askook

c'est bien Kevsssss, tu as mis le journal, côté météo, à ton anaconda Il sait comme cela, s'il va y avoir beau temps pour se baigner Je sais, je sors

Sympa tout cela Mais les ampoules n'ont pas l'air protégées

Bien sympathique ce terra Manque peut-être une cachette

Sympa l'installation L'ampoule chauffante n'est pas protégée

J'ai trouvé ceci sur le site de la Ferme tropicale. Python molurus bivittatus nain Cette forme insulaire appartient à une population disjointe en Indonésie. La taille adulte oscille entre 1,80 et 2,5 m. Si la taille est un attrait, le comportement des spécimens de "farming" en est encore très nerveux. Deux mâles et quatres femelles de 50 à 70 cm étaient disponible à 990€ pièce. Qu'en pensez-vous?

J'ai un article sur ce sujet. Dès que je remets la main dessus, je le post...

J'ai acquis chez Michel Luquet quelques uns (2 mâles et 3 femelles) de ces fameux et controversés "colub", hybrides Lampropeltis sp x Pantherophis guttatus. Ces serpents possèdent la morphologie et les dessins des Lampro, mais ont gardé le comportement de la "gutt". Leur croissance fût lente, pour atteindre environ 100 cm, à l'âge adulte pour un petit diamètre au niveau du corps. Après 4 ans d'attente, j'ai voulu reproduire ces "colub" entre-eux. Des accouplements furent observés mais aucune ponte viable, ni même des ovules non fécondées en suivirent. L'année d'après, j'ai mis mes deux mâles "colub (N°1 et N°2)" avec une femelle Pantherophis guttatus albinos, et mon groupe de 3 femelles "colub" (N°1, N°2 et N°3) avec deux mâles Pantherophis guttatus classique. Il y a eu accouplement pour tout le monde. Les résultats furent: - pour la femelle "gutt"1. Une ponte de 12 oeufs dont 9 ont éclos (7 BB viables et 2 BB malformés et morts par la suite) - pour la femelle "colub" N°1. Aucune ponte - pour la femelle "colub" N°2. Aucune ponte - pour la femelle "colub" N°3. une ponte de 6 oeufs dont 4 éclos (tous les BB viables) L'année suivante j'ai séparé mes deux mâles "colub" et je les ai mis avec une femelle "gutt" différente. Des accouplements ont eu lieu. Pour le couple (mâle "colub" N°1 et femelle "gutt"2). Aucune ponte Pour le couple (mâle "colub" N°2 et femelle "gutt"1 (celle de l'année précédente). Une ponte de 12 oeufs dont 12 éclos (tous les BB viables) Pour les femelles "colub", même chose. Toutes séparées avec un mâle "gutt" différent. - pour la femelle "colub" N°1. Aucune ponte - pour la femelle "colub" N°2. Aucune ponte - pour la femelle "colub" N°3. une ponte de 4 oeufs dont 4 éclos (tous viables). Pour la quatrième année de reproduction, j'ai inversé les couples. Pour le couple (mâle "colub" N°1 et femelle "gutt"1). Aucune ponte Pour le couple (mâle "colub" N°2 et femelle "gutt"2). Une ponte de 10 oeufs dont 10 éclos (8 ont survécu) Même chose pour les femelles "colub". Changement de partenaire. - pour la femelle "colub" N°1. Aucune ponte - pour la femelle "colub" N°2. Aucune ponte - pour la femelle "colub" N°3. une ponte de 5 oeufs dont 4 éclos (tous viables). En résumé. Sur le groupe d'origine des 5 "colub" acquis, seul un mâle et une femelle sont reproducteurs. Les trois autres (1 mâle et 2 femelles) sont stériles. Les pontes de la femelle "colub" sont petites en nombre d'oeufs (5 en moyenne). Le couple (mâle "colub" et femelle "gutt") est plus fécond, 10 oeufs en moyenne. Par contre, je n'ai encore jamais eu de naissance avec les spécimens des générations suivantes que j'ai gardé.

Coupe transversale de l'organe de Jacobson d'un Crotalus atrox, montrant les deux conduits situés à l'emplacement des deux pointes de la langue bifide, lorsque celle-ci rentre dans la gueule du serpent ou du lézard. Source: Les reptiles d'après un texte original "The Life of Reptiles" d'Angus Bellairs (1969). Edt Weidenfeld & Nicolson. L'utilisation de la langue bifide des reptiles a fasciné des naturalistes pendant de nombreuses années, bien avant sa signification réelle ne fût comprise. Entre 1930 et 1940, G.K Noble (1894-1940) montra que la langue des serpents et lézards recueillait les particules odorantes et les portait à l'organe de Jacobson, où elles pouvaient être analysées par des cellules sensiorielles. Noble, G.K (1937) - The Sense Organs Involved in the Courtship of Storeria, Thamnophis and Other Snakes. Bulletin of the American Museum of Natural History; v. 73, article 7 Voici le lien pour l'article original (en anglais) http://digitallibrary.amnh.org/dspace/bitstream/2246/872/1/B073a07.pdf

Lamprophis fuliginosus, n'est pas l'espèce la plus facile à démarrer au niveau nourriture. Beaucoup de galère, pour moi aussi...

Je n'élève que du Lamprophis fuliginosus mais de couleur différentes (rouge, gris, marron clair, verdâtre).

Il est préférable d'acquérir un couple de souche différente, mais dans le principe, une reproduction entre spécimen de la même souche ne pose pas de réels problèmes à court terme Ce qui n'est pas le cas à long terme. L'exemple le plus marquant est celui du Casarea dussumieri qui fait parti d'un plan d'élevage et de réintroduction, entrepris par le Comité de la Préservation de la Faune Sauvage à Jersey dans les années 1980. Les spécimens nés en captivité depuis quelques années, en partant d'une même souche (11 spécimens sauvages prêtés par le gouvernement mauricien), ressemblent de moins en moins aux spécimens sauvages et d'origines

Il est vrai que les espèces du genre Litoria sont extrêmement variables de part leur aspect, leur comportement et leur habitat. La plus petite espèce mesure 16 mm (Liotria microlebos) alors que la plus grande mesure 163 mm (Litoria infrafrenata). D'après un site en anglais, les espèces du genre Litoria se caractérisent des autres grenouilles arboricoles en raison de leurs pupilles verticales et du manque de pigmentation de leurs paupières ainsi que par leur répartition géographique (Le genre Litoria est constitué de plusieurs espèces localisées en Nouvelle-Guinée, dans l'archipel des Moluques, à Timor, en Australie. Des espèces ont été également introduites en Nouvelle-Calédonie, dans les Nouvelles-Hébrides, à Guam, en Nouvelle-Zélande et en Indonésie). Voilà les seules informations dont je dispose

22°C, est-ce une température assez base pour une hivernation totale de tes Eublepharis

Pas toutes, mais quelques unes /viewtopic.forum?t=2232

Voici quelques vidéos pour mieux comprendre ma réponse. Terrifiant

Je déteste scolopendra gigantea Photo pour illustration. Source:Google

Le genre Bufo en général et une espèce en particulier: Bufo marinus Photo pour illustration. Source: Google

Voici une photo d'un Gavialis gangeticus Photo pour illustration.Source:Google

Juste un petit pour remonter ton post Zep... Sinon, il va se faire oublier

Ludwig Levin Jacobson (1783-1843), anatomiste danois. Jacobson était un spécialiste en anatomie comparative. Il a découvert l'organe et le cartilage vomeronasal de Jacobson en 1809.

Deux liens correspondant au genre Litoria Espèces du genre Litoria: /viewtopic.forum?t=2224 Note d'élevage: /viewtopic.forum?t=160

Litoria aurea Photo pour illustration. Source: Google Litoria bicolor Photo pour illustration. Source: Google Litoria caerulea Photo pour illustration. Source: Google Litoria chloris Photo pour illustration. Source: Google Litoria coplandi Photo pour illustration. Source: Google Litoria dahlii Photo pour illustration. Source: Google Litoria ewingii Photo pour illustration. Source: Google Litoria fallax Photo pour illustration. Source: Google Litoria gilleni Photo pour illustration. Source: Google Litoria gracilenta Photo pour illustration. Source: Google Litoria inermis Photo pour illustration. Source: Google Litoria infrafrenata Photo pour illustration. Source: Google Litoria latopalmata Photo pour illustration. Source: Google Litoria lesueurii Photo pour illustration. Source: Google Litoria meiriana Photo pour illustration. Source: Google Litoria microbelos Photo pour illustration. Source: Google Litoria moorei Photo pour illustration. Source: Google Litoria nannotis Photo pour illustration. Source: Google Litoria nasuta Photo pour illustration. Source: Google Litoria nigrofrenata Photo pour illustration. Source: Google Litoria pallida Photo pour illustration. Source: Google Litoria pearsoniana (Copland, 1961) Photo pour illustration. Source: Google Litoria peronii Photo pour illustration. Source: Google Litoria phyllochroa Photo pour illustration. Source: Google Litoria raniformis Photo pour illustration. Source: Google Litoria revelata Photo pour illustration. Source: Google Litoria rheocola Photo pour illustration. Source: Google Litoria rothii Photo pour illustration. Source: Google Litoria rubella Photo pour illustration. Source: Google Litoria tyleri Photo pour illustration. Source: Google Litoria verreauxii Photo pour illustration. Source: Google Litoria wilcoxi Photo pour illustration. Source: Google

Litoria Tschudi, 1838 Litoria adelaidensis (Gray, 1841) Litoria albolabris (Wandolleck, 1911) Litoria amboinensis (Horst, 1883) Litoria andiirrmalin McDonald, 1997 Litoria angiana (Boulenger, 1915) Litoria arfakiana (Peters et Doria, 1878) Litoria aruensis (Horst, 1883) Litoria auae Menzies et Tyler, 2004 Litoria aurea (Lesson, 1827) Litoria barringtonensis (Copland, 1957) Litoria becki (Loveridge, 1945) Litoria bibonius Kraus et Allison, 2004 Litoria bicolor (Gray, 1842) Litoria booroolongensis (Moore, 1961) Litoria brevipalmata Tyler, Martin et Watson, 1972 Litoria brongersmai (Loveridge, 1945) Litoria bulmeri (Tyler, 1968) Litoria burrowsae (Scott, 1942) Litoria caerulea (White, 1790) Litoria capitula (Tyler, 1968) Litoria castanea Steindachner, 1867 Litoria cavernicola Tyler et Davies, 1979 Litoria chloris (Boulenger, 1892) Litoria chloronota (Boulenger, 1911) Litoria citropa (Tschudi, 1838) Litoria congenita (Peters et Doria, 1878) Litoria contrastens (Tyler, 1968) Litoria cooloolensis Liem, 1974 Litoria coplandi (Tyler, 1968) Litoria corbeni (Wells et Wellington, 1985) Litoria cyclorhynchus (Boulenger, 1882) Litoria dahlii (Boulenger, 1896) Litoria darlingtoni (Loveridge, 1945) Litoria daviesae Mahony, Knowles, Foster et Donnellan, 2001 Litoria dentata (Keferstein, 1868) Litoria dorsalis Macleay, 1878 Litoria dorsivena (Tyler, 1968) Litoria electrica Ingram et Corben, 1990 Litoria elkeae Günther et Richards, 2000 Litoria eucnemis (Lönnberg, 1900) Litoria everetti (Boulenger, 1897) Litoria ewingii (Duméril et Bibron, 1841) Litoria exophthalmia Tyler, Davies et Aplin, 1986 Litoria fallax (Peters, 1880) Litoria flavescens Kraus et Allison, 2004 Litoria freycineti Tschudi, 1838 Litoria genimaculata (Horst, 1883) Litoria gilleni Spencer, 1896 Litoria gracilenta (Peters, 1869) Litoria graminea (Boulenger, 1905) Litoria havina Menzies, 1993 Litoria impura (Peters et Doria, 1878) Litoria inermis (Peters, 1867) Litoria infrafrenata (Günther, 1867) Litoria iris (Tyler, 1962) Litoria javana (Ahl, 1926) Litoria jenolanensis (Copland, 1957) Litoria jervisiensis (Duméril et Bibron, 1841) Litoria jeudii (Werner, 1901) Litoria jungguy Donnellan et Mahony, 2004 Litoria kumae Menzies et Tyler, 2004 Litoria latopalmata Günther, 1867 Litoria lesueurii (Duméril et Bibron, 1841) Litoria leucova (Tyler, 1968) Litoria littlejohni White, Whitford et Mahony, 1994 Litoria longicrus (Boulenger, 1911) Litoria longirostris Tyler et Davies, 1977 Litoria lorica Davies et McDonald, 1979 Litoria louisiadensis (Tyler, 1968) Litoria lutea (Boulenger, 1887) Litoria macki Richards, 2001 Litoria majikthise Johnston et Richards, 1994 Litoria meiriana (Tyler, 1969) Litoria microbelos (Cogger, 1966) Litoria micromembrana (Tyler, 1963) Litoria modica (Tyler, 1968) Litoria moorei (Copland, 1957) Litoria mucro Menzies, 1993 Litoria multiplica (Tyler, 1964) Litoria mystax (Kampen, 1906) Litoria nannotis (Andersson, 1916) Litoria napaea (Tyler, 1968) Litoria nasuta (Gray, 1842) Litoria nigrofrenata (Günther, 1867) Litoria nigropunctata (Meyer, 1875) Litoria nyakalensis Liem, 1974 Litoria obtusirostris Meyer, 1875 Litoria oenicolen Menzies et Zweifel, 1974 Litoria ollauro Menzies, 1993 Litoria olongburensis Liem et Ingram, 1977 Litoria pallida Davies, Martin et Watson, 1983 Litoria paraewingi Watson, Loftus-Hills et Littlejohn, 1971 Litoria pearsoniana (Copland, 1961) Litoria peronii (Tschudi, 1838) Litoria personata Tyler, Davies et Martin, 1978 Litoria phyllochroa (Günther, 1863) Litoria piperata Tyler et Davies, 1985 Litoria pratti (Boulenger, 1911) Litoria pronimia Menzies, 1993 Litoria prora (Menzies, 1969) Litoria pygmaea (Meyer, 1875) Litoria quadrilineata Tyler et Parker, 1974 Litoria raniformis (Keferstein, 1867) Litoria revelata Ingram, Corben et Hosmer, 1982 Litoria rheocola Liem, 1974 Litoria rothii (De Vis, 1884) Litoria rubella (Gray, 1842) Litoria rubrops Kraus et Allison, 2004 Litoria sanguinolenta (Kampen, 1909) Litoria spenceri Dubois, 1984 Litoria spinifera (Tyler, 1968) Litoria splendida Tyler, Davies et Martin, 1977 Litoria subglandulosa Tyler et Anstis, 1983 Litoria thesaurensis (Peters, 1877) Litoria timida Tyler et Parker, 1972 Litoria tornieri (Nieden, 1923) Litoria tyleri Martin, Watson, Gartside, Littlejohn et Loftus-Hills, 1979 Litoria umbonata Tyler et Davies, 1983 Litoria vagabunda (Peters et Doria, 1878) Litoria verreauxii (Duméril, 1853) Litoria vocivincens Menzies, 1972 Litoria wapogaensis Richards et Iskandar, 2001 Litoria watjulumensis (Copland, 1957) Litoria wilcoxi Günther, 1864 Litoria wisselensis (Tyler, 1968) Litoria wollastoni (Boulenger, 1914) Litoria xanthomera Davies, McDonald et Adams, 1986

J'ai eu un peu peur en voyant ta photo Me voilà rassuré

100% pour... le papier d'Arménie L'histoire du Papier d'Arménie L'histoire du Papier d'Arménie débute à la fin du XIXe siècle. Auguste Ponsot, en voyage dans l'Empire Ottoman, se rend en Arménie, appartenant alors au gigantesque empire. Il découvre que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons, en faisant brûler du Benjoin, résine d'un arbre (styrax) connu aujourd'hui des parfumeurs pour son odeur puissante, originale et proche de la vanille. De retour en France, Auguste Ponsot décide d'importer cette pratique traditionnelle et écologique. Associé au pharmacien Henri Rivier, il travaille sur une méthode "moderne" afin d'adapter l'usage du papier aux mœurs occidentales. Un but écologique, pratique et peu onéreux, un produit simple, utile, odorant et antiseptique pour chasser les mauvaises odeurs. Henri Rivier découvre qu'en faisant dissoudre le Benjoin dans de l'alcool à 90°, on obtient une odeur persistante. L'ajout de parfums donne un mélange aromatique agréable et tenace ; reste alors à trouver un support : le papier buvard absorbe le mélange, tout en conservant l'odeur originelle du Benjoin, et en brûlant lentement sans faire de flammes. Après de nombreuses tentatives, le produit recherché est enfin au point. Le Papier d'Arménie est couronné de succès, notamment à l'Exposition d'Hygiène (1888), ainsi qu'à l'Exposition Universelle (1889). Au cours de celle-ci, persuadés de l'efficacité et du caractère antiseptique du papier, les deux inventeurs placèrent deux morceaux de viandes sous deux cloches, faisant brûler dans l'une du Papier d'Arménie. Au bout d'une semaine, la viande ayant "respiré" les effluves du papier étant encore consommables, alors que l'autre était faisandée. Une expérience qui a marqué les esprits. UN PRODUIT NATUREL Le Papier d'Arménie apparaît comme une solution beaucoup plus écologique et économique que les aérosols classiques, outre ses qualités hygiéniques et antiseptiques. D'usage très facile et fabriqué exclusivement à partir de produits naturels, il existe aujourd'hui encore sous la même présentation qu'à la fin du XIXe siècle : un petit carnet à la couverture de couleur jaune et vert, contenant les petites feuilles de papier détachables de couleur brune. Le Papier d'Arménie ne serait pas devenu ce qu'il est sans son principal composant : la résine de styrax. Cet arbre, peu connu du grand public, pousse dans les forêts de l'Extrême-Orient, notamment dans l'ancien Laos où il est encore largement cultivé aujourd'hui. Le styrax peut atteindre 20 mètres de hauteur, son feuillage est clairsemé et ses feuilles lisses dessus et velues dessous. Lorsque le styrax atteint un diamètre d'environ 15 cm, on l'entaille au coupe-coupe afin de récolter sa résine, ce suc qui s'écoule par les entailles ainsi faites dans son écorce. La résine, d'un blanc légèrement jaune, est recueillie dans une parcelle rectangulaire de l'écorce faite lors de l'entaille. Ces étapes se déroulent entre le mois de juillet et le mois de janvier de l'année suivante. Ainsi, après plus de 6 mois, la résine peut être récoltée, sous la forme de "larmes". C'est le benjoin brut. 1 à 3 kilos de benjoin sont extraits par arbre et par an. Il contient environ 25% d'acide benzoïque, responsable de ses propriétés antiseptiques. UNE FABRICATION ARTISANALE Depuis plus d'un siècle, les carnets de Papier d'Arménie sortent de l'atelier de Montrouge selon le même ritusel. Ce produit est l'exemple typique d'une méthode de fabrication traditionnelle et familiale : Mireille Schvartz, l'arrière petite fille du pharmacien Henri Rivier, préside aux destinées de la Vieille Maison. Le matériel d'origine est encore utilisé de nos jours pour la fabrication des carnets. Pas moins de trois mois pour confectionner du Papier d'Arménie : le responsable du laboratoire vérifie les provenances des différentes essences nécessaires à sa fabrication, et étudie puis contrôle chaque arrivage. Il procède ensuite, après vérification et sélection des composants, aux mélanges et assemblages, puis il laisse macérer le mélange aromatique. Pendant cette période, le papier buvard trempe dans une solution saline qui l'empêchera de brûler trop rapidement. Le papier séjourne ensuite dans la décoction, puis il est séché en étuves. Les grandes feuilles sont alors mises sous presse, perforées puis découpées et mises en carnet. http://www.papierdarmenie.fr/