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ouaip mais il est préférable pour Chance qu'elle lorgne sur de l'Aspidites mélanocephalus que sur le Naja legionis ... Et aucune manip avec ce genre de serpent, alors que Chance aime faire de la manip si je ne me trompe !!! Pourquoi crois-tu que nous avons arrêté l'élevage des Naja. Elle n'avait qu'une envie. Mettre les mains dans les terrariums....
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Mon nouveau protégé!! [Pituophis catenifer annectans ]
askook a répondu à un(e) sujet de zhomme dans Vos P'tits Virus
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Mon nouveau protégé!! [Pituophis catenifer annectans ]
askook a répondu à un(e) sujet de zhomme dans Vos P'tits Virus
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Des substances aux propriétés antibiotiques découvertes chez les cafards Les cafards, animaux considérés comme sales par excellence, pourraient contribuer à de nouveaux traitements contre les bactéries résistantes, selon des chercheurs britanniques qui ont découvert des substances aux propriétés antibiotiques inattendues chez ces insectes. Une équipe de l'Université de Nottingham a identifié jusqu'à neuf molécules différentes dans les cerveaux et les tissus nerveux de cafards et de sauterelles. Des substances toxiques pour les bactéries et qui pourraient déboucher sur des traitements pour certaines infections fréquemment résistantes aux antibiotiques communs. Selon ces chercheurs, ces tissus sont ainsi capables de tuer plus de 90% de staphylocoques dorés résistants à la méticilline (SARM) et d'Eschirichia coli (E. coli), sans endommager les cellules humaines. Ils sont actuellement en train d'étudier les propriétés spécifiques des substances découvertes dans leur laboratoire. Pour Simon Lee, de l'Ecole de médecine et de science vétérinaire de l'université britannique, cette découverte en apparence surprenante était en réalité prévisible. "Les insectes vivent souvent dans de très mauvaises conditions sanitaires et d'hygiène, dans des environnements où ils sont exposés à un grand nombre de bactéries différentes. Il est donc logique qu'ils aient développé des moyens de se protéger contre les micro-organismes", estime-t-il. "Nous espérons que ces molécules pourront aboutir à des traitements contre les infections par l'E. Coli et le SARM qui deviennent de plus en plus résistants aux médicaments actuels", explique M. Lee. "En outre, ces nouveaux antibiotiques pourraient constituer une alternative aux traitements déjà disponibles, qui peuvent être efficaces mais ont des effets secondaires indésirables importants", ajoute le chercheur. Source: http://biladi.ma/1075918-des-substances-aux-proprietes-antibiotiques-decouvertes-chez-les-cafards.html
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Les moustiques ont deux odorats ! Des chercheurs américains ont montré la présence d’un deuxième type d’odorat chez les moustiques. Cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre ce qui les attire ou les répugne, afin de développer de nouvelles méthodes de lutte contre le vecteur de la dengue et du paludisme. Certaines personnes sont constamment la cible de nombreuses piqûres tandis que d’autres, au milieu d'une nuée de moustiques, sont épargnées. Il semblerait que nos odeurs corporelles, plus ou moins attirantes pour le moustique, soient impliquées dans cette injustice. Ces insectes, par exemple, sont réputés pour leur dégoût de la citronnelle, qui peut donc être employée comme répulsif. En connaître plus sur le fonctionnement de l’odorat des moustiques n’est donc pas inutile pour apprendre à les éloigner et à se protéger des maladies qu’ils transmettent. La première grande découverte sur le nez des moustiques a eu lieu il y a 10 ans grâce à une collaboration des chercheurs des universités de Vanderbilt et de Yale, au cours du séquençage du génome du moustique. Des récepteurs odorants ont été identifiés et sont toujours actuellement l’objet d’études. Ces récepteurs sont localisés sur les antennes de l’insecte, dans des cavités appelées sensilles, et sont reliés à des nerfs sensoriels qui s’activent lorsqu’une molécule s’y fixe. Le système nerveux central du moustique est alors informé de la nature du composé, provoquant attirance ou répulsion. A l’heure actuelle, 75 récepteurs différents ont été identifiés et il a été montré qu’un même composé est reconnu par plusieurs récepteurs. C’est cette reconnaissance multiple qui permet au moustique d'identifier spécifiquement la nature de l’odeur. 50 nouveaux récepteurs identifiés Au cours des nouveaux travaux parus dans le prestigieux journal Plos Biology, les mêmes chercheurs ont voulu identifier les récepteurs des odeurs corporelles humaines. Pour cela, des larves de moustiques (Anopheles gambiae) ont été placées dans une boîte contenant une odeur. Plus le moustique est attiré, plus il est actif, effectuant de nombreux mouvements qui peuvent être comptabilisés. Des moustiques sauvages et génétiquement modifiés (extinction par ARN interférence des gènes codant pour ces récepteurs) ont été inclus dans les expériences. Les chercheurs ont confirmé que le répulsif DEET, potentiellement toxique mais largement utilisé, est reconnu par certains de ces récepteurs odorants. En revanche, si le système nerveux des moustiques est bel et bien activé par des odeurs émises par la sueur ou l’haleine humaine (ammoniac, acide lactique, aminobutane), aucun de ces récepteurs ne semble impliqué dans la reconnaissance des molécules. Les chercheurs ont montré que le nerf activé est relié à un type particulier de sensille, privé de récepteurs odorants mais contenant un autre type de récepteurs appelés ionotropiques, déjà identifiés chez la drosophile. Ces récepteurs ionotropiques, au nombre de 50 chez le moustique, ressemblent à ceux retrouvés dans les synapses neuronales, sensibles à un neurotransmetteur, le glutamate. Le même type d’expérience a permis de montrer qu’ils sont effectivement sensibles à l’aminobutane, ce qui incite les chercheurs à penser que les autres composés humains sont certainement aussi reconnus par ces récepteurs. Ces résultats mettent en lumière un nouveau pan du mécanisme de reconnaissance et d’attirance des moustiques qui pourra être étudié afin de développer de nouvelles stratégies de lutte contre ces insectes vecteurs de nombreuses maladies mortelles (dengue, paludisme...). Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/medecine/d/les-moustiques-ont-deux-odorats_25013/ Article: http://www.plosbiology.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pbio.1000467#pbio.1000467.s001
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Un Phelsuma peut en cacher un autre Pour ne pas que leur emblème se lézarde, les habitants de l'île de la Réunion sont priés de guetter le « cousin » malgache (Phelsuma madagascaiensis grandis) du lézard de Manapany (Phelsuma inexpectata), deux fois et demi plus gros que lui. Depuis peu, ce prédateur représente une menace réelle pour le petit reptile endémique du Sud sauvage. Il a été aperçu pour la première fois il y a trois mois et, depuis, le nombre de ses congénères aurait quasiment doublé autour de la baie. Lui, c’est Phelsuma madagascariensis grandis, alias le grand gecko vert malgache, qui ressemble beaucoup à l’emblème de Manapany, le lézard vert, endémique de La Réunion. C’est Nicolas Dubos, étudiant stagiaire à l’association Nature océan Indien (NOI), qui a eu la primeur de la rencontre avec ce reptile. C’était le 8 juin dernier. « Je sortais de chez une habitante du boulevard de l’océan chez qui je faisais une étude de terrain sur le lézard vert. J’ai aperçu ce gecko sur un arbre, je n’y croyais pas. Deux jours après, j’en ai vu cinq, alors on en a conclu qu’il y avait une population à Manapany. » Déjà signalée en 2009, sa présence n’avait jusque-là jamais été vérifiée dans la baie. Il était cependant bien implanté dans d’autres secteurs (Saint-Gilles, Tampon, Saint-Denis…), depuis qu’un éleveur avait relâché en 1994 à Sainte-Suzanne quelques spécimens importés de la Grande-Île. « Comme il adore se faire dorer au soleil, il a très bien pu être amené ici dans le capot d’une voiture où il s’est réfugié lorsque le chauffeur a démarré », envisage Nicolas Dubos. Toujours est-il que selon les estimations de la NOI, une cinquantaine de geckos verts malgaches auraient élu domicile dans les végétaux de Manapany, en quelques mois seulement. « Ils s’adaptent très rapidement et se reproduisent beaucoup plus vite que le lézard endémique », confirme Nicolas Dubos. Ces derniers restent encore largement majoritaires, avec 5000 individus dans un rayon de 5 km autour de la baie. Mais, selon les scientifiques, ils pourraient à terme être supplantés par leurs envahissants « cousins malgaches ». [i]Phelsuma inexpectata[/i] Prédateurs et compétiteurs Ceux-ci sont effet beaucoup plus grands (30 cm contre 12) et, surtout, à la fois prédateur et compétiteur. Prédateurs, car certains clichés montrent le lézard malgache ne faire qu’une bouchée du gecko péi, qu’il soit adulte, juvénile ou dans son œuf… Compétiteurs, puisque les deux espèces occupent le même type d’habitat. Et quand les deux espèces se croisent sur une branche de vacoa ou de latanier, la bataille tourne court. Le gecko malgache réquisitionne habitat, refuge et nourriture aux dépens de son cousin. Ce que ne font pas ses autres prédateurs, chats et autres rats. Verdict unanime chez les scientifiques : le lézard vert de Manapany geckoest victime de sa « naïveté ». « Il est menacé car son évolution l’a conduit à perdre ses réflexes de fuite puisqu’il était seul. L’introduction de prédateurs a été un véritable carnage pour lui », explique-t-il en approchant sa main à portée de souffle d’un lézard vert qui flemmarde sur la façade de la salle communale de Manapany. C’est derrière ces murs que s’est tenue hier après-midi une réunion d’information à destination de la population. Et, visiblement, la cause du lézard vert mobilise. Une cinquantaine de Manapanyens ont assisté à l’exposé de cette nouvelle menace. De tous âges, mais aussi beaucoup d’enfants. Qui ont pour beaucoup incité leurs parents à se déplacer. Un lézard trop naïf « Nous avons fait des interventions au sujet du lézard dans l’école maternelle de Manapany et dans une école élémentaire de Saint-Joseph. Nous en avons sensibilisé une centaine. Ce sont eux qui sont le plus à même de faire passer le message aux parents », expose Marie-Claude Ollivier, présidente de l’ADPRH. C’est lors d’une manifestation organisée l’an dernier par son association qu’elle avait fait connaissance avec le gecko malgache. « Un parent nous avait alertés à ce sujet, je n’en avais jamais entendu parler. Suite à cela, la NOI a débuté ses recherches, qui ont prouvé sa présence. » Et la résistance s’organise déjà. En cas de signalement d’un cas, la NOI et les agents communaux du service environnement se chargent de récupérer l’envahisseur, manuellement ou à l’aide d’une canne à collet. Avant de le tuer. Selon une enquête menée par Nicolas Dubos, 89 % de la population s’est prononcée pour la préservation du lézard vert de Manapany. « Tout dépendra de la bonne volonté des personnes, estime Marie-Claude Ollivier. Les habitants n’y sont pas opposés. Maintenant, il faut le montrer dans les actes. C’est notre endémique et notre emblème ! » La poignée de sauveteurs du gecko de Manapany souhaite lui éviter le triste sort qu’ont connu à La Réunion vingt-deux espèces d’oiseaux, quatre de reptiles et autant de chauves-souris, toutes endémiques : la disparition pure et simple. Pour ne pas que leur emblème se lézarde à jamais. Source: http://www.clicanoo.re/11-actualites/25-environnement/256468-manapany-un-gecko-peut-en-cacher.html
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Voici une vidéo montrant SnakeBot, un robot serpent, qui grimpe à un arbre et regarde au alentour avec sa tête dotée d’une caméra. Dommage que cette version soit encore doté d’un câble pour l’alimenter et le contrôler. SnakeBot est conçu par le laboratoire de Biorobotique de l’Université ce Carnegie Mellon. Il peut actuellement grimper à un arbre d’une hauteur de 1 mètre. Mais les chercheurs de l’université, travaillent encore à améliorer le système pour que le robot serpent puisse grimper des hauteurs plus élevées. Voici la vidéo de démonstration de ses prouesses.
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La métamorphose est suivie par une croissance rapide, parce que les Pyxicephalus adspersus, à l'état sauvage, doivent constituer des réserves en prévision de la prochaine sécheresse. Une étude en laboratoire qui employait un régime modeste a montré que les grenouilles peuvent atteindre environ 11 cm pour les mâles et ~ 8,5 cm pour les femelles en moins de 200 jours. Une autre observation a montré des spécimens qui ont pris 3,5 cm en 30 jours. Hayes et Licht (1992) ont montré que les mâles et les femelles se différencient dans le taux de croissance sur le développement des gonades. Voici un tableau sur la croissance des Pyxicephalus adspersus Source: Hayes & Licht 1992 Il convient de noter qu'un régime différent et des conditions différentes peuvent provoquer une croissance plus lente ou plus rapide, mais les courbes de croissance et de divergence devrait rester la même par rapport à l'autre.
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Un reptile classé en Annexe II et né en captivité dans un pays de l'union européenne n'a pas de numèro de CITES. Un certificat de cession ou une facture seront suffisants. Si les parents sont issus d'import, les numéros de CITES devront être inscrits sur le certificat de cession. Si le reptile vient d'un tout autre pays, il faudra qu'il possède un numéro de CITES...
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rhadinophis prasina et frenata
askook a répondu à un(e) sujet de christophecot dans Vos P'tits Virus