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jay1111

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Tout ce qui a été posté par jay1111

  1. Bonjour, si tu recherches une petite espece orriente toi vers les chrysemys picta dorsali dont la taille est de 10 à 12,5 maximum ou également les Kinosternon cruentatum qui dépassent rarement les 13 cm [
  2. Taxonomie : La Cuora amboinensis comprend les trois sous-espèces suivantes : C. amboinensis. amboinensis. C. amboinensis. kamaroma. C. amboinensis. couro. Répartition géographique : Cette espèce est originaire du Bangladesh, Assam, Birmanie, Thaïlande, Vietnam, Malaisie, Indonésie, Sulawesi, Philippines et l'île d'Amboina qui lui a valu son nom. C. Amboinensis se trouve dans les Philippines, en Sulawesi, pendant que C.A.couro à Sumatra et Gava. Habitat : Cette espèce occupe des zones aquatiques à fond mou et boueux à faibles courants comme les ruisseaux, étangs et marécages. Les jeunes spécimens sont presque exclusivement aquatiques tandis que les adultes se plaisent aussi sur la terre ferme. Comportement : La Cuora amboinensis est une tortue timide et réservée de nature, elle est donc très méfiante et part se cacher au moindre bruit ou marque de danger . Les adultes peuvent être tenus ensemble à condition que l'espace de la cuve soit assez grand (aussi bien la partie aquatique que la partie sèche) car les mâles adultes peuvent infliger de lourdes blessures aussi bien aux femelles qu'aux mâles rivaux. Description physique : La dossière de cette tortue est très arquée chez les femelles, alors qu’elle est plus aplatie chez les spécimens mâles. La couleur peut varier du vert sombre au marron pendant que les plastrons peuvent être jaunâtres ou bèche clair avec des taches noires symétriques. Le plastron est muni d’une charnière mobile centrale qui permet à l'animal d'y rentrer les pattes, la tète et la queue. Attention ce mécanisme de charnière, n'est pas visible à la naissance des petits mais se développe et devient fonctionnel après quelque années de vie. La peau et de couleur clair mais vire au brun vers les extrémités des membres. La coloration de la tête est caractérisée par une bande de couleur jaune plus ou moins vive qui ressort de la couleur de fond marron sombre. Les femelles sont plus grandes que les mâles et peuvent atteindre les 25 cm de longueur pour un poids de 1.5 Kg. En outre en captivité elles dépassent rarement les 20 cm pour un poids de 1.2 Kg. Dimorphisme sexuel : Le dimorphisme sexuel est bien visible à la maturité sexuelle qui est atteinte vers 4/6 ans et est visible en observant la queue qui est longue et large à sa base, avec un cloaque proche de l'extrémité de la queue chez les mâles. Celle de la femelle est courte et fine avec un cloaque proche de sa base. Les femelles présentent une dossière plus arrondie et large et ont les ongles des membres postérieurs plus petites que celles du mâle. Après la queue les caractéristiques les plus probantes sont les plastrons plus ou moins concave chez les mâles, alors qu’ils sont toujours plats chez les femelles. Maintenance en captivité : Cette espèce est palustre et adulte elle peut vivre hors de l'eau et peut être maintenue aussi bien en terrarium qu'en enclos extérieur muni d un bassin quand les températures le permettent. Pour les enclos extérieurs il faudra penser à bien les clôturer. Ils devront être constitués d’une zone émergée moelleuse et humide et un petit bassin de dimensions adaptées au nombre de spécimens à loger. Il est important que l'eau du bassin ne soit pas stagnante mais toujours propre, en outre il est possible d'y cultiver des plantes aquatiques qui pourront lui servir de nourriture et même de cachettes. Lorsque les températures descendent sous les 18°, il est indispensable de les maintenir dans un terrarium chauffé. Le terrarium doit avoir un substrat souple et humide. L'humidité ambiante doit rester dans les de 60-70% et la température moyenne doit être de 24-27 °C même dans l'eau. La partie émergée et celle aquatique doivent être égale et peu profonde. La zone émergée devra être exposée à un éclairage UVB 5% 10 heures à 12 heures par jour. Cette tortue n’hiberne pas. Alimentation : Cette tortue est principalement végétarienne et peut se nourrir de carottes, poivrons, pommes, poires, bananes, kiwi, oranges, fleurs et autres matières végétales. Une fois tous les 10-15 jours il est conseillé de lui fournir une petite quantité de nourriture d'origine animale comme des escargots, poissons d'eau douce ou vers. Reproduction : Les accouplements se produisent dans l’eau et après quelques semaines la femelle pont généralement deux petits œufs de 50mm x 30 mm. Exceptionnellement il peut y avoir cinq oeufs provenant de la même ponte. 3 à 4 pontes s'étendent d'Avril jusqu'à Juillet et peuvent être espacées de 35/50 jours. L'incubation des œufs doit se faire à des températures de 28/30 °C avec une humidité consante de 80%. Après 70/85 des jours les petits naissent et ont une taille d'environ 40mm pour un poids de 13/15 grammes. Les petits sont presque entièrement aquatiques et ont un régime alimentaire identique à celui des adultes. Statut : Annexe 2 de la convention de Washington, et nécessite donc un document CITES.
  3. Cette espèce comprend 3 sous-espèces distinctes : 1. K. BELLIANA BELLIANA. 2. K. BELLIANA NOGUEYI. 3. K. BELLIANA ZOMBENSIS. Répartition géographique : La Kinixys belliana vit en Afrique; on la retrouve en Somalie, Éthiopie, Kenya, sud de la Tanzanie, Mozambique et dans une partie de terre qui va du Sénégal au Cameroun. HABITAT Dans son biotope elle fréquente les zones arides et ombragées où s’alternent saisons sèches et pluvieuses. DESCRIPTION PHYSIQUES : Il s'agit d'une tortue moyennement petite. La dossière est arrondie, et atteint une longueur de 22 cm environ mâles et femelles. Les écailles ont une couleur qui peut varier selon le spécimen, mais habituellement la partie centrale est bêche avec un bord marron sombre ou noir. Le plastron est jaune avec quelques raies de couleur sombre. La partie postérieure du plastron elle est muni d une charnière cartilagineuse qui une caractéristique qu’ont toutes les tortues du genre Kinixys (sauf Kinixys natalensis) Cette charnière fait office d’articulation permettant au plastron de se fermer sur les membres postérieurs et sur la queue, un atout majeur pour se protéger des prédateurs. DIMORPHISME SEXUEL : Le mâle a une queue plus grosse et plus longue que celle de la femelle. Le mâle a le plastron est concave, celui de la femelle est plat. MAINTENANCE ENCAPTIVITE : Puisqu'elles sont tropicales elles demandent une atmosphère chaude et plus ou moins humide. Elle peut être maintenue en enclos extérieur quand le temps le permet, en outre il sera nécessaire de lui aménager des zones d’ombre, un abri et une coupole d’eau ou elle pourra se désaltérer et se baigner. Attention aux chocs thermiques et aux courants d'air car cette espèce est assez sensibles aux problèmes respiratoires. Les conditions idéales d'élevage de cette espèce sont en terrarium d’au moins 2,50 m x 1,20 m. Il doit être chauffé par une lampe chauffante ou spot traditionnel. Il est important recréer une zone chaude environ à 28 degrés et une zone plus fraîche environ à 24 degrés. L'humidité doit être de 60/90%. Le matériel de fond peut être constitué d’un substrat humide et de feuilles sèches. Un récipient peu profond d’eau propre doit être toujours à disposition. En hiver on peut baisser légèrement la température à 24 degrés de jour et 18 degrés de nuit avec une humidité plus élevée. Cette tortue n’hiberne pas mais est toute fois possible de la faire hiverner de décembre à janvier, et ce afin de favoriser la reproduction, pour se faire on abaisse la température à 12-14 degrés avec une humidité constante et moins élevée. Il est aussi important de souligner que le terrarium doit être pourvu d’un éclairage UVB spécifiques pour tortues indispensables à la synthèse de vitamine D3 et à l'assimilation de calcium. ALIMENTATION Dans la nature ces animaux sont omnivores ; en captivité il est conseillé de lui fournir à une alimentation principalement végétarienne en la complétant, au moin une fois par semaine par des aliments d origines animales, vers de terre, escargot set insectes. L’alimentation de base doit être constitué de végétaux : endives, scarole, radis, tomates, chou frisé (très riche de calcium),etc... Occasionnellement on peut lui fournir des champignons et des petits morceaux de pomme, bananes, raisin, poires, fraises, melon, oranges. REPRODUCTION Les conditions idéales pour la reproduction de Kinixys belliana sont observées à une température de 30 degrés et une humidité de 75-80%. Les mâles sont très agressifs pendant la période de la reproduction donc est conseillé d‘ en tenir compte. La femelle peut déposer jusqu'à 5 œufs. L'incubation dure environ 90/110 jours mais j ai eu bruits d’éleveurs italiens ayant eu des délais d’incubations record de 11-12 mois ! NOTES Toutes les sous-espèces n'ont pas le même nombre de doigts aux pattes antérieures : 4 pour les Kinixys belliana nogueyi et 5 pour les K. belliana belliana.
  4. PELOMEDUSA SUBRUFA SUBRUFA Cette espèce comprend 3 sous-espèces distinctes, toutes localisées en Afrique : Pelomedusa subrufa subrufa (Lacepede, 1788), Pelomedusa subrufa olivacea (Schweigger, 1812) Pelomedusa subrufa nigra (Gray, 1863) Répartition géographique: La Pelomedusa subrufa est répandue dans toute l'Afrique centre méridionale jusqu’à Madagascar, Yemen et Arabie saudite. La Pelomedusa subrufa olivacea occupe la bande septentrionale : de l'Éthiopie et de Soudan jusqu'à la Côte d'Ivoire, en passant par le Cameroun et le Nigeria quelques spécimens ont même été repérés au Yémen. La dernière sous-espèce Pelomedusa subrufa nigra est rencontrée dans la partie méridionale, en particulier en Sud Afrique. Les Pelomedusa subrufa occupent les cours d’eau à faible précipitation durant l’hiver. Dans son biotope pendant les jours d'été à forte chaleur, la température ambiante atteint en moyenne les 30 degrés. Elles occupent principalement des petits bassins et marres stagnantes occasionnellement remplis mais qui ne tardent pas à s'assécher, contenu des fortes températures. Description: Cette espèce est relativement petite et atteint rarement les 20 cm de carapace. Leurs plastrons n'ont pas de charnières mobiles (contrairement à la pelusios castaneus ,à ne pas confondre) , peut être complètement uniformes, sans reflets, allant de la couleur ocre. Cependant quelques spécimens présentent des colorations très sombres et uniformes. La dossière est de forme ovale avec des couleurs, marron au vert olive, dépendant généralement de la sous-espèce. Le dimorphisme sexuel est exclusivement visible en observant la queue qui est longue et large à sa base, avec un cloaque proche de l'extrémité de la queue chez les mâles. Celle des femelle est courte et fine avec un cloaque proche de sa base. Maintenance en captivité : ATTENTION Il n'est pas possible de l'élever en plein air étant donné des températures de ses zones d'origines. L'aquaterrarium doit avoir des dimensions minimum de 100 cm x 50 cm. Le niveau de l'eau doit permettre à la tortue de pouvoir respirer en tenant ses pattes postérieures sur le fond de l aquaterrarium. Il est important de souligner qu’elles ne sont pas de bonnes nageuses et qu’elles préfèrent d'avantage se déplacer dans le fond de l’aquaterrarium . La température de l’eau doit être assez élevées et comprises entre les 25 et 31 degrés centigrades : l'idéal est 26-28 degrés. En dessous de 26 degrés elle manifestera un fort ralentissement du métabolisme, une anoréxie et une apathie qui pour cette espèce peut s’avérer fatal. Dans leur biotope, la température reste constante toute l'année ce qui explique que cette tortue n'hiberne pas. Des températures trop élevées (nécessaires seulement en cas d'infections ou maladies) augmentent considérablement le métabolisme et causent l’estivation, très fréquente chez cette espèce. De nuit on peut faire baisser la température de 4 ou 5 degrés centigrades. Il est nécessaire de munir l'aquaterrarium d'une aire émergée constituée de cailloux non coupants, de buches ou même de racines. Cette zone sèche devra être vaste d'au moins 1/3 de la cuve et exposée contrairement à ce qu avancent certains éleveurs à un éclairage UVB 7% 10 heures à 12 heures par jour (surtout pour les juveniles) . Une lampe chauffante sera également aménagée au dessus de cette plage afin d’obtenir 30 degrés centigrades, nécessaires à leur thermorégulation, surtout si la température de l'eau n'est pas très élevée. Dans la nature les Pelomedusa subrufa, vivent dans des eaux dont le pH particulièrement élevé (alcalin) est compris entre 8.0 et 8.5. Il peut donc être utile de contrôler le pH et les adapter à cette valeur, en ajoutant par exemple du sable corallien ou autre… Les interventions sur le pH sont destinées aux éleveurs plus experts voulant reproduirent au mieux leur biotope. Alimentation : La Pelomedusa subrufa est une espèce exclusivement carnivore. Ses apports nutritifs sont principalement issus d'aliments protéiniques; pour ces mêmes raisons il est nécessaire de lui fournir une alimentation très variée et équilibrée. Dans son biotope elle se nourrit volontier de tout ce qui peut lui passer sous les yeux mais surtout d'insectes, mollusques, crustacés, vers, petits mammifères, poissons et autres... Les jeunes spécimens nécessitent une alimentation quotidienne avec un jour de jeûne par semaine, les adultes peuvent être alimentés tous les 3 jours vu leurs temps de digestion beaucoup plus lent, que les juvéniles et sub-adultes. Son alimentation en captivité peut être composée d'insectes : grillons, vers de terre, vers de vase, vers de farine, et autres larves. Poissons d'eau douce (truite, brochets etc..) oisillons, souriceaux morts ou vivants, en morceau ou entiers (selon la taille de la tortue). À cela il est conseillé de compléter avec d’autres aliments : petits invertébrés (escargots avec coquille très riche en calcium), mollusques, crevettes d'eau douce. On conseille également de fournir des chairs blanches et rouges. Reproduction : En captivité la maturité sexuelle est plus vite atteinte par les mâles ; selon les conditions d'élevage. Pour la ponte il est nécessaire d’aménager une zone de ponte placée à une hauteur d’environ 20 cm et assez large. Dans ces conditions elle y déposera 15 œufs selon les conditions de l'animal, de son âge, etc... En une seule ponte. La durée de l’incubation peut varier entre 70 à 90 jours. Pour un taux de naissances optimales il est préférable d’enlever les œufs du nid et de les mettre en incubateur, en utilisant de la vermiculite de 5-8mm d épaisseur humidifiée. Il est conseillé de maintenir une humidité autour du 70% et des températures comprises entre les 27 et les 32°. Il est également important de rappeler que les œufs ne doivent pas être renversés pour éviter de tuer l'embryon. Les sujets à peine nés, de dimensions réduites à peine 3cm, sont très délicats et demandent donc plus d'attention et de soins. Remarque : Comme déjà évoqué plus haut, la Pelomedusa subrufa est une tortue qui n’hiberne pas et des températures trop basses peuvent s'avérer fatales pour cette espèce.
  5. jay1111

    Les UV et les reptiles:

    Dans la nature, le soleil fournit une grande quantité de lumière très intense nécessaire aux reptiles aimant la lumière du jour. On voit souvent ces reptiles se dorer aux rayons du soleil et ce n'est pas seulement pour des raisons de chaleur mais également parce que le soleil leur permet de synthétiser la vitamine D3 et de rester en bonne santé. Une Lampe UV est donc recommandée pour la plupart des reptiles de jour, y compris les iguanes, les dragons à barbe, les scinques, les caméléons, les lézards et les tortues. 1) Des UVB pour la synthèse de la vitamine D3 ... Pour pouvoir grandir en bonne santé, la plupart des reptiles ont besoin de synthétiser la vitamine D3 dans leur peau. Ce processus se fait grâce à la lumière ultraviolette située dans une bande d'ondes particulière, appelées UVB (290-320 nm). En général, dans les lampes fluorescentes à spectre complet, les UVB ne sont généralement pas présents en quantité suffisante, car le verre de ces lampes absorbe les UVB. En revanche, certains tubes fluorescents utilisent un verre spécialement étudié pour faire passer les radiations UVB et UVA en quantités suffisantes et sans danger. La vitamine D3 est nécessaire au métabolisme du calcium, qui favorise un bon développement des os. Une déficience de calcium peut résulter en des maladies métaboliques des os chez les reptiles. La vitamine D3 est également nécessaire pour le développement de carapaces solides chez les tortues aquatiques et les tortues terrestres. Bien que la vitamine D3 puisse être commercialement obtenue à partir de sources animales et administrée aux reptiles dans leur alimentation, des études ont montré que la vitamine D3 diététique ne peut pas remplacer celle qui est synthétisée dans la peau grâce à la lumière du jour, même lorsqu'un supplément de vitamine D3 est directement injecté chez les reptiles. La vitamine de type D dérivée des plantes (vitamine D2) n'est pas appropriée pour un bon métabolisme du calcium. Pour de meilleurs résultats, la vitamine D3 doit être obtenue par des expositions régulières aux radiations UVB de la lumière naturelle ou des tubes 5 ou 10 % UVB. 2) Des UVA pour un comportement satisfaisant ... nous savons maintenant que les reptiles peuvent voir la gamme des UVA (320-400 nm) de la lumière. Ce qu'un reptile voit affecte son appétit. Les rouges et les verts sont plus intenses. Un reptile peu disposé à manger a besoin de rayons UVA pour stimuler son appétit. Les UVA sont également nécessaires pour induire un comportement de reproduction. Par exemple, les lézards possèdent sur leur peau des motifs réfléchissant les ultraviolets qui indiquent en particulier les glandes reproductives. Les caméléons panthères femelles recherchent également les radiations ultraviolettes lorsqu'elles se préparent à pondre leurs œufs. Priver un reptile de radiations UVA reviendrait à lui faire porter des lunettes noires dans une pièce sombre.
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