Chance-reptil-virus

A bientôt Rey. Pense à donner de tes nouvelles.

Salut Rey Contente de t'avoir un peu aidé. Tu pourras transférer ton pogona quand il atteindra environ 25cm. Il peut rester assez longtemps dans le 60cm. De toute façon, tu le verras quand il aura besoin de changer. Tu verras qu'il est à l'étroit, qu'il a davantage envie de bouger ... Il y a des personnes qui élève un spécimen toute sa vie dans un 60cm. Tout dépend de sa taille en fait et de son activité. S'il a besoin de beaucoup d'espace, envie de bouger. Chaque spécimen est différent et donc, chaque taille de terra sera différent. Alors après, tu te lances dans le gécko? C'est super aussi à élever. Le pogona est agréable aussi à élever. De surcroît, c'est un très joli lézard. Bravo pour tes choix !! Bon futur élevage à toi et n'oublie pas que nous te répondrons toujours si tu as une question. A très bientôt.

Salut Rey Désolé de répondre si tardivement. Pour tes pogonas, un terrarium de 80x40x50cm de hauteur est la taille convenable pour un couple. De type désertique, le sol sera composé de sable, une grosse branche ainsi qu'une écorce de liège placé sous le tube UVB complète l'installation pour ce lézard semi-arboricole. Je pense que ton terra de 120x50x60 est un peu grand pour eux, surtout s'ils sont juvéniles. Effectivement, ils risquent de stresser. Prend un terra plus petit, un 60 serait pas mal, ou alors, si tu ne veux pas investir dans un nouveau terra, essaie de couper le 120x50,60 en deux. Tu glisses une vitre ou une plaque au milieu et cela te donnes deux terras. Les lézards stressent tout autant que les serpents et ils se sentent souvent mieux dans un terra pas trop grand, adapté à leur taille. Ils peuvent ainsi bien marquer leur territoire et repérer les lieux. Dans un terra trop grand, ils risquent de se perdre, et refuseront de se nourrir .... J'espère t'avoir quelque peu aider de part ma réponse. Mais si tu as d'autres questions, n'hésite surtout pas à les poser. Tu trouveras toujours réponses. A très bientôt et tiens-nous au courant pour savoir si tu as acheté ou pas tes pogos.

Que de beautés J'adore le "speckled", il est vraiment magnifique

Une magnifique série de photos, toutes plus belles les unes que les autres. Les "effets produits" sont au top. Encore d'autres photos !!!

Géniale cette photo, ah les hétérodons, trop beaux

Il est tout petit et bien mignon Speedy Bon élevage, qu'il grandisse bien

Oui, des cinglés, car je ne vois pas l'intérêt de mordre un serpent. Dans certains pays, c'est une tradition, qui déjà est difficile à comprendre, mais pour les autres, il faut vraiment faire n'importe quoi pour se faire remarquer. Je ne leur souhaite qu'une chose: se faire mordre en plein visage

Un Crotalus viridis oreganus albinos.

Et surtout cinglé !!! Photo pour illustration. Photo pour illustration. Photo pour illustration.

... Une pure merveille ... Photo pour illustration.

Super si le véto a fait le nécessaire. C'est un soulagement. Vu les soins, les blessures avaient l'air sérieuses. Bon courage pour la suite et bon rétablissement au rétic.

Une colle inspirée des pattes de grenouille Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences En regardant de plus près les pattes d’amphibiens et d’insectes capables de se déplacer sur des surfaces verticales, des chercheurs indiens ont pu créer un adhésif d’un nouveau genre, rendu trente fois plus efficace grâce à quelques canaux internes… Abhijit Majumder vit en Inde et là-bas, on voit des grenouilles courir le long des troncs, aussi agilement que nos écureuils. Mais les amphibiens, eux, n’ont pas de griffes. Le chercheur indien a aussi été intrigué par d’autres animaux, des criquets notamment, qui se déplacent à la verticale aussi facilement qu’à l'horizontale. Sous leur pattes, il y a une sorte de colle, mais aux propriétés extraordinaires. « Non seulement ces adhésifs sont très puissants mais ils peuvent aussi être détachés rapidement et réutilisés encore et encore. Ils sont autonettoyants et ne laissent aucune trace » s’émerveille-t-il dans un article publié dans Science, avec ses collègues Animangsu Ghatak et Ashutosh Sharma. On sait que les geckos, des petits lézards très doués pour chasser les insectes sur les murs et même les plafonds, s’agrippent à l’aide minuscules poils, aux extrémités extrêmement ramifiées, dont la petitesse exploitent les forces agissant au niveau atomique (les forces de van der Walls). Mais Abhijit Majumder est persuadé qu’au moins dans le cas des grenouilles et des criquets, les phénomènes en jeu à la surface ne sont pas seuls en cause. Dans l’épaisseur de la peau, des structures doivent aussi entrer en jeu. La morphologie complexe que l’on y observe, expliquent les chercheurs, utilise des forces d’adhésion par viscoélasticité (comme les adhésifs conçus par l’homme) mais aussi par succion, friction et interactions moléculaires. Créer des discontinuités Ces scientifiques ont su s’en inspirer pour mettre au point une méthode améliorant considérablement l’adhérence. Des études sur des adhésifs artificiels avaient déjà montré l’importance des discontinuités. Lorsque l’on tire sur le bord d’une bande adhésive, les deux surfaces collées se déforment et il se crée de minuscules zones de rupture à l’interface. Ces déchirures se propagent rapidement entre les deux surfaces collées, réduisant considérablement l’adhérence. Mais elles sont facilement arrêtées par des discontinuités dans la surface. L’élastpomère est posé sur une surface dure. A l’intérieur, il recèle un réseau de canaux microscopiques emplis d’air ou d’huile. Grâce à eux, le film appliqué sur l’élastomère colle mieux. La grenouille et le criquet, paraît-il, le savent déjà… A. Majumder, A. Ghatak, A. Sharma Les dispositifs inventés par la nature feraient appel à cet effet. C’est lui que sont parvenus à imiter les trois chercheurs indiens. A l’intérieur d’un élastomère, de minuscules canaux, microscopiques, ont été créés, contenant simplement de l’air ou un liquide visqueux. Un film plastique très fin a ensuite été appliqué sur l’élastomère. La force nécessaire à son décollement (en le tirant par une extrémité, comme on décolle une bande adhésive) a ensuite été mesurée. Résultat : ces minuscules petits canaux multiplient par trente la force adhésive. Les petits bombements imposés au film par des canaux créent des discontinuités qui interrompent la propagation des déchirures à l’interface entre le film et l’élastomère lorsque l’on tire sur un bord du film. Les chercheurs ont pu tester l’efficacité de différents motifs de canaux et vérifier que ces structures internes améliorent aussi la possibilité de réutilisation (décollements et recollements successifs). Selon les trois scientifiques, c’est une des astuces des grenouilles grimpeuses… Dans la patte du criquet réside le secret de son pied de nez à la gravité : les microcanaux, que les chercheurs indiens ont imités. © A. Majumder, A. Ghatak, A. Sharma

Les tortues marines ont une boussole dans la tête Image attachée AFP/LAURA BOUSHNAK Des tortues marines sur l'île de Chypre en août 2003. Tous les trois à six ans, la tortue verte, une des sept espèces de tortues marines, parcourt des centaines de kilomètres pour nager de sa zone d'alimentation à son lieu de ponte. Arrivée à bon port, elle pondra jusqu'à six fois, ce qui lui prendra environ un mois et demi. Sans aucun repère visuel, au milieu des océans, comment font les tortues marines pour revenir pondre pratiquement toujours au même endroit ? Dans deux articles publiés dans les revues Current Biology du 23 janvier et Marine Ecology Progress Series de septembre 2006, Simon Benhamou, du Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive de Montpellier (CNRS) associé à d'autres organismes (Institut de recherche pour le développement, Ifremer, Kelonia-observatoire réunionnais des tortues marines, université de Pise), apporte plusieurs éléments de réponse. Pour leur seconde étude, Simon Benhamou et son équipe ont capturé vingt tortues au début de leur cycle de ponte sur leur lieu de nidification de l'île de Mayotte. Transportées en bateau à 120 km de là, en plein océan Indien, les vingt tortues ont été équipées de balises Argos fixées sur leur carapace. Un aimant puissant a été fixé sur la tête de six tortues uniquement durant le transport, et sur celle de sept autres pendant leur retour sur le site de ponte. Les sept restantes n'étaient pas munies d'aimant. Résultat, les tortues magnétiquement "perturbées" ont mis plus de temps pour rentrer que les tortues sans aimant. Cela a permis de mettre en évidence, pour la première fois, l'implication du champ magnétique de la Terre dans l'orientation et la navigation des tortues marines. Pour autant, c'est justement parce que les tortues perturbées par un aimant sont tout de même capables de rentrer que les scientifiques pensent qu'elles n'utilisent pas uniquement le magnétisme terrestre pour se repérer. "Nous supposons, estime le chercheur, qu'elles se servent aussi de leur odorat, mais cela reste à prouver lors de prochaines expériences." L'ACTION DES COURANTS Une première étude pilote avait montré que les tortues ont un sens de l'orientation relativement bon, mais qu'elles subissent l'influence perturbatrice des courants océaniques. Ce travail a été conduit avec des tortues vertes qui pondent sur l'île Europa, située elle aussi dans le canal de Mozambique. Selon Simon Benhamou, "les tortues marines savent dans quelle direction se trouve leur île, mais ne peuvent pas, comme un marin, prendre un cap biaisé pour compenser l'effet du courant". Ainsi, une des trois tortues relâchées à environ 250 km d'Europa a tourné autour de l'île pendant 3 500 km en raison de courants défavorables. C'est pourquoi ces études doivent prendre en compte le trajet propre de la tortue, débarrassé de l'effet des courants marins. Ces expériences ont pour but de déterminer les processus de navigation en pleine mer de ces chéloniens, afin de mieux protéger une espèce en voie de disparition. En balisant, par exemple, les couloirs maritimes empruntés. Victor Roux-Goeken - Le Monde.

Un petit ras le bol de tout Arsinoë

Tu as retiré ta photo concours Arsinoë? Ca va pas la tête Elle était superbe !!!!!!!!

Superbement pris en photo ces oeufs. Cela fait génial

Super si elle attend des petits. C'est l'un des plus beaus moments de la vie d'un terrariophile.

Beaux terras avec de belles décos et beaucoup de plantes synthétiques, c'est très vert et très joli.

Une bien jolie famille et diversifiée. J'ai un petit faible pour ton Gerrhosaurus, il est très beau Par contre ton agame à l'air mince, a t'elle bon appétit ? C'est peut-être la façon dont tu l'as photographié qui donne cette impression. Bon élevage à toi.

Xena est très jolie, de bonne taille, bien proportionnée, avec une belle couleur et une queue bien démarquée nettement plus colorée. Vraiment beau spécimen.

Bel Eunectes avec de beaux reflets, et magnifique Viridis, là, je craque

Impressionnant

Salut you Le serpent dont tu parles est opheodrys aestivus, comme le dit Ramsès, et est très difficile à maintenir pour débuter. Déjà, tu ne trouves en vente que des spécimens sauvages souvent très parasités et déshydratés. Il lui faut un terra de 60X40X40 cm environ, avec beaucoup de branchages, feuillage artificiel et un bac d'eau. L'éclairage devra être très intense + Rayons UV. Nourriture constituée d'insectes divers (grillons, criquets, araignées) + Vitamines et minéraux. Température de jour 30°C au point chaud et 25° au point froid. La nuit, il faut couper le chauffage pour atteindre 20° environ. Je ne te conseille pas ce spécimen, trop de difficulté pour le maintenir correctement. Il te faudrait en chercher un autre. Bon courage dans ta recherche et on reste à ta disposition pour répondre à tes questions.

Salut Pour bien répondre à ta question, il faudrait que tu nous dises: - de combien de place tu disposes pour mettre un terrarium? - Combien tu peux investir dans un serpent? - Qu'est-ce que tu aimes comme genre de serpents? Il y a des tas de serpents faciles pour débuter. Regarde des photos de serpents, vois ceux qui te plaisent le plus, donnes-nous les noms et on te dira s'ils sont faciles ou non à élever pour un débutant. Là, on pourra vraiment beaucoup mieux te renseigner. A très bientôt.