askook

Non. C'est un membre de ma famille qui est passé samedi faire une séance photo...

Peut-être un jour. On ne sait jamais de quoi est fait le lendemain.... Mais pour l'instant, je garde ce mâle qui va se reproduire en 2011 avec une belle femelle dont le jaune est très pâle... Je voudrais bien une femelle axanthique, mais cela ne court pas les rues...

Merci à Jean-Claude et à Christophe pour ces photos

Spécimen axanthique en mue...

Merci à Christophe et à Jean-Claude

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Pyron & Burbrink (2009) propose une révision de Lampropeltis getula dans leur article: Systematics of the Common Kingsnake (Lampropeltis getula; Serpentes: Colubridae) and the burden of heritage in taxonomy. Zootaxa 2241: 22-32 http://163.238.8.180/~fburbrink/Research/Publications/Pyron_Burbrink_2009e.pdf Voici les changements suite à cette révision: Lampropeltis getula getula Lampropeltis getula Lampropeltis getula californiae Lampropeltis californiae Lampropeltis getula floridana synonyme de Lampropeltis getula Lampropeltis getula goini synonyme de Lampropeltis getula Lampropeltis getula holbrooki Lampropeltis holbrooki Lampropeltis getula meansi synonyme de Lampropeltis getula Lampropeltis getula niger Lampropeltis nigra Lampropeltis getula nigrita synonyme de Lampropeltis californiae Lampropeltis getula splendida Lampropeltis splendida Lampropeltis getula sticticeps synonyme de Lampropeltis getula

Spécimens sauvages de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Photos pour illustration. Source: google

Dendrelaphis calligastra (Günther, 1867) Synonymes Dendrophis calligastra Günther, 1867 Dendrophis lineolata Duméril & Bibron, 1854 (fide WALLACH) Dendrophis salomonis Günther, 1872 Dendrophis aruensis Doria, 1874 Dendrophis katowensis Macleay, 1877 Dendrophis darnleyensis Macley, 1877 Lycodon aruensis Sauvage, 1879 Dendrophis culligaster Boulenger, 1894 (emend. pro D. calligastra) Dendrelaphis papuensis Boulenger, 1895 Dendrelaphis schlenckeri Ogilby, 1898 Dendrophis calligaster De Rooij, 1917 Dendrophis calligastra keiensis Mertens, 1926 Ahaetulla calligastra salomonis Schmidt, 1932 Dendrophis calligastra distinguendus Meise & Hennig, 1932 Dendrelaphis calligastra Cogger, 1983 Ahaetulla calligastra Dendrelaphis calligastra Cogger, 2000 Commentaire Cogger (1983) a souligné que beaucoup de synonymes sont incertains et peuvent être des espèces distinctes. Répartition géographique Asie Indonésie (îles Aru, Babar, Batanta, Biak, Kai, Numfor, Salawati, Tanimbar, Waigeo, Yapen; Nouvelle-Guinée occidentale. Océanie Australie (Péninsule du Cap York et îles du détroit de Torres), Papouasie-Nouvelle-Guinée. Commentaire Sa présence sur l'île d'Ambon reste incertaine. Portrait Photo pour illustration. Source: google

Serpent python blanc Annonce: serpent python entièrement blanc de 7 mois.je suis un éleveur de serpent, je vends des pythons blanc tatoué, vacciné et pucé.disponible de suite Prix: 3.500 € Ville: PARIS (75 - Paris) Source: http://www.marche.fr/petite_annonce_animaux-occasion-achat-vente-aquarium-vivarium-serpent-python-blanc-ref40267551.html Vacciné contre quelle maladie? Tatoué, mais où? Dans une oreille... Cela sent l'arnaque à plein nez...

Seneca Lake est le plus grand des Lacs de New York ; il fait partie des Finger Lakes (de finger, «doigt» en anglais – en raison de leur forme ) , un ensemble de lacs du nord de l'État de New York, très profonds, d'origine glaciaire. Au XXème Siècle, de nombreux plongeurs ont affirmé avoir vu une créature géante (serpent , gros poissons, baleine, selon les témoignages). En 1900, un incident avait fait la Une des journaux : un bateau à vapeur a croisé la route d'une étrange apparition. Le professeur George Elwood décrivait la créature comme : « Un serpent avec une tête de quatre pieds de long... Armé de deux rangées de dents blanches triangulaires... Le corps était recouvert d'une substance cornée... ... un peu comme la carapace d'une tortue. Le ventre était blanc crème, et les yeux ronds comme ceux d'un poisson. » Une vidéo diffusée récemment sur le Web prétend fournir la preuve que le Seneca Lake abrite une créature cousine de celle du Loch Ness. Selon les observations, appuyées par la capture vidéo, le Monstre de Seneca Lake partagerait certaines caractéristiques avec le monstre légendaire du Loch Ness. Il s'agit de la première vidéo du Monstre du Lac Seneca, dont la légende date de plusieurs siècles (les Indiens pensaient que le lac était sans fond et qu'il abritait un serpent géant).

Guam est envahi par les serpents bruns arboricoles (Boiga irregularis). Alors, le Département de l’Agriculture américain a commencé à larguer des souris mortes par hélicoptère. Chacune s’est fait injecter 80 mg de paracétamol. Empaquetées dans du carton, ces pièges ont été agrémentés de bandes de papier, pour qu’ils se prennent plus facilement dans les branches d’arbre. Des chercheurs ont découvert que le paracétamol, au lieu de soigner ses maux de tête, tue le serpent brun aboricole. Ce largage de souris mortes au paracétamol vient compléter un dispositif de pièges dans les arbres, efficace, mais insuffisant. Introduit par accident par les Américains pendant la Seconde Guerre Mondiale, le serpent brun arboricole est un reptile nocturne venimeux. Il a exterminé 9 des 11 espèces d’oiseaux forestiers de Guam. Il adore aussi se pendre aux fils électriques, et provoque très fréquemment des coupures de courant. Et puis Guam doit inspecter tous les bateaux et avions en partance pour éviter que le serpent brun arboricole ne migre sur d’autres îles du Pacifique. Bilan: ce reptile coûte des millions de dollars chaque année à Guam. Source: http://24hdanslepacifique.com/breves-du-pacifique-492/

Un python royal retrouvé dans une maison à Fressin ! Lucette Attagnant, retraitée, vient de connaître la peur de sa vie. ... Hier, elle a fait une drôle de découverte. Un de ses amis, convié à dîner, a eu le regard attiré par un drôle d'« objet » se dorant au soleil entre les planches de l'ancienne balance à grain. Il s'agissait en fait d'un python royal, de plus d'un mètre. Il a immédiatement appelé les sapeurs-pompiers qui ont dépêché sur place l'adjudant-chef Franck Boulanger, un spécialiste en la matière, basé au centre d'incendie et de secours d'Hesdin. Ce python royal, une espèce non venimeuse, s'était en fait échappé de chez un particulier à qui il a été rendu. L'animal s'était offert une escapade de trois semaines. Source: http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Montreuil/actualite/Secteur_Montreuil/2010/09/08/article_un-python-royal-retrouve-dans-une-maison.shtml

La classification phylogénétique remet en partie en cause la classification traditionnelle en privilégiant les relations de parenté entre les êtres vivants. La classification hiérarchique de Carl Von Linné ne traduit pas complètement l'idée d'évolution des espèces définie au XIXème siècle par Charles Darwin. Basée exclusivement sur la similitude entre des organismes ou taxons établie grâce à des critères morphologiques externes, cette classification a progressivement montré ses limites au fur et à mesure des progrès de la Biologie. En s'intéressant au degré de parenté des taxons conformément à la théorie de l'évolution et avec les possibilités offertes par l'essor de la Biologie moléculaire et de la Génétique, la classification phylogénétique est devenue le modèle de référence de la classification des espèces. La classification phylogénétique. Dans la classification phylogénétique, l'espèce et le genre de la nomenclature binomiale sont conservés. Le rang le plus élevé est l'empire ou domaine. La nouvelle classification comporte trois empires : les Eucaryotes (possédant des cellules à noyau), les Eubactéries (bactéries) et les Archées (bactéries primitives mais qui possèdent à la fois certaines caractéristiques des Eucaryotes et des Eubactéries). Les autres rangs taxinomiques ne sont utilisés que s'ils suivent la classification traditionnelle. Toutefois, ces rangs n'ont plus de valeur hiérarchique mais permettent de nommer les emboîtements successifs au sein de la classification. Le système phylogénétique a été créé en 1950 par un biologiste allemand Willi Hennig (1913-1976). Celui-ci a développé la méthode cladistique pour construire la classification phylogénétique. Le système phylogénétique privilégie le concept d’homologie (les caractères homologues ou dérivés proviennent d’une même structure héritée d’un ancêtre commun hypothétique) à distinguer du concept d'analogie utilisé par Carl Von Linné. L'aile de l'oiseau et de l'insecte sont des caractères analogues car bien qu'elle serve au vol, l'une et l'autre ont des structures de soutien très différentes. Ces taxons ne partagent donc pas d'ancêtre commun. Par contre, l’humérus d’une baleine et d’un homme, pourtant différents, sont des os homologues car ces derniers sont hérités d’un seul et même ancêtre hypothétique (celui des vertébrés). De même, la présence de poils chez les mammifères est un caractère homologue ou dérivé car celui-ci est apparu chez l’ancêtre de tous les mammifères et dans aucun autre groupe. La classification phylogénétique actuelle n'est pas achevée et peut être modifiée en fonction des découvertes ultérieures. L’arbre de parenté, l'arbre phylogénétique ou cladogramme. Il s’agit de comparer des organismes et de les rassembler en groupes (groupe monophylétique ou clade) unissant un ancêtre hypothétique et tous ses descendants partageant au moins un caractère dérivé (homologue). L'arbre phylogénétique (ou cladogramme) du vivant est donc constitué d'emboîtements successifs de groupes monophylétiques en fonction des changements évolutifs des caractères. La base du "tronc" correspond à l'ancêtre commun du groupe, les branches figurent les divergences des différents taxons. Avant de construire l'arbre, il faut sélectionner un groupe d'organismes à classer et choisir les caractères à prendre en compte en fonction du choix des taxons. Les différents caractères sont choisis après examen du plan d’organisation (forme et anatomie), du développement embryologique (stades de formation de l’embryon), de l’aspect du caryotype (forme des chromosomes), de la composition des protéines et/ou du séquençage de l’ADN et de l’ARN des organismes à classer. On reproduit les résultats dans une matrice de caractères sous la forme de 1 ou de 0 selon que ces caractères sont présents ou non chez les différents taxons. Ces indications servent à la construction de l'arbre phylogénétique. On peut facilement prendre des caractères analogues pour des caractères homologues. Il faut distinguer deux états des caractères : les états ancestraux des caractères qui sont partagés avec un ancêtre commun et les états dérivés des caractères qui diffèrent de ceux de l'ancêtre de la lignée. Ainsi, chez les vertébrés, la colonne vertébrale est un état ancestral. La présence de poils et de mamelles sont des états dérivés de caractères car ceux-ci ne sont pas partagés par tous les vertébrés. Il existe deux types de caractères homologues: les caractères homologues particuliers ou caractères dérivés (présents à l'intérieur du groupe à classer) et les caractères homologues généraux ou caractères ancestraux (identiques mais situés à l'extérieur du groupe à classer). Pour les distinguer, W. Hennig utilise donc un groupe externe. Pour construire le cladogramme, W. Hennig ordonne les taxons sélectionnés en fonction du nombre de caractères homologues particuliers dérivés qu'ils partagent. Les taxons partageant un ancêtre commun récent possèdent de nombreux caractères homologues généraux, quelques caractères homologues particuliers et peu de caractères homoplasiques (car ils sont apparus sur une période de temps relativement brève à l'échelle géologique) Source: http://ecologie.suite101.fr/article.cfm/la-classification-phylogenetique-des-etres-vivants

Des substances aux propriétés antibiotiques ont été découvertes dans les cerveaux et les tissus nerveux de cafards et de sauterelles. Les chercheurs britanniques à l’origine de la découverte voient dans leurs travaux la base de nouveaux traitements contre les bactéries résistantes. Des chercheurs de l’Université de Nottingham ont mis au jour des substances aux propriétés antibiotiques chez des cafards et des sauterelles, ouvrant des perspectives pour de nouveaux traitements contre les bactéries résistantes. Neuf molécules différentes dans les cerveaux et les tissus nerveux de ces insectes ont été identifiées et doivent encore être étudiées. Selon les chercheurs, plus de 90% de staphylocoques dorés résistants à la méticilline (SARM) et d’Eschirichia coli (E. coli) pourraient par exemple être tuée par ces tissus, sans endommager les cellules humaines. « Les insectes vivent souvent dans de très mauvaises conditions sanitaires et d’hygiène, dans des environnements où ils sont exposés à un grand nombre de bactéries différentes. Il est donc logique qu’ils aient développé des moyens de se protéger contre les micro-organismes » suggère Simon Lee, de l’Ecole de médecine et de science vétérinaire de l’université britannique. Source:http://www.innovationlejournal.com/spip.php?article5996

Dendrelaphis Boulenger, 1890 Dendrelaphis bifrenalis (Boulenger, 1890) Synonymes Dendrophis bifrenalis Boulenger, 1890 Dendrophis boiga bifrenalis Meise & Hennig, 1932 Ahaetulla bifrenalis Smith, 1943 Dendrelaphis bifrenalis Das, 1996 Répartition géographique Asie Sri Lanka. Commentaire Sa présence en Inde a été rapporté par erreur. Portrait Photo pour illustration. Source: google

J'ai longuement hésité à le laisser partir et lorsque Z'homme est passé le prendre, j'ai espéré qu'il ne lui plaise pas

Spécimen originaire du Yunan (Chine). Photo pour illustration. Source: Ralph Tümmers