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Tout ce qui a été posté par Chance-reptil-virus
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la recette de la realisation d un plafond chauffant
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de Baaz1 dans Bricolage
je rejoins bar-neck sur le sujet, si tu regarde bien dans la nature quand il fait chaud, le sol est souvent plus chaud que l'air!Ce qui est exactement reproduis par un chauffage au sol Très bon Topic Baaz Exemple à suivre. Je viens seulement de voir vos réponses Bar-Neck et Pituophil. Crowley a bien résumé ce que je pense du chauffage par le sol. On peut chauffer par le sol mais il faut absolument une zone chaude et une zone froide. Cela n'est pas toujours le cas, hélas. Depuis les 15 dernières années, j'ai observé de nombreux cas de décès à cause de chauffage par le sol ainsi que bon nombre de problèmes de santé. Pourquoi ? Tout simplement car beaucoup oublie qu'un sol doit conserver un certain taux d'humidité. La chaleur par le sol assèche les organes des serpents, et à long terme peut créer de lourdes pathologies qu'on ne décèle hélas qu'à la mort de ceux-ci. Présence de fécalomes, constipation ou obstruction (assèchement des matières fécales dans le tube digestif), insuffisance rénale, déshydratation, mauvaise mue, rétention d'oeufs, anorexie, etc ... etc ... etc ... Dans la nature, le jour, le sol en surface est chaud et sec mais humide en profondeur et la nuit il est frais et humide. Il faut savoir reproduire cela en terrarium pour éviter d'éventuelles pathologies. Certains ne s'occupent absolument pas de ces paramètres et n'hydratent pas du tout le sol dans leur terra sous prétexte que leurs serpents sont désertiques ou semi désertiques.... Et pourtant, qu'un serpent soit fouisseur, terrestre ou désertique, il lui faut absolument de l'eau et de l'humidité pour vivre. Voilà pourquoi je ne suis pas une adepte du chauffage par le sol. -
"L'Atlas de la terrariophilie" est un livre pour bien débuter mais il n'est pas assez complet et un peu trop généraliste. Certaines données sont écrites à titre "indicatif", donc, elles ne peuvent pas être suivies à "la lettre" sous peine de faire des erreurs dans la maintenance et l'élevage des serpents. Quand on veut des infos précises sur une espèce en particulier, il faut faire des recherches supplémentaires. (Revues, livres spécialisés, sites, éleveurs ...). Cela dit c'est un livre à avoir sous la main.
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Un désert plein de vie Michel R.Tarrier et Michel Aymerich, tous deux naturalistes passionnés de la diversité de l'écosystème marocain, explorent à travers ce livre la richesse de notre patrimoine saharien et ce afin d'encourager tout un chacun à le préserver. Une division en parties rend l'ouvrage particulièrement clair. Ainsi, après une introduction rappelant la particularité et les spécificités de la zone concernée, il est d'abord question d'espèces animales. Scorpions, araignées, serpents, ou encore hyènes et chats du désert, autant d'espèces étudiées et magnifiquement illustrées par des photographies impressionnantes. La deuxième partie est consacrée à des espaces bien spécifiques tels que le parc national de Dakhla, l'embouchure du Drâa, le lac Iriki, ou encore l'oued Mird. Enfin la dernière partie est consacrée à la palmeraie marocaine avec une étude pour le moins originale des papillons présents dans les palmeraies. La faune saharienne est parmi les plus riches d'Afrique du Nord. Pourtant, elle est aussi l'une des plus menacées, car l'on ne prend pas assez en considération l'importance de sa biodiversité. Après dix ans de travail, particulièrement intense en 2006 année de désertification, Michel R. Tarrier et Michel Aymerich nous offrent là une œuvre bien fournie et illustrée. La parution de l'ouvrage en cette année 2010 consacrée à la biodiversité nous rappelle assurément à quel point il est temps d'agir pour préserver un patrimoine dont la richesse naturelle n'a pas de prix.
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Epicrates cenchria cenchria
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de manice11 dans Vos P'tits Virus
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un lezard ne sachant pas lezarder n'est pas un lezard!!!
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de virgo11 dans Vos P'tits Virus
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Snake Venom Tells Tales About Geography
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
Snake Venomics of the Lancehead Pitviper Bothrops asper: Geographic, Individual, and Ontogenetic Variations Alberto Alape-Girn†‡, Libia Sanz§, Jos Escolano§, Marietta Flores-Daz†, Marvin Madrigal†, Mahmood Sasa† and Juan J. Calvete*§ Instituto Clodomiro Picado, Universidad de Costa Rica, San Jos, Costa Rica, Departamento de Bioqumica, Escuela de Medicina, Universidad de Costa Rica, San Jos, Costa Rica, and Instituto de Biomedicina de Valencia, C.S.I.C., Jaume Roig 11, 46010 Valencia, Spain Abstract We report the comparative proteomic characterization of the venoms of adult and newborn specimens of the lancehead pitviper Bothrops asper from two geographically isolated populations from the Caribbean and the Pacific versants of Costa Rica. The crude venoms were fractionated by reverse-phase HPLC, followed by analysis of each chromatographic fraction by SDS-PAGE, N-terminal sequencing, MALDI-TOF mass fingerprinting, and collision-induced dissociation tandem mass spectrometry of tryptic peptides. The two B. asper populations, separated since the late Miocene or early Pliocene (8−5 mya) by the Guanacaste Mountain Range, Central Mountain Range, and Talamanca Mountain Range, contain both identical and different (iso)enzymes from the PLA2, serine proteinase, and SVMP families. Using a similarity coefficient, we estimate that the similarity of venom proteins between the two B. asper populations may be around 52%. Compositional differences between venoms among different geographic regions may be due to evolutionary environmental pressure acting on isolated populations. To investigate venom variability among specimens from the two B. asper populations, the reverse-phase HPLC protein profiles of 15 venoms from Caribbean specimens and 11 venoms from snakes from Pacific regions were compared. Within each B. asper geographic populations, all major venom protein families appeared to be subjected to individual variations. The occurrence of intraspecific individual allopatric variability highlights the concept that a species, B. asper in our case, should be considered as a group of metapopulations. Analysis of pooled venoms of neonate specimens from Caribbean and Pacific regions with those of adult snakes from the same geographical habitat revealed prominent ontogenetic changes in both geographical populations. Major ontogenetic changes appear to be a shift from a PIII-SVMP-rich to a PI-SVMP-rich venom and the secretion in adults of a distinct set of PLA2 molecules than in the neonates. In addition, the ontogenetic venom composition shift results in increasing venom complexity, indicating that the requirement for the venom to immobilize prey and initiate digestion may change with the size (age) of the snake. Besides ecological and taxonomical implications, the geographical venom variability reported here may have an impact in the treatment of bite victims and in the selection of specimens for antivenom production. The occurrence of intraspecies variability in the biochemical composition and symptomatology after envenomation by snakes from different gegraphical location and age has long been apreciated by herpetologist and toxinologists, though detailed comparative proteomic analysis are scarce. Our study represents the first detailed characterization of individual and ontogenetic venom protein profile variations in two geographical isolated B. asper populations, and highlights the necessity of using pooled venoms as a statistically representative venom for antivenom production. Source : http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/pr800332p -
Snake Venom Tells Tales About Geography ScienceDaily (July 15, 2008) — Just as people give away their origins by that southern drawl or New England twang, poisonous snakes produce venom that differs distinctly from one geographic area to another, the first study of the "snake venomics" of one of the most common pit vipers in Latin America has found. Scientists are reporting that venom of snakes, such as the Bothrops asper from Costa Rica, could differ based on geographical regions, an important finding in the production of antivenom. (Credit: Courtesy of Mahmood Sasa) In the new study, Juan J. Calvete and colleagues point out that researchers have known for decades that venom collected from snakes of the same species from different geographic locations can differ in terms of their biological effects and symptoms on snakebite victims. However, scientists know little about the chemical differences behind these geographically different venoms. To find out, the scientists collected venom samples from adult and newborn specimens of the lancehead pitviper from two geographically isolated populations from the Caribbean and Pacific regions of Costa Rica. After a detailed laboratory analysis of the proteins found in the venom -- so-called "snake venomics" -- the researchers found major differences in the venoms collected from the two regions. They also found distinct differences in proteins collected from newborns and adult snakes. The study "highlights the necessity of using pooled venoms as a statistically representative venom for antivenom production" for human snakebite victims, the report states. Source : http://www.sciencedaily.com/releases/2008/07/080714092718.htm
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Le caméléon chasse même à froid C.V. Anderson La fraîcheur qui normalement ralentit les reptiles n’empêche pas le caméléon de lancer sa langue élastique et ultrarapide. Gare au petit-déjeuner du caméléon… Même dans la fraîcheur du matin, les insectes ne sont pas à l’abri d’un redoutable coup de langue les projetant dans la gueule du caméléon. En effet, alors que les reptiles ont besoin de se réchauffer au soleil pour récupérer toute la puissance de leurs muscles, la langue du caméléon fonctionne même lorsque la température descend autour de 15°C. Une telle température paraît clémente pour un mammifère mais elle ralentit ou immobilise des reptiles qui dépendent de la chaleur du soleil pour se mettre en mouvement, expliquent Christopher Anderson et Stephen Deban (University of South Florida, Etats-Unis). Les performances des animaux ectothermes (dont la température du sang varie et dépend du milieu extérieur) diminue de plus de 30% lorsque le mercure baisse de 10°C, précisent les deux biologistes. Catapulte Curieusement, les caméléons vivent dans des milieux où les températures connaissent d’importantes variations. Anderson et Deban ont donc testé les capacités de détente de la langue de cinq caméléons (Chamaeleo calyptratus) à différentes températures, dans une pièce où un insecte était suspendu à une ficelle. Les chercheurs ont utilisé une caméra ultra-rapide pour capter les images de ce missile lancé à une vitesse supérieure à 20 km/h. Une équipe hollandaise avait démontré en 2004 que la langue du caméléon passe de 0 à 6 mètres par seconde en seulement 20 millisecondes. (voir une vidéo sur le site de Stephen Deban) Le muscle de la langue ne suffit pas pour fournir une telle accélération. Il est aidé par une sorte de catapulte, un tissu élastique de collagène situé entre l’os et le muscle de la langue, avait montré l’équipe de Jurriaan de Groot (Université de Leyde, PB). Or, contrairement aux muscles, ce tissu ne dépend pas des températures extérieures pour fonctionner, expliquent Anderson et Deban. Leurs tests révèlent que la détente de la langue du caméléon fonctionne toujours bien à basse température, même si la vitesse globale de cette arme de chasse diminue, le muscle étant moins performant pour ramener la proie. La vitesse de pointe et la puissance perdent 10 à 19% avec une baisse de 10°C, ont calculé les chercheurs américains, contre 42% pour une langue propulsée uniquement par un muscle. Le caméléon n’est donc pas obligé d’attendre que le soleil le réchauffe pour prendre son petit-déjeuner… Ces travaux sont publiés cette semaine dans les Proceedings of the National Academy of Sciences. Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/vivant/20100310.OBS9371/le_cameleon_chasse_meme_a_froid.html
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Je suis allée me promener
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de Marie-Laure1111 dans Vos P'tits Virus
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Je suis allée me promener
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de Marie-Laure1111 dans Vos P'tits Virus
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Je suis allée me promener
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de Marie-Laure1111 dans Vos P'tits Virus
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Je suis allée me promener
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de Marie-Laure1111 dans Vos P'tits Virus
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ca commence a etre chaud chez les pituo(ponte.....enfin)
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de pituophil11 dans Vos P'tits Virus
Super, une première pour tes pituo, j'espère que ta femelle te fera un tas de Parfois l'accouplement chez les pituophis est assez violent, morsures nombreuses au niveau du cou de la femelle. Dès que tu vois que ta femelle est pleine essaie de la séparer du mâle pour qu'elle soit bien tranquille. Donne nous régulièrement de leur nouvelles. @+ -
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un lezard ne sachant pas lezarder n'est pas un lezard!!!
Chance-reptil-virus a répondu à un(e) sujet de virgo11 dans Vos P'tits Virus
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