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Tout ce qui a été posté par askook
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L'élevage de l'iguane vert L'iguane commun fait partie des grands classiques de la terrariophilie. Pour autant, son élevage ne s'improvise pas. C'est pourquoi l'ouvrage « L'Élevage de l'Iguane » décrit en détail toutes les règles d'aménagement de son terrarium, comment le nourrir de façon correcte et même comment le soigner, sans oublier son mode de vie à l'état naturel et sa biologie. de Philippe Gérard Edt Philippe Gérard
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L'élevage des agames aquatiques et des basilics L'agame aquatique constitue un peu l'équivalent de l'iguane sur le continent asiatique. Comme lui, il peut faire un bon lézard de compagnie, tout en étant de taille plus modeste. Pour apprendre à le connaître et à bien l'élever, ainsi que ses proches cousins américains, les fascinants basilics. de Philippe Gérard Edt Philipe Gérard
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L'élevage du gecko léopard Le gecko léopard est probablement le lézard le plus adapté à la captivité. Dans cet ouvrage, vous apprendrez comment aménager son terrarium, le nourrir, le soigner et obtenir sa reproduction. Écrit par un éleveur passionné par cette espèce, à l'intention des passionnés, mais aussi pour tous ceux qui ont tout simplement envie de découvrir un lézard vraiment attachant. de Philippe Gérard Edt Philippe Gérard
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Les faux corail De plus en plus populaires, ces magnifiques couleuvres nord-américaines n'avaient avant cet ouvrage jamais fait l'objet d'un livre spécifique en langue française. Désormais, les amateurs ont à leur disposition tous les éléments d'information pour les élever avec succès et découvrir toutes les espèces et sous-espèces de faux corail. de Philippe Gérard, Stéphane Rosselle, Pierre Moret Edt Philippe Gérard
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Thamnophis et Nerodia Les couleuvres aquatiques nord-américaines des genres Thamnophis et Nerodia, figurent parmi les serpents les plus couramment élevés par les terrariophiles de tous âges et de tous niveaux. Malgré cela, aucun ouvrage francophone ne leur avait été consacré jusqu'alors. Frédéric Marquet, vous emmène à la rencontre de ces animaux et vous livre tous ses secrets pour les élever, les soigner et même obtenir leur reproduction. de Frédéric Marquet et Philippe Gérard Edt Philippe Gérard
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L'élevage des serpents rois, serpents des blés et autres colubridés Ce livre traite de l'élevage en terrarium d'un grand nombre de couleuvres très répandues en captivité, tels les Pantherophis guttatus, Lampropeltis et autres Lamprophis. Il est illustré de nombreuses photos de Philippe Gérard Edt Philippe Gérard
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L'élevage du python vert Morelia viridis Pour tout savoir sur un serpent mythique, le célèbre "Chondro", rêve de bien des terrariophiles. Dans cet ouvrage, Thierry Boulaire, référence française pour l'élevage de cette espèce, vous révèlera tous les secrets pour l'élever, le soigner et même le reproduire. Il vous fera aussi découvrir les différentes phases et races, toutes plus belles les unes que les autres. de Thierry Boulaire Edt Philippe Gérard
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Toutes les tortues du monde Avec une soixantaine d'espèces ajoutées à l'édition de 1996 (316 espèces au total), un texte, une nomenclature et une iconographie entièrement revus, la nouvelle encyclopédie de Toutes les tortues du monde propose un panorama exhaustif de la famille des tortues. Certaines des espèces présentées n'avaient encore jamais été décrites. Pour chaque espèce, critères d'identification, répartition, biologie sont présentés en détail. La question des menaces et de la protection est traitée dans tous les cas où les espèces subissent des pressions écologiques. Chaque espèce est illustrée par une carte permettant de visualiser rapidement sa répartition. L'iconographie elle aussi est exceptionnelle : l'ouvrage est le fruit d'un travail de fond et de recherches in natura, et une grande partie des illustrations sont des clichés de terrain, parfois inédits. L'encyclopédie de Toutes les tortues du monde est donc un volume universel et complet, une référence scientifique unique en son genre. Orientée vers la protection de ces animaux suvent malmenés et menacés, elle s'inscrit aussi dans une démarche à la fois pédagogique et militante. 416 pages hautes en couleurs, format 19 x 27,5 cm, relié. de Franck Bonin, Bernard Devaux, Alain Dupré Editions Delachaux & Niestlé collection : les encyclopédies du naturaliste. Prix: 45€
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C’est la fin d’une longue controverse en paléontologie. Le réexamen d’un fossile trouvé en 1995 démontre que les grenouilles et les salamandres dérivent d’un ancêtre commun bien plus récent qu'on ne le pensait. Etonnamment, la période mise en évidence pour la séparation de ces deux groupes de batraciens diffère nettement de ce que semblaient indiquer les données moléculaires. Les paléontologues sont heureux, en particulier Jason Anderson, professeur assistant à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Calgary. Ils tiennent maintenant le chaînon manquant établissant un lien indiscutable entre les grenouilles et les crapauds d'une part (c'est-à-dire les anoures) et les salamandres et les tritons d'autre part (les urodèles). Ces batraciens diffèrent par leur apparence et leurs modes de vie. Très inféodés au milieu aquatique, les urodèles ont un corps allongé, une longue queue et quatre petites pattes. Les anoures (étymologiquement sans queue) se reconnaissent immédiatement à leurs longues pattes arrière. Spectaculaire, la métamorphose transforme une larve ressemblant à un poisson, avec des branchies, en un animal à poumons. Les anoures ont su s'éloigner du milieu aquatique, avec des stratégies variées. Certaines espèces de crapaud ont même inventé la viviparité... De telles différences incitent à éloigner ces deux groupes et les données génétiques (l'horloge moléculaire) plaident d'ailleurs pour une séparation assez ancienne. Il est même possible que les urodèles ne constituent pas un groupe homogène. Bref, les premiers conquérants vertébrés des terres émergées conservent encore bien des mystères... C’est en réexaminant un fossile trouvé au Texas en 1995 par Nicholas Hotton, lors d’une campagne de fouille organisée par la Smithsonian Institution, que Jason Anderson et ses collègues ont réalisé que le petit fossile découvert alors avait de nombreux points communs avec à la fois les salamandres et les grenouilles. Le crâne, la colonne vertébrale et des dents de Gerobatrachus hottoni (du nom de son découvreur) sont un mélange de caractéristiques appartenant aux anoures et aux urodèles. Notamment, le fossile possède deux os de la cheville fusionnés, une caractéristique des urodèles, mais un crâne léger et large, similaire à celui d'un anoure. Il n’est pas sûr que les grenouilles, les crapauds, les salamandres et les tritons dérivent précisément du Gerobatrachus hottoni mais en tout cas ce dernier doit être étroitement apparenté à leur ancêtre, un batracien du groupe des temnospondyles. La découverte permet ainsi aux chercheurs de corriger les estimations sur la date de la séparation des deux groupes, jusque-là basées sur les horloges moléculaires. Elle serait bien plus récente que ce que l'on pensait. Ils l’estiment maintenant à une période située quelque part entre 240 et 275 millions d'années. Gerobatrachus, lui, vivait au Permien, il y a 290 millions d’années. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/paleontologie/d/on-tient-le-chainon-manquant-entre-grenouilles-et-salamandres_15613/
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Des insectes utilisent des plantes comme un téléphone
askook a posté un sujet dans Insectes et Autres Invertébrés
Entre ceux qui volent et ceux qui rampent, des insectes d'espèces différentes mais s'intéressant aux mêmes plantes peuvent se laisser des messages sur les feuilles. Pour qu'on les laisse tranquilles, ils inscrivent, olfactivement, « Occupé ». C'est une sorte de coopération entre différentes espèces d'insectes que viennent de mettre en évidence des chercheurs hollandais du NIOO (Institut néerlandais d'écologie). Lorsqu'un insecte vivant sur le sol, mangeur de racines, s'installe sur une plante qui lui convient, il grimpe sur ses feuilles et y dépose un message chimique, signifiant très exactement « cette plante est déjà occupée ». Si d'aventure, un insecte volant entendait utiliser cette plante, il saura lire cette pancarte olfactive et aller un peu plus loin. En découvrant ce phénomène, Roxina Soler et ses collègues (Jeffrey Harvey, Martijn Bezemer, Wim van der Putten et Louise Vet) ont ainsi résolu une énigme ancienne : pourquoi certains insectes volants semblent-ils moins se plaire lorsqu'on les force à vivre sur des plantes colonisées par des insectes fouisseurs ? Ces chercheurs travaillent au Département des interactions multitrophiques. Comme le nom du laboratoire l'indique, son sujet d'intérêt est l'étude des liens qui se tissent entre différents niveaux trophiques, c'est-à-dire entre des organismes qui occupent des places différentes dans la chaîne alimentaire. Les ennemis de mes ennemis sont mes amis Leurs observations ont porté sur les petits occupants de la moutarde noire (Brassica nigra), colonisée du sol au plafond par un diptère (la mouche du chou), un lépidoptère (la piéride du chou) et deux hyménoptères, une guêpe parasite de chenille et l'un de ses propres parasites. La présence du diptère modifie manifestement l'attractivité de la plante pour les autres insectes. Les interactions sont complexes. On peut penser que le premier sens du message est de signaler aux insectes volants la présence d'un occupant, ce qui évite ainsi une concurrence inutile entre espèces. Mais ce signal olfactif attire aussi les prédateurs des chenilles, comme la guêpe parasite qui y pondent leurs œufs. L'histoire ne s'arrête pas là car le message intéresse aussi des hyperparasites, comme Lusibia nana, qui, eux, vivent aux dépens des parasites de chenilles... Ces interactions sont aujourd'hui très mal connues. Beaucoup de travail a été effectué sur les phéromones, qui servent de moyen de communication entre individus d'une même espèce, par exemple entre mâles et femelles. Manifestement, les échanges existent aussi entre des animaux différents mais partageant le même milieu. On commence seulement à s'intéresser vraiment à cette échelle interspécifique. Ce travail est un début, pour tenter de mieux comprendre ces interactions entre des organismes aériens et souterrains, entre herbivores, carnivores et parasites. La relation entre animaux et végétaux figure également au programme car les plantes sont loin d'être d'être passives dans ce concert olfactif destiné à écarter les malfaisants ou attirer les ennemis des ennemis. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/biologie-1/d/des-insectes-utilisent-des-plantes-comme-un-telephone_15387/ -
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Un serpent affole la population à As Un serpent a semé la panique vendredi dans le centre de As (Limbourg). Ignorant l'espèce exacte du reptile, le centre de revalidation Natuurhulpcentrum d'Opglabbeek a été averti. Le serpent a ensuite été capturé. Un promeneur avait remarqué le serpent dans la rue et avait prévenu la police locale. Le centre d'aide à la nature d'Opglabbeek a ensuite été averti. Le personnel du centre a reconnu un serpent chasseur, un reptile originaire d'Amérique du Sud, et l'a capturé. "Ce n'est pas un serpent venimeux, mais qui mord facilement", a précisé Sil Janssen du centre de revalidation. Le serpent, d'environ un mètre de long, s'est probablement échappé de la propriété d'un particulier, a-t-il encore dit. Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/287447/2008/05/23/Un-serpent-affole-la-population-a-As.dhtml -
Le dessus de la tête du Lampropeltis getula splendida est de couleur noire, alors que celle du Lampropeltis getula floridana est de la même couleur que sa face dorsale. Le nombre de dessins dorsaux est plus important (42-97) chez Lampropeltis getula splendida , alors qu'ils sont au nombre de 22 à 68 chez Lampropeltis getula floridana. Le nombre d'écaille est aussi légèrement différent: Lampropeltis getula floridana Rangées d'écailles dorsales: 23-25 Nombre d'écailles ventrales: 201-221 (moyenne 216) Nombres d'écailles sous-caudales: 44-58 (moyenne 53) Nombres d'écailles supralabiales: 7-8 Nombres d'écailles infralabiales: 9-10 Lampropeltis getula spendida Rangées d'écailles dorsales: 23-25 Nombre d'écailles ventrales: 199-237 Nombres d'écailles sous-caudales: 40-62 Nombres d'écailles supralabiales: 7-8 Nombres d'écailles infralabiales: 9-10
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Il me semble que sûr les deux dernières photos, on aperçoit un oeuf sur la droite. Chaque ponte est constituée de 2 œufs, parfois un seul. On peut reconnaître une femelle gravide en regardant son ventre : les deux œufs, assez grands, sont visibles en tant que masses blanchâtres des deux côtés de la face ventrale.
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Deux Belges sur dix fuient les araignées pour une question d'hygiène, elles angoissent sept Belges sur dix et un Belge sur dix sera même confronté au cours de son existence au problème de l'arachnophobie, selon une étude menée par la société arachnologique de Belgique (Arabel) et l'université de Gand. Pour Koen Van Keer (Arabel), cette phobie proviendrait de notre manque de proximité de la nature. Elle serait donc due à l'évolution de la vie en société. La littérature montre ainsi que l'homme avait jusqu'en 1750 un comportement très différent à l'égard des araignées, qu'il tuait rarement. Aujourd'hui, l'arachnophobie peut même être profondément inscrite dans nos gènes. Ce qui peut s'expliquer par le fait que, dans un lointain passé, l'araignée était considérée comme une tueuse d'homme. Ce risque est aujourd'hui quasiment nul mais le réflexe d'angoisse n'en a pas disparu pour autant, commente le représentant d'Arabel. Il note aussi que cinq fois plus de femmes que d'homme ont peur des araignées mais il n'a aucune explication pertinente justifiant ce phénomène. Il constate cependant que les femmes qui ont des enfants ont davantage peur des araignées que les autres. Les résultats de cette enquête seront publiés cette semaine dans le périodique Arabel. La question fera aussi l'objet d'une conférence. Et l'éminent spécialiste de préciser qu'aucune araignée ne sera montrée au cours de cette conférence, ceci pour permettre aux personnes qui souffrent d'arachnophobie d'y assister. La conférence se tiendra dans les locaux de l'Ecohuis, Turnhoutsebaan à Borgerhout. L'entrée est gratuite mais il est demandé de réserver au numéro de téléphone 03/217.08.20 ou via leen.aertsen@stad.antwerpen.be Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/282429/2008/05/20/Le-Belge-n-aime-pas-les-araignees.dhtml
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