Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

askook

Membres
  • Compteur de contenus

    13 188
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    Salamandridae

    Il y a de belles espèces C'est une famille que je connais peu, voire à vrai dire pas du tout Raf pour ces photos
  2. Sympa la "lavender" :love: Agrandi ta pièce Raf, sinon tu n'auras jamais assez de place pour toutes les mettre
  3. askook

    Combien de temps???????????

    Perso, je reparti mon temps d'occupation, par semaine, de mes animaux ainsi: -Lundi (4 à 5 heures) -Mercredi (4 à 5 heures) -Vendredi (4 à 5 heures) -le week-end (soit le samedi, soit le dimanche) réservé aux juvéniles de l'année. Le temps passé dépend du nombre et de leur volonté de se nourrir. Mais cela va de 4h jusqu'à 6h selon les semaines Donc par semaine entre 16 et 20 heures de temps passé pour les serpents
  4. Combien de temps consacrez-vous par jour, par semaine ou par mois, à vos animaux ou à votre élevage
  5. askook

    Quel taille pour ma nurcery ?

    J'élève mes BB dans des boites d'une dimension de 18 x 25 x 13 cm. Ces boites sont rangées sur une étagère métallique, et chauffées par un câble. Le métal étant conducteur de chaleur, j'arrive à une température idéale et un taux d'hygrométrie parfait pour l'élevage des juvéniles. Cette étagère a été construite spécialement pour la taille des boites, pour éviter toute perte de place. J'ai, aussi, une autre étagère, de même fabrication, pour recevoir des boites de 36 x 25 x 18 cm qui acceuillent les juvéniles de plus grosse taille.
  6. askook

    Agkistrodon bilineatus

    Répartition et Systématique d'Agkistrodon bilineatus Agkistrodon bilineatus (Günther, 1863) Synonyme : Ancistrodon bilineatus Günther, 1863 Sous-espèces : Agkistrodon bilineatus bilineatus (Günther, 1863) Agkistrodon bilineatus howardgloydi Conant, 1984 Agkistrodon bilineatus lemosespinali Smith & Chiszar, 2001 Agkistrodon bilineatus russeolus Gloyd, 1972 Nom commun :ancistrodon à deux lignes, mocassin à deux lignes Répartition géographique : Amérique du Nord (Mexique [bilineatus, russeolus])- Amérique Centrale (Belize [russeolus], Costa Rica [howardgloydi], El Salvador [bilineatus], Guatemala [bilineatus], Honduras [howardgloydi], Nicaragua [howardgloydi])
  7. Promenade d'un Agkistrodon bilineatus
  8. La vipère aspic Des générations successives de vipères sont étudiées sur le terrain depuis plusieurs décennies. Actuellement, nombre d'entre elles, marquées individuellement par puce électronique, font l'objet de recherches sur leur biologie, leur domaine vital, leur régime alimentaire, leur comportement prédateur et leur dynamique des populations. Grâce à la radiographie, l'échographie et la résonnance magnétique, leur reproduction est mieux connue. Les techniques biochimiques permettent le dosage des hormones et des graisses. Pour le grand public, la Vipère aspic inspire toujours la peur ou la fascination. Cet ouvrage présente le bilan de toutes ses recherches et relativise le danger que la Vipère aspic représente pour l'homme. de Guy Naulleau 72 pages Editions Eveil Nature Prix : 14.90 €
  9. Atlas des batraciens et reptiles de Seine-Saint-Denis Cet ouvrage est le résultat d'un inventaire et pose la situation actuelle d'un patrimoine naturel riche dans un département ultra urbanisé. de Loic Lelardoux 77 pages Edition Les amis Naturalistes des Coteaux d'Avron Prix : 10 €
  10. Animaux sauvages: Spécial Reptiles & Amphibiens de France Magazine présenté par Science et Nature en partenariat avec la S.H.F. 2 ème Trimestre 1999 - N°7
  11. Tu n'es pas dans le bon post "J'en ai marre, j'ai envie" c'est dans le défouloir
  12. Dans l'hexagone Emys orbicularis Emys orbicularis. Spécimen aperçu en Corse. Photo pour illustration. Source Google Maremys leprosa Maremys leprosa. Spécimen aperçu en Espagne. Photo pour illustration. Source Google Ses faibles effectifs sont principalement localisés dans les Pyrénées-Orientales. Testudo hermanni Testudo hermanni. Photo pour illustration. Source: Google Le long des côtes françaises Caretta caretta Caretta caretta. Photo pour illustration. Source: Google Sa présence est erratique dans L'océan Atlantique mais elle est la plus commune des tortues marine en mer Méditerrannée Chelonia mydas Chelonia mydas. Photo pour illustration. Source: Google L'océan Atlantique et mer Méditerrannée. Sporadique sur les côtes françaises Dermochelys coriacea Dermochelys coriacea. Photo pour illustration. Source: Google L'océan Atlantique et plus occasionnellement la Manche et la mer Méditerrannée Eretmochelys imbricata Eretmochelys imbricata. Photo pour illustration. Source: Google Très exceptionnellement, l'océan Atlantique et la mer Méditerrannée Lepidochelys kempii Lepidochelys kempii. Photo pour illustration. Source: Google L'océan Atlantique (occasionnellement sur les côtes de Charente-Maritime et le Golfe de Gascogne) et la mer Méditerrannée Les indésirables Trachemys scripta Trachemys scripta. Photo pour illustration. Source: Google
  13. Répartition et Systématique de Crotalus durissus Crotalus durissus Linné, 1758 Sous-espèces : Crotalus durissus durissus Linné, 1758 Crotalus durissus cascavella Wagler, 1824 Crotalus durissus collilineatus Amaral, 1926 Crotalus durissus culminatus Klauber, 1952 Crotalus durissus cumanensis Humboldt, 1833 Crotalus durissus dryinas Linné, 1758 Crotalus durissus marajoensis Hoge, 1966 Crotalus durissus ruruima Hoge, 1966 Crotalus durissus terificus (Laurenti, 1768) Crotalus durissus totonacus Gloyd & Kauffeld, 1940 Crotalus durissus trigonicus Harris & Simmons, 1978 Crotalus durissus tzabcan Klauber, 1952 Nom commun :crotale durisse, cascavelle Répartition géographique : Amérique du Nord (Mexique [culminatus, durissus, totonacus, tzabcan])- Amérique Centrale (Belize [durissus, tzabcan], Costa Rica [durissus], El Salvador [durissus], Guatemala [durissus, tzabcan], Honduras [durissus], Nicaragua [durissus]) - Amérique du Sud ( Argentine [terrificus], Bolivie [terrificus], Brésil [ cascavella, collilineatus, dryinas, marajoensis, ruruima, terrificus, trigonicus], Colombie [cumanensis], Guyana [dryinas, trigonicus], Guyane Française [ dryinas], Paraguay [terrificus], Pérou [terrificus], Surinam [dryinas], Uruguay [terrificus], Vénézuela [cumanensis, ruruina]
  14. Voici un beau couple de Crotalus durissus terrificus Photos de Gilles Henry
  15. Il y a vraiment de quoi faire
  16. askook

    Encore du Lampros...

    SPLENDIDE comme d'habitude
  17. askook

    quelque tofs et le reste

    Que de monde J'en reconnais quelques uns Cela fait plaisir de les revoir
  18. askook

    morélia spilota variegata.

    Superbe spécimen Bravo pour l'acquisition Il a l'air de bonne taille
  19. Voilà, la fiche est faite... Spalerosophis diadema est un excellent choix Bon élevage
  20. askook

    La mort de steeve irwin

    Il nous manquera, c'est sûr Heureusement qu'il reste toutes ces vidéos et tous les reportages de Steeve pour ne jamais l'oublier
  21. Spalerosophis diadema Sa beauté n'a d'égale que son mauvais caractère. En effet, Spalerosophis diadema (couleuvre à diadème ou couleuvre élancée) est une très élégante et joli espèce. Son nom commun lui vient de ses bandes transversales larges et foncées entre les yeux, qui rappellent un diadème. Mais hélas, le revers de la médaille est son fichu caractère. Toujours sur la défensive, elle peut mordre violemment pour se défendre. Généralité Spalerosophis diadema (Schlegel, 1837) fait partie de la famille des colubridae et de la sous-famille des colubrinae, mais sa systématique pose toujours des problème, comme beaucoup d'autres espèces de serpents. Selon certains auteurs, on lui trouve différentes sous-espèces: Spalerosophis diadema diadema, Spalerosophis diadema atriceps, Spalerosophis diadema cliffordi, Spalerosophis diadema schirazianus qui sont par certains auteurs élevées au rang d'espèce. Mais quelle que soit la classification, les sous-espèces sont déterminées par leur aire de répartition géographique, leur écaillure (nombres et rangées d'écailles) et leur coloration. L'aire de répartition de la couleuvre diadème est très vaste. Elle va de l'Afrique du Nord (de la Mauritanie et du Maroc jusqu'en Egypte) et au sud du Sahara [au Mali, Niger et Tchad (Chippaux, 199)], du Moyen Orient (Israël, Liban) et du Sud-Ouest de l'Asie jusqu'au Pakistan et au Nord-Ouest de l'Inde en passant dans des pays de l'ancienne U.R.S.S (Kazakhstan, Kirghizstan, Tadjikistan, Turkménista,Ouzbékistan) Spalerosophis diadema a une taille variant de 100 à 160 cm, mais il n'est pas rare de trouver des spécimens mesurant près de 200 cm. Son allure est mince et élancé. Sa tête allongée et triangulaire est nettement distincte du cou. La couleuvre diadème possède de grands yeux, à pupille ronde et un iris brun-clair ou rougeâtre. Tête de Spalerosophis diadema. Photo pour illustration. Source: Google La coloration de la couleuvre à diadème est variable. La plus typique au niveau dorsale est jaune foncé, ocre ou sable, parfois rosâtre ou grisâtre. Des taches régulières, souvent en forme de losange, rouge sombre ou brunes sont disposées en une ligne vertébrale alternant avec d'autres plus petites qui ornent les flancs. La face ventrale est blanche, beige, jaunâtre, rose pâle ou rougeâtre uniforme ou maculée partiellement de gris sombre. La tête est de couleur noire, rouge ou les deux à la fois pour la sous-espèce type Spalerosophis diadema diadema. Chez Spalerosophis diadema cliffordi, celle-ci est beige ou sable. Sur la tête se trouve une ou plusieurs bandes transversales foncées. Une bande temporale foncée va de l'oeil à la commissure de la bouche. Deux variétés de coloration sont observées chez les spécimens originaires de la partie la plus à l'Est de la répartition géographique de Spalerosophis diadema et ceci principalement au Pakistan. La première se caractérise par la perte des taches sombres vertébrales. Celles-ci pouvant néanmoins subsister dans la région nuchale. La deuxième se rencontre en Inde et au Pakistan, en sympatrie avec la forme typique. Sa coloration de fond est celle des individus normaux mais les taches vertébrales sont absentes. Par contre, apparaissent avec l'âge, car elles sont absentes chez les jeunes, des taches noires irrégulières, aussi bien dorsales que ventrales. Certains individus pouvant presque devenir entièrement mélaniques. C'est la variété "atriceps" qui est devenu une sous-espèce ou espèce valide, selon les auteurs. Spalerosophis diadema atriceps. Photo G.Matz Spalerosophis diadema habite des biotopes très variés, allant des zones semi-arides (steppes, coteaux) ou arides (plaies sèches) aux régions désertiques rocailleuses et sableuses. Son environnement est très chaud le jour, et est très froid la nuit. La couleuvre diadème est très discrète, se tenant souvent à proximité d'un endroit où elle peut trouver refuge (dans les terriers de rongeurs, sous les affleurements de rochers, dans les fentes des rochers ou sous les pierres). La couleuvre diadème vit au bord de la mer jusqu'à plus de 2 000 m d'altitude et il n'est pas rare de la rencontrer aux abords d'habitations (village, ferme...). Comme pour la majorité des serpents aux moeurs terricoles et désertiques, son activité est crépusculaire et nocturne mais également, surtout au printemps, diurne. La couleuvre diadème chasse les rongeurs, les lézards, les oiseaux qui sont saisis puis pressés contre le sol, un mur ou un rocher jusqu'à l'étouffement. Parfois la proie est tuée par constriction. A l'occasion et surtout lorsque le faim est trop grande, il arrive que les serpents comptent parmi les proies de la couleuvre diadème. Les jeunes, quant à eux, préfèrent les lézards. Sa reproduction est de type ovipare. Les accouplements se font au printemps. La ponte est constituée de trois à seize oeufs collés en masse, déposés à l'abri de pierre ou dans des terriers. Vie en captivité Spalerosophis diadema est souvent importée, le plus souvent en Provenance du Pakistan. Elle s'adapte vite à la vie en captivité bien qu'elle reste toujours sur la défensive, allant de l'intimidation, se gonflant et soufflant violemment, jusqu'à se jeter contre les vitres du terrarium. Le terrarium doit être vaste (80/100 x 60 x 50 cm), aménagé de plusieurs abris et doit être situé dans un endroit calme. Le sol peut être constitué de sable de Loire très fin et dépoussiéré, de copeaux spécial serpent. Personnellement, j ai élevé, sans aucun problème (S.d diadema et S.d cliffordi) dans des terrariums fabriqués en mélaminé blanc et sur un sol recouvert de papier journal. Ceci pour des raisons pratiques de nettoyage et d'hygiène. Mais là, c'est à chacun de voir... Mais quel que soit le choix du substrat, il doit être sec et l'hygiène rigoureuse, sinon vous allez vite avoir des problèmes d'affections dermatologiques (maladie des ampoules). Le décor est composé de quelques rochers lourds et solidement fixés, de grosses branches et de racines tortueuses assurant des cachettes. La couleuvre diadème a besoin de calme et de se sentie en sécurité. Le décor peut être complété par des plantes artificielles suspendues. Spalerosophis diadema.Photo G.Matz L'éclairage et la température sont ceux des terrariums de type désertique. Le premier doit être intense. Le terrarium peut être disposé devant une fenêtre, et devra être muni de tubes fluorescents. Ceux-ci devront être allumés d'une durée de 16 heures en pleine saison d'activité. Certains éleveurs ne mettent pas d'éclairage artificiel pour éviter que l'activité de la couleuvre diadème soit totalement nocturne. Une température diurne pouvant atteindre 30° C est obtenue par une lampe infra-rouge munie d'un réflecteur, avec une zone chaude comprise entre 32/35° C. Celle-ci est éteinte la nuit, où un câble chauffant placé sous le terrarium prend le relais assurant une température de 24° C. Le câble chauffant peut aussi passer sous le bassin d'eau, toujours propre, assurant ainsi une humidité matinale. Le bassin d'eau est rarement utilisé par la couleuvre diadème. Si des difficultés de mue se rencontrent, une légère pulvérisation d'eau tiède peut être effectuée le matin sur les rochers et les plantes artificielles. Le substrat doit par contre toujours rester sec sur sa plus grande partie. La nourriture de base se compose de rongeurs, qui est très rapidement accepté même pour les spécimens d'origine sauvage. La nourriture doit être proposée de préférence le soir. On dépose la proie sur un rocher, et généralement celle-ci est mangée dans la nuit. On peut aussi donner occasionnellement, car ne n'est pas assez nourrissant, du poussin. Attention à ne pas sur-alimenter cette espèce, qui possède un gros appétit. La couleuvre diadème est aussi une chasseuse vive et puissante, avec une capacité extraordinaire de maîtriser des grosses proies. Spalerosophis diadema. Photo pour illustration. Source: Google Pour obtenir de la reproduction chez Spalerosophis diadema, une période de repos ou d'hivernation est obligatoire. Celle-ci se situe de novembre à mars avec un abaissement de la température se situant à 15-16° C avec un arrêt total de nourrissage. A la fin de cette période de repos, il suffit de revenir en douceur aux paramètres normaux, tout en alimentant à volonté la femelle et normalement le mâle, pour assister à différents accouplements. La femelle déposera ensuite, dans un pondoir rempli de sable ou de vermiculite humide, plusieurs pontes comprenant trois à cinq gros oeufs ovales (maxi 80 x 30 mm). La ponte totale peut comporter jusqu'à 16 oeufs. L'incubation se fera à une température de 28° C pour une humidité oscillant entre 70 et 80%. La durée d'incubation est assez longue: de 70 à 80 jours. Une incubation à 30° C, la durée est comprise entre 60 et 70 jours. Les nouveaux-nés sont très gros, pour des colubridés, mesurant plus de 30 cm. les juvéniles peuvent être pour certains mauvais mangeur. Il faut alors avoir recours à la technique de l'imprégnation sur des mues de lézard. Pour assurer un bon maintien en captivité des couleuvres à diadème, il suffit d'appliquer à la lettre deux ou trois petits conseils: calme absolu, cachettes obligatoires, repas distribués le soir. Ces conseils sont utiles dans la mesure où Spalerosophis diadema est irascible surtout en début de captivité. Elle peut se lancer facilement contre les vitres du terrarium et peur se blesser au niveau du rostre. Vous apprécierez cette espèce, qui s'élève facilement si vous lui donnez les conditions idéales d'élevage, tout en étant une espèce avec du caractère.
  22. askook

    quelque tofs et le reste

    J'ai changé la taille des photos Magnifique famille reptilienne Et que de diversité
  23. askook

    La batterie en cours

    Bravo pour la batterie, elle est superbe Mais je vois que Mlle regarde pendant que Monsieur travaille C'est partout pareil pleure
  24. Bravo pour toutes ces superbes acquisitions Une très grosse préférence pour les Orthriophis moellendorffi . Bon élevage, ce que je ne doute pas, et bonne réusiste pour de la reproduction dans le futur
×
×
  • Créer...