Chance-reptil-virus

C'est vrai qu'elle est super gentille et très belle. Moi aussi je l'adorais. On s'y attache très vite à ces Rhaco, c'est fou !!! Je ne sais pas s'ils ont tous le caractère que cette femelle a ? C'est bien la première fois que je vois un lézard aussi gentil. Bonne continuation et donne des nouvelles. @+

Salut Arsinoë, Ils sont tous très beaux Elle va bien la p'tite "Rhacotte" ? Pas trop traumatisée ? Elle est si jolie, elle me manque A très bientôt.

Salut Lucas, Il est sûr que si Calloselasma rhodostoma est plutôt du genre "faux placide" j'imagine qu'un certain nombre de passionnés ont dû être mordus. On ne se méfie jamais assez. C'est un peu comme la Bitis en fait. Placide mais peut mordre en un éclair. Ces personnes mordues ont elles eu de graves séquelles? Pour les Najas, si je le pouvais, je n'élèverais que ça. Je suis vraiment dingue de ce serpent. Il est majestueux !!! Plus tard peut-être. Je sais que les venimeux sont tous dangereux mais en les voyant si beaux, on en se doute pas un instant de la façon dont ils peuvent être quand ils sont prêts à mordre. Je me doute qu'étant seul dans ta pièce d'élevage tu ne peux pas prendre le risque de faire des photos. Mais si toutefois, et sans prendre de risques inutiles, tu peux en prendre quelques-uns en photos lors du nourrissage, pourquoi pas. Cela sera très intéressant. J'aime beaucoup à apprendre sur ces serpents fascinants et je n'aurais jamais assez d'une seule vie pour en apprendre un maximum. Encore merci à toi.

Salut Maxence, Je n'ai pas encore trouvé pour la ponte de la femelle. Mais je cherche. Je vais sur les sites chinois et pas évident à traduire @+

Salut Lucas, Merci pour toutes ces précisions, c'est sympa. Je connais très mal Calloselasma rhodostoma, mais c'est un serpent particulièrement beau. Après les Najas ^^ Pourrais-tu prendre des photos de tes snakes quand justement ils sont prêts à l'attaque? Pour montrer qu'un venimeux est très dangereux. On ne se rend pas bien compte du danger que ces beautés représentent. J'adorerais voir tes bêtes en vrai. Ainsi que ta pièce d'élevage. Un jour peut-être ... Qui sait ? A très bientôt.

Salut Maxence, J'ai trouvé peu de choses sur Aularchis miliaris. Espèces Aularches miliaris (Linnaeus, 1758) Autres noms synonymes: > conspersus (Houttuyn, 1813) > punctatus (Drury, 1773) > scabiosus (Fabricius, 1793) > verrucosus (De Geer, 1773) Aularchis miliaris est un hôte de maïs, de riz, de canne à sucre et l'herbe des pâturages, de mangues, de l'exclusion de palme, de noix de coco, de châtaigniers, Casuarina, Liquidambar, thé, anis étoilé, Palm, Keteleeria, pin, sapin, eucalyptus, la fumée de bois , Ailanthus altissima et d'autres cultures, arbres fruitiers et les forêts. Taille : 37—48 mm Oeufs : 0,75 mm long, de forme ovale, noir. Les larves : longueur du corps à la fin du 22-26mm. A priori et après recherches, tu peux mettre ton couple dans un exoterra ou fauna-box. Substrat : 10cm de tourbe. Température : 23 à 25° mais peut aller jusqu'à 28°. Nourriture: Ronces + ce qui est cité plus haut. L'humidité doit rester faible. La lumière est nécessaire, elle doit être assez vive et rester allumée 14H par jour. Reproduction: Quand ils sont adultes (insectes ailés), introduire un pondoir dans la boite d'élevage. Il est constitué d'un récipient d'environ 15cm de profondeur rempli d'un substrat humide constitué de terreau. La femelle forme de 5 à 10 oothèques contenant chacune environ 40 oeufs pendant sa vie d'adulte. Le pondoir est changé périodiquement, il est alors mis dans un endroit chaud (30°C) pour que l'incubation des œufs se poursuive. Elle dure souvent plus de trois semaines. A la naissance, les larves sont regroupées dans une autre petite boite. Voilà, c'est tout ce que j'ai trouvé, j'espère que cela va t'aider un peu. A très bientôt.

Salut Lucas, Encore de superbes photos Je suis totalement en admiration devant ton jeune Naja siamensis. Ce serpent je l'adore. Des yeux bien ronds, noirs, sa coiffe ou capuchon est superbe. Très beau juvénile. Mon rêve > une salle remplie de Naja de toutes espèces. Tes Macrovipera sont également très jolies mais j'aime un peu moins ce genre de serpent. Deux ont mangés, c'est un bon début. Tu leur donnes quoi comme proie ? En ce qui concerne ton C.rhodostoma, c'est une vraie beauté. Un bijou. On ne peut rien dire de plus. Comment est il niveau caractère ? Je serais intéressée de le savoir. Merci pour ces photos, un vrai régal !!! A très bientôt.

Salut, J'ai recadré tes photos. Sur la 1ère photo, les pattes sont très écartées et sur la 2ème les pattes ne sont pas très écartées. Pas évident de bien voir si il y a un mâle. Ils sont jeunes. Regarde ces deux photos et tu pourras vraiment comparer: Femelle EM Mâle EM Le mâle E.M se distingue par une taille sensiblement plus petite, mais surtout par la présence des loges proéminentes contenant les hémipénis, juste sous le cloaque. La femelle a un cloaque standard. Chez tes EM, cette différence au niveau du cloaque est très peu marquée. Pour moi, il est fort possible que tu aies bien 2 femelles. On verra un peu mieux quand ils auront 5 ou 6 mois. Là, ils sont vraiment trop jeunes. A moins de les faire sexer par éversion manuelle des hémipénis. Si tu connais une personne qui sait le faire, voit avec elle. Là, au moins, tu seras sûr. A très bientôt.

Ah ? Il faudra que tu nous trouves l'article Rafi. Ce serait intéressant.

Salut, C'est vrai que le terra est petit. Il faudrait y mettre un arachnide. Là, serait la solution.

Cet Article m'a bien plut et j'ai voulu vous le faire partager. Ce qui est fou dans cette histoire et encore incompréhensible pour l'homme, c'est que l'insecte infecté par ce ver soit irrésistiblement attiré par l'eau. Jusqu'à s'y plonger totalement et y mourir. Comment un parasite peut-il arriver à convaincre "le cerveau" ou plutôt "les sens" d'un insecte jusqu'à le pousser vers l'eau où lui a besoin de se reproduire et où l'insecte mourra ? C'est très étrange et très intéressant à la fois. Je ne sais si chez nous autres les humains, un tel parasite pourrait nous pousser à commettre un acte similaire : un genre de "suicide", enfin "d'auto- destruction". J'aimerais assez en savoir plus sur d'autres cas semblables. Je vais encore chercher.

Les grillons « poussés au suicide » par un ver parasite Nemobius sylvestris - Le Grillon des bois. Photo extraite de Google. Dans de nombreuses associations hôtes-parasites, les hôtes infectés présentent des différences de comportement ou de morphologie marquées, comparés aux individus sains. Ces modifications du phénotype hôte sont souvent adaptatives pour le parasite car elles augmentent la probabilité que ce dernier soit transmis d’un hôte à un autre, ou que ses stades infestant soient libérés dans un habitat favorable. Pour cette raison, on parle de manipulation parasitaire(1). Les scientifiques de l’équipe « évolution des systèmes symbiotiques »(2) tentent de percer les mystères des nématomorphes, vers parasites (environ 300 espèces réparties sur la planète) dont la biologie reste encore mal connue. Ces vers sont parasites seulement à l’état larvaire ; au stade adulte, ils mènent une vie libre dans les ruisseaux et rivières. La principale fonction des nématomorphes adultes est de rechercher un partenaire sexuel et de se reproduire. Chaque femelle produit plusieurs millions d’œufs puis meurt. De ces œufs sortiront des larves capables d’infecter directement ou indirectement (utilisation d’un hôte intermédiaire) des insectes hôtes, surtout des orthoptères (grillons et sauterelles). SÉQUENCE COMPORTEMENTALE ILLUSTRANT LE " SUICIDE " DU GRILLON DES BOIS (NEMOBIUS SYLVESTRIS) SUIVI DE L'ÉMERGENCE DU PARASITE PARAGORDIUS TRICUSPIDATUS. « Images tirées du documentaire « Le Manipulateur » copyright VB Films - satourne@club-internet.fr » Cette séquence comportementale peut être visualisée en film à l’adresse suivante : http://www.blackwell-science.com/products/journals/suppmat/Jeb/Jeb410/Jeb410sm.htm Au cours de leur développement dans l’hôte, les nématomorphes passent en quelques semaines d’un stade microscopique à un ver gigantesque comparé à la taille de l’hôte. Arrivés à maturité, les nématomorphes doivent impérativement rejoindre l’eau pour se reproduire. Les scientifiques ont montré expérimentalement que ces parasites manipulaient le comportement des insectes hôtes (au moins chez neuf espèces d’orthoptères) obligeant ces derniers à se « suicider » en se jetant à l’eau. Photo de Nématomorphes - Paragordius tricuspidatus. Photo extraite de Google. À la suite de cette modification spectaculaire du comportement de l’hôte, il y a émergence du parasite dans l’eau. Dans le sud de la France, les « suicides » du grillon des bois (Nemobius sylvestris) ont lieu en juillet alors que ceux des huit autres espèces d’orthoptères ont lieu aux mois d’août et de septembre. Tout aussi intéressant, on assiste dans la même région à des suicides d’araignées infectées par des nématodes de la famille des mermithidés. Les mermithidés, bien que phylogénétiquement distincts des nématomorphes, évoluent sous des contraintes écologiques similaires. En effet, après s’être développés dans un arthropode terrestre (insecte ou araignée), ils doivent aussi rejoindre le milieu aquatique pour leur reproduction. La similarité des troubles comportementaux qu’ils induisent chez leurs hôtes doit être considérée comme une convergence évolutive. Les mécanismes exacts de cette manipulation parasitaire sont encore mal compris. Sur la base des expériences menées en laboratoire, il ne semble pas que les insectes infectés soient véritablement attirés par l’eau, au moins à longue distance. Il semblerait plutôt que les insectes infectés par un ver mature développent un comportement erratique et ne réagissent plus à certains stimuli synonymes de danger comme l’eau. Sachant que les forêts dans lesquelles ce système hôte-parasite évolue sont truffées de ruisseaux, une telle modification de comportement conduirait tôt ou tard l’insecte infecté à rejoindre le milieu aquatique. Les recherches à venir porteront sur l’identification du ou des mécanismes par lesquels ces parasites manipulent le comportement de leurs hôtes. Un dossier entièrement consacré au parasitisme est disponible sur le site presse du CNRS à l’adresse suivante : http://www.cnrs.fr/Cnrspresse/n385/n385.htm Voir CNRS Info n° 385, juillet 2000. Référence : • Thomas, F., Schmidt-Rhaesa, A., Martin, G., Manu, C., Durand P. & Renaud F. 2002. Do Hairworms (Nematomorpha) manipulate their terrestrial host to seek water ? Journal of Evolutionary Biology. 15 : 356-361.[/center]

Salut, Pour tes EM, ils n'ont que deux mois et demi, donc, pour l'instant, il est très difficile de dire si tu as un mâle et une femelle. Qu'est ce qui te fais dire que tu possèdes un mâle? Dimorphisme sexuel chez EM > Les pores pré-cloaquaux du mâle sont apparents, à la base de sa queue ses hémipénis forment un renflement. Ces différences ne sont pas marquées chez les jeunes. Maturité: Au cours de la première année. Une femelle fécondée si jeune peut y perdre la vie. Accouplement > La saison hivernale passée, les EM se reconnaîtront mutuellement par leur système olfactif (organe de Jacobson). Le mâle enserre la femelle réceptive, lui mord la nuque (parfois le dos) et s'aide de ses pattes postérieures pour rendre son cloaque accessible à l'un de ses deux hémipénis. Peux-tu poster des photos de leur entre-jambe au niveau du cloaque, queue, cuisse? Mais pour l'instant, il me semble un peu tôt pour déterminer leur sexe. D'autres membres te donneront leurs avis. Plusieurs avis valent mieux qu'un. A très bientôt.

Salut Andreyt, Pour ton Crotaphytus collaris, Son substrat doit être constitué de sable fin (de préférence calcique). Je ne pense pas que le sable de tes gerbilles soit bon pour lui. Il me semble préférable d'en acheter d'autre. Un sable fin calcique pour lézard.

Salut Christounet, Fais bien tes recherches. Regarde bien les petites annonces sur les Forums. Peux-tu aller à la bourse de l'AFT ? Bourse de l'AFT qui aura lieu au: COMPLEXE MARCEL PAGNOL Rue de BERRY NEUILLY SUR MARNE 93330 Dates: Samedi 18 octobre après midi et le dimanche 19 octobre 2008 Adresse mail : bulletinaft@yahoo.fr Là, je pense que tu trouveras des Pogonas. Et les prix seront raisonnables. Tu peux essayer d'envoyer un mail pour voir ce qu'ils auront comme bêtes. A très bientôt.

Comme écrit dans le texte : « Cette grenouille a un futur morose et c’est entièrement de notre faute » d’après Bickford. « Il est de notre responsabilité d’essayer de remédier à la situation. » On reconnait que c'est la faute de l'homme si cette surprenante grenouille va disparaitre mais que faisons-nous vraiment pour changer cela ? L'homme détruit et s'auto-détruit. L'homme aussi a un "futur morose" et c'est bien fait pour lui.

Salut Nicolas, Je pense que ton terra est vraiment trop petit pour maintenir un lézard. Il vaudrait mieux que tu aies une dendrobate, voir même un couple de petite taille. Bien planté, il fera super. Pour Holaspis guentheri, comme ce lézard est strictement arboricole, il est préférable de prévoir un terrarium en hauteur. Un 40 x 30 x 60 ou un 40 x 40 x 50. Pour Lygodactylus williamsi il faut un terrarium de grande taille L100 x P40 x H60 cm. N'hésite pas pour d'autres infos. @+

Salut Tim, Ça y est, tu l'as enfin ta beauté Elle est très belle Tu as fait une belle et bonne acquisition Ne mets-tu pas une branche dans sa boite ou son terra d'élevage pour qu'elle puisse grimper? Et un Virus de + chez toi Bientôt, tu n'auras plus que très peu de temps pour t'occuper de tes Virus et autres animaux. Un nouveau petit être va arriver ... Tu vas alors être très occupé et très heureux. Bonne continuation à toi. C'est un plaisir de voir tous tes animaux. Tous aussi beaux les uns que les autres. Bisous à ton superbe Dogue et à ton adorable chat, sans oublier ton furet. Et bonjour à Madame qui est vraiment gentille.

Salut Zia, J'aime beaucoup ta façon de photographier. Le flou artistique me plait énormément. Cela donne un superbe effet. Belles photos !!! Je reconnais le petit Hétérodon, il est toujours aussi beau et c'est agréable de savoir qu'il mange bien Ta Gutt est très jolie aussi. De bien beaux "Virus" Bonne continuation à toi. @+

Découverte de la première grenouille sans poumons crédit : David Bickford, National University of Singapore La première espèce de grenouille qui respire sans poumons a été découverte dans un ruisseau d’eau froide et claire sur l’île de Bornéo en Indonésie. Cette grenouille, appelée Barbourula kalimantanensis, absorbe tout l’oxygène dont elle a besoin par l’intermédiaire de sa peau. « Personne ne connaissait la respiration sans poumons avant que nous ne l’ayons accidentellement découvert au cours de dissections de routine, » a déclaré à National Geographic David Bickford, principal responsable de l’étude, un biologiste de l’Université Nationale de Singapour. Son collègue Djoko Iskandar, de l’Institut de Technologie en Indonésie situé à Bandung, avait le premier décrit en 1978 la grenouille à partir d’un unique spécimen. Environ 15 ans plus tard, des pêcheurs ont trouvé un autre individu. « Chaque spécimen était considéré comme étant si précieux que les scientifiques ne voulaient pas sacrifier les animaux pour les disséquer », a dit Bickford. Mais le biologiste a immédiatement disséqué partiellement plusieurs grenouilles quand il a découvert l’espèce au cours d’une récente expédition à Bornéo. Curiosité de l’évolution ... Auparavant, les seules créatures à quatre membres dépourvues de poumons que l’on connaissait étaient les salamandres. Une espèce de ver de terre, un amphibien sans membres appelé caecilian est également dépourvu de poumons. Des tétrapodes, ou créatures à quatre membres, qui se développent sans poumons sont de rares événements dans l’évolution, d’après l’avis de Bickford et de ses collègues. La particularité des amphibiens c’est qu’ils sont capables de s’adapter à une vie entre l’eau et la terre et de respirer par la peau. Les chercheurs suggèrent que l’absence de poumons de la Barbourula kalimantanensis peut être une adaptation à la plus forte teneur en oxygène d’une eau froide à fort débit. En effet, « l’eau froide contient plus d’oxygène dissous que l’eau tiède », a expliqué Bickford. De plus, la grenouille possède un faible métabolisme, ce qui signifie qu’elle a moins besoin d’oxygène. De plus, l’espèce est beaucoup plus plate que les autres grenouilles, ce qui augmente la surface de la peau. « En plus du fait qu’avoir des poumons augmente le risque d’être emporté par les courants à forts débits –parce qu’on peut flotter- c’est une situation marquante pour l’évolution de la perte des poumons » d’après Bickford. Découverte prévisible ... David Wake est un biologiste et expert dans l’évolution des amphibiens à l’Université de Berckeley en Californie. Il a déclaré que la découverte d’une grenouille sans poumons était prévisible puisque des grenouilles à queue sont déjà connues pour la très petite taille de leurs poumons. Wake a ajouté que pour la plupart des amphibiens, la majorité des échanges gazeux s’effectue à travers la peau. Une faible mais significative partie de la respiration se produit via de très simples poumons, pareils à des sacs. De plus, il souligne que la plupart des espèces ont des accouplements qui nécessitent des poumons. C’est pourquoi les biologistes ne comprennent pas toujours pourquoi certaines espèces en sont dépourvues comme l'indiquait Wake à National Geographic : « cette espèce est si rare que nous ne connaissons presque rien en ce qui concerne sa biologie. Mais elle est aquatique et vit dans des eaux froides et a sans doute un faible métabolisme de base. Par conséquent la perte des poumons en tant qu’adaptation à une eau froide à fort débit ‘ (lui) semble être une hypothèse rationnelle. » Une grenouille peu commune ... Plusieurs études qui concernent la grenouille afin de vérifier cette hypothèse risquent cependant d’être entravées à cause de la rareté de l’espèce et du danger dans lequel se trouve son habitat, selon Bickford et ses collègues. Par exemple, l’habitat de la grenouille dans des eaux froides est en train d’être détruit par une extraction d’or illégale, dit Bickford. Les activités minières rendent l’eau trouble avec des sédiments et la contamine avec du mercure. De plus, la plupart des habitats environnants sont sous la menace de l’exploitation forestière, qu’elle soit légale ou illégale, ce qui augmente l’écoulement dans les ruisseaux. « La majeure partie des plages supposées occupées à l’origine par la grenouille sont maintenant complètement inhabitables », déclare Bickford. Il ajoute que d’autres menaces peuvent venir d’un changement de température et de chutes de précipitations dûs au changement climatique. « Cette grenouille a un futur morose et c’est entièrement de notre faute » d’après Bickford. « Il est de notre responsabilité d’essayer de remédier à la situation. » Références: First Lungless Frog Found Auteur: Cécile Matricon - notre-planete.

On attend les photos avec impatience. Vivement qu'elle ai fait sa mue. Pourras-tu la prendre en photo en train de muer, j'adore ce genre de photos, c'est super beau et intéressant. Merci. @+

Il a peur des mygales

La taille des Uropyges va de 2 à 7 cm maxi. J'aime beaucoup ces petites bêtes Et na je devait etre bien fatigué , je croi que c'est dans Ushaia nature que j'ai vue sa mais un truc d' au moin 15 ou 20 cm . Ah bon ? Tu sais de quel spécimen il s'agissait? Ce serait intéressant de le savoir. C'était dans quel pays? Cela m'intéresse d'en savoir davantage. @+

Salut, J'ai trouvé cette photo sur Google, mais je ne trouve pas le nom de cette grenouille très bizarre. Est-elle encore à moitié têtard ou est-ce bien une grenouille? Merci de m'aider.

Salut Lilou, Tes terras sont beaux, sobres, propres, spacieux .... Belles installations Tu t'es super bien débrouillée pour ta batterie "nursery". Très bien conçue !!! Joli terras et travail. Mes félicitations