askook

Du moment, qu'il y a un acte chirurgical, il serait mieux de l'apporter chez un vétérinaire. Rien de mieux qu'un professionnel... Voici des liens: http://www.vetebrasseur.be/rubriques/rub10/691.html http://www.vetebrasseur.be/rubriques/rub10/827.html

Ce n'est pas qu'on lui apporte des animaux, que certains jeunes terrariophiles ont acquis et, qu'ils n'en veulent plus C'est que là, ce sont des terrariophiles qui ont fait reproduire leur "gutt" et qui n'arrivent pas à céder leur naissance. Ne sachant pas quoi en faire, se rendant compte que le nourrissage d'une dizaine de jeunes à un coût et prend du temps, ils préfèrent les donner.

Quelque soit l'espèce que tu vas choisir, c'est le mieux à faire...

Loin de moi, l'idée d'inciter les terrariophiles d'acquérir du venimeux. Mais par expérience, je sais très bien que lorsque quelqu'un désire une espèce, il finit toujours par la prendre. Il faut alors bien le conseiller. Les plus expérimentés d'entre nous, sont alors là pour cela... Comme le dit, Reckta . Il faut être patient en terrariophilie, surtout pour l'acquisition de certaines espèces. Bien se renseigner et surtout rencontrer des éleveurs sérieux. La patience est une vertue en terrariophilie. Il faut aussi définir pour quelles raisons, on désire telle ou telle espèce. Si c'est pour sa morphologie, sa couleur, ses moeurs, etc. Dans certains cas, Il est possible de trouver des espèces similaires mais moins connues ou moins mythiques.

Quelques '"trimés" Viridovipera vogeli Trimeresurus puniceus Tropidolaemus wagleri Popeia popeiorum Photos pour illustration. Source: google

un autre: http://www.pitviper.nl/index.php

Je ne suis pas forcement d'accord sur le fait de prendre telle ou telle espèce pour se faire la main, avant d'acquérir une espèce dite "agressive" ou venimeuse. Ces espèces de substitutions ne sont pas une bonne chose, à mon avis. Chaque genre, chaque espèce, chaque spécimen sont différents même s'il existe quelques points identiques. Lorsque l'on veut une espèce, il faut se renseigner au maximum sur celle-ci, rencontrer des terrariophiles qui en élèvent, pour apprendre. Lorsque enfin, on se sent près, faire directement l'acquisition de l'espèce désirée. Pourquoi prendre une "gonyo", si l'on désire un boïga

Sympa le "barbu"

Janus est exposée dans l'entrée du musée. C'est tout ce que j'ai pu trouver....

Il faut toujours éviter la cohabitation entre différentes espèces (même pour des spécimens nés en captivité). C'est une base de la terrariophilie. Leur biologie, leur biotope, leur comportement peuvent être différents. Tous ces éléments différents gêneront, un jour ou l'autre, tes serpents et finiront à la longue par déclencher, chez eux, des maladies liées au stress. Pour ton cas, tu as deux espèces originaires de deux continents différents. Pantherophis guttatus originaire d'Amérique du Nord (Etats-Unis) Elaphe climacophora originaire d'Asie (Japon) Fiche d'information sur Elaphe climacophora /Carte-d-identite-Ophidiens-f77/Elaphe-climacophora-t4449.htm

J'ai rencontré, aujourd'hui, un copain qui tient une animalerie... Je voulais lui placer quelques "gutt Impossible Il a en réserve plus d'une centaine de jeune "gutt" de différentes mutations, donnés (je dis bien donné) par des terrariophiles qui ne savent pas quoi en faire. Ne va t-on pas vers une surproduction de juvéniles Pantherophis guttatus par rapport à la demande Que vont devenir tous ces jeunes spécimens

Euprepiophis mandarinus (ex Elaphe mandarina)

Les crochets ne se trouvent pas au fond de la gueule comme on peut souvent le lire... Photo pour illustration. Source: Google

Un terra de quarantaine, doit bien sûr comprendre le minimum vital pour le spécimen qu'il reçoit. Ce minimum doit être facile d'entretien et adapté à l'individu: - substrat hygiénique et jetable (papier absorbant ou papier journal) - plusieurs cachettes et décor (faciles d'entretien) adaptés au "virus" - point d'eau toujours propre

Attend, deux secondes, je demande : " CROWWWWWLEEEEEEEYYY " Facile celle-ci

J'adore les Phelsuma C'est trop beau

Sympa ce petit bout Pour répondre à El Mino et à Arsinoë: C'est peut être que le terrarium de quarantaine Il faut toujours mettre un nouvel arrivant en quarantaine, quel que soit sa provenance. Ne pas le faire, peut avoir des conséquences dramatiques pour un élevage pleure

Et bien, ils sont chauds ces deux là

Janus, la célèbre tortue bicéphale née il y a dix ans au muséum d'Histoire Naturelle de genève, fête son anniversaire le 3 septembre. Elle prouve aisni que de tels animaux peuvent survivre, du moins en captivité. Cette petite tortue terrestre (Testudo graeca), d'à peine 800g, arbore deux têtes qui bougent, mangent et décident indépendamment l'une de l'autre. Elle n'est pas trop gênée par des problèmes de coordination. Cependant, elle n'aurait sûrement pas vécu aussi longtemps avec cette malformation si elle n'était pas chouchoutée dans le terrarium spécialement aménagé pour elle au muséum. Source: Science et Avenir de septembre 2007

Sarco, le plus grand crocodile de tous les temps "Sarco", le plus grand crocodile du monde, vieux de 110 millions d'années --autrement dit, Sarcosuchus imperator--, revit à la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte (Drôme), sous la forme d'une reconstitution qu'on dirait presque en chair et en os. Sarcosuchus imperator (de sarco, "chair", dont le saurien se nourrissait sans doute, suchus, "crocodile", et imperator, "empereur", pour dire le plus grand) avait une longueur de quelque 12 mètres. C'est le plus gros crocodilien connu, sinon le plus gros de tous les temps, ayant existé sur Terre. Le premier fossile, un crâne, qui a servi de base à l'identification scientifique de l'animal, a été découvert en 1964 au Niger par Philippe Taquet, du Muséum national d'histoire naturelle à Paris. Un squelette complet, sans compter des restes partiels, a été trouvé en 1973 et est aujourd'hui exposé à la galerie de paléontologie du Muséum. "C'est impressionnant de voir aujourd'hui cet animal en chair et os, pardon... en résine", dit à l'AFP en souriant Philippe Taquet, venu assister mercredi à l'inauguration de la reconstitution qu'il considère comme "très réussie". "Il semble encore plus grand que lorsque l'on voit son squelette", ajoute le paléontologue et ancien directeur du Muséum. La reconstitution a été réalisée par la société Ophys, spécialisée dans la fabrication de pièces d'exposition à caractère naturaliste et de moulages d'animaux, et basée à Prayssac (Lot-et-Garonne). Elle a nécessité 1.800 heures de travail, 750 kg de résine polyester, quatre hommes et une femme. Ces professionnels dirigés par Emmanuel Janssens Casteels ont travaillé sous le regard attentif de France de Lapparent de Broin, du Muséum, qui avait co-rédigé en 1966 le premier article scientifique sur l'espèce avec son collègue Philippe Taquet. La scientifique a de qui tenir, puisqu'elle est la nièce de Félix de Lapparent, lui aussi paléontologue, et qui avait trouvé dès 1947 dans le Sahara nigérien des dents, vertèbres et plaques d'écailles de l'animal à l'identification duquel elle allait participer dix-neuf ans plus tard. Leur gigantesque "bébé" trône désormais à la Ferme aux crocodiles au milieu de quelque 400 crocodiles, de tortues géantes bien en chair et en os, entourées de 600 variétés de plantes et fleurs tropicales. Source:http://actualite.aol.fr/sciences/sarco-le-plus-grand-crocodile-de-tous-les-temps/600996/p-article_cat/article_titre/article_id/article.html Lien pour une vidéo http://tf1.lci.fr/infos/sciences/histoire/0,,3531472,00-sarco-imperator-fait-show-.html

C'est bien une Latrodectus

"C'est pas la petite bête qui va manger la grosse" Photos pour illustration. Source: Google

Ma première reproduction date de 1987

L'accouplement a eu lieu le 10 juillet. La ponte, quant à elle, est arrivée le 24 août. Soit un total de 45 jours. Je ne fais aucune période de repos. Je fais, par contre, une courte période de sec qui déclenche, une fois fini, l'accouplement. Une fois la femelle gestante, le mâle l'accompagne, séparé ou non de la femelle, dans son jeûne. Un seul accouplement abouti à trois ponte dans l'année, seule la première est à 100% fécondée. Les deux autres, donnent des ovules non fécondées. Autre remarque surprenante. La première ponte, qui est viable, est toujours soigneusement déposée dans la boite à ponte par la femelle, alors que les deux suivantes sont pondus directement d'un branche. Tout ceci est tiré de mon expérience personnelle.

Quelques Elapidae Dendroaspis polylepis Pseudechis colletti Naja annulifera Ophiophagus hannah Photos pour illustration. Source: Google