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Melkia1

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  1. SYMPTÔMES ET LESIONS (source le monde des reptiles ) .

    L'énergie calorifique est toujours transférée d'une source chaude vers une source froide, selon trois procédés différents : la conduction, la convection, et la chaleur radiante.

    La conduction : correspond à un transfert de chaleur entre deux objets qui se touchent. (ex : un lézard dont la face ventrale repose sur une pierre chauffante.)
    La convection : s'effectue par transfert de chaleur via un liquide ou un gaz (ex : un caméléon du désert exposé sur sa branche à un flux d'air chaud).
    La chaleur radiante : est, quant à elle, transmise à une matière par le biais d'ondes électromagnétiques (ex : un serpent dont la surface dorsale absorbe les radiations électromagnétiques du soleil).
    En captivité, les brûlures sont généralement provoquées par des phénomènes de conduction thermique.
    La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de la température de la source de chaleur incriminée et de la durée de contact entre l'animal et cette source de chaleur.

    Comme chez les mammifères, les brûlures des reptiles peuvent être classées en trois catégories :

    Les brûlures du premier degré : Elles sont superficielles et ne concernent que l'épiderme. Elles se caractérisent par un érythème du tégument (= Ensemble des tissus qui couvrent le corps des animaux ) (écailles rouges), par des ecchymoses visibles sous les écailles les plus claires et parfois par des ampoules (phlyctènes).
    Les brûlures du deuxième degré : Elles sont plus profondes. Elles entraînent une destruction totale de l'épiderme et une atteinte plus ou moins grave du derme. Elles se caractérisent par un œdème sous-cutané et par un "suintement" de plasma au niveau du site de la brûlure.
    Les brûlures du troisième degré : Elles se caractérisent par une destruction totale du tégument et de son innervation (=distribution des nerfs). On parle parfois de brûlure du quatrième degré lorsque la paroi musculaire est détruite et la cavité cœlomique mise à nu.


    TRAITEMENT

    En général, les brûlures du premier degré peu étendues sur la surface corporelle peuvent être traitées par le propriétaire, à la maison. Les brûlures du deuxième ou du troisième degré doivent être traitées en hospitalisation.

    CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BRÛLURE DU PREMIER DEGRE

    Appliquer des compresses d'eau froide (jamais de glace !!) sur la brûlure si elle est récente (quelques heures).
    Si des phlyctènes sont visibles, ne pas les percer !! Ces ampoules doivent être préservées car elles constituent une excellente barrière naturelle contre l'infection.
    Si des ampoules sont présentes et éclatent spontanément, un nettoyage rigoureux des plaies doit être entrepris quotidiennement à l'aide de savon de Marseille. La zone brûlée doit être recouverte de pommade cicatrisante (ex : Biafine²,Mitosyl² , Avibon ²) ( ² = marque déposée) et d'un pansement non collant (ex : Vetrap (marque déposée)).
    Si la brûlure est ventrale et très étendue, l'animal doit être placé dans un terrarium d'infirmerie, sans substrat (ex : papier journal au sol), facile à désinfecter et non abrasif pour l'animal.

    CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BRÛLURE DU DEUXIEME OU DU TROISIEME DEGRE

    Les plaies concernant le derme profond doivent être soigneusement parées, désinfectées ( ex : Hibitan 5 % = marque déposée ).
    Une fois la brûlure bien nettoyée, appliquer une couche épaisse de pommade antibiotique aux sulfamides sur toute la zone lésée (ex : Flamazine ², Sulmidol ² ) ²= marque déposée.
    Protéger la peau par un pansement propre du type Jersey.
    Allez immédiatement consulté un vétérinaire.


    PRONOSTIC

    Les brûlures du premier degré guérissent généralement bien et ne laissent pas de cicatrice. Au bout d'un mois et après une mue, la peau retrouve son aspect normal.
    Les brûlures du deuxième et du troisième degré sont mortelles à 100% lorsqu'elles ne sont pas traitées. Elles cicatrisent par seconde intention. Leur guérison est donc toujours très longue (2 à 6 mois selon l'étendue et la profondeur de la brûlure ). Les cicatrices sont généralement inesthétiques et indélébiles et deviennent fréquemment le siège de mues "bloquées". L'antibiothérapie (traitement par antibiotique) doit être impérativement poursuivie jusqu'à guérison totale.



    CONCLUSION

    Les raisons pour lesquelles les reptiles sont si prompts à souffrir de profondes brûlures thermiques en captivité sont en partie méconnues. La prévention reste encore la meilleure façon de lutter contre ces affections souvent très délabrantes.

    La conduite à tenir devant un reptile brûlé doit être dictée par ces trois mots : DELICATESSE, ASEPSIE (lutte contre les contaminations microbiennes) ET SURTOUT PATIENCE !





    MESURES PREVENTIVES CONTRE LES BRÛLURES EN TERRARIUM

    Ne pas installer de cordon chauffant à l'intérieur du terrarium dans le substrat, mais sous le terrarium. Ce dernier est légèrement surélevé par des tasseaux pour ne pas être en contact direct avec le cordon (risque d'éclatement de la vitre et de brûlure au contact de la vitre avec votre animal).

    Une fois le système de chauffage installé, toujours vérifier avec le "dos" de la main que le sol du terrarium n'est pas brûlant.

    Installer une "grille" protectrice autour des ampoules chauffantes (ampoules IR céramiques ou ampoules à incandescence) afin que l'animal ne puisse pas se "coller" dessus ou s'enrouler autour.

    Veiller à créer un gradient thermique dans le terrarium pour que le reptile puisse, s'il en ressent le besoin, choisir une température moins élevée.

    Toujours contrôler la température ambiante du terrarium à l'aide d'un thermomètre équipé de deux points de relevés ( point le plus froid - point le plus chaud) et d'une fonction "mini/maxi".

    Vérifier régulièrement le bon fonctionnement du thermostat de chauffage sur lequel est branchée la source de chaleur (vérifier la corrélation (le rapport) entre la température sélectionnée sur le thermostat et la température effective dans le terrarium).

    Les thermoplongeurs utilisés pour chauffer l'eau des aquaterrariums doivent être camouflés derrière une pierre ou une racine.

    Ne jamais exposer un terrarium au soleil (attention à l'effet de serre !!). Les reptiles peuvent mourir par "cuisson" s'ils atteignent leur température maximale critique (TMC).

  2. (source le monde des reptiles )

    Voici un résumé d’un document sur la stomatite fait par le Doct Schilliger sur une revue vétérinaire : Le point vétérinaire , vol28 , n=184, juin juillet 1997.

    Cette fiche donne une large idée des divers diagnostics sur cette pathologie. Les traitements par injection d antibiotique ont été retiré volontairement de ma part et en accord avec l'auteur pour les raisons suivantes, seuls restent les principaux antiseptiques que vous pourrez utiliser :

    1-Je ne suis pas pour l’automédication au niveau antibiotique qui pourrait se révéler dangereuse surtout si elle est faite sans analyse en laboratoire.

    2-Pour retirer toutes responsabilités à l'auteur et à moi-même en cas d’accident d’automédication.

    Je tiens tout particulièrement à remercier le Doct Schilliger pour son autorisation à cette initiative, sa disponibilité lors de nos entretiens et pour toutes ses recherches en matière de reptile. Elles nous permettent d'enrichir nos connaissances en terrariophilie et de prévenir au plus tôt des maladies qui peuvent s'avérer fatales si elles ne sont pas traitées à temps.

    Les références des livres qui ont servi pour rédiger ce document prendraient trop de place et je les tiens à votre disposition par mail sur simple demande : wolfverine@nomade.fr.



    La stomatite infectieuse ulcérative est une affection très fréquente chez les ophidiens(serpents) en captivité. Elle sévit beaucoup plus rarement chez les sauriens(lézards) et les chéloniens(tortues). Appelée « chancre buccal » par les herpétologues français et « mouth rot » (bouche pourrie) par les Anglo-saxons, cette maladie bactérienne de la cavité buccale des serpents peut être fatale si elle n’est pas identifiée et traitée précocement.



    ETIOLOGIE :

    La stomatite infectieuse ulcérative semble exceptionnelle chez les reptiles sauvages. Elle affecte principalement les serpents captifs affaiblis et stressés par des conditions d’élevage inadaptées et approximatives.
    Facteurs prédisposants :

    Les facteurs qui favorisent l’apparition de cette maladie sont :

    1. Le stress physiologique inhérent à la captivité. Il peut être provoqué par :

    le transport
    les manipulations intempestives
    une brusque variation de température
    la surpopulation dans un même terrarium
    et un mélange d’espèces différentes dans un même terrarium.

    2. Une anorexie prolongée

    3. Des tentatives répétées et traumatisantes de gavage par une sonde oro-gastriques.

    4. Une poly-infestion parasitaire (externe et interne) qui provoque un affaiblissement de l’hôte.

    5. Des blessures buccales occasionnées par les morsures de rongeurs lors de la constriction sur les gencives du serpent.

    6. Une abrasion chronique du rostre contre les parois du terrarium.




    Facteurs déclenchants

    Les facteurs qui déclenchent cette stomatite sont des bactéries opportunistes Gram Négatives appartenant à la flore oro-pharyngienne normale des ophidiens. Les deux germes les plus fréquemment isolés après écouvillonnages (écouvillon = brosse cylindrique à long manche, pour nettoyer un corps creux) gingivaux effectués en cas de stomatite déclarée, sont :
    Pseudomonas sp. (P. aeruginosa, P. maltophilia, P. fluorescens ) et Aeromonas sp. ( A. aerogenes, A. aerophila, A. hydrophila, A. shigelloïdes, A. formicans).
    Ils peuvent être considérés comme les deux groupes d’agents principaux de la maladie.



    SYMPTÔMES ET LESIONS

    L’anorexie et l’hypersalivation sont les deux signes cliniques les plus précoces de cette maladie.
    Dans la forme débutante, on note, à l'examen de la cavité buccale une congestion gingivale généralisée et des pétéchies (Petites taches de sang, semblables à de petits points rouges sur la peau et causées par la rupture des petits vaisseaux sanguins situés juste sous la peau) irrégulièrement réparties le long de la dentition. La cavité buccale est très oedèmatiée et "enduite" d'un mucus translucide et mousseux (parfois, à tel point que la gueule ne se ferme pas complètement).
    A un stade plus avancé, de véritables ulcères sont présents autour de certaines dents qu'ils déchaussent. Ces ulcères deviennent rapidement purulents:
    C est la forme ulcérative purulente de la stomatite. On peut observer alors une paralysie linguale (La langue demeure pendante en dehors de la cavité buccale ou alors ne peut plus s'extérioriser de son fourreau).
    Ensuite des lésions de nécrose complètent et aggravent le tableau clinique: il s'agit alors de la forme ulcéro-nécrotique purulente.



    PRONOSTIC

    La stomatite infectieuse ulcérative est fatale à court terme si un traitement précoce n'est pas instauré. En effet en l'absence de thérapeutique adaptée, elle est mortelle à 100%, car elle se complique toujours.
    Souvent, l'animal présenté à la consultation est déjà touchés par l'une des quatre complications suivantes:

    - Complications de septicémie

    1- La septicémie hémorragique à Aeromonas se détecte facilement à l'examen par la présence de suffusions (Epanchement d'un liquide de l'organisme à partir d'un vaisseau vers l'extérieur comme c'est le cas (entre autres) lors de la constitution d'un purpura correspondant à un écoulement anormal de sang au niveau de la peau ou des muqueuses : celles-ci sont parsemées de petites taches rouges vifs ou bleuâtres, qui en vieillissant deviennent brunâtres ou jaunâtres.) hémorragiques en "nappes" notamment visibles par transparence sous les écailles ventrales. Tous les organes sont alors congestionnés, hémorragiques et nécrosés.

    2- La septicémie à Pseudomonas est plus rare que la précédente, mais tout aussi redoutable à cause de sa rapidité d'évolution.

    - Complications de broncho-pneumonie purulente
    Une broncho-pneumonie purulente peut être provoquée par l'inhalation de pus par l'orifice trachéal. Elle s'exprime cliniquement par de la dyspnée (respiration bruyante, gueule ouverte) puis à un stade plus avancé, par une suffocation qui pousse l'animal à tourner sur lui-même "en spirale" dans son vivarium avant de mourir cyanosé.

    - Complications d'entérite infectieuse
    Une entérite infectieuse peut apparaître à la suite de l'ingestion de pus à partir de la cavité buccale. On observe alors de la diarrhée, parfois hémorragique, provoquée par la prolifération de colonies d'Aeromonas sp. dans le tube digestif.

    - Complications d'abcès précornéen
    Il n'est pas rare de constater que la stomatite ulcéro-nécrotique se complique d'un abcès précornéen (unilatéral ou bilatéral).Cette complication demeure moins systématique que les précédentes.



    TRAITEMENT

    1- Traitement local
    Un traitement local peut être tenté seul au tout début de l'évolution de la maladie (phase congestive avec pétéchies).En revanche, il est insuffisant au stade ulcéro-nécrotique. Les bactéries responsables se développent préférentiellement dans un micro-environnement légèrement alcalin. Le traitement local vise donc à instaurer une acidification modérée de la salive autour des lésions. Les antiseptiques préconisés dans le traitement local de la stomatite infectieuse sont regroupés dans le tableau suivant:

    Principe actif Nom commun ou déposé Dilution / posologie

    Acide acétique (CH3COOH) Vinaigre 1 cuiller à café/1 verre d'eau

    Acide chlorhydrique (HC1) Acide chlorhydrique à 1 normal 6 ml par litre d'eau de boisson

    Polyvidone iodée Bétadine* à 10% ou Vétadine 0,5 à 1 %

    Peroxyde d'hydrogène (H2O2) Eau oxygénée Gifrer à 3%/vol 0,5 à 1,5 %

    Héxétidine Hextril* à 0,1% non dilué

    Hypochlorite de sodium Soluté de Dakin Cooper 0,50%

    Chlorhexidine Elugel – Gel buccal appliquer sur les gencives 1 fois par jour

    Chlorhexidine Hibitane 5% non dilué


    Il est recommandé d'effectuer trois applications par jour d'antiseptiques sur les lésions gingivales jusqu'à guérison complète en utilisant par exemple un coton tige ou un petit pinceau passés dans le sens crânio-caudal.

    2- Traitement général

    Ce traitement ne sera pas traité ici en accord avec l'auteur car seul un vétérinaire peut donner un traitement aux antibiotiques après un examen bactériologiques en laboratoire. Ceci va de la santé de votre animal.

    3- Traitement adjuvant

    Un traitement adjuvant de vitamines A, B, et C est préconisé pour compléter le traitement local et général. Celui ci sera donné sous avis du vétérinaire et dosé convenablement. Il est essentiel, pour compléter le traitement de corriger les éventuelles erreurs de terrariophilie qui ont pu favoriser l'apparition de la maladie.



    PROPHYLAXIE

    La prophylaxie de la stomatite infectieuse ulcérative est uniquement d'ordre sanitaire. Elle consiste à proscrire tous les facteurs prédisposants:
    stress, conditions d'hébergement inadéquates, polyinfestation parasitaire, etc…. La stomatite ulcérative infectieuse n'est pas une maladie contagieuse, mais le propriétaire doit isoler les animaux malades dans un terrarium d'infirmerie pour éviter, en cas de complications, la transmission d'une broncho-pneumonie à d'autres serpents.

    La surveillance régulière de l'aspect des gencives de tout serpent captif permet d'enrayer la stomatite en tout début d'évolution.



    CONCLUSION


    Le syndrome "stomatite infectieuse ulcérative" des ophidiens est bien connu des herpétologues. Cette maladie bactérienne peut être facilement évitée si l'on respecte des conditions hygiéniques d'élevages élémentaires. Le cas échéant, il est bien rare que le traitement local suffise à combattre l'infection. Un traitement parentéral (Ce terme est habituellement employé pour désigner l'introduction d'une substance dans l'organisme par une voix autre que digestive. Ce peut-être la voie intraveineuse, intramusculaire ou sous-cutanée.)s'avère indispensable dans 90% des cas.

  3. Python regius (source le monde des reptiles ) .


    (photo de google)



    Généralités :

    Ordre : squamate
    Sous-ordre : ophidien
    Famille : boïdés
    Sous-famille : pythoninés
    Espèce : python régius nom vernaculaire : python royal - ball python pour les anglais
    Dentition : aglyphe
    Biotope/répartition géographique : Afrique de l'ouest et centrale
    Prairies, savanes, plaines partiellement boisées, forêts tropicales sèches
    CITES : annexe II
    Taille : de 1 m à 1,8 m avec une moyenne à 1,20 m
    Espérance de vie : 30 ans avec un record officiel à 47 ans
    Il est complètement nocturne.


    Maintenance :

    Hygrométrie : 70/80 %
    Eclairage : nul ou modéré si le cycle jour/nuit est respecté
    Température :
    - jour : point chaud à 35 °, point froid à 25°
    - nuit : point chaud à 25°, point froid à 22°

    Terrarium : pour un couple : minimum 100X60X60 pourvu de cachettes, branches, grand bac d'eau
    Nourriture : rongeurs. A noter qu'il lui arrive de refuser spontanément la nourriture, notamment l'hiver, sans qu'il y ait de quoi s'inquiéter dans l'immédiat.

    Reproduction :
    Il est ovipare. Il nécessite une période de repos d'environ 3 mois (de fin octobre à février) à 22° dans la pénombre, les mâles étant séparés des femelles.
    Il est préférable de mettre les œufs dans un incubateur à 31/32°.

    Lien video: http://video.google.fr/videoplay?docid=1274018011947606185&q=snake

    lien photo : /viewtopic.forum?t=1352

    lien site : http://www.dbreptiles.com

    lien genetique ( source http://www.snake-zone.dk/ ) :
    rececive : http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Recessive.html
    co-dominant : http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Codominant.html
    dominant : http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Dominant.html

    classification et protection : /viewtopic.forum?t=273


  4. Loir africain ( photos de google ) (source le monde des reptiles ) .

    GRAPHIURUS MURINUS

    Introduction :
    Le Loir africain est un adorable et magnifique petit rongeur. Joueur et très sociable il préfère vivre en groupe, dans la nature des petites colonies de 11 individus ont été recensés. Nocturne, il passe ses journées confortablement blotti dans son nid en attendant que la nuit tombe.



    Description :
    Les adultes mesurent 9 cm.
    La queue est en panache et mesure 7 cm.
    Ils pèsent de 18 à 30 grammes.
    Leur pelage est gris, très dense et doux.
    leurs oreilles sont grandes et noires.
    ils ont de grands yeux typiques des mammifères nocturnes.



    Nourriture :
    Omnivore, le loir a besoin d'un menu varié, voilà comment je répartis leur nourriture :

    En permanence des graines (mélange pour rongeur et bâton de graines), et de la bouille pour insectivores
    3 fois par semaine des fruits (pomme, banane, poire, kiwi)
    3 fois par semaine des insectes (grillon, ver de farines…), accompagnés de calcium 1 fois par semaine
    Régulièrement (1 jour sur 2) du nectar
    2 fois par semaine du pollen (saupoudré sur les fruits)
    La nourriture doit être présentée dans des gamelles séparées (exemple séparer les fruits des insectes).



    Terrarium :
    Pour un groupe de 2 à 5 individus un terrarium de 60 x 40 x 50 ( L x l x h) convient parfaitement.
    Il faut mettre à leur disposition des cachettes en nombre suffisant du type maison pour oiseaux.
    Un biberon pour rongeur rempli d'eau fraîche.
    Des branches et du liège pour grimper sont indispensables.



    Reproduction :
    La maturité sexuelle du loir africain est atteinte à 4 ou 5 mois.
    La gestation dure de 25 à 28 jours.
    La mère met bas de 1 à 6 petits le plus souvent 3 ou 4.
    Le sevrage dure 6 semaines.


  5. Bonjour a tous .

    Voici quelques photos de mon petit pepere .

    Boa constritor imperator .(photo de Laurent Castela) .



    (photo de Melkia)





    Pantherophis Obsolettus Lindheimeri leucistic . (photo de Laurent Castela).



    Elaphe guttata albinos rouge .(photos de laurent Castela)




    clin oeil

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