askook

Spécimen femelle arrivée aujourd'hui... Un grand MERCI à Cebuella

Au niveau de ces mains, cela va beaucoup mieux... Au niveau moral, ce n'est pas le top. C'est le contre coup... Au niveau occupation, elle s'occupe de ces 120 petits axolotls qui sont nés...

Moi, j'adore Lystrophis dorbignyi

Il ne faut pas généraliser... Certaines espèces se nourrissent uniquement le jour. Par exemple, les espèces du genre Philothamnus qui sont actifs le matin et qui partent en chasse à ce moment là.

le genre Lystrophis fait parti comme le genre Heterodon à la famille des Colubridae et à la sous-famille des Xenodontinae. Les espèces du genre Lystrophis possèdent tous ce nez retroussé caractéristique des serpents à groin ou serpent à nez de cochon. Les espèces du genre Heterodon vivent en Amérique du Nord alors que les six espèces du genre Lystrophis (Lystrophis dorbignyi, Lystrophis histricus, Lystrophis matogrossensis, Lystrophis nattereri, Lystrophis pulcher, Lystrophis semicinctus) vivent en Amérique du Sud. Le maintien est différent des Heterodon. Cela est dû à leur répartition géographique d'origine. Un éleveur dans le sud de la France devrait avoir de la reproduction en 2010. Les jeunes seront au prix de 200€ http://ophidiens.kazeo.com/?page=rubrique&idr=114304&pa=3

Je n'en ai pas trouvé d'autres depuis celle-ci... Mais très peu de scientifiques suivent cette publication. Lors de la 6 ème édition (2009) du "STANDARD COMMON AND CURRENT SCIENTIFIC NAMES FOR NORTH AMERICAN AMPHIBIANS, TURTLES, REPTILES, AND CROCODILIANS", la proposition de Smith et al. (2003) a été examinée par un groupe de scientifiques composé de Frank T. Burbrink, Jeff Camper, Michael Douglas, Harry W. Greene, Toby Hibbitts, Robin Lawson, James R. McCranie, Brice P. Noonan, Christopher L. Parkinson , Theodora Pinou, R. Alexander Pyron, Javier A. Rodriguez-Robles, et Van Wallach. Une majorité des participants n'ont pas validé cette publication. http://www.cnah.org/detail.asp?id=150 Pour résumé, le serpent à groin mexicain est bien une sous-espèce

The taxonomic status of the mexican hognose snake Heterodon kennerlyi Kennicott (1860) Journal of Kansas Herpetology Number 5 (march 2003) Hobart M. Smith & David Chiszar, Curtis M. Eckerman & Harlan D. Walley

The taxonomic status of the mexican hognose snake Heterodon kennerlyi Kennicott (1860)

The taxonomic status of the mexican hognose snake Heterodon kennerlyi Kennicott (1860)

Il existe trois sous-espèces: - Heterodon nasicus nasicus Baird & Girard, 1852 - Heterodon nasicus gloydi Edgren, 1952 - Heterodon nasicus kennerlyi Kennicott, 1860 Ces sous-espèces ont été discutées: - Smith et al. en 2003 donnaient le statut d'espèce à Heterodon nasicus kennerlyi (voir article ci-dessous) - Eckerman en 1996 et Walley & Eckerman 1999 donnaient Heterodon nasicus gloydi comme n'étant une simple variation d'Heterodon nasicus nasicus, et par conséquent, le donnaient comme synonyme.

Mexican Hognose.com http://mexicanhognose.com/index.php

En ce qui concerne le genre Langaha, il existe trois espèces: Langaha alluaudi Mocquard, 1901 se rencontre dans le Sud/Ouest de Madagascar. Appendice nasal foliacé et reployé en gouttière à concavité inférieure d'une femelle Langaha alluaudi. Chez le mâle, cet appendice est effilé et triangulaire. Cette espèce possède, aussi, des appendices supraoculaires en forme de "corne". Photo pour illustration. source: google Langaha madagascariensis Bonaterre, 1790 (synonyme de Langaha nasuta) se rencontre à Madagascar et sur l'île de Nosy Be. Langaha pseudoalluaudi Domergue, 1988 se rencontre dans le Nord de Madagascar, entre Ambilobe et Daraina. Cette espèce est rare, et est d'ailleurs connu que par deux spécimens. Les spécimens de ce genre sont arboricoles, se nourrissent principalement de lézards. Les grenouilles et les oiseaux font, à l'occasion, partie de leurs proies. En captivité, il est possible (avec de la patience) de les nourrir avec de petits rongeurs. Les spécimens du genre Langaha sont assez rares en captivité, et les spécimens d'origine sauvage ont été interdits d'exportation à partir de 2005 et pendant 3 ans. Entre 2001 et 2003, seuls 20 spécimens d'origine sauvage ont été importés en France.

Toutes les espèces que tu cites sont effectivement très belles. Mais leur beauté n'a d'égale que leur rareté dans les élevages et leur difficulté à les maintenir. Comme te l'a dit ArsKo, le soucis majeur de leur acclimatation et de leur élevage, car tous les spécimens que tu trouveras seront d'origine sauvage, est leur alimentation. Sans vouloir être désagréable, et tu le sais, il est préférable que tu oublies pour l'instant ces espèces. Un jour viendra, je l'espère pour toi, où tu auras acquis assez d'expérience pour le lancer dans ce challenge. En attendant, si tu veux maintenir des espèces arboricoles et de couleur verte, tu peux acquérir des Gonyosoma oxycephalum nées en captivité.

http://www.bio.usyd.edu.au/Shinelab/publications/chapters/r11.pdf