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La majorité des proies, des Gloydius shedaoensisà l'âge adulte, sont issues de l'ordre des Passeriformes (Erithacus sp (rouge-gorge), Emberiza sp (bruant), Luscinia sp (rossignol)). Tous ses oiseaux mesurent dans les 14 cm. On retrouve aussi dans leur alimentation des cailles (Coturnix sp). Les jeunes spéciemens, quant à eux, mangent des scolopendres (Otostigmus politus) ainsi que des isopodes (Metoponorthus pruinosus).

Bothriechis schlegelii Photos pour illustration. Source: Google

Leptophis ahaetulla Chrysopelea paradisi Photos pour illustration. Source: Google

Les "motley" ont des taches sur le dos et des lignes sur les flancs. Le ventre n’a pas de dessin.

La taille, d'un spécimen adulte de Gloydius shedaoensis, est comprise entre 60 et 70 cm (record 99 cm), pour un poids allant de 150 à 300 gr.

Ce n'est pas le documentaire "Sous le signe du serpent" dans lequel on voit Xavier Bonnet (herpétologue de renommée internationale), étudier les capacité d'adaptation des serpents-tigre sur l'île de Carnac (Australie), les "gloydius" sur l'île de Shedao et les serpents marins en Nouvelle-Calédonie. Réalisateur : Luc Jacquet Production : Mona-Lisa - France 5 - Discovery Asia - GA & A - TéléQuébec

Articles sur Gloydius shedaoensis http://www.bio.usyd.edu.au/Shinelab/publications/reprints/343accidentalaltruism.pdf http://www.bio.usyd.edu.au/Shinelab/publications/reprints/348shedaoreview.pdf http://www.bio.usyd.edu.au/Shinelab/publications/reprints/349whydojuvenile.pdf http://www.bio.usyd.edu.au/Shinelab/publications/reprints/372aradiotelemetric.pdf

En mer de Bohai, à l’Est de Pékin, une petite île émerge de l’océan. C’est Shedao, « la montagne du petit Dragon », rien de plus en apparence qu’un rocher aride d’une trentaine d’hectares dans une zone sans grand intérêt. Pourtant cette île est un lieu remarquable. Convoitée par de nombreux occidentaux et par les trafiquants de serpents et de pharmacopée, elle est hautement protégée par la vigilance des autorités chinoises. Car sous son apparente banalité, Shedao recèle un trésor naturel. Elle l’a hérité d’une situation géographique tout à fait originale. En effet cette île est située sur une immense voie de transhumance, une sorte d’autoroute aérienne qui relie la Sibérie aux contrées chaudes du Sud de l’Asie. Deux fois par an, à l’automne et au printemps cette voie est empruntée par des millions d’oiseaux migrateurs dont un grand nombre est obligé de faire étape sur Shedao. L’originalité de Shedao s’explique aussi par un accident de l’histoire terrestre. Il y a très longtemps, le niveau des océans était moindre et Shedao était reliée au continent asiatique. Toutes les créatures étaient libres d’aller et de venir sur la terre jusqu’au jour où les glaciers commencèrent à fondre et le niveau de l’eau à monter. Ceux qui pouvaient voler ou courir rejoignirent le continent mais d’autres se retrouvèrent piégés sur de petits îlots entourés par l’océan. C’est ce qui arriva en particulier aux serpents du genre Gloydius, et plus particilièrement à Gloydius shedaoensis, un crotaliné asisatique, qui vivait alors en grand nombre dans cette région. Photo pour illustration. Source: Asian Pitviper de Gumprecht, Tillack, Orlov, Captain & Ryabow. Edt GeitjeBooks. Berlin Gloydius shedaoensis chassait des proies terrestres comme les rongeurs et les lapins, mais ils eurent tôt fait d’exterminer des proies piégées dans un périmètre aussi restreint. Ils durent alors changer de proies et leurs techniques de chasse pour ne pas mourir de faim, et l’on présume qu’alors, un grand nombre fut décimé par la famine. Mais certains subsistèrent et continuèrent à vivre sur cette île où pourtant il n’y a à manger que deux fois par an. Il y a aujourd’hui 20 000 descendants de Gloydius shedaoensis, 20 000 "Shedaonensis " qui vivent sur cette île d’à peine trente hectares, autrement dit, c'est l'île des "Gloydius".

Belle ouverture de gueule, la demoiselle

Quoi qu'il en soit, joli spécimen

Par pitié, que quelqu'un se dévoue pour aller faire des photos chez Shark Il a de beaux spécimens mais ses sont nulles. Pas la tête, Shark

Un boa bicéphale De quoi perdre la tête...

Il te les faut tous Mais ce n'est pas possible

Sympa les boas

Petites "gutt" deviendront grandes

à tous Le plus marrant, c'est qu'il va falloir tout refaire l'année prochaine Certains terrariums ont plus de dix ans. Vont-ils supporter le déménagement qui se profile Pas sûr

pour la visite, Darwin.

Félicitation danse et bienvenue dans le monde de la reproduction

Jolie "gutt"

Combien mesure Bony Bony est-elle dans son terrarium définitif Quelles sont ses dimensions Où se cache-t-elle Au fond du terrarium N'est-elle pas simplement dans un terrarium qui est un peu trop grand pour elle. Ne se sentant pas forcement en sécurité, elle tente l'intimidation vis-à vis de tout intrus (mains) dans son terrarium, ou qui passe devant celui-ci et, reste cachée pour ne sortir que la nuit, lorsque tout est calme. Une fois dans tes mains, elle est en sécurité et n'a plus besoin d'être sur la défensive.

Sistrurus catenatus catenatus Sistrurus catenatus edwardsi Sistrurus catenatus tergeminus Sistrurus miliarius miliarius Spécimens venant de naître Sistrurus miliarius barbouri Spécimen rouge Sistrurus miliarius streckeri Spécimens venant de naître Sistrurus ravus ravus Sistrurus ravus brunneus Sistrurus ravus exiguus Photos pour illustration. Source: Google

Sympa les mygales, mais j'ai les autres

Sistrurus Garman, 1883 Sistrurus catenatus (Rafinesque, 1818) -Sistrurus catenatus catenatus (Rafinesque, 1818) -Sistrurus catenatus edwardsi (Baird & Girard, 1853) -Sistrurus catenatus tergeminus (Say, 1823) Sistrurus miliarius (Linné, 1766) -Sistrurus miliarius miliarius (Linné, 1766) -Sistrurus miliarius barbouri Gloyd, 1935 -Sistrurus miliarius streckeri Gloyd, 1935 Sistrurus ravus (Cope, 1865) -Sistrurus ravus ravus (Cope, 1865) -Sistrurus ravus brunneus Harris & Simmons, 1978 -Sistrurus ravus exiguus Campbell & Armstrong, 1979 -Sistrurus ravus lutescens Harris & Simmons, 1978 Sistrurus miliarius miliarius Photo pour illustration. Source: Google

Rigolote cette famille de "pogo"

Belle palette... de couleur bien sûr.