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Liotyphlops Peters, 1881 Liotyphlops albirostris (Peters, 1857) (Liotyphlops à rostre blanc) Liotyphlops anops (Cope, 1899) (Liotyphlops de Cope) Liotyphlops argaleus Dixon & Kofron, 1984 Liotyphlops beui (Amaral, 1924) Liotyphlops schubarti Vanzolini, 1948 (Liotyphlops du Brésil) Liotyphlops ternetzii (Boulenger, 1896) (Liotyphlops de Boulenger) Liotyphlops wilderi (Garman, 1883) (Liotyphlops du Paraguay) Liotyphlops beui. Photo pour illustration. Source: Google
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Voici quelques prix de la ferme tropicale Heterodon nasicus albinos: 1850 € Ce serpent étrange fait partie de la famille des colubridés. Originaire des États-Unis, il possède une sorte de groin servant à déterrer les crapauds dont il se nourrit dans la nature. Les souris sont acceptées facilement par les animaux nés en captivité, en revanche les animaux sauvages sont difficiles à acclimater. Les mâles mesurent habituellement 50 cm, contre 80 cm pour les femelles. Il existe plusieurs lignées d’albinos, la forme rouge et de loin la plus marquée et la plus rare. Deux couples disponibles. Elaphe mandarina: 690€ Nous avons un petit groupe né en captivité disponible à la vente. Nous ne vendons pas de femelle seule. 30-40 cm Elaphe moellendorffi: 690€ Cette couleuvre chinoise est une des Elaphe les plus rarement reproduite. Les spécimens sauvages ne s’acclimatent pratiquement jamais. Comme pour Elaphe mandarina, les animaux nés en captivité sont tout le contraires. Ils ne posent aucune difficulté tant que les exigences en terme de température et humidité sont respectées. Nous avons un mâle né au USA de 90 cm en vente. La ferme tropicale ne fait pas de prix pour le lot
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Bitis gabonica (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) sous-espèces: Bitis gabonica gabonica (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Bitis gabonica rhinoceros(Schlegel, 1855) Bitis gabonica rhinoceros. Photo pour illustration. Source:google Répartition géographique: Bitis gabonica gabonica: Angola, Burundi, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, Kenya, Malawi, Mozambique, Nigeria, Ouganda, République d'Afrique du Sud, République Centrafrique, République Démocratique du Congo, Rwanda, Soudan, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe Bitis gabonica rhinoceros: Benin, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, guinée Bissau, Libéria, Sierra Leone, Togo L'on trouve cette grosse vipère dans les forêts denses et pluviales. Taille: De 120 cm à 150 cm, avec des maximum atteignant les 180 à 200 cm pour un poids d'environ 8 kg. Morphologie: La tête est large et triangulaire, fortement écrassée à la base et surmonté de deux petites cornes nasales, légérement recourbées en arrière. La taille de ces cornes dépend de l'origine géographique du spécimen. Plus l'origine géographique se situe vers le sud-est, moins la taille sera importante. Les yeux sonts petits et bleus, minis d'une pupille verticale. Bitis gabonica ssp. Photo pour illustration. Source:google Un cou fortement marqué laisse place à un corps trapu et massif, se terminant par une queue courte et fortement conique. Coloration: La sous-espèce nominale de Bitis gabonica est caractérisée par des motifs géométriques (qui cassent la ligne du serpent, lui permettant de se fondre à merveille sur la litière du substrat forestier) formés de rectangles blancs nuagés de gris clair placés sur la ligne vertébrale. Les flanc, quant à eux, sont ornés de losanges beige-gris soulignés de blanc. La tête est grise, divisée en son centre dans le sens longitudinal par une ligne sombre rappelant la nervure d'une feuille, elle même suggérée par la forme de la tête. De chaque côté, partant en oblique de l'oeil, se trouve une ou deux bandes brun-noir. Bitis gabonica gabonica se caractérise par la présence de deux triangles latéraux, l'un vertical de l'oeil aux labiales supérieures et l'autre oblique à l'oeil à la commissure des lèvres. Bitis gabonica rhinoceros ne présente qu'un seul triangle de couleur foncée, de l'oeil à la commisure des lèvres. Dessins extraits de "Les serpents d'Afrique occodentale et centrale" de J.P Chippaux Moeurs: Totalement terrestre, Bitis gabonica est crépusculaire et nocturne, profitant à ce moment là pour chasser à l'affût. Cependant, elle peut être observer en plein jour, s'exposant aux rayons du soleil, immobile au sein de la savane herbeuse. Nourriture: Bitis gabonica possède un régime alimentaire varié (petits mammifères, oiseaux (vivant au sol), batraciens, lézards). Bitis gabonica ssp. Photo pour illustration. Source:google Vie en captivité Terrarium Celui-ci doit être spacieux 150 x 80 x 60 cm, de type tropical humide et bien aéré. Le substrat peut être composé d'une couche de 5 à 10 cm de tourbe et de feuilles mortes ou simplement pour une raison d'entretien de papier journal. Le décor sera simple et composé d'une ou plusieures cachettes disposées au sol (souches creuses), d'un bac d'eau (toujours propre). Température: La température diurne sera comprise entre 30/32° C au point chaud et 26/28° C en moyenne. Les nuits seront plus fraîches, aux alentours de 20/23° C Hygrométirie: Humidité de l'air sera comprise entre 80 et 90%, avec l'aide de pulvérisations quotidiennes d'eau tempérée. Reproduction: Ovovivipare. Les jeunes naissent tout formés et sont dangereux dès la naissance. Prolifique, Bitis gabonica peut donner naissance de 15 à plus de 50 jeunes après une gestation de presque un an. Comportment: Bitis gabonica est dans l'ensemble de son comportement placide, craintive peu agressive, ne cherchant que rarement à mordre. Importunée, elle s'aplatit en gonflant son corps, souffle bruyament et chercheà mordre son adversaire en soulevant sa tête et son cou. Mais attention, pour une raison qui lui appartient, son attaque peut est brusque et rapide. Remarques: Bitis gabonica possède une dentition solénoglyphe et possède les plus longs crochets du monde (5cm!). Elle est capable d'injecter une quantité considérable de venin, de type hématolytique, nécrotique et hémotoxique. crâne de Bitis gabonica ssp. Photo pour illustration. Source:google
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Bitis gabonica (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) sous-espèces: Bitis gabonica gabonica (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Bitis gabonica rhinoceros(Schlegel, 1855) Bitis gabonica rhinoceros. Photo pour illustration. Source:google Répartition géographique: Bitis gabonica gabonica: Angola, Burundi, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, Kenya, Malawi, Mozambique, Nigeria, Ouganda, République d'Afrique du Sud, République Centrafrique, République Démocratique du Congo, Rwanda, Soudan, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe Bitis gabonica rhinoceros: Benin, Côte d'Ivoire, Ghana, Guinée, guinée Bissau, Libéria, Sierra Leone, Togo L'on trouve cette grosse vipère dans les forêts denses et pluviales. Taille: De 120 cm à 150 cm, avec des maximum atteignant les 180 à 200 cm. Morphologie: La tête est large et triangulaire, fortement écrassée à la base et surmonté de deux petites cornes nasales, légérement recourbées en arrière. La taille de ces cornes dépend de l'origine géographique du spécimen. Plus l'origine géographique se situe vers le sud-est, moins la taille sera importante. Les yeux sonts petits et bleus, minis d'une pupille verticale. Bitis gabonica ssp. Photo pour illustration. Source:google Un cou fortement marqué laisse place à un corps trapu et massif, se terminant par une queue courte et fortement conique. Coloration: La sous-espèce nominale de Bitis gabonica est caractérisée par des motifs géométriques (qui cassent la ligne du serpent, lui permettant de se fondre à merveille sur la litière du substrat forestier) formés de rectangles blancs nuagés de gris clair placés sur la ligne vertébrale. Les flanc, quant à eux, sont ornés de losanges beige-gris soulignés de blanc. La tête est grise, divisée en son centre dans le sens longitudinal par une ligne sombre rappelant la nervure d'une feuille, elle même suggérée par la forme de la tête. De chaque côté, partant en oblique de l'oeil, se trouve une ou deux bandes brun-noir. Bitis gabonica gabonica se caractérise par la présence de deux triangles latéraux, l'un vertical de l'oeil aux labiales supérieures et l'autre oblique à l'oeil à la commissure des lèvres. Bitis gabonica rhinoceros ne présente qu'un seul triangle de couleur foncée, de l'oeil à la commisure des lèvres. Dessins extraits de "Les serpents d'Afrique occodentale et centrale" de J.P Chippaux Moeurs: Totalement terrestre, Bitis gabonica est crépusculaire et nocturne, profitant à ce moment là pour chasser à l'affût. Cependant, elle peut être observer en plein jour, s'exposant aux rayons du soleil, immobile au sein de la savane herbeuse. Nourriture: Bitis gabonica possède un régime alimentaire varié (petits mammifères, oiseaux (vivant au sol), batraciens, lézards). Bitis gabonica ssp. Photo pour illustration. Source:google Vie en captivité Terrarium Celui-ci doit être spacieux 150 x 80 x 60 cm, de type tropical humide et bien aéré. Le substrat peut être composé d'une couche de 5 à 10 cm de tourbe et de feuilles mortes ou simplement pour une raison d'entretien de papier journal. Le décor sera simple et composé d'une ou plusieures cachettes disposées au sol (souches creuses), d'un bac d'eau (toujours propre). Température: La température diurne sera comprise entre 30/32° C au point chaud et 26/28° C en moyenne. Les nuits seront plus fraîches, aux alentours de 20/23° C Hygrométirie: Humidité de l'air sera comprise entre 80 et 90%, avec l'aide de pulvérisations quotidiennes d'eau tempérée. Reproduction: Ovovivipare. Les jeunes naissent tout formés et sont dangereux dès la naissance. Prolifique, Bitis gabonica peut donner naissance de 15 à plus de 50 jeunes après une gestation de presque un an. Comportment: Bitis gabonica est dans l'ensemble de son comportement placide, craintive peu agressive, ne cherchant que rarement à mordre. Importunée, elle s'aplatit en gonflant son corps, souffle bruyament et chercheà mordre son adversaire en soulevant sa tête et son cou. Mais attention, pour une raison qui lui appartient, elle peut lancer une attaque brusque et rapide. Remarques: Bitis gabonica possède une dentition solénoglyphe et possède les plus longs crochets du monde (5cm!). Elle est capable d'injecter une quantité considérable de venin, de type hématolytique, nécrotique et hémotoxique. crâne de Bitis gabonica ssp. Photo pour illustration. Source:google
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Boiga dendrophila est une belle espèce de couleuvre opisthoglype, mais de grande taille (pouvant atteindre les 200 cm et plus rarement 250 cm), avec un fichu caractère et prompt à mordre lors des manipulations et ingérable le soir, vu son comportement nocturne Sa morsure n'est effectivement pas mortelle, mais elle a déjà été responsable d'envinimation et elle te laissera un très mavais souvenir et de bonnes marques Manipuler un serpent arboricole, mesurant environ 200 cm et agressif n'est pas vraiment l'idéal Je vais peut-être surprendre quelques personnes, mais personnellement si tu as à choisir, pour commencer le venimeux, entre un Boiga dendrophila ou une Trimeresurus albolabris et bien, je te conseillerai la "trimé" De toute façon, quelque soit l'espèce que tu choisira, prends un juvénile
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Tu prends l'élevage du "venimeux" par le mauvais bout On ne choisi pas une espèce venimeuse pour débuter par rapport à sa toxicité ou à sa dentition On choisi une espèce car on la désire vraiment amour Lorsque l'on veut commencer l'élevage du venimeux, on fait le tour de toutes espèces que l'on peut trouver en captivité, puis on choisi une espèce pour des raisons personnelles (biologie, morphologie, taille, couleur, caractère etc.), puis après on se donne les moyens de détenir l'espèce choisie Et là, tout se passera bien
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A lire et à méditer avant de commencer l'élevage de serpents venimeux La plupart des conseils, qui vont suivre, et qui s'adressent surtout aux terrariophiles débutants dans l'élevage d'espèces de serpents venimeux, peuvent paraître évidents, mais il apparait que, chez beaucoup d'éleveurs, à une phase initiale d'hyperprudence, succède une période d'accoutumance, de banalisation du danger qui, dans certaines conditions, peut amener à le sous-estimer et à se départir de la prudence la plus élémentaire. Le premier point sur lequel il me parait indispensable d'insister concerne l'installation destinée à accueillir un ou plusieurs serpents venimeux: celle-ci doit être conçue d'emblée et dans son ensemble en fonction des espèces à venir et avant l'acquisition de celles-ci. Il faut tenir compte, pour cette conception, du nombre, de la taille, de l'agilité des animaux et, plus généralement, du tempérament propre à chaque espèce plus que de la gravité d'une éventuelle morsure par l'un de ces serpents. Il n'est pas cohérent de loger un serpent considéré comme "très venimeux" dans un terrarium "sûr" et de maintenir des serpents "moins venimeux" dans des terrariums bricolés (dans le sens péjoratif du terme) ou des aquariums au couvercle fermé par de la ficelle ou du ruban adhésif. Il convient également de savoir se limiter afin de ne pas être débordé par un trop grand nombre d'animaux qui amène à les loger dans des installations improvisées. Le provisoire plus ou moins permanent étant absolument à proscrire dans ce domaine. Les terrariums doivent être installés dans une pièce hermétique (aux serpents, bien entendu), réservée strictement à l'élevage, fermant à clé, qui forme ainsi un sas de sécurité d'où ne pourrait sortir un serpent échappé de son terrarium. Il faut s'attacher à obturer le dessus des portes et les moindres espaces où pourraient s'infiltrer, par exemple, des serpenteaux nouveaux-nés (les naissances surprises ne sont pas exceptionnelles). De même, il convient que cette pièce ne comporte pas de recoins inaccessibles où pourrait se réfugier un éventuel fuyard. Les terrariums seront disposés de manière à ménager une aire de recul suffisante: éviter de loger des serpents venimeux dans des terrariums placés à hauteur du visage (ou plus haut) ou à l'accès difficile, nécessitant des contorsions plus ou moins acrobatiques de la part du soigneur. En ce qui concerne la construction elle-même, je préfère (c'est une opinion personnelle) les terrariums fermés par deux vitres coulissant dans une double glissière, système qui présente le double avantage de permettre d'ouvrir plus ou moins largement d'un côté ou de l'autre et de laisser les deux mains libres. Il est souhaitable que tout l'appareillage électrique ou de chauffage soit isolé dans des compartiments indépendants du volume occupé par les animaux et accessibles de l'extérieur. Prévoir une boîte ou un compartiment-abri pouvant être fermé et permettant d'effectuer les opérations d'entretien sans risques et sans déranger les animaux. Les pinces, crochets et tous autres instruments de manipulation seront toujours rangés au même endroit afin de ne pas avoir à les chercher en cas de besoin. Les manipulations sont, bien sûr, à éviter (tant pour les serpents que pour le soigneur!), mais elles sont quelquefois nécessaires: animal malade, sexage etc.). Dans le cas de spécimens particulièrement agiles ou agressifs, il peut ne pas être inutile de couper le chauffage quelques heures avant la manipulation. Il faut évidement préparer tous les instruments devant servir à la capture, la contention et le traitement de serpent et, avant d'ouvrir le terrarium, repérer la position de chacun des serpents afin de tenir compte de leur distance de frappe. On sera particulièrement prudent lors de manipulations nécessitant le concours de deux personnes. On effectuera aucun entretien (et à fortiori aucune manipulation) lorsqu'on est fatigué, malade ou pressé. Dans la mesure du possible, on habituera les serpents à manger des proies mortes afin de les récupérer sans problème lorsqu'elles ne sont pas mangées. Si, pour une raison ou pour une autre, d'autres personnes pénètrent dans la pièce d'élevage, on ne les laissera jamais seules. L'élevage d'un amateur ne doit jamais devenir un petit zoo ouvert au public. Il faut avoir toujours à l'esprit que: - un serpent venimeux malade ou affaibli peut mordre aussi bien qu'un autre. - un spécimen habituellement calme peut passer par des phases d'extrême agressivité et surprendre alors par son comportement. - tout serpent venimeux est potentiellement mortel. Il faut aussi démystifier la possession de serpents venimeux. Pour certains terrariophiles, le fait de posséder des serpents venimeux constitue le "nec plus ultra" en matière de terrariophilie, et, pour s'auréoler d'un certain prestige auprès de leur entourage, sont conduits à acquérir des animaux dont, en fait, ils ont peur. Je ne me reconnais pas le droit de juger les personnes qui jouent à se faire peur et qui, consciemment, prennent des risques pour se prouver je ne sais quoi à elles-mêmes (une telle démarche n'a d'ailleurs plus rien à voir avec la terrariophilie), mais la moindre des choses est qu'elles gardent ces risques pour elles. Il me parait en tant que terrariophile, plus satisfaisant d'élever et de reproduire des espèces non venimeuses que de collectionner les spécimens venimeux si ce n'est, que pour en tirer une certaine vanité. Constituer un élevage de serpents venimeux implique une responsabilité vis-à-vis de l'entourage, qui doit conduire à prendre toutes les précautions pour qu'il ne devienne pas un "danger public" permanent. En ce qui concerne le terrariophile lui-même, une certaine discipline et une vigilance constante doivent réduire dans une forte mesure le risque d'accident sans, me semble-t-il, pouvoir l'annuler. "Quelques réflexions sur le maintien des serpents venimeux en captivité" de Daniel Heuclin paru dans le Bulletin N°21 de la S.H.F en 1982
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Tout n'est pas forcement dit, Anthony, car ce post peut servir à d'autres futurs acquéreurs de serpents venimeux. Et même si c'est toi qui a lancé ce sujet, les réponses faites, sont là pour débattre d'un sujet qui est important. Comment bien débuter avec du serpent venimeux. Voilà à mon avis l'une des premières questions qu'il faut se poser avant de se lancer dans l'aventure de l'élevage de serpents venimeux Est-ce que j'ai la possibilité du point de vue de la localisation des terrariums d'élever du serpent venimeux Elever du venimeux, hors d'une pièce réservé à cette effet, est déjà un manque d'expérience et de sagesse Comment peut-on prendre le risque de mettre en danger une personne, autre que soi, en élevant du venimeux dans une salle à manger ou une chambre On ne sait jamais ce qu'il peut se passer
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Dragons de Komodo de Nicole VILOTEAU ed. Arthaud et voici le reste de ses ouvrages Brousses lointaines Ed. Arthaud Bivouacs - carnets de brousse Ed. J'ai Lu La femme aux serpents Ed. J'ai Lu Beautés du diable Ed. Arthaud Secret jungle Ed. Flammarion Madagascar - L'île aux sorciers Ed. Arthaud Jungle mystère Ed. Arthaud Les Sorciers de la pleine lune Ed. J'ai Lu