Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

askook

Membres
  • Compteur de contenus

    13 188
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par askook

  1. Impressionnant tous ces Boïdés Un gros faible pour les "rétic"
  2. askook

    mes serpents.

    J'ai l'impression que tu aimes bien les "viridis" Superbe famille
  3. Vie en captivité Terrarium L'on rencontre souvent dans la littérature des tailles minimum de 80 x 40 x 50 cm pour maintenir les serpents des pins. Personnellement, je trouve ces dimensions un peu petites. Je maintiens mes spécimens adultes, quelque soit la sous-espèce, dans des terrariums de 105 x 60 x 60 cm. Des dimensions de 120 x 70 x 60 cm me paraissent être le maximum. L'aménagement du terrarium doit être simple et sobre. Les décors devront être solidement fixés, les serpents des pins pouvant tout bousculer sur leur passage. Le substrat peut être composé de copeaux, ou de papier journal. Si l'on emploie ce dernier type de substrat, on peut dire adieux à l'esthétique car il sera constamment chiffonné. Les serpents des pins cherchant en permanence à passer en dessous. On peut, pour permettre aux spécimens de fouir, mettre à sa disposition un grand récipient rempli de copeaux. Pituophis melanoleucus melanoleucus. Photo Chance & Askook. Différentes cachettes seront disposées au sol et une grosse branche pourra être installé à l'horizontale. On peut aussi compléter le décor avec des plantes atificielles. Un récipient d'eau, toujours propre sera disposé au point froid. Celui n'aura pas besoin d'être grand, il est rare de retrouver un spécimen de Pituophis melanoleucus ssp dans son bac d'eau. Par contre, il devra être lourd, sinon il sera souvent renversé. Le taux d'humidité ne devra pas dépasser les 50%, et le sol devra être toujours sec. Le chauffage peut être par rayonnement ou par conduction (câble ou plaque placés sous le terrarium). Les température seront les mêmes pour les trois sous-espèces (melanoleucus, lodingi, mugitus). En journée, elles seront comprise entre 24 et 26° C, avec un point chaud à 28/30° C qui servira au spécimen, à se réchauffer le matin ou à digérer. La nuit, elles seront abaissées à 20/22° C. L'éclairage devra être modéré, mais présent et d'une durée de 10 à 12 heures en période d’activité. Il sera dispensé par un ou deux tubes fluorescents, sans UV. Cet éclairage est important, car les serpents des pins n’ont en aucun cas de mœurs totalement nocturnes comme beaucoup de terrariophiles le pense, ou comme on peut souvent le lire. Mes Pituophis melanoleucus melanoleucus et Pituophis melanoleucus lodingi sont en mouvement toutes la journée et ne vont nullement dans les cachettes, seul mes Pituophis melanoleucus mugitus sont plus discrets dans cette même période. Nourriture La prise de nourriture (proies mortes) ne pose, généralement, aucun problème. Certains spécimens de Pituophis melanoleucus lodingi, peuvent refuser toutes proies mortes d'un coup d'un seul, et n'accepter que des proies vivantes ou assommées. Les serpents des pins ayant un gros appétit, il faut veiller à ne pas suralimenter les spécimens détenus en captivité. Mes spécimens adultes mangent deux grosses souris, en un seul repas, toutes les deux semaines. Les proies acceptées peuvent êtres des rats, des souris, de jeunes lapins, des hamsters et des poussins. Ces derniers devront être proposés que très occasionnellement. Pituophis melanoleucus melanoleucus. Photo pour illustration. Source: Google Reproduction La reproduction de Pituophis melanoleucus ssp est facile et courante. Tous les spécimens, qui sont proposés, sont issus de captivité. Les Pituophis melanoleucus ssp sont, pour la plupart, protégés à l'état sauvage dans une bonne partie de leur aire de répartition. Pour l'obtenir une reproduction (attendre l'âge de 3 ans pour une femelle), il faut commencer par faire une période d'hibernation de 2 à 3 mois à une température de 12/14° C et sans luminosité. Pour certains spécimens, une simple période de repos à 18° C, sans lumière et sans alimentation suffit. Une fois, les spécimens sortis de cette hibernation, l'accouplement ne tarde pas. Il faut éviter de mettre plusieurs mâles ensemble. Des combats violents entre mâles sont fréquents. J'ai déjà perdu un mâle suite à des morsures reçues lors d'un combat. Au bout de 6 à 8 semaines, une ponte comprise entre 4 (pour de jeunes femelles) et 14 oeufs (jusqu'à 24 pour Pituophis melanoleucus melanoleucus) sera déposée dans le terrarium. Malgré une boite de ponte, il arrive très fréquemment que la ponte soit faite n'importe où dans le terrarium (c'est le cas, pour toutes mes pontes de serpents des pins). Une fois, la ponte faite, il faut mettre les oeufs dans un incubateur. Et c'est là que le point le plus délicat arrive. La température de l'incubation doit être comprise entre 25 et 27° C, avec un taux d'hygrométrie entre 90 et 100%, en faisant attention à ne pas dépasser la valeur maximale. Une incubation avec une température trop élevée, donne des juvéniles malformés ou mort-nés. Spécimen nouveau-né malformé de Pituophis melanoleucus melanoleucus. Photo Chance & Askook. Les naissances arriveront au bout de 60 à 67 jours d'incubation. Les nouveau-nés mesureront entre 35 et 60 cm selon la sous-espèce. L'alimentation de ces jeunes ne pose aucun souci, seul quelques rares spécimens refusent leur premier repas, après la mue post natale. Ces premiers repas seront composés de souriceaux ou ratons. Les jeunes seront élevés dans un premier temps à l'unité. Personnellement, je préfère les élever, dès leur premier repas pris, par deux. J'ai remarqué que les jeunes spécimens devenaient beaucoup plus vite sociable, et avaient moins tendance à vouloir mordre, élever ainsi. Conclusion Les serpents des pins (Pituophis melanoleucus ssp) sont des spécimens qui ne posent aucun problème à maintenir. Avec de bonnes conditions de maintien, leur espérance de vie peut atteindre les 15 à 19 ans. Seule leur taille, leur réputation agressive peuvent être un frein lorsque l'on veut acquérir un serpent des pins. Pituophis melanoleucus melanoleucus, a la réputation d’être la sous-espèce la plus agressive de toute. Ce qui lui vaut d’être la moins populaire chez les terrariophiles. En ce qui concerne mon expérience, je n’ai jamais rencontré de problème particulier d’agressivité chez le serpent des pins du Nord. Pituophis melanoleucus mugitus, est un peu plus discret et farouche que les deux autres sous-espèces. Pituophis melanoleucus mugitus. Photo Chance & Askook
  4. Pituophis melanoleucus ssp Généralités Origine Le genre Pituophis fut décrit par Holbrook en 1842. L’origine du nom Pituophis divise les auteurs. Pour certains, il viendrait du grec "pity" qui veut dire: pin et "ophios" qui veut dire: serpent. Pour d’autres, les racines seraient latines et grecques. De "pituitarius": sifflement et "ophios": serpent. La première origine est la plus largement acceptée, cependant la deuxième semble la plus applicable. Systématique Comme pour l’origine, la systématique du genre Pituophis est incertaine. En 2000, Rodríguez-Robles, J.A. & De Jesús-Escobar, J.M ont révisé ce genre et ont replacé certaines sous-espèces (affinis, annectans, bimaris, catenifer, deserticola, sayi, vertebralis) de Pituophis melanoleucus chez Pituophis catenifer. Seules maintenant sont valides les sous-espèces suivantes. - Pituophis melanoleucus melanoleucus (Daudin, 1803) - Pituophis melanoleucus lodingi Blanchard, 1924 - Pituophis melanoleucus mugitus Barbour, 1921 Avec tous ces changements de systématique, les noms communs des espèces et sous-espèces du genre Pituophis sont confus. On rencontre dans la littérature les noms suivants (serpent taureau, serpent des pins, serpent taupe, serpent gopher). En ce qui concerne Pituophis melanoleucus, le nom commun approprié est serpent des pins. - Pituophis melanoleucus melanoleucus : serpent des pins du Nord - Pituophis melanoleucus lodingi : serpent des pins noir - Pituophis melanoleucus mugitus : serpent des pins de Floride Répartition géographique La répartition géographique du Pituophis melanoleucus se trouve à l’Est des Etats-Unis. Du New-Jersey au Nord (Pituophis melanoleucus melanoleucus) jusqu’en Louisiane au Sud (Pituophis melanoleucus lodingi). Elle se réparti ainsi selon les sous-espèces : - Pituophis melanoleucus melanoleucus : New Jersey (Sud), Virginie (Ouest), Caroline du Nord (Sud), Kentucky (Sud/Est), Caroline du Sud (Ouest), Tennessee (Est), Georgie (Nord), Alabama (Sud). - Pituophis melanoleucus lodingi : Alabama (Sud/Ouest), Missisippi, Louisiane (Est), Floride. - Pituophis melanoleucus mugitus : Caroline du Sud (Sud), Georgie, Floride (Sud). Carte pour illustration. Source: Google Biotope Pituophis melanoleucus ssp fréquentes des biotopes variés. Ces biotopes partent des côtes de l’océan Atlantique jusqu’aux régions montagneuses, mais aucun biotope se trouve à plus de 700 m d’altitude. Ils vivent dans les régions boisées (pinèdes, forêts de chênes), les prairies buissonneuses, les plaines, les exploitations agricoles, pâturages. Les serpents des pins évitent toutes zones humides Description Aspect: Les spécimens Pituophis melanoleucus ssp sont des grands et puissants colubridés. Leur tête est distincte du cou, avec un museau pointu recouvert d’une écaille rostrale agrandie. Les spécimens du genre Pituophis possèdent plus d’écailles sur le dessus de la tête que tout autre colubridé, avec quatre écailles préfrontales au lieu des deux habituelles. Ils possèdent de grands yeux ronds. Une bande sombre traverse le front à l’avant des yeux. Leur écaillure est fortement carénée. Pituophis melanoleucus melanoleucus. Photo pour illustration. Source: Google Coloration Pituophis melanoleucus melanoleucus est considérée en général par les terrariophiles la plus belle. La coloration de fond de Pituophis melanoleucus melanoleucus est beige clair, presque blanche dans la plus grande majorité des spécimens. Elle peut cependant être jaunâtre, brunâtre, gris clair ou rougeâtre. Sur le dos, se trouvent de 25 à 32 dessins noirs ou sépia très bien définis, partant du cou, devenant de plus en plus espacés en allant vers la queue, tout en passant du marron foncé pour finir brun rougeâtre vers la queue. Sur celle-ci, on trouve de 5 à 8 taches. Sur les flancs se trouvent de multiples petites taches. La face ventrale est blanche, jaunâtre généralement maculé de noir. Pituophis melanoleucus melanoleucus. Photo Chance & Askook La livrée et les dessins de Pituophis melanoleucus mugitus sont assez proches de Pituophis melanoleucus melanoleucus. La différence essentielle réside dans la couleur de fond, qui est très variable. Elle va du blanc au gris pâle ou gris cendré, en passant par brun rougeâtre ou bronze. Sur le dos, se trouvent de 25 à 31 dessins, mal définies sur la partie antérieure du dos, devenant plus distinctes sur la partie postérieure. Elles sont elles-mêmes fortement variables, étant presque invisibles chez certains spécimens, brun-rougeâte, brique, bronze foncé. Sur la queue, on trouve de 5 à 10 taches. Pituophis melanoleucus mugitus. Photo Chance & Askook La couleur de fond de Pituophis melanoleucus lodingi est uniformément noire ou marron foncé. De faibles dessins peuvent s’apercevoir sur la partie postérieure du corps ou sur la queue. En Floride, le croisement naturel entre Pituophis melanoleucus lodingi et Pituophis melanoleucus mugitus donne naissance à des spécimens de couleur noir ou brun très foncé, avec une face ventrale blanchâtre parsemée de taches noires. Pituophis melanoleucus lodingi. Photo Chance & Askook Taille Pituophis melanoleucus melanoleucus: de 130 à 160 cm. Maximum connu 210 cm. Pituophis melanoleucus lodingi: de 120 à 160 cm. Maximum connu 230 cm (spécimen appartenant à un terrariophile suédois). Pituophis melanoleucus mugitus: de 120 à 170 cm. Maximum connu 228 cm. Biologie Moeurs Les Pituophis melanoleucus ssp sont terricoles. Ils fréquentent les sols sableux (typique d'une bonne partie de son aire de répartition) pour y creuser des terriers ou la litière des sous-bois, dans lesquels ils passent la journée. Ils profitent aussi de refuges sombres touts faits, du style terriers de rongeurs, tas de bois, crevasses, cavernes. Actifs le matin et en fin de journée, il profite de ces moments pour partir en chasse. Si les températures deviennent trop élevées, les serpents des pins transfèrent leur activité principale en fin de journée jusqu'aux premières heures de nuit. Pituophis melanoleucus mugitus. Photo pour illustration. Source: google Peu enclin à grimper, certains spécimens surtout les jeunes, peuvent quand même se rencontrer dans des buissons pour aller se nourrir en pillant les nids de ses occupants. Nourriture L'alimentation naturelle des Pituophis melanoleucus ssp est composé de gopher ou spermophile (animal voisin de l'écureuil mais aux moeurs terrestres et doté d'une queue courte). Elle se compose aussi de rongeurs, d'oiseaux, de volailles ainsi que de leurs oeufs. Le fait de manger de la volaille ne rend pas toujours, aux yeux des fermiers, très sympathique les serpents des pins. Comportement Les Pituophis, en général, ont mauvaise réputation. Les Pituophis melanoleucus ssp ont tendance à ouvrir en grand leur gueule, à souffler et à faire vibrer leur queue lors que l’on essaie de les attraper, voire lorsqu’ils sont jeunes à frapper. Ces frappes sont défensives et se font généralement gueule fermée. Une fois toutes ces attitudes d’intimidation passés et une fois dans la main, les serpents des pins sont aussi calmes qu’un "Pantherophis guttatus". Jeune spécimen de Pituophis melanoleucus lodingi. Photo pour illustration. Source: Google Reproduction Selon l'aire de répartition des serpents des pins, la durée de la période d'hibernation varie. Elle peut commencer en septembre et finir en avril. Pour Pituophis melanoleucus mugitus, il arrive, dans sa partie la plus au sud de son aire de répartition, de trouver au mois de décembre des spécimens encore en activité. La période d'accouplement commence quant à elle, juste après la sortie d'hibernation et dure jusqu'en mai ou juin. Après une gestation de 6 à 8 semaines, une ponte allant de: - Pituophis melanoleucus melanoleucus: 4 à 24 oeufs. - Pituophis melanoleucus lodingi: 4 à 8 oeufs - Pituophis melanoleucus mugitus: 4 à 8 oeufs. est déposée en juin ou juillet. La taille des oeufs est comprise entre: - Pituophis melanoleucus melanoleucus: 45 et 70 mm de long pour un diamètre de 25 à 45 mm - Pituophis melanoleucus lodingi: 70 et90 mm de long pour un diamètre de 30 à 45 mm. - Pituophis melanoleucus mugitus: 70 et 110 mm de long pour un diamètre de 30 à 50 mm. Ponte de Pituophis melanoleucus melanoleucus. Photo Chance & Askook La femelle dépose sa ponte dans un trou, creusé par ses soins, dans un substrat sablonneux. Ces emplacements sont utilisés pendant plusieurs années par la femelle, ainsi que d'autres. Les nouveau-nés naissent en août/septembre (Pituophis mlanoleucus melanoleucus) ou septembre/octobre (Pituophis melanoleucus mugitus). Ils ont alors une longueur de: - Pituophis melanoleucus melanoleucus: 35 à 50 cm - Pituophis melanoleucus lodingi: 40 à 50 cm - Pituophis melanoleucus mugitus: 36 à 60 cm La coloration correspond plus ou moins aux spécimens adultes, mais la couleur de base est, généralement, légèrement plus lumineuse. Pour les jeunes Pituophis melanoleucus lodingi, leur coloration peut être noire ou brun noir. Ils possèdent des dessins qui ressemblent à ceux du Pituophis melanoleucus melanoleucus. À la fin de la première année, le dessin disparaît et la plupart des animaux deviennent noir. Jeune spécimen de Pituophis melanoleucus lodingi. Photo pour illustration. Source: Google
  5. askook

    mes bci + dumerili

    Superbe famille de boïdés
  6. askook

    Ptit nouveau

    Si tu me mets sur ton testament, comme héritier pour ton "retic", fais attention à toi
  7. Magnifique spécimen Quel âge et quelle taille
  8. askook

    Voila Fonzie

    Sympathique ce petit "pogo"
  9. On s'y fait, à ces petites bêtes
  10. Reggie, alligator débrouillard, s'échappe d'un enclos du zoo de Los Angeles L'alligator Reggie, capturé en mai dans un lac californien après avoir nargué les autorités pendant un an et demi, s'est échappé de l'enclos du zoo de Los Angeles qui l'avait pris en pension, a-t-on appris mercredi auprès du parc animalier. 15 août 22:30 - LOS ANGELES (AFP). Tôt mercredi matin, les gardiens du zoo se sont rendu compte que Reggie n'était plus dans l'enclos tout neuf où il avait été placé la semaine dernière. Le personnel a fiévreusement fouillé le parc et fini par découvrir le reptile de deux mètres de long et de 50 kg près d'un entrepôt. Selon le porte-parole du zoo, Jason Jacobs, Reggie a apparement réussi à escalader un muret. "Reggie est un alligator débrouillard", a constaté M. Jacobs. L'animal a été placé dans une zone de quarantaine, le temps pour le personnel de réhausser le mur. Reggie est une célébrité locale à Los Angeles. Lâché dans un lac du sud de la ville par un amateur de reptiles, qui a depuis été condamné, l'animal a échappé pendant 18 mois à toutes les tentatives de capture. La municipalité a dépensé quelque 200.000 dollars en diverses opérations avant de réussir à l'attraper. Source: http://actualite.aol.fr/insolites/reggie-alligator-debrouillard-s-echappe-d-un-enclos-du-zoo-de-los-angeles/576426/p-article_cat/article_titre/article_id/article.html
  11. Rien ne vaut l'expérience, même chez la fourmi L'expérience acquise durant leur jeunesse par les fourmis de l'espèce Cerapachys biroi détermine leur comportement à l'âge adulte, suggèrent des chercheurs français dans une étude publiée par la revue Current Biology. Au cours d'une phase de fourragement, durant laquelle les fourmis recherchent de la nourriture pour les larves, les biologistes du Laboratoire d'éthologie expérimentale et comparée de l'Université Paris-13, dirigés par Pierre Jaisson, ont divisé les insectes en deux groupes. La moitié d'entre eux a été placée dans une zone contenant des espèces qui servent de proie aux Cerapachys biroi, et l'autre moitié des individus s'est retrouvée dans une aire sans proie. Un mois plus tard, lors de la phase de fourragement suivante, ont noté les scientifiques, "la première moitié du groupe s'était spécialisée dans la recherche de nourriture. Inversement, les fourmis qui auparavant n'avaient jamais rencontré de succès dans leur recherche de nourriture s'étaient, elles, orientées vers l'élevage des jeunes à l'intérieur du nid". "L'histoire individuelle joue (donc) un rôle dans l'organisation des sociétés d'insectes. L'expérience vécue apparaît bien comme une variable fondamentale du développement comportemental", ont relevé les chercheurs. Originaires du Japon et de l'île de Taïwan, les fourmis Cerapachys biroi ont été choisis pour cette expérience parce qu'elles se reproduisent par parthénogènese, c'est-à-dire sans fécondation: les individus sont tous les clones les uns des autres, ce qui a permis de s'affranchir des quatre facteurs déterminants dans la division du travail au sein d'une colonie d'insectes: la génétique, la morphologie, les relations de dominance et l'âge. Cerapachys biroi Photo pour illustration. Source: Google En outre, leur cycle de reproduction en deux phases, synchronisé sur le développement du couvain (ensemble formé par les oeufs, les larves et les nymphes) a rendu possible la constitution de groupes de jeunes individus du même âge, les oeufs éclosant le même jour, ce qui a permis d'éliminer le dernier facteur de division du travail. "On l'a longtemps supposé, c'est aujourd'hui une certitude: l'histoire individuelle joue un rôle dans l'organisation des sociétés d'insectes", concluent les chercheurs. Source: http://actualite.aol.fr/sciences/rien-ne-vaut-l-experience-meme-chez-la-fourmi/564046/p-article_cat/article_titre/article_id/article.html
  12. Trafic de crocodiles sur le Nil Interceptés à l'aéroport dans les bagages d'un contrebandier saoudien, 265 bébés crocodiles du Nil sont devenus les hôtes inattendus du zoo du Caire et le symbole de la recrudescence de ce trafic visant un animal vénéré sous les Pharaons comme Sobek, le dieu des eaux. "C'est du jamais vu, du jamais pris", affirme Ragy Toma, directeur du département égyptien des espèces sauvages. En inspectant dimanche une caisse en bois contenue dans le bagage d'un Saoudien, les douaniers ont découverts la masse grouillante de crocodiles, en plus de cinq cobras et de 40 caméléons. Le jeune homme, à l'identité non révélée, a affirmé qu'il agissait pour le compte d'un institut scientifique saoudien, ce qui n'a nullement convaincu les autorités qui l'ont néanmoins relâché. "Allons donc, ces crocodiles allaient être vendus à des émirs pour qu'ils aillent barboter dans les bassins de luxueuses villas", estime M. Toma. Ils ont été pris, selon lui, par des pêcheurs ou viennent d'une ferme clandestine. Les visiteurs du zoo se pressent devant les nouveaux pensionnaires qui s'entassent autour d'un cuvette d'eau dans une cage vitrée. Son directeur, Nabil Sidki, rêve plutôt de s'en débarrasser. "Seulement une semaine et déjà 30 cm, mais leur taille adulte sera de 4 mètres et ils vivront jusqu'à 100 ans", explique-t-il, assurant que dix seront gardés après sélection et les autres remis dans le lac Nasser, au sud. Si une prise comme celle-ci est sans précédent, une recrudescence du trafic est notable. En 2001, un Jordanien a été arrêté à l'aéroport du Caire avec 60 bébés crocodiles dans une valise. En mars, une femme voilée a même été prise à Rafah, le poste-frontière avec la bande de Gaza, deux crocodiles cachés sous ses vêtements. Elle a affirmé avoir agi "sur commande", sans en dire plus. Les crocodiles vivants sont très recherchés mais aussi leurs peaux, pour le commerce de luxe. Un site internet signale que la marque française Louis Vuitton propose un étui en crocodile pour le nouvel iPhone d'Apple à 1.12O dollars. L'Egypte est signataire de la Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et de flore menacées (CITES) de 1973 qui interdit notamment le commerce international des crocodiles du Nil. Mais la possibilité d'envisager un quota est évoqué alors les crocodiles se sont multipliés en un quart de siècle dans le lac Nasser, immense plan d'eau de 6.000 km2 en amont du barrage d'Assouan, au sud de l'Egypte. Les pêcheurs se plaignent d'une coexistence difficile avec des milliers de crocodiles qui attaquent leurs filets et menaçeraient de les croquer eux-mêmes quand ils sont sur leurs barques. "Nous discutons d'une évaluation scientifique en coordination avec des experts de la CITES, affirme M. Toma. Nous en sommes seulement là, et il est possible qu'au vu des résultats, on passe à un commerce strictement limité". Si les Egyptiens ont oublié, selon le directeur du zoo, le culte pharaonique pour Sobek, lié à la crue du Nil, ils restent fascinés par cet animal qu'ils admirent et redoutent à la fois. "Le crocodile du Nil est le plus gros du monde", affirme un gardien qui dit empêcher tout contact entre "Noix de Cajou", une crocodile égyptienne et "Jack", l'alligator américain d'un bassin voisin. "Ils n'ont pas les mêmes moeurs", dit-il. La presse s'est faite l'écho d'une psychose au crocodile à Maadi, un quartier chic du Caire. Des témoins y auraient vu à la mi-juillet une grosse créature amphibie, en contrebas de l'hôtel Sofitel, riverain du Nil. "On a déclenché sa traque sur ordre ministériel: j'y ai participé sans trouver une preuve de sa présence, même pas une empreinte d'ongle", assure M. Toma. Source:http://actualite.aol.fr/sciences/trafic-de-crocodiles-sur-le-nil/574271/p-article_cat/article_titre/article_id/article.html
  13. Le crocodile voulait jouer les filles de l'air Un crocodile a créé la panique dans une ville russe de la région de la Volga en tombant sur un trottoir après avoir fait une chute du 12ème étage de l'immeuble dans lequel il se trouvait. MOSCOU (AFP) - Un crocodile a créé la panique dans une ville russe de la région de la Volga en tombant sur un trottoir après avoir fait une chute du 12ème étage de l'immeuble dans lequel il se trouvait puis en se remettant tranquillement sur pattes, ont indiqué mardi les autorités locales. L'événement insolite s'est déroulé à Sarov, à environ 500 km à l'est de Moscou, a indiqué une porte-parole de l'antenne locale du ministère des Situations d'urgence citée par l'agence Ria-Novosti. "Le crocodile prénommé Khenar, qui vivait déjà depuis 15 ans chez des amoureux des bêtes exotiques, a basculé par la fenêtre ouverture du balcon, est tombé sur le trottoir suscitant la panique des riverains", a indiqué la porte-parole. Le crocodile long de un mètre a à peine souffert, malgré sa chute d'un des immeubles les plus hauts de la ville, se cassant simplement une dent, a ajouté la porte-parole. Sous le choc, la bête est restée tranquille et ne s'est attaquée à personne. Des sauveteurs sont venus l'attraper avec un lasso, l'ont placé dans un abris pour animaux où quelques heures après ses propriétaires sont venus le chercher pour le ramener chez eux. Source: http://actualite.aol.fr/insolites/le-crocodile-voulait-jouer-les-filles-de-l-air/567014/p-article-edito_cat/article-edito_titre/article-edito_id/article-edito.html
  14. pourquoi tu compte venir avec moi pas de soucis Vacances 2008 au Cap d'Adge, c'est fort probable.
  15. Qu'il est laid le scolopendre Rendez-vous l'annnée prochaine au Cap d'Adge
  16. askook

    première mue

    Elle est superbe "Bony" PS: J'ai mis tes photos en direct et transféré ton post dans la rubrique "photo".
  17. Cela tombe bien, j'ai en ce moment des BB Pituophis catenifer affinis qui sont entrain de naître
  18. Superbes les "pituo" pour l'acquisition du Pituophis catenifer catenifer albinos
  19. askook

    Mon retic dwarf

    Magnifique J'adoreeeeeeeeeeeeeeee
  20. askook

    nos régius

    Beaux spécimens Pourrais-tu donner le nom de leur mutation, pour les non spécialistes du "regius"
  21. Trop Cela ne m'est jamais arrivé pleure
  22. askook

    python regius

    Sympa le "regius"
  23. Spécimens de Vipera aspis ssp albinos Photos pour illustration. Source: google
×
×
  • Créer...