma vie et mon 2 pièces, puis 3 pièces, puis plus grand 3 pièces et ce pendant 14 ans. Ce qui compte, c'est l'amour que tu donnes à ton chien et les ballades régulières que tu fais avec lui. Il faut juste se lever plus tôt la matin et sortir quand on rentre le soir (ce qui nous fait du bien aussi). Mais tu as tout à fait raison de te poser ces questions, c'est tout à ton honneur. Et par expérience, un gros chien n'est pas plus speed à la maison qu'un petit. Ce qu'il faut c'est les sortir pour qu'ils gambadent. bises à toutes et carpe diem !!!!
  2. Pour commencer un grand merci à Chelsea qui a mis les photos sur le site. Ben oui, ici c'est terrible : trois pov zanimaux malheureux : ça se bat, ça n'a pas d'espace pour se dégourdir les pattes !!! le bagne en effet. Chaque matin, c'est le même rutuel : croquettes pour tous (je ne risque pas d'oublier car Kelly la gourmande se rue vers la porte du débarras où sont stockés les paquets de crocro). Puis c'est Sherlock qui n'a qu'un idée en tête : le jardin. Il sort accompagné de kelly qui après avoir fait son tour revient gratter à la porte. Une fois rentrée elle se rue sur Fuego (le casanier) et la c'est bagarre assurée. Le petit Fuego ne sort pas sans moi : je l'accompagne et il suffit de l'appeler ou de siffler pour qu'il arrive au galop ! un vrai comportement de chien en fait mais il est vrai qu'il tète Kelly depuis son arrivée. Le véto m'a dit qu'en fait il la prenait comme une maman et l'imitait en tout. Miss Kelly a droit à sa ballade sur les sentiers côtiers et à la plage quasiment tous les jours et souvent Sherlock nous accompagne. Bref oui c'est le bagne ici ! 5 000 m2 de terrain, vue imprenable sur la mer, de l'air pur et vivifiant ! On ne regrette pas Le Vésinet et pour cause. Sherlock a dix ans : il a été recueuilli à Rennes errant seul dans la rue. Kelly a été adoptée à Orgeval en setptembre 2005. Fuego est né le 8 juin dernier et est arrivé à la maison le 14 juillet. C'est le seul breton pure souche de la famille ! bises à toutes.
  3. Bonsoir Evelyne Es tu retournée avec Diana pour enlever les fils ? Comment vont tes deux amours ? Je vois qu'ils sont cools dans le canapé tous les deux. bises à la famille et bon courage.
  4. Ce chat m'a donné tellement d'amour que je me suis battue pour aller mieux. Il m'a apaisée. depuis je suis en pleine forme et je suis sure que c'est aussi grace à lui, lui qui m'a choisie pour m'occuper de lui à une époque où je n'arrivais même pas à m'occuper de moi même. Et tu ne te trompes pas en étant sure que c'est ton pépère qui t'a permis d'aller mieux : comme quoi on est bien plus fort quand on est deux et que les rencontres ne tiennent pas du hasard !!! Et finalement l'amour est encore le meilleur carburant pour avancer et c'est bio en plus, alors c'est tout bénéfice. C'est pas beaucoup 8 kg pour un chat ? Sherlock n'en fait que 6.5 ! :RIRE:
  5. Magnifiques tes photos ! et moi qui n'arrive toujours à en mettre une seule de ma petite troupe !!!
  6. Je suis de tout coeur avec toi ; j'espère qu'Elvis va mieux. Courage.
  7. Je suis entièrement d'accord. Et je sais aussi que nos animaux nous aident à nous dépasser. Oui ils nous aident, surtout continuez à sortir votre Louloute ... bon courage à vous. Il y a environ un an, Evelyne rapportait l'exemple d'une toute jeune fille atteinte d'un cancer. Ne pouvant quitter l'hôpital, elle souhaitait plus que tout revoir son chien. Refus de l'administration. Si je me souviens bien, la jeune fille avait alors rédigé une BD parlant de son chien. C'était sa façon a elle de rester en contact avec lui j'imagine. La fin de l'histoire est très triste car la jeune fille est décédée et quelques mois plus tard son chien l'a rejointe atteint du même mal que sa jeune maman. Quel retard en France où l'on a du mal a comprendre le rôle thérapeuthique que peut avoir un animal de compagnie. Il y a vraiment de nombreux cocotiers à secouer dans notre pays.
  8. Merci à toutes pour vos encouragements. Je pense en effet que tous les chiens sont doués d’intelligence (probablement différente selon la race et encore …). C’est, comme pour nous, l’intelligence qui permet l’adaptation. Une anecdote : lorsque j’étais en fauteuil roulant, il m’était difficile d’ouvrir les portes qu’il faut tirer vers soit : et je te cogne la porte dans les repose pieds, et dans les roues … (c’est vrai qu’en France tout est si bien adapté pour les handicapés !) Toujours est-il, que mes compagnons à quatre pattes avaient repéré la difficulté, car Sherlock, mon chat, montait sur le dos de Socrate, mon berger allemand, pour ouvrir ce type de porte dans l’appart. Incroyable non ? Pourtant vrai. Si vous avez un chien, tentez une petite expérience : pour biscuit, montrez la récompense à votre chien en épelant le mot : B I S C U I T Vous verrez que très rapidement il va comprendre et ce quelle que soit l’intonation que vous prendrez. Kelly va direct au placard où ils sont rangés. Vous me direz, vous être un peu fêlé pour épeler les mots à son chien !!! (lol) Ben c’est que le sieur Socrate comprenait tout et que sur certains mots il démarrait au quart de tour. On avait donc avec mon frère commencé pour rigoler à épeler certains mots. Et on a remarqué qu’il avait vite capté notre nouveau langage et démarrait aussi sec dès que dans une conversation on épelait ces mots. Je ne vais pas faire trop long car je suis une pipelette du clavier. Juste pour terminer, je ne suis que quelqu’un d’ordinaire qui a décidé de s’adapter à son nouvel état de corps ce qui a été pour moi l’occasion de découvrir et de laisser s’exprimer mon réel état d’esprit. C’est souvent face à l’obstacle que l’on découvre que l’on peut le passer. Et comme je ne veux pas accorder à ma maladie trop d’importance (elle serait trop contente la saloperie (lol) et pardon Michèle j’ai dit un gros mot, je ne recommencerai plus promis) et bien j’ai décidé de regarder devant et derrière je suis désormais heureuse de voir ce que j’ai pu réaliser. Je me sens libre et libérée, sereine comme je ne l’avais jamais été. Je me suis lancée dans la rédaction d’un « livre » que je souhaite publier et qui traite justement de la possibilité de prendre la maladie positivement avec ce qu’elle offre comme nouvelles perspectives. Et finalement, alors que depuis de très nombreuses années, beaucoup me poussaient à écrire, il aura fallu que je sois au plus mal physiquement pour oser le faire. Bon, j’arrête je fais encore super long là, excusez moi. Non juste pour finir : si aujourd’hui je vois très mal avec mes yeux, je vois tout différemment mais beaucoup mieux. Et je me suis même relancée dans la peinture et le fusain : vous demanderez à Evelyne, je vais lui poster la photo d’une de mes « créations ». Merci Evelyne d’avoir initié ce sujet sur le forum et merci d’avoir parlé de moi sur Europe car tu vois (but non avoué, conscient ou inconscient de ta part mais pleinement atteint) je parle de ma vie et ça me fait du bien. Allez je vais me munir de mon sifflet ultrason pour récupérer mas chéris qui sont en chasse dans le jardin (et comme il y a 5 000 m2 il y a de quoi faire). Oui encore un rêve que ma S……IE m’a permis de réaliser. Osez, croyez en vous, ouvrez votre cœur et beaucoup de bonheur à vous. Bisous de Bretagne. :SMILEY DEVIENT
  9. En 1974, mon père nous a emmenées, ma sœur et moi chez l’un de ses collègues, dont la chienne avait eu une portée. L’un des bébés suivait ma sœur partout. Nous avons fait des pieds et des mains pour retourner les voir et revenir avec l’un des petits. Mon père nous a donc ramené chez son collègue et la même petite dalmatienne est venue vers ma sœur. C’est ainsi que Jenny est revenue avec nous. Elle était formidable et a partagé notre quotidien durant 14 ans. En 1988, j’ai du prendre la décision, en l’absence de ma famille, d’abréger les souffrances de notre Ninie qui est partie à cause d’une torsion de l’estomac. C’est le cœur brisé que je suis rentrée de chez le vétérinaire avec notre Ninie dans un carton. :PLEURE: En juin 1991, ma route a croisé celle d’un tout jeune chiot de un mois. Un seul regard entre nous a suffi. J’ignorai totalement de quelle race pouvait être ce chiot mais je suis rentrée chez moi avec lui. Non sevré, j’ai nourri Socrate au biberon durant quelques temps. Cette petite boule de poils est partie avec mois en vacances par le train en juillet, dans un grand sac de sport (non fermé je vous rassure). Au moment de rentrer de vacances, je suis allée chercher le sac de sport devant la famille hilare. Socrate avait tant grandi en 1 mois qu’il n’entrait plus dans le sac. Il est vrai qu’un berger allemand grandi rapidement. C’est à la fin de cette année 1991 que j’ai commencé à avoir des problèmes de santé : difficultés à la marche, troubles visuels. En mars 1992, le diagnostic est arrivé : j’avais une sclérose en plaques. (SEP) Au fil des ans, la maladie a évolué. Les troubles étaient essentiellement concentrés dans les membres inférieurs. Un jour que j’étais tombée dans mon appartement, j’ai vu Socrate s’allonger à côté de moi, assise par terre. Il a soulevé une première fois ma main avec son museau et je n’ai pas compris. Comme j’avais retiré ma main, il a immédiatement recommencé son geste mais cette fois si je l’ai laissé faire. Socrate a cette fois ci posé main sur son dos et a commencé à se redresser. En fait, il me proposait son aide pour que je prenne appui sur lui afin de me permettre de me relever. C’est ainsi que Socrate s’est adapté à moi, à ma maladie, à mon état de santé fluctuant. De tendance agressive avec ses congénères, il ne l’était pas lorsque j’avais du mal à marcher. En 1996, Socrate a commencé à avoir lui aussi du mal à marché : il faisait en fait une diémiélynéisation : la même chose que moi. Je l’ai fait traité. Lorsqu’en décembre 2004 j’ai eu à subir une intervention chirurgicale, c’est ma mère qui a gardé Socrate. La nuit suivant, elle a passé la nuit dehors avec lui : il était pris de diarrhée. Cette même nuit, à la suite de l’intervention, ma SEP reprenait des forces alors que j’en perdais. J’étais rentrée à la clinique sur mes deux pieds, j’en ressortais avec le côté droit du corps paralysé. L’été 2005, nous sommes partis tous les deux dès le mois de juin en Bretagne. J’étais en fauteuil roulant et Socrate avait beaucoup de difficultés à se déplacer : je lui passais un paréo sous l’arrière train pour le soulager en le soulevant. Cet été là, contrairement aux précédents où nous partions très tôt le matin pour éviter la gendarmerie et que Socrate puisse se livrer à son activité favorite, la course sur la plage et le bain, nous sommes restés tous les deux dans le jardin. Le soir, j’observais le ciel au télescope, Socrate à mes côtés. Une fois, fin juin, je l’ai amené à la plage. Nous avions tellement de mal à nous traîner ! Pour quelques mètres parcourus, crevés, nous sommes restés dans le sable, l’un près de l’autre un très long moment : je savais, et suis persuadée que lui aussi savait, que c’était la dernière fois. Mais je ne voulais pas que mon meilleur ami, celui grâce à qui j’ai eu de longues périodes de rémission, celui pour et par qui j’avais la volonté de marcher, je voulais qu’une dernière fois ce magnifique compagnon puisse profiter de cette plage qu’il aimait tant. Le 8 Août 2005, l’état de santé de Socrate s’est dégradé et pour la première fois il a pleuré de douleur. Mon père nous a accompagné chez le véto qui suivait Sosso depuis plusieurs années et c’est à même le sol, mon chien dans les bras que nous avons attendu, et que Socrate s’est endormi pour toujours, rejoignant les étoiles que j’aime tant observer. :PLEURE: Je suis seule rentrée en septembre au Vésinet. Sherlock, notre compagnon félin recueilli dans les rues de Rennes en octobre 1996 a compris que son chien ne reviendrait pas. Il pleurait chaque jour devant la porte jusqu’à ce que …. Jusqu’à ce que le 20 septembre je rentre d’Orgeval avec Kelly. Une semaine plus tôt j’étais en effet allée au refuge où Evelyne me présenta Kelly. Cette petite cocker était dans son box avec ses trois bébés. Elle a guéri Sherlock de sa déprime. Et alors que j’étais allée la chercher en fauteuil roulant, c’est en me déplaçant avec une canne que je suis retournée deux mois plus tard avec elle à Orgeval. Aujourd’hui, nous vivons en Bretagne. Si je n’ai plus recours à mon fauteuil depuis le mois de mai j’ai en revanche perdu la vue durant deux mois cet été. A ce jour, j’ai une grosse déficience visuelle mais Kelly et moi allons à la plage qu’elle adore et qui est à 200 mètres de la maison. Lorsque nous nous aventurons sur des sentiers que je ne connais pas, pas de risque de m’égarer : Kelly, qui jusqu’ici n’aboyait jamais a adopté un code d’aboiement : je sais quand quelqu’un de connu arrive, idem pour un inconnu mais surtout, si je m’égare, la miss s’arrête et aboie (encore un différent) pour que je la localise et ce jusqu’à ce que j’arrive à ses pieds. Même chose lorsque je l’appelle et qu’elle est déjà à les pieds ! elle se manifeste en me donnant un petit coup de patte pour me signifier qu’il est inutile de l’appeler. Le 14 juillet, nous avons adopté un nouveau minet : Fuego. J’ai équipé la petite équipe d’un collier avec clochette afin de les localiser. Chaque matin, ils partent ensemble se ballader dans le jardin. Lorsque mon état me le permet, je les suis. Dans le cas contraire, il me suffit d’ouvrir la porte et de les appeler pour qu’ils rentrent. Même le petit Fuego répond à son nom et rentre lorsque je l’appelle. Voilà notre histoire : mes amis à quatre pattes m’ont fait me surpasser à de nombreuses reprises et se sont adaptés à l’évolution de ma maladie. :CONTENT: Plus que de l’instinct, je pense que l’on peut parler d’intelligence, tant chez le chien que chez le chat. Parceque sur quatre animaux, je n’en ai pas un qui ne se soit montré extraordinaire. Vertu thérapeutique de l’animal de compagnie : c’est aussi un thème qui à mon sens mériterait d’être étudié par la médecine. Merci à ceux qui auront eu la patience de lire ce témoignage jusqu’au bout et pardon pour la longueur ! Juste le mot de la fin : nous coulons des jours heureux et profitons pleinement de chaque instant dans un cadre magnifique, face à la mer. Bon vent à tous et carpe diem !
  10. Je suis allée voir... mais visiblement, ça n'a pas bien marché Non en effet au dernier moment j'ai fait une fausse manip et tout le texte est parti. Trop fatiguée pour recommencer aujourd'hui, je le ferai demain. :CLAVIER LUNETT
  11. :ROUGECOLERE: j'y crois pas : deux heures que je tapais (avec pauses) sur le sujet, une fausse manip et hop, tout est parti je ne sais pas où. Je recommence plus tard. :CLAVIER LUNETT
  12. :ROUGECOLERE: j'y crois pas : deux heures que je tapais (avec pauses) sur le sujet, une fausse manip et hop, tout est parti je ne sais pas où. Je recommence plus tard. :CLAVIER LUNETT
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